Page 1 sur 2 • 1, 2
- InvitéInvité
Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Lun 18 Avr 2011 - 23:22
- Avant toute chose, veillez à écouter cette playlist à mesure que vous lirez cette fiche. Elle saura guider vos affects, croyez-moi. Même si, je vous l’accorde, veillez à ce que cette confiance que vous m’accorderez, ne sera qu’exceptionnelle et unique : il ne tient qu’à vous de suivre mes plus honnêtes conseils –d’anciennes connaissances sur ce forum saura vous le confirmer. N’hésitez plus, exécutez mes attentes et plongez-vous lentement et totalement dans ces écrits venimeux et irrémédiablement mortels qui, rassurez-vous, infectera très vite vos personnages…
✤ Grymm Hey. Mais où avais-je la tête ? A croire que ces délectables retrouvailles m’en font oublier les bonnes manières –rappelez-moi d’user de ce goût amer de vengeance qui fait là toute la réputation de ce duel fraternel dément. Je ne me suis pas présenté : Sade Joyce , une vingtaine d’années que j’arbore ces même terres parsemées de créatures vénales que je nourris à la réputation de ma lignée et ces billets interminables qui défilent sous leur regard parsemé de manipulation et d’un semblant hypnotique inconscient. Vous vous en doutez, mes racines sont férocement ancrées sur ces terres britanniques . Ma venue semble avoir attisée un semblant de curiosité chez toi et je me ferai une joie de te rappeler la célèbre histoire des Joyce dans ce monde illusoire –et pourtant plus rationnel à mes yeux…-. Prends place, et lis attentivement ce qui va suivre. Libère toi de cet espace qui t’entoure d’une réalité trop cohérente pour ingurgiter ne serait-ce qu’une once de l’histoire d’un des frères de la très célèbre famille Joyce. Reconnais-le, ton impatience est prête à te renverser dans une fougue hystérique : cesse donc de nier ta prochaine fascination pour ce duo et jette ton dévolu sur cette irréprochable fraternité. Puisqu’il semble nécessaire de le préciser, sache que je suis indéniablement hétérolascif –l’équivalent d’un hétérosexuel, dans votre langue, avide d’une gente féminine chaste et innocente mêlé à un érotisme égoïste et violent. J’ajouterai que je suis un fidèle et fervent sorcier conditionné et façonné à l’image de son père et ses règles du jeu qui m’évite toute perte de contrôle : ne jamais s’attacher à ces bêtes naïves et manipulables est une devise qui fait de moi un jeune homme –éternellement- célibataire et issu d'une famille de sorciers respectée, crainte et pour autant adulée. J’ai intégré Hungcalf il y a peu. Il semblerait que je fais une exception rarement accordée et que les souches familiales aient soutenu mon intégration ici même. J’étudie ainsi ma première année dans cette école, en troisième année, et ma motivation première porte un nom que je convoite depuis maintenant une dizaines d’années : Ezechiel Joyce. Il semblerait pour autant que je ne sois pas déçu de ce qui pullule dans cette antre : des espèces convoitables, des femelles domptables et répondant parfaitement à l’enseignement qu’un Joyce subi indéniablement. A Hungcalf, j'ai choisi la botanique et la maîtrise de la faune, -& guess what ?- il semblerait que mon cadet se soit laissé séduire par ce même parcours. Surprenant ? Détrompez-vous. Le même sang, la même chair unissent notre complicité implacable. Mh, ma baguette? Une histoire des plus atypique, fidèle à un personnage plus improbable qu’acceptable. Il s’agit là d’une baguette de ventricule de dragon et bois de hêtre, d’une vingtaine de centimètres. Elle ne me trahie jamais, elle semble être aussi maniable et douce qu’une femme, soumise à mes désirs, à l’exception qu’elle est la seule que j’ai gardé à mes côtés et avec elle je suis capable de réaliser un patronus en forme de pur sang arabe, noir,autrefois utilisé comme cheval de guerre, son regard saurait déstabiliser tout ennemi potentiel. avatar © cornflakes || icônes © cornflakes |
« Some of them want to be abused »
… And guess what ?
I’m about to give them what
they desire the most
… And guess what ?
I’m about to give them what
they desire the most
- Jouissance d’un duo précoce et pervers
jonché d’un instinct protecteur et inné.
« - Sade !
- Mh… Marmonnais-je, le corps enfouit sous de souples et fraîches épaisseurs dans un lit trop immense pour de jeune garçons de notre envergure.
- Sade, t’m’avais promis marmonna Zec à son tour. »
Il ne démordit pas. Nous devions rejoindre un semblant de forêt improvisé, appartenant à notre géniteur, sur les hectares de verdures qui entouraient le château dans lequel nous vivions. Une horloge usée et luxueuse affichait trois heures et vingt-et-une minutes. Zec avait cette détestable tendance à n’oublier aucun détail des promesses qu’on pouvait lui faire. J’esquissais un sourire, spontané et fin. Je laissais mes pupilles claires s’accommoder à une lumière artificielle provoquée par mon cadet tandis que ce dernier reculait déjà pour me laisser le rejoindre. Il me fixait, plus excité que jamais à l’idée de partager nos habituelles et délectables virées nocturnes. Je partageais ce désir rendu plus excitant face à une prohibition et une menace dangereuses. Mon sourire s’élargit. Tandis que mon regard brillait face à cette complicité secrète et interdite, je me jetais sur mon cadet, fidèle à une époque juvénile emplie d’une enfance démunie de maturité.
C’était évident. On ne voulait pas grandir. On voulait rester dans ce monde qui nous appartenait et dont personne ne pouvait violer. Pourtant, on savait ce qui nous attendait. Notre géniteur s’assurait chaque jour de nous parsemer d’un avant goût de ce monde imperturbable et égoïste, voué à nous déchirer, Zec et moi. Il refusait de nous savoir aussi proches. On nous jalousait. Nous étions uniques et parfaitement conscients que notre fraternité suscitait ces chuchotements venimeux, lézardant les murs de ces lieux, prêt à provoquer cette haine que tentait de nous inculquer cet homme que déjà je haïssais.
Eze se laissait prendre au jeu, son rire résonnant dans les couloirs des sombre lieux, endormis et bercés par une faible lueur lunaire. On ne mesurait pas la tonalité provocante de notre élan de gaminerie qui n’amusait que nous. Ni même que jouer ensemble et à notre âge étaient formellement interdit. J’avais 6 ans, cette année là, Zec, lui en avait 5. Pourtant, cette logique n’était pas au goût de cette ombre qui nous rejoignait. Son regard semblait vide, aucun affect ne traversait ce dernier. Notre géniteur nous arrachait à notre étreinte, saisissant Zec par sa tignasse sombre et déjà assez longue. Mon cri lui implorant de le relâcher ne fit qu’accentuer le sadisme naturel de notre géniteur. Une attitude dont nous aurions hérité à notre plus grand plaisir. Le corps de mon frère fut projeté à quelques mètres de nous, sa tête heurtant un mur de pierre. Il ne se releva pas : mon géniteur venait de provoquer un sommeil que je cru éternel en l’espace de quelques secondes. Je n’avais pas peur de cet homme, et ce même après ce qu’il venait de faire. Pire, je lui vouais une haine absolue. Mes poings se serraient. Je restais impuissant conscient de son sourire qui se dessinait à mesure qu’il m’obligeait à rester à ses côtés, tout en m’incitant à fixer le corps presque inerte de Zec. Il n’hésitait jamais à montrer devant mon cadet tout l’amour qu’il me portait. Un semblant de sentiment instinctif qui n’était qu’hypocrite et superficiel. Il m’utilisait simplement pour intenter une fissure entre Eze et moi. Nous le savions tous deux.
Lorsque Zec se mit à sangloter, je me laissais retomber violemment, genoux meurtris, sur ce sol froid. L’homme à mes côtés se pencha alors lentement, et chuchota distinctement à hauteur de mon oreille : « Eloigne toi de lui si tu veux lui épargner une autre situation telle que celle-ci, mon fils » . Je ne l’écoutais plus. Fixant mon géniteur regagner sa chambre dans un sourire satisfait. Je me jetais alors sur mon frère. Je me refusais de voir son visage, me contentant de le laisser s’appuyer son corps meurtri sur le mien. Il cherchait mon regard et savait que je n’étais pas capable d’en faire autant. Il posa alors sa tête sur mes petites jambes et ferma les yeux. Je l’observais cette fois, tous deux silencieux.
Il fut le seul à rompre ce silence pesant et sa voix atténua instinctivement ma haine :
« -Tu nous protègeras de lui, Sade, n’es’pas ? »
Je ne lui répondais pas cette nuit là. Je me contentais de sécher ses larmes d’un revers de la main dans un tremblement que l’on partageait. Mon regard était, quant à lui, plus sec et amer que jamais. Je n'avais pas pleuré cette nuit : j’orchestrais le prochain départ de Zec. L’éloigner de notre bourreau était devenu mon but ultime, une finalité insoutenable.
Je me jurais alors que personne ne toucherait plus jamais à mon frère.
Je compris alors que j’étais prêt à tuer pour lui… sans le moindre scrupule. A commencer par notre géniteur.
- Premiers pas vers un rituel perpétuel,
dépourvu de scrupule et d'humanité.
Nous avions peurs. Moi âgé de 10 ans, lui 9, nous suivions cette foule restreinte dont aucuns visages n’étaient dévoilés. On ne savait pas ce qui nous attendait. Cela faisait partie du rite perpétuel que notre père nous affligeait : il se nourrissait de nos craintes. Il aimait ça, voir la peur dans le regard de ses fils, et des autres. On lui procurait un sentiment de dominance profond qui excitait son sadisme démesuré. Zec se collait presque à moi. Je tentais tant bien que mal de le rassurer, partageant nos regards que seuls lui et moi pouvions déchiffrés, esquissant de tant à autre un sourire biaisé par l’appréhension et par ce qui nous attendait. Une jeune femme était traînée, presque malgré elle. Elle semblait jouer et se complaire dans ce rôle de victime. Ses mains étaient ligotées par une corde âcre et épaisse. Elle était presque nue. Fixer son corps et ses formes féminines me rendaient terriblement mal à l’aise. Je n’avais pas à assister à ce spectacle. Zec non plus. Je demeurais pourtant impuissant face à cette situation. Je désirais pourtant plus que tout protéger mon frère, à tel point que j’en oubliais ma propre innocence.
Je ne garde aucun souvenir de notre périple jusqu’à ce bois que nous aimions arborer Zec et moi. Cette nuit là, tout plaisir de pénétrer l’antre de nos terres secrètement gardées n’était plus. Notre géniteur savait : il avait visé juste. A mesure que l’on gagnait en profondeur, je haïssais toujours plus ces lieux autrefois adulées.
Ce refoulement ne me protégeait pas de ce qui allait suivre, cependant.
Mes mains cachait maladroitement les yeux de Zec dont le regard se vidait à mesure que nous assistions malgré nous à notre père pénétrant ce corps meurtri, baignant dans une substance rouge animale qui ne lui appartenait pas. Les corps immobiles des partisans de notre géniteur nous entouraient. Nous étions condamnés à rester. Aucune issues n’étaient possibles. Mes yeux allaient d’eux à lui, puis elle : ils m’arrachaient tous de ce monde auquel je m’accrochais. Leurs baguettes m’éblouissaient sauvagement tandis que Zec posait brusquement ses mains sur les miennes comme pour mieux le garder de cette scène qu’il se refusait à voir. Quant à moi, je ne pouvais me cacher derrière quoi que ce soit. J’assistais, le regard rivé sur ces deux corps nus, au viol de cette femme que mon géniteur disait chaste. Il lui arrachait sauvagement sa virginité, inconscient qu’il nous préparait, Zec et moi, à prendre sa place.
Je rentrais vidé cette nuit là. Zec murmurait des mots que je ne percevais plus. Il tentait de me protéger, à son tour. Je savais pourtant que c’était vain, qu’on venait, ce soir, de me garder près d’eux, victorieux de ma fuite vers cette société malsaine.
J’avais peur de grandir. Je ne voulais pas leur ressembler.
C’était pourtant soit lui, soit moi. J’avais déjà franchi un pas vers cet enfer que je choisissais au détriment d’Ezechiel.
Quelque chose se brisait ce soir, Il le sentait. Il avait peur lui aussi.
Moi je ne vivais plus que dans le seul but de l’éloigner au plus vite de ce monde vorace.
- Lorsqu’un géniteur jalouse une relation implacable,
une correction s’impose.
« - Qu’est-ce que tu attends, Sade ?! Frappe, maintenant! » Cracha cet homme qui nous servait de bourreau, remplissant un rôle de père qu’il croyait le plus juste.
Jusqu’ici, on nous avait inculqué combien ce monde était peuplé de femelles faites pour être perpétuellement domptées et montées comme on montait une jument sauvage. C’était inscrit dans nos gènes : on avait finit par se délecter de cette croyance. On traitait les femmes comme une vulgaire proie, se concentrant sur notre propre plaisir, sur leurs douleurs, partageant chacune d’elle, sans pudeur si ce n’est que de la fierté digne d’un Joyce. Notre géniteur semblait croire avoir réussi à nous conditionner, nous façonner à leur image, mais il était aveuglé par une victoire fausse qu’on avait bâtit Zec et moi. Nous ne faisions pas c'la pour lui, nous jouions, partageant nos désirs bestiaux.
Notre géniteur n’était cependant pas dupe. Lorsqu’il comprit que notre complicité perdurait intacte, que tous ses efforts depuis notre plus tendre enfance étaient vains, il mit en place ce que j’avais volontairement provoqué sans jamais avoir partagé ce projet avec Zec. J’avais façonné, contrôlé le comportement de mon père comme un vulgaire automate : à la hauteur d’un Joyce manipulateur et pervers. C’était en nous, ancré et inné. Ca n’avait été que partie remise, simple, même si la patience avait été la seule et l’ultime contrainte douloureuse que j’avais eu à subir.
J’avais volontairement provoqué un affront que notre père supposerait comme étant sa propre idée. Je devais frapper, combattre mon cadet, jusqu’à ce que l’un de nous deux soient affaiblis et mis à terre. L’expérience allait être douloureuse, mais je devais le faire : car la règle était irrémédiable. Celui qui ferait la honte de la lignée aristocratique de cette famille se verrait la quitter. Un moyen propice pour notre géniteur de nous séparer pour des années, voir à tout jamais. Son sourire me rappelait celui de cette nuit où il assouvit ses fantasmes les plus pervers face à Zec.
Ce dernier ne s’attendait pas à ce qui allait suivre. Jamais il n’aurait cru possible que je l’humilie sans une once de culpabilité : à croire que le masque que je portais, cette comédie qui m’habitait, était digne de mon géniteur. Un don dont j’étais fier. Il comprendrait… Plus tard.
La honte l’avait parcourut, et très vite, mon poing gagnait son visage blafard et parfait. Sa surprise était telle qu’il se refusait de riposter ni même se défendre. Je haïssais mon père pour ce que j’étais contraint de faire pour protéger mon cadet : ça ne devait pas être mon rôle mais celui de cet homme qui avait usé d’une vulgaire femme pour mettre au monde deux joujoux qu’il maîtrisait à sa guise. Je cognais pourtant, toujours plus fort, gardant en tête la finalité de mes gestes, me rappelant à chaque fois plus que je lui offrais une liberté que je désirais moi aussi.
Ce jour là, je ne sus véritablement si Zec avait compris. Je n’avais pas souhaité croiser son regard… ou ce qu’il en restait.
Je l’aimais et me jurais que c’était ce que j’avais fait de mieux jusqu’ici.
Il me manquait déjà, mais je venais de tenir parole.
Son cri strident et animal restait à jamais ancré dans mon crâne : il me broyait sauvagement ce qu’il me restait d’humain. On l’arrachait à moi, et son hystérie traduisait sa douleur, une aliénation bestiale que je partageais, plus silencieuse en moi. Puisqu’après tout, En opposant la haine à la haine, on ne fait que la répandre, en surface comme en profondeur.
J’ai perdu tout ceux dont j’avais ce jour là. A savoir lui, lui seul. Puis ils m’ont enfermés sans moyen d’échapper à la douleur.
Ils étaient parvenus à me l'arracher ce jour là... ou tout du moins était-ce ce qu'ils croyaient.
- Lorsque Sade porte le masque de l’hypocrisie malsaine,
l’aîné veille dangereusement sur son cadet,
prêt à sacrifier le moindre être susceptible de corrompre sa chair,
ou d’assagir son double.
J’ai très vite trouvé refuge dans la psychose. L’argent ne manquait pas chez mon géniteur. Ma seule échappatoire prenait la forme d’un refuge prohibé. Il me libérait de toute culpabilité envers mon cadet. Celui pour qui j’étais prêt à tout. Celui à qui j’avais planifié notre futur. Des retrouvailles toujours plus proches. Mais la patience n’était pas un point fort chez la noble hiérarchie des Joyce. Je fabriquais ainsi avec des drogues, un imaginaire de remplacement qui me fournissait une fuite pharmacologique de ce monde dément, d’une hypocrisie bienséante, dans lequel je me fondais, sans fautes ni représailles. Je les observaient sans crainte, le masque revêtit, le regard rivé sur ces révolutionnaires, ou soi-disant tels, si peu habitués à faire fonctionner cette partie du cerveau que l’on sait propre à l’homme, se contentant généralement, de défendre des options inverses -que j’adulais pour leurs aspects pervers et inappropriés-, imposées par les plus dominants. Ils tentaient d’appliquer à ce jour ce que des créateurs du siècle dernier ont imaginé pour leur époque : je me refusais de les laisser faire et prenais, partiellement, partie pour ce géniteur pour qui la chasteté était la perversion sexuelle absolue la plus à craindre.
J’avais 19 ans, et trois ans nous avait séparé, lui et moi. Il me manquait. Sa présence, notre complicité, nos proies, mes victimes, les siennes, absolument tout me manquait. Il ne savait pas que je l’observais depuis mes dix huit ans jusqu’à ce jour. Mon géniteur ne savait pas lui non plus. Sa vieillesse affaiblissait sa prudence que j’avais pris le soin de duper.
Depuis peu, Zec semblait partagé une complicité affable avec cette jeune femme. Baigner dans une flot de billets incommensurable assurait un œil que je jetais sur les moindre faits et gestes de ce dernier. Il ne le savait pas, bien évidement. Mais le moment était bientôt proche. La vengeance d’un projet longtemps et finement élaboré prenait forme. L’excitation était à son apogée lorsque je me permettais une échappatoire d’une situation où nos retrouvailles seraient indéniablement intactes. Nous n’avions pas été conditionnés pour jeter un quelconque dévolu pour une vulgaire femme. Zec semblait s’être détaché d’une attitude que l’on avait longtemps partagé. Il découvrait ce que n’importe lequel des hommes étaient susceptible de rencontrer. Je me devais d’éloigner les sentiments de cette femme à l’égard de l’être que je chérissais le plus au monde. Lisa Joegle. Une moldue que j’aurais préféré voir se consumer peu à peu dans les bras de ce duo que j’avais momentanément détruit.
Mais mon imagination digne d’un Joyce, emplie d’une pleine perversité, m’orientait vers une toute autre perspective :
Je dérobais ce corps non désireux et alléchant à mon frère pour prétendre l’offrir pour un cinquante et unième anniversaire qui affaiblissait toujours plus mon géniteur.
Je faisais ainsi la fierté de cet homme qui ignorait là tout le sadisme de ces faits et dont je me délectais abjectement.
- Nouvelle proie,
Pervers contexte sur des terres hostiles à toute perversion,
Nouveau défi alléchant,
Ampli d’un sadisme démesuré.
[ NB : en suspend en attendant l'accord du staff, concernant la possibilité d'attribuer à nos personnages cette faculté : Nous devions, Zec et moi, un don trop peu connu du monde sorcier, rare et précieux, à notre géniteur. Il était le septième fils d’une fratrie de sorcier au sang noble ce qui faisait de lui ce personnage respecté et craint. On lui devait un don qu’il nous jalousait autant que ce duo fraternel qui nous unissait Zec et moi. J’étais doté de légilimancie, lui d’occlumancie. Je maîtrisais parfaitement cette faculté : pénétrer l’esprit d’un être humain m’était aussi aisé qu’un corps d’une chaste bête consentante mais manipulée]. Ainsi, après quelques mois passés à Poudlard, j’avais fini par mettre un terme à ces expériences exercées sur ces sorciers et quittaient ces terres britanniques dans le seul but de relever un défi que me proposait mon père.
Elle s’appelait Tassianna Tcheva. Elle était Bulgarde, fille unique et riche héritière d’une famille reconnue pour son éducation et son attitude irréprochable. Je me devais de salir un tableau aussi parfait et détestablement harmonieux. Merveilleux calvaire. Elle était belle, charmante mais son caractère était loin d’égaler ceux déjà conquis : elle était difficile à duper. Ce qui rendait le défi plus délectable encore. J’avais, à contre cœur, abandonné la traque de mon frère pour assouvir à mes propres plaisirs bestiaux.
J’avais finit par la séduire, après des mois de bienséance et d’une lutte acharnée et hypocrite. [Je pénétrais son esprit pour y lire ce qu’elle attendait de moi et qu’elle me cachait. C’était devenu un jeu d’enfant, une arme implacable même si en abuser m’était impossible : plus j’usais de ce dont dans un délai relativement faible, et plus je perdais en maîtrise. Je me devais d’être vigilent et peu gourmand, en me contentant de l’avantage et de la longueur d’avance qu’il m’offrait.]
Tassianna avait promis préserver son corps jusqu’à ce jour ultime où elle s’unirait avec l’homme qu’elle aimerait pour le restant de sa vie. Il semblerait que j’était parvenu à lui faire croire, en lui façonnant un monde illusoire, que j’étais celui qu’elle avait toujours attendu. Notre union presque achevée, elle me céda totalement, aveuglée par un amour que j’avais peint à la perfection. Son corps était à moi, elle avait finit par m’appartenir et craignait, comme toutes les autres, que je ne lui échappe : m’offrir ce qu’elle avait de plus précieux semblait être un moyen irréprochable de me garder jalousement. Erreur fatidique et miteuse.
Ce fut avec une fierté incomparable que je regagnais l’île britannique, laissant ce corps ensanglanté et détruit autant sur le plan psychologique que physique, dans les bras de parents bientôt écoeurés et trahis. Je venais à moi seul de bannir une lignée presque indestructible, crachant vulgairement sur un défi pleinement rassasié.
- Oseriez-vous assister à un rituel
composé d’une proie, chaste et déchirée par la douleur d’une danse
malsaine au va-et-vient animal ?
Cessez de jouer aux âmes sensibles,
Ecoutez vos plus profonds désirs et oubliez tous ce que votre société vous a enseigné.
C’était mon tour ce soir. Tout le monde assisterait au rituel. Ils étaient les même que cette première nuit passée devant cette scène aux côtés de Zec.
Personne n’avait quitté le groupe. Personne ne l’avait intégré depuis.
Une femme gisait là, nue et prête à répondre à mes attentes : elle savait qu’elle ne devait que se laisser faire. Elle subirait, on la paierait, et demain recommencerait.
Elle souriait. Je la fixais avec dégoût. Elle n’avait pour moi, comme toutes les autres, aucune différence avec tout autre animal. Elle était vulgaire, non respectée –faute de ne se respecter elle-même, aisément manipulable, et tellement faible. Elle chercha un peu de réconfort dans mon regard mais elle fut surprise de n’y trouver qu’une froideur impénétrable, tranchante : j’étais ici, l’être le plus dangereux, prêt à absolument tout. J’étais la fierté de mon père. J'étais devenu pire que lui : il avait réussi.
Ce soir l’inconnue pensait repartir avec son butin mais j’en avais décidé tout autrement. Tout le monde l’ignorait ici.
J’étais pourtant imprévisible et ils avaient fini par se méfier de mes affects.
Elle se releva, se cambra, douce et féline à la fois. Le rituel venait de commencer. Le signal était lancé. Ils se turent alors, puis se mirent à proférer des prières auxquelles je ne croyais pas. Leurs baguettes éclairèrent les lieux, et je m’approchais alors lentement, renversant perversement la tête sur un côté puis l’autre, lapant mes lèvres sèches prêtes à finir rassasiées elles aussi. Elle détourna le regard. Je souris instinctivement. Je m’arrêtais à quelques millimètres à peine et sa main se posa doucement sous cette chemise noire et luxueuse que je portais. Elle frissonna et son corps se cambra à nouveau retombant lentement. Je l’observais faire. En silence, presque trop absent. Mes yeux clairs parcoururent les bras, bleutés par endroits, de cette inconnue. Je savais que j’étais l’auteur de ces hématomes .
Je ne fis pas plus attendre mes pulsions meurtrières et animales. Le rituel ne devait perdurer trop longtemps. Mes griffes se plantèrent sauvagement sur ces cuisses meurtries, arrachant un cri de surprise et de douleur à cet être pourtant à moitié consentant . Tandis que je les écartais dans une violence voulue et maitrisée, je violais sans attendre un corps pour lequel je n’avais aucun respect, au rythme des profanations murmurées par mon géniteur et ces autres inconnus, pour cette femme. Je quittais toute convention, dominant ce corps à ma façon. Elle s’exhibait nue, jambes écartées, objet sexuel que je malmenais du matin au soir. Tel était le rituel : j’en perdais toute notion de temps.
Ce ne fut pas le sang d’un animal qu’on laissait couler sur le corps de cette femme cette nuit, mais ce lui de mon géniteur. L’heure avait sonné. Quelques mots, une baguette figée sur son corps frêle et noble. Personne ne pouvait agir sur le violeur d’un corps chaste : tel était une des devises de ce rituel. J’étais le seul à dicter leur conduite. Ils ne réagirent pas. Ils ne comprenaient pas. Personne ne savait. Pas même lui.
Je lui avais pourtant réservé ce sort depuis des années déjà. La torture pouvait enfin commencer. La mort allait être longue, figée dans un handicape moteur et verbal irréprochable. Je le condamnais à le voir prendre sa place et laisser de nouveau ce duo indéniable reprendre son rythme insatiable.
- Ma vengeance est perdue s'il ignore en mourant
que c'est moi qui le tue.
« Une vengeance trop prompte n'est plus une vengeance ; c'est une riposte ». Montherlant avait vu juste. Notre géniteur restait silencieux sur ce fauteuil qui le conduisait de pièce en pièce, aidé de ses sous fifres. Personne ne savait, mis à part ces hommes qui avaient pour consigne de ne rien divulguer. Tel avait été le caprice du bourreau. Je devenais craint et respecté. Il ne pouvait plus parler : seul des sons stridents et rauques d’une trahison qui l’humiliait pour le restant de ses jours. Je continuais à vivre sous son toit. Mon toit. J’avais les rennes et était perçu, dans cette société, comme son tuteur : j’avais l’entière responsabilité et l’entier contrôle de sa vie. La torture ne faisait pourtant que commencer.
Le projet poursuivait son acheminement : la vengeance était presque pleine. Il ne manquait plus que Zec.
Je comptais lui servir le fantasme d’un géniteur en guise d’offrande.
« Alors, père, qu’est-ce que cela fait d’être aussi humilié et aisément manipulable ? articulai-je lentement, sans un regard pour lui. Vous croyez sérieusement que j’aurai pu tourner le dos à mon frère, mh ? Oh… J’oubliais, vous ne pouvez plus parler… Une chance que vous puissiez encore écouter c’la : j’ai retrouvé sa trace et je compte bien intégrer cette école, le rejoindre et finir avec lui votre acensement vers la mort. Je marquais une pause. Il semblait ne pas comprendre. Je pris alors une profonde inspiration et murmurais distinctement : Quand le déshonneur est public, il faut que la vengeance le soit aussi. »
- La trahison n'est qu'un mot inventé par les hommes
pour confondre leurs frères
qui ne pensent pas de la même façon qu'eux.
Je ne l’ai pas trahie le jour de notre dixième année.
Il me tardait de rejoindre Ezechiel. Hungcalf s’était laissé séduire par ma candidature : intégrer cette prestigieuse école en portant ce nom était difficilement refusable. Nous allions enfin pouvoir nous retrouver. La patience se devait encore absolue. Il me fallait manipuler encore ce projet afin de mener à bien nos retrouvailles. Il me manquait, et le savoir aussi proche devenait insoutenable. Le désir de partager nos périples pervers, sadiques et immoraux étaient alléchant. On savait tous deux que le plaisir était le plus fort. Le sexe, voilà ce qui comptait. Un rapport jouissif. C’était la clé de a survie. La clé de l’équilibre de l’homme. Faire l’amour ou violer, mais jouir. Toujours avec la même intensité : et cette tension nous guiderait à jamais. Notre mal n’était autre que notre semence et nous voulions l’écouler, partout, encore et encore.
La pulsion ressurgissait, sauvage, des profondeurs malmenées et dévastatrices : héritage d’un comportement animal. Imprévisible. Obsédante. Elle progessait lentement, noyant toute réticence jusqu’à l’extase aussi alléchante qu’épuisante. Cette pulsion relève de la survie pour un Joyce : une boussole ancestrale incrustée en chaque mâle de la lignée.
J’ai fait un rêve fous cette nuit : deux frères retrouvaient leurs âmes d’enfants, mêlant leur perversité et leur sadisme à des êtres sexuels et fantomatiques asservis, affranchis de leurs démons, de ces deux frères qui formaient à eu seuls une meute indéniable. Je ne puise pas ma soif vers l’avenir, mais vers notre passé.
✎...Minor Key
J'ai 20 ans. J'ai connu ce placide forum grâce à Zec et je serai là 7j / 7.A noter que revenant à peine d’un long périple pétulant sur des terres natales, ces deux semaines à venir seront moins marquées par ma présence en raison de charges administratives et co. à entamer. Si j'ai un double compte? non. Mon personnage est un personnage indéniablement unique et parfait –Zbaf- … et inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que le meilleur reste à venir…Ou le pire : ça n’est qu’une question de point de vue. code règlement : Okay by Capri |
icônes © by CL
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Lun 18 Avr 2011 - 23:37
Bienvenue, et bonne chance pour ta fiche (quoique... tu n'en as pas grandement besoin, elle m'a l'air bien avancé.)
Mathias est à toi pour 7jours.
Par contre, je te conseille de relire le règlement, le code est faux =)
Mathias est à toi pour 7jours.
Par contre, je te conseille de relire le règlement, le code est faux =)
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Lun 18 Avr 2011 - 23:52
A vrai dire, la fiche est terminée, mais je m'en vais la relire, pour l'heure.
J'attendrai donc les remarques du staff ,)
Pour ce qui est du règlement, j'me disais bien que c'était trop simple
Tss, je rectifierai ça une fois que j'aurai fini la relecture.
J'attendrai donc les remarques du staff ,)
Pour ce qui est du règlement, j'me disais bien que c'était trop simple
Tss, je rectifierai ça une fois que j'aurai fini la relecture.
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 0:02
Les remarques du staff... Je m'amuse pas à vérifier ton code ou à te réserver ton avatar par ennui ;). Bonne relecture !
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 0:06
J'me doute bien
J'avais simplement jugé inutile de préciser qu'il s'agissait des remarques sur le contenu de l'histoire du personnage dans sa totalité :D
J'avais simplement jugé inutile de préciser qu'il s'agissait des remarques sur le contenu de l'histoire du personnage dans sa totalité :D
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 1:05
Bien =)
Je me permet une autre remarque tant que j'y suis. Pour les facultés spéciales, telles que l'occlumancie ou la légilimancie, il faut au préalable que le staff t'en ai donné l'accord. Tu peux très bien le retirer de ta fiche (sachant que tu n'en parles que dans un petit passage et que sa suppression n'aura pas grande incidence) et ainsi être validé facilement. Soit attendre que l'accord t'en soit donné. Ce n'est qu'une formalité mais on y tient ;).
N'oublie pas, quand ta relecture sera faites, d'indiquer que ta fiche est terminée à l'endroit adéquat pour que l'on puisse se dispacher ça, selon nos disponibilités.
Je me permet une autre remarque tant que j'y suis. Pour les facultés spéciales, telles que l'occlumancie ou la légilimancie, il faut au préalable que le staff t'en ai donné l'accord. Tu peux très bien le retirer de ta fiche (sachant que tu n'en parles que dans un petit passage et que sa suppression n'aura pas grande incidence) et ainsi être validé facilement. Soit attendre que l'accord t'en soit donné. Ce n'est qu'une formalité mais on y tient ;).
N'oublie pas, quand ta relecture sera faites, d'indiquer que ta fiche est terminée à l'endroit adéquat pour que l'on puisse se dispacher ça, selon nos disponibilités.
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 1:19
J'ai mis en suspend les parties concernées en attendant l'accord -ou pas- du staff ,)
La relecture est terminée et le code rectifié.
Fiche entamée :D
Bonne soirée (nuit ).
EDIT : A vrai dire, attendez la fiche de Zec -c'est lui qui développe et explique le pourquoi du comment de l'heritage de ces dons : c'la vous aidera mieux a trancher . Il de charge de vous envoyer le formulaire :D
La relecture est terminée et le code rectifié.
Fiche entamée :D
Bonne soirée (nuit ).
EDIT : A vrai dire, attendez la fiche de Zec -c'est lui qui développe et explique le pourquoi du comment de l'heritage de ces dons : c'la vous aidera mieux a trancher . Il de charge de vous envoyer le formulaire :D
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 10:19
Merci d'être plus respectueux envers Capri, je te sens vraiment condescendant. (en espérant que c'est juste une impression, le net étant des plus impersonnels.)
Alors, pour le formulaire de dons, chaque personnage doit remplir le sien quoiqu'il en soit. Donc que Ezechiel le fasse ou non, ça ne changera rien à ta situation. Si tout le monde fait pareil on ne s'en sort plus...
Merci de ta compréhension.
Alors, pour le formulaire de dons, chaque personnage doit remplir le sien quoiqu'il en soit. Donc que Ezechiel le fasse ou non, ça ne changera rien à ta situation. Si tout le monde fait pareil on ne s'en sort plus...
Merci de ta compréhension.
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 11:40
Que nenni, je n'ferai pas de mal à une mouche voyons
Plus sérieusement, mis à part mon ironie naturelle, qui ne vise pas Capri -et je pense qu'elle l'a compris pour lui avoir répondu par MP-, ton interprétation est trop hâtive ^o)
Je n'ai en rien manqué de respect envers Capri, et comme tu l'as fait remarquer : ne nous basons pas sur du virtuel au risque d'en tirer un jugement trop subjectif...
Pour le formulaire je n'en occupe ce soir ,)
Plus sérieusement, mis à part mon ironie naturelle, qui ne vise pas Capri -et je pense qu'elle l'a compris pour lui avoir répondu par MP-, ton interprétation est trop hâtive ^o)
Je n'ai en rien manqué de respect envers Capri, et comme tu l'as fait remarquer : ne nous basons pas sur du virtuel au risque d'en tirer un jugement trop subjectif...
Pour le formulaire je n'en occupe ce soir ,)
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 11:48
C'est que je préfère autant mettre les choses au clair : ce n'était pas un jugement hâtif, c'était une remarque. Ce serait dommage que les membres te prennent pour hautain alors que ce n'est que de " l'ironie", entendons-nous que c'est agréable pour personne quand on ne sait pas sur quel ton les choses sont dites.
Ok pour le formulaire ;)
Ok pour le formulaire ;)
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 12:08
Bienvenue :)
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 12:09
- Bienvenue :hysteric: Très belle fiche pour un très bel avatar et un personnage intéressant *-*
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 12:53
Bienvenue ! :) Je ne peux que m'aligner sur le commentaire de James, quelle fiche et quel personnage ! :hysteric: en espérant te croiser en rp :)
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 12:57
Ton personnage est cinglé à souhait. Ta fiche est aussi très bien (l)
J'exige un lien lorsque tu seras validé :)
J'exige un lien lorsque tu seras validé :)
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 14:43
Lust;
De ce point de vu la je comprends mieux. Vous finirez par vous habituer à mes sarcasmes tant ils sont perpétuels, certaines ici savent de quoi je parle ( ), mais ne visent personne en particulier. Utile serait de le prendre au second degré et ne surtout pas croire que je prends les membres de haut ,)
Whiskas;
Thanks dear.
Avatar alléchant ... :D
James;
Ravi que le personnage te fasse un tel effet
Si le désir de pourrir ton personnage t'es insoutenable, je me ferai une joie d'assouvir à tes fantasmes en toute impudeur
En espérant ne pas paraître excessivement irrespectueux... :D Zbaf
Beja;
Mais quel accueil
Me voilà satisfait de voir que ce genre de personnage démuni d'une bienséance admise de tous reste au goût des membres féminines :D
Un rp, très certainement, voir un éventuel lien ,)
Tatiana;
Il semblerait que je n'ai pas d'autre choix que te soumettre à ta propre exigence Elan de fierté et de mauvaise foi? On peut dire ça :D
De ce point de vu la je comprends mieux. Vous finirez par vous habituer à mes sarcasmes tant ils sont perpétuels, certaines ici savent de quoi je parle ( ), mais ne visent personne en particulier. Utile serait de le prendre au second degré et ne surtout pas croire que je prends les membres de haut ,)
Whiskas;
Thanks dear.
Avatar alléchant ... :D
James;
Ravi que le personnage te fasse un tel effet
Si le désir de pourrir ton personnage t'es insoutenable, je me ferai une joie d'assouvir à tes fantasmes en toute impudeur
En espérant ne pas paraître excessivement irrespectueux... :D Zbaf
Beja;
Mais quel accueil
Me voilà satisfait de voir que ce genre de personnage démuni d'une bienséance admise de tous reste au goût des membres féminines :D
Un rp, très certainement, voir un éventuel lien ,)
Tatiana;
Il semblerait que je n'ai pas d'autre choix que te soumettre à ta propre exigence Elan de fierté et de mauvaise foi? On peut dire ça :D
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 16:03
Sade Joyce a écrit:
Beja;
Mais quel accueil
Me voilà satisfait de voir que ce genre de personnage démuni d'une bienséance admise de tous reste au goût des membres féminines :D
Un rp, très certainement, voir un éventuel lien ,)
Sûrement le côté maso de la joueuse
& avec plaisir pour le lien :)
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 16:19
Bienvenue ~
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 22:37
Il fait déjà des siennes
bienvenue, accessoirement
bienvenue, accessoirement
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 22:53
MATHIAS :haaaaa:
Bienvenue (l)
Bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 23:06
Ana;
Décidément, c'est un trouble de la mère porteuse ou une carence maternelle que tu nous fait? J'aurai opté pour les deux, remarque
Precious&Jared;
Thanks ,)
Baja;
C'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd :D
Une fois le soucis des fiches terminée et des réclamations, on s'attaquera au lien : les idées ne manquent pas
Décidément, c'est un trouble de la mère porteuse ou une carence maternelle que tu nous fait? J'aurai opté pour les deux, remarque
Precious&Jared;
Thanks ,)
Baja;
C'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd :D
Une fois le soucis des fiches terminée et des réclamations, on s'attaquera au lien : les idées ne manquent pas
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 23:07
Les deux me siéent si bien
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 23:11
Ça n'est qu'une question de subjectivité :D
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 23:12
Comme tout.
- InvitéInvité
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mar 19 Avr 2011 - 23:28
Bienvenue =)
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Choisir de ne pas croire au diable ne vous protégera pas de lui.
Mer 20 Avr 2011 - 0:05
Bienvenue drôle de personnage :)
edit : magnifique citation de the rite ! (l)
edit : magnifique citation de the rite ! (l)
Page 1 sur 2 • 1, 2
- euphrosyne ♦ Si vous êtes au bord du gouffre, nous vous aiderons à faire un pas. (finished)
- Shak' ♣ Ne croyez pas que c'est parce que vous pensez, que je ne vous entends pas
- « Di moin qui vous laimein, ma di vous qui vous yé » (evalice xi)
- (Léonie) s'il vous plaît ne m'inventez pas, vous l'avez tant fait déjà
- ELYTHIA ♆ « Vous pensez connaître l'histoire… mais vous n'en connaissez pas même le commencement. »
|
|