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Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Sam 21 Jan 2017 - 19:59
Je suis une Summerbee ou ethelred | personnage inventé
« C’est drôle la vie. Quand on est gosse, le temps n’en finit pas de se trainer, et puis du jour au lendemain on a comme ça 50 ans. Et l’enfance tout ce qui l’en reste ça tient dans une petite boite. Une petite boite rouillée. »
WIZARD CARD INFORMATIONS | © lux ◈ Emma watson |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
St James Hospital. Dublin. Juillet 1999Une chambre blanche immaculée. Autour de moi quelques machines dont je ne connaissais pas l’utilité, j’étais seule et l’angoisse me prit à la gorge. Je tendis l’oreille discrètement, discernant des voix, elles venaient du couloir derrière la porte. « Ne vous inquiétez pas Mr Davis, nous allons nous occuper d’elle, vous pouvez compter sur nous. » Mr Davis ? Les personnes à l’extérieur parlaient-ils à mes parents, si c’était le cas pourquoi personne ne venaient me voir. L’angoisse s’amplifie lentement mais sûrement jusqu’à ce que la porte s’ouvrit laissant apparaître un homme en blouse blanche, aussi blanche que la pièce autour de moi. Il était grand les cheveux grisonnant et les yeux d’un bleus froid. Mes parents le suivaient de prêt, les traits assez tirés. Je leurs souris presque malgré moi, pour me rassurer du haut de mes huit ans. Ma mère s’approcha de mon lit afin de déposer un baiser sur mon front, presque machinal, je lui agrippai le bras presque désespérée.« Maman, pourquoi je suis là, je ne comprends pas. » Elle me sourit tout en me caressant la tête, j’ignorais si elle voyait l’angoisse dans mes yeux, peut-être pas, avec le recul je me demande même si elle en avait quelques choses à faire. « Les médecins vont te soigner ma chérie » Je fronçais les sourcils doucement, détournant les yeux de ma mère quelques instants.Pourquoi les médecins me soigneraient, je ne comprenais toujours pas. Je cherchais dans ma mémoire des raisons qui aurait pu faire que j’avais besoin de me faire soigner. Je n’en voyais pas vraiment « Mais je suis pas malade » dis-je en levant les yeux de nouveau vers ma mère pour ensuite tenter d’attraper le regard de mon père pour qu’il me rassure, qu’il me dise que ce n’était rien, juste une petite journée rien de bien grave. Il croisa mon regard, mais le sien était froid, étrange comme si quelque chose de grave c’était passé, pourtant je n’en avais aucun souvenirs. « Callie ma chérie, les médecins vont te soigner, tu dis que tu vois des choses voler, tes peluches ou tes poupées, ce n’est pas le cas, Callie, c’est pour ça que tu es là » Ma mère s’était levée et avait rejoint mon père en me disant ça. Je ne comprenais toujours pas. Oui mes peluches volaient de temps en temps mais je ne comprenais pas vraiment le problème était-ce une maladie ? Mon angoisse revint comme un couteau lancinant. J’avais envie de leur dire que ce n’était pas grave et je me sentais bien, que je ne voulais pas rester ici, seule sans eux mais rien ne sortit de mes lèvres. Alors que je les entendais parler d’un premier traitement, mes parents et le médecin se dirigèrent vers la porte, seul mon père me jeta un dernier regard, où je crus y voir de la crainte. Le médecin ferma la porte derrière lui. Me laissant seule. Cette chambre allait devenir ma prison.
St James Hospital. Dublin. Novembre 1999
Ils m’ont laissé là, seule. Sur ce lit blanc, ce même lit blanc. Toujours ce blanc. « Tu as perdu tes yeux brillants » disent certaines infirmières, je leurs fais des doigts d’honneur. Quatre mois, quatre putain de moi que je suis là à regarder ce même plafond blanc, à dormir dans ses même draps blancs. Quatre mois sans visites, mes parents ne sont jamais plus venus, et j’ai perdu espoir qu’ils viennent un jour, ils m’ont laissé là, et plus les jours avancent plus je me dis que je resterais ici pour toujours. C’est long quatre mois à neuf ans. Ils me donnent des calmants de temps en temps et je vois des psychiatres, je crois qu’ils pensent que je suis folle. Je suis pas folle. La nuit j’aime faire voler ma peluche, ça m’amuse. J’ai lancé le plateau repas sur une infirmière sans le toucher, on m’a sédatée pendant deux jours alors je ne me contente de faire léviter mon ourson la nuit. Ils vont finir par réussir à me rendre vraiment folle, je suis seule, toujours seule.
« C’est ma nièce, je vous demande de me laisser la voir » Des voix dans le couloir me firent levé les yeux de mon cahier où j’étais en train d’écrire. « Je suis désolée Mada...-Mademoiselle !-… Mademoiselle, Aucune visite ne sont autorisé avant le mois prochain selon la décision des parents » Je fermais mon cahier, le cachant sous mon matelas. Les voix s’approchaient de plus en plus de la chambre et devenir très clairement audible. « Nom d’un hibou ! Vous direz à mon frère d’aller se faire voir, c’est ma nièce, croyez moi si j’ai envie de la voir j’irais la voir » Alors que la porte de la chambre n’ouvrait dans la hâte, une femme brune d’un peu moins de trente ans, élancée, dont la tenue semblait avoir été choisie aléatoirement entra dans la chambre. Il me fallu quelques secondes pour la reconnaître. « Tante Anna ? » Elle me sourit chaleureusement et se précipita vers moi en fermant la porte. « Callie! Oh ma chérie… C’est pire que je pensais » Elle prit mon visage entre ses mains et j’eus l’impression que mon coeur se réchauffait pour la première fois depuis quatre mois . j’étais ravie de la voir. Vraiment. J’ignorais si c’était un cadeau de noël en avance ou si j’allais me réveiller mais j’étais sincèrement heureuse. « Qu’est ce que tu fais ? » Je la voyais observer autour d’elle et autour de moi, comme pour s’assurer que je n’étais raconter à rien. Elle fouilla dans ma petite armoire récupérant les quelques affaires qui s’y trouvaient. « Je t’emmène ! Tu ne vas pas moisir dans cet hopital moldus alors que tu vas très bien » Mol.. quoi ? Je ne comprenais rien. Peut être parce que les médicaments me rendaient plus faible que ce que je pensais. J’étais peut-être en train de rêver après tout. Ma tante me paraissait différente que dans mes souvenirs, plus … déterminée mais aussi plus joyeuse. Mais peut-être que ma mémoire me jouait des tours. « Bon lève-toi, je suis désolée j’aurais aimé t’expliquer tout en détail mais je pense que les médecins sont déjà en train d’appeler tes parents donc j’ai peur que nous n’ayons que quelques minutes, agrippe toi à moi, j’aurais tout le temps de t’expliquer à la maison autour d’un jus de citrouille ». Un jus de citrouille ? Etrange encore une fois. Je m’agrippais à elle, parce qu’elle représentait la liberté que j’attendais depuis des semaines. J’eus l’impression d’être aspirer dans un violent tourbillon, l’instant d’après j’étais dans une petite maison. Anna me tendit un seau dans un sourire, je vomis mon repas, puis je posais mon regard vers elle, de trop nombreuses questions se bousculaient dans ma tête.
St James Hospital. Dublin. Novembre 1999
Ils m’ont laissé là, seule. Sur ce lit blanc, ce même lit blanc. Toujours ce blanc. « Tu as perdu tes yeux brillants » disent certaines infirmières, je leurs fais des doigts d’honneur. Quatre mois, quatre putain de moi que je suis là à regarder ce même plafond blanc, à dormir dans ses même draps blancs. Quatre mois sans visites, mes parents ne sont jamais plus venus, et j’ai perdu espoir qu’ils viennent un jour, ils m’ont laissé là, et plus les jours avancent plus je me dis que je resterais ici pour toujours. C’est long quatre mois à neuf ans. Ils me donnent des calmants de temps en temps et je vois des psychiatres, je crois qu’ils pensent que je suis folle. Je suis pas folle. La nuit j’aime faire voler ma peluche, ça m’amuse. J’ai lancé le plateau repas sur une infirmière sans le toucher, on m’a sédatée pendant deux jours alors je ne me contente de faire léviter mon ourson la nuit. Ils vont finir par réussir à me rendre vraiment folle, je suis seule, toujours seule.
« C’est ma nièce, je vous demande de me laisser la voir » Des voix dans le couloir me firent levé les yeux de mon cahier où j’étais en train d’écrire. « Je suis désolée Mada...-Mademoiselle !-… Mademoiselle, Aucune visite ne sont autorisé avant le mois prochain selon la décision des parents » Je fermais mon cahier, le cachant sous mon matelas. Les voix s’approchaient de plus en plus de la chambre et devenir très clairement audible. « Nom d’un hibou ! Vous direz à mon frère d’aller se faire voir, c’est ma nièce, croyez moi si j’ai envie de la voir j’irais la voir » Alors que la porte de la chambre n’ouvrait dans la hâte, une femme brune d’un peu moins de trente ans, élancée, dont la tenue semblait avoir été choisie aléatoirement entra dans la chambre. Il me fallu quelques secondes pour la reconnaître. « Tante Anna ? » Elle me sourit chaleureusement et se précipita vers moi en fermant la porte. « Callie! Oh ma chérie… C’est pire que je pensais » Elle prit mon visage entre ses mains et j’eus l’impression que mon coeur se réchauffait pour la première fois depuis quatre mois . j’étais ravie de la voir. Vraiment. J’ignorais si c’était un cadeau de noël en avance ou si j’allais me réveiller mais j’étais sincèrement heureuse. « Qu’est ce que tu fais ? » Je la voyais observer autour d’elle et autour de moi, comme pour s’assurer que je n’étais raconter à rien. Elle fouilla dans ma petite armoire récupérant les quelques affaires qui s’y trouvaient. « Je t’emmène ! Tu ne vas pas moisir dans cet hopital moldus alors que tu vas très bien » Mol.. quoi ? Je ne comprenais rien. Peut être parce que les médicaments me rendaient plus faible que ce que je pensais. J’étais peut-être en train de rêver après tout. Ma tante me paraissait différente que dans mes souvenirs, plus … déterminée mais aussi plus joyeuse. Mais peut-être que ma mémoire me jouait des tours. « Bon lève-toi, je suis désolée j’aurais aimé t’expliquer tout en détail mais je pense que les médecins sont déjà en train d’appeler tes parents donc j’ai peur que nous n’ayons que quelques minutes, agrippe toi à moi, j’aurais tout le temps de t’expliquer à la maison autour d’un jus de citrouille ». Un jus de citrouille ? Etrange encore une fois. Je m’agrippais à elle, parce qu’elle représentait la liberté que j’attendais depuis des semaines. J’eus l’impression d’être aspirer dans un violent tourbillon, l’instant d’après j’étais dans une petite maison. Anna me tendit un seau dans un sourire, je vomis mon repas, puis je posais mon regard vers elle, de trop nombreuses questions se bousculaient dans ma tête.
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- Code:
<bottin><pris>●</pris> <b>emma watson</b> ━ Calliope Davis</bottin>
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Sam 21 Jan 2017 - 20:00
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Maison reculée. Campagne de Londres. Aout 2005 Le nez plongé dans mon livre de botanique de quatrième année, qui soyons honnête me fascinait autant qu’une course d’escargot un jour de canicule. Je profitais de mes derniers jours d’été, un jus d’abricot dans une main, mon livre dans l’autre, j’essayais de lutter contre la chaleur intense d’un mois d’août bien plus chaud que d’habitude. Tout à coup un craquement provenant de la cheminée vint faire trembler toute la petite maison qui semblait déjà tenir debout par miracle. Le bruit m’arracha un sursaut et un petit cri de surprise. Un petit rire amusé s’échappa de la cheminée et ma tante apparu les cheveux un peu plus grisonnant que six ans auparavant, quelques rides en plus mais le regard toujours aussi rieur. Elle secoua sa robe de sorcier des quelques cendres qui la parsemer avant de me rejoindre dans le salon. « Botanique 4ème … Hmm tu dois te régaler, c’est d’un ennuie » Je me mis à rire à mon tour avant de fermer le livre et de poser les yeux sur elle. Mes yeux chocolatés écarquillèrent en voyant son bras gauche en écharpe avec quelques traces de brûlures au niveau de l’avant bras. Anna dû comprendre mon expression car elle me coupa avant que je puisse dire quoi que ce soit. « Rien de grave, rassure toi je n’aurais plus rien dans quelques heures mais le ministre m’a donné ma semaine ». j’admirais Anna, elle disait n’être qu’une simple auror, loin d’être la meilleure mais pour moi du haut de mes quatorze ans, elle était une grande auror et j’aurais donné n’importe quoi pour la ressembler. Après tout elle m’avait tout appris, après être venu me chercher à l’hopital, j’avais appris que j’étais comme elle, une sorcière, que mes parents l’avaient considérée comme un monstre depuis toujours, qu’ils me considéraient sans doute comme tel depuis que mes pouvoirs étaient apparus et c’était sans doute pour ça qu’ils m’avaient laissé à l’hopital, seule. Elle m’avait tout appris sur Poudlard que j’avais rejoint à 11 ans, à Poufsouffle comme elle, j’avais été fière, j’avais tout fait pour qu’elle soit fière de moi. Peut-être que j’avais peur, peur qu’elle me laisse elle aussi, qu’elle m’abandonne comme mes parents avant elle, peur qu’il n’y ait plus personne pour calmer mes angoisses, plus personne pour me faire rire ou pour m’apprendre des choses. Oui je voulais qu’elle soit fière de moi, plus que tout. Elle était la seule famille que j’avais. Tout paraissait simple avec elle. Toujours.
Cimetière de Londres 2013. Un bouquet de fleur dans la main droite, une clope dans l’autre. Elle aimait les tournesols, je n’avais jamais compris pourquoi mais c’était trop tard. Trop tard pour lui demander alors j’en avais apporté un bouquet, comme une évidence. Je détestais aller là-bas, dans ce cimetière, froid et vide, ce cimetière qui venait me rappeler la douloureuse réalité. J’avançais donc malgré moi, malgré mon envie de fuir à toutes jambes. Je le savais pourtant je l’avais toujours su, elle me l’avait toujours dit que son boulot comportait des risques, elle m’avait dit un jour en riant que si elle crevait ça serait sûrement en mission, moi je ne l’avais pas cru, évidemment parce qu’on pense que les gens qu’on aime son éternel. Non les meilleurs partent les premiers et ça n’avait jamais été aussi vrai. Je rejoignais l’allée où la pierre tombale sur laquelle on pouvait lire "A ma chère Tante, Anna Davis 1971-2013’’. Mes yeux se levèrent doucement quand je vis deux silhouettes près de l’emplacement, si dans un premier temps je pensai faire face à des personnes qui avaient travaillés avec elle au ministère, plus j’avançais plus les deux silhouettes devinrent perceptibles.
Mon coeur marqua un temps d’arrêt quand l’une des deux personnes tourna la tête vers moi et que je la reconnu. « Calliope?! » Une voix familière et lointaine, une voix que je n’avais entendu depuis des années, la voix de ma mère. « Que faites vous là ? » Pas de bonjour, pas de retrouvailles larmoyante en se sautant dans les bras. Non plutôt crever. « C’était la sœur de ton père » Sous entendu, ils n’avaient plus de contact depuis des années mais bon il fallait s’assumer que la tarée de la famille était bien morte. Je sentis ma rage monter comme un volcan prêt à exploser « Ahh parce que la famille vous intéresse, je ne savais pas. » J’esquissai un sourire avant de prendre une bouffée de cigarette dans l’espoir illusoire qu’elle pourrait me calmer. Cela n’eu aucun effet. « Calliope nous sommes tes parents » J’eus un petit rire, un rire nerveux et pour la première fois je levai franchement les yeux vers eux pour les détailler de la tête au pieds. « Non, vous l’êtes pas. Des parents ne laisseraient pas leur fille de huit ans à l’hôpital sans jamais venir à la voir en disant qu’elle est malade, alors que j’étais tout sauf malade. » Je bouillonnais. Beaucoup trop, j’avais envie de leur sauter à la gorge, je ne savais si c’était cette haine enfouis depuis tant d’année ou si c’était à cause de la mort de ma tante mais j’étais incapable de m’arrêter. « Et des parents ne restent pas quatorze ans sans prendre de nouvelles de leur enfant, enfin c’est mon avis, mais je comprend après tout j’étais malade, il ne fallait pas que je vous refile un truc on sait jamais on aurait pu être heureux ». Je jetai ma cigarette au loin et posait le bouquet au pied de la tombe avec précipitation avant de tourner les talons. Je ne voulais plus les voir, plus jamais. J’avais le souffle coupé comme si j’étais passé sous le poudlard express, je tourna une dernière fois la tête vers mes géniteurs. « Anna a été là quand j’en ai eu besoin, elle a consolé mes chagrins, calmer, mes peurs m’a exprimer sa fierté, c’est elle mes parents. Maintenant si vous voulez bien s’excuser je dois rejoindre les gens comme moi, dans une université où les gens sont comme moi tous malades». J’avais rallumer une cigarette et j’avais quitté le cimetière d’un pas un peu trop lent à moi goût, je ne voulais pas me retourner. Jamais. Je voulais vivre, retourner à Hungcalf. Oublier Londres, les oublier eux. Je voulais rendre fière Anna, une dernière fois.
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Sam 21 Jan 2017 - 20:18
Bienvenue botey Bonne chance pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Sam 21 Jan 2017 - 20:26
Emma Watson please
bienvenue parmi nous
hâte de voir ce que tu vas faire d'elle
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Sam 21 Jan 2017 - 20:46
ouh comme elle est belle
bienvenue parmi nous beautey, bon courage pour ta fiche, et n'hésites pas à venir voir le staff si t'as une question
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Sam 21 Jan 2017 - 20:49
emmaaaaa
bienvenue parmi nous, courage pour ta fiche
bienvenue parmi nous, courage pour ta fiche
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Sam 21 Jan 2017 - 20:54
Tant de mystère
Bienvenue ici petit chat, bonne chance pour la fin de ta fiche
Bienvenue ici petit chat, bonne chance pour la fin de ta fiche
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Sam 21 Jan 2017 - 21:02
Maaais cet accueil
Merci merci à tous vous êtes beau :tong:
Je me mets à ma fiche,le strip tease l'histoire arrive doucement
Merci merci à tous vous êtes beau :tong:
Je me mets à ma fiche,
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Sam 21 Jan 2017 - 21:14
Ouiiii on veut en apprendre plus sur cette belle gosse qui débarque
Bienvenue mademoiselle et si tu as une question n'hésite pas à venir nous voir
Bienvenue mademoiselle et si tu as une question n'hésite pas à venir nous voir
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Dim 22 Jan 2017 - 18:12
Calliope Davis a écrit:pluuusunparcequej'aimefairecaca
je m'y attendais pas celle là
WATSON MA DEESSEEEEEEEEEEEEEEE
Oui j'ai un temple pour elle chez moi, dans l'armoire mais chutt
Bienvenue parmi nous
et bonne continuation pour l'écriture de ta fiche
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Dim 22 Jan 2017 - 20:48
EMMAAAAAAA
Bienvenue jolie demoiselle
Bienvenue jolie demoiselle
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Dim 22 Jan 2017 - 22:21
Calliope Davis a écrit:pluuusunparcequej'aimefairecaca
WHAT THE FUCK ?!
Mon dieu xD JERRY ! /sors/
Bienvenue ma belle ! *----* OMG, avec Emma en plus !
Bon courage pour ta fiche, si tu as le moindre pépin, on est là
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Lun 23 Jan 2017 - 10:47
Ouuui j'aime faire caca c'est important de l'assuemer non ?
Merci beaucoup pour votre accueil vous êtes choux
J'vous aimes déjà j'avais peur d'être exclus ( oui j'suis parano un peu ) mais ça va j'suis rassurée
Merci beaucoup pour votre accueil vous êtes choux
J'vous aimes déjà j'avais peur d'être exclus ( oui j'suis parano un peu ) mais ça va j'suis rassurée
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Lun 23 Jan 2017 - 10:52
Tout le monde trouve facilement sa place dans la famille Hungcalfienne, rassure-toi
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Lun 23 Jan 2017 - 11:19
bienvenue, miss! bonne chance pour ta fichette!!
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Mer 25 Jan 2017 - 21:52
je pleures déjà sur ta fiche
(commentaire du soir bonsoir)
(ok je stop flood right now)
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Mer 25 Jan 2017 - 22:09
Ohh mais noooon faut pas pleurer
J'essaie de finir le dernier chapitre d'ici demain
J'essaie de finir le dernier chapitre d'ici demain
- InvitéInvité
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Jeu 26 Jan 2017 - 13:38
Alors miss Déjà avant toute chose, il va falloir faire un choix entre rejoindre les Ethelred ou les Summerbee.
Ensuite attention car tu as utilisé à la fois le je, le tu et le elle dans ta présentation, ça va car ce sont des parties différentes mais fais attention de ne pas t'embrouiller à l'avenir Aussi, il y a pas mal de fautes d’accords, donc j'aimerais bien que tu te relises une fois en t'aidant de scribens au besoin avant que je repasse te valider
+ Calliope est une née moldue puisque ses parents sont moldus.
Ensuite attention car tu as utilisé à la fois le je, le tu et le elle dans ta présentation, ça va car ce sont des parties différentes mais fais attention de ne pas t'embrouiller à l'avenir Aussi, il y a pas mal de fautes d’accords, donc j'aimerais bien que tu te relises une fois en t'aidant de scribens au besoin avant que je repasse te valider
+ Calliope est une née moldue puisque ses parents sont moldus.
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Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Autour de moi tu danses, et moi j'oublie
Dim 29 Jan 2017 - 18:35
Pas de news ! Je déplace donc ta fiche.
Sans nouvelles de ta partrapidement, nous supprimerons ta fiche dans les jours à venir. Si tu as besoin d'un délai supplémentaire, y'a pas de soucis !
Sans nouvelles de ta part
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