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if today was your last day ? •• Camille
Lun 27 Sep 2010 - 22:46
LA VIE EST UN JOYEUX BORDEL …
« Nous n’avons plus rien à risquer … »
« Nous n’avons plus rien à risquer … »
Gianni Donovann Andrews, quel drôle de personnage, on dit souvent de lui qu’il est renfermé, froid et distant avec ses camarades, insociable dirait sa Psy à tendance destructrice et Junkie de bas étages … Correspond t’il à se portrait robot ? Gianni dirait que si tout le monde pense ainsi c’est que c’est surement le cas. Une tendance destructrice, qui se matérialise par une vie sexuelle dépravée et une consommation à outrance de substances illicites, mais pourquoi tout cela pour un jeune qui a tout, de l’argent à en perdre la tête, un physique pas trop grossier et une intelligence au dessus de la norme … Peut être pour la seule chose que recherche les jeunes personnes comme Gianni la reconnaissance de ses parents, mais pourquoi se faire subir autant de choses, alors qu’ils s’en fichent ? Car une fois plongé dans une spirale infernale, nous avons du mal à nous en relever, Gianni à du mal à sortir la tête de l’eau en se moment, à tout moment prêt à sombrer… Un jour ou l’autre il finira pas sombrer …
La vie continue encore et encore et chaque jour il faut se lever pour affronter ce monde qui s’offre à nous, mais la nuit, tout est tellement différent, la nuit vous connaissez cette heure entre deux heures et quatre heures du matin que tout vos sens sont en éveils et que chaque odeurs, bruits ou sensations vous fais frissonner, vous vous sentez tellement vivant, peut être plus que vous ne l’avez jamais été, Gianni aime se balader vers cette heure là car il se sent comme libéré et vivant.
Voilà donc Gianni dans les couloirs de Hung le couvre feu, dernier de ses soucis, il se baladait librement, bon ok il n’était peut être pas tout à fait net, il ne l’était même pas du tout à vrais dire il venait de sortir d’une espèce de fête étrange ou il avait but plus que la limite requise pour être joyeux, et il avait pris quelques pilules colorées … Il était stone, mais bien, une espèce de bien être intérieur qui le submergé un bien être éphémère mais nécessaire à sa survit… Il se baladait tranquillement fredonnant une chanson stupide dont les paroles lui étaient devenues très approximatives, mais il était seul, perdu dans Hung, seul mais il ne réfléchissait pas , planant complètement au dessus de ses pompes, ne se rendant même pas compte qu’il tournait en rond depuis une bonne demi- heure, foutus murs coulissants, ils n’ont que ça à faire de le faire tourner en rond …
La vie continue encore et encore et chaque jour il faut se lever pour affronter ce monde qui s’offre à nous, mais la nuit, tout est tellement différent, la nuit vous connaissez cette heure entre deux heures et quatre heures du matin que tout vos sens sont en éveils et que chaque odeurs, bruits ou sensations vous fais frissonner, vous vous sentez tellement vivant, peut être plus que vous ne l’avez jamais été, Gianni aime se balader vers cette heure là car il se sent comme libéré et vivant.
Voilà donc Gianni dans les couloirs de Hung le couvre feu, dernier de ses soucis, il se baladait librement, bon ok il n’était peut être pas tout à fait net, il ne l’était même pas du tout à vrais dire il venait de sortir d’une espèce de fête étrange ou il avait but plus que la limite requise pour être joyeux, et il avait pris quelques pilules colorées … Il était stone, mais bien, une espèce de bien être intérieur qui le submergé un bien être éphémère mais nécessaire à sa survit… Il se baladait tranquillement fredonnant une chanson stupide dont les paroles lui étaient devenues très approximatives, mais il était seul, perdu dans Hung, seul mais il ne réfléchissait pas , planant complètement au dessus de ses pompes, ne se rendant même pas compte qu’il tournait en rond depuis une bonne demi- heure, foutus murs coulissants, ils n’ont que ça à faire de le faire tourner en rond …
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Re: if today was your last day ? •• Camille
Mar 28 Sep 2010 - 16:06
Pour une fois, Camille n’avait pas passé la soirée à une fête. Elle s’accordait toujours une soirée tranquille pour récupérer. Même si apparemment une soirée était organisée, Camille n’était pas intéressée. Cela faisait du bien de temps en temps de ne rien faire, d’avoir le calme et le silence. Emmitouflée dans ses couettes, elle s’était posée avec une bière dans sa chambre. La belle vie en gros. Elle avait déjà fait la fête la veille et comme à son habitude avait raté les premiers cours de la matinée. Mais ce n’était pas elle qui allait essayer de les récupérer. Elle trouverait bien un larbin pour tout lui recopier et lui donner. C’était l’avantage de passer son temps aux fêtes, tout le monde finissait par vous connaître et ce sont souvent les fêtards qui sont considérés comme les leaders cachés des étudiants. Même si Camille s’en foutait éperdument, tant qu’elle avait son cours. Il commençait à se faire tard et la jeune femme eu envie de se griller une cigarette ou deux.
Enfilant le premier jean qui lui tombe sous la main et un pull trop grand pour elle, Camille cherche son paquet de cigarette qui est quelque part dans sa chambre, qui est un vrai bordel, il faut l’avouer. Une fois la petite chasse au trésor terminée, elle sort de sa chambre et du bâtiment sans se faire repérer. Le couvre-feu était déjà passé mais ce n’était pas la première fois qu’elle ne le respectait pas. Elle avait bien fait de mettre son pull, l’air frais lui fouetta le visage. Malgré le vent, elle n’eut aucun mal à allumer sa première cigarette, l’expérience sans doute la rendant presque pro dans cet art. Aah ça faisait du bien ! Quand c’est la première cigarette de la soirée, on l’apprécie pleinement et on la savoure. En plus, personne aux alentours pour déranger Camille. C’était calme et silencieux.
Au bout de deux cigarettes, elle se décida à rentrer, il faisait quand même froid. Elle n’était pas pressée et fit un petit tour dans Hungcalf. À cette heure-ci, tout le monde était dans sa chambre ou à faire la fête. Les salles de cours et les couloirs étaient vides et étrangement silencieux. Enfin vide en théorie. Dans les couloirs coulissants que Camille utilisait comme raccourci, elle vit un jeune homme qui n’avait plus l’air très net. Il semblait tourner en rond dans les couloirs. Camille eut un petit sourire en coin. Il avait l’air paumé le pauvre. Elle resta un instant les bras croisés à le regarder avant de décider de l’aider un peu. Ce n’est qu’en s’approchant qu’elle reconnut Gianni. Arrivant derrière lui, elle lui tapota l’épaule en souriant.
« Hey Gianni ! Tu veux de l’aide ? »
Elle connaissait Gianni depuis quelques années déjà, en général ils ne se voyaient qu’en soirée. Il devait être le seul homme de ses connaissances avec qui elle n’avait pas couché, pas qu’il soit repoussant non plus.
Enfilant le premier jean qui lui tombe sous la main et un pull trop grand pour elle, Camille cherche son paquet de cigarette qui est quelque part dans sa chambre, qui est un vrai bordel, il faut l’avouer. Une fois la petite chasse au trésor terminée, elle sort de sa chambre et du bâtiment sans se faire repérer. Le couvre-feu était déjà passé mais ce n’était pas la première fois qu’elle ne le respectait pas. Elle avait bien fait de mettre son pull, l’air frais lui fouetta le visage. Malgré le vent, elle n’eut aucun mal à allumer sa première cigarette, l’expérience sans doute la rendant presque pro dans cet art. Aah ça faisait du bien ! Quand c’est la première cigarette de la soirée, on l’apprécie pleinement et on la savoure. En plus, personne aux alentours pour déranger Camille. C’était calme et silencieux.
Au bout de deux cigarettes, elle se décida à rentrer, il faisait quand même froid. Elle n’était pas pressée et fit un petit tour dans Hungcalf. À cette heure-ci, tout le monde était dans sa chambre ou à faire la fête. Les salles de cours et les couloirs étaient vides et étrangement silencieux. Enfin vide en théorie. Dans les couloirs coulissants que Camille utilisait comme raccourci, elle vit un jeune homme qui n’avait plus l’air très net. Il semblait tourner en rond dans les couloirs. Camille eut un petit sourire en coin. Il avait l’air paumé le pauvre. Elle resta un instant les bras croisés à le regarder avant de décider de l’aider un peu. Ce n’est qu’en s’approchant qu’elle reconnut Gianni. Arrivant derrière lui, elle lui tapota l’épaule en souriant.
« Hey Gianni ! Tu veux de l’aide ? »
Elle connaissait Gianni depuis quelques années déjà, en général ils ne se voyaient qu’en soirée. Il devait être le seul homme de ses connaissances avec qui elle n’avait pas couché, pas qu’il soit repoussant non plus.
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