- InvitéInvité
MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 14:33
✤ lufkin Salut !!! Moi c'est Maureen Charlotte Fedelm, j'ai 20 ans , et je suis d'origine anglais, du Pays de Galle plus précisément. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis bisexuelle, mais aussi célibataire et issu d'une famille de sang mêlé. A Hungcalf, j'ai choisi botanique et étude de la faune, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de rose avec un crin de licorne et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de panda roux. |
this is my story
Je n’ai jamais connu ma mère. C’est étrange, comme sensation, vous savez. L’impression d’un manque, sans le ressentir vraiment. Comment quelqu’un que vous n’avez jamais connu peut vous manquer ? Bien entendu, j’aurais aimé la connaitre, l’avoir à mes côtés. Mais mon père était un homme génial, un père attentif, et je n’avais pas à me plaindre de n’avoir que lui. Il compensait assez bien l’absence de ma mère, à lui seul. Il ne s’est jamais marié, prétextant toujours qu’il ne pouvait aimer qu’elle, qu’il n’y aurait jamais qu’elle dans son cœur. Lorsque j’étais enfant, cela me faisait rêver, je l’avouais. L’amour éternel, c’est tellement beau, vous savez. Un peu fleur bleue, oui, je l’avoue. Mais tellement beau tout de même. La photographie de maman était encadrée et posée sur le haut de la cheminée. Il la regardait toujours, avec cette tendresse et cette mélancolie dans les yeux. Par imitation, par habitude, je me suis mise à faire de même. Je ne la connaissais pas, mais je l’aimais grâce à ce cliché d’elle, ce cliché bougeant où elle souriant doucement, la brise dans les cheveux. Elle était belle, ma maman. Trop belle pour être réelle, même. J’appris plus tard que le sang de vélane coulait dans ses veines, sublimant son visage. Ce même sang coulant dans mes veines, me rendant aussi belle. Allons, ne le nions pas. Je le suis. Je n’ai jamais compris comment une femme comme elle pouvait être tombée amoureuse d’un homme comme lui. Un Moldu tout ce qu’il y a de plus banal, mon papa. Je n’ai jamais compris, je ne comprendrais jamais. Là était toute la beauté de leur couple, sans doute. Il avait eu du mal à accepter que sa femme était une sorcière, plus encore une sorcière possédant un sang aussi magique. Et pourtant, quand elle est morte, il a fait tout son possible pour me donner la meilleure éducation magique possible. Je vous l’avais bien dit qu’il était génial, mon papa. Sans doute pour cela qu’elle l’aimait.
Mes pouvoirs apparurent à sept ans. Comme tout le monde, parait-il. Je me souviens, papa était parti pour la journée, à cause de son travail, et c’était la fille de la voisine qui me gardait. C’était l’été et il faisait particulièrement chaud ce jour là. Je courais partout en maillot de bain, le gros patapouf nous servant de labrador me suivant en aboyant. Je riais aux éclats, courant plus vite encore autour de la piscine. Nous avions une piscine, même s’il pleuvait régulièrement au Pays de Galle. Incompréhensible. Le fait était que ma baby sitter était entrée cinq minutes, pour aller chercher la crème solaire. Et, bien entendu, comme dans les films, c’est toujours à ce moment là que l’enfant fait la grosse bêtise qui manque de lui couter la vie. Cela n’a pas loupé.
En courant, j’ai dérapé sur le bord de la piscine. Tenter de se rattraper avec les bras ? Totalement inutile. J’ai senti ma tête taper contre le rebord, alors que je tombais dans l’eau. Ni une ni deux, le chien sauta à son tour pour essayer de me sortir de là. Mais il ne put rien faire de plus que de nager autour de moins en couinant, espérant que cela suffirait. Sonnée, je n’avais plus conscience de rien, si ce n’était de l’eau s’engouffrant peu à peu dans mes poumons. L’obscurité brouillait peu à peu ma vision aquatique alors que je sentais que j’avais touché le fond de la piscine. J’avais sombré, complètement.
Lorsque j’ouvris à nouveau les yeux, j’étais allongée au fond de la piscine, les bras en croix. Et plus d’eau. Plus une seule goutte. Je clignais des yeux, surprise, alors que la baby sitter revenait de la cuisine, paniquée. Mon père débarqua en urgence, une heure plus tard, et trouva je ne savais quelle excuse expliquant l’étrange disparition de ces tonnes d’eau. Sans grande surprise, elle ne voulut jamais plus me garder. Elle claqua la porte, nous traitant de fous. Mon père me prit pas les épaules et je baissais le regard, honteuse, persuadée que j’avais fait une bêtise en passant à deux doigts de la mort. Mais il se contenta de me caresser la joue et, en relevant les yeux, je vis qu’il souriait.
- Tu es officiellement une sorcière, ma puce.
Plus que la rentrée, ce fut le shopping sur le Chemin de Traverse que j’attendais avec le plus d’impatience. Papa n’avait que peu de contacts avec le monde sorcier, et nous sommes allés à Gringott pour échanger quelques livres contre de l’argent sorcier. Ce fut magique. Je ne savais où regarder, je voulais regarder partout à la fois. Les gobelets, le marbre partout, les pièces d’or ici et là. Je réalisais peu à peu, ce monde était le mien. C’était tellement étrange, mais tellement excitant également. Papa refusa que l’on s’arrête devant le magasin de balais, disant que cela était trop dangereux pour moi. Tant mieux, j’avais le vertige de toute façon. La rencontre avec Ollivander fut des plus étranges, alors qu’il murmurait à quel point il se souvenait de ma mère - « une très belle femme, très belle et très puissante… » - alors que j’essayais de nombreuses baguettes. La sensation de chaleur s’empara de mon bras lorsque je trouvais la bonne, faisant apparait des pétales de rose qui tombèrent à mes pieds. A partir de ce moment-là, un sourire béat ne me quitta plus, pas même lorsque je dus passer presque une demi-heure à essayer des robes de sorcière pour finalement en trouver une à ma taille. Mon sourire s’agrandit plus encore lorsque fut venu le temps d’acheter les livres scolaires. J’étais en admiration devant toutes les étagères emplies à craquer de grimoires. Passionnée de livres, j’aurais pu tous les acheter si j’en avais été capable. Mais l’on se contenta malheureusement que du strict nécessaire. Et, pour finir la journée en beauté, mon père me conduisit à l’animalerie magique, me laissant choisir ce que je souhaitais. Je craquais pour les yeux doux d’un minuscule chaton blanc. A peine l’eussé-je pris qu’il alla se blottir dans mon cou, ses longs poils me chatouillant la peau. Aujourd’hui encore, il n’est pas rare de me voir me promener avec lui sur l’épaule, niché derrière mes cheveux. Il n’a jamais beaucoup grandi, lui permettant de garder son promontoire, me léchant la joue à l’occasion.
Décrire mes années à Poudlard prendrait des heures, pour peu d’informations au final. Beaucoup auront des tonnes de détails et d’anecdotes à vous raconter. Pas moi. J’étais une Serdaigle. Et la Serdaigle la plus ennuyante au monde, je crois. Les garçons admiraient ma beauté. Les filles la jalousaient. Aucune d’elle ne voulait être véritablement mon amie, parce que je leur faisais de l’ombre, bien malgré moi. Je m’entendais bien avec mes camarades de dortoir, mais cela s’arrêtait là. J’étais désespérément seule et je me renfermais sur moi-même, le nez toujours plongé dans mes grimoires. On me détesta plus encore pour cela. En plus d’être belle, je n’avais que des bonnes notes. De quoi en faire pâlir plus d’un. Dès ma deuxième année, j’entrais dans un cercle infernal. Je devais infernal. Si j’avais le malheur de vouloir réviser dans la Salle Commune alors que les autres s’amusaient, je leur demandais de se faire, je passais pour la rabat-joie de service. Les gens détestaient ma compagnie, me trouvant soporifique à ne penser qu’aux cours. J’avais même abandonné l’idée d’aller aux matchs de Quidditch. Partout où j’allais, je sentais que je n’étais plus la bienvenue.
Lorsque j’eus l’âge de m’intéresser aux garçons, je me heurtais à un autre problème. Ils s’intéressaient à moi, oui. Mais pour ma beauté seulement. Je crois qu’ils en étaient venu à parier lequel arrivera à m’embrasser malgré mon mauvais caractère. Il va sans dire que je ne suis jamais tombée amoureuse, pas plus qu’eux me trouvaient à leur goût. Je me suis laissée embrasser, laissée emmenée au bal ou à Pré-au-Lard. Mais cela s’arrêtait là. Et, à vrai dire, cela me convenait assez, même si cela me blessait. Mais, dès que je me plongeais dans mes révisions, j’oubliais le monde extérieur.
Sans surprise pour personne, je réussis mes examens avec les meilleurs résultats. Toutes les écoles s’ouvraient à moi, j’avais l’embarras du choix. Trop de choix, justement. J’étais complètement paumée, à vrai dire. Je pouvais tout faire. Je décidai de ne rien faire du tout. Partir à l’aveuglette, il n’y avait que cela de vrai. Un sac sur le dos, le strict nécessaire, une carte du monde sorcier en main. J’errais des mois durant en Europe, allant à droite à gauche, donnant régulièrement des nouvelles à mon père. Mon arrivée en Roumanie fut la révélation pour moi. J’y rencontrais un groupe de sorciers, qui élevaient des dragons dans un coin reclus. Je passai quelques mois avec eux, apprenant tout d’eux, me passionnant pour ces bêtes majestueusement dangereuses. Sans que je ne m’en rende compte, Septembre arriva à grand pas. Je pris pourtant une année de plus pour continuer mon voyage, découvrant de plus en plus de créatures magiques, me passionnant de plus en plus pour elle. Qui l’aurait cru en me regardant, en voyant mes ongles si parfaitement manucurés ?
Une année de plus passa, avant que je ne me décide enfin à retourner en Angleterre. Je m’inscrivis à l’université, choisissant bien entendu l’option me permettant d’étudier les Soins aux Créatures Magiques. Et, croyez-moi, je compte bien plus profiter de mes années étudiantes que de mes années à Poudlard. Réussir à abandonner mes habitudes de première de classe sainte-nitouche ? On verra bien…
Mes pouvoirs apparurent à sept ans. Comme tout le monde, parait-il. Je me souviens, papa était parti pour la journée, à cause de son travail, et c’était la fille de la voisine qui me gardait. C’était l’été et il faisait particulièrement chaud ce jour là. Je courais partout en maillot de bain, le gros patapouf nous servant de labrador me suivant en aboyant. Je riais aux éclats, courant plus vite encore autour de la piscine. Nous avions une piscine, même s’il pleuvait régulièrement au Pays de Galle. Incompréhensible. Le fait était que ma baby sitter était entrée cinq minutes, pour aller chercher la crème solaire. Et, bien entendu, comme dans les films, c’est toujours à ce moment là que l’enfant fait la grosse bêtise qui manque de lui couter la vie. Cela n’a pas loupé.
En courant, j’ai dérapé sur le bord de la piscine. Tenter de se rattraper avec les bras ? Totalement inutile. J’ai senti ma tête taper contre le rebord, alors que je tombais dans l’eau. Ni une ni deux, le chien sauta à son tour pour essayer de me sortir de là. Mais il ne put rien faire de plus que de nager autour de moins en couinant, espérant que cela suffirait. Sonnée, je n’avais plus conscience de rien, si ce n’était de l’eau s’engouffrant peu à peu dans mes poumons. L’obscurité brouillait peu à peu ma vision aquatique alors que je sentais que j’avais touché le fond de la piscine. J’avais sombré, complètement.
Lorsque j’ouvris à nouveau les yeux, j’étais allongée au fond de la piscine, les bras en croix. Et plus d’eau. Plus une seule goutte. Je clignais des yeux, surprise, alors que la baby sitter revenait de la cuisine, paniquée. Mon père débarqua en urgence, une heure plus tard, et trouva je ne savais quelle excuse expliquant l’étrange disparition de ces tonnes d’eau. Sans grande surprise, elle ne voulut jamais plus me garder. Elle claqua la porte, nous traitant de fous. Mon père me prit pas les épaules et je baissais le regard, honteuse, persuadée que j’avais fait une bêtise en passant à deux doigts de la mort. Mais il se contenta de me caresser la joue et, en relevant les yeux, je vis qu’il souriait.
- Tu es officiellement une sorcière, ma puce.
Plus que la rentrée, ce fut le shopping sur le Chemin de Traverse que j’attendais avec le plus d’impatience. Papa n’avait que peu de contacts avec le monde sorcier, et nous sommes allés à Gringott pour échanger quelques livres contre de l’argent sorcier. Ce fut magique. Je ne savais où regarder, je voulais regarder partout à la fois. Les gobelets, le marbre partout, les pièces d’or ici et là. Je réalisais peu à peu, ce monde était le mien. C’était tellement étrange, mais tellement excitant également. Papa refusa que l’on s’arrête devant le magasin de balais, disant que cela était trop dangereux pour moi. Tant mieux, j’avais le vertige de toute façon. La rencontre avec Ollivander fut des plus étranges, alors qu’il murmurait à quel point il se souvenait de ma mère - « une très belle femme, très belle et très puissante… » - alors que j’essayais de nombreuses baguettes. La sensation de chaleur s’empara de mon bras lorsque je trouvais la bonne, faisant apparait des pétales de rose qui tombèrent à mes pieds. A partir de ce moment-là, un sourire béat ne me quitta plus, pas même lorsque je dus passer presque une demi-heure à essayer des robes de sorcière pour finalement en trouver une à ma taille. Mon sourire s’agrandit plus encore lorsque fut venu le temps d’acheter les livres scolaires. J’étais en admiration devant toutes les étagères emplies à craquer de grimoires. Passionnée de livres, j’aurais pu tous les acheter si j’en avais été capable. Mais l’on se contenta malheureusement que du strict nécessaire. Et, pour finir la journée en beauté, mon père me conduisit à l’animalerie magique, me laissant choisir ce que je souhaitais. Je craquais pour les yeux doux d’un minuscule chaton blanc. A peine l’eussé-je pris qu’il alla se blottir dans mon cou, ses longs poils me chatouillant la peau. Aujourd’hui encore, il n’est pas rare de me voir me promener avec lui sur l’épaule, niché derrière mes cheveux. Il n’a jamais beaucoup grandi, lui permettant de garder son promontoire, me léchant la joue à l’occasion.
Décrire mes années à Poudlard prendrait des heures, pour peu d’informations au final. Beaucoup auront des tonnes de détails et d’anecdotes à vous raconter. Pas moi. J’étais une Serdaigle. Et la Serdaigle la plus ennuyante au monde, je crois. Les garçons admiraient ma beauté. Les filles la jalousaient. Aucune d’elle ne voulait être véritablement mon amie, parce que je leur faisais de l’ombre, bien malgré moi. Je m’entendais bien avec mes camarades de dortoir, mais cela s’arrêtait là. J’étais désespérément seule et je me renfermais sur moi-même, le nez toujours plongé dans mes grimoires. On me détesta plus encore pour cela. En plus d’être belle, je n’avais que des bonnes notes. De quoi en faire pâlir plus d’un. Dès ma deuxième année, j’entrais dans un cercle infernal. Je devais infernal. Si j’avais le malheur de vouloir réviser dans la Salle Commune alors que les autres s’amusaient, je leur demandais de se faire, je passais pour la rabat-joie de service. Les gens détestaient ma compagnie, me trouvant soporifique à ne penser qu’aux cours. J’avais même abandonné l’idée d’aller aux matchs de Quidditch. Partout où j’allais, je sentais que je n’étais plus la bienvenue.
Lorsque j’eus l’âge de m’intéresser aux garçons, je me heurtais à un autre problème. Ils s’intéressaient à moi, oui. Mais pour ma beauté seulement. Je crois qu’ils en étaient venu à parier lequel arrivera à m’embrasser malgré mon mauvais caractère. Il va sans dire que je ne suis jamais tombée amoureuse, pas plus qu’eux me trouvaient à leur goût. Je me suis laissée embrasser, laissée emmenée au bal ou à Pré-au-Lard. Mais cela s’arrêtait là. Et, à vrai dire, cela me convenait assez, même si cela me blessait. Mais, dès que je me plongeais dans mes révisions, j’oubliais le monde extérieur.
Sans surprise pour personne, je réussis mes examens avec les meilleurs résultats. Toutes les écoles s’ouvraient à moi, j’avais l’embarras du choix. Trop de choix, justement. J’étais complètement paumée, à vrai dire. Je pouvais tout faire. Je décidai de ne rien faire du tout. Partir à l’aveuglette, il n’y avait que cela de vrai. Un sac sur le dos, le strict nécessaire, une carte du monde sorcier en main. J’errais des mois durant en Europe, allant à droite à gauche, donnant régulièrement des nouvelles à mon père. Mon arrivée en Roumanie fut la révélation pour moi. J’y rencontrais un groupe de sorciers, qui élevaient des dragons dans un coin reclus. Je passai quelques mois avec eux, apprenant tout d’eux, me passionnant pour ces bêtes majestueusement dangereuses. Sans que je ne m’en rende compte, Septembre arriva à grand pas. Je pris pourtant une année de plus pour continuer mon voyage, découvrant de plus en plus de créatures magiques, me passionnant de plus en plus pour elle. Qui l’aurait cru en me regardant, en voyant mes ongles si parfaitement manucurés ?
Une année de plus passa, avant que je ne me décide enfin à retourner en Angleterre. Je m’inscrivis à l’université, choisissant bien entendu l’option me permettant d’étudier les Soins aux Créatures Magiques. Et, croyez-moi, je compte bien plus profiter de mes années étudiantes que de mes années à Poudlard. Réussir à abandonner mes habitudes de première de classe sainte-nitouche ? On verra bien…
✎VINTAGE LOVE.
Dans la vraie vie, j'ai 19 ans. J'ai connu ce magnifique forum grâce à Bazzart et je ferais de mon mieux pour être là 7 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non . Mon personnage est un perso inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que ce forum est à couper le souffle et, maintenant que je suis en vacances, je ne pouvais plus passer dessus sans m'inscrire. code règlement : mo30 |
icônes et avatar by FLESH COUTURE la magnifique
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 14:37
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche :inlove:
Je te réserve Amanda pour 7 jours (l)
Je te réserve Amanda pour 7 jours (l)
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 14:40
Ton avatar est sublime (l)
bienvenue et bonne fiche ;)
bienvenue et bonne fiche ;)
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 14:41
Merci à vous deux. :brille:
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 14:43
Bienvenue & bon courage pour ta fiche *-*
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 14:53
WONDERFUL ! :baveuh:
Bienvenue ma belle ! (a)
Bienvenue ma belle ! (a)
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 14:55
Amanda :brille: (l)
bienvenue ma belle et amuses toi bien parmi nous :lechouille:
bienvenue ma belle et amuses toi bien parmi nous :lechouille:
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 14:58
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche (l)(l)
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 15:02
Quelle est jolie Amanda :baveuh:
Bienvenue parmi nous (l)
Bienvenue parmi nous (l)
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 15:07
Merci à tous pour l'accueil. :inlove:
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 17:10
Bonjour et bienvenue sur Hungcalf !
Chere étudiante
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : J'ai beaucoup aimé ta fiche, ton style d'écriture est fluide et très agréable (l) Par contre, l'anecdote de la découverte des pouvoirs de Maureen est un peu exagérée, je te valide malgré cela mais si tu pouvais modifier cela plus tard, ce serait parfait ! Et je t'invite également à te rendre ici pour remplir le formulaire pour que ton personnage soit une vélane ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas (l) Have fun !
Chere étudiante
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : J'ai beaucoup aimé ta fiche, ton style d'écriture est fluide et très agréable (l) Par contre, l'anecdote de la découverte des pouvoirs de Maureen est un peu exagérée, je te valide malgré cela mais si tu pouvais modifier cela plus tard, ce serait parfait ! Et je t'invite également à te rendre ici pour remplir le formulaire pour que ton personnage soit une vélane ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas (l) Have fun !
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 20:48
Merci :brille:
Pour l'anecdote, il me suffira d'éditer ma fiche ? Et est-ce que je dois vraiment la répertorier sachant qu'elle n'est pas réellement vélane, elle n'a que du sang coulant dans ses veines ? Désolée pour ces questions, mais je préfère ne pas faire d'erreurs. x)
Pour l'anecdote, il me suffira d'éditer ma fiche ? Et est-ce que je dois vraiment la répertorier sachant qu'elle n'est pas réellement vélane, elle n'a que du sang coulant dans ses veines ? Désolée pour ces questions, mais je préfère ne pas faire d'erreurs. x)
- InvitéInvité
Re: MAUREEN ϟ i can't fall asleep but i sure can dream
Dim 24 Avr 2011 - 20:52
Oui, tu peux te contenter d'éditer ta fiche (l)
Et je pense qu'il vaut mieux que tu la répertories vu que tu accordes beaucoup d'importance au fait qu'elle est fille de vélane dans ta fiche, je pense que c'est plus logique dans ce cas-là ;)
Et je pense qu'il vaut mieux que tu la répertories vu que tu accordes beaucoup d'importance au fait qu'elle est fille de vélane dans ta fiche, je pense que c'est plus logique dans ce cas-là ;)
|
|