- InvitéInvité
Dans l'ombre, tu te dessines ¬ théonie.
Sam 11 Nov 2017 - 22:56
dans l'ombre, tu te dessines
Théodore & Léonie
« Let's raise a glass or two for everything that i've had lost on you. »
Minuit trente Le crépuscule n'était déjà plus qu'une ombre, passée depuis des lustres déjà. Les étudiants avait cessé de festoyer dans la grande salle et avaient, doucement, regagner leur chambre. On pouvait admirer en cette nuit fraîche un ciel de novembre particulièrement dégagé, et les adeptes de l'astronomie seraient sans aucun doute rivés les yeux vers la voûte céleste à en admirer sa sublime beauté mais ce n'était pas le cas du beau Grymm à la réputation qui le précédait. Il avait bu. Un doux mélange de champagne, de bière et d'une foule d'autres alcools qu'on lui avait présenté « On ne peut jamais refuser un verre que l'on vous tend, c'est un crime » avait-il la mèche drôlement courte, un sourire précieux aux lèvres. C'était les festivités à Hungcalf, avec le tournoi de Quidditch qui y régnait, et les fêtes presqu'à tous les soirs.Le jeune Théodore suivait pourtant très bien la cadence sauf que ce soir, il avait bu trop, trop vite et n'avait pas réfléchi aux conséquences. BREF, il était comme à son habitude. Cette beuverie sans fin avait cependant des raisons bien plus profondes que le simple désir de vivre sa jeunesse éphémère. Il était malheureux, presque désespéré même. Il avait la vie rêvé de tous : la richesse, la popularité, les filles qui lui tournaient autour comme s'il possédait dans son corps son propre champ magnétique, il avait de bonnes notes, un bon cercle d'amis bref, la vie semblait lui sourire si l'on devait le comparer à d'autres étudiants de son âge qui eux, avaient finalement une vie bien plus catastrophique que la sienne. Mais malgré tout, le doute subsiste... Il ne savait plus où il en était. Est-ce que cela valait vraiment la peine de poursuivre ses études quand toute sa famille s'y opposait? Pourquoi n'allait-il pas en stage chez papa Maslov ? La réponse à ces questions n'avait qu'un mot, un seul : LIBERTÉ. Oui, le blondinet n'aspirait qu'à cela être libéré de ses chaînes qu'on lui a injustement mis aux chevilles lorsqu'il était gamin.Il voulait être tel un gitan, à parcourir le monde en quête d'animaux à soigner. Parce que les bestiaux étaient parfois bien plus humains que tous. Ô comme Maslov l'avait bien compris au fil de son expérience, à ses yeux les animaux possédaient plus de valeur que sa propre famille. Eux au moins l'appréciait à sa juste valeur. Il n'avait pas besoin d'avoir le sang noble pour que l'on se soucie de lui.
Le jeune français luttait contre le sommeil, ses paupières tombant lourdement alors que le feu de cheminée qui dominait le centre de la grande salle lui parut soudainement plus flou, il entendit des bruits de pas. Il était certes ivre, mais pas encore inconscient. Il se mit à grommeler « Partez, fichez le camp je veux être seul » loin d'assimiler le fait qu'il se trouvait dans une aire commune qu'il ne possédait pas. Qu'importe, il s'appropriait la grande salle en ce jour de gloire et se replia un peu plus sur lui-même , ses grandes cannes repliées sur elle-même, presqu'appuyées contre son front. Malgré l'avertissement, l'étrangère lui semblait atteinte de surdité et il crut entendre les pas de plus près. « Je n'hésiterai pas à vous lancer plein plein de sorts dangereux, voilà oui dangereux ! je veux être seeeeeeeeeeeul » insista-t-il d'une voix rauque avec son petit accent français encore plus perceptible, l'esprit affaibli par l'essence de whisky ingérée. On aurait cru à une réplique enfantine et c'était presque ça, l'alcool amoindrissait les facultés mentales, il y avait eu des études à ce sujet et de nombreux individus en avaient fait la preuve. Il ne souleva pas un seul instant sa tête parce que cela commençait à drôlement l'étourdir et il perdit peu à peu quelques une de ses sens, dont celui du toucher. Il ne ressentit donc pas une main le toucher, ou le claquer mais son corps eu pour lui-même des réflexes de se replier, mécanisme de défense naturel. Qui était donc cette sombre inconnue troublant sa quiétude?
Le jeune français luttait contre le sommeil, ses paupières tombant lourdement alors que le feu de cheminée qui dominait le centre de la grande salle lui parut soudainement plus flou, il entendit des bruits de pas. Il était certes ivre, mais pas encore inconscient. Il se mit à grommeler « Partez, fichez le camp je veux être seul » loin d'assimiler le fait qu'il se trouvait dans une aire commune qu'il ne possédait pas. Qu'importe, il s'appropriait la grande salle en ce jour de gloire et se replia un peu plus sur lui-même , ses grandes cannes repliées sur elle-même, presqu'appuyées contre son front. Malgré l'avertissement, l'étrangère lui semblait atteinte de surdité et il crut entendre les pas de plus près. « Je n'hésiterai pas à vous lancer plein plein de sorts dangereux, voilà oui dangereux ! je veux être seeeeeeeeeeeul » insista-t-il d'une voix rauque avec son petit accent français encore plus perceptible, l'esprit affaibli par l'essence de whisky ingérée. On aurait cru à une réplique enfantine et c'était presque ça, l'alcool amoindrissait les facultés mentales, il y avait eu des études à ce sujet et de nombreux individus en avaient fait la preuve. Il ne souleva pas un seul instant sa tête parce que cela commençait à drôlement l'étourdir et il perdit peu à peu quelques une de ses sens, dont celui du toucher. Il ne ressentit donc pas une main le toucher, ou le claquer mais son corps eu pour lui-même des réflexes de se replier, mécanisme de défense naturel. Qui était donc cette sombre inconnue troublant sa quiétude?
(c) DΛNDELION
- InvitéInvité
Re: Dans l'ombre, tu te dessines ¬ théonie.
Sam 23 Déc 2017 - 11:19
rp archivé car l’un des participants est supprimé
|
|