- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
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Les Mormont (famille)
Mar 17 Jan 2017 - 15:50
Les Mormont
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Re: Les Mormont (famille)
Jeu 19 Jan 2017 - 15:01
Landry Oswald Mormont
Je suis un summerbee | personnage inventé
« N’oublies jamais ce que tu es, car le monde ne l’oubliera pas. Puise là ta force, ou tu t’en repentiras comme d’une faiblesse. Fais-t-en une armure, et nul ne pourras l’utiliser pour te blesser. »
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» my story is not like the others
Les landes parsemées de bruyères défilaient à toute vitesse devant tes yeux éteints tandis que le soleil terminait lentement sa course derrière une colline baignée de lumière. L’Ecosse, ta terre natale, était plus belle que jamais. Et tu avais plaisir à contempler ses magnifiques paysages, mais ... l’angoisse d’entamer ta dernière année à Poudlard te tenaillait. Qu’aillais-tu bien pouvoir faire après ? Travailler au ministère ? Continuer tes études ? Partir à l’étranger ? Tu ne savais pas. Tu ne l’as jamais su. Mais aujourd’hui, il était temps pour toi de te poser les bonnes questions et réfléchir à ton avenir. Tu ne pouvais plus vivre au jour le jour sans te soucier du lendemain. Il était grand temps de grandir, te (re)prendre en main.
« Alphonse ? » Une voix suave te tirait de ta torpeur. Léonore. Tu avais presque oublié que tu n’étais pas seul. Ta meilleure amie t’avait rejoint une heure plus tôt, juste après avoir fait le tour des wagons afin de saluer ses camarades. Seulement, tu n’avais pas remarqué son retour, trop accaparé par tes sombres pensées. « Hey … » insista t’elle en posant ses mains sur les tiennes « qu’est ce qui ne va pas ? » Ses grands yeux verts te dévisageaient, l’air inquiet, tandis qu’elle caressait affectueusement la paume de tes mains. « Il n’y a rien. Tout va bien. » Tu esquissais un sourire tandis que tu lui rendais tendrement sa marque d’affection. Léo était la seule personne au monde que tu aimais réellement -mis à part quelques membres de ta famille- et tu ne voulais surtout pas l’inquiéter avec tes soucis. Elle avait d’autres choses bien plus importantes à penser. « Très bien … tu ne veux pas en parler, je respecte ça. Mais sache qu’on aura une discussion tous les deux une fois arrivés au château ». La Gryffondor n’était pas du genre à lâcher le morceau ; tu le savais très bien. D’ailleurs, son regard inquisiteur en disait long : que tu le veuille ou non, tu devrais lui avouer tout ce que tu avais sur le cœur. « Tais-toi et viens là mocheté … » Lui murmuras tu au creux de l'oreille avant de la tirer dans tes bras et l’enlacer. « Qu’est-ce que je ferais sans toi hein ? » Les yeux dans le vague, tu te rappelais à quel point Léo était devenue ta moitié au fil des années, ta lumière dans l’obscurité ...
Le vent s’engouffrait violemment dans tes cheveux bruns tandis que ta cape claquait inlassablement sur tes vieilles bottes en cuir - usées par des années de vadrouille et d’exploration. Cela faisait bientôt une heure que tu étais resté planté là, à flanc de montagne, le regard fixé vers l’horizon.
Voilà presque neuf ans que tu n’avais pas remis les pieds ici, sur la terre de tes ancêtres… Et tu avais presque oublié à quel point les landes étaient belles. Et dire qu’a quelques miles de là, juste devant toi, se trouvait la maison qui t’avait vu naître. Demeure au passé douloureux que tu avais finis par déserter – sans te retourner – dès lors que tu avais atteint la majorité ; laissant derrière toi une fratrie aimante et terrassée par le chagrin. D'ailleurs, tu te souviens encore du bruit assourdissant qu’avait fait la porte d’entrée lorsque tu la claquas avec fracas lors de ton départ. Tu avais juré de ne plus jamais revenir par ici .... Et pourtant, te voilà de retour aujourd’hui, après toutes ces années.
Tes mains commençaient à geler et tu ne sentais plus les extrémités de tes membres engourdis par le froid, mais tu n’osais pas aller de l’avant. Tu avais peur. Tu doutais. Était-ce réellement une bonne idée ? Après toutes ces années, que lui dirais-tu ? Ton esprit était en pleine effervescence ; tu n’arrêtais pas de penser et imaginer tous les scénarios possibles, jusqu’à ce que tu te remémores la lettre de ta plus jeune sœur : « Cher Alphonse, Maman est mourante. Je sais très bien que tu ne la portes pas dans ton cœur, mais n’oublies pas que c’est notre mère et que son seul tort aura été de tomber amoureuse de notre père. Je sais qu’elle n’a pas toujours été facile avec toi, et que tu as nourri au fil des années une certaine rancœur envers elle, mais s’il te plaît, reviens à la maison pour les fêtes de fin d’année. Sa dernière volonté est d’avoir tous ses enfants auprès d’elle avant la fin. Alph, si tu ne le fais pas pour elle, fait le au moins pour nous. Tu es notre aîné, et tu dois nous soutenir dans cette épreuve. Je t’embrasse. Clémentine, qui t’aime ».
Ta gorge se nouait au fur et à mesure que tu te remémorais ce fameux hibou. Tu savais qu’en allant là-bas, ce ne serait pas facile, mais tu devais bien cela a tes frères et sœurs. Ils ne méritaient pas de traverser tout ça seuls. Tu pris donc ton courage à deux mains et avanças lentement vers la petite maison au toit de chaume. Tu savais qu’ils t’attendaient…
Tu ne pouvais plus faire marche arrière. Ta décision était prise et tu étais prêt à voler de tes propres ailes – quitte à tourner le dos aux gens que tu aimes. Hungcalf. C’était là qu’était ta place. Là qu’était ton avenir. Là que tu pourrais t’épanouir. Tu en étais convaincu. Et ce n’était certainement pas tes parents qui pouvaient t’en dissuader – ni même tes frères et sœurs. Non, tu savais que ta place était à Norwich, auprès de tes amis, sur les bancs de l’université magique. Là-bas, tu apprendrais à devenir un éminent biologiste et tu partirais -une fois ton diplôme en poche- à la découverte du monde et de ses merveilles. Oui, tu en étais convaincu … Et à cette idée, tes lèvres s’étirèrent jusqu’à esquisser un léger sourire sur ton visage bien trop pâle.
Il était temps. Lorsque tu foulas les pavés du château pour la première fois, ton cœur fit un raté. Ce n’était pas tant la beauté des lieux qui t’avait coupé le souffle -bien qu’il faille reconnaître qu’Hungcalf était particulièrement splendide- mais l’étrange ambiance qui régnait dans ces lieux. Malgré l’agitation ambiante, tout n’était que calme et volupté. Était-ce le paradis ? Pourtant, on t’avait dit que l’université était un lieu de débauche et de beuveries, non ? Avais-tu mal entendu ? Déformé leurs propos ? Sûrement … ou peut être voyais-tu cet édifice d’une manière différente ? Poudlard avait été ta maison -et resterai toujours ton premier foyer- mais tu sentais au fond de toi que cesnouvelles vieilles pierres t’accueillaient à bras ouverts. Hungcalf serait ton nouveau refuge. Tu le sentais dans ta chaire. Dans tes tripes. Il serait ton rocher dans ta vie - cette mer agitée.
« Alphonse ? » Une voix suave te tirait de ta torpeur. Léonore. Tu avais presque oublié que tu n’étais pas seul. Ta meilleure amie t’avait rejoint une heure plus tôt, juste après avoir fait le tour des wagons afin de saluer ses camarades. Seulement, tu n’avais pas remarqué son retour, trop accaparé par tes sombres pensées. « Hey … » insista t’elle en posant ses mains sur les tiennes « qu’est ce qui ne va pas ? » Ses grands yeux verts te dévisageaient, l’air inquiet, tandis qu’elle caressait affectueusement la paume de tes mains. « Il n’y a rien. Tout va bien. » Tu esquissais un sourire tandis que tu lui rendais tendrement sa marque d’affection. Léo était la seule personne au monde que tu aimais réellement -mis à part quelques membres de ta famille- et tu ne voulais surtout pas l’inquiéter avec tes soucis. Elle avait d’autres choses bien plus importantes à penser. « Très bien … tu ne veux pas en parler, je respecte ça. Mais sache qu’on aura une discussion tous les deux une fois arrivés au château ». La Gryffondor n’était pas du genre à lâcher le morceau ; tu le savais très bien. D’ailleurs, son regard inquisiteur en disait long : que tu le veuille ou non, tu devrais lui avouer tout ce que tu avais sur le cœur. « Tais-toi et viens là mocheté … » Lui murmuras tu au creux de l'oreille avant de la tirer dans tes bras et l’enlacer. « Qu’est-ce que je ferais sans toi hein ? » Les yeux dans le vague, tu te rappelais à quel point Léo était devenue ta moitié au fil des années, ta lumière dans l’obscurité ...
Le vent s’engouffrait violemment dans tes cheveux bruns tandis que ta cape claquait inlassablement sur tes vieilles bottes en cuir - usées par des années de vadrouille et d’exploration. Cela faisait bientôt une heure que tu étais resté planté là, à flanc de montagne, le regard fixé vers l’horizon.
Voilà presque neuf ans que tu n’avais pas remis les pieds ici, sur la terre de tes ancêtres… Et tu avais presque oublié à quel point les landes étaient belles. Et dire qu’a quelques miles de là, juste devant toi, se trouvait la maison qui t’avait vu naître. Demeure au passé douloureux que tu avais finis par déserter – sans te retourner – dès lors que tu avais atteint la majorité ; laissant derrière toi une fratrie aimante et terrassée par le chagrin. D'ailleurs, tu te souviens encore du bruit assourdissant qu’avait fait la porte d’entrée lorsque tu la claquas avec fracas lors de ton départ. Tu avais juré de ne plus jamais revenir par ici .... Et pourtant, te voilà de retour aujourd’hui, après toutes ces années.
Tes mains commençaient à geler et tu ne sentais plus les extrémités de tes membres engourdis par le froid, mais tu n’osais pas aller de l’avant. Tu avais peur. Tu doutais. Était-ce réellement une bonne idée ? Après toutes ces années, que lui dirais-tu ? Ton esprit était en pleine effervescence ; tu n’arrêtais pas de penser et imaginer tous les scénarios possibles, jusqu’à ce que tu te remémores la lettre de ta plus jeune sœur : « Cher Alphonse, Maman est mourante. Je sais très bien que tu ne la portes pas dans ton cœur, mais n’oublies pas que c’est notre mère et que son seul tort aura été de tomber amoureuse de notre père. Je sais qu’elle n’a pas toujours été facile avec toi, et que tu as nourri au fil des années une certaine rancœur envers elle, mais s’il te plaît, reviens à la maison pour les fêtes de fin d’année. Sa dernière volonté est d’avoir tous ses enfants auprès d’elle avant la fin. Alph, si tu ne le fais pas pour elle, fait le au moins pour nous. Tu es notre aîné, et tu dois nous soutenir dans cette épreuve. Je t’embrasse. Clémentine, qui t’aime ».
Ta gorge se nouait au fur et à mesure que tu te remémorais ce fameux hibou. Tu savais qu’en allant là-bas, ce ne serait pas facile, mais tu devais bien cela a tes frères et sœurs. Ils ne méritaient pas de traverser tout ça seuls. Tu pris donc ton courage à deux mains et avanças lentement vers la petite maison au toit de chaume. Tu savais qu’ils t’attendaient…
Tu ne pouvais plus faire marche arrière. Ta décision était prise et tu étais prêt à voler de tes propres ailes – quitte à tourner le dos aux gens que tu aimes. Hungcalf. C’était là qu’était ta place. Là qu’était ton avenir. Là que tu pourrais t’épanouir. Tu en étais convaincu. Et ce n’était certainement pas tes parents qui pouvaient t’en dissuader – ni même tes frères et sœurs. Non, tu savais que ta place était à Norwich, auprès de tes amis, sur les bancs de l’université magique. Là-bas, tu apprendrais à devenir un éminent biologiste et tu partirais -une fois ton diplôme en poche- à la découverte du monde et de ses merveilles. Oui, tu en étais convaincu … Et à cette idée, tes lèvres s’étirèrent jusqu’à esquisser un léger sourire sur ton visage bien trop pâle.
Il était temps. Lorsque tu foulas les pavés du château pour la première fois, ton cœur fit un raté. Ce n’était pas tant la beauté des lieux qui t’avait coupé le souffle -bien qu’il faille reconnaître qu’Hungcalf était particulièrement splendide- mais l’étrange ambiance qui régnait dans ces lieux. Malgré l’agitation ambiante, tout n’était que calme et volupté. Était-ce le paradis ? Pourtant, on t’avait dit que l’université était un lieu de débauche et de beuveries, non ? Avais-tu mal entendu ? Déformé leurs propos ? Sûrement … ou peut être voyais-tu cet édifice d’une manière différente ? Poudlard avait été ta maison -et resterai toujours ton premier foyer- mais tu sentais au fond de toi que ces
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Re: Les Mormont (famille)
Mer 24 Mai 2017 - 11:44
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