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ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Mer 23 Mar 2011 - 0:43
✤WRIGHT Salut !!! Moi c'est Alesia Charlize Holmes , j'ai 20 ans , et je suis d'origine anglaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuelle, mais aussi uc. et issu d'une famille 50/50 . A Hungcalf, j'ai choisi forces publiques, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en en bois de rose, 20 cm, contenant de la poudre de diamants et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de colombe avatar © Morrigan & icons © doleikita |
Slapped my face, slammed the door.
Un jour, je suis née. Je suis une erreur, je suis le fruit d'une stupidité, je suis amertume et regret de tout mon âme. Ma mère a grandi et habitait à Cardiff lorsqu'elle fit la rencontre d'un magnifique jeune homme dans une taverne miteuse alors qu'elle avait 20 ans. Il avait une chevelure brune coiffée grossièrement, un sourire ensorcelant et des yeux d'un bleu enivrant. Le charme a fait son oeuvre ce soir-là. L'alcool n'aidait en rien, elle ne se souvenait même pas du nom du bel homme et était trop timide pour lui redemander. C'est en jeune idiote qu'Arielle suivît l'inconnu jusqu'à sa voiture. Ils passèrent un moment torride dans la vieille voiture du jeune homme, sur la banquette arrière. Dès que ce fut terminé, il lui proposa avec un baiser de retourner à l'intérieur boire un autre verre. Ce qu'ils firent. Pourtant, aussitôt que la jeune femme tourna le dos pour s'asseoir au bar, son bel amant avait disparu. Elle l'attendit toute la nuit et rentra chez-elle à l'heure de fermeture du bar, anéantie. Elle pleura pendant des jours, restant enfermée, les rideaux fermés. Elle ne voulait voir personne. C'est ce que m'avait raconté la meilleure amie de ma mère lorsque j'avais affirmé être assez grand pour connaître la vérité. Il a toujours cet étrange de dégout entre moi et ma mère. Lorsque j'étais gamine, elle osait à peine me regarder, elle me servait à manger sans même un regard, elle m'a élevé dans le silence et la honte. Heureusement qu'il y avait d'autres adultes autour de moi et qui prenaient un peu plus soin de moi. Aucun homme pourtant, comme si ma mère avait renié tous les hommes de sa vie et voulait faire la même chose de la mienne. Je me souviens encore de la première fois où, en revenant de l'école moldue, je lui ai demandé comment ça se faisait que moi, je n'avais pas de papa. J'arrivais avec mon sac à dos rose beaucoup trop gros pour moi. Du haut de mes cinq ans, deux couettes bondissantes de chaque côté de la tête et avec mes grands yeux bleus, je regardais ma mère qui était occupée avec des papiers à la table de la cuisine. Un cendrier remplis de mégots de cigarettes traînaient non loin et des volutes de fumées voletaient encore dans les airs. Je m'asseyais sur la chaise à côté d'elle. Après un court moment de silence et d'ignorance ma voix aigüe s'élevait.
« Pourquoi est-ce que je n'ai pas de papa comme toutes mes amies ? »
Pas un mot, seulement un geste. Rapide et vif qui arriva en même temps qu'un regard de reproche qui ne dura que quelques secondes. Elle m'infligea une baffe sur la joue droite. Ma joue minuscule commençait à picoter et devenait rouge tout comme mes yeux qui étaient emplis de larmes. Celle que j'appelais par son prénom plutôt comme maman venait de me donner une claque au visage alors que j'avais tenté de savoir pourquoi je n'avais pas de père. Je m'enfuyais pleurer dans la petite pièce qui me servait de chambre. Grand comme un placard avec une fenêtre, alors que j'y repense, je suis certaine que s'en était un. J'ai eu une enfance de merde avec cette mère indigne qui me détestait et ne m'adressait qu'à peine la parole. Dans un appartement pourris avec des femmes qui venaient et partaient sans cesse. Je n'ouvrais plus ma bouche à ce sujet de toute mon enfance. Ce n'est qu'à la naissance de mon adolescence que les questions me revinrent. Ma peur de ma mère était passée, j'étais à un autre chapitre de ma vie.
I'm not so sure about this word.
11 ans et toute ma vie devant moi. Je n'étais plus une aussi bonne fille, à être élevée comme une merde, j'étais un peu devenue une. Je volais de l'alcool à ma mère et le buvait à même la bouteille. Je lui volais aussi des clopes que j'allais fumer sur le toit. Je lui volais de l'argent pour m'acheter des trucs, lui empruntait des vêtements et du maquillage. Je portais un masque, j'essayais d'être quelqu'un d'autres, d'avoir des amis. Je fumais pour être cool, même si ça me faisait affreusement tousser. Je voulais avoir un copain, moi qui n'avait jamais connu d'hommes, mais j'étais affreusement timide avec les gens que je ne connaissais pas. Comme je n'avais pas d'amis garçons, je ne pouvais être ouverte et amusante avec eux comme je pouvais l'être avec mes copines depuis le jardin d'enfant, qui, elles aussi, avaient changé et que je tentais de suivre. Je me souviendrais toute ma vie, j'étais sur le toit, seule à fumer lorsque je remarquais ce point noir au loin. Il s'approchait de plus en plus de moi. Il finit par tourner autour de moi, c'était une chouette. Je l'observais sans mots, tirant la fumée de ma clope. Je paniquais soudain alors que la bête piquait du nez vers moi. Me levant, échappant ma clope et retombant sur le toit alors que je tentais de m'enfuir ou me protéger.
« Vas-t'en sale bête ! »
Et il m'écouta, laissant tomber une lettre sur mon ventre. Je prenais la lettre dans mes mains en même temps que je rattrapais ma cigarette. Étrangement, elle m'était adressé. Je regardais autour de moi, rien que pour m'assurer que je n'étais pas folle et que c'était réellement le moineau qui m'avait apporté la lettre. Je l'ouvrais et lisait attentivement, je n'y croyais pas une seconde.
COLLÈGE DE POUDLARD, ÉCOLE DE SORCELLERIEDirecteur : Albus Dumbledore
Commandeur du Grand-Ordre de Merlin
Docteur ès Sorcellerie, Enchanteur-en-chef, Manitou suprême de la Confédération internationale des Mages et Sorciers
Chère Mille Holmes,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendrons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère Mille Holmes, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall
Directrice-adjointe
Je prenais mes jambes à mon coup, culbutant pour retourner dans mon placard, j'entrais en catastrophe dans la cuisine. Jetant la lettre sur la table où ma mère était, encore une fois.
« Tu peux me dire ce qu'est que ce bordel Arielle ? Une école de sorcellerie ? C'est une connerie ? T'es pas une sorcière ? ÇA N'EXISTE PAS ? POURQUOI TU NE M'AS RIEN DIS ! POURQUOI TU NE ME DIS JAMAIS RIEN BORDEL ! JE SAIS NE MÊME PAS QUI EST MON FOUTU PÈRE ET MAINTENANT JE NE SAVAIS PAS QUE J'ÉTAIS UNE PUTAIN DE SORCIERE ? » Je hurlais, j'étais furax. Je détestais cette femme qui m'avait donné la vie. Elle me haïssait aussi, elle allait se mettre à hurler pour me rétorquer, voir même tenter de me frapper, mais la porte d'entrée s'ouvrit brusquement. Un vent glacial s'éleva et une lumière venait de cette même porte. Une ombre imposante y apparaissait. Elle s'avança de quelques pas et on pu enfin la voir. C'était une grande femme. Étrange, avec une genre de cape verte lime et des cheveux d'un rouge flamboyant. Elle était impressionnante, belle et plus encore, elle souriait. Je n'avais jamais vu personne sourire dans cet appartement depuis ma naissance.
« Bonsoir Mrs et Mille Holmes. Je suis Iphigénie et je travaille au ministère de la magie. Je suis chargée de vous informer de mon mieux à propos du monde magique étant donné que Alesia est une sorcière. Puis, si tu l'accepte et que ta mère est d'accord, tu iras à Poudlard, mais avant, si tu le veux, une cousine éloignée de ta mère est prête à t'accueillir. Elle te fera découvrir le monde de la magie et iras avec toi acheter ton nécessaire de jeune sorcière. »
J'étais captivée, ma mère écoutait à peine, comme toujours. Ma mère n'écoutait jamais les gens, il n'y avait qu'elle qui comptait et qui disait des choses intéressantes. Ma mère a dit qu'elle s'en fichait, qu'ils pouvaient n'emmener et que je ne reviendrais jamais, ça lui était égal. Ainsi soit-il. Je fis mes bagages le soir même et prenant la main d'Iphigénie nous disparurent dans la nuit. J'avais décidé de changer, comme la vie me donnait une nouvelle chance. Ne plus boire, ne plus fumer, ne plus parler vulgairement. Être une bonne petite fille, une fille que toutes les mères rêvent d'avoir. J'eus un peu de difficultés à lâcher la clope et l'alcool, mais j'y suis arrivé. J'étais une nouvelle fille.
And keep on playing this wicked game.
Poudlard, Poudlard. La magie et tout. Et tout. Ce fût fantastique, j'y ai véçu de belles années où j'étais chez les Gryffondor. J'avais beaucoup d'amis, mais étant une petite fille sage désormais, je n'ai pas eu de copain de toute ma scolarité. Des amies et amis en quantité, mais pas de copains. J'appris la magie, je deviens même très doué, particulièrement en potions. Je terminais ma 7e année avec uniquement des O et E. Je croyais m'arrêter ensuite, mais ma ''tante'' insista pour que je continue mes études à Hungcalf. Elle voyageait à travers le monde et faisait beaucoup d'argent, il était hors de questions que je n'y aille pas. C'était ça ou passer l'année suivante dans le nord et je déteste le froid. C'est donc à 17 ans, bientôt 18 que j'entrais à l'école supérieure de magie. Avec en option, potions, DCFM et sortilèges. J'ignorais que j'allais rencontrer celui qui allait changer ma vie. Je ne l'ai pas connu avant l'âge de 19 ans. J'entendais souvent parler de lui, je le voyais, mais rien d'autres. Un soir, il m'a coincé dans un coin et à décider qu'il me voulait dans son lit. Moi, pauvre gamine qui ne connaissait rien aux hommes, je le suivais, sans rien dire. Je n'aurais jamais eu le courage de lui dire non, j'étais sur le point de fondre dans mon coin. Il me fit mal, lui s'amusait, puis il partit en me laissant là dans les draps froids, le coeur en morceaux. Oh, il n'allait pas m'ignorer et ne plus jamais me reparler. Il recommença encore et encore à profiter de moi. Quand il voulait, où il le voulait, aussi longtemps qu'il le voulait, de la façon dont il le voulait. J'étais sa petite poupée qui ne disait jamais non parce qu'elle ne savait pas parler. Un monstre, un vrai. Un bourreau qui se fichait de sa victime et de son malheur. Moi, ne connaissant pas les hommes, ni quelques relations amoureuses, je ne savais pas trop quoi en penser de l'étrange relation que nous avions. Je n'avais plus vraiment d'amis, ils s'étaient tous éloignés de moi. Un jour, après avoir subi plus d'un an de torture, je me décidais à l'affronter, lui dire de me laisser tranquille. Il me prenait aux mots, mais décidait qu'après une dernière nuit, il en aurait assez, qu'il aurait assez abusé de sa petite poupée. Je hochais doucement de la tête c'était une entente raisonnable. Une nuit de plus ou de moins, quelle serait la différence ? Elle serait ensuite libérée de son loup qui adorait la mordre et la voir baigner dans son sang. Lust. Ou plutôt Lost. Il m'a fait me perdre dans cette nuit. Moi qui était habitué à me faire malmenée et à être traité comme une chienne, il me donna la plus belle nuit de toute ma vie. La plus douce, la plus tendre. C'était impossible, ce n'était pas le même homme, il n'avait pas le même visage, ne donnait pas les mêmes caresses. Cette nuit, la dernière, je ne l'oublierais jamais. Lorsque je m'éveillais, le bourreau était de retour et portait ses plus beaux habits tandis que j'étais nue et minable dans un lit que je retrouvais froid et vide. Il voulait partir, ne plus jamais m'accorder un regard, je ne l'ai pas accepté. Je le suppliais de rester, pleurant. Il ne pouvait me laisser ainsi, il était tout ce que j'avais. En une nuit, environ sept heures, j'étais tombée amoureuse de Lust. Pas le celui qui m'avait si souvent humilié et salie, celui qui à mon réveille, était mort. Il me regarda avec dégout puis partit. J'ai pleuré, toute la journée. Je ne suis pas allée à mes cours, j'ai pleuré la mort de mon unique amour. Je n'eus plus aucune nouvelle directe de lui suite à cette nuit, que des ragots entendus ici et là. Lorsque j'eus la confirmation qu'il était en cure de désintoxication, je ne pouvais faire autrement qu'aller le voir, le féliciter et tenter de retrouver ce Lust que j'avais perdu. Il était surpris de me voir. Mon prince n'avait pas changé, en fait un peu, il avait l'air mieux. Il avait surtout l'air surpris de me voir. On parla longtemps, on avait beaucoup à se dire. Puis, on s'arrêta. Un silence s'installa. On se regardait, j'étais bien. Ce n'était pas le genre de silence qui fait souffrir. Non. C'était un silence confortable, où Whitaker souriait doucement. Je souriais aussi et je ne pus m'empêcher de lui lancer timidement un ;
« Et si... On sortait ensemble ? »
« ... Quoi ? » Demanda-il après un silence, pas certain de bien comprendre ce que j'avais dit. Oui, je voulais Lust dans ma vie. Ce junkie devenu sage, je voulais qu'il soit miens, rien qu'à moi. Il m'avait tellement manqué.
« Je t'aime Lust et je ne supporte plus ton absence. » Répliquais-je. À force de réplique, je réussis à le convaincre. Le loup et l'agneau dormaient ensemble, collé l'un à l'autre sans que malheur n'arrive. Je suis Alesia Charlize Holmes et je suis étonnement la copine de Lust Whitaker. Tout va bien entre nous, je l'adore. Je déteste voir d'autres filles tourner autour de lui, je suis un peu possessive, mais j'ai bien le droit. Après tout, il est à moi.
All i wanted was a second chance, second chance
To hold you in my arms at last.
To hold you in my arms at last.
Une antilope argentée tomba du ciel directement dans le grand salon vide de ma tante. C'était un patronus d'elle, je m'immobilisais. J'entendais la voix habituellement joviale de la seule pointe de famille me restant sonner creuse.
« Ta mère est malade. Elle approche de la fin. Si tu veux aller faire la paix avec elle, c'est maintenant ou jamais. »
Fuck. Merde. Je n'arrivais plus à penser, plus à bouger. Je restais immobile, Le bout du pouce serré entre mes dents. Je ne savais simplement pas quoi faire. Je ne savais pas a qui en parler. Je prise une grande inspiration et sans prévenir, je transplanais. Ma mère, cette mégère. Elle l'était d'avantage sur son lit de mort. Elle était dure avec moi. Elle me disait les pires choses. Elle se lamentait. Je tentais de m'excuser, de la laisser partir en paix. Je me refermais sur moi-même. Plus rien n'existais sauf ce combat épuisant. Je m'endormais dès que ma tête se posait sur l'oreiller et me relevait tout aussi fatiguée que la veille. Je n'avais même pas la force de donner des nouvelles à Lust. Nouvelles égaleraient à explications et je n'en avais pas la puissance. J'attendais sa mort qui semblait lente. Puis vinrent les derniers moments. Elle me regardait comme si j'étais un monstre.
« Je te hais. Personne ne t'aimeras jamais. »
Puis ses yeux se fermèrent pour ne jamais se ré-ouvrir. J'avais cette morte sur le dos maintenant. Je ne pleurais même pas. J'appelais les ambulanciers, on constata sa mort à l'hôpital, puis elle eut de petites funérailles où j'étais la seule présente avec un prête. Sur sa tombe il n'y avait pas de ''Beloved Mom'', simplement un ''Finaly Free''. La mère enterrée, la maison moldue fermée alors que je songeais à ce que j'allais en faire, je retournais à Norwich. Lust ne l'avait pas avalé. Notre couple fut indécis pendant un moment. Je faisais tout pour ne pas le perdre. Ça n'a pas fonctionner. Il m'a laissé et c'est presque immédiatement remis en couple. J'étais détruite. J'ai passé une journée et un nuit entière à pleurer. Mon monde c'était écroulé subitement, je n'avais plus personne. Alors que je regardais par la fenêtre, je vis que le monde tournait encore pendant que je me morfondais. Je décidais d'enfin faire quelque chose de ma vie. Je pris un livre et commença un devoir. L'après-midi passa sans que je ne m'en rende compte et sans que je ne pense à Lust. Dès que je m'arrêtais, j'y pensais. J'avais donc trouver ma solution. Bien malgré moi, j'étais devenue une petite intello. Rejetant toutes les relations amoureuses, je les vomissaient et les vomis encore. J'ai toujours le nez dans les bouquins, c'est simple. C'est mieux je crois. Peut-être que notre ruputure n'était pas si mal après tout ?
✎...MONROE
Dans la vraie vie, j'ai eu 18 ans tout recemment . J'ai connu ce magnifique forum grâce à la magnifique et merveilleuse Élo et je ferais de mon mieux pour être là 5/ 7 ! Si j'ai un double compte? Non . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à Personne Mon personnage est un scenario . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que j'aime les licornes ! . code règlement : ok by Lust |
icônes © by doleikita
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Mer 23 Mar 2011 - 10:30
Re bienvenue ma belle, je te réserve Willa (l)
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Mer 23 Mar 2011 - 11:06
Oh quel bon choix, ton avatar est magnifique :brille: bienvenue & bonne chance pour ta fiche :inlove:
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Mer 23 Mar 2011 - 12:32
Merci beaucoup à vous deux. :brille:
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Mer 23 Mar 2011 - 13:13
re ma toute belle :brille:
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Jeu 24 Mar 2011 - 4:15
Merci Heaven et la jolie Nell :D
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Ven 25 Mar 2011 - 3:48
Officiellement re bienvenue :brille:
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Ven 25 Mar 2011 - 3:53
Thanks mon chéri chat. :brille:
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Ven 25 Mar 2011 - 9:19
j'ai une prof qui se trouve être le sosie de Willa
Bref on s'en fou :D
Bienvenuuuu
Bref on s'en fou :D
Bienvenuuuu
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Ven 25 Mar 2011 - 10:21
Chère étudiante
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdue dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Quelques fautes ici et là mais rien de bien méchant. La pauvre, elle n'a pas eu une vie facile du tout X') Bienvenue ma Alesia (l)
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
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» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Ven 25 Mar 2011 - 11:09
Bienvenue ma toute belle ! :D
- InvitéInvité
Re: ALESIA ; to hold you in my arms at last.
Ven 25 Mar 2011 - 14:40
Merci, merci beaucoup. :D
Pour les fautes, ça ne m'étonne pas, il n'est pas passé au complet au correcteur. Hum
Pour les fautes, ça ne m'étonne pas, il n'est pas passé au complet au correcteur. Hum
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