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Elyane ** I'm your biggest fan
Mer 4 Mai 2011 - 19:31
✤ Wright Salut !!! Moi c'est Elyanne Stephanie Amberson, j'ai 22 ans, et je suis d'origine anglaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis bisexuelle a tendance hétéro, mais aussi célibataire et issu d'une famille de sorciers . A Hungcalf, j'ai choisi art journalistique , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en crin de licorne, 24 cm, bois d'if et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de hérisson . avatar Sway ? || icônes Sweet Crumble |
this is my story
Chapitre I : Hey hey I wanna be a rock star
J’adorais être un enfant. Du haut de mes dix ans et huit mois, j’avais la chance d’avoir conscience que j’étais une gamine et donc qu’il était plus facile de tout faire dans la vie. Car les erreurs ont les passes sur le compte de l’inexpérience et les gaffes sur le compte de l’enfance.
Ça fonctionnait quatre-vingt dix pourcent du temps. L’autre dix pourcent, c’était mes parents. Ils me connaissaient assez bien pour savoir que leur fille était un génie. À trois ans je savais déjà lire, ayant appris par moi-même. Un soir où ma mère me racontait les contes de Beadle le barde, j’avais pris de mes minuscules main le livre et je m’étais mise à lire le livre de par moi-même. Depuis, mes parents avaient compris que l’intelligence de cette petite fille que j’étais allait être plus grande que la moyenne des gens. Encouragé à lire depuis toujours, j’avais a mon actif lu les plus grands livres que la littérature anglaise pouvait connaitre et récemment mon père m’avait ramené un exemplaire d’un auteur espagnol de son voyage d’Amérique Latine. Bien que plusieurs concepts de ces livres m’échappent, les questionnaires que mes parents me posaient suite à chaque lecture prouvaient bien que ma compréhension du monde était beaucoup trop grande pour mon âge. Alors, ils ne furent pas étonné de m’entendre demander à mon oncle si la guerre entre les gobelins de 1920 ne les avaient pas assouvis aux sorcier au lieu de les libéré, alors que je n’avais que huit ans. J’étais donc brillante, mais je n’étais que cela pour mes parents. Être une enfant, jouée dans la boue ou courir sous la pluie n’était pas permis pour moi. Je n’avais jamais compris pourquoi mes amis avaient eu ce genre d’idée, mais lorsque j’avais fini par me prêter au jeu, j’avais fini par y prendre plaisir. Une sensation d’allégresse et d’euphorie qui vous prend le cœur et qui vous fait éclater de rire alors que son ami vient d’échapper un carpeau dans la marre; selon les livres on appelait cela l’enfance. Moi j’avais eu trop conscience de toute cette chance que nous avions pour en profité. De toute façon, mes parents m’avaient contraint à lire et apprendre au lieu de m’amusé. J’étais certes excellente en vocabulaire, en joie infantile j’aurais eu la note T pour troll.
C’est alors que dans ma vie arriva mon voisin Ewan StCloud. Un gamin de mon âge qui était venu me dire bonjour le jour de son déménagement avec des biscuits et du lait que sa mère avait fait. Je n’avais jamais compris pourquoi il avait fait cela, mais alors que j’acceptais ce monticule de sucre entouré de chocolat, j’avais décidé qu’Ewan serait mon meilleur ami. Et c’est ce qui se produisit. Inséparables, nous étions devenus comme frère et sœur. Mes parents aimaient me voir avec lui car ils montraient aux parents de Dwayne ma supériorité intellectuelle sur le fils, les les StCloud affirmaient Ewan plus sage en ma présence. Ewan m’apprenait donc à être une fillette de mon âge et je faisais découvrir à mon ami un monde de connaissance qu’il ignorait totalement. Tout le monde dans cette relation était donc gagnante et je n’étais que trop heureuse. J’avais l’impression d’être un peu plus moi-même a ces cotés et franchement, être un peu stupide de temps en temps et se rouler dans l’herbe au lieu de lire Kant, c’était vachement plus sympa!
J’avais donc dix ans et huit mois et j’ignorais si cette boule de stress dans mon ventre était du à l’enfance, au nombreuses gaffe possible ou au trac. J’avais été habitué de faire des concours d’orthographe, des dictés nationales et des marathons de mathématique –passe temps de mes parents : m’inscrire dans tous les concours possible pour montré à quel point les Amberson dominaient avec leur nouveau prodige- je regardais Ewan qui me leva un pouce dans les airs en signe d’encouragement. Je dégluti et j’entrai sur la scène. Il eu quelques applaudissement et mes jambes tremblèrent alors que je vis le regard froid de mes parents. S’ils m’avaient accompagné dans ce concours de musique, c’est bien parce que j’avais refusé d’avaler une boucher de nourriture durant des jours. La pression était mauvaise a exercé, mais c’était le seul moyen d’avoir du pouvoir sur mes parents à mon âge. Mon souffle se coupa alors que mes doigts commencèrent à gratter la guitare que M. StCloud m’avait donné à Noël voyant mon intérêt pour l’instrument qu’il jouait depuis qu’il avait été à Poudlard. Je me mis alors à chanté cette première chanson qui n’allait pas être la dernière.
«Miss Amberson?» «C’est moi.» «Félicitation pour votre première place.» «Merci.» «Ce n’est surement pas le premier concours que vous gagné! Mais sachez que cette fois vous l’avez remporté haut la main.» «Merci. Mais vous avez tord. C’est mon premier concours et j’ai fait un fa bémol de trop à la fin.» «C’est votre première fois vraiment?» Le monsieur avait du maïs dans sa moustache. C’était dégoutant. Et il serra la main de ma mère avec force tandis que mon père bomba le torse de fierté. Je regardai le trophée avec dubitation. Il était beaucoup trop léger pour être de bonne qualité. Franchement. Nous sommes des enfants mais nous ne sommes pas dupes quand il est question d’objet de plastique! Mes parents parlaient avec le monsieur trop gros. Moi je serrai mon coffre de guitare et je cherchais dans la foule mon ami. J’espérais qu’Ewan aie aimé ma performance, nous avions écrit ensemble cette chanson. Les livres de musique m’avaient appris à composé, mon large vocabulaire m’avait appris à écrire, mais le cœur de la chanson, ces émotions que j’avais extrapolé, elle venait d’un cœur d’enfant émerveillé comme celui d’Ewan. J’avais beau comprendre le monde, je ne l’apprécierais jamais avec la même naïveté impressionné de mon meilleur ami. La beauté du monde ne pouvait être décrite que si l’on a voyait vraiment, sans quoi les mots étaient vide. Le gros monsieur parti, ma mère se pencha vers moi et me serra dans ces bras. «Tu te rend compte Elyane. Une audition pour une maison de disque.» Je souris doucement et ne dit rien. J’avais pu rendre fière mes parents avec quelque chose que j’aimais vraiment. J’étais heureuse pour la première fois. Enfin je comprenais ce sentiment.
Chapitre II : The natural anthem
Chère Miss. Amberson
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription à l'école Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. Vous recevrez un billet de train pour la voie 9/4 à King's Cross, Londres, pour accèder au Poudlard Express qui partira à 9h précise le 1er septembre. Veuillez croire en l'expression de nos sentiments distingués.
Blabla bla…..
Assise à la table devant mon bol de chocolat chaud qui bouillait encore, j’avais les yeux rivés sur ce bout de parchemin qu’un hibou venait de me faire parvenir à travers la fenêtre. Le sceau de la plus grande école de magie en Angleterre sur la lettre, l’écriture délicate, mes onze ans. Depuis mes cinq ans, j’avais attendu ce jour avec impatience. Lorsque j’avais neuf ans, j’avais même fait un cahier qui montrait le décompte jusqu’à mes onze années de vie qui m’autoriserait enfin a poursuivre mes études magique comme mes parents l’avaient fait avant moi. J’avais hâte de parcourir les couloirs de pierre et remplis de tableau, croisés des centaines d’élèves, me faire des amis et des ennemis. Aller en cours, passer mes journées dans la salle commune ou dans le parc. Ma famille était de génération en génération a Gryffondor, je savais donc d’avance où j’allais. Et même si ce n’étais pas le cas, je savais que cela ne dérangerais pas mes parents. Mon cousin avait été le première de la famille depuis des décennies à avoir été envoyé à Serdaigle et il n’y avait pas eu de drame familiale comme il l’avait craint. Après tout, l’important c’était l’éducation, pas l’endroit où on dormait le soir. J’avais attendu avec impatience ces quelques mots qui m’enverraient loin de mes parents durant plus de la moitié de l’année. Les études. Enfin. Mes parents avaient déjà commencé à me préparer pour les cours, histoire d’avoir une moyenne acceptable pour faire au nom très connu des Anderson dans le classement d’honneur de l’école. Mais j’allais enfin avoir la possibilité de découvrir cela entourés de d’autres personnes, voir des visions différentes de la mienne et être confronté intellectuellement par des gens moins rapide sur la compréhension ou, au contraire, plus rapide que moi et donc me donnant enfin un défi a relevé.
Alors pourquoi avais-je les larmes aux yeux. Cette sensation d’étouffement à la gorge. L’impression que tout le monde allait de travers et la plus grande envie de crier au meurtre. J’étais terrifié. Alors que j’avais enfin eu une parcelle d’espoir dans un monde que j’avais travaillé si fort pour toucher, me voilà à devoir retourner dans les rangs d’une vie que je ne voulais pas. Je voulais faire de la musique, non pas aller à l’école tout les jours et faire plaisir à mes parents. Ne vous méprenez pas. J’adorais apprendre. S’il y avait quelque chose de magnifique dans la vie c’était bien de se plonger dans un livre qui vous fait découvrir une nouvelle vision d’un monde unique qui n’est que le tiens. Plus l’on est érudit, plus le monde devient vaste et inattendu. L’ignorance est une belle chose que l’on ne comprend même pas que l’on existe sans même en prendre conscience et l’on meurt sans comprendre que sa vie aurait pu faire un changement. Or, là n’était pas mon destin. «Papa, maman, on va devoir parler.» Je déposai ma lettre d’un air déterminé. Le culot de mes onze ans exigeait une discussion qui allait changer tout dans ma vie : allais-je ou non faire des études magique.
Chapitre III : Beautiful, dirty, rich
«Child without a soul» mon premier single fut lancé lorsque j’avais douze ans. Il fut treize semaine numéro un au palmarès des stations de radios et ma carrière monta en flèche. J’étais une nouveauté dans le monde des médias, un animal de foire que l’on adorait : une fillette avec une voix d’or qui clamait son indépendance au monde des adultes. Mais ce qu’on se tenait de dire dans les entrevues, ce que mes parents et mon agent cachaient à tous, c’est que ces mots venaient de moi.
Ce n’étaient pas un richard hautain qui se croyait expert en la magie de l’enfance qui avait posé des paroles si revendicatrice mais moi et Ewan un soir où l’on m’avait annoncé que j’allais devoir changer mon look vestimentaire pour pouvoir avoir accès à un studio d’enregistrement. Mais bien sur, personne n’aimait voir cette brunette qui adorait les jeans et les t-shirt trop grand et qui avait des airs d’ange. On voulait une fillette qui dirait aux jeunes filles qu’elles pouvaient être belle malgré leur jeune âge. On voulait une attitude rock. Et surtout une blonde. Du coup, un soir, j’étais arrivée en pleur chez Ewan avec une jupe d’écolière, un top moulant et une nouvelle coupe de cheveux affreuse et platine. Mon meilleur ami avait éclaté de rire avant de faire une moue triste en comprenant la gravité de ce que les producteurs avaient voulu faire de moi. Ewan vola le paquet de cigarette a son père et je fumai pour la première fois cette nuit là. J’y écris aussi mon premier hit. Et je me liais plus que jamais à mon meilleur ami. Mon cœur se serra. Je ne voulais pas qu’il retourne à Poudlard en septembre. Moi j’allais être seule ici et les mois étaient longs sans lui. Il arrivait toujours à me faire dédramatiser la situation. Et cette soirée là, il avait fait d’une situation qui aurait pu durer des mois, une chanson magnifique que je chantais encore lorsque j’étais triste. Le lendemain matin, j’avais fait des pieds et des mains pour que ce soit les StCloud qui me mène a mon studio. Les parents de mon amis avaient décidé de ne pas se mêler de ma carrière et acceptaient mes choix sans ne rien dire a mes parents, sachant les éventuelles disputes que cela pourrait occasionné avec mes parents profiteur et trop protecteur. J’étais donc arrivée au studio avec ma nouvelle chanson, des bas filets sous des jeans troués et mon vieux gilet de rock que l’on avait rendu plus sexy. Mes cheveux étaient passé de me frôlé aux fesse à une coupe Cléopâtre beaucoup trop carré pour mon visage mais qui voulait envoyer foutre toutes les conventions. «Écoutez les gars. On fait un compromis dans le style et je fournis les chansons. Si vous voulez vraiment que la boite dépasse toutes les attentes avec mon disque, il faut me faire confiance. J’ai passé l’année à lire des biographies des plus grandes star, je sais ce qu’il faut. Vous le savez autant que moi. Et pour ca il ne faut pas me transformé en pseudo Barbie comme l’on voit à chaque coin de rue.» Mon producteur me regardait sans voix. Il savait bien que je ne m’exprimais pas comme une enfant de mon âge, il en avait l’habitude depuis bientôt douze moi, mais a voir son air incrédule il ne s’attendait pas à ce genre de réaction de ma part. Et bien M Peterson, lorsqu’on est élevé avec des parents comme les miens, on fini par se forger le plus gros des caractères si l’on ne veut pas sombrer dans une dépression nerveuse. «Mon contrat fini dans deux mois, et franchement je n’ai pas envie de quitter la boite ni d’être une de ces vedettes qui ne durent qu’un été. Je veux durer et je peux vous être très payante si vous me faites un peu confiance et que l’on discute au lieu qu’on m’ordonne des trucs. J’ai douze and mais je n’en ai pas quatre!» M. Peterson croisa les doigts, un petit sourire vainqueur sur ces lèvres. Je compris. Je le connaissais assez bien pour savoir qu’il avait fait toute la mascarade de l’habillement simplement pour que je m’émancipe. Ainsi, j’exploserai et je déciderai de prendre un peu de contrôle sur ma vie. Il avait flairé ce potentiel en moi et pour cela, je lui en serai redevable a vie. «Je t’écoute ma jolie.» Je m’assis. C’était la première fois que l’on m’écoutait. Je lui montrai alors la partition que j’avais passé la nuit a écrie avec mon meilleur ami. « Ce qu’il faut c’est du changement. Du jamais vu. Provoqué et surprendre les gens. » Et c’est ce que je faisais maintenant depuis bientôt dix ans. Bien que l’on me mettait encore a l’épreuve, mon producteur avait compris que si je n’avais pas craquer lorsque j’avais douze ans, je ne craquerai pas en ce moment.
Mais au delà de ma carrière, de mes disques d’ors et de mes tournés profitable, il y avait mon image. J’étais passée du petit rebelle anti-parent à cette jeune femme qui s’assumait et se disait indépendante, forte, intelligente et qui combattait pour tout avoir dans la vie. C’est ainsi qu’à seize ans, je m’étais brouillé avec mes parents et j’étais maintenant émancipé. Cela avait été un véritable coup de publicité pour mon image d’indépendance, mais derrière cela se cachait une profonde et amer dispute avec mes parents que je n’osais même pas repenser tant j’avais une rage qui me prenait le ventre lorsque j’y pensais. Vivant seule dans un appartement que je payais avec mes fort revenus, je concevrai tout de même un héritage que m’avais transmit ma famille : l’éducation.
La compagnie de disque m’avait payé les meilleurs professeurs privés et avec eux je passais plus de vingt heures par semaine à plancher sur des travaux scolaire et divers débat intellectuels qui étaient au-delà de mon âge. À seize ans, j’étais déjà suffisamment préparer pour passée mes ASPIC, mais dans un souci de montré à mes fans que poursuivre ces études jusqu’à la fin était important (je savais qu’une partie de mes admirateur avait le même âge que moi sinon moi, et je me voulais une influence forte, mais positive) j’attendais mes dix sept ans pour me présenter au ministère de la magie et recevoir le même questionnaire que les élèves de Poudlard recevrait. L’attitude de mes instructeurs étaient donc plus loin, plus fort, plus complexe. Après avoir terminé d’étudier le cursus scolaire obligatoire, nous nous étions mis à faire des débats sur des théories et essais qui se voulaient des discours plus universitaire que collégial. Ainsi j’avais des discussions philosophique, politique et historique avec des hommes que trop souvent je corrigeais et qui me donnaient raison. J’avais donc trouvé en mes professeurs le remplacement paternel et maternel qui me manquait. Et l’été de mes seize ans, alors que j’atteignais ma majorité, moi ainsi que mon professeur de sortilège publions dans le Science et Sorcier un essai sur la nuisance de la théorisation magique. Je signai cet essai sous mon second nom, Stephanie A. pour éviter toute perturbation médiatique de ma carrière artistique sur mon parcours intellectuel. J’avais beau cultivé une image de femme forte qui portaient des petites tenues et qui adorait faire la forte tout en usant de sa tête (mélange complexe et facile a déséquilibrer, croyez moi!) je ne voulais pas que le nom de mon professeur soit trainé dans ma boue par les anti-pop-culture. L’intellectualisme et la culture de masse ne faisaient jamais bon ménage puisque le consommateur général était particulièrement stupide.
A 17 ans, le ministère de la magie me donna un certificat d’éducation qui équivalait au même titre que si j’avais fait mes sept années à l’école de magie Poudlard. J’avais eu des optimal partout. Mes parents l’apprirent par les magazines a potin, m’envoyèrent des fleurs, je les avais lancés par la fenêtre.
Chapitre IV : I'm your biggest fan I'll follow until you
love me papa-papa-paparrazi
La fumée régnait dans mon appartement du fait que je n’avais pas ouvert la fenêtre et depuis bientôt trois heures j’enfilais une cigarette après l’autre, fumant ainsi plus qu’une cheminée le soir de noël. La tourné de mon dernier album venait de se terminé sur la scène londonienne et à travers les fans il y s’était caché des critiques acerbes qui avaient descendu des mois d’effort en une critique médiocre au coin d’une page de la Gazette du sorcier. Les artistes qui disaient que les critiques ne les atteignaient plus mentaient plus que jamais. Ce n’était que le déni d’une situation qui les dépassait. Car quoi que l’on dise, anéantir des mois d’effort et de pratique en quelques mots vils et irrespectueux restant blessant. Non, il .était faux que ça ne dérangeait pas. Mais on s’y habituait. On finissait par être moins touché, mais on n’en devenait pas insensible. C’était le prix de la gloire. Je savais. Mais mon chéquier commençait à être vide de patience et je n’avais qu’une envie, craché sur tous ces pseudos connaisseurs de musiques qui ne trouvait un artiste bon que lorsqu’il n’était pas populaire et connu du grand publique. C’est hypster qui crachait sur tout ce qui était industriel, mais qui rejoignaient sans broncher cette marque de commerce qu’étaient devenu les «vrais connaisseurs de musique.» Oui je faisais de la musique pop. Oui mes rythmes étaient faits pour se danser sur n’importe quel dancefloor du monde. C’est d’ailleurs ainsi que j’avais acquis ma notoriété. Mais s’il n’y avait que de la musique de nuages et calmante, le monde serait cent fois moins intéressant et intense qu’il ne l’était. «C’est stupide, les gens adorent la musique pop mais la critique sans cesse, car c’est mieux vu d’écouter du contre-culture. Oui il y a de la médiocrité dans le pop…mais dans le contre-culture aussi. Mais on ne peut pas critiquer le contre-culture…car justement le principe c’est qu’il ne sont pas connus. Comment critiquer un ignoré. Mais non! Allons! Crachons sur la masse culture que personne n’aime, mais que tout le monde suit!» Je bu une gorgée de tequila et allumai une nouvelle clope. Les critiques et les fans n’ont pas d’opinion, ils n’ont que des émotions. Et j’en avais marre de faire de la musique pour eux. J’avais envie de retourner à la base. Mes premiers singles que j’avais passés des heures à écrire et composer chaque note de musique avec minutie. Bien que je sois encore la compositrice de chacune des paroles que je prononçais et des mélodies que je chantais, l’Elyane d’il y a huit ans avait beaucoup changé dans son amour de la musique. Ce n’était plus qu’une passion. C’était devenu un job. «Laisse tombé tu veux. » Je regardai Ewan qui me volait ma bouteille. «Tu sais bien qu’Anderson déteste tout ce que tu fais. Il te descend depuis des années. Alors pourquoi adorait-il soudainement le spectacle le plus provocant que tu as fait depuis le début de ta carrière. » Je me laissai tombée sur le divan et mis mes pieds sur le dossier de la chaise, ma clope entre les lèvres, je ressassais sans cesse les mots les plus durs qu’on avait donnés sur mon spectacle pourtant bien reçu un peu partout dans le monde. Ma seule déception était que dans ma propre ville de naissance, on ne m’acceptait plus. Une frustration qui me décevait et qui était la réelle raison de mon état ce soir. «Fuck it, sérieux.» Je tirai une longue bouffée. «Si tu parles encore de quitter j’te fou une baffe Ely.» Je regardai mon meilleur ami qui me tendit la bouteille. Je me relevai pour un boire un peu. Même l’alcool n’avait plus d’effet sur le vide que je ressentais depuis le dernier spectacle. «T’es simplement épuisée, ça fait deux ans que tu fais ta tournée. Prends un break et après tu te remettras en scelle.» J’étais chanceuse que les parents de mon meilleur ami de toujours ont accepté qu’il soit éduqué à la maison comme moi. Je me sentais bien seule dans ce monde d’adulte qui ne parlait que de succès et de fric. Ewan avait ce don si unique de me ramener sur terre d’une phrase ou d’une blague. Mon sourire devint un peu plus franc. Il avait raison. J’étais simplement exténuée. Je bus une autre grosse gorgée. La bouteille se vida trop rapidement. «Allez!» Je regardai mon ami qui alla dans ma chambre et qui revint avec ma guitare et un bout de pied. «Et si tu leur chantais combien ils sont stupides tous ces gens qui t’écoutent en te snobant.» Six heures plus tard et trois bouteilles de jack vidé, j’avais le prochain tube qui allait jouer tout l’été entre les mains. Bien sûr, à ce moment je l’ignorais. Je n’avais que le goût récent des lèvres d’Ewan sur mes lèvres alors que je venais de terminer de chanter la dernière note de ma nouvelle chanson. Mon cœur éclata. J’avais toujours chanté l’amour. Pour la première fois, je le découvrais.
Chapitre: V : The best damn thing I've ever seen
Le meilleur temps de ma vie fut a mes vingt-et-un ans. Pour trois raison que je m’amusais à appeler la CIA avec Ewan – Carrière, Intellectuel, Amour-. Ce petit mot que seule ma maison de production comprenait et que nous nous amusions à glissé dans les entrevue. Cela avait marché à un point tel qu’il y avait eu des rumeurs que j’étais suvit par le gouvernement américain ou que j’étais une espionne venu démantelé l’Angleterre. J’en avais fait une chanson qui avait fait un hit durant noël et qui me faisait rire à chaque fois que je la chantais sur scène. De voir les gens criés mes paroles légèrement snobme faisait rendre compte que bien des gens écoutaient ma musique pour mes rythmes accrocheur que pour mes paroles qui, pourtant, était chargé d’un sens profond si on daignait les écouter. Mais je n’étais qu’une pop-star, on ne m’écoutait pas, on m’entendait.
Carrière : J’étais LA star. L’année dernière fut marqué par mon nom. Mon nouvel album avait fait un tabac et les pires critiques m’avaient accordé le bénéfice du doute face à mon talent par les quelques chansons acoustique que j’y avais ajouté. J’avais fait une tournée de deux ans complètement sold out et fait des centaines d’entrevue. Quelques prix prestigieux et des centaines de lettre de fans qui m’affirmaient que mes chansons avaient changé leur vie. C’était tout ce que je voulais. J’étais déjà en train de plancher sur un nouvel album, j’avais fait une ligne de vêtement et on commençait à parler de duo avec des gens plutôt prestigieux. Ce fut l’année Elyane pour plusieurs revue de musique. Intellectuel : je continuais mes études malgré mon diplôme. Avoir une certification scolaire était bien mais je savais qu’être pop star signifiait être un jour adulé et le lendemain oublié. J’étais jeune et ma carrière avait commencé tôt, les risques étaient donc plus grand. Lorsque je ne pourrai plus danser en leggings en chantant mon âme sur scène, j’allais devoir trouver autre chose. Et pour cela, j’avais fait un parcours université spécialisé avec certains de mes professeurs privés. J’étudiais l’histoire, les sortilèges et la magie occulté. J’avais signé trois autres essai, minimisant ma signature un maximum pour donné une apparence intellectuelle à un travail fait par une pop star à l’image fêtarde. J’étais donc reconnu artistiquement et intellectuellement, j’avais trouvé des professeur qui me défiait a chaque jour avec de nouvelle connaissance, de nouvelles théories. Je retrouvais le plaisir d’apprendre que mes parents m’avaient enlevés et franchement, j’adorais cela. Amour : Il avait un nom. Ewan. Mon ami de toujours était devenu mon amoureux, mon amant, mon extraordinaire. Il avait toujours été à mes cotés et donc il avait l’habitude de ma vie mouvementé et absente. Il était compréhensif, attentionné et s’impliquait dans ma carrière comme il l’avait toujours fait. Mais le soir, lorsque je retournais dans ces bras, il m’était si agréable de retourner sur terre et d’oublier qui j’étais un instant. Je n’étais pas une pop star, j’étais Elyane, amoureuse et comblée.
Energie : je n’en avais plus. J’étais surbooké. J’étais heureuse.
Chapitre: VI: Cold and broken hallelujah
Mais la rumeur de mon couple avec Ewan avait été confirmé rapidement par les medias et les journaux à potin comme Sorcier Star et autre torchon qui n’avaient rien de mieux à faire que d’engager des paparazzo pour suivre moi et mes collègues de l’industrie de la musique pour prendre des clichés qui ne montrait qu’une chose : nous étions humain. Oui ils nous arrivaient d’avoir des moments moins glorieux, comme tout le monde. Mais une star n’avait pas le droit à l’erreur sans quoi son trône partait avec ces sujets et son château. Pour éviter tout scandale et photos controversés, nous avions donc décidé d’afficher notre amour au publique. Ce qui nous valu bien des mauvaises blagues, plusieurs lettre de fans qui m’affirmaient que l’on ne pouvait pas être indépendante si l’on était en couple et autre baliverne sans importance. L’image d’Elyane et qui j’étais vraiment était bien distinct. Je savais jouer les femmes fortes sur scène, mais Ewan me permettais de ne pas sans cesse combattre pour les grandes cause et brisés les tabou. Je pouvais être une fille normale qui était incapable de manger avec des baguettes chinoises sans en mettre partout au sol et qui connaissait par cœur les répliques de Star Wars. J’étais devenu un personnage scénique, et avec mon amoureux, j’arrivais à enlever le masque. Ainsi, il m’était plus facile de revenir en force devant le publique et dans les studios lorsqu’on me le demandait. Et entre temps, Ewan s’inscrit à Hungcalf. Ma tournée terminée, j’avais décidé de prendre une pause et de rester un peu en Angleterre. Voyager à travers le monde était fantastique et nous faisait manquer les moindres petits détails de chez soi. Alors, lorsque je pu me faire ma routine de thé ou dormir dans les draps de mon appart, j’en appréciais la vraie valeur. Mon petit ami tentait de vivre une vie normale, alors qu’il avait mis la sienne de côté pour être près de moi durant notre adolescence. Je le regardai donc aller dans cette université avec un brin de jalousie lorsqu’il me racontait, le soir venu, ces expériences scolaires que je ne connaissais que dans les romans et les films moldus. Trois de mes essais coécrit avec mes professeurs privés avaient beau être publié dans de grandes revues, ne pas vivre l’expérience de l’école m’atristait autant que me révoltait. Mais, comme me le rappelait mon amoureux, cela avait été mon choix a mes onze ans. Et je ne pouvais mettre ma carrière de côté pour une simple curiosité dont je me lasserai après trois semaines.
«Ely, tu viens au Vamp’? Les gars et moi on y va.» Je rigolai en relevant ma tête de mon roman qui me captait depuis quelques heures déjà. «Tu veux vraiment revivre la mascarade de la dernière fois que je suis allée en boite à Norwich?» Ewan me fit une moue déçue. Je savais bien qu’il aurait voulu avoir une petite amie un peu plus normale parfois, qu’il pourrait emmener danser ou manger au restaurant sans devoir prévoir de cacher son identité. Mais je ne pouvais lui en vouloir comme lui ne me tenait pas rigueur. Nous savions tout deux depuis longtemps le jeu que demandait la célébrité, et bien que parfois nous en avions marre d’y jouer, nous ne pouvions nous en passés. La célébrité et l’attention qu’elle vous donnait était la pire des drogues. Il était fréquent de voir des star tentant désespérément de s’y accroché et je ne pouvais que les comprendre. Bien que je sache ma carrière éphémère, je n’attendais pas avec impatience la fin. Je souris en réalisant cette pensée. Décidément, le repos m’avait fait grand bien. « Vas y, amuses toi. Tu inviteras tes amis ici un soir, on fera un party d’enfer!» L’idée plut a mon copain qui m’embrassa avec amour, content d’avoir enfin des amis d’école avec qui il pourrait s’éclater la gueule. «Je ne reviens pas trop tard.» Me murmura-t-il sur les lèvres avant de retourné m’embrasser. «Et toi tu n’écris pas ce soir. Tu as composé toute la journée.» Mon cœur papillonnait à chaque baiser qu’il me donnait. «Repose toi. Tu ne joues pas de musique avant mon retour compris? » Je rigolai en lui promettant et je le chassai de l’appartement. Une fois seule, j’allai me couler un bain et je me remis dans mes lectures pour mon prochain cours de Français qui avait lieu demain.
«Elyane bon sang ressaisit toi» J’écrasai ma clope dans le cendrier remplis et je regardai avec méchanceté et tristesse mon producteur qui était venu en furis dans la salle de répétition. «Ça fait si mois qu’il est mort, remet toi sur pied et va nous pondre quelque chose bon sang. » Mon cœur se serra alors que j’allumai une autre clope. Ma guitare était encore dans son caisson et amassait la poussière depuis ces six mois et si cet imbécile de Peterson n’avait pas compris que j’étais incapable de composé, c’était son problème pas le mien. «Fuck Peterson, tu viens vraiment me faire un discours de merde comme ça? » Je soupirai et me relevai de mon divan. «C’était mon meilleur ami depuis que j’avais huit ans, c’est lui qui m’a donné le courage de venir te voir et depuis un an c’était mon petit copain. Alors oui désoler mais j’ai encore du chagrin. Désoler que ca foire tes petits papiers, mais j’ai encore besoin de temps» Peterson posa son index sur son nez, j’étais dans le pétrin. Je le savais. Il faisait toujours ça quand il avait des choses difficiles et dures à dire. «Elyane… tes fan….» «FUCK PAUL CEST UN DE MES FAN QUI L’A TUÉ JE TE RAPPEL.» Ma main qui tenait ma clope tremblait tellement que je dut mettre le bout de tabac sur la table, essuyant une larme de rage qui me venait aux yeux. Il ne comprenait donc rien. Mon plus grand fan avait été Ewan, et maintenant, il était partit, pour toujours. «Tu sais qu’on l’a arrêté, et son procès…» «Le gars pourait bien pourir le restant de sa vie en prison que ca ne le ramènera pas!» «Mais…»«FUCK IT PAUL! Ya pas de mais d’accord. J’ai passé toute ma putain de vie a me fendre le cul pour mes fans, pour le publique, pour la presse et qu’est-ce que ca donne? Un admirateur qui n’accepte pas que je sois en couple décide de descendre mon petit copain en plein bar. C’est de la putain de merde! » Je repris ma clope et en tirai une longue et bienfaitrice bouffée. «C’est le prix de la gloire Ely» Une gifle en plein visage aurait été moins douloureux. «Va te faire voir»
Chapitre: VII: Fame monster part II - He ate my heart,
he ate my soul
Coup de théâtre dans le monde de la musique. Huit mois après l’assassina de son petit copain, la starlette Elyane Amberson annonce qu’elle quitte la scène et le monde du show-business. En conférence de presse hier matin, l’artiste nous a confirmé son départ et l’annulation de son prochain album et de sa tourné annoncée pour l’an prochain.
Les rumeurs courent que ce choix n’est pas personnel mais du à une violente dispute entre la chanteuse et sa maison de disque suite à l’inactivité médiatique d’Amberson depuis la mort d’Ewan StCloud, tué par Mike Sternesen en décembre dernier d’un coup de fusil en plein cœur lors d’une fête. Selon nos sources, la diva refuserait de toucher à un instrument de musique depuis et aurait fait d’énorme crise de colère lorsque l’on lui soulever la question. Bien que la maison de disque de la jeune fille refuse de confirmé cette théorie, nous savons tous bien que Amberson plonge de plus en plus dans ce monde de drogue et d’alcool qu’elle promeut dans ces chanson depuis toujours. La petite se ferait-elle prendre par le grand méchant loup? Plusieurs pensent que oui et la confirmation de son départ nous le confirme.
Nous ignorons encore tout plan de l’ex-chanteuse si ce n’est qu’elle a affirmé vouloir commencer une nouvelle vie. Les rumeurs nous affirment qu’elle se serait inscrit à l’université et aurait décider de prendre le parcours scolaire «normal». Le renvoi de ces professeurs et la location de son appartement (a des prix faramineux!) nous envoie le bon indice. L’université à refusé tout commentaire relatant le droit à la vie privé de leur élèves.
La jeune star refuse de parler au média et compte bien se faire oublié. Bien qu’elle sera suivit encore quelques temps, cher lecteurs, je crois qu’Amberson a bien compris que moins l’on témoigne d’intérêt au média, plus ils se lasseront de vous. La chanteuse de «To stupid to be blonde» pourrait finalement avoir un brin de logique sous sa tignasse platine et…..
Je chiffonnai l’article que je jetai dans le feu de la salle commune des Wright. Comme dernière critique, Anderson avait donc décidé de me prendre en pitié. C’était presque pathétique. Mais je m’en contrebalançais. Tirant sur ma clope, je regardai l’horloge qui affichait maintenant quatre heures du matin. Je pensai alors à mes parents. Ils auraient été surement fiers de savoir que l’on m’avait placé sous la bannière rouge et or.
Chapitre: VIII: Baby I was born this way.
Me voila donc, Elyane Amberson. Star de la chanson totalement blasé au cœur meurtrit par le départ de la seule personne qui avait cru en moi dès le départ et qui comptait plus que ma vie et ma carrière. Maintenant dans ma chambre étudiante de Hungcalf, j’essaie de me faire croire que de poursuivre un parcours universitaire me sera aussi possible que de vivre une vie normal. Je n’avais jamais gouté à ce genre de vie, mais je le trouvais fort amer. Les seuls personnes avec qui j’ai gardé contact furent mes professeurs privés, avec qui je continuais à poussé des théories autours d’un café en attendant l’illumination qui se finirait en quatrième essai signé sous mon second nom. Je ne connaissais personne ici et je n’étais pas prête a socialisée. Mais c’était déjà un pas dans une situation qui m’emmenait loin de toute cette industrie musical et de poudre aux yeux que je connaissais comme le fond de ma poche. J’en avais eu une overdose et maintenant je voulais tout repartir à zéro, mon inscription à Hungcalf me confirmerait si c’était une bonne idée ou si j’étais aussi pourris jusqu’à l’os que les gens de l’industrie dans lequel j’avais grandis. Mais une chose était certaine, j’attendais encore le retour d’Ewan pour recommencer à jouer.
✎I'M A FREAK BITCH aka Gizmo
Dans la vraie vie, j'ai 21 printemps . J'ai connu ce magnifique forum grâce à moi même ya longtemps :brille: et je ferais de mon mieux pour être là 6 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? oui . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à «Slut» le magnifique (l) Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que le gars il a un phare...il s'appelle on. c'est le phare-a-on...le pharaon. T'sais le chef de nous! . code règlement : OkbyWhiskas |
icônes by Àngel
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Mer 4 Mai 2011 - 19:33
GAGA HOULALA ! :hysteric: :haaaaa: (l)
Bienvenue !
Bienvenue !
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Mer 4 Mai 2011 - 19:51
Merci :brille: Il rock hein mon DC
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Mer 4 Mai 2011 - 19:53
Rien que l'avatar déchire !
J'espère que le personne sera tout aussi génial !
J'espère que le personne sera tout aussi génial !
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Mer 4 Mai 2011 - 19:54
Elyane S. Amberson a écrit:le gars il a un phare...il s'appelle on. c'est le phare-a-on...le pharaon. T'sais le chef de nous!
C'est la période des DC :huhu: en tout cas Lady Gaga est un trop bon choix :hysteric: bonne chance pour ta fiche (l)
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Mer 4 Mai 2011 - 19:55
Dont worry dear Et il nous faudra un lien de la mort qui tue :baveuh:
BTW vous manquer plus de Wright ou de Summerbee, j'hésite entre les deux
ET LE GAG IL DÉCHIRE BON :hysteric: :hysteric: :hysteric:
BTW vous manquer plus de Wright ou de Summerbee, j'hésite entre les deux
ET LE GAG IL DÉCHIRE BON :hysteric: :hysteric: :hysteric:
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Mer 4 Mai 2011 - 20:20
Bad romance (a) Re bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Mer 4 Mai 2011 - 20:21
un mot : SUMMERBEE
tu auras pleins d'amour chez nous :inlove:
Bienvenueeee (l)
tu auras pleins d'amour chez nous :inlove:
Bienvenueeee (l)
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Mer 4 Mai 2011 - 21:29
Don't be a drag, just be a queen
DC de qui de d'abord ? Je suis jamais au courant :pleure:
Rebienvenue en tout cas et bon courage pour ta fiche Lady Ely :hysteric:
EDIT : JE SAIS MAINTENANT ! :panda:
DC de qui de d'abord ? Je suis jamais au courant :pleure:
Rebienvenue en tout cas et bon courage pour ta fiche Lady Ely :hysteric:
EDIT : JE SAIS MAINTENANT ! :panda:
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Jeu 5 Mai 2011 - 9:07
Ton histoire en genial :brille:
rebienvenue Princesse (l)
rebienvenue Princesse (l)
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Jeu 5 Mai 2011 - 11:06
Rebienvenu (l)
Lady Gaga :baveuh: Vive Judas ! *je sors très loin oui *
Lady Gaga :baveuh: Vive Judas ! *je sors très loin oui *
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Jeu 5 Mai 2011 - 11:13
Lady Gaga t'es reservée pour 7 jours (ça n'avait pas été fait.)
Bon courage pour ta fiche :)
Bon courage pour ta fiche :)
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Jeu 5 Mai 2011 - 16:49
Chère étudiante
Félicitations, tu es admis(e) à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle :Puisqu'apparemment tu as parlé du Cursus scolaire avec Elo …
La fiche est superbe dans l'ensemble, attention aux fautes.
- InvitéInvité
Re: Elyane ** I'm your biggest fan
Jeu 5 Mai 2011 - 16:54
HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Merci :hysteric: :inlove:
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