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MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 20:36
✤ correspondante étrangère Salut. Moi c'est Marie-Albane, Julie de Rochefort , j'ai vingt-deux ans, et je suis d'origine française . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis bisexuelle, mais aussi libertine et issu d'une famille de sorcier, par adoption. A Hungcalf, j'ai choisi botanique, astronomie et divination , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois d'If, contenant un crin de licorne et mesurant trente centimètres et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de faon. avatar AEROPLANE || icônes Envy |
- « (...) et comme cette absolution n’arrivait pas à temps, comme le temps lui était compté, elle l’appelait dans les méandres de son esprit. Elle réclamait la chaleur de sa peau, le contact persistant de ses lèvres contre les siennes, sa respiration hésitante dans sa nuque, le va et vient encessant entre ses reins. Et ne pouvant parler, ne pouvant dire quoi que se soit, elle se terrait dans son mutisme, écrivant de temps à autre un lettre sans que personne ne sache à qui elle était destinée. Elle comptait les secondes, les minutes, les heures qui la séparait de son destin. Combien de temps elle resta dans cette chambre, seule devant cette fenêtre. Puis un beau de jour de juillet, alors que le pêchers donnaient leurs premiers fruit, elle regarda cette horloge de bronze, et dans un énième souffle de vie, elle se tut à jamais. »
✎...RIVERSIDE/GINGERFOX
Dans la vraie vie, j'ai seize ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à mon cerveau et je ferais de mon mieux pour être là 7/7 Si j'ai un double compte? oui, devinez il commence par un Is... et se termine par un ...aac :huhu: . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à Emy ma femme. Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que que ce forum est une pure merveille, que sans lui le monde des forums HP serait bien morne. Que les admins sont des dieux. Que je viens de mater un épisode de Misfits et que j'adore. Que je suis allergique aux lactoses. Et que ma vie vous intéresse avouez-le.
code règlement :okbyalex |
icônes by Misery Angel
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Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 20:46
ACTE PREMIER
D’aussi loin que je puisse me souvenir, l’orphelinat de Mogolino était le bâtiment le plus vétuste qu’il puisse exister. Nous n’étions que six enfants ou sept, je ne me souviens plus. Tous entassé dans la même pièce, sans fenêtre, avec pour seule distraction des vieux jouets mâchés, usés, abandonnés comme nous. Ma mère m’a abandonné lorsque je n’avais que quelques lunes disait la vieille Anouchka. Et qu’il avait fallut qu’on m’achète une chèvre, ce qui était un bien rare à Mogolino. Même si à peu près tous les biens étaient rares là-bas. Tous sauf les enfants.
« Ne vous inquiétez pas pour la paperasse monsieur de Rochefort, venez donc voir votre fille elle est juste là. » et la porte s’ouvrit sur deux hommes. Inconnus. Je jouais alors avec une petite blonde, donc je ne me souviens plus le nom. Les hommes, ils venaient parfois voir nos gardiennes, plusieurs fois par semaine. Mais je n’en avais jamais vu de si près. Le plus petit agita le bras d’Anouchka, et lui dit dans un bulgare parfait qu’il venait de trouver quelqu’un pour Nastasia, Nastasia c’était moi. Le visage de la vieille bulgare passa de l’étonnement à la tristesse. Mais le petit homme ne s’en soucier pas, il lui demanda qui était Nastasia. Sans grande conviction elle me désignant du menton. J’eu un bref mouvement de recul. Mais il attrapa mon bras fin, et me posta devant l’autre homme. La seule chose dont je me souvienne était son chapeau. « Quel âge a-t-elle ? » dit-il au petit homme. « D’après les services de Mogolio, deux ans, mais peut être plus. Vous savez ici les enfants n’ont pas de certificat de naissance. » Et il ria, pendant que l’homme au chapeau me dévisageait grossièrement. « Etes-vous certain qu’elle soit une sorcière ? » je ne comprenais pas leur langue. Je tournais la tête vers Anouchka, elle avait la petite blonde dans ses bras. Et elle me disait de sourire. Alors je souris. « Absolument certain. Vous savez, ici en Bulgarie nous avons une très faible population magique, à part ses maudits dragons bien sûr. Mais cette jeune fille est issue du monde magique. Nos experts en sont certains. » Et il lui a offert son plus beau sourire lui aussi. J’arrêtais de sourire, ne pas comprendre de quoi ils parlaient tout en sachant qu’ils parlaient de moi m’irritait. Mais je me taisais. « Je vous crois sur parole. Je repars avec elle. Qu’elle soit devant ce bâtiment demain matin à huit heures. » Et le petit homme acquiesça en silence avant de faire sortir l’homme au chapeau. Et il ferma la porte derrière lui. Avant de se poster devant moi. Il me souriait toutes dents dehors. Ce genre de sourire on n’en voit pas souvent par ici. J’eu juste le temps de crier le nom d’Anouchka avant qu’il ne me pousse vers elle. Un geste d’une violence inouïe. J’étais par terre, mon genou saignait. Anouchka s’approcha lentement. « Скъпа, всичко е наред* » murmura t’elle dans un soupire. Mais je ne pleurais pas. Je continuais de fixer le petit homme. Qui lui, désormais m’ignorait. Il attrapa la vieille bulgare, et lui déclara plein d’entrain. « Той ще бъде готов утре сутринта в осем часа *» et la vieille fit simplement oui. Et petit homme sortit comme une bombe du bâtiment. Je regardais pleine d’appréhension Anouchka, qui paraissait beaucoup plus vieille d’un coup. Même si je n’avais que deux ans, même si je ne savais rien d’au-delà ses quatre murs, au fon de moi je savais que plus jamais je ne dormirais près de mon amie blonde. Plus jamais je n’irais voir ma petite chèvre dans le patio, plus jamais je n’embrasserais Anouchka. Mais j’étais trop jeune pour comprendre les subtilités du monde des adultes. Alors je me suis contentais de sourire, en enlaçant celle qui fut ma mère adoptive.
Le lendemain matin j’étais devant ce qui a été ma maison. Je portais un robe bleu pastel avec des sandales neuves, mes cheveux impeccablement lissés en queue de cheval haute, mais je ne souriais plus. Petit homme se trouvait à ma droite, je me souviens de son parfum. Il sentait l’herbe que je donnais parfois à la chèvre. Et à ma gauche une jeune gardienne d’enfant dont le nom m’est inconnue. Une machine arriva. Un bruit assourdissant. Je fermais les yeux. Et en les ouvrants, je le vis. L’homme au chapeau. Il n’adressa la parole à personne. Il m’embrassa la joue. Et en trente secondes j’étais dans cette machine noire. Une femme, blonde, avec une autre petite fille, blonde me dévisageait. Puis un autre homme m’adressa la parole en bulgare. En m’expliquant qu’elles étaient désormais ma sœur, ma mère et mon père. Je ne réagissais pas. Je ne comprenais pas. Au bout de quelques secondes, je me suis mise à pleurer. Sans pouvoir m’arrêter.
____
« * Chérie, tout va bien. »
« * Qu’elle soit prête à huit heure demain matin »
« Ne vous inquiétez pas pour la paperasse monsieur de Rochefort, venez donc voir votre fille elle est juste là. » et la porte s’ouvrit sur deux hommes. Inconnus. Je jouais alors avec une petite blonde, donc je ne me souviens plus le nom. Les hommes, ils venaient parfois voir nos gardiennes, plusieurs fois par semaine. Mais je n’en avais jamais vu de si près. Le plus petit agita le bras d’Anouchka, et lui dit dans un bulgare parfait qu’il venait de trouver quelqu’un pour Nastasia, Nastasia c’était moi. Le visage de la vieille bulgare passa de l’étonnement à la tristesse. Mais le petit homme ne s’en soucier pas, il lui demanda qui était Nastasia. Sans grande conviction elle me désignant du menton. J’eu un bref mouvement de recul. Mais il attrapa mon bras fin, et me posta devant l’autre homme. La seule chose dont je me souvienne était son chapeau. « Quel âge a-t-elle ? » dit-il au petit homme. « D’après les services de Mogolio, deux ans, mais peut être plus. Vous savez ici les enfants n’ont pas de certificat de naissance. » Et il ria, pendant que l’homme au chapeau me dévisageait grossièrement. « Etes-vous certain qu’elle soit une sorcière ? » je ne comprenais pas leur langue. Je tournais la tête vers Anouchka, elle avait la petite blonde dans ses bras. Et elle me disait de sourire. Alors je souris. « Absolument certain. Vous savez, ici en Bulgarie nous avons une très faible population magique, à part ses maudits dragons bien sûr. Mais cette jeune fille est issue du monde magique. Nos experts en sont certains. » Et il lui a offert son plus beau sourire lui aussi. J’arrêtais de sourire, ne pas comprendre de quoi ils parlaient tout en sachant qu’ils parlaient de moi m’irritait. Mais je me taisais. « Je vous crois sur parole. Je repars avec elle. Qu’elle soit devant ce bâtiment demain matin à huit heures. » Et le petit homme acquiesça en silence avant de faire sortir l’homme au chapeau. Et il ferma la porte derrière lui. Avant de se poster devant moi. Il me souriait toutes dents dehors. Ce genre de sourire on n’en voit pas souvent par ici. J’eu juste le temps de crier le nom d’Anouchka avant qu’il ne me pousse vers elle. Un geste d’une violence inouïe. J’étais par terre, mon genou saignait. Anouchka s’approcha lentement. « Скъпа, всичко е наред* » murmura t’elle dans un soupire. Mais je ne pleurais pas. Je continuais de fixer le petit homme. Qui lui, désormais m’ignorait. Il attrapa la vieille bulgare, et lui déclara plein d’entrain. « Той ще бъде готов утре сутринта в осем часа *» et la vieille fit simplement oui. Et petit homme sortit comme une bombe du bâtiment. Je regardais pleine d’appréhension Anouchka, qui paraissait beaucoup plus vieille d’un coup. Même si je n’avais que deux ans, même si je ne savais rien d’au-delà ses quatre murs, au fon de moi je savais que plus jamais je ne dormirais près de mon amie blonde. Plus jamais je n’irais voir ma petite chèvre dans le patio, plus jamais je n’embrasserais Anouchka. Mais j’étais trop jeune pour comprendre les subtilités du monde des adultes. Alors je me suis contentais de sourire, en enlaçant celle qui fut ma mère adoptive.
Le lendemain matin j’étais devant ce qui a été ma maison. Je portais un robe bleu pastel avec des sandales neuves, mes cheveux impeccablement lissés en queue de cheval haute, mais je ne souriais plus. Petit homme se trouvait à ma droite, je me souviens de son parfum. Il sentait l’herbe que je donnais parfois à la chèvre. Et à ma gauche une jeune gardienne d’enfant dont le nom m’est inconnue. Une machine arriva. Un bruit assourdissant. Je fermais les yeux. Et en les ouvrants, je le vis. L’homme au chapeau. Il n’adressa la parole à personne. Il m’embrassa la joue. Et en trente secondes j’étais dans cette machine noire. Une femme, blonde, avec une autre petite fille, blonde me dévisageait. Puis un autre homme m’adressa la parole en bulgare. En m’expliquant qu’elles étaient désormais ma sœur, ma mère et mon père. Je ne réagissais pas. Je ne comprenais pas. Au bout de quelques secondes, je me suis mise à pleurer. Sans pouvoir m’arrêter.
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« * Chérie, tout va bien. »
« * Qu’elle soit prête à huit heure demain matin »
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Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 20:46
ACTE SECOND
- Je marchais dans le noir, entre les branches basses des pommiers. Je fis le tour de la maison, dont les portes avaient été laissées grandes ouvertes, et où tout le monde, jusqu’au dernier des employés, jouissait d’une oisiveté accordée pour la journée seulement. Dans les pièces sur les carrelages brillants s’allongeait les rayons lumineux du soleil. Le salon, où la brise murmurait des chansons, paraissait vide et abandonné depuis mille ans. Je gravis les marches, je posais la main sur le fauteuil de père. Un siège comme tant d’autres, peut être moins confortables que beaucoup. Réceptacle vide d’un pouvoir inutile. Je traversais cette pièce, et m’effrayais soudain de ma solitude. Pourtant l’idée m’écœurait de retraverser le jardin pour aller reprendre ma place près d’Isaure et d’Hector. Je quittais la maison pour le jardin. Au loin, les chevaux laissés seuls hennissaient tranquillement dans l’ombre parfumée de l’été. Je soulevais ma robe pour ne pas la souiller dans l’herbe du pré. Main tendue, je m’approchais de la barrière en bois qui enfermait une jument blanche et son petit. La jument de ma mère pensais-je. Elle me laissa caresser sa tête, ses naseaux dilatés. Son nez était tendre, et sa peau rose s’apercevait sous le poil blanc. Elle secoua brusquement la tête, avant de partir au grand galop, aussitôt suivie par son petit. Je tendis l’oreille. « Tu fais quoi Marie ? » Tournant doucement la tête, j’aperçu l’ombre d’un jeune garçon. Hector. « Rien. » Ignorant ma réponse il s’approcha et s’assit à côté de moi. Il venait de fêter ses onze ans. Je n’en avais que dix. Ses cheveux blonds sentaient bon le jasmin, parfum dont mère abusait trop souvent. « Je n’aime pas les fêtes des adultes. » Comme un reflexe, je m’assis près de lui. « Je vais à Beauxbâtons en septembre. » Je le savais déjà. Père nous l’avait annoncé dans la soirée à ma sœur et moi. Le vent se leva, une légère brise secoua mes cheveux d’ébènes. Il ne souriait pas. Déviant de nouveau mon regard vers la jument, je remarquais qu’elle était de nouveau près de la barrière. L’encolure penchée dans notre direction. « Isaure a fait usage de magie hier. Pour la première fois. » Surprise. Je le regardais désormais. Il détourna le regard, et se dirigea vers la jument. « Elle est plus jeune que toi. Pourtant toi, rien. T’es peut être une cracmole. » J’encaissais. Avec un sourire. Plongeant ma main dans les plis de soie de ma robe. Regardant l’herbe. « Je suis normale Hector. » dis-je dans un souffle à peine audible. Il éclata de rire, ce qui effraya la jument. Elle repartit vers le fond de sa prairie. Elle pouvait s’enfuir, elle. Je ne bougerais pas. « Tu es loin d’être normale. D’abord, tu ne parles pas. C’est pas normal les gens qui ne parlent pas. » Je ne bougerais pas. Je me terrerais dans mon mutisme habituel. « Allez vient, ils nous attendent pour le gâteau. » Il attrapa mon bras, et me souleva vers le ciel. J’époussetais ma robe, désormais pleine de boue. Il me donna la main. Et nous étions en route.
☁ ☂ ☃ ☄
Ils eurent tôt fait d’oublier leur maudite sœur qui jamais ne quittait le jardin. Je passais des journées entières sous les pommiers, regardant galoper les chevaux, ou en lisant un quelconque roman. Je n’avais pour compagnie que mon chat, Hercule, qui ne parlait pas. A peine s’il respirait, des soupirs rapidement emportés par le vent. Une existence normale. La seule chose que je souhaitais ardemment. Le soleil se couchait, nous étions en automne. Hier, Hector partait. Père était à Paris, laissant ce vieux manoir breton à ma sœur, ma mère et moi-même. Le soleil se couchait, je devais rentrer. Ce que je fis sans tarder. Le vieux chat rouquin sur mes talons. La cheminée venait d’être allumée, pour la première fois de l’automne. Mère coiffait Isaure, en lui promettant les plus jolies robes, les plus jolis bijoux qu’elle puisse rêver. La raison, Isaure venait d’être promis au fils d’un de leur ami sorcier. Qui se trouvait être un de nos cousins germains. Elle n’avait que dix ans, comme moi. « Eh bien Marie. Tu n’as pas autre chose à faire que de nous fixer ainsi ? » Déclara ma mère avec tout le dédain dont elle était pourvu. Ce qui fit rire ma sœur. Je me contentais de baisser la tête. Honteuse. « Mère, tu ne penses pas qu’avec cette coiffure je ressemble à une de ces chanteuses moldus grossières ? » Mère reporta son attention sur les boucles blondes d’Isaure. « Mais non. Tu es la plus jolie jeune fille de dix ans que je connaisse. » Tête basse, je quittais la pièce pour monter dans ma chambre. Mon refuge. Je m’effondrais sur mon lit. Manquant d’écraser ce pauvre Hercule. Je bouillais littéralement. Je souffrais de cette ignorance. Elles ne m’écoutaient pas, elles ne m’entendaient pas, elles ne me parlaient même pas. Je n’avais jamais demandé à être adopté, mais comme père avait besoin de toutes les cartes possibles pour parvenir à ses fins. Quelle connerie. « Marie ? » Brusquement tirée de ma rêverie, je vis Isaure aux pieds de la porte. « Marie, ne le prend pas mal. T’es juste pas comme nous c’est tout. » Je ne lui répondis pas, de toute manière cette histoire se terminerait devant mère et à coup sûr je tiendrais le mauvais rôle. « Marie. Tu n’es pas normale. Tu devrais être reconnaissante envers nous. Nous t'avons sauvé. » Je la regardais d’un air ahuris, mes yeux sortis de leurs orbites, j’hallucinais ou alors elle était vraiment folle. « Tais-toi Isaure. Tais-toi. » Hurlais-je. Elle ouvra grand sa bouche, et ricana. « Tu n’es rien. Rien du tout. J'ai pas d'ordres à recevoir de toi. » Sans que je comprenne quoi que se soit, sans que je puisse dire quelque chose, sa robe s’embrasa. Littéralement. Des petites flammes rougeoyantes, je souriais, je me délectais de cette situation. Isaure hurlait, mère entra dans la chambre en courant avant de lancer un ‘aguamenti’ « Qui a fait ça ? » Hurla-t-elle à son tour. Fièrement je levais ma petite tête brune, plantant mon regard dans celui de ma mère. « Moi. » Elle s’avança, me gifla si fort que les larmes coulèrent toutes seules. Je gisais sur le sol, recroquevillée comme un petit chien sans défense. Sans pouvoir stopper ces larmes.
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Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 20:46
ACTE TROISIÈME
Je ne savais pas pourquoi ils voulaient m’infliger cela. J’ai quinze ans, et mon père pour la première fois m’emmène quelque part. Seuls. Père était un homme avide. Ce n’était pas perceptible, seulement après coup. Quand il pensait que personne ne le voyait, il promenait ses yeux brillants, puis les fixait sur une peinture, sur un bijou. Ou sur une personne. Il était ainsi, mon père : ce qu’il voulait il le prenait. Et il voulait tout. Il était ministre de la justice magique en France, il rêvait pourtant de devenir ministre. Nous étions à Paris, près de l’hôpital des sorciers. J’y étais déjà venu. Faire des tests il y a quelques temps. Il ne me tenait pas la main, je n’étais plus une petite fille. Il marchait à mes côtés, les traits durcis par un mécontentement apparent. Mais je ne lui dis rien. Nous sommes donc entrés dans cet hôpital par une simple porte, il était caché aux moldus par magie. Le bâtiment, était plus vaste que je n’imaginais. Je baladais mon regard de droite à gauche. Des personnes, mais pas les personnes que l’on voit dans les hôpitaux sorciers. Pour la première fois de ma vie, j’aperçus un gobelin parlant avec une fée. Plus loin, une licorne hennissait en me voyant passer. Mais où étions-nous donc ? Père, qui sans doute me trouvait trop lente attrapa ma main et me tirait avant. Il était énervé. Nous entrions dans un bureau. Avec en face de nous, un sorcier. « Monsieur de Rochefort je présume. Et se doit être la jolie Marie-Albane. Bienvenue au service des créatures magiques Mademoiselle. » Perplexe, j’hochais bêtement la tête vers mon père, qui ne retint plus sa colère. Il explosa. « Bon, trêve de politesse. Nous avons fait des tests, nous attendons les résultats ! » Hurla t’il. Je restais bouche bée. Jamais, non jamais mon père ne s’était énervé de la sorte. Je m’assis sur un des fauteuils, regardant mon père debout, à bout de nerf. « Monsieur de Rochefort. Nous savons les résultats. » Cette phrase calma mon père, qui vint s’assoir sur l’autre fauteuil. « Cher ami, votre fille est une vélane. Pourtant votre femme ne l’est pas ? C’est assez étrange quand même. » A ce moment là, je ne compris plus rien. Tout d’abord de quels tests ils parlaient ? Jamais je n’étais venu ici. Après je n’avais aucune idée de ce que pouvait être une vélane. Tournant la tête vers la fenêtre qui donnait dans le couloir, j’apercevais des gobelins, des fées, quelques sorciers, une sirène et des animagus. Etais-je devenu moi-même un monstre de foire ? Je ne comprenais vraiment plus rien. « Ma femme n’est pas sa mère. Nous l’avons adopté en Bulgarie. » Déclara t’il d’un ton plein de gravité. Le docteur, s’il le fut hocha simplement la tête. « Vous savez, ce genre de créature c’est assez rare d’en voir. Et puis, à part une très faible puissance magique, elle est comme à peu près tout les sorciers. » Mon père plongea sa main dans ses cheveux grisonnant. Puis il me regarda, d’un regard plein de dégoût. « Père, je... » « Tais-toi. » Et je me tus. Le docteur, écrivit quelque chose sur un papier et le tendit à mon père. Qui s’empressa de le ranger dans sa poche. « Quels sont les effets de cette maladie ? Existe-t-il un remède ? Comme pour les loups-garous par exemple. » Le docteur hocha négativement sa tête. « Ce n’est pas une maladie. Pour les effets, personne ne sait. Nous savons juste, que la voix des vélanes charment les hommes les plus réticents, et que leurs danses nous envoutent jusqu’à la mort. Enfin ce ne sont que des légendes vous savez. Rien de très scientifique là-dedans. » Donc j’étais une sorte de charmeuse d’homme ? J’étais en âge de comprendre. Mais la simple idée de pouvoir coucher avec n’importe simplement en lui poussant la chansonnette me dégouta. Et dégouta mon père, qui détourna son regard du mien. J’étais vraiment maudite. Je baissais la tête. « Bien. Merci docteur. » « Tout le plaisir était pour moi Monsieur de Rochefort. Mademoiselle. » Dit-il en ouvrant la porte de sortie. Je ne savais vraiment pas. J’étais dans le flou de plus total, mon cœur battait la chamade. Mon père avançait beaucoup plus vite que moi. Je ne voulais pas le rattraper, il était impulsif et nerveux. Mieux valait pour son monstre d’enfant de rester éloignée quelque temps. Effrayée. Je voyais tout autour de moi, ces créatures, ces choses que mère déclarait contre nature. Qu’elle n’hésiterait pas à exterminer. Je faisais partie d’eux, j’étais bel et bien comme eux. Un monstre.
« Je le savais ! » s’exclama Isaure pleine de fierté. Assise à côté d’Hector je n’osais bouger. Il tenait ma main, m’obligeant à affronter les regards de ma famille. « Isaure. Modère-toi. Ton père n’a pas terminé de parler. » Dit mère d’un ton neutre, quoique ferme. Isaure se rassit près de la cheminée. En me regardant avec son petit sourire, heureuse de me savoir malheureuse. « Quoiqu’il en soit, Marie-Albane est notre file devant le ministère, devant la loi. Nous sommes sa famille et nous agirons tel quel. » Que voulait-il dire par là ? Jamais, je ne m’étais sentie à l’aise avec eux, que se soit à Beauxbâtons ou bien à la maison. Jamais, ils ne s’étaient comportés comme une famille avec moi. Et maintenant, il fallait faire semblant. Voilà le plan de mon père. « Mais ce n’est même pas une sorcière. Elle va salir notre famille ! Et notre nom ! » Venimeuse. Mère acquiesça en silence. Je pleurais. De honte, je voulais partir, mais Hector serrait ma main de plus en plus fort. « Tu n’as pas honte de dire de telle conneries Isaure ?! Marie est notre sœur, nous nous devons de la soutenir et de l’aimer comme il se doit. » s’insurgea Hector. Pour toute réponse, Isaure ricana. « Tu crois que je ne sais pas cher frère que tu espionnes cette chère Marie lorsqu’elle dort. Que tu regardes à la porte chaque fois qu’elle se douche. Que tu la suis lorsqu’elle va lire dans les jardins. Mon frère, ce n’est pas un amour fraternel que tu portes à ta sœur, j’en suis certaine. » Un long silence suivit le monologue d’Isaure. Je retirais vivement ma main de celle d’Hector. Celui-ci en proie à un profond désarroi. Père et mère échangèrent un regard inquiet. Je crus même voir mère verser une larme. Je fixais Hector. « Hector. Dis-moi que ta sœur ment. Que tu aimes Marie d’un amour purement fraternel, que si tu la suis c’est juste pour la protéger et non pas pour... » Il n’eu pas le courage de terminer sa phrase. Hector se leva, les yeux embrumés. Je me suis levée à mon tour. Et je suis partie. Dans ma chambre. M’effondrant sur le lit, je me suis endormi. Et j’ai rêvé. Rêvé d’Hector.
♩ ✙ ✈ ✉
« Je le savais ! » s’exclama Isaure pleine de fierté. Assise à côté d’Hector je n’osais bouger. Il tenait ma main, m’obligeant à affronter les regards de ma famille. « Isaure. Modère-toi. Ton père n’a pas terminé de parler. » Dit mère d’un ton neutre, quoique ferme. Isaure se rassit près de la cheminée. En me regardant avec son petit sourire, heureuse de me savoir malheureuse. « Quoiqu’il en soit, Marie-Albane est notre file devant le ministère, devant la loi. Nous sommes sa famille et nous agirons tel quel. » Que voulait-il dire par là ? Jamais, je ne m’étais sentie à l’aise avec eux, que se soit à Beauxbâtons ou bien à la maison. Jamais, ils ne s’étaient comportés comme une famille avec moi. Et maintenant, il fallait faire semblant. Voilà le plan de mon père. « Mais ce n’est même pas une sorcière. Elle va salir notre famille ! Et notre nom ! » Venimeuse. Mère acquiesça en silence. Je pleurais. De honte, je voulais partir, mais Hector serrait ma main de plus en plus fort. « Tu n’as pas honte de dire de telle conneries Isaure ?! Marie est notre sœur, nous nous devons de la soutenir et de l’aimer comme il se doit. » s’insurgea Hector. Pour toute réponse, Isaure ricana. « Tu crois que je ne sais pas cher frère que tu espionnes cette chère Marie lorsqu’elle dort. Que tu regardes à la porte chaque fois qu’elle se douche. Que tu la suis lorsqu’elle va lire dans les jardins. Mon frère, ce n’est pas un amour fraternel que tu portes à ta sœur, j’en suis certaine. » Un long silence suivit le monologue d’Isaure. Je retirais vivement ma main de celle d’Hector. Celui-ci en proie à un profond désarroi. Père et mère échangèrent un regard inquiet. Je crus même voir mère verser une larme. Je fixais Hector. « Hector. Dis-moi que ta sœur ment. Que tu aimes Marie d’un amour purement fraternel, que si tu la suis c’est juste pour la protéger et non pas pour... » Il n’eu pas le courage de terminer sa phrase. Hector se leva, les yeux embrumés. Je me suis levée à mon tour. Et je suis partie. Dans ma chambre. M’effondrant sur le lit, je me suis endormi. Et j’ai rêvé. Rêvé d’Hector.
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Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 20:47
ACTE QUATRIÈME
« Je te trouve fanée. » « Je le suis » « Mais tu es toujours la plus belle » « Ca ne compte plus pour personne. Et surement pas pour moi. » « Pour moi oui. » Il prit ma main. Je l’observais, mince pâle dans sa main rugueuse. Au contact de sa peau je sentis un frisson me parcourir le corps. Il ne me serra pas les doigts. « Je suis sur le départ. Père préfère que je fasse mes études en Angleterre. En réalité il a trop honte de moi. Il croit que je suis fou. » Son regard était fixe, comme si dans l’attente de quelque chose. Comme s’il m’offrait la possibilité d’approuver ou de d’exprimer mon désaccord. De me taire ou de répondre que oui, notre père, avait raison. « Ils disent la même chose de moi. » Il sourit. « Raison pour laquelle nous n’aurions jamais du être frère et sœur. Un seul mot de ta part et nous transplanerons loin d’eux, loin de tout. » Je baissais les yeux. « Tu ne mérites pas ça. » Il riait. « La vérité, c’est que tu n’en as pas envie, Marie. Tu préfères te dessécher en te droguant et en pleurant cette vie qu’on t’a prit. » Mon regard se durci. « J’ai tort, peut être de regretter la vie ? » « Ne les laisse pas te détruire. » Ses yeux étaient plus forts que les miens, sa main sous mon menton me força à les regarder en face. « Tu es trop belle pour te flétrir. » J’écartais sa main. « Une marchandise, rien qu’une marchandise pour votre plaisir. Si j’étais une femme quelconque... » « Même si tu étais vêtue de guenilles, je serais venu te chercher. Même si tu avais cent ans. C’est ton esprit que j’aperçois, que je cherche Marie. Et c’est là que je vois encore briller une étincelle. Sans cette étincelle, toute ta beauté n’aurait aucune valeur pour moi. C’est pour elle que je suis là aujourd’hui : pour cette lueur, que je n’ai trouvais chez nulle autre femme. » Cette fois, je le regardai « Je suis de pierre Hector. » Il sourit. « Alors, tu ne laisseras jamais le feu s’éteindre. » Je laissais ses mots entrer en moi et briser ma fatigue, une couche après l’autre. Un esprit de feu. Puis à ma grande surprise, Hector attrapa une cigarette et en alluma le bout. « Raconte-moi ce qu’il s’est passé dans ta vie depuis mon départ ? » Je pris sa cigarette, l’emmena vers ma bouche. « Je crains qu’il n’y est rien de bien intéressant à raconter. » « Peut importe j’écouterais quand même. »
Avec l’aube vint la pluie, une pluie fine, légère, un nuage de pluie. L’air emplit la pièce lorsque j’ouvris les yeux. Appuyée sur mon coude, j’observais Hector couché dans mon lit comme un lion endormi. Les bras, les épaules à l’abandon. Sa peau claire. Ses cheveux châtain et court sur le coussin. Hector, Hector... Je murmurais son nom, et comme s’il pouvait m’entendre il s’ébroua. Un long frisson qui me parcourut du coup jusqu’au flanc, et que j’accueillis dans ma paume. Je m’étendis de nouveau près de lui, je caressais son dos entre les omoplates saillantes. Mon amour, chuchotais-je sans plus savoir à qui s’adressait ma prière. Le bruissement de la pluie derrière la fenêtre ressemblait à un voile qui retombe. Je me tournais pour le chercher des yeux et j’aperçus entre les arbres une ombre longue et vide. Mon amour, mon amour, appelais-je à mi-voix, mais l’ombre disparut. Je me recouchai en abandonnant la tête contre le dos d’Hector. Là je me sentais en lieu sûr. La pluie sur le toit comme une caresse. Je m’endormis. Il n’y eut pas de soleil pour m’indiquer l’heure à mon réveil, mais Hector, déjà habillé, me regardait assis près de la fenêtre. Ecartant le drap, je me dressais pour m’asseoir. Je n’avais pas envie de sourire. « Je pars aujourd’hui. » J’acquiesçais. « Quand ? » « Le temps de prévenir père. » « Je viendrais te dire au revoir. » Ses yeux avaient la couleur lointaine et profonde de la mousse en cette triste matinée. Le tonnerre, quelque part, déchira la robe légère du ciel. « Tu n’es pas obligée. » « Non. Mais j’y serais quand même. » Il se leva et vint s’asseoir au bord du lit. Mes yeux dans les siens qui à cette minute étaient presque bleus. Comme l’acier. J’aurais pu passer tout le temps qui me restait à le regarder ainsi, figée, les bras sur les genoux. Il semblait avoir quelque chose à me dire, pourtant il se tut. Il tendit la main et fit courir sur ma joue le bout de son doigt. Puis il se pencha en avant. Tout en le regardant j’attendis son baiser. Mais il ne vint pas. Demeura entre nous cet espace vide. Il se leva et partit.
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Avec l’aube vint la pluie, une pluie fine, légère, un nuage de pluie. L’air emplit la pièce lorsque j’ouvris les yeux. Appuyée sur mon coude, j’observais Hector couché dans mon lit comme un lion endormi. Les bras, les épaules à l’abandon. Sa peau claire. Ses cheveux châtain et court sur le coussin. Hector, Hector... Je murmurais son nom, et comme s’il pouvait m’entendre il s’ébroua. Un long frisson qui me parcourut du coup jusqu’au flanc, et que j’accueillis dans ma paume. Je m’étendis de nouveau près de lui, je caressais son dos entre les omoplates saillantes. Mon amour, chuchotais-je sans plus savoir à qui s’adressait ma prière. Le bruissement de la pluie derrière la fenêtre ressemblait à un voile qui retombe. Je me tournais pour le chercher des yeux et j’aperçus entre les arbres une ombre longue et vide. Mon amour, mon amour, appelais-je à mi-voix, mais l’ombre disparut. Je me recouchai en abandonnant la tête contre le dos d’Hector. Là je me sentais en lieu sûr. La pluie sur le toit comme une caresse. Je m’endormis. Il n’y eut pas de soleil pour m’indiquer l’heure à mon réveil, mais Hector, déjà habillé, me regardait assis près de la fenêtre. Ecartant le drap, je me dressais pour m’asseoir. Je n’avais pas envie de sourire. « Je pars aujourd’hui. » J’acquiesçais. « Quand ? » « Le temps de prévenir père. » « Je viendrais te dire au revoir. » Ses yeux avaient la couleur lointaine et profonde de la mousse en cette triste matinée. Le tonnerre, quelque part, déchira la robe légère du ciel. « Tu n’es pas obligée. » « Non. Mais j’y serais quand même. » Il se leva et vint s’asseoir au bord du lit. Mes yeux dans les siens qui à cette minute étaient presque bleus. Comme l’acier. J’aurais pu passer tout le temps qui me restait à le regarder ainsi, figée, les bras sur les genoux. Il semblait avoir quelque chose à me dire, pourtant il se tut. Il tendit la main et fit courir sur ma joue le bout de son doigt. Puis il se pencha en avant. Tout en le regardant j’attendis son baiser. Mais il ne vint pas. Demeura entre nous cet espace vide. Il se leva et partit.
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 20:51
MONDIEUJ'AIFAITDESBETISES. :haaaaa:
supprimez mon premier post s'il vous plait
supprimez mon premier post s'il vous plait
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
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Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 20:54
Post supprimé !
RE-BIENVENUE ! :D (l)
Avec la divine taylor en plus :baveuh:
RE-BIENVENUE ! :D (l)
Avec la divine taylor en plus :baveuh:
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 20:57
Bienvenuue (l)
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 21:00
merci Alex (l)
et merci Popin. Moi aussi je l'aime.
et merci Popin. Moi aussi je l'aime.
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 21:05
Taylor :baveuh: miaam.
rebienvenue honey (l)
rebienvenue honey (l)
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 21:19
Merci mes agneaux. (l)
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 21:34
Bienvenue ;)
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 21:40
Merci beaucoup :brille: (l)
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 21:48
Rebienvenue mon mari
Par contre...comment ça tu pousses TOUT LE MONDE dans le placard ?! C'est juste toi et moi !! :snif:
Par contre...comment ça tu pousses TOUT LE MONDE dans le placard ?! C'est juste toi et moi !! :snif:
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 22:51
J'adore ton prénom :brille:
je vais attendre sagement que tu ais posté toute ton histoire pour la lire (l)
(re)welcome et bonne chance :D
je vais attendre sagement que tu ais posté toute ton histoire pour la lire (l)
(re)welcome et bonne chance :D
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Jeu 6 Jan 2011 - 23:09
- Albane c'est genre mon prénom préféré et en plus tu mets du Agnès Obél dans ta fiche :brille:
Seigneur dis moi qui tu es que je t'épouse sur le champs !
Bienvenue
EDIT : et comme en fait je suis une blonde refoulée (comme Quinnie :D) j'ai du mal à assembler le Is avec le aac. C'est très dur en fait ! Quoiqu'il en soit, Isaac, marry me
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Ven 7 Jan 2011 - 8:19
(re)Bienvenue :baveuh:
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Ven 7 Jan 2011 - 11:41
Bienvenue (l) (l)
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Ven 7 Jan 2011 - 17:58
Merci beaucoup, vous êtes des amours (l) :brille:
Arthé : Alors de un, Albane est un prénom magnifique. De deux Agnès Obèl est ma révélation 2010, je l'aime, elle a une voix extraordinaire, c'est une déesse, je l'aime, son album est une bombe et elle mérite qu'on lui sacrifie un poulet, ou même une ferme entière ! *baff*.
Et je savais que quelqu'un tomberai dans mon piège :huhu: , s'pèce de blonde :poke:
EDIT : EMYYYY , je n'avais point vu ton message. :huhu:. Et sous Albane j'ai le droit de pousser qui je veux dans le placard d'abord (a).
Arthé : Alors de un, Albane est un prénom magnifique. De deux Agnès Obèl est ma révélation 2010, je l'aime, elle a une voix extraordinaire, c'est une déesse, je l'aime, son album est une bombe et elle mérite qu'on lui sacrifie un poulet, ou même une ferme entière ! *baff*.
Et je savais que quelqu'un tomberai dans mon piège :huhu: , s'pèce de blonde :poke:
EDIT : EMYYYY , je n'avais point vu ton message. :huhu:. Et sous Albane j'ai le droit de pousser qui je veux dans le placard d'abord (a).
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Ven 7 Jan 2011 - 18:04
Re-bienvenue jumelle :hysteric: :lechouille: (l)
Taylor + Albane + Agnès Obèl :baveuh:
tellement excellent :brille:
Taylor + Albane + Agnès Obèl :baveuh:
tellement excellent :brille:
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Ven 7 Jan 2011 - 18:05
Ma jumelle :brille:
Merci ma chérie. J'ai d'autres musiques en stocks qui devrait te plaire (a)
Merci ma chérie. J'ai d'autres musiques en stocks qui devrait te plaire (a)
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Ven 7 Jan 2011 - 18:41
cool, hâte de voir ça
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Sam 8 Jan 2011 - 12:01
Re-Bienvenue :haaaaa:
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Sam 8 Jan 2011 - 14:46
TAYLOOOOR :hysteric: vient par là :cracrac: *l'attire avec des pin's * re bienvenue
- InvitéInvité
Re: MARIE ☍ sarcasm is a body's natural defense against stupid.
Sam 8 Jan 2011 - 15:23
Pourquoi les noms composés avec les Marie vous font tous délirer ? (a)
Re bienvenue petit trésor :cracrac:
Re bienvenue petit trésor :cracrac:
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