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The Weird Wedding » Niamh
Ven 26 Fév 2016 - 22:05
The Weird Wedding » Niamh
Une journée qui s’éternisait, je trainais à Norwich. La pleine lune approchait. Dans deux semaines, j’allais comme à mon habitude m’enfermer dans les caves du domaine des Grindelwald. Je détestais cette sensation que j’avais à l’arrivé de la pleine lune, mes sens étaient aiguisées, mais mes sentiments aussi. Moi qui n’aimais proclamer mes sentiments si vite. Mais ce qui m’agaçais encore plus c’était cette histoire de Mariage. Je n’étais pas contre cette célébration, mais les mariages organisés étaient un peu de l’hypocrisie… Du moins de mon ressenti… Surtout quand on se marie dans un mois et qu’on a vu sa future femme qu’une fois pendant un dîner. C’est comme ce foutre de la gueule du monde non ? Elle s’appelait Niamh, Brune, yeux marrons… Elle semblait tout droit sorti d’un vieux grimoire de contes, mais je n’y croyais pas du tout à ses contes de fées pour moi c’est juste de la poudre aux yeux…
Mais il était temps pour moi de rencontrer seule la jeune ingénue, mais il faudrait que je sois plus fourbe dans ma manière d’agir… Je suis chez moi dans le manoir, assis dans une pièce dans un style rustique avec des grandes bibliothèque… posé sur mon fauteuil préférer, je cherche ma plume magique qui était ranger dans son boitier… Je glisse ma baguette contre le boitier en bois travaillé et dit d’une voix calme : « Accìo plume. » l’habitude d’utiliser l’écriture magique et ce qui était intéressant c’est que l’on ne pouvait retrouver mon écriture, car elle reproduit l’écriture de mon père. Un bout de parchemin sorte du boitier pour rejoindre la plume qui s’était animé après la formule… Je me racle la gorge, il fallait que j’ai une bonne élocution sinon ça allait encore finir par être écris n’importe quoi. « Chère Niamh, Veuillez me rejoindre au café du Chat Noir non loin du Cochon à plumes à 17 heures aujourd’hui pour l’heure du thé. Ceci est une affaire urgente et confidentiel… Veuillez m’excuser. » La plume scribouille tant bien que mal, une fois terminé je me relève et j’attrape le parchemin, l’enroulant pour l’enrouler… Je siffle l’air de My fairy Lady pour appeler Méliès mon hibou, d’un plumage grisâtre. Le hibou se pose sur mon bras et lui accroche le parchemin j’ouvre la fenêtre de la pièce et je lui dis : « Envoi ça à Niamh à Hungcalf, tu connais la route. » Je laisse partir mon compagnon et j’en ai un pincement au cœur… Cette sensation de partir à l’inconnu pourrait me paralyser sur place, mais j’arrive à me tenir. Mon père entre dans la pièce à ce moment : « Alastar que fais-tu ? » sa voix rauque me brisa de l’intérieur, je me retourne m’avançant vers lui pour passer à côté de lui et aller pour quitter la pièce : « J’envoie un Hibou à Hungcalf, une affaire en cours… » Lui disais-je d’un ton calme pour éviter tout débordement, je n’aimais pas cette homme… Comme pouvait-il me forcer à faire ce genre de choses. Jamais je ne comprendrais. Je monte dans mes appartements pour pouvoir me changer. J’enfile une chemise accompagner d’un veston. Un jeans et mon manteau. Je prends avec moi la montre à gousset de la famille Grindelwald qui était un Porte-au-loin, je l’enchantais à chaque fois en choisissant la destination. Je n’aimais pas transplaner par moi-même mon estomac avait du mal a le supporter, mais avec un objet cela me parait moins contraignant. Je m’approche de mon lit prenant mon sac, glissant ma baguette dans la poche intérieure de Trench. Il était presque l’heure, encore heureux que j’avais quelques trucs à faire au ministère. Je transplane alors à Londres aux bureaux du ministère de la magie, pour faire mon rapport sur la dernière mission en date.
L’heure passe vite il est déjà 16h30, je range mes affaires et je m’en vais par la cheminé enchantant la montre pour aller à Norwich. Une fois arrivé dans le centre-ville de Norwich. Je prends quelques petites rues pour atterrir non loin du Pub le Cochon à plumes. Reconnaissance la pancarte du Black Cat’s tea house. C’était un salon de thé dés plus classique, des fauteuils rembourrer. Une décoration très rustique. Tenu par des sorciers, les murs sont recouverts de tableau magique qui jouent des musiques d’ambiance plutôt économique comme idée. Je rentre à l’intérieur, je connaissais peu les patrons de cet endroit, mais je me souviens avoir déjà passé du temps ici par le passé pour le travail. C’est un endroit calme qui est propice à la discussion… Et de la discussion j’en allais en avoir une surement intéressante avec ma future femme. Je m’assois sur un divan attendant alors l’heure fatidique et l’arrivé de la jeune femme. Je commande un Earl Grey avec du citron et un peu de Lait d’Amande.
Mais il était temps pour moi de rencontrer seule la jeune ingénue, mais il faudrait que je sois plus fourbe dans ma manière d’agir… Je suis chez moi dans le manoir, assis dans une pièce dans un style rustique avec des grandes bibliothèque… posé sur mon fauteuil préférer, je cherche ma plume magique qui était ranger dans son boitier… Je glisse ma baguette contre le boitier en bois travaillé et dit d’une voix calme : « Accìo plume. » l’habitude d’utiliser l’écriture magique et ce qui était intéressant c’est que l’on ne pouvait retrouver mon écriture, car elle reproduit l’écriture de mon père. Un bout de parchemin sorte du boitier pour rejoindre la plume qui s’était animé après la formule… Je me racle la gorge, il fallait que j’ai une bonne élocution sinon ça allait encore finir par être écris n’importe quoi. « Chère Niamh, Veuillez me rejoindre au café du Chat Noir non loin du Cochon à plumes à 17 heures aujourd’hui pour l’heure du thé. Ceci est une affaire urgente et confidentiel… Veuillez m’excuser. » La plume scribouille tant bien que mal, une fois terminé je me relève et j’attrape le parchemin, l’enroulant pour l’enrouler… Je siffle l’air de My fairy Lady pour appeler Méliès mon hibou, d’un plumage grisâtre. Le hibou se pose sur mon bras et lui accroche le parchemin j’ouvre la fenêtre de la pièce et je lui dis : « Envoi ça à Niamh à Hungcalf, tu connais la route. » Je laisse partir mon compagnon et j’en ai un pincement au cœur… Cette sensation de partir à l’inconnu pourrait me paralyser sur place, mais j’arrive à me tenir. Mon père entre dans la pièce à ce moment : « Alastar que fais-tu ? » sa voix rauque me brisa de l’intérieur, je me retourne m’avançant vers lui pour passer à côté de lui et aller pour quitter la pièce : « J’envoie un Hibou à Hungcalf, une affaire en cours… » Lui disais-je d’un ton calme pour éviter tout débordement, je n’aimais pas cette homme… Comme pouvait-il me forcer à faire ce genre de choses. Jamais je ne comprendrais. Je monte dans mes appartements pour pouvoir me changer. J’enfile une chemise accompagner d’un veston. Un jeans et mon manteau. Je prends avec moi la montre à gousset de la famille Grindelwald qui était un Porte-au-loin, je l’enchantais à chaque fois en choisissant la destination. Je n’aimais pas transplaner par moi-même mon estomac avait du mal a le supporter, mais avec un objet cela me parait moins contraignant. Je m’approche de mon lit prenant mon sac, glissant ma baguette dans la poche intérieure de Trench. Il était presque l’heure, encore heureux que j’avais quelques trucs à faire au ministère. Je transplane alors à Londres aux bureaux du ministère de la magie, pour faire mon rapport sur la dernière mission en date.
L’heure passe vite il est déjà 16h30, je range mes affaires et je m’en vais par la cheminé enchantant la montre pour aller à Norwich. Une fois arrivé dans le centre-ville de Norwich. Je prends quelques petites rues pour atterrir non loin du Pub le Cochon à plumes. Reconnaissance la pancarte du Black Cat’s tea house. C’était un salon de thé dés plus classique, des fauteuils rembourrer. Une décoration très rustique. Tenu par des sorciers, les murs sont recouverts de tableau magique qui jouent des musiques d’ambiance plutôt économique comme idée. Je rentre à l’intérieur, je connaissais peu les patrons de cet endroit, mais je me souviens avoir déjà passé du temps ici par le passé pour le travail. C’est un endroit calme qui est propice à la discussion… Et de la discussion j’en allais en avoir une surement intéressante avec ma future femme. Je m’assois sur un divan attendant alors l’heure fatidique et l’arrivé de la jeune femme. Je commande un Earl Grey avec du citron et un peu de Lait d’Amande.
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