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EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:45
✤ Grymm Salut !!! Moi c'est Ezra Taylor Griffin , j'ai 22 ans , et je suis d'origine anglaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuel , mais aussi libertin et issu d'une famille sang-mêlée . A Hungcalf, j'ai choisi les cours de potions, d'histoire de la magie et de métamorphose, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en frêne, mesurant 29.5 centimètres et possédant un nerf de norvégien à crête et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme grizzly . avatar ... ? || icônes ... ? |
✎...SAM
Dans la vraie vie, j'ai tendance à m'attacher trop vite... Non, c'est pas ça que vous vouliez savoir? J'ai vingt ans dans la vrai vie . J'ai connu ce magnifique forum grâce à mon adorable colocataire, qui s'est récemment inscrit, que je remercie d'ailleurs puisqu'il me laisse squatter son ordinateur pour écrire ma fiche et qui m'aide à me démêler avec les codes, parce que je suis un pied en informatique. et je ferais de mon mieux pour être là environ 5 jours sur 7 Si j'ai un double compte? non. Un seul suffit . Mon personnage est le divin scénario de Riley . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que je parle beaucoup pour ne rien dire, je suis parfois insomniaque et j'ai une tendance à boire trop de café. . code règlement : SA04 |
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Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:45
- « M. Griffin, parlez-moi de votre enfance, de vos relations avec vos parents. » J’étais confortablement installé dans le bureau de mon psychiatre, sur cette chaise de velours. J’ai toujours été particulièrement septique face à ses visites chez ce docteur, mais le médecin m’avait assuré que ça me serait bénéfique. Je croisai les bras, je n’aimais pas l’idée de partager les tréfonds de mon enfance avec un pur inconnu, qui était d’ailleurs, un moldu. Alors, expliquer à ce psychiatre que ma mère était une sorcière, j’étais bon pour l’asile. Mes mains agrippant légèrement mes avant-bras, je me redresse légèrement sur ma chaise. « Je n’ai pas eu d’enfance. » Le psychiatre arque un sourcil intéressé et note quelques mots dans son carnet. « Pour quelles raisons, M. Griffin, croyez-vous ne pas avoir eu d’enfance? » Ma langue claqua légèrement contre mon palais au même moment où je resserrais l’étreinte de mes bras autour de moi. Je parlais peu, d’habitude, j’évitais les conversations avec les autres, sauf lorsqu’il s’agissait bien sûr de mettre une fille sous mes draps, alors là, j’utilisais tous les artifices possibles. « Je n’ai pas eu de père… » Je marque une pose, replaçant mes lunettes sur mon nez, fixant toujours le psychiatre d’un air septique. « Il est partit de la maison lorsque j’étais un gamin, alors j’ai du aider ma mère assez jeune. » Je n’étais pas une proie facile pour le psychanalyste. Je ne me confiais pas, j’étais un habile menteur et j’aimais tourner les situations à mon avantage, même si ce n’était qu’une séance avec un psychiatre. Lui, il aimait les informations que je lui exposais, il notait avidement tout ce que je lui disais. « Comment avez-vous vécu l’absence de modèle masculin dans votre enfance? » Un mince sourire se dessine sur mes lèvres. « Puis-je fumer? » Il se fige pendant un instant, confus par ma requête. « Si vous voulez M. Griffin. » Alors que j’apporte à mes lèvres une cigarette roulée d’avance, le psychiatre réitère sa question. « Comment avez-vous vécu l’absence de votre père? » Je tire quelques fois sur ma cigarette avant daigner lui offrir une réponse. « Je vous ai dit, je n’ai pas eu d’enfance. Dans les circonstances, je crois que je m’en suis bien sortit. » C’était totalement faux. J’avais maudit mon père, j’avais maudit ma mère. Mon enfance, elle avait été forgée sur le vide, j’avais construit les bases de ma vie sur du néant, alors il n’était pas étrange de faire la liaison entre mon enfance et mon comportement actuel. Je n’avais pas besoin d’un psychiatre pour comprendre que le vide laissé par mon paternel avait eu un effet considérable sur ma vie. Son absence avait eu un impact important sur ma relation avec ma mère. Femme que je méprisais et que j’aimais inconditionnellement. « Et votre relation avec votre mère? » Je tire à nouveau sur ma cigarette, n’aimant pas la tournure de la discussion. « Cordiale. On s’envoie des cartes pour Noël et Pâques. » Est-ce que je réalisais à quel point je détruisais ma mère en ne lui donnant jamais de nouvelle depuis mon départ de l’Angleterre? Oui, c’était mon objectif. J’avais détesté le fait qu’elle s’accouple avec cet homme. Qu’elle créée cette famille qui n’était pas la mienne. Alors oui, je voulais lui faire payer. C’était moi l’homme de la maison, depuis mon enfance, personne n’allait prendre ma place. « M. Griffin, pour que ses séances fonctionnent, vous devez me faire confiance, des réponses aussi évasives de votre part de nous aiderons pas. » J’écrase ma cigarette dans le cendrier posé sur la table basse. « Je crois que se sera tout pour aujourd’hui, à la semaine prochaine M. Kennedy. » Je me lève de la chaise, replace mon veston et toise le regard dépité du psychiatre. Je voulais toujours être en contrôle, être le plus malin, le plus vif et ses séances n’étaient qu’un exercice de style qu’on m’avait imposé suite à un séjour à l’hôpital causé par un accident de voiture. J’avais toujours été comme ça et je le serai toujours.
- « Ezra, tu viens à la fête ce soir? » « C’est moi qui l’organise » « J’ai entendu que Riley y serait. » Je lève mon regard vers la demoiselle qui s’adresse à moi. Si elle tente de s’attirer mes bonnes grâces en prononçant le nom de Riley, c’était raté, car elle n’obtiendrai de moi qu’un peu d’attention avant que, tel un requin, je dévore ma proie. Cette proie n’était nulle autre que ma douce et charmante Riley. Je la méprisais à un tel point, que c’était devenu malsain. Ma fascination pour elle était en train de me consumer à petit feu et je n’étais pas reconnu pour être patient. J’obtenais tout ce que je voulais, surtout lorsqu’il s’agissait des beaux yeux d’une élève. Elle était plus jeune que moi, d’un an. J’étais âgé de dix-huit ans et elle de quinze lorsque j’ai finalement assouvit cette obsession qui me rongeait. C’était durant les vacances d’été, de retour à la maison familiale que je n’arrivais plus à supporter, j’avais décidé de m’éclater un peu avant le retour à Hungcalf. La fête battait déjà de son plein lorsque je remontai en haut chercher d’autres bières. Je toisai Riley, seule, qui ne semblait pas vouloir s’intégrer à la fête. « Qu’est-ce que tu fais seule boucle d’or? La fête est en bas… » Je posai les bières vides sur la table, observant la délicate et naïve blonde. « J’évite les gens dans ton genre. » Je glissai une main dans la poche de mon jean pour sortir une cigarette que j’allumai nonchalamment. « Ne dis pas ça, tu m’adores! » j’étais prétentieux au point de croire mes propres affirmations. En effet, si elle m’avait vraiment détesté comme elle le prétendait, elle se serait débattue avec plus de conviction qu’elle ne l’avait pas lorsque je posai mes mains sur ses hanches. « Je te veux boucle d’or. Tu seras à moi ce soir. » Lui murmurais-je à l’oreille alors que mes mains se baladèrent avec plus d’assurance sur son corps frêle. Elle était à moi, et à personne d’autre. En cette nuit londonienne, je lui ai pris son corps et son âme, sans me soucier de la désolation que je laissais derrière moi. Je m’en foutais, tout ce que je voulais, c’était assouvir cette obsession. Je retournai à Poudlard, sachant que Riley ne contesterais pas mes actes, j’avais ce pouvoir sur elle. Et après avoir eu ce que je désirais, je me lassai de ma conquête durant un instant, ou du moins, je tentais de m’en convaincre.
Pardonnez-moi mon père parce que j’ai cédé à la tentation. Parce que j’ai brisé ma douce en mille morceaux, pardonnez-moi car je n’ai aucun regret. Je suis devenu une bête, un monstre rongé par l’avidité d’un corps qui m’était interdit. J’en avais pris possession, lors de cette nuit où j’avais glissé mes mains sur son squelette d’adolescente. Je n’en retire aucun remords, encore aujourd’hui je vis avec la certitude que ce n’était pas un viol, mais qu’au fond, elle le voulait bien… Elle faisait sa prude, mais elle le voulait bien. Elle voulait que je la torture, elle aimait ça. Il n’y avait ni bourreau, ni victime, seulement deux être condamnés à se torturer jusqu’à leurs morts. Oui, j’étais revenu à Poudlard la tête haute, fier comme pas un. J’avais poursuivis mes études sans réellement de soucier de l’impact de mon toucher sur son épiderme. Et comme la plupart de mes conquêtes, Riley devint rapidement lassante. Je l’avais tant désiré, tant haïs sa beauté, son sourire, elle m’était inaccessible et lorsque j’obtins finalement ce que je désirais, je croyais pouvoir m’en départir comme le reste de mes amantes. Il se révéla alors qu’il m’était incapable de me détacher d’elle. Ma petite poupée aux boucles dorées, elle était bien plus que toutes ses amantes sans nom. Elle était à moi, elle était mienne et il en serait toujours ainsi. Cette sensation devint étrangement pensante, presque insupportable.
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:46
- Alors j’avais fuis. Simplement. Incapable de vivre avec cette pression constante de la voire près de moi, d’avoir l’impression de m’attacher à la blonde alors que je me promettais de ne jamais tomber amoureux. J’étais incapable de supporter ma mère et l’amour qu’elle portait pour cet individu qui ne serait jamais mon père. Oui, je suis partit, laissant quelques mots griffonnés sur un bout de papier pour ma mère, ne laissant rien pour ma belle victime. Après tout, j’étais partit pour me convaincre qu’elle n’avait pas d’importance à mes yeux. Je ne souciais guère des pleurs que j’occasionnerai en quittant l’Angleterre, elle avait bien vécu avant moi, elle pourrait survivre sans moi. Tout aurait pu être différent si j’avais écris ses mots pour elle, si je lui avais partagé mon angoisse. Mais cette fusion m’avais toujours été bénéfique, jusqu’à maintenant. Cette relation était malsaine et ce que j’aimais de celle-ci, c’était devenu un cauchemar. Elle m’était fatale. C’était peu avant ma troisième année à l’université. J’avais déserté Hungcalf pour voyager dans les terres promises de l’Amérique. Je m’étais évadé dans la ville aux mille lumières qu’était New York. Là-bas, j’ai réussis à oublier son regard, à oublier la sensation de son épiderme sur mes doigts, la seule chose qui me restait en tête, la seule chose que je n’arrivais pas à oublier, c’était son parfum. Son odeur. Alors que je croisais une demoiselle dans la rue qui portait cette trace, mes plaies s’ouvraient à nouveau. J’avais mis la magie de côté durant un moment. Vivant comme le commun des mortels, avec un compte en banque qui me permettait ses écarts. Je parlais rarement à ma mère, de peur d’avoir à m’expliquer, de peur de rendre des comptes, mais surtout, de tomber sur la voix de Riley. Je m’éclatais à New York, profitant de chaque instant pour fêter jusqu’à ce que mort s’ensuive. J’ai rencontré de jolies demoiselles, baiser dans les toilettes d’un club, consommer diverses divines poudres blanches, mais rien n’arrivait à remplir le vide sidéral qui me rongeait. Si certain appelle cela le mal du pays, je qualifierais mon malaise du mal de l’être. Plus je cherchais à fuir, plus cette sensation pesante s’acharnait sur moi et plus l’envie de retourner à la maison se faisait pressante. Pourtant, ce ne fut que lors de mon accident que je compris réellement que ma place était là-bas. Lors d’une soirée toujours bien arrosée, mon amante avait prise le volant, accompagné d’un Ezra complètement défoncé. Nous n’avions pas vu le véhicule qui roulait en sens inverse et du peu que je me souvienne, je m’étais réveillé à l’hôpital général avec quelques blessures superficielles. Anna, elle, avait succombée à ses blessures, tout comme le conducteur du véhicule que nous avions percuté. J’avais demandé, j’avais insisté pour que l’on rentre à la maison, Anna n’était pas capable de conduire, je l’avais poussé à sa mort. Du regret? Non, simplement un constat. Je m’étais mis à consulter un psychiatre afin de régler mon soit disant trouble post traumatique, consultations auxquelles je mis rapidement fin, planifiant déjà mon retour à Norwich.
« Qui est donc cette femme qui te hante? » Je n’ai même pas la force de sourire, l’alcool s’évaporant de mes pores tels ma sueur, intrinsèque à mon individu, à ma survie. Certes, depuis mon exil en Amérique, j’avais développé un goût pour la boisson et je passais mes nuits à dévaster les bars à la recherche de ce parfum qui me torturait. « Je ne vois pas de quoi tu parles… » La femme me resservit un verre de vodka, alors que j’allumai ma cigarette d’une allumette. «[coolor=indianred] Habituellement, tu es beaucoup plus lascif et comme rien ne semble te préoccuper plus que la gente féminine, j’ai supposée que c’était le noyau de tes soucis.[/color] » « J’ai déjà un psychiatre Tara, tu peux garder tes suppositions pour toi. » J’avalai d’un coup le verre de vodka, sentant la chaleur parcourir mon intérieur. Salvation. Damnation. Ce vide toujours aussi présent dans mes veines. Ce vide que je voulais combler d’alcool et de pute de bas étage. « Serres m’en un autre. » Ordonnais-je avant d’apporter ma cigarette à mes lèvres rougies par le maquillage de la demoiselle. Elle s’exécuta. « Après toutes ses nuits, tu ne veux toujours pas me parler, c’est typiquement masculin, typiquement anglais aussi. » Je posai le verre vide sur la table basse qui nous séparait. Elle ne voulait pas entendre la vérité, elle ne voulait pas me connaitre. Tout ce qu’elle souhaitait, c’était que je la baise un bon coup et lui offre quelques lignes de cocaïne par la suite. « J’ai violé une fille. » Mon regard stoïque se posa sur l’air effaré de la belle. « Pas n’importe quelle fille et je ne ressens rien. Ni remord, ni dégout. Serre-moi un autre verre. » Sa main tremblante se posa sur la bouteille dont elle versa le contenu dans mon verre. « Tu veux la putain de vérité, la voilà. » Elle se sentait soudainement moins en sécurité, ses gestes devenant beaucoup nerveux. Je vidai mon verre et le reposa machinalement sur la table. Je me levai, laissant l’alcool m’envahir peu à peu, laissant l’alcool prendre le contrôle. Je m’approchai de son corps nerveux et posa mes mains lourdes sur ses épaules, resserrant mon emprise sur elle. Je me penche, murmures à son oreille ses mots violents. « Elles veulent toutes être elle, au fond, elles voudraient toutes que je leur accorde la même importance. La vérité, c’est que vous n’êtes que des putains. Je me fous bien de vous violer dans une ruelle miteuse… » Je sens son corps trembler sous ma poigne ferme. « La vérité, c’est que vous n’importez pas. Vous n’êtes que des pions, utile qu’à satisfaire mes envies. » Je me recule tranquillement, mes mains se baladant alors sur la poitrine de la demoiselle. « Satisfais-moi. » Elle ne refuse pas, elles ne refusent jamais à mes désirs. C’était ma dernière nuit à New York, j’avais pris la décision de retourner en Angleterre. Parce que ce sadisme me manquait, parce que la distance me tuait, parce que j’avais encore besoin de fuir. Parce que, sans le savoir, j’avais plus besoin d’elle que je le laissais prétendre. Parce que je devais m’autodétruire et dans ma perte, j’attirerai Riley avec moi.
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:47
GASPAAAARD :inlove: Raaah il est trop sexy ce type.
Bienvenue à toi, bon courage pour ta fiche
Bienvenue à toi, bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:48
Ah, Riley va être contente
et tu as un nom divin
Mais G. Ulliel est pas déja pris ?
et tu as un nom divin
Mais G. Ulliel est pas déja pris ?
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:49
JE VEUX TE FAIRE DES BEBES !!!! :baveuh: :cracrac:
*calmmmmmmmme :D*
Welcome beau gosse, un lien du tonnerre je veux
*calmmmmmmmme :D*
Welcome beau gosse, un lien du tonnerre je veux
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:49
OK, je veux re-changer de sexe et redevenir Solveig :inlove:
Bienvenue
Bienvenue
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:50
GASPARD. :baveuh: C'est un crime d'être aussi beau et de porter un aussi beau prénom
bienvenue parmi noouus (l)
bienvenue parmi noouus (l)
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:54
J'ai regardé dans le bottin et Gaspard n'apparait pas
Désolé les filles, je réserve les bébés à Riley
Merci pour l'accueil !! ( je ne sais pas si c'est Gaspard ou Ezra que l'on accueille )
Désolé les filles, je réserve les bébés à Riley
Merci pour l'accueil !! ( je ne sais pas si c'est Gaspard ou Ezra que l'on accueille )
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 14:54
Oh mon Ezra d'amour :brille:
Bienvenue officiellement ici, je vais bien m'occuper de toi, t'inquiètes (l)(l)
Et non, Gaspard est libre !
Bienvenue officiellement ici, je vais bien m'occuper de toi, t'inquiètes (l)(l)
Et non, Gaspard est libre !
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 15:08
Bienvenue parmi nous, Gaspard est juste divin (l) :brille:
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 15:17
Etant la meilleure amie de Riley, on se partage tout...Alors...Ezra...Viens voir tata Emy :inlove: :cracrac:
Bienvenue :D & bon courage pour ta fiche !
Bienvenue :D & bon courage pour ta fiche !
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 15:26
weelc :D
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 15:31
Welcome :lovers:
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 15:43
Merci à tous et à toutes
Emy; je suis aussi pour le partage J'ai assez d'égo pour fournir la gente féminine d'Hungcalf
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Mer 5 Jan 2011 - 16:06
Comme je regrette de ne pas être une fille en ce moment...
bienvenue en tout cas (l) Début d'histoire magnifique, vivement la suite :baveuh:
bienvenue en tout cas (l) Début d'histoire magnifique, vivement la suite :baveuh:
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Jeu 6 Jan 2011 - 2:28
Alors voilà, j'ai terminé ma fiche. :buzz:
En espérant que ça plaise à la principale intéressée ainsi qu'à tout le monde
En espérant que ça plaise à la principale intéressée ainsi qu'à tout le monde
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Jeu 6 Jan 2011 - 2:47
J'adore :brille:
La seule chose qui cloche, et vraiment, c'est minime, c'est que Riley et Ezra ont 3 ans de différence, il avait donc 18 ans lorsqu'il la viola et il était rendu à Hungcalf et non à Poudlard ! Sinon, c'est parfait (l)(l)
Je te valide mon beau violeur :cracrac:
La seule chose qui cloche, et vraiment, c'est minime, c'est que Riley et Ezra ont 3 ans de différence, il avait donc 18 ans lorsqu'il la viola et il était rendu à Hungcalf et non à Poudlard ! Sinon, c'est parfait (l)(l)
Je te valide mon beau violeur :cracrac:
- InvitéInvité
Re: EZRA ― Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux.
Jeu 6 Jan 2011 - 2:48
Oui, je viens de voir ça, je vais corriger les incohérences :brille:
Merci divine victime (l) :inlove:
Merci divine victime (l) :inlove:
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