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Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Ven 9 Sep 2011 - 18:16
✤ Grymm Salut !!! Moi c'est Callum Micah Anderson , j'ai 22 ans âge , et je suis d'origine écossaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétérosexuel, mais aussi en couple et issu d'une famille 50/50. A Hungcalf, j'ai choisi sciences occultes , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en Ebène de 27 cm avec de l'extrait de cœur de dragon et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de Magyar à pointes. avatar © Stella Gothika || icônes © Vodka_pomme |
✎...Stella Gothika
Dans la vraie vie, j'ai 22ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à Bazzart et je ferais de mon mieux pour être là 4 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à nom de l'admin qui t'as accordé le double compte Mon personnage est un scenar . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que Wanna have fun !! . code règlement : Ok By Savy |
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Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Ven 9 Sep 2011 - 18:16
Angus et Isla Anderson-Wallace ont la joie de vous annoncer
La naissance de leur fils Callum Micah
Ce lundi 21 Avril 1989
Avril 1989 – Mars 2002
Que dire d'une vie quand elle se déroule sans nuages, quand tout suit son court sans accro. Moitié sorcier par mon père et moitié moldu par ma mère, j'ai connu le meilleur des deux mondes. Mon père adorait les moldus, il adorait découvrir le mode de fonctionnement de leur vie. Et je crois que c'est pour cela qu'il n'hésita pas une seconde lorsqu'il rencontra ma petite maman dans un restaurant au fin fond de l'écosse près d'Aberdeen. Oui, ma mère travaillait comme second dans le restaurant familial. Elle avait un don pour la cuisine, elle aimait faire du bien aux gens en concoctant un repas et en les régalant de bonnes choses. Mon père tomba sous le charme de cette petite brune menue, aux yeux gris-verts et au parfum de muffins aux myrtilles. De son côté je crois que ma mère fut troublée par le mystère qui entourait mon père, par son regard noisette et son sourire. Elle me racontait souvent comment elle avait découvert la magie et combien depuis ce jour là elle n'avait jamais regretté d'être tombé amoureuse d'un sorcier. Mes parents étaient comme deux collégiens, ils n'arrêtaient pas de se bécoter ! Je peux vous dire qu'à la longue ça devenait ennuyeux et j'ai souvent réagit comme tous les petits garçons en disant que c'était dégoûtant les bisous et tout ça. Mais au fond j'étais heureux de voir que mes parents s'aimaient toujours surtout quand je voyais les autres enfants de mon entourage et ensuite de Poudlard racontaient les divorces et les séparations des leurs.
Je me souviens encore du jour où la magie s'est libérée pour moi. Imaginez un petit garçon casse-cou adorant jouer au pirate avec son père qui décide on ne sait pas pourquoi de prendre à l'abordage l'arbre le plus haut du verger. Je n'avais pas 6 ans mais j'étais un enfant turbulent, j'avais sans cesse besoin de bouger, de me dépenser. Donc je grimpais à cet arbre sans voir le danger imminent, sans écouter les suppliques de ma mère et les sermons de mon père. Une fois sur une branche haute c'est là que le sol me parut bien loin et non pas la peur mais une sorte de désir du vide s'empara de moi. Sans savoir comment je tombais tête la première lorsque ma chute fut ralentie « comme par magie » ! Je fus accueilli par les pleurs de joie de ma mère et soulevé de fierté par mon père. Un sorcier, j'étais un sorcier. On ne saurait dire lequel de mes parents étaient le plus heureux. Des moments comme celui-là j'en ai vécu de très nombreux. Notre maison était chaleureuse, pleine de vie et de rires. C'était un cocon, je m'y sentais bien, je m'épanouissais à l'abri des affres du monde extérieur et de sa brutalité. Rien ne semblait pouvoir venir troubler cela. C'était sans compter sur le revers de toute médaille.
Je me souviens encore du jour où la magie s'est libérée pour moi. Imaginez un petit garçon casse-cou adorant jouer au pirate avec son père qui décide on ne sait pas pourquoi de prendre à l'abordage l'arbre le plus haut du verger. Je n'avais pas 6 ans mais j'étais un enfant turbulent, j'avais sans cesse besoin de bouger, de me dépenser. Donc je grimpais à cet arbre sans voir le danger imminent, sans écouter les suppliques de ma mère et les sermons de mon père. Une fois sur une branche haute c'est là que le sol me parut bien loin et non pas la peur mais une sorte de désir du vide s'empara de moi. Sans savoir comment je tombais tête la première lorsque ma chute fut ralentie « comme par magie » ! Je fus accueilli par les pleurs de joie de ma mère et soulevé de fierté par mon père. Un sorcier, j'étais un sorcier. On ne saurait dire lequel de mes parents étaient le plus heureux. Des moments comme celui-là j'en ai vécu de très nombreux. Notre maison était chaleureuse, pleine de vie et de rires. C'était un cocon, je m'y sentais bien, je m'épanouissais à l'abri des affres du monde extérieur et de sa brutalité. Rien ne semblait pouvoir venir troubler cela. C'était sans compter sur le revers de toute médaille.
21 Mars 2002
Le ciel était sombre, la pluie se déversait sur les parapluies en un torrent interminable comme si la journée n’était pas déjà assez affreuse. Trop de noir, trop de gris, trop de larmes, trop cris, trop de tout… « Callum… Callum… ta grand-mère souhaite te parler ». Qui souhaitait me parler ? Et pourquoi d’abord. Moi je n’avais envie de parler à personne. Je me dégageais de l’étreinte de l’épaule qui entourait les miennes. Je n’avais que 12ans bientôt 13 mais j’avais déjà pas mal de caractère ce qui était un atout pour survivre à une journée comme celle-là… Tout le monde me regardait avec cet air de circonstances à la fois plein de tristesse, de condescendance et de sollicitude. En y regardant bien, je ne connaissais pas la moitié des personnes présentes, je ne savais pas pourquoi elles étaient là, si ce n’est pas respect ou par amitié. Un homme passa devant moi en me bousculant, j’allais réagir lorsqu’il se tourna vers moi et rencontrant mon regard il rougit violemment et s’excusa platement. Fucking cravate, elle me serrait tellement, j’avais l’impression de manquer d’air. On m’avait forcé à mettre un costume noir parce que « ce sont les convenances Callum » mais les convenances qu’est-ce que j’en avais à faire moi ! Tête basse, regard fuyant j’avançais au milieu de l’allée marchant sur les gravillons menant au lieu de la cérémonie. J’aperçus le visage de mon père, il était déformé par la douleur. Je n'arrivais pas à supporter de le voir comme cela. Alors je me tournais trouvant alors les yeux baignés de larmes de ma grand-mère et me dirigeait vers elle sentant tous les regards se tourner vers moi à l’approche du 1er rang. « Mon petit Callum vient près de moi, vient soutenir ta vieille Granny ». Qu’auriez-vous fait à ma place ? Vous l’auriez envoyé balader ? Moi non plus, même si je n’avais qu’une envie courir le plus loin possible de cet endroit. De guerre lasse, je m’installais à ses côtés, prenant délicatement la main de chère grand-mère. Machinalement je pointais mon regard au-delà du rideau de pluie, au-delà du prêtre qui s’avançait lentement vers le cercueil de bois clair. « Nous sommes tous réunis en ce premier jour du printemps pour accompagner vers sa dernière demeure un être cher : Isla Aileen Andernson-Wallace. Emportée par ce mal injuste et impitoyable qu'est le cancer du sein. Elle laisse son mari Angus et leur fils unique Callum… » Et voilà les mots étaient lâchés comme autant de coup de couteaux dans ma chaire. Plus les jours passaient et plus la douleur amplifiait car si le jour de sa mort je n’avais pas compris, pas réalisé et bien aujourd’hui je savais. J’entendais la voix du prêtre mais ne comprenais pas ses mots, j’entendais le chagrin de mon père, les pleurs de ma grand-mère mais ne pouvais pas esquisser un geste vers eux, je serrais les mains et acceptais les mots de condoléances mais la douleur m’anesthésiait. Mon monde venait de s’écrouler, rien ne serait plus comme avant. Comme dans un épais brouillard, je suivais la foule du cortège, montait en voiture et rentrait dans la maison de mes parents tout cela sans parler, sans pleurer. « Angus, tu ne peux pas élever Callum seul… Tu es trop fatigué, tu n'as pas dormi depuis... Marty et moi nous pourrions prendre soin de lui. Nous l’aimons beaucoup et puis nous n’avons pas d’enfant… » De pire en pire, maintenant j’étais comme un paquet de linge qu’on se passait de main en main. J’allais devoir quitter notre maison, mes amis, mes repères comme si perdre l'un des êtres les plus cher à mon cœur n’était pas déjà assez difficile. Maman, Tu me manques tellement. Pourquoi ? Pourquoi ?
Juin 2002
Mon père ne supportait plus la sollicitude de la famille de ma mère, il ne supportait plus la bienveillance et les regards empreints de miséricorde de sa propre famille. Aussi un matin alors que je venais à peine de descendre dans l'immense salle froide de toute vie de notre maison je fus surpris par ses propos. «Cal, mon grand, je crois qu'on a besoin de prendre l'air toi et moi. Je sais que tu as tes amis et la famille ici mais je n'en peux plus. Où que je regarde le visage de ta maman surgit et me rappelle à quel point elle me manque. » Je ne savais pas comment réagir, je touchais les photos de nous trois sur la cheminée. Ma mère me souriait, elle riait et ses grands yeux gris-verts se plissaient doucement. J'avais tellement besoin de son regard, de son sourire, de sa présence. Oui c'est vrai tout ici me la rappelait, tout me frappait et me blessait mais c'était une partie d'elle. Pourtant je comprenais mon père. Il souffrait, il l'aimait profondément et maintenant elle n'était plus. « D'accord Papa... » Je ne savais pas quoi dire de plus. Je me rapprochais de lui tranquillement et posait ma main sur son épaule. Cela faisait que nous n'avions pas été proche. Je me rendis compte alors à quel point il avait vieilli, à quel point il était marqué par le poids de la mort de ma mère. « Je ne pensais pas que tu dirais oui aussi facilement, fils. Je m'étais préparé à devoir batailler des heures. » Un éclat de rire fugace sortit de ma bouche. Je ne m'étais pas attendu à réagir ainsi. Je m'arrêtais net, rougissant de honte. Je me sentais tellement fautif de rire. « Ne t'inquiète pas pour moi papa. Si tu veux partir alors on va partir. » Après cela, il ne nous fallut pas deux jours pour choisir un endroit où commencer une nouvelle vie. Mon père travaillant comme sous directeur du département des sports et jeux magiques, peu importait l'endroit où nous vivions du moment que nous avions une cheminée pour accéder au réseau de transports magiques. De mon côté, j'étais entré à Poudlard depuis deux ans, chez les Serpentards, j'y avais mes amis, mes habitudes et de fait je n'avais pas d'attentes particulières. Tout du moins je ne voulais plus habiter dans une toute petite ville ou un village. J'en avais souper de connaître tout le monde et de voir les gens parler dans mon dos. Notre choix se porta sur Liverpool. C'était la ville des Beatles. Mon père adorait ce groupe et vivre dans la ville qui avait vu grandir John Lennon et Paul MacCartney semblait être pour lui un bon présage.
Septembre 2002
Cela faisait déjà presque trois mois que je vivais à Liverpool. Au début, je n'avais envie de rien, je ne voulais pas sortir, je ne voulais rien découvrir. Ce changement de vie n'avait été pour moi qu'une suite de déceptions et de déconvenues. Mon père n'était jamais là, il passait le plus clair de son temps au ministère et semblait vouloir oublier ma présence lorsqu'il était enfin là. Parfois j'avais cru lire dans son regard le supplice à ma simple vision. Qu'avais-je entendu le jour de l'enterrement ? « C'est incroyable comme Cal ressemble à sa mère, il a son regard et son sourire... » Est-ce pour ça qu'il ne me regardait pas ? Qu'il m'évitait ? Est-ce que je ressemblais tant à ma mère que père préférait ne plus passer de temps avec moi ? Toujours est-il que je me renfermais de plus belle sur moi. Rien ne semblait pouvoir me sortir de là, hormis toutefois le quidditch. Cette passion que je partageais avec mon père depuis le jour où j'avais pu marcher et prononcé le mot souaffle, qui dans ma bouche était devenu « fouaffle ». Le quidditch est devenu plus qu'une passion, c'est même grâce à ce sport que j'ai découvert le métier que je voulais exercer à tout prix : Créateur de balais de course. Pour la plupart des gens ce n'est pas un métier intéressant mais si vous êtes passionnés comme je le suis, vous vous rendez compte qu'un balai est un objet magique de toute beauté. Il ne suffit pas de choisir un morceau de bois et de lui jeter un sort ! Non, il faut bien plus que cela. Cette passion pour le quidditch et les balais m'a d'une certaine façon permis de ne pas sombré cette été là. Je n'avais envie de rien cependant il y avait un terrain vague derrière une usine désaffectée de très grande hauteur qui me permit juste avant la tombée de la nuit de pratiquer mon sport préféré. Mon père n'avait vu aucun problème à ce que j'ai mon propre balai de course dès l'âge de 8 ans au grand dam de ma mère. Depuis, chaque année mon père et moi nous allions au mois de septembre choisir un nouveau balai parmi les nouveautés. Sur le chemin de traverse à Londres, il y avait l'un des plus beau magasin et je rêvais secrètement d'y voir un jour l'une de mes créations. J'avais déjà commencé cet été là à réfléchir au nom que je pourrais donner à mes balais. Un peu fou ? Un peu mégalomane ? Oui je le suis certainement mais de toute façon c'était la seule chose qui me faisait sortir la tête de l'eau. Enfin ce n'est pas tout à fait vrai. Cet été là j'ai fait la connaissance de deux filles. Elles habitaient la même rue que moi, elles étaient mes voisines. Lony et Emy n'étaient pas sœurs bien qu'on aurait pu le penser. L'une n'allait pas sans l'autre. Si vous cherchiez Lony, il vous suffisait de savoir où était Emy pour les trouver ensemble. Au début cette amitié fusionnelle me glaça jusqu'au sang. Dès lors je me renfermais en les voyant, je jouais les cyniques, les arrogants et les mecs imbuvables. Cependant, je fus vite démasqué par ce duo. Elles insistèrent tant et si bien qu'à la fin de l'été je passais le plus clair de mon temps en leur compagnie et cela dura longtemps. Quand je découvris qu'elles aussi étaient des sorcières et que nous allions nous retrouver à Poudlard je n'avais pas pu cacher mon plaisir mais bien vite mon côté sombre et taciturne avait repris le dessus. On ne peut pas dire que j'étais connu à Poudlard pour mon sens de l'humour, ma sociabilité et ma joie de vivre. Aussi avoir quelques visages connus de plus dans mon entourage ne me fit que le plus grand bien. Bien entendu nos maisons différentes, nos caractères, nos amis de Poudlard tout cela fit que si notre amitié résistait au temps, les occasions de se voir étaient de plus en plus espacées.
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Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Ven 9 Sep 2011 - 18:17
Mai 2005
«A notre rencontre ! » Emy me regarda avec son petit sourire en coin et se mit à rire « Je pensais pas qu'après tout ce temps on serait encore amis» Ce qu’elle pouvait me faire rire cette fille. C'était bien l'une des seules avec Lony. Toutes les deux étaient vraiment des filles charmantes. On se voyait de loin en loin à cause des cours, à cause des maisons différentes dans lesquelles nous étions et aussi parce que j'avais un an de plus qu'elles. Loneleï était une petite perle, elle avait toujours des petites attentions envers moi, elle essayait toujours de savoir si j'allais bien. C'était une relation amicale tendre et simple. Rien à voir avec mon amitié avec Emy. Emy… son petit sourire charmant, ses boucles blondes, ses yeux doux. Je crois que je divague là. On se connait depuis quoi des années depuis ce temps là je n’ai jamais regretté de l’avoir bousculé dans la rue. Je me souviens encore de son air furieux lorsque je me suis excusé, lorsque je l’ai aidé à se relever. Il a fallu toute mon assurance et ma bonne humeur pour qu’elle accepte de me donner son prénom. Quand je me suis présenté, elle a tiqué en entendant mon prénom. « Peu conventionnel comme prénom, Callum » « Vraiment ? C'est écossais ! Mais si tu préfères mon deuxième prénom c'est Micah» Son regard surpris et son éclat de rire ont fini de me convaincre que c’était une fille qui gagnait à être connu. « Pour moi tu seras Micah ! Ta mère parents a eu beaucoup d’imagination ! Tu la remerciera pour moi » Ouch ! Ca faisait toujours aussi mal d’entendre parler d'elle. J’aurais voulu leur présenter ce petit bout de femme dynamique, têtue, hypersensible et pourtant dont on pouvait parfois croire qu’elle était handicapée des sentiments tellement elle cachait le moindre de ses ressentis. Enfin depuis ce fameux jou nous avons tissés des liens d’amitiés. Comme nous étions tous les deux à Poudlard, moi en 3ème année et elle en 2ème année avec Valérie, on se voyait là-bas et en revenant chez nos parents à Liverpool. De fil en aiguille on s’est trouvé pas mal de points communs, on se voyait sur le terrain de Quidditch, dans les jardins, ou à Liverpool pour aller au ciné, pour aller à un concert et comme ce soir aller à une fête et juste discuter autour d’un peu d’alcool. Il étais déjà 4h00 du matin, Loneleï totalement fatiguée était déjà partie se coucher alors qu'Emy et moi nous faisions office de pilier de bar avec quelques autres potes. «A notre amitié !» On porta des toasts à nos profs, aux Gryffondors, aux Serpentards, au Quiddtich, aux bouteilles de rhum, aux belles filles qui n'ont pas froid aux yeux, aux beaux mecs qui ignorent qu'ils sont beaux. On en venait à trinquer pour des conneries ! L'alcool engourdissait mon esprit, pourtant je sentais mon corps en ébullition. Emy et moi nous avions changé de place. Comme la fête se déroulait dans la maison de campagne d'un ami, il y avait des dizaines de chambres. Munis de nos bouteilles nous avions élus domicile dans une chambre spacieuse avec un canapé et une cheminée. Je sentais mon regard s’attardait sur ses épaules, sur son cou, sur ses mains et sur ses lèvres… « Micah tu ne m’écoutes pas ! » Non je ne l’écoutais pas car je savais exactement ce que je voulais, j’avais enfin pris ma décision. Je me sentais dans l’incertitude face à la réaction de cette jeune femme qui était mon amie. « Alors ! A quoi on trinque ! A... » « Aux baisers fougueux ! » Je ne lui laissais pas le temps de répliquer car l'alcool aidant je l'embrassais à pleine bouche, emprisonnant ses lèvres avec les miennes. Contre toute attente elle me rendit mon baiser comme si elle attendait ça autant que moi. Mais Emy est bien vite revenu sous sa carapace habituelle en me repoussant. « Je… Callum tu n’aurais pas du. » « Emy… Dis-moi que tu n’en as pas envie. Dis-le moi » Son regard croisa le mien, sa main toucha mon torse alors sans l’ombre d’un doute elle m’embrassa. Mon Emy ma douce et incroyable Emy. Tout serait merveilleusement guimauve si je vous disais que le lendemain matin après avoir couché avec Emy, nous nous sommes réveillés sereins dans les bras l'un de l'autre. Je dirais même que ce fut le contraire et c'est peu dire. C'était notre première fois à tous les deux. Emy me fit l'effet d'une furie. Elle se mit à gesticuler, à s'énerver, à me crier dessus comme si j'étais le seul responsable de la situation. Que je sache pour danser le tango on doit être deux et je me souvenais encore, derrière les brumes de l'alcool, d'avoir demander à Emy si elle en avait envie. Je ne l'ai pas forcé et pourtant d'une certaine manière à la voir réagir de cette façon on aurait pu le croire. Elle me regardait comme si j'avais trahi quelqu'un, comme si j'avais trompé ma copine avec elle. Or je n'avais pas de copine attitrée. Je flirtais, je prenais du bon temps mais jusque là je n'avais pas vu de fille qui en vaille la peine. Emy me menaça de me jeter un sort impardonnable si je racontais à qui que ce soit notre nuit, si je m'en vantais ou si je ne prenais pas garde à mes paroles ou à mes sous-entendus. Ce n'est pas peur des menaces d'Emy que je garde depuis ce jour là le secret. Non je garde le secret parce que c'est mon amie, parce que ce qui s'est passé entre nous ne regarde que nous. Même si par la suite j'ai joué le jeu, j'ai fait semblant de ne pas m'en souvenir, il n'en reste pas moins qu'avec elle j'ai vécu ma première fois. On se souvient toujours de sa première fois et d'une certaine manière je suis tout de même heureux que ce soit avec Emy. Après cela, nous nous sommes éloignés encore plus l'un de l'autre. Nous ne nous retrouvions qu'en présence de Loneleï ou aux matchs de Quidditch mais en dehors de cela nous n'avons fait que nous croiser.
Juin 2006
Des cris de joies provenaient de partout ! Une multitude de couleurs et de visages nous entouraient ! Fini Poudlard ! J’allais enfin commencer mes études supérieures de magie! J’allais pouvoir réaliser mon rêve ! Devenir créateur de balais de courses ! Avec mes amis nous attendions avec une telle impatience de recevoir ce bout de papier, sésame de notre indépendance. « Callum Micah Anderson » en lisant mon nom, en regardant mes amis autour de moi, en regardant leurs parents, je me sentis jaloux de leur fierté. Mon père était là avec sa nouvelle famille. Depuis 4 ans, mon père vivait en couple avec sa nouvelle compagne, Gladys. Il y a 3 ans je me suis retrouvé bombardé grand frère... Vous parlez d'une nouvelle et d'un choc ! J'ai vu déboulé dans ma vie déjà pas mal chaotique, une petite blonde aux yeux bleus prénommée Violette. Je ne voulais pas m'attacher à elle mais voilà, ma petite sœur, mon petit ange fit craquer mes défenses. Cependant j'avais encore du mal à m'intégrer à cette nouvelle famille. Rien ni personne ne pourrait remplacer ma mère. Bien sur mon père était mon port d’attache et j’avais pour lui énormément d’affection, d’amour et d’admiration. C’est grâce à lui que j’ai découvert ma passion pour les balais de courses. En tant que directeur adjoint au département des sports et des jeux magiques, il avait toujours des histoires incroyables à me raconter et à m’apprendre. Il n'avait pas toujours un moment à m’accorder lorsque j’avais des questions pourtant il essayait depuis deux ans de rattraper son absence depuis la mort de ma mère. C'est une des choses pour laquelle j'aurais pu remercier Gladys mais je n'arrivais pas à le lui dire. J'avais ce sentiment ridicule, s'il en est, de trahir ma mère en essayant de devenir ami avec la nouvelle femme de mon père. Mon regard s’accrocha à celui de mon père, il avait un peu vieilli pourtant je voyais encore en lui le héros de mon enfance. Une fois diplômés mes amis et moi, je rejoignis la famille pour un repas sur le pouce avant d’aller rejoindre la bal des lauréats ! « Callum, mon grand te voilà enfin diplômé ! » Ma main attrapa le verre qui se trouvait à ma portée et j’en bus quelques gorgées. « Maintenant j’ai hâte d’aller à Hungcalf comme toi ! J’ai hâte de vivre en colloc et de découvrir un tas de choses ! » Gladys, fit un geste qui me laissa perplexe et pensif, elle essuya discrètement une larme sur sa joue et m’adressa son doux sourire maternel « Tu as tellement grandit en l'espace de deux ans Cal. Les années ont si vite passées… Tu vas bientôt partir alors laisse-nous encore un peu de temps pour nous y faire. Violette va s'ennuyer encore plus de son grand frère. Et puis tu iras bien assez tôt à l’Université. » Comme elle allait me manquer ma petite soeur, je ne le réalisais que maintenant. Gladys me surprenait, je n'avais pas imaginé une seule seconde qu'en quatre ans et après mon comportement agressif, impulsif et sarcastique, elle pouvait se sentir triste de mon départ. Je n'avais pas vu qu'elle me portait une réelle affection maternelle. Ce n'est pas faute des engueulades de mon père pendant lesquelles il s'évertuait à me dire que Gladys me considérait comme son propre fils. Après 4 ans elle était devenue en quelque sorte une deuxième mère, elle était toujours là pour me réconforter, pour me consoler et jamais elle ne m’avait reproché mes sautes d’humeur et mes crises. Je n'avais pas compris jusque là que comme toute mère d'un ado, elle avait laissé passé l'orage. Des larmes embuèrent mon regard. Je pensais à ma mère disparu, à cette mère de substitution que j'avais maltraitée par mes attaques et mon égoïsme.... Je n'étais pas fier... « Gladys, je... je suis désolé pour tout. Je n'avais pas compris... toi aussi tu vas me manquer. Je vais vivre à Norwich, ce n'est pas la Sibérie non plus tu sais. Dès que je le pourrais je rentrerais le week-end à la maison. Et puis je viendrais à certaines vacances. Tu finiras par ne plus pouvoir me supporter et tu supplieras mon père de me faire déguerpir !» Soudainement elle éclata de rire, se leva et vint me faire un câlin. J'acceptais cet élan d'affection non sans précaution et un rien de retenu. « Toi tu sais comment parler à Gladys! Charmeur ! » Mon père nous regardait avec un sourire ravi tout en nous prenant en photo pour la postérité. Tout semblait si simple avec eux. Cette impression de bonheur me donnait toujours à espérer que moi aussi un jour je pourrais construire mon propre havre de paix. Mais en attendant,j'allais prendre une année sabatique pour faire un périple en Amérique du Nord et en Amérique du Sud. Mes potes et moi nous voulions découvrir la magie qui existait à l'éxtérieur des frontières britanniques. C'était grisant d'aller voir ailleurs. Grâce à mon père nous allions être accueilli par différents entraineurs de Quidditch faisant partis de ses amis. De cette façon j'allais joindre l'utile à l'agréable, voyager, découvrir d'autres formes de magie et continuer à vivre ma passion pour le Quiddtich et les balais.
Novembre 2009
Cela fait déjà un an que j'ai retrouvé dans ma vie Loneleï et Emy. Nous avions des nouvelles les uns des autres de temps en temps mais rien de plus. Apparemment, les filles s'étaient également éloignées de fil en aiguille. Hungcalf réanima l'amitié qui nous liés mais réanima aussi quelques vieux souvenirs enfouis. C'était pourtant bon de les revoir, de traîner avec elles, de pouvoir discuter de tout et de rien sans se forcer. Nous avons tous les trois bien changés. Mes amies sont devenues des jeunes femmes magnifiques et je peux dire que pas mal de mes potes m'envient d'être aussi proche de ces deux canons de beauté. De mon côté j'ai aussi évolué, je suis plus mûre, plus taciturne, plus impulsif et physiquement je me suis étoffé. Quand à savoir si je suis beau ou si je plais aux filles... là vous m'en demandez beaucoup. Je ne sais pas comment dire mais à chaque fois qu'une demoiselle de Poudlard s'intéressait à moi, au bout d'une semaine tout tombait à l'eau ! Je n'ai jamais compris le pourquoi de tout cela. Certainement mon côté sombre avait du en rebuter plus d'une. Le problème c'est qu'alors que l'année précédente j'avais pu vivre ma vie de débauché sans me soucier de rien. Voilà que depuis l'arrivée de mes amies, le phénomène de dissuasion auprès de la gente féminine recommence de plus belle. Alors que j'avais certaines habitudes avec des filles sexy en diable voilà qu'elles m'évitaient avec un sourire d'excuse. J'allais devoir tirer cette affaire au clair ! En attendant je ne me laissais pas abattre et apparemment mon attitude ténébreuse et impulsive ne déplaisait pas à tout le monde. En effet, Miss Loneleï me montra dès son arrivée à Hungcalf que je ne lui étais pas indifférente. Cette situation me rappela un peu trop la nuit où Emy et moi avions couchés ensemble. Aussi je préférais ne pas donner suite à ses avances, à son charme, à ses œillades prononcées. Et puis ce fameux soir de novembre, après être allés dans une boîte de nuit de Norwich, nous sommes rentrés saouls jusqu'à Hungcalf où vivait Loneleï en colloc avec une fille de Summerbee. Heureusement la demoiselle était absente car ce soir là je n'ai pu résister une fois de plus au charme de Lony. Son regard fiévreux, sa peau enivrante, le goût de ses lèvres et ses soupirs dans mon cou, tout me fit perdre la notion du temps. Le lendemain en me réveillant à ses côtés je m'attendais à vivre la même scène qu'avec Emy. Je m'étais préparé à une crise, à des menaces mais je fus décontenancé. Lony se serra contre moi, m'embrassa et ce fut tout. Pas de cris, pas de panique, juste de la tendresse. Je n'étais pas préparé à ça non plus. On ne peut pas dire que je sois habitué à ce genre de démonstration. J'aime le sexe, j'aime prendre mon pied mais le jeu du petit ami je n'y connaissais rien. Après cette première nuit, il y en eut une deuxième, puis une troisième et ainsi de suite jusqu'à ce que l'idée de Lony et moi en couple me traverse l'esprit. Dès le moment, où Lony et moi nous avons décidé d'être en couple, j'ai commencé à faire tout ce que je peux pour être un bon petit ami. J'essayais de me mettre en quatre pour répondre à ses attentes. Je ne suis pas amoureux d'elle mais je veux qu'elle soit heureuse. Cette relation est agréable, elle est confortable et j'aime être avec ma douce capricieuse. La seule ombre au tableau ? Emy... Depuis qu'Emy est revenu à Hungcalf, elle ne cesse de vouloir renouer les liens que nous avions étant plus jeune. Elle veut que le trio se reforme. Le problème c'est que dans cette équation à présent moi j'ai couché avec mes deux meilleures amies et à présent je suis en couple avec l'une d'elle. L'ombre d'un danger plane au-dessus de ma tête. Je sais que ma belle Lony est très jalouse, je l'ai compris en la voyant rembarrée une jolie deuxième année de Lufkin, qui n'avait fait que me regarder avec un petit sourire lorsque j'étais passé devant elle.
Septembre 2011
Me voilà en 4ème année à Hungcalf en sciences occultes. Je ne suis plus qu'à deux années d'avoir enfin mon diplôme et de pouvoir enfin commencer à travailler comme Créateur de balais le course. Le problème ? Oh rien du tout, juste une bande de vampires qui vient de prendre en mains le ministère de la magie, ce qui ne me rassure pas vis à vis de mon père, et qui a pris le contrôle de Hungcalf. Que dire... Ces vampires ont envie de faire mains basses sur tout ce qui se trouve dans le monde magique. Ils sont bien décidés à se battre contre les sorciers qui leurs résistent et à changer le cours des choses. Je n'ai pas choisi de camp : Pro-Cain, Pro-McArthur, je ne sais pas. Je choisirais celui qui me permettra de pouvoir accomplir mon destin et qui me permettra de devenir le meilleur créateur de balais de courses. Alors Cain, McArthur, je vous attends, montrez-moi lequel de vous deux est le plus convaincant, lequel de vous à la meilleure offre à me faire. Voyons lequel de vous deux à les partisans les plus persuasifs. Non pas que je sois un être exceptionnel mais un allié de plus dans un camp comme dans l'autre ça ne doit pas être pris à la légère. Un allié peut faire toute la différence. So wait & See...
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Ven 9 Sep 2011 - 18:31
Aaaaaaaaaaaaaah, je suis contente !!
Bon je suis pas sous Emy, mais la joie est entière :brille:
Je te réserve Aaron pour une durée de sept jours ! Si tu as besoin de quoique ça soit, n'hésite pas ! (l)
Bon je suis pas sous Emy, mais la joie est entière :brille:
Je te réserve Aaron pour une durée de sept jours ! Si tu as besoin de quoique ça soit, n'hésite pas ! (l)
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Ven 9 Sep 2011 - 20:06
Welcome :inlove:
Ouh, Aaron !!!!! :brille:
Ouh, Aaron !!!!! :brille:
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Ven 9 Sep 2011 - 22:04
Bienvenue parmi nous !
Bonne chance pour ta fiche :brille:
(t'as pris le scénario d'une folle, ça va swinguer )
Bonne chance pour ta fiche :brille:
(t'as pris le scénario d'une folle, ça va swinguer )
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Ven 9 Sep 2011 - 22:18
Savy - Emy :brille: merci !!!!!!
Merci Sunny alors toi aussi tu n'aimes mon petit Aaron :brille:
Thanks Seextine !! (non non je n'ai pas du tout peur tout à coup pour ma fiche et pour le scénario quand tu parles d'Emy comme d'une folle l )
Merci Sunny alors toi aussi tu n'aimes mon petit Aaron :brille:
Thanks Seextine !! (non non je n'ai pas du tout peur tout à coup pour ma fiche et pour le scénario quand tu parles d'Emy comme d'une folle l )
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Ven 9 Sep 2011 - 22:47
bienvenue parmi nous !
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Sam 10 Sep 2011 - 1:46
Ton avatar est comique :D
Bienvenue à toi, j'ai hâte de lire la suite de ta fiche :poke:
Bienvenue à toi, j'ai hâte de lire la suite de ta fiche :poke:
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Sam 10 Sep 2011 - 10:24
Merci Lust :)
8) Thanks Rafa, je vais essayer de pas trop traîner pour l'écrire
J'ai adoré le shoot d'Aaron et je me suis dit que ça ferait de bons ava lol :D
8) Thanks Rafa, je vais essayer de pas trop traîner pour l'écrire
J'ai adoré le shoot d'Aaron et je me suis dit que ça ferait de bons ava lol :D
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Sam 10 Sep 2011 - 10:49
Bienvenue. OMG it's gonna be hot :/
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Sam 10 Sep 2011 - 12:20
Merci Miss :D
j'ai l'impression que beaucoup de chose sont hot à Hungcalf lol c'est une impression générale ^^.
Bref ma fiche est terminée ! :yata!:
Bon courage à ceux qui vont la lire en entier ! 8)
J'attends ton verdict Emy, j'espère que ça te plairas :brille: :hysteric:
j'ai l'impression que beaucoup de chose sont hot à Hungcalf lol c'est une impression générale ^^.
Bref ma fiche est terminée ! :yata!:
Bon courage à ceux qui vont la lire en entier ! 8)
J'attends ton verdict Emy, j'espère que ça te plairas :brille: :hysteric:
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Sam 10 Sep 2011 - 18:08
Je vais faire un truc très mal : je vais laisser d'emblée Emy s'en occuper puisqu'il s'agit de son scénar'. Je t'avoue donc que je ne l'ai pas lu mais pour la peine, je t'en ferai un résumé dès que je rentre pour te prouver que je me suis rattrapée ;p
(l)
(l)
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Sam 10 Sep 2011 - 20:38
Cher étudiant
Félicitations, tu es admis à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : J'ai vraiment beaucoup aimé ta fiche :brille: Tu as vraiment tout compris et vraiment, j'ai hâte de RP avec toi. Et non, Emy n'est pas un danger... Bienvenue chez les Grymms baby
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Dim 11 Sep 2011 - 9:07
lol Cloé :p promis je vais attendre ton résumé de la fiche !!
Emy :brille: :brille: t'es un chou à la crème !! Merci, merci !!
J'ai hâte de rp aussi avec toi :hysteric:
Emy :brille: :brille: t'es un chou à la crème !! Merci, merci !!
J'ai hâte de rp aussi avec toi :hysteric:
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
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Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Sam 17 Sep 2011 - 22:18
Je n'ai pas eu l'occasion de te dire bienvenue : alors BIENVENUE ! :D
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Dim 18 Sep 2011 - 11:01
Merci merci :D 8) Ca fait toujours plaisir :brille:
- InvitéInvité
Re: Callum ~~ "You know the day destroys the night. Night divides the day."
Dim 18 Sep 2011 - 14:52
SexyAaron :inlove: :baveuh: Bienvenue (l)
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