- InvitéInvité
✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:37
✤ lufkin. Salut !!! Moi c'est Octhave Hortense Redfield, j'ai actuellement dix neuf années au compteur, et je suis d'origine purement britannique si on en croit les dires des anciens de ma famille mais la donne à changée puisque ma génitrice est écossaise. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuelle , mais aussi en couple renforcé avec le célibat et donc la douce solitude et issu d'une famille de sorciers. A Hungcalf, j'ai choisi la métamorphose et l'études des runes , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette forgée dans du bois d'ébène. Elle mesure trente centimètres et contient une plume de gryffon et avec, je suis capable de réaliser un patronus prenant la forme d'un renard. avatar psychozee |
- Spoiler:
- ✎ blue bird.Dans la vraie vie, j'ai la majorité plus deux :D . J'ai connu ce magnifique forum grâce à bazzart mais aussi par rapport au fait que j'étais sur l'ancienne version (: et je ferais de mon mieux pour être là 4/ 7 ! Si j'ai un double compte? non du tout . Mon personnage est un perso inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que que vous gérer la fougère :Mister green: .
code règlement : OkByEmyicônes by .... ?
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:37
☆ goodbye & bang bang you're dead black bird.
❝Deux poids, deux mesures. Le monde à toujours - instinctivement parlant - fonctionné ainsi un peu comme la formation d’un puzzle que l’on assemble pièce après pièce. Tout se bouscule et tout change en une fraction de secondes, et parfois le temps nous importe beaucoup plus qu’on ne veut le prétendre. Avons-nous le sentiment exact et véridique de la sagesse ? Sommes-nous véritablement les beaux agneaux égarés que décrivent les hommes de prière dans les Evangiles ? Sommes nous réellement le pêché même d’une erreur ou d’un caprice ? Le problème propre c’est que nous demeurons nous même des envies, des caprices à deux sous l’un, des rêves et de banales euphémismes de passage. Poussière et nous redeviendrons poussière ? Des étoiles mortes qui scintillent de toutes leurs luminescences au possible ? Des entités qui erreront en fantômes perdus dans les couloirs de l’anti chambre de la mort ? Toutes ces visions sont grotesques et pénibles. La source de ma pensée me conduit tout droit vers la déchéance illusoire de mes rêves, que je voile par cauchemars. Et ces derniers m’accablent, un à un, pas après pas, jour après jour, nuit après nuit. Affublé de meurtrissures, de doutes, de craintes, et de tristesses à toujours été le centre de la cadence humaine et nous demeurons au fond de nous, tous les mêmes. Mes angoisses ne se lisent guère, dépourvus de toutes matières en termes d‘expressions. La vie est courte et contraire à l’intrigue du long fleuve tranquille, rien n’est rose et rien n’est beau. Certains vous diront avec conviction que l’existence est la plus lassante des histoires humaines, d’autres vous certifierons sur la réalité de « Dieu », que la vie est bénit dès votre naissance des bienfaits éternels ; tandis que les autres errent en silence, en frivolités, en ambiances et en caprices dans leur vie unique. Cependant sur le chemin du cycle existentiel nous sommes pareils - ou presque -. Une généralité ne banalise pas pour autant un cas, et un cas ne généralise pas forcement une généralité. Le cas d’un être sauvage pourrait certainement vous montrez combien la mélancolie de mon existence est impossible à saisir à l’œil nu. Versatile, voila un terme qui relève du challenge pour me comprendre, me cerner et m’attraper comme de la poussière de cendres. Des cendres qui s’envolent au rythme effréné du silence naturel, à la danse virevoltante d’un spleen lyrique de Baudelaire, une mélodie doucereuse à votre oreille et qui vous emporte dans un tout autre imaginaire illusoire ! Celui de la fatalité et de l’adversité. Une adrénaline que j’envie particulièrement pour sa fraicheur de l’inconnue et son aventure non éditée d’un futur tout tracé. La lune d’un jaune mielleux pointe le bout de son apogée en cette nuit de novembre. Une soirée fragile et glaciale où la voix fébrile et pleurante de la figure maternelle murmure mon prénom. Celui d’une des huit octaves ou tout bonnement celui d‘un spleen. Suis-je un ennui profond ? Ou bien juste une créature éphémère qui cherche une raison à son ennui d’origine ? « Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. ». Sa voix chétive et vulnérable me murmure encore à l’oreille ces quelques vers de l’Harmonie du Soir, mais voila un temps que j’occulte comme une valse hongroise à trois temps. Premier temps je me détache. Deuxième temps je m’éloigne de sa candide et néfaste personne. Troisième temps, je disparais et vogue vers le destin du hasard. Je me blesse, je me perds. Je surgis, je fonce. Et comme le disait si bien Brel, « L'aventure c'est le trésor que l'on découvre à chaque matin. ». Je suis un satellite en perdition, un satellite dont la simple énigme vous ferez perdre l’esprit puis la conscience. Une octave à huit temps qui cherche simplement à perdre le fil de son existence.❞
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:37
☆ Easy as a kiss we'll find an answer put all your fears back in the shade, don't become a ghost without no colour, cause you're the best paint life ever made.
Les rêves bordent nos sommeils comme la mer du nord borde les terres anciennes britanniques. Ils vous poursuivent durant toute la durée de votre existence, une existence que l’on ne choisit pas tous, même lorsque nous sommes enfants. Un terme censé révéler l’extrême innocence et ce dans sa plus grande et pure splendeur. Gamin, l’humain est certainement ce qu’il y a de plus appréciable, de plus vrai et de plus vivant. Il est le résultat d’une tendresse sans failles, ni mépris ; mais pour autant au fond de nous même, nous sommes tous désireux de grandir, de voler de nos propres ailes. Ne pas se morfondre dans la contemplation du jeu, dans l’habitude coutumière des limites, simplement grandir, s’épanouir puis vivre. Vous aurez toujours plusieurs choix. Certains préféreront se cantonner aux alentours d’une vie simpliste tirée par les ficelles de leurs caprices les plus improbables et les plus envieux, tandis que d’autres plus humble - voir complètement tourmentés et réalistes - se contenteront de poursuivre leur cycle de vie en focalisant leur esprit sur le souvenir. Un souvenir. Un nom. Un mot. Huit lettres. Une prononciation pour que tout et rien à la fois remonte en surface de notre conscience. Les vestiges du passé ne sont guère à négliger bien au contraire. Ils sont d’un grand pouvoir de guérison envers l’âme et d’un recourt jouissif pour aimer les anges qui ont consolidés notre chemin. Intrinsèquement l’imagination et le souvenir - en lui-même - sont liés. Bien sur, il en va toujours de soi tel un acte purement réel et véridique. L’imagination fructifie parfois le désir intérieur afin de faire une analepse dans l’antérieur et ce rien que pour ravir nos yeux de la vision d’un être cher ou bien encore pouvoir toucher de notre main la peau autrefois douce et parfumée de notre défunte mère. La puissance du monde illusoire demeure chimérique et éphémère mais tout à la fois, il a le pouvoir de charmer l’ouïe d‘une fillette de sept années.
Le vent se faisait sentir sur son visage de porcelaine, un visage que tout le monde pensait inhabité et vide. Assise sur un banc, les genoux figés contre elle, ses boucles d’un blond vénitien virevoltaient au gré de la brise tropicale d’un été beaucoup trop changeant. Ses perles intenses et claires toisaient au loin un horizon qui sans doute serait dépourvu de lendemain, comme le lui murmurait tendrement sa dépressive de mère. Octhave s’adonnait à sourire en pensant aux coups amers qu’elle avait su jouer à ses pauvres voisins d’habitations. Rien de tel qu’une mise en action emplit d’ironie et d’humour pour changer la facette de la vie facétieuse que lui faisait mener sa mère, ses proches, et tout un entourage qu’elle n’avait pas choisit, quand bien même sa sœur jumelle représentait une moitié d’elle inavouée. Compatible et incorrigible. Malicieuse et radieuse. Pénible et impassible. Il y avait toujours une divergence pour les rapprocher et une convergence pour les éloigner. Secouant la tête d’un geste nonchalant rien qu’en pensant à cela, la fillette se redressa face à l’appel soudain de la personne déchantée que symbolisait la mère du foyer Redfield. Elle soupira alors, et d’une marche pressée la gosse de sept années s’aventura dans le couloir primaire de la demeure de son enfance. « Octhave ! Octhave ? ». La voix fragile et faible de la jeune femme à l’allure maigrichonne se fit entendre dès lors dans le salon. Poussant la porte du salon aux teintes claires et vives, la blonde aux reflets dorés esquissa un mince sourire aux commissures de ses lèvres, afin de compenser le manque d’enthousiasme et d’espoir qu’accordait sa mère envers la vie. « Vous vous vouliez me voir maman ? ». « Oui, je voudrais que tu joues un air de musique au violon pour moi ? Tu penses pouvoir en jouer dans l’heure qui … ». La voix de sa tutrice se perdit dans un souffle, lorsqu’une porte claqua dans un bruit sourd. Tournant son visage vers l’entrée, la plus jeune des Redfield reconnu sans détour l’allure musclée et assurée de son paternel. Un silence de plomb s’installa alors au centre de la salle. Une sensation étrange qui donnait à la petiote un frisson dans le dos. Quelque chose allait il changer en ce jouer si tempéré ? « Ma chérie. Monte donc à l’étage rejoindre ta sœur, j’ai à discuter avec votre mère. ». La concernée jeta une brève œillade à la « Malheureuse », puis derechef pris la direction du première étage. Un à un elle montait les marches de l’escalier en bois, et à chaque fois une lourdeur tel un étouffement l’empêchait de laisser libre cour à sa conscience et à ses envies. Le colibri avait il besoin de changement dans son existence ? Elle n’en doutait pas une seule seconde ! La voix autoritaire et tonitruante du chef de famille accompagnée ses pas lorsqu’elle pénétra enfin dans la chambre solennelle de sa frangine. Ordonnée et dominante, voila comment Octhave dépeignait le monde propre d‘Ophélia. Une vision de la vie personnelle qu’elle ne comprendrait jamais ou bien qu’elle ne voulait guère connaitre. Trop encrée dans le quotidien de la mélancolie collective, son ainée de quelques minutes volait trop souvent au secours d’une mère assouvit au chagrin, une séparation invisible qui éloignait les deux gamines sans le savoir. « Ah te voila Octhave ! J’ai bien réfléchit à ton idée … Tu sais en ce qui concerne nos places ! Et je pense que si on nous confond on … ». Dos collé contre le mur de la chambre, la concernée avait le regard fixée droit devant elle. Les disputes entre les deux adultes du bas semblaient dégénérer à un stade dont elle n’avait plus l’habitude. Elle baissa la tête, et sentit quelques minutes plus tard les bras de sa sœur autour d’elle. « Nous serons toujours ensemble, n’est ce pas ? ». La révélation de cette phrase raisonnait enfin dans la conscience de la mystérieuse qui comprenait enfin le sens de son existence. Elle releva sa frimousse vers sa sœur et s’en détacha d’une manière tout a fait brutal. « On ne sera pas toujours l’une avec l’autre Ophélia. Nous sommes trop différentes pour cela, les moindres détails font de nous des âmes identitaires. Et c’est un fait que je ne veux pas. ». Ophélia observait sa jumelle d’un regard d’incompréhension totale, tandis que l’autre demeurait pour la toute première fois depuis des mois impassible et froide. « Pourquoi faut il toujours que tu agisses par envie Octhave ! Arrête ça maintenant ! ». Les cris mécontents de sa sœur la suivaient lorsqu’elle quitta la chambre pour s’enfermer dans la sienne. La porte se referma sans détour sur son ainée qui frappait sans cesse à la porte, alors que la musique- en provenance de la même chambre - se faisait entendre en tout irrespect. « Octhave ouvre cette porte ! ». Ces gestes ? La muse audacieuse n’en avait cure et sa colère prenait le dessus. Le mouvement colérique de sa conscience expirait enfin, et c’est dans un acte de vengeance qu’elle saisit la paire de ciseaux. Sa crinière d’un blond profond subit les frais de la lourdeur familiale. La musique raisonnait en fond sonore, tandis que les boucles soyeuses jonchaient une à une sur le planché de bois massif. Le petit ange regarda son reflet dans le miroir. Était-elle différente des autres membres de sa famille ? Rimait-elle avec le quotidien désastreux et maussade des autres ? Non. Elle finit par se rendre compte qu’elle avait toujours eu un grain de raison dans l’acte véridique. Seule, elle pourrait faire la rupture et c’est uniquement dans la solitude qu’elle ferait le chemin de son destin.
« Octhave ! Attention le cognard arrive droit dans ta direction ! ». L’avertissement hurlé de sa camarade, n’empêcha guère à la concernée d’avoir le bon reflexe et ce même au dernier moment. Elle envoya « valser sur les roses » l’une des plus mauvaises balles de Quidditch et regarda sa trajectoire quelques secondes. « Tu as vraiment de très bons reflexes Redfield ! C’est étonnant ! Vraiment ! ». La nommée secoua la tête d’un air amusé et répliqua. « Ne dis pas n’importe quoi Louise. Tout le monde aurait fait pareil. ». Sa voix se voulait lassante et gênée car rare était les fois où la facétieuse acceptait les moindres compliments même les plus sympathiques - ou tout le contraire -. « Le problème ma belle c’est que tu n’es pas tout le monde. ». Arquant un sourcil d’un air je m’en foutiste, la blonde esquissa un rire narquois à son interlocuteur masculin. « La différence entre tes dires et les miens Benjamin, c’est que les miens sont beaucoup plus réels que ta langue de serpent. ». Lui accordant un silence ironique maitrisé, la malicieuse joueuse quitta l’emplacement actuel pour rejoindre la terre ferme. Balai magique en main, elle marcha en direction de la sortie du terrain de Quidditch. « Elle est indomptable et incorrigible cette demoiselle, mais j’aime cela. ». La sang-pur se retourna une seconde et souffla dans un murmure. « Même pas en rêve mon grand ! ».
flash back.
Le vent se faisait sentir sur son visage de porcelaine, un visage que tout le monde pensait inhabité et vide. Assise sur un banc, les genoux figés contre elle, ses boucles d’un blond vénitien virevoltaient au gré de la brise tropicale d’un été beaucoup trop changeant. Ses perles intenses et claires toisaient au loin un horizon qui sans doute serait dépourvu de lendemain, comme le lui murmurait tendrement sa dépressive de mère. Octhave s’adonnait à sourire en pensant aux coups amers qu’elle avait su jouer à ses pauvres voisins d’habitations. Rien de tel qu’une mise en action emplit d’ironie et d’humour pour changer la facette de la vie facétieuse que lui faisait mener sa mère, ses proches, et tout un entourage qu’elle n’avait pas choisit, quand bien même sa sœur jumelle représentait une moitié d’elle inavouée. Compatible et incorrigible. Malicieuse et radieuse. Pénible et impassible. Il y avait toujours une divergence pour les rapprocher et une convergence pour les éloigner. Secouant la tête d’un geste nonchalant rien qu’en pensant à cela, la fillette se redressa face à l’appel soudain de la personne déchantée que symbolisait la mère du foyer Redfield. Elle soupira alors, et d’une marche pressée la gosse de sept années s’aventura dans le couloir primaire de la demeure de son enfance. « Octhave ! Octhave ? ». La voix fragile et faible de la jeune femme à l’allure maigrichonne se fit entendre dès lors dans le salon. Poussant la porte du salon aux teintes claires et vives, la blonde aux reflets dorés esquissa un mince sourire aux commissures de ses lèvres, afin de compenser le manque d’enthousiasme et d’espoir qu’accordait sa mère envers la vie. « Vous vous vouliez me voir maman ? ». « Oui, je voudrais que tu joues un air de musique au violon pour moi ? Tu penses pouvoir en jouer dans l’heure qui … ». La voix de sa tutrice se perdit dans un souffle, lorsqu’une porte claqua dans un bruit sourd. Tournant son visage vers l’entrée, la plus jeune des Redfield reconnu sans détour l’allure musclée et assurée de son paternel. Un silence de plomb s’installa alors au centre de la salle. Une sensation étrange qui donnait à la petiote un frisson dans le dos. Quelque chose allait il changer en ce jouer si tempéré ? « Ma chérie. Monte donc à l’étage rejoindre ta sœur, j’ai à discuter avec votre mère. ». La concernée jeta une brève œillade à la « Malheureuse », puis derechef pris la direction du première étage. Un à un elle montait les marches de l’escalier en bois, et à chaque fois une lourdeur tel un étouffement l’empêchait de laisser libre cour à sa conscience et à ses envies. Le colibri avait il besoin de changement dans son existence ? Elle n’en doutait pas une seule seconde ! La voix autoritaire et tonitruante du chef de famille accompagnée ses pas lorsqu’elle pénétra enfin dans la chambre solennelle de sa frangine. Ordonnée et dominante, voila comment Octhave dépeignait le monde propre d‘Ophélia. Une vision de la vie personnelle qu’elle ne comprendrait jamais ou bien qu’elle ne voulait guère connaitre. Trop encrée dans le quotidien de la mélancolie collective, son ainée de quelques minutes volait trop souvent au secours d’une mère assouvit au chagrin, une séparation invisible qui éloignait les deux gamines sans le savoir. « Ah te voila Octhave ! J’ai bien réfléchit à ton idée … Tu sais en ce qui concerne nos places ! Et je pense que si on nous confond on … ». Dos collé contre le mur de la chambre, la concernée avait le regard fixée droit devant elle. Les disputes entre les deux adultes du bas semblaient dégénérer à un stade dont elle n’avait plus l’habitude. Elle baissa la tête, et sentit quelques minutes plus tard les bras de sa sœur autour d’elle. « Nous serons toujours ensemble, n’est ce pas ? ». La révélation de cette phrase raisonnait enfin dans la conscience de la mystérieuse qui comprenait enfin le sens de son existence. Elle releva sa frimousse vers sa sœur et s’en détacha d’une manière tout a fait brutal. « On ne sera pas toujours l’une avec l’autre Ophélia. Nous sommes trop différentes pour cela, les moindres détails font de nous des âmes identitaires. Et c’est un fait que je ne veux pas. ». Ophélia observait sa jumelle d’un regard d’incompréhension totale, tandis que l’autre demeurait pour la toute première fois depuis des mois impassible et froide. « Pourquoi faut il toujours que tu agisses par envie Octhave ! Arrête ça maintenant ! ». Les cris mécontents de sa sœur la suivaient lorsqu’elle quitta la chambre pour s’enfermer dans la sienne. La porte se referma sans détour sur son ainée qui frappait sans cesse à la porte, alors que la musique- en provenance de la même chambre - se faisait entendre en tout irrespect. « Octhave ouvre cette porte ! ». Ces gestes ? La muse audacieuse n’en avait cure et sa colère prenait le dessus. Le mouvement colérique de sa conscience expirait enfin, et c’est dans un acte de vengeance qu’elle saisit la paire de ciseaux. Sa crinière d’un blond profond subit les frais de la lourdeur familiale. La musique raisonnait en fond sonore, tandis que les boucles soyeuses jonchaient une à une sur le planché de bois massif. Le petit ange regarda son reflet dans le miroir. Était-elle différente des autres membres de sa famille ? Rimait-elle avec le quotidien désastreux et maussade des autres ? Non. Elle finit par se rendre compte qu’elle avait toujours eu un grain de raison dans l’acte véridique. Seule, elle pourrait faire la rupture et c’est uniquement dans la solitude qu’elle ferait le chemin de son destin.
flash back end.
« Octhave ! Attention le cognard arrive droit dans ta direction ! ». L’avertissement hurlé de sa camarade, n’empêcha guère à la concernée d’avoir le bon reflexe et ce même au dernier moment. Elle envoya « valser sur les roses » l’une des plus mauvaises balles de Quidditch et regarda sa trajectoire quelques secondes. « Tu as vraiment de très bons reflexes Redfield ! C’est étonnant ! Vraiment ! ». La nommée secoua la tête d’un air amusé et répliqua. « Ne dis pas n’importe quoi Louise. Tout le monde aurait fait pareil. ». Sa voix se voulait lassante et gênée car rare était les fois où la facétieuse acceptait les moindres compliments même les plus sympathiques - ou tout le contraire -. « Le problème ma belle c’est que tu n’es pas tout le monde. ». Arquant un sourcil d’un air je m’en foutiste, la blonde esquissa un rire narquois à son interlocuteur masculin. « La différence entre tes dires et les miens Benjamin, c’est que les miens sont beaucoup plus réels que ta langue de serpent. ». Lui accordant un silence ironique maitrisé, la malicieuse joueuse quitta l’emplacement actuel pour rejoindre la terre ferme. Balai magique en main, elle marcha en direction de la sortie du terrain de Quidditch. « Elle est indomptable et incorrigible cette demoiselle, mais j’aime cela. ». La sang-pur se retourna une seconde et souffla dans un murmure. « Même pas en rêve mon grand ! ».
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:38
☆ I know you've suffered, but i don't want you to hide. It's cold and loveless i won't let you be denied. Soothing i'll make you feel pure, trust me you can be sure.
flash back.
Mort et vie. Vivre et puis mourir. Deux mots qui demeuraient à la fois les deux extrémités d’une vie humaine – généralement s’entend – mais aussi deux verbes aux mouvements perturbateurs qui régissaient sa propre existence. Une existence qu’elle ne voulait guère revendiquer et qu’elle ne chérissait pas particulièrement. La fatalité l’animait tellement parfois que cerner cette jeune femme revenait à attraper de la poussière, et attraper de la poussière c’est quasiment – ou presque – impossible. Etait elle chimérique pour les yeux de ses pairs ? N’avait elle aucunes intentions particulières, ou de qualités, pour ne dépeindre que sur son visage d’ange déchu une moue mystérieuse, froide et mélancolique. En réalité aucunes de ces interrogations ne pouvaient répondre à ses attentes. Tout se jouait et se retrouvait - parfois – dans le passé, un antérieur que l’on tente plus ou moins d’occulter pour laisser le temps agir en correcteur et consolateur de douleurs. On n’oubliait tellement la valeur du temps, qu’une fois trop effacé on omettait de mentionner les rencontres qui le constitue. Rien est bien pire que d’occulter son passé, cette vie qui autrefois faisait de vous un enfant, un innocent face à la dure réalité de la vie, un ange plein de grâce et volonté sans faille - ou presque -. La pluie glaciale d’un automne platonique venait marteler les malheureux carreaux d’une demeure qui l’indifférait plus qu’autres choses. Coudes juxtaposés sur le rebord de la fenêtre, l’air sortant de ses douces lèvres finit sa course sur la vitre délivrant dès lors un filet de buée. Cette dernière témoignait de la froideur de la pièce qui ne tarderait guère à s’intensifier. Tête posée sur ses avants bras, l’adolescente scrutait le ciel au plafond d’un bleu nuit étoilé et luminescent. Son visage aussi clair que la couleur de la lune, agissait de manière complémentaire à son expression qui pouvait semer le doute entre une mélancolie constante et un mystère inexpliqué. Patiemment elle tendait à éclairer le plus possible, le pourquoi du comment de ses nombreux maux. Alors que tout tourbillonnait dans son esprit, ce dernier fut remit sur le droit chemin par une voix suave et articulée qui la tira de sa songerie. « Te voilà de nouveau réveillée ? Tu ne veux pas revenir près de moi ?! ». Bien que son attention fut interrompu durant quelques minutes, Octhave repartit ni une ni deux dans ses réflexions coutumières, toujours ce silence lyrique accroché sur les lèvres. Feinter les individus, la muse en avait quelques peu l’habitude. En revanche le concerné n’appréciant guère son geste d’ignorance vint délicatement déposer ses mains robustes sur les frêles épaules de sa camarade. Sans crier gare, la Redfield poussa les mains de son interlocuteur en lui présentant un regard glacial et catégoriqueS’il y avait bien une chose contre laquelle la mystérieuse se rebellait c’était les rapports de force. Les relations humaines n’étaient pas dans les manches blanches de la douce, et la tendresse si précieuse qu’elle rejetait non plus. Pas la peine de tergiverser plus longtemps sur le sujet, car lui aussi attendait beaucoup plus de la sorcière. Pourtant elle avait été des plus honnête envers lui ; en lui affirmant qu’elle ne pouvait lui donner ce qu’il attendait de sa personne. En d’autres termes, le fait de l’aimer comme il l’adorait. Décidément autrui - tout confondu - se complaisait dans une illusion idyllique de l’existence humaine. Les hommes étaient tous naïfs, à croire que la vie leurs donnerait monts et merveilles. Secouant son visage de bohème d’un mouvement nonchalant et négatif, l’ange répliqua d’une intonation murmuré. « Il est tant pour toi de partir Amos. ». « Comment ça ?! Je croyais que tu n’étais pas sérieuse lorsque tu … ». Un souffle ironiquement cristallin mais masqué, se fit alors entendre de la part de la belle à la chevelure ondulée. « Irrévocable je le suis toujours. ». Sa voix de velours mais chuchotée se perdit dans un souffle lorsqu’elle se leva. Bouche bée face à la tournure actuelle de la situation, le pauvre malheureux suivit du regard l’Allure fataliste qui avait coupée court à son histoire romanesque, romantique. Vêtue d’une cape sombre, elle recouvra ses boucles vénitiennes d’un capuchon, et s’avança d’un pas assuré vers l’ancienne cheminée de brique qui ornait la pièce. Sur cette dernière reposait un pot en terre glaise dans lequel se trouvait la coutumière et inoubliable poudre de cheminette. Une fois la poudre en main, la sorcière rentra à l’intérieur de la cheminée, puis prononça fort et distinctement le lieu de sa prochaine destination. Elle esquissa un fin sourire de pardon à son « ami », avant de disparaitre dans les flammes aux couleurs verdoyantes.
flash back end.
« Je veux encore de toi. ». Le filé de fumée qui s’évaporait de sa cigarette vint doucement se coller à la vitre d’une chambre miteuse. Un vieil hôtel qui depuis de nombreuses semaines venait accueillir une jeune femme et un jeune homme qui à en juger par leurs apparences n’étaient guère issus de la même ascendance. Elle, dos calé contre l’encadrement de la fenêtre principale s’accommodait à fumer une énième cigarette. Le regard ballant et fixant la rue illuminée de réverbères, l’audacieuse muse s’adonnait à laisser ses nombreuses pensées vagabonder selon le bon vouloir de sa conscience. A ce moment précis plus rien ne lui accordait son attention, car seule l’envie d’errer en solitaire sciée à merveille à son caprice. Dès lors des mains vinrent frôler son nuque dénudée, et la sortit de sa songerie. Saisissant rapidement les mains du jeune inconnu à la voix inceste et tremblante, la blonde aux reflets de ]blé enleva ces dernières et répliqua d’une voix catégorique. « Ne vois pas au-delà de tes désirs. ». « Tu es a moi et je ne suis pas prêt à pouvoir te partager avec d’autres ! ». Tirant une dernière bouffée de nicotine de l’époque, la sorcière laissa filer entre ses doigts fins et blanc le mégot de cigarette par la fenêtre. Elle souffla alors tranquillement la fumée et posa son regard impassible sur celui avec qui elle venait de partageait son lit. Elle était imprévisible et indéchiffrable, certainement pour marquer son coté unilatérale de sa vie de pauvre humaine qui ne pouvait choisir ses choix. Une famille disloquée, l’avenir de non choix, avoir des ambitions qui n‘étaient guère les siennes, la misère actuelle n’épargnez personne que l’on demeure de sang pur ou de sang mêlé ou encore moldu, c’était du pareil au même. Un soufflement se fit entendre tel un réveil assourdissant en plein silence religieux dans une cathédrale. L’homme aux boucles d’ébène s’approcha de la mystérieuse tel un prédateur guettant sa proie, et tout cela pour venir coller ses lèvres sur celles tant désirées de la Redfield. Cette dernière sans crier gare le poussa sans retenu loin d‘elle. Elle aimait vivre sans rien penser - et pourtant - mais il y a bien une chose qu’elle haïssait c’était d’embrasser une homme. En dépit de ses agissements qui ne regardait qu‘elle, la volage réservait cet attrait à la personne qui ferait véritablement battre son cœur de pierre. Elle cachait beaucoup de qualités derrière ses défauts, mais rien ne fonctionnait comme elle s‘y attendait. En effet, tout son comportement emprunt d’un mystère extraordinaire ne faisait qu’attiser le regard de la gent masculine - alors que tout ce qu’elle attendait au fond d‘elle-même c’était la paix de la solitude. Courroucé par le comportement inattendu de sa partenaire, le sorcier s’indigna et réprimanda la belle. « Pourquoi me repousser ainsi ! Nous sommes … ». « Laisse tomber Elias, tu savais très bien à quoi tu t’engageais lorsque nous avons commencés. ». « Pourquoi tu ne veux pas laisser une personne entrer dans ton univers Redfield ! ». Se levant de son reposoir où un peu plus tôt elle avait pris soin de prendre une cigarette, l’héritière de la famille enfila sa veste d’hiver et sortit au travers du dehors brumeux et humide. La muse disparue alors dans la nuit noire et aux allures orageuses, d’une démarche nonchalante et observatrice. Levant alors son regard vers la lune , Octhave savait déjà que son existence était vouée à demeurer seule, tel oiseau migrant vers d’autres terres.☆ i drown myself in memories & it's just a game, a eternal game.
Si un jour nous promettons l’existence éternelle, elle serait la première à ne pas lever la main. Si le temps s’arrêtait pour renaitre et garantissait plus aucune souffrance, elle ne lèverait pas non plus la main. Et si un jour ses lèvres fines et angéliques dépeignaient un large sourire, alors le monde tournerait enfin de compte rond. La mort et la vie. Vivre ou mourir. Quel choix d’envergure avions nous présentement ? Quoi qu’il arrive dès qu’un humain vient au monde, il est déjà prédestiné à mourir et à disparaitre de la surface de la terre. L’abondance de terre n’était pas ce qu’il manquait sur les lieux de son enfance, et l’abondance de solitude quand à elle ne cessait de se poursuivre inlassablement. Installée derrière l’instrument à cordes frappées, la virtuose tendait à vouloir laisser son imagination la surprendre comme tant d’autres fois où elle espérait que le don illusoire et prémonitoire lui joue des tours. Des tours qu’elle n’appréciait pas particulièrement mais qui lui remémoraient des vestiges anciens auxquels elle accordait beaucoup d’importance. Patience pour patience, les heures défilaient tout doucement sans ressentiments différents. Le « tic » et le « tac » de l’horloge demeurait le seul bruit à entendre dans la demeure où elle avait passé toute son enfance. Un « mi » majeur. Un « do » mineur. Une partition de Mozart pour une attention qu’elle voulait au hasard. La patience se voulait vertu, mais rien ne vint satisfaire son attente. Secouant rapidement son visage angélique d’une manière tout à fait négative, Octhace se remit derechef à pratiquer une autre partition encore et encore. La chorégraphie que menait ses mains fines et blanches poursuivaient sans relâche les mêmes mouvements et ce à une rapidité de plus en plus accrue. Ses yeux se voilèrent alors sans crier gare d’un ton légèrement blanchâtre et ses doigts de musicienne cessèrent toute activité.
Plus rien. Vision plus ou moins nette d’une dune de sable aux couleurs chaudes d’un rayon de soleil. Un vent d’une finesse exagéré vint alors se jeter dans sa tignasse en bataille et elle continue de marcher encore et encore comme le « Petit Prince » de Saint Exupéry. Sans relâche et avec entêtement elle semble vouloir poursuivre sa route. Le plafond d’un bleu azur s’éclaircit dès lors davantage, et la soif parcours les recoins de ses lèvres qui demandent qu’un breuvage d’eau limpide et claire. Rien. Personne. La dune semble encore lointaine mais elle y parvient tout de même. A bout de force, à bout de souffle, à cours d’eau, elle se laisse glissait sur le par terre du sable chaud. Désormais assise, mains gisant sous les grains de sable, elle observe l’horizon et contemple ainsi tout le chemin déjà parcourus. Plus bas dans les coulisses le prédateur veille au grain. Sa peau lisse et sans accros glisse sans un bruit sur le sol non fertile et brulant. A l’affut de sa proie, il le toise et le cerne tranquillement en attendant que le moment opportun soit saisit. Sans le quitter des yeux, le reptile avance avidement et sans crier gare vint marquer son territoire alimentaire en le mordant sans réserve aucune sur l’avant bras.
Ses prunelles recouvrirent leurs teintes naturelles et c’est le souffle court qu’elle tente de reprendre une respiration moins haletante. Doucement un silence de plomb s’empare dans la pièce, et seul la chamade du vent raisonne en fond sonore. Que pouvait bien signifier cette vision ? Cette dernière demeurait amplement floue et vague et pourtant si précise à la fois. Les signes étaient plus ou moins explicites, mais la signification lui manquait. Elle se souvint alors de la prémonition dont elle avait eu vent quelques jours avant la mort de la figure maternelle alors qu’elle était à peine âgée de huit ans. Un souvenir qu’elle tentait d’occulter autant qu’il la hantait. Un serpent et une morsure. Un désert et une jeunesse actuelle. Que pouvait bien signifier cette vision momentanée des choses. Ses pensées tourbillonnèrent encore et encore sans cesse à l’appel de ses connaissances. Relevant doucement son visage dénués d’émotions, la Redfield compris alors ce qu’il pouvait advenir de sa personne si elle ne prenait pas en compte les conseils qu’on lui apportait vis-à-vis de certaines choses.
Plus rien. Vision plus ou moins nette d’une dune de sable aux couleurs chaudes d’un rayon de soleil. Un vent d’une finesse exagéré vint alors se jeter dans sa tignasse en bataille et elle continue de marcher encore et encore comme le « Petit Prince » de Saint Exupéry. Sans relâche et avec entêtement elle semble vouloir poursuivre sa route. Le plafond d’un bleu azur s’éclaircit dès lors davantage, et la soif parcours les recoins de ses lèvres qui demandent qu’un breuvage d’eau limpide et claire. Rien. Personne. La dune semble encore lointaine mais elle y parvient tout de même. A bout de force, à bout de souffle, à cours d’eau, elle se laisse glissait sur le par terre du sable chaud. Désormais assise, mains gisant sous les grains de sable, elle observe l’horizon et contemple ainsi tout le chemin déjà parcourus. Plus bas dans les coulisses le prédateur veille au grain. Sa peau lisse et sans accros glisse sans un bruit sur le sol non fertile et brulant. A l’affut de sa proie, il le toise et le cerne tranquillement en attendant que le moment opportun soit saisit. Sans le quitter des yeux, le reptile avance avidement et sans crier gare vint marquer son territoire alimentaire en le mordant sans réserve aucune sur l’avant bras.
Ses prunelles recouvrirent leurs teintes naturelles et c’est le souffle court qu’elle tente de reprendre une respiration moins haletante. Doucement un silence de plomb s’empare dans la pièce, et seul la chamade du vent raisonne en fond sonore. Que pouvait bien signifier cette vision ? Cette dernière demeurait amplement floue et vague et pourtant si précise à la fois. Les signes étaient plus ou moins explicites, mais la signification lui manquait. Elle se souvint alors de la prémonition dont elle avait eu vent quelques jours avant la mort de la figure maternelle alors qu’elle était à peine âgée de huit ans. Un souvenir qu’elle tentait d’occulter autant qu’il la hantait. Un serpent et une morsure. Un désert et une jeunesse actuelle. Que pouvait bien signifier cette vision momentanée des choses. Ses pensées tourbillonnèrent encore et encore sans cesse à l’appel de ses connaissances. Relevant doucement son visage dénués d’émotions, la Redfield compris alors ce qu’il pouvait advenir de sa personne si elle ne prenait pas en compte les conseils qu’on lui apportait vis-à-vis de certaines choses.
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:41
classe l'avatar ! je te le réserve d'ailleurs pour 7 jours =)
bienvenue (l)
bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:42
Dianna :baveuh: :brille: :inlove:
Bienvenue !!
Bienvenue !!
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:49
merci beaucoup Lust (: le tien est magnifique au passage
merci beaucoup à toi Liam
merci beaucoup à toi Liam
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:50
Une Dianna !! Ça fait drôle de voir quelqu'un d'autre l'avoir ici :grandsyeux:
Mais bienvenue ma belle (l)
Mais bienvenue ma belle (l)
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:51
Le vava rocks un max ! Bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:52
Portman et Bell merci à vous deux (:
Emy alias ma lumiotte ? :D
Emy alias ma lumiotte ? :D
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:53
RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH PUTAIN AUDREY ! T'es partout my love !! :cracrac: :cracrac: :cracrac:
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 19:56
contente de te retrouver ici :hysteric:
nous faudra un lien si tu veux bien ?
nous faudra un lien si tu veux bien ?
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 20:03
Superbe avatar :baveuh: sinon bienvenue et puis bonne chance pour ta fiche (l)
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 20:06
Octhave H. Redfield a écrit:contente de te retrouver ici :hysteric:
nous faudra un lien si tu veux bien ?
Of course my love !
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mar 22 Mar 2011 - 21:45
Bienvenue ma belle ! (l) (l)
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Mer 23 Mar 2011 - 18:16
Whiskas, ton prénom est superbe (l)
Ma mumiotte j'espère bien
Heaven, Mila est un excellent choix (: merci beaucoup à toi (l)
Ma mumiotte j'espère bien
Heaven, Mila est un excellent choix (: merci beaucoup à toi (l)
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Jeu 24 Mar 2011 - 19:16
désolée du DP, mais je pense avoir terminée. (:
c'est pas terrible donc s'il faut en changer sans soucis (:
c'est pas terrible donc s'il faut en changer sans soucis (:
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Jeu 24 Mar 2011 - 19:21
dianna :brille: :brille:
bienvenue ma douce (l)
bienvenue ma douce (l)
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Jeu 24 Mar 2011 - 19:28
merci beaucoup magnifique Nell (l) et puis le prénom :brille:
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Jeu 24 Mar 2011 - 19:39
Chere étudiante
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Ta fiche a trop la classe ! Tu l'as faite pendant Esprits Criminels pour que ça soit aussi cool ?! Validée of course, chez les shtroumphs ! (l)
- InvitéInvité
Re: ✘ i'll follow you into the dark.
Jeu 24 Mar 2011 - 19:43
merci beaucoup ma lumiotte (l)
|
|