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Un moment d'égarement [Holocaust]
Mer 18 Aoû 2010 - 15:43
Un moment d'égarement.
&&.
Dolce &&. Holocaust
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Dolce &&. Holocaust
Le cours de potion venait de finir, je sortais de la salle comme tout les autres élèves et me dirigeais vers le Domaine, j’aurais bien aimé suivre Holocaust et parler avec lui mais je n’avais pas envie de le déranger. Je partais donc dans la direction que je m’étais fixé, une fois là-bas j’avais le choix entre le parc, la forêt, les remparts, l’étang, la carrière, les serres, le stade de Quidditch, les chambres étudiantes ou la fontaine des gobelins. Et je choisie la dernière proposition, je pris donc le chemin qui menait à la fontaine, tout était calme, il n’y avait personne. Je m’étais assise par terre, dans l’herbe humide du matin qui avait encore sur elle, l’eau de la rosée. Je voulais m’allonger mais risque d’être mouillée, mais le fait de sentir l’herbe sous mon corps me faisait le plus grand bien. Je restais assise là, rêveuse et penseuse, le vent s’engouffrait dans mes cheveux et de légers frisons traversaient tout mon être. Cet après-midi, j’avais rendez-vous au Pub avec Eurydice, ma protectrice et très chère amie. J’aurais aimé lui parler maintenant, lui dire ce qui n’allait pas, pourquoi j’avais des crises qui faisait pleurer toute mon âme, qui m’assommais de douleur et m’apaisait à la fois. Tout simplement parce que cette peur immense de sombrer m’envoutais et je la haïssais tellement je soufrais à cause d’elle. Cette douleur qui vous dit, baisse les bras tu n’arriveras jamais à remonter et d’un autre côté cette faiblesse qui veux devenir plus petite pour laisser place à la force, votre force. Qui aurait cru que j’aurais été capable au moins une journée de penser qu’à ça, qu’à cette chose qui me brûle le cœur, qui me dévore les entrailles, qui vous affaiblit petit à petit et vous laisse agonir en vous abandonnant. Oui aujourd’hui je ne pensais qu’à cette chose qui me faisait peur et qui me rendais faible, en plus j’avais toujours se vide à combler par mon frère jumeau que je n’avais toujours pas rencontré. J’aurais aimé qu’il soit près de moi dans ce moment pareil, mais il n’était pas là, tout comme mon père qui était mort à cause de la drogue et ma mère, je ne l’ai pas connue mais je l’aurais aimé, ça c’est sur. Comment détester une mère ? C’est impossible de haïr ses parents même s’ils vous font du mal. Mais bon cette douleur devenait plus intense en pensant à ma famille, la famille avec qui j’aurais dû vivre, la mère qui m’a fait naître mais à qui on m’a arraché, le père qui était ivre et drogué s’en cesse et le frère qui a fait de mon cœur une âme solitaire sans aucun point de repère. Je repensais à la vie que j’aurais pu avoir si mon père ne m’avait pas enlevé de ma mère ainsi que de mon frère. Je sais qu’il ne voulait pas me perdre mais est-ce une raison de tuer une relation mère-fille, est-ce normal d’éduquer sa fille dans l’alcool et la drogue, non je ne pense pas et pourtant c’est ce qui m’ai arrivé. Je levais les yeux au ciel et soupirais, pourquoi il avait fait cela ? Je n’avais toujours pas certaines réponses à mes questions mais pour le moment je préférais me posé la question qui me tue, allais-je vraiment tomber dans la drogue ? Devenir comme mon père, une droguée dépendante qui se réfugies dans la cocaïne pour oublier la véritable vie qui l’attend ? Je n’en savais rien et préférais me dire que je ne tomberais pas dedans. Je reprenais peu à peu mes esprits quand des craquements et des bruits de pas ce firent entendre, je me levais brusquement et me retournais, « Qui est-là ? C’est toi, Eurydice ? ». Je paniquais à l’idée que ce soit une personne qui me veuille du mal mais ce n’était que Holocaust, je souriais à sa vue et lui demanda gentiment avec ma voix encore troublée « Quesque tu fais là ? »
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Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Mer 18 Aoû 2010 - 21:16
Le cours de potions l'avait passionné et il était allé voir la professeur après son cours pour demander quelques éclaircissement sur des points qu'il n'avait pas compris. C'était son petit défaut quand il s'agissait de cette matière, il avait trop tendance à rester plus de temps que nécessaire dans la salle de cours. C'est pour cela qu'il ne vit pas Dolce sortir de la salle bien qu'il eut été probable qu'il n'y aurait de toute façon guère fait attention. Ils n'étaient pas ensemble depuis longtemps, mais déjà Holocaust ne s'autorisait aucune dépendance. Elle faisait ce qu'elle voulait, il ne la voyait que quand elle le réclamait, ou quand il sentait qu'elle en avait besoin. Car même si la dépendance amoureuse était son pire cauchemard, il n'était pas un monstre et ne pouvait laisser une personne qu'il appréciait déprimer sans rien essayer d'y faire.
Quand il eut enfin laisser fuir la prof de potion, il sortit dans les couloirs. Il lui restait à trouver quoi faire du reste de la matinée. Fumer, se droguer... Oui, mais les jours se faisaient un peu répétitifs à force de les passer ainsi. Certes, les trips n'étaient jamais les mêmes, mais il en avait marre. Il était temps d'innover. Il songea un moment à aller trouver un ami pour discuter, mais il n'avait pas d'idée d'amis à qui aller parler. Il aurait bien pu trouver, mais pour dire vrai, il avait la flemme. Il décida donc d'aller se balader en se contentant d'une cigarette tout ce qu'il y avait de plus normal. Il se dirigea sans réellement y songer vers la fontaine des gobelins.
Quand il y fut arrivé, il remarqua qu'il y avait déjà quelqu'un, et ce quelqu'un n'était pas n'importe qui. Mais pourquoi Dolce était-elle venue s'exiler toute seule dans cet endroit. Il hésita un moment à venir la déranger mais il finit par se dire qu'elle n'avait vraiment pas l'air bien et qu'elle avait besoin de réconfort. Peut-être qu'il serait utile dans son rôle de petit copain pour une fois. Il s'approcha alors doucement quand elle remarqua sa présence. Sa réaction fut un peu trop excessive pour qu'il la considère dans un état normal. Elle afficha un léger sourire en voyant que ce n'était personne d'autre que lui. Elle avait appelé Eurydice? Elles se connaissaient bien? Enfin, ce n'était pas son soucis du moment.
Je viens voir si mon amie à besoin de réconfort...
Il la regardait avec une douceur certaine. Il était évident qu'il s'inquiétait pour elle, il s'inquiétait facilement pour tout le monde malgré son air désintéressé. Et si c'était sa petite amie, elle devait apprécier qu'il prenne soin d'elle, cela devrait surement la réconforter un peu... Il l'espérait en tout cas. Il s'accroupit en face d'elle alors qu'il tirait une bouffée sur sa cigarette. Il se gratta la tempe alors qu'il réfléchissait à la meilleure attitude à adopter. Il n'était pas très doué dans le genre consolateur. Il n'avait pas vraiment fréquenté de gens qui avaient besoin de réconfort pendant son enfance et ne savait donc pas naturellement comment s'y prendre. Il faisait toujours de son mieux mais n'avait pas l'impression que c'était assez. Il maudit intérieurement sa mère. C'était de sa faute s'il était un handicapé sentimental.
Il oublia la sale ivrogne qui avait prétendu l'élever pour concentrer tout son attention sur la Lufkin. Il déposa un léger baiser sur son front comme les vrais parents font aux petits enfants inquiets. Il la regardait, scrutateur, cherchant le moindre signe qui aurait pu l'aider à comprendre pourquoi elle n'allait pas bien. Et tout ce qu'il trouvait à se dire, c'était qu'elle avait vraiment de superbe cheveux et que ce n'était pas étonnant qu'il soit tombé sous son charme. Pour un peu, il se serait fichu une baffe de penser à cela en ce moment.
Alors, qu'est-ce qui te tracasse?
Oserait-elle lui confier ses soucis? Il aurait aimé, même s'il savait pertinemment qu'il était un mauvais confident. Il n'était finalement qu'une sale fouine trop curieuse qui voulait toujours tout savoir mais ignorait comment réagir face aux problèmes des autres. S'il pouvait aider à les résoudre, il y mettait du sien, mais cela semblait toujours trop peu. Enfin, ses problèmes de relations n'étaient pas le sujet du jour, il était plutôt question d'une jolie jeune fille en peine pour une raison qu'il ignorait encore. Et qu'il refusait d'ignorer jusqu'à la fin des temps.
Quand il eut enfin laisser fuir la prof de potion, il sortit dans les couloirs. Il lui restait à trouver quoi faire du reste de la matinée. Fumer, se droguer... Oui, mais les jours se faisaient un peu répétitifs à force de les passer ainsi. Certes, les trips n'étaient jamais les mêmes, mais il en avait marre. Il était temps d'innover. Il songea un moment à aller trouver un ami pour discuter, mais il n'avait pas d'idée d'amis à qui aller parler. Il aurait bien pu trouver, mais pour dire vrai, il avait la flemme. Il décida donc d'aller se balader en se contentant d'une cigarette tout ce qu'il y avait de plus normal. Il se dirigea sans réellement y songer vers la fontaine des gobelins.
Quand il y fut arrivé, il remarqua qu'il y avait déjà quelqu'un, et ce quelqu'un n'était pas n'importe qui. Mais pourquoi Dolce était-elle venue s'exiler toute seule dans cet endroit. Il hésita un moment à venir la déranger mais il finit par se dire qu'elle n'avait vraiment pas l'air bien et qu'elle avait besoin de réconfort. Peut-être qu'il serait utile dans son rôle de petit copain pour une fois. Il s'approcha alors doucement quand elle remarqua sa présence. Sa réaction fut un peu trop excessive pour qu'il la considère dans un état normal. Elle afficha un léger sourire en voyant que ce n'était personne d'autre que lui. Elle avait appelé Eurydice? Elles se connaissaient bien? Enfin, ce n'était pas son soucis du moment.
Je viens voir si mon amie à besoin de réconfort...
Il la regardait avec une douceur certaine. Il était évident qu'il s'inquiétait pour elle, il s'inquiétait facilement pour tout le monde malgré son air désintéressé. Et si c'était sa petite amie, elle devait apprécier qu'il prenne soin d'elle, cela devrait surement la réconforter un peu... Il l'espérait en tout cas. Il s'accroupit en face d'elle alors qu'il tirait une bouffée sur sa cigarette. Il se gratta la tempe alors qu'il réfléchissait à la meilleure attitude à adopter. Il n'était pas très doué dans le genre consolateur. Il n'avait pas vraiment fréquenté de gens qui avaient besoin de réconfort pendant son enfance et ne savait donc pas naturellement comment s'y prendre. Il faisait toujours de son mieux mais n'avait pas l'impression que c'était assez. Il maudit intérieurement sa mère. C'était de sa faute s'il était un handicapé sentimental.
Il oublia la sale ivrogne qui avait prétendu l'élever pour concentrer tout son attention sur la Lufkin. Il déposa un léger baiser sur son front comme les vrais parents font aux petits enfants inquiets. Il la regardait, scrutateur, cherchant le moindre signe qui aurait pu l'aider à comprendre pourquoi elle n'allait pas bien. Et tout ce qu'il trouvait à se dire, c'était qu'elle avait vraiment de superbe cheveux et que ce n'était pas étonnant qu'il soit tombé sous son charme. Pour un peu, il se serait fichu une baffe de penser à cela en ce moment.
Alors, qu'est-ce qui te tracasse?
Oserait-elle lui confier ses soucis? Il aurait aimé, même s'il savait pertinemment qu'il était un mauvais confident. Il n'était finalement qu'une sale fouine trop curieuse qui voulait toujours tout savoir mais ignorait comment réagir face aux problèmes des autres. S'il pouvait aider à les résoudre, il y mettait du sien, mais cela semblait toujours trop peu. Enfin, ses problèmes de relations n'étaient pas le sujet du jour, il était plutôt question d'une jolie jeune fille en peine pour une raison qu'il ignorait encore. Et qu'il refusait d'ignorer jusqu'à la fin des temps.
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Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Jeu 19 Aoû 2010 - 12:20
Oui c’était bien lui, Holocaust. Nous étions ensemble depuis peu et je l’appréciais énormément mais je n’arrivais pas à comprendre pourquoi mon cœur ne l’aimait pas. Depuis que mon père était mort, je m’étais refermé sur moi-même, comme dans un cocon et toutes les personnes que j’aimais avait du mal à entré dans mon cœur qui s’était changé en pierre. Sa voix m’apaisait et me rassurais, on était ensembles mais on avait chacun notre dépendance et cela était sympa. Le petit vent qui soufflait bercé la voix de mon ami. « Je viens voir si mon amie à besoin de réconfort... » Il était attentionné et à l’écoute des gens de son entourage et je savais que je pouvais compter sur lui, alors je lui dis « C’est gentil de ta part, merci d’être venu. » Je n’osais pas aborder un sujet qui me faisait mal de l’intérieur et qui se montrait de l’extérieur mais juste parler pour me détendre un peu. Je voulais tout lui dire mais je savais que ce n’était pas le moment venu, je préférais en parler d’abord m’approcher plus de lui, le connaitre mieux qu’aujourd’hui et que demain. Je levais les yeux vers lui, son regard était tendre et doux, ce qui me faisait sourire et plaisir, il s’occupait bien de moi c’est pour ça qu’avec lui je me sentais bien. Il s’accroupit en face de moi et tirait une bouffée de cigarette, à ce moment j’aurais aimé lui prendre pour faire pareil mais l’alcool était déjà de trop dans ma petite vie fragile alors si en plus la cigarette faisait son apparition, ma vie serait un vrai cauchemar éveillé. Je savais qu’il réfléchissait, cela se voyer dans son regard ainsi que son expression, il n’avait pas besoin de chercher comment me parler ou me rassurer, rien que le fait qu’il soit au près de moi me suffisais. Il déposait un léger baiser sur mon front, il me regardait en me scrutant pour savoir où était le problème, mais ça serait dur de trouver, j’avais envie que notre relation évolue un peu plus mais avec tout mes problèmes et les questions que je me posée, je savais que cela n’irait pas plus loin qu’une simple amitié mais qui ne serait pas banale comme certaines amitiés qu’on croit certaines alors qu’elles ne sont que menteuses et fausses. Je le regardais attentivement, je pensais plus à la drogue mais à lui, lui qui à réussi à me faire oublier cette horrible chose quelque instant. « Alors, qu'est-ce qui te tracasse? » Cette question me fis mal au cœur, est-ce que il fallait vraiment que j’oublis celui qui à une place dans mon cœur pour parler de cette chose que tout le monde aime, la drogue ? Le fallait-il vraiment, oui il le fallait, il était curieux tout comme moi et aimé bien savoir des choses sur les gens puis c’était mon petit ami je lui devais bien quelques explications pour qu’il ne s’inquiète pas trop. Alors je soupirais pour revenir à la triste réalité, et mon destin lui était tracer dans la pierre, c’était obliger que je tombe dedans mais je voulais profiter au maximum de ma vie sans ça. « Eh bien c’est dur à expliquer Holo, mais je vais te le dire, tu dois être au courant c’est normal. » Mon cœur battait à cent à l’heure, mon souffle se faisait cours, ma voix se troublait, des larmes glissaient le long de mes joues, et mon âme ne m’appartenait plus, ça y est elle appartenait à cette substance illicite que tout le monde aime, la drogue. Non je ne voulais pas devenir une junkie complètement défoncée comme mon père, mais c’était mon destin, c’est comme si c’était normal que je tombe dedans. Oui Holocaust était là et je voulais lui dire mais comment, comment lui avouer tout mes soucis en rapport avec la drogue, comment lui parler que mon père était un drogué-alcoolique et que c’est à cause de lui ce qui m’arrive ? Oui comment lui dire tout cela, un pincement au cœur surgissait en moi, mon corps ne m’appartenait plus, il n’était plus à moi mais à la mort soudaine qui apparaissait devant mes yeux, comme une vision, une image préparée pour mon arrivée. Je voyais ma vie défiler devant moi en un instant et pourtant ce n’était pas mon heure, est-ce un cauchemar ou la réalité ? Je ne savais pas mais ce qui me préoccuper c’était Holocaust qui me voyait dans cet état, je ne voulais pas l’abandonner, pas maintenant. J’avais besoin de lui, alors je le fixais avec mon regard remplit de larmes, elles coulaient encore et étaient chaudes. « Holocaust, maintenant tu dois savoir une chose, je vais sombrer dans la drogue. » A ce moment là le noir total ce faisait, mes yeux voyaient que du noir, je n’arrivais même plus à distinguer la silhouette de celui que j’aime, non je n’y arrivais pas.
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Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Jeu 19 Aoû 2010 - 19:23
Quand elle le remercia, il eut un léger sourire amusé. Il aurait voulu dédramatiser la situation avec quelques blagues, mais si Dolce allait vraiment mal, la faire rire n'était pas le meilleur pour la faire sortir de sa déprime. Et de toute façon, son sens de l'humour n'était pas assez aiguisé pour titiller une maline et mignonne jeune Lufkin. Il ne répondit donc pas tout de suite. Elle semblait hésiter à lui parler de ce qui n'allait pas, peut-être ne savait-elle par quel moyen aborder le sujet. Peut-être était-ce conseillé que ce soit lui qui oriente la conversation sur ce point? A vrai dire il ne savait vraiment pas. Mais il avait décidé qu'il fallait qu'elle parle si elle voulait aller mieux. Il aurait aussi pu lui proposer un de ses joints faits maison qui avait un effet si relaxant et apaisant, mais ce serait pour plus tard.
Quand il lui demanda ce qui la tracassait, elle sembla inquiète et soupira avant d'avouer qu'elle avait quelque chose de grave à lui dire. Holocaust espérant qu'il ne l'ai pas ennuyé en exigeant de savoir resta muet, attendant qu'elle se décide à dire ce qu'elle s'était résignée à lui avouer. Mais il la vit se mettre à pleurer et d'un coup il regretta de lui avoir posé la question. Sa voix semblait trop brisée, les larmes roulant sur ses joues inquiétait le wright plus qu'il n'aurait pu l'avouer. Il se pencha vers elle pour la prendre dans ses bras en lui carressant doucement les cheveux. Il avait l'impression que c'était la meilleure façon d'agir, mais encore une fois il ignorait la marche à suivre. Il essayait seulement de la calmer, de lui assurer sa présence à ses côtés quoi qu'elle dise. Il aurait aimé être une présence rassurante, que ses muscles servent à protéger les gens auxquels il tenait mais les problèmes sa petite amie ne pouvaient se régler à la force du poignet.
Quand elle lui avoua d'un air désespéré qu'elle allait sombrer dans la drogue, il mit un temps avant de réagir. Pour le drogué régulier mais modéré qu'il était, il ne voyait pas vraiment dans quelles conditions la drogue pouvait devenir un fléau. Il suffisait à son avis de savoir se maîtriser soi-même. Une bonne hygiène entrainait alors une indépendance certaine... Mais il savait qu'il y avait des gens qui ne pouvait se permettre de résister, qui n'y arrivaient pas. Il avait tenté d'enlever à ses propres plantes l'aspect addictif pour ne pas risquer de céder à la tentation. Quand elle lui eut dit ça, il resta donc un instant sans réagir avant d'attraper le visage de la jeune fille entre ses mains pour la forcer à le regarder.
Si tu ne veux pas y succomber, tu n'es pas obligé d'y toucher. Ya quelqu'un qui t'y incite?
Alors qu'il posait la question, il écrasa sa propre cigarette. Sortir avec lui n'était peut-être pas le meilleur moyen pour affronter une détresse liée à la drogue. Lui refusait l'alcool depuis toujours à cause du souvenir de sa mère, mais la drogue ne lui avait jamais parut vraiment mauvaise. Il n'avait même pas imaginé qu'elle puisse l'être pour les autres si ce n'était pour le bébé qui grandissait dans le ventre de Mya. C'était la seul personne qui avait la chance de ne pas trop le voir en train de fumer tout ce qu'il trouvait. Il n'avait jamais pensé à épargner ce spectacle à sa petite amie, il lui arrivait même de lui proposer de partager un joint fait maison... Il craignait soudain que tout ça fut de sa faute.
Si c'est à cause de moi, je peux fumer moins tu sais... Je peux arrêter de fumer en ta présence si tu veux...
Après tout, il fumait plus que de raison, et il le savait. Si c'était de sa faute, il ferait tout pour se racheter, il avait toujours été ainsi. Il espérait ne pas être celui qui menait Dolce vers quelque chose qu'elle redoutait, peut-être que c'était de la couardise, peut-être pouvait-on considérer qu'il refusait d'assumer ses actes... Mais si elle lui disait qu'il y était pour quelque chose, il savait qu'il n'irait pas le nier, et il sentait l'angoisse monter en lui. Il ne supportait pas de faire de mal. La reprenant doucement dans ses bras en la berçant légèrement, il ajouta qu'il serait là pour elle si elle en avait besoin.
Tu sais, je suis le type de gars qui a un peu trop forcé sur la drogue à certains moments. La drogue n'est pas le problème, elle est ce qui nous semble être un moyen pour résoudre un autre problème. C'est une mauvaise solution, je t'assure. Et si tu as besoin de moi pour t'aider, de n'importe quelle manière, je te promets que je serais là, d'accord?
Que la drogue soit une mauvaise solution, il n'y croyait pas vraiment. Lui, cela lui avait permis de réaliser à quel point il était pitoyable et combien il devait se reprendre en main, se débrouiller par lui-même. La drogue l'avait rendu faible quand il était au plus bas, mais il n'avait pas eut tant de mal que ça à s'en sortir. Comme si sa volonté pouvait surmonter tout. La drogue n'était pas une solution du tout, mais elle lui avait permis d'en trouver une. Mais vu l'état dans lequel l'idée de se droguer mettait Dolce, il était évident que la prise de drogue n'aurait pas un effet aussi positif sur la demoiselle qu'elle en avait eut sur lui. Surpasser le problème serait pour elle une meilleure idée que d'essayer de le contourner en se shootant. Et s'il le pouvait, il tenterait de l'empêcher de plonger.
Quand il lui demanda ce qui la tracassait, elle sembla inquiète et soupira avant d'avouer qu'elle avait quelque chose de grave à lui dire. Holocaust espérant qu'il ne l'ai pas ennuyé en exigeant de savoir resta muet, attendant qu'elle se décide à dire ce qu'elle s'était résignée à lui avouer. Mais il la vit se mettre à pleurer et d'un coup il regretta de lui avoir posé la question. Sa voix semblait trop brisée, les larmes roulant sur ses joues inquiétait le wright plus qu'il n'aurait pu l'avouer. Il se pencha vers elle pour la prendre dans ses bras en lui carressant doucement les cheveux. Il avait l'impression que c'était la meilleure façon d'agir, mais encore une fois il ignorait la marche à suivre. Il essayait seulement de la calmer, de lui assurer sa présence à ses côtés quoi qu'elle dise. Il aurait aimé être une présence rassurante, que ses muscles servent à protéger les gens auxquels il tenait mais les problèmes sa petite amie ne pouvaient se régler à la force du poignet.
Quand elle lui avoua d'un air désespéré qu'elle allait sombrer dans la drogue, il mit un temps avant de réagir. Pour le drogué régulier mais modéré qu'il était, il ne voyait pas vraiment dans quelles conditions la drogue pouvait devenir un fléau. Il suffisait à son avis de savoir se maîtriser soi-même. Une bonne hygiène entrainait alors une indépendance certaine... Mais il savait qu'il y avait des gens qui ne pouvait se permettre de résister, qui n'y arrivaient pas. Il avait tenté d'enlever à ses propres plantes l'aspect addictif pour ne pas risquer de céder à la tentation. Quand elle lui eut dit ça, il resta donc un instant sans réagir avant d'attraper le visage de la jeune fille entre ses mains pour la forcer à le regarder.
Si tu ne veux pas y succomber, tu n'es pas obligé d'y toucher. Ya quelqu'un qui t'y incite?
Alors qu'il posait la question, il écrasa sa propre cigarette. Sortir avec lui n'était peut-être pas le meilleur moyen pour affronter une détresse liée à la drogue. Lui refusait l'alcool depuis toujours à cause du souvenir de sa mère, mais la drogue ne lui avait jamais parut vraiment mauvaise. Il n'avait même pas imaginé qu'elle puisse l'être pour les autres si ce n'était pour le bébé qui grandissait dans le ventre de Mya. C'était la seul personne qui avait la chance de ne pas trop le voir en train de fumer tout ce qu'il trouvait. Il n'avait jamais pensé à épargner ce spectacle à sa petite amie, il lui arrivait même de lui proposer de partager un joint fait maison... Il craignait soudain que tout ça fut de sa faute.
Si c'est à cause de moi, je peux fumer moins tu sais... Je peux arrêter de fumer en ta présence si tu veux...
Après tout, il fumait plus que de raison, et il le savait. Si c'était de sa faute, il ferait tout pour se racheter, il avait toujours été ainsi. Il espérait ne pas être celui qui menait Dolce vers quelque chose qu'elle redoutait, peut-être que c'était de la couardise, peut-être pouvait-on considérer qu'il refusait d'assumer ses actes... Mais si elle lui disait qu'il y était pour quelque chose, il savait qu'il n'irait pas le nier, et il sentait l'angoisse monter en lui. Il ne supportait pas de faire de mal. La reprenant doucement dans ses bras en la berçant légèrement, il ajouta qu'il serait là pour elle si elle en avait besoin.
Tu sais, je suis le type de gars qui a un peu trop forcé sur la drogue à certains moments. La drogue n'est pas le problème, elle est ce qui nous semble être un moyen pour résoudre un autre problème. C'est une mauvaise solution, je t'assure. Et si tu as besoin de moi pour t'aider, de n'importe quelle manière, je te promets que je serais là, d'accord?
Que la drogue soit une mauvaise solution, il n'y croyait pas vraiment. Lui, cela lui avait permis de réaliser à quel point il était pitoyable et combien il devait se reprendre en main, se débrouiller par lui-même. La drogue l'avait rendu faible quand il était au plus bas, mais il n'avait pas eut tant de mal que ça à s'en sortir. Comme si sa volonté pouvait surmonter tout. La drogue n'était pas une solution du tout, mais elle lui avait permis d'en trouver une. Mais vu l'état dans lequel l'idée de se droguer mettait Dolce, il était évident que la prise de drogue n'aurait pas un effet aussi positif sur la demoiselle qu'elle en avait eut sur lui. Surpasser le problème serait pour elle une meilleure idée que d'essayer de le contourner en se shootant. Et s'il le pouvait, il tenterait de l'empêcher de plonger.
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Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Ven 20 Aoû 2010 - 17:45
« Si tu ne veux pas y succomber, tu n'es pas obligé d'y toucher. Ya quelqu'un qui t'y incite? » La voix d’Holocaust résonnait dans ma tête, mes yeux s’ouvraient petit à petit, je pouvais distinguer la silhouette d’Holocaust. Je souriais à ses paroles, oui je n’étais pas obliger d’y succomber mais le seul désir t’y goûter et t’y toucher me ferais plonger. Non personne ne mis obliger juste mon esprit qui pensait trop souvent à mon père, tel qu’il était j’aurais pu y toucher mais je risquer de périr entre les mains de l’enfer. Dans un sursaut je me réveillais, j’étais dans les bras d’Holo qui me berçait comme un enfant, j’étais bien, oui mais trop. Un jour notre histoire serait finie et je le sentais mal, même si les sentiments que je ressentais pour lui était plus de l’amitié que de l’amour je n’avais pas envie que tout ce qui se passait entre nous disparaisse. Je voulais parler mais ma voix était troublée par mes larmes alors je le laissais continué de parler. « Si c'est à cause de moi, je peux fumer moins tu sais... Je peux arrêter de fumer en ta présence si tu veux... » Je continuais à le regarder, je voulais tellement rester dans ses bras, je m’y sentais bien, j’étais à l’abri, personne était là pour interrompre ce moment que j’espérais éternel. Ce n’était pas de sa faute, loin de là mais celle de mon père qui m’avait élevée dans la drogue, l’alcool et la cigarette et je réagissais en fonction de son éducation. « Tu sais, je suis le type de gars qui a un peu trop forcé sur la drogue à certains moments. La drogue n'est pas le problème, elle est ce qui nous semble être un moyen pour résoudre un autre problème. C'est une mauvaise solution, je t'assure. Et si tu as besoin de moi pour t'aider, de n'importe quelle manière, je te promets que je serais là, d'accord? » Les larmes avaient cessées de couler sur mes joues, j’arrivais enfin à parler « Non ce n’est pas ta faute et je n’ai pas envie que tu changes, je t’aime tel que tu es c’est juste que depuis mes 9 ans mon père à sombrer dans la dépression et ce drogué en pensant s’en sortir. Il est mort d’une overdose liée à la drogue et depuis j’ai peur de faire comme lui, tu comprends des que je vois de la drogue j’ai envie d’y toucher et mon envie grandit en moi. Je ne pourrais résister même si je le souhaiter, personne mis force mais mon envie elle me force à en prendre et à me rendre dépendante. Tu es peut être pas un exemple à suivre mais je ne te lâcherais pour rien au monde quitte à ce que je tombe dans la drogue. » Mes mots étaient sincères et mes sentiments eux commençaient à devenir réels, oui je l’aimais et alors ? Je souffrirais de quoi, d’être restée avec lui-même s’il n’a pas forcément des sentiments ? De l’accuser de m’avoir fait sombrer ? Non je n’oserais pas et même si j’en avais envie je ne le ferais pas, parce qu’il était là dans mes moments de faiblesses et je sais qu’il sera toujours là. Comme moi je le serais pour lui, parce que je l’aimais, je l’aime et je l’aimerais. Les battements de mon cœur résonnaient dans me oreilles, est-ce que c’était vraiment de l’amour ? Je continuais à me blottir dans les bras de mon Holocaust, je voulais tellement être quelqu’un qui n’est pas indifférent aux yeux d’Holo mais je ne pouvais le savoir, mon esprit ne lissait pas dans les pensées des gens. Je souriais pour montrer que j’étais bien avec lui dans ses bras qui me réchauffaient. Je l’aimais, oui et pour moi c’était la première fois que j’aimais réellement quelqu’un. Où l’amour allait-elle me menait ? Me briserait-elle le cœur ? Ou me rendrait-elle heureuse avec lui ? Je ne connaissais pas mon destin mais espérais ne pas me tromper au sujet d’Holocaust. Je l’aimais, oui, je l’aime.
- InvitéInvité
Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Dim 22 Aoû 2010 - 16:15
Elle finit par reprendre la parole quand Holocaust croyait qu'il n'arriverait jamais à la réconforter. Et ce qu'elle lui dit ne pu que le surprendre. En effet, la mère du Wright était une alcoolique des plus typique qui l'avait toujours profondément dégouté. Il n'avait jamais voulu touché à la moindre goutte d'alcool de peur de devenir aussi pitoyable qu'elle. Il se disait que s'il avait vécu les mêmes choses avec un parent drogué, il n'aurait jamais touché à la moindre drogue. Pour son plus grand malheur à vrai dire. L'alcool avait à ce qu'on disait bien moins d'effets intéressants que le joint ou la poudre. Il ne voyait d'ailleurs pas l'intérêt de boire quand il constatait le nombre de gens bourrés qui se mettaient à vomir partout.
Bref, son enfance lui avait suffit à le désintéresser de l'alcool, le dégouter serait peut-être même un terme plus exact. De ce fait, il ne comprenait pas comment la demoiselle pouvait être attirée par la drogue. Mais au vu de sa passion pour ce type de produit, il était tout de même partagé. Il était surement plus difficile de résister à un truc fantastique comme la poudre qu'à un truc tellement typique et banal que l'alcool. Et puis de toute façon les filles ne réagissaient généralement pas comme les hommes face aux situations qu'elles pouvaient affronter. Et l'enfance de Dolce ne devait pas avoir été aussi pitoyable que celle de Holo. Il l'espérait pour elle tout du moins.
Elle refusa néanmoins qu'il fume moins pour elle alors que cela ne lui aurait pas couté tant que ça. Elle ne niait pas qu'il n'était pas un exemple à suivre, mais elle ne voulait pas le voir changer pour autant. D'ailleurs sa déclamation ressemblait un peu à une déclaration d'amour. Holo n'y fit pas attention, supposant que c'était son esprit embrumé qui voyait et entendait des choses qui n'avaient pas lieu d'être. Il posa un léger baiser sur ses lèvres tout en caressant ses cheveux.
Et bien, tu pourras y goûter, il faudra juste faire attention à ne pas en prendre trop...
Il lui aurait bien proposer d'utiliser ses herbes desquelles il avait supprimé tout agent addictif, mais il n'osait plus en proposer à tout le monde. Vu la réaction que cela avait eu sur Orphée. En effet, la demoiselle avait deux fois plus apprécié les effets des drogues, mais les effets secondaires avaient été atroces et il n'avait toujours pas trouvé comment se rattraper pour ça. Il fallait mieux pour Dolce, si elle voulait commencer les drogues qu'elle prenne quelques joints de temps en temps, c'était ainsi que la plupart des personnes commençaient. Lui avait été plus fort avec directement les piqures...
Il se souvenait de cette époque avec quelques regrets et il n'était pas vraiment tenté par l'idée d'être celui qui initierait la demoiselle à la drogue. Il avait découvert cela avec l'homme qu'il avait aimé, et celui-ci s'était avéré être un manipulateur peu appréciable et qui ne le considérait comme une poupée. Avec lui il avait commencé à goûter aux drogues et à cause de lui, il avait plongé dans une trop grande dépendance et une spirale infernale. Si il se savait plus bienveillant que l'amant qu'il avait connu, il ne voulait pas retomber dans le même shéma. Il savait pourtant qu'il valait mieux pour Dolce qu'elle soit bien entourée quand elle commencerait, il savait qu'il fallait qu'il soit là pour faire attention à elle... Mais il ne voulait pas repenser à cette époque, il ne voulait pas que la demoiselle lui rappelle son état à ce moment là. Enfin, il ne s'agissait pas de ses choix, c'était à Dolce de commencer avec qui elle voulait. Il serait de toute façon là pour la surveiller, il se le promettait. Il connaissait les signes et ne la laisserait pas sombrer sans rien faire.
Tu n'as jamais rien pris? Même pas une cigarette?
La cigarette était à son avis le premier pas vers la drogue. Il voulait tout de même savoir où en était la demoiselle, s'il pouvait la guider un peu, il serait rassurer. Il lui en fallait peut-être peu, mais c'était déjà cela. Il ne voulait pas la laisser se perdre. Après tout, il l'aimait bien, sinon il n'aurait jamais accepté de sortir avec elle. Et elle devait bien l'aimer aussi sinon il n'aurait pas duré plus d'une semaine au vu du caractère de Holocaust. s'il avait su ce que ressentait la demoiselle, il aurait surement été gêné. Il avait arrêté de croire en l'amour depuis qu'il avait déchanté une fois. Il ne voulait pas blesser la demoiselle, mais si elle l'aimait, lui ne pouvait rien promettre. Il avait toujours été comme ça.
Bref, son enfance lui avait suffit à le désintéresser de l'alcool, le dégouter serait peut-être même un terme plus exact. De ce fait, il ne comprenait pas comment la demoiselle pouvait être attirée par la drogue. Mais au vu de sa passion pour ce type de produit, il était tout de même partagé. Il était surement plus difficile de résister à un truc fantastique comme la poudre qu'à un truc tellement typique et banal que l'alcool. Et puis de toute façon les filles ne réagissaient généralement pas comme les hommes face aux situations qu'elles pouvaient affronter. Et l'enfance de Dolce ne devait pas avoir été aussi pitoyable que celle de Holo. Il l'espérait pour elle tout du moins.
Elle refusa néanmoins qu'il fume moins pour elle alors que cela ne lui aurait pas couté tant que ça. Elle ne niait pas qu'il n'était pas un exemple à suivre, mais elle ne voulait pas le voir changer pour autant. D'ailleurs sa déclamation ressemblait un peu à une déclaration d'amour. Holo n'y fit pas attention, supposant que c'était son esprit embrumé qui voyait et entendait des choses qui n'avaient pas lieu d'être. Il posa un léger baiser sur ses lèvres tout en caressant ses cheveux.
Et bien, tu pourras y goûter, il faudra juste faire attention à ne pas en prendre trop...
Il lui aurait bien proposer d'utiliser ses herbes desquelles il avait supprimé tout agent addictif, mais il n'osait plus en proposer à tout le monde. Vu la réaction que cela avait eu sur Orphée. En effet, la demoiselle avait deux fois plus apprécié les effets des drogues, mais les effets secondaires avaient été atroces et il n'avait toujours pas trouvé comment se rattraper pour ça. Il fallait mieux pour Dolce, si elle voulait commencer les drogues qu'elle prenne quelques joints de temps en temps, c'était ainsi que la plupart des personnes commençaient. Lui avait été plus fort avec directement les piqures...
Il se souvenait de cette époque avec quelques regrets et il n'était pas vraiment tenté par l'idée d'être celui qui initierait la demoiselle à la drogue. Il avait découvert cela avec l'homme qu'il avait aimé, et celui-ci s'était avéré être un manipulateur peu appréciable et qui ne le considérait comme une poupée. Avec lui il avait commencé à goûter aux drogues et à cause de lui, il avait plongé dans une trop grande dépendance et une spirale infernale. Si il se savait plus bienveillant que l'amant qu'il avait connu, il ne voulait pas retomber dans le même shéma. Il savait pourtant qu'il valait mieux pour Dolce qu'elle soit bien entourée quand elle commencerait, il savait qu'il fallait qu'il soit là pour faire attention à elle... Mais il ne voulait pas repenser à cette époque, il ne voulait pas que la demoiselle lui rappelle son état à ce moment là. Enfin, il ne s'agissait pas de ses choix, c'était à Dolce de commencer avec qui elle voulait. Il serait de toute façon là pour la surveiller, il se le promettait. Il connaissait les signes et ne la laisserait pas sombrer sans rien faire.
Tu n'as jamais rien pris? Même pas une cigarette?
La cigarette était à son avis le premier pas vers la drogue. Il voulait tout de même savoir où en était la demoiselle, s'il pouvait la guider un peu, il serait rassurer. Il lui en fallait peut-être peu, mais c'était déjà cela. Il ne voulait pas la laisser se perdre. Après tout, il l'aimait bien, sinon il n'aurait jamais accepté de sortir avec elle. Et elle devait bien l'aimer aussi sinon il n'aurait pas duré plus d'une semaine au vu du caractère de Holocaust. s'il avait su ce que ressentait la demoiselle, il aurait surement été gêné. Il avait arrêté de croire en l'amour depuis qu'il avait déchanté une fois. Il ne voulait pas blesser la demoiselle, mais si elle l'aimait, lui ne pouvait rien promettre. Il avait toujours été comme ça.
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Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Mer 25 Aoû 2010 - 19:00
Holocaust avait l’air surprit de ce que je venais de lui dire, n’aimait-il pas l’alcool à cause de quelqu’un qui lui aurait pourri la vie ? Je ne savais pas et cela me faisais de la peine pour lui, lui qui avait su me réconforter dans un tel moment horrible pour moi. Oui mon père ne buvait pas beaucoup, il préférait se droguer avec tout ce qu’il trouvait sous ses mains et autour de lui, le problème c’est qu’à force de trop se droguer il en est mort et c’est ça qui me faisais peur. Sombrer dans la drogue n’était pas si atroce que ça, elle devait apaiser toutes nos souffrances mais y sombrer dedans jusqu’à en mourir ne m’intéressais pas. Je m’étais fixé des limites et cela à fin de ne pas désobéir à certaines règles comme ça j’étais obliger de partir dans le droit chemin. Mais au bout d’un moment, la petite fille sage n’était plus amusante à jouer alors je m’étais permis quelques folies en oubliant ma liste des bonnes manières. Holocaust lui était un drogué et cela ne me dérangeais pas c’est sur, si lui me faisait goûter à la drogue, je lui ferais certainement goûter à l’alcool et arriverais peut être à lui faire oublier la mauvaise image qu’il avait. Les gens parlaient toujours de drogue, souvent elle faisait l’objet de tous les fantasmes, certains disaient même que l’alcool ne fallait pas la poudre ou encore les joints. Simplement mon avis n’était pas partagé, je n’y avais jamais touché, même pas une petite cigarette j’ai prise, mais le simple fait d’en vouloir me rendais malade et me faisais faire d’horrible cauchemar. Est-ce que si je tombais dedans tout cela disparaîtrait comme par magie ou est-ce que cela empirerait ma situation actuelle. Maintenant je savais que j’aurais quelqu’un sur qui comptait, qui me ferais toucher à la drogue mais qui viellerais à ce que je ne dépasse pas les limites, oui Holocaust était là pour vieller à cela. Il déposait un baisser sur mes lèvres en me caressant les cheveux, je lui rendais donc celui-ci avec tendresse et douceur. « Et bien, tu pourras y goûter, il faudra juste faire attention à ne pas en prendre trop... » Je souriais, il serait vraiment là pour moi et me laisserais goûter à cette substance qui m’avait tellement fait peur dans le passé à cause des réactions de mon père et qui me faisait aussi aujourd’hui par le simple fait de goûter une fois et d’en devenir accro, mais je pouvais toujours essayer, si Holo était là, il pourrait me faire arrêter quand il comprendrait que j’en prends trop d’un coup, oui il serait là. « Oui je peux toujours essayer d’y goûter et ne pas en abuser pour autant, d’accord mais il faudra que je me fixe une limite sinon je ne vais pas m’en sortir. » Je savais qu’il voulait me proposer ses herbes que je lui avais obligé de mettre dans sa chambre vu qu’il était en collocation avec moi mais simplement quelque chose le retenait mais quoi ? De toute façon je ne connaissais pas les effets alors je préférais commencer avec autre chose par exemple une cigarette suffirait amplement pour un début. Puis les joints, les piqures, la poudre, viendraient plus tard une fois que je serais bien lancé. Holocaust serait la première personne à me faire goûter de la drogue donc j’avais confiance en lui, je savais qu’il ne me ferait pas prendre n’importe quoi pour une première tentative mais cela resterait à voir avec lui pour savoir par quoi il fallait commencer. « Tu n'as jamais rien pris? Même pas une cigarette? » J’avais envie de tenter la première fois avec lui, que ce soit lui qui me fasse découvrir la drogue et ses effets pour ma première fois, oui je voulais que ce soit lui et personne d’autre. « Non je n’ai jamais touché à une cigarette, je pense que je devrais commencer par ça c’est le mieux, enfin je pense. » Je pensais que la cigarette était le bon moyen de commencer correctement et pratique pour faire mes premiers pas vers la chose qui me collais la frousse étant jeune et même il y a quelques heures. « Holocaust, j’ai envie de tester, maintenant. » Je m’enlevais de ses bras et m’allongeait dans l’herbe, je fermais les yeux, ma respiration se faisait courte, je sentais monter en moi la pression, est-ce vraiment le bon moment de tenter ? Allais-je réussir à surmonter ma pire peur ? Oui je le voulais, je le sentais, je me remettais assise et tournais mon regard vers mon petit ami, je m’approchais de lui, je l’allongeais sur le dos et glissais ma main dans sa poche, je prenais le paquet de cigarette pour en sortir une, je m’allongeais à ses côtés et déposais un baiser sur ses lèvres. Je voulais le faire durer plus longtemps mais cela l’aurait surement gêné, je m’enlevais de ses lèvres et déposais ma tête sur son torse, « Holocaust, je n’aimerais pas te gêner mais j’ai quelque chose à te dire… »
- InvitéInvité
Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Lun 30 Aoû 2010 - 11:40
Il sourit quand elle précisa qu'il fallait qu'elle se fixe une limite. C'était toujours ce qu'on se disait. C'était au moment où l'on devenait accroc qu'on semblait oublier toute notion de limite. C'était à ce moment qu'on faisait toujours semblant d'oublier qu'on s'en était fixer une, ou qu'on la reculait tant que ce n'était plus raisonnable... Les limites étaient les jeux du départ, les dépasser devenait la routine du vrai drogué. Ne voulant plus être un drogué, il avait aboli toute limites. Il n'avait plus de point de retour, plus de point qu'il voulait atteindre. Il se droguait souvent mais jamais trop, jamais trop peu. C'était une façon étrange d'éviter les surdoses, mais c'était la sienne et cela fonctionnait.
A la question de savoir si elle n'avait jamais même touché une cigarette, elle répondit simplement qu'elle voulait commencer maintenant. Il retint un léger soupir. C'était sur lui que ça allait retomber. Il allait être l'homme mauvais, celui qui entraine l'autre dans la spirale tortueuse de la drogue. Mais c'était surement mieux que ce soit lui plutôt qu'un drogué dealer qui aurait profité d'elle pour se faire de l'argent facilement. Les non-initiés sont faibles face à de telles choses. La maîtrise vient avec le temps. Dolce aurait le temps d'apprendre à se maîtriser, puisqu'il serait la pour le faire pour elle. Ce ne serait pas simple, une droguée en manque n'étant pas quelqu'un de facile à brider, mais il ne pouvait pas se défiler. Elle lui faisait confiance.
Il la laissa quitter ses bras et la regarda d'un air pensif alors qu'elle s'allongeait dans l'herbe. Dans quoi s'était-il embarqué? Dans le pire cauchemar qu'il n'avait jamais eu. Il avait l'impression d'être devenu l'homme qui l'avait détruit. Il savait qu'il ne lui ressemblait pas vraiment. Mais il ne pouvait s'empêcher de haïr l'image que cela lui donnait de lui-même. Il aurait bien sniffé une petite cuillère de sa poudre blanche qui faisait des effets merveilleux... Mais c'était hors de question. Cela aurait surement donné envie à son amie. Il supposa qu'il devrait prendre ses précautions avant d'être confronté à la demoiselle à l'avenir. Cela n'allait pas être facile d'être défoncé tout le temps en sa présence, surtout qu'ils partageaient le même appartement... Mais bon, il improviserait.
Elle l'allongea sur le dos sans qu'il ne résiste et lui piqua une cigarette. Il se retint de toute remarque. Il savoura légèrement le baiser qu'elle déposait sur ses lèvres et eut un léger soupir qu'on pouvait dire de satisfaction. A vrai dire, s'il n'était pas le genre de type très romantique, il aimait bien sa relation avec Dolce qui savait être calme des fois, quand avec les autres il n'était qu'un coureur de jupon impatient. Une relation posée n'était pas le genre de chose pour laquelle il aurait pensé être apte, mais de toute évidence, cela lui faisait du bien.
Alors qu'elle posait la tête sur son torse et le prévint qu'elle voulait lui dire quelque chose, il chipa la cigarette qu'elle avait dans la main et la porta à sa bouche. Récupérant le briquet qu'il avait dans la poche, il l'alluma et la tendit à la demoiselle. Elle pouvait commencer si elle le voulait à présent. De toute façon, la cigarette n'était pas une drogue très dure à supporter.
C'est toujours dégueulasse au début, mais on s'y habitue. C'est pour se donner un style plus qu'autre chose au départ. Moi, j'ai commencé parce que ça me relaxait. Ne t'attends pas à quelque chose de bon en tout cas.
Elle était prévenue. Il était vrai qu'il ne connaissait personne qui avait aimé sa première cigarette. Un goût acre, simplement désagréable. Décidément, cela n'avait rien d'encourageant. Pour un premier pas, cela pouvait même la dégouter de continuer dans ce chemin. Il était vrai que c'était un peu ce que Holocaust espérait, sans non plus se l'avouer. Si la demoiselle abandonnait l'idée de prendre des drogues, il n'aurait plus à avoir la pression sur ses épaules d'être son point d'attache. Il ne voulait pas se sentir trop responsable. Il était froussard peut-être... Il s'en fichait à vrai dire.
Alors, qu'est-ce que tu veux me dire?
Il l'avait interrompue aussi la relançait-il sur le sujet qu'elle voulait aborder et dont il ignorait totalement la nature. Le ton qu'elle avait employé l'inquiétait un peu. Il n'aimait pas les déclarations formelles auxquelles il ne savait jamais quoi répondre. Il espérait que ce ne soit rien de grave. Peut-être avait-elle juste l'intention de le larguer et trouvait l'occasion appropriée? Il en doutait, il ne voyait pas de raison à une telle chose mais ce n'était pas rare qu'il se fasse larguer de manière brutale. Cela ne l'affectait pas du tout, et sa relation avec Dolce avait déjà duré plus longtemps que sa moyenne habituelle qui se situait entre une et deux semaines. Il lui souriait cependant, l'air de rien, attendant sa réponse.
A la question de savoir si elle n'avait jamais même touché une cigarette, elle répondit simplement qu'elle voulait commencer maintenant. Il retint un léger soupir. C'était sur lui que ça allait retomber. Il allait être l'homme mauvais, celui qui entraine l'autre dans la spirale tortueuse de la drogue. Mais c'était surement mieux que ce soit lui plutôt qu'un drogué dealer qui aurait profité d'elle pour se faire de l'argent facilement. Les non-initiés sont faibles face à de telles choses. La maîtrise vient avec le temps. Dolce aurait le temps d'apprendre à se maîtriser, puisqu'il serait la pour le faire pour elle. Ce ne serait pas simple, une droguée en manque n'étant pas quelqu'un de facile à brider, mais il ne pouvait pas se défiler. Elle lui faisait confiance.
Il la laissa quitter ses bras et la regarda d'un air pensif alors qu'elle s'allongeait dans l'herbe. Dans quoi s'était-il embarqué? Dans le pire cauchemar qu'il n'avait jamais eu. Il avait l'impression d'être devenu l'homme qui l'avait détruit. Il savait qu'il ne lui ressemblait pas vraiment. Mais il ne pouvait s'empêcher de haïr l'image que cela lui donnait de lui-même. Il aurait bien sniffé une petite cuillère de sa poudre blanche qui faisait des effets merveilleux... Mais c'était hors de question. Cela aurait surement donné envie à son amie. Il supposa qu'il devrait prendre ses précautions avant d'être confronté à la demoiselle à l'avenir. Cela n'allait pas être facile d'être défoncé tout le temps en sa présence, surtout qu'ils partageaient le même appartement... Mais bon, il improviserait.
Elle l'allongea sur le dos sans qu'il ne résiste et lui piqua une cigarette. Il se retint de toute remarque. Il savoura légèrement le baiser qu'elle déposait sur ses lèvres et eut un léger soupir qu'on pouvait dire de satisfaction. A vrai dire, s'il n'était pas le genre de type très romantique, il aimait bien sa relation avec Dolce qui savait être calme des fois, quand avec les autres il n'était qu'un coureur de jupon impatient. Une relation posée n'était pas le genre de chose pour laquelle il aurait pensé être apte, mais de toute évidence, cela lui faisait du bien.
Alors qu'elle posait la tête sur son torse et le prévint qu'elle voulait lui dire quelque chose, il chipa la cigarette qu'elle avait dans la main et la porta à sa bouche. Récupérant le briquet qu'il avait dans la poche, il l'alluma et la tendit à la demoiselle. Elle pouvait commencer si elle le voulait à présent. De toute façon, la cigarette n'était pas une drogue très dure à supporter.
C'est toujours dégueulasse au début, mais on s'y habitue. C'est pour se donner un style plus qu'autre chose au départ. Moi, j'ai commencé parce que ça me relaxait. Ne t'attends pas à quelque chose de bon en tout cas.
Elle était prévenue. Il était vrai qu'il ne connaissait personne qui avait aimé sa première cigarette. Un goût acre, simplement désagréable. Décidément, cela n'avait rien d'encourageant. Pour un premier pas, cela pouvait même la dégouter de continuer dans ce chemin. Il était vrai que c'était un peu ce que Holocaust espérait, sans non plus se l'avouer. Si la demoiselle abandonnait l'idée de prendre des drogues, il n'aurait plus à avoir la pression sur ses épaules d'être son point d'attache. Il ne voulait pas se sentir trop responsable. Il était froussard peut-être... Il s'en fichait à vrai dire.
Alors, qu'est-ce que tu veux me dire?
Il l'avait interrompue aussi la relançait-il sur le sujet qu'elle voulait aborder et dont il ignorait totalement la nature. Le ton qu'elle avait employé l'inquiétait un peu. Il n'aimait pas les déclarations formelles auxquelles il ne savait jamais quoi répondre. Il espérait que ce ne soit rien de grave. Peut-être avait-elle juste l'intention de le larguer et trouvait l'occasion appropriée? Il en doutait, il ne voyait pas de raison à une telle chose mais ce n'était pas rare qu'il se fasse larguer de manière brutale. Cela ne l'affectait pas du tout, et sa relation avec Dolce avait déjà duré plus longtemps que sa moyenne habituelle qui se situait entre une et deux semaines. Il lui souriait cependant, l'air de rien, attendant sa réponse.
- InvitéInvité
Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Lun 30 Aoû 2010 - 15:58
Je souriais aussi, j’avais peut-être tord de me fixer des limites mais c’était pour le début après je les enlèverais surement. Les limites étaient un moyen de ne pas abuser de quelque chose en surdose et je savais que ce serait mon principal point faible, mais je savais qu’il m’éviterait de trop abuser de la drogue surtout que je n’étais qu’une débutante et encore je ne comptais pas commencer avec les drogues fortes directement. J’avais bien vue comment mon père avait fini à cause de cela et son image me trottait dans la tête me torturant l’esprit. J’avais entièrement confiance en Holo et je ne pouvais douter de lui, il serait là pour moi comme moi je serais là pour lui si jamais. Il avait une grande responsabilité et cela le faisait soupirer, non je ne voulais pas tester avec quelqu’un d’autre car Holo était un bon professeur pour m’entrainer dans la drogue comme il le faut. Il avait peut-être envie de toucher à la drogue mais n’osait surement pas devant moi, cela pourrais me faire plonger plus vite que prévue mais cela commençait à ne plus me faire peur vu qu’il était là au près de moi. J’avais toujours la cigarette en main et lui était toujours allongé sur l’herbe, le baiser échangé quelque peu avant avait l’air de lui avoir plu. A moi il m’avait plu, j’aimais cette relation à la fois sérieuse et libre que j’entretenais avec lui mais à forces, les sentiments c’étaient installés enlevant ma petite relation libre que j’avais dans la tête. Je posais ma tête sur son torse et il en profitait pour me chiper la cigarette et l’allumait. Il me la tendait parce que quelques minutes avant je lui avais fait comprendre que j’avais envie d’essayer maintenant. « C'est toujours dégueulasse au début, mais on s'y habitue. C'est pour se donner un style plus qu'autre chose au départ. Moi, j'ai commencé parce que ça me relaxait. Ne t'attends pas à quelque chose de bon en tout cas. » Je n’avais pas peur que le goût soit infecte, tout ce que je voulais c’était tester pour ne plus en avoir peur. « Pas grave, le goût n’est pas important. » Je mettais la cigarette à ma bouche et avalait une grande bouffée qui me fit tousser. « Effectivement ça n’a pas bon goût mais j’aime bien la sensation que ça procure. » Je prenais d’autres bouffées et plus j’en prenais moins je toussais et plus je me sentais à l’aise et bien avec. Puis peu à peu je me souvenais de ce que je voulais dire à Holocaust, d’ailleurs c’est lui qui me ramenait à cette idée. « Alors, qu'est-ce que tu veux me dire? » C’est vrai que la cigarette m’avais interrompue et du coup il relançait le sujet mais j’étais un peu peureuse sur l’idée qu’il n’accepte pas vraiment ce que je compte lui dire et que cela brise la relation qu’on partageait jusqu’à maintenant. Je soupirais et prenais une autre bouffée de cigarette, je me levais un peu de son torse pour le regarder dans les yeux, ses lèvres étaient près des miennes mais je n’osais bouger, je laissais passées quelques minutes en restant telle que j’étais avant de me décider à faire quelque chose. Je me remontais un peu sur son corps frottant par la même occasion ses deux derniers avant de l’embrassait à nouveau. Mais cette fois-ci le baiser qu’on échangeait fut plus sensuel, amoureux – venant de moi surtout – et dura plus longtemps, ses lèvres contres les miennes, son corps contre le mien, puis je m’enlevais de ses lèvres pour reprendre le sujet que je voulais aborder. Comment allait-il réagir face à ça, est-ce qu’il le prendrait bien ou mal ? Est-ce que suite à ça il m’abandonnerait pour garder son statut de coureur de jupon ? Ou allait-il dire oui et ressentir la même chose que moi ? Je ne savais pas et cela me faisait peur, surtout sa réponse, je connaissais déjà la mienne mais la sienne. Je me remontais dans l’herbe, allongée à ses côtés, me séparant de son corps et de la position que j’avais prise, ma tête sur son torse. Je soupirais légèrement et finissais ma cigarette avant d’entamer le long discours – enfin pas vraiment – qui allait changer ma vie, sois en un rêve doux sois en un cauchemar horrible. « Bien, Holocaust j’ai quelque chose à te dire et cela pourra surement te gêner ou encore te blesser mais je n’ai pas envie que tu souffres alors il faudra que dès que j’ai fini de parler, que tu prennes une décision définitive. » Cela me faisait mal au cœur, mon estomac se nouait dans tous les sens, oui j’avais peur, énormément peur, je ne savais pas quel serait sa réaction et c’est se qui me faisait le plus peur. Mais bon le sujet était lancé, il fallait le continuer. « Holocaust, je t’aime. Bon je sais que dis comme ça c’est stupide mais cela fais un moment que je m’attache à toi et j’essaie de m’accrocher, d’accord tu es un coureur de jupon mais mes sentiments sont arrivés et aujourd’hui je te le dis. Je t’aime. » Voila j’avais dit ce que j’avais à dire, des larmes s’échappaient de mes yeux, se laissant couler le long de mes joues, est-ce que la peur me faisait ça ? Oui surement, mais que voulez vous ? Quand on aime vraiment une personne et qu’on n’est pas sur des sentiments de l’autre personne et bien on réagit, chacun différemment certes mais moi cela me faisait pleurer.
- InvitéInvité
Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Mer 8 Sep 2010 - 1:10
Elle prit la cigarette qu'il lui avait tendue. Il espérait pourtant ne pas l'avoir forcée en la lui proposant ainsi. Evidemment, elle avait dit qu'elle voulait mais il existe souvent trop de différence entre ce qu'on dit et la réalité. Et il avait toujours peur de tout comprendre de travers. Avec ses préventions, il espérait lui offrir une porte de sortie si elle voulait faire marche arrière. Mais elle ne voulut pas. Elle précisa que le goût n'avait pas d'importance. Ce n'était pas tant la cigarette que l'expérience qu'elle voulait, il le sentait. Elle eut donc ce qu'elle recherchait, et avec la première clope vient la pire des toux. Elle toussa donc, et il ne put retenir un sourire amusé.
Elle confirma son appréciation sur le goût mais avoua apprécier l'effet procuré. Il la laissa donc continuer. Et peu à peu elle s'y habitua. Ils avaient le temps, elle pouvait savourer l'expérience puisque la clope ne pouvait l'être. Il souhaitait lui laisser tous le temps qu'elle voulait. Elle devait le savoir. Il n'était pas le genre de mec stressé qui courrait après le temps. Les choses venaient quand elles devaient venir et c'était très bien ainsi. Et la jeune Lufkin apprendrait à dominer les drogues en douceur et avec calme. Rien ne pressait. Il serait là pour mettre un frein. La précipitation entraine l'addiction. C'était du moins l'avis d'un garçon dont le plongeon dans la drogue avait été brutal, radical, et sans possibilité de faire demi-tour.
Elle ne répondit pas tout de suite à sa question quand il lui demandait ce qu'elle voulait lui dire. Il n'insista pas à vrai dire. Si elle ne voulait pas en reparler cela lui allait à merveille. Il avait vraiment peur des déclarations en tout genre qui le laissaient toujours muet. Il n'était pas quelqu'un de très sociable, il ne savait pas quoi redire aux annonces des autres. Dolce se fit légèrement entreprenante pour son plus grand plaisir et il lui rendit son langoureux baiser sans rechigner. C'était à vrai dire plus qu'agréable.
Elle finit cependant par s'allonger à côté du Wright et finir sa clope avec un soupire. Elle le prévint qu'il faudrait que dès qu'elle aurait finit de parler qu'il prenne une décision définitive. Il retint déjà un léger soupir. Elle allait lui imposer quelques conneries, quelques exigences pour que leur relation puisse continuer. c'était toujours le même refrain, même s'il avait cru pour une fois qu'il s'en sortirait sans avoir à renoncer à ses libertés. Mais non. Si elle avait croisé son regard à cet instant, elle aurait vu un Holo que peu de gens connaissent, toute malice et amusement ayant disparut de ses traits, son air s'était fait sombre.
Mais ce qui suivit lui ôta toute morosité pour ne lui laisser plus que la surprise. La surprise totale. Alors ça, on ne le lui avait jamais fait. Et s'il avait l'habitude de sortir les mêmes petites phrases gênées aux demoiselles qui exigeaient tout son temps et toute son affection, ici le cas se faisait plus complexe. Il resta un moment immobile à se demander d'abord s'il avait bien compris ce qu'elle venait de dire, puis il se redressa, assis dans l'herbe. Il se tourna vers elle pour voir les quelques larmes qui glissaient sur ses joues. Il eut un sourire gêné alors qu'il tentait de formuler une réponse.
Je ne peux pas te dire que je t'aime Dolce, ce serait te mentir et c'est la dernière chose que je souhaite te faire. Tu comptes énormément pour moi, je suis heureux en ta présence... Mais j'ai eu une histoire compliquée, et je ne peux plus être le même.
Il avait l'impression que ce qu'il racontait était le plus niais possible. Il avait l'impression que ça ne règlerait rien. Cela ne réconforterait pas son amie. Et il n'avait pas envie de parler de lui de toute façon. Il se mordilla un peu la lèvre et se pencha vers elle pour lui pique un rapide baiser sur les lèvres. Il se mit accroupit et sortit une cigarette de son paquet pour l'allumer à ses lèvres. Après une longue bouffée, il continua.
C'est dommage, j'étais bien avec toi. J'aurais aimé que ça dur... Désolé...
Il se leva alors après lui avoir adressé un léger sourire contrit. Il avait l'impression que sa présence ne pourrait que la gêner. Elle n'avait plus besoin de lui s'il ne pouvait pas l'aimer. Le meilleur moyen de se débarasser de ce sentiment était de voir disparaitre l'objet de l'affection. Aussi, si c'était ce qu'elle souhaitait, il disparaitrait de sa vie aussi longtemps qu'il serait nécessaire. Même si cela lui en coutait, la demoiselle passait avant ses considérations personnelles.
Elle confirma son appréciation sur le goût mais avoua apprécier l'effet procuré. Il la laissa donc continuer. Et peu à peu elle s'y habitua. Ils avaient le temps, elle pouvait savourer l'expérience puisque la clope ne pouvait l'être. Il souhaitait lui laisser tous le temps qu'elle voulait. Elle devait le savoir. Il n'était pas le genre de mec stressé qui courrait après le temps. Les choses venaient quand elles devaient venir et c'était très bien ainsi. Et la jeune Lufkin apprendrait à dominer les drogues en douceur et avec calme. Rien ne pressait. Il serait là pour mettre un frein. La précipitation entraine l'addiction. C'était du moins l'avis d'un garçon dont le plongeon dans la drogue avait été brutal, radical, et sans possibilité de faire demi-tour.
Elle ne répondit pas tout de suite à sa question quand il lui demandait ce qu'elle voulait lui dire. Il n'insista pas à vrai dire. Si elle ne voulait pas en reparler cela lui allait à merveille. Il avait vraiment peur des déclarations en tout genre qui le laissaient toujours muet. Il n'était pas quelqu'un de très sociable, il ne savait pas quoi redire aux annonces des autres. Dolce se fit légèrement entreprenante pour son plus grand plaisir et il lui rendit son langoureux baiser sans rechigner. C'était à vrai dire plus qu'agréable.
Elle finit cependant par s'allonger à côté du Wright et finir sa clope avec un soupire. Elle le prévint qu'il faudrait que dès qu'elle aurait finit de parler qu'il prenne une décision définitive. Il retint déjà un léger soupir. Elle allait lui imposer quelques conneries, quelques exigences pour que leur relation puisse continuer. c'était toujours le même refrain, même s'il avait cru pour une fois qu'il s'en sortirait sans avoir à renoncer à ses libertés. Mais non. Si elle avait croisé son regard à cet instant, elle aurait vu un Holo que peu de gens connaissent, toute malice et amusement ayant disparut de ses traits, son air s'était fait sombre.
Mais ce qui suivit lui ôta toute morosité pour ne lui laisser plus que la surprise. La surprise totale. Alors ça, on ne le lui avait jamais fait. Et s'il avait l'habitude de sortir les mêmes petites phrases gênées aux demoiselles qui exigeaient tout son temps et toute son affection, ici le cas se faisait plus complexe. Il resta un moment immobile à se demander d'abord s'il avait bien compris ce qu'elle venait de dire, puis il se redressa, assis dans l'herbe. Il se tourna vers elle pour voir les quelques larmes qui glissaient sur ses joues. Il eut un sourire gêné alors qu'il tentait de formuler une réponse.
Je ne peux pas te dire que je t'aime Dolce, ce serait te mentir et c'est la dernière chose que je souhaite te faire. Tu comptes énormément pour moi, je suis heureux en ta présence... Mais j'ai eu une histoire compliquée, et je ne peux plus être le même.
Il avait l'impression que ce qu'il racontait était le plus niais possible. Il avait l'impression que ça ne règlerait rien. Cela ne réconforterait pas son amie. Et il n'avait pas envie de parler de lui de toute façon. Il se mordilla un peu la lèvre et se pencha vers elle pour lui pique un rapide baiser sur les lèvres. Il se mit accroupit et sortit une cigarette de son paquet pour l'allumer à ses lèvres. Après une longue bouffée, il continua.
C'est dommage, j'étais bien avec toi. J'aurais aimé que ça dur... Désolé...
Il se leva alors après lui avoir adressé un léger sourire contrit. Il avait l'impression que sa présence ne pourrait que la gêner. Elle n'avait plus besoin de lui s'il ne pouvait pas l'aimer. Le meilleur moyen de se débarasser de ce sentiment était de voir disparaitre l'objet de l'affection. Aussi, si c'était ce qu'elle souhaitait, il disparaitrait de sa vie aussi longtemps qu'il serait nécessaire. Même si cela lui en coutait, la demoiselle passait avant ses considérations personnelles.
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Re: Un moment d'égarement [Holocaust]
Mar 14 Sep 2010 - 17:42
Holocaust avait l’air gêné, ma question l’avait plutôt perturbé et cela me semblait un peu mauvais signe, non je ne croyais pas au coup de foudre et encore moins au prince charmant mais j’avais confiance en mes sentiments pour lui. Les sentiments m’avaient toujours échappés, à vrai dire je n’avais jamais été amoureuse avant Holocaust, en quelque sorte c’était mon premier amour et mon premier baiser et cela faisait du bien de savoir que tout le monde à le droit d’aimer et d’avoir une première à tout. Cela ne pouvais être le pur hasard ou le destin mais autre chose comme un lien qui nous unis et qui nous dit qu’on était obligés de se rencontrer. La première fois qu’on c’est vu, c’était à notre appartement, oui on était en collocation, je le trouvais mignon et je pense que lui aussi puis on a discuté, et il m’a dit qu’il n’avait pas assez d’argent pour payer sa part du loyer alors je lui ai proposée et il a accepté et on a appris à se connaitre et puis on est sortis ensemble. C’était un bon souvenir mais je revenais à la réalité quand Holocaust prenait la parole. « Je ne peux pas te dire que je t'aime Dolce, ce serait te mentir et c'est la dernière chose que je souhaite te faire. Tu comptes énormément pour moi, je suis heureux en ta présence... Mais j'ai eu une histoire compliquée, et je ne peux plus être le même. » Cela pouvait faire mal, très mal, savoir que l’être qu’on aime ne ressent pas la même chose que nous, blesse notre cœur et le rend du coup plus distant. Je ne voulais pas que cela arrive avec Holocaust, je l’aimais et lui non certes mais cela ne m’empêcherais pas de garder la relation que j’avais avec lui. Les sentiments étaient là, oui mais il passait après, le bonheur du Wright était plus important que le mien et je ne souhaitais pas gâcher notre amitié à cause de l’amour que j’avais pour lui. Il déposait un rapide baisé sur mes lèvres et s’accroupit ensuite en sortant une cigarette. Je recevais une bouffée et essayais de la prendre, puis il continuait son dialogue qui me faisait mal mais qui me permettrais d’avancer. « C'est dommage, j'étais bien avec toi. J'aurais aimé que ça dur... Désolé... » Oui, il pensait que c’était fini mais notre amitié elle ne l’était pas. Peut être que notre histoire n’était pas faite pour que dedans il y ait de l’amour mais une simple amitié qui durerait un moment. Je le regardais dans les yeux, il m’adressait un léger sourire que je lui rendais tout simplement, mon regard était embué de larmes et n’avait plus que la tristesse pour me réfugier. De toute façon c’était ça ou la drogue, je préférais me réfugier dans quelque chose qui est normal, enfin qui fait partit de nous au lieu de me réfugier dans ce que tout les gens aiment et qui nous fait plonger au lieu de remonter et de nous améliorer la vie. « Une histoire compliquée ? Eh bien je pense pouvoir faire un sacrifice et me refuser d’aimer mais je ne veux pas te quitter, non car moi aussi je tiens à toi, moi aussi je suis bien en ta présence et te haïr juste parce que tu ne m’aimes pas sera là une chose stupide et immature. » Je ne voulais en dire plus, le fait de ne pas pouvoir aimer n’était pas gênant mais permettais de penser à autre chose et tant qu’Holocaust serait à mes côtés, je m’empêcherais de tomber dans la drogue. Je lui prenais la cigarette qu’il avait dans la bouche pour en prendre une bouffée et lui rendait par la suite « Cela est mal. » Mais qu'est-ce qu’y était mal ? Aimer un être plus que sois même ou fumer pour oublier le mal qu’on nous a fait et qu’on nous fera ? Je ne savais plus quelle direction prendre et où me placer, est-ce que je devrais tout arrêter et dire stop au verbe « aimer » ou arrêter de penser à moi et mes soucis idiots ? Je n’avais plus de points de repères, si Holocaust partait et sortait de ma vie, je ne serais plus qu’un tas de poussière dans lequel on donne un grand coup de pied et qui du coup s’éparpille partout et s’envole emporté par le vent je ne sais où. Mon père m’avait attiré et dégouté de la drogue mais en mon plus fort intérieur, il souhaitait que je fasse comme lui et qu’un jour je puisse dire « Oui je suis comme mon père, une simple dose de cocaïne qui à besoin de son ekstasy tous les soirs. » Non cela ne me correspondait pas ou peut être que si. « Holocaust, je crois que le mieux pour nous deux et de dire qu’on fait un break, surtout pour moi. Toi tu sais où tu en es, tu ne ressens rien mais moi je suis totalement perdue. Est-ce que je t’aime vraiment ou est-ce que je ne suis qu’avec toi par le simple fait que j’ai besoin d’être protégée de je ne sais quoi. Enfin je suis désolé si je t’ai fait souffrir et j’espère que tu ne m’en voudras pas. » Sur ces mots je me levais et partie m’accouder à la fontaine et dans un profond soupire, regardant mon reflet dans l’eau et les larmes coulaient le long de mes joues je lui adressé un au revoir « Au revoir Holocaust. » Sans même me tournais je partais dans la direction opposé à Holocaust pour ne pas voir son regard enfin pour que lui ne me voit pas dans cet état. Je marchais seule dans mes pensées, ne sachant si il allait me rejoindre et me dire de rester ou accepter ma décision. En tout cas selon sa réponse je pourrais peut être reprendre ma décision en considération et faire demi-tour…