- InvitéInvité
C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Sam 16 Jan 2010 - 19:29
(c) bazzart
La soirée qui arrive risque d’être des plus alléchantes pour diverses raisons. Ce soir tout le monde connaîtra enfin toute la vérité, plus aucun moyen de mentir, vous pourrez voir l’être humain dans toute sa splendeur, sans compter que vous pourrez aussi voir la beauté d’un drogué en manque. Oui vraiment cette soirée est parfaite pour les sadiques.
Vous n’avez absolument rien à faire si ce n’est ramener vos jolies petites fesses, bien sûr vous pouvez venir habiller de la manière dont vous le souhaitez, magnifique robe ou en habituel jean, basket. Vous êtes le maitre de la soirée jusqu’à franchir la porte, après vous serez prisonniers. La fête se déroule sous une grande tente près de l’étang, dans l’invitation qu’il vous a été envoyé il est spécifié alcool & drogue à gogo or ce n’est pas vrai, il n’y a absolument rien là-bas sauf des boissons non-alcoolisé & de la nourriture tout à fait normal. Bref une soirée bien différente de celles qui se déroulent habituellement Hungcalf.
Bref, rendez-vous à 19h dans la tente accompagné ou non & sans alcool & drogue si possible, de toute façon il vous sera impossible d’en consommer –pour plus de détail voir ici- & profitez bien de la soirée qui vous est offerte.
P.S : un RP commun est en place. Vous pouvez donc tous postez à la suite si vous le souhaitez ! ;)
Mais il est tout de même possible de RP dans un topic à part. C'est comme vous le sentez !
- InvitéInvité
Re: C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Jeu 21 Jan 2010 - 19:17
Lorsqu’on s’appelle Orphée et qu’on s’organise toujours au dernier moment voilà ce qui arrive. On se lève avec les cheveux en pétard, des yeux surlignés par des valises et lorsqu’on regarde l’heure on se rend compte que ça fait déjà une heure que notre réveil à sonné et ce n’est vraiment pas le moment lorsqu’il n’y a pas une minute à perdre. Alors oui on se met à courir dans tous les sens, un passage express à la salle de bain comprenant douche, coiffure ainsi que maquillage. Puis on se retrouve face à son faucon qui vous apporte du courir || PAUSE un faucon ?! Tout à fait ce n’est pas un rêve ce n’est pas une chouette ou un hibou qui m’apporte mon courrier pour la simple cause que j’en ai la trouille mais faut pas le dire et puis ce n’est qu’un détail sans importance. Enfin revenons à nos moutons juste une lettre *pff* bon c’est déjà bien mais deux c’est toujours plus encourageant, quoi qu’il en soit je m’accordais cinq petites minutes pour lire cette fameuse lettre écrite par mon père, il m’avait enfin répondu une vague de soulagement submergea mon corps endolorie par la longue nuit et oui même une douche ce n’est pas assez pour me réveiller. Je laissais glisser le papier sous mes doigts et mes yeux s’occupaient de faire des allés retours sur les quelques lignes où l’encre avait tracé son chemin.
« Ma chère petite Orphée,
Tu n’auras donc jamais toute ta tête, il faudra bien pourtant qu’un jour tu te débrouille seule mais comme pour le moment je suis encore en vie j’accepte de te venir en aide et puis c’est mon rôle de père. Dans ta lettre tu disais avoir oubliée la moitié de tes affaires et surtout tes pyjamas j’espère seulement que tu n’as pas eu trop froid quand à ne prendre que des robes d’été ce n’était pas non plus la meilleure solution nous sommes en hiver mon enfant. Enfin, au moins on sait de qui tu tiens cela, je n’écrirais pas beaucoup car tu sais que je déteste ça. Je t’attends à Norwich afin que tu puisses récupérer quelques affaires à toi dont des pulls chauds, ainsi que ta carte bleu il est vrai qu’avec 100£ tu n’iras guère loin. Le rendez-vous est pour 11h30 après je dois retourner en France, ne soit pas en retard je ne t’attendrais pas éternellement. Bien à toi. »
Je repliais la lettre en deux, la posait sur ma table de nuit et filais vers mon armoire. Il fallait vraiment que je m’active il était exactement 10h40 alors le temps que je finisse de me préparer et que je parte pour Norwich je devrais arriver pile à l’heure, une première peut-être. Comme prévu cinquante minutes plus tard j’étais la bas entrain d’être enlacée tendrement par mon cher père. Les retrouvailles et les aurevoirs furent rapide nous avions tous deux d’autres occupations, mon père avait à retourner en France et moi à dévaliser les boutiques afin de me trouver une tenue correcte pour cette soirée ainsi que des chaussures et tout le tralala dont une fille a besoin pour ce rendre à une fête. Après avoir fais tous les magasins du centre ville de Norwich, hésitée entre la soie et le satin ainsi que les talons haut ou non j’avais enfin trouvée ce qu’il me fallait une robe bustier en mousseline bleue nuit s’arrêtant au dessus du genou et une paire de ballerine assez simple de la même couleur. Ne restait plus qu’a retourner à Hungcalf pour une séance maquillage et coiffure, faut avouer qu’il aurait été plus simple de prendre rendez-vous chez le coiffeur ou la maquilleuse mais il était déjà 19h donc un peu tard pour débarquer à l’improviste et demander des extravagances, je me débrouillerais donc seule, ne restait qu’a savoir si mes cheveux seraient attachés, libre, bouclés ou encore lisse. Finalement dix minutes avant le début de la fête j’optais pour un maquillage dans les tons sombre quand à mes cheveux je les laissais aller à leur vrai nature, ils seraient donc au vent et ondulés.
Pour finir je partais comme une folle n’ayant pas fait attention à l’heure. La soirée était prévue près de l’étang sous une grande tente, il y avait déjà de la lumière et de la musique à mon arrivée bon il faut avouer que la soirée commençait à 19h30 et il était légèrement 20h mais rien de grave puisque cela allait durer tout la nuit, je n’allais pas faire un chichi pour trente minutes non plus. Je me rapprochais de plus en plus malgré mon hésitation à l’idée de m’embarquer ou non dans cette folie, ça faisait un an que je n’avais pas mis les pieds dans une soirée quelconque et mon dernier souvenir restait présent et terrifiant un homme était quand même mort en voulant me défendre. Mais il faut un nouveau début pour tout, un pas puis un deuxième et le chemin retour ne serait que pour le lendemain matin. A l’intérieur tout avait l’air différent tellement plus lumineux, plus drôle quoi que quelques un formaient déjà des petits groupes près du bar et râlaient pour un raison que je ne connaissais pas encore mais tout ce sait si vite à Hung que je n’avais juste à avancer pour en savoir plus alors comme une grande curieuse je me dirigeais droit vers le bar. Chacun parlait d’alcool, comme quoi c’était un scandale, *euh ouai d’accord et alors j’en savais toujours pas plus moi en attendant.* En attendant ma course folle pour ne pas arriver trop en retard à la fête avait ouvert ma soif, alors je mis à la recherche de jus d’orange et à ce moment même un garçon que je n’avais encore jamais vu m’adressa la parole.
Je ne relevais pas de toute façon à quoi bon parler à un abruti pareil, il devait surement y avoir des gens plus intelligent dans le coin qui ne passerait pas leur temps à râler parce qu’il n’y avait pas d’alcool ou de drogue. Après avoir trouvée mon fameux jus d’orange je restais là à attendre que le temps passe ou tout simplement que quelque chose se passe. J’avais beau chercher dans tous les recoins je n’arrivais pas encore à reconnaitre qui que ce soit de ma connaissance. Alors pour faire passer le temps je m’amusais à me chantonner une chanson pour me détendre et pour espérer voir filer les minutes plus vite que la normale.
« Ma chère petite Orphée,
Tu n’auras donc jamais toute ta tête, il faudra bien pourtant qu’un jour tu te débrouille seule mais comme pour le moment je suis encore en vie j’accepte de te venir en aide et puis c’est mon rôle de père. Dans ta lettre tu disais avoir oubliée la moitié de tes affaires et surtout tes pyjamas j’espère seulement que tu n’as pas eu trop froid quand à ne prendre que des robes d’été ce n’était pas non plus la meilleure solution nous sommes en hiver mon enfant. Enfin, au moins on sait de qui tu tiens cela, je n’écrirais pas beaucoup car tu sais que je déteste ça. Je t’attends à Norwich afin que tu puisses récupérer quelques affaires à toi dont des pulls chauds, ainsi que ta carte bleu il est vrai qu’avec 100£ tu n’iras guère loin. Le rendez-vous est pour 11h30 après je dois retourner en France, ne soit pas en retard je ne t’attendrais pas éternellement. Bien à toi. »
Je repliais la lettre en deux, la posait sur ma table de nuit et filais vers mon armoire. Il fallait vraiment que je m’active il était exactement 10h40 alors le temps que je finisse de me préparer et que je parte pour Norwich je devrais arriver pile à l’heure, une première peut-être. Comme prévu cinquante minutes plus tard j’étais la bas entrain d’être enlacée tendrement par mon cher père. Les retrouvailles et les aurevoirs furent rapide nous avions tous deux d’autres occupations, mon père avait à retourner en France et moi à dévaliser les boutiques afin de me trouver une tenue correcte pour cette soirée ainsi que des chaussures et tout le tralala dont une fille a besoin pour ce rendre à une fête. Après avoir fais tous les magasins du centre ville de Norwich, hésitée entre la soie et le satin ainsi que les talons haut ou non j’avais enfin trouvée ce qu’il me fallait une robe bustier en mousseline bleue nuit s’arrêtant au dessus du genou et une paire de ballerine assez simple de la même couleur. Ne restait plus qu’a retourner à Hungcalf pour une séance maquillage et coiffure, faut avouer qu’il aurait été plus simple de prendre rendez-vous chez le coiffeur ou la maquilleuse mais il était déjà 19h donc un peu tard pour débarquer à l’improviste et demander des extravagances, je me débrouillerais donc seule, ne restait qu’a savoir si mes cheveux seraient attachés, libre, bouclés ou encore lisse. Finalement dix minutes avant le début de la fête j’optais pour un maquillage dans les tons sombre quand à mes cheveux je les laissais aller à leur vrai nature, ils seraient donc au vent et ondulés.
Pour finir je partais comme une folle n’ayant pas fait attention à l’heure. La soirée était prévue près de l’étang sous une grande tente, il y avait déjà de la lumière et de la musique à mon arrivée bon il faut avouer que la soirée commençait à 19h30 et il était légèrement 20h mais rien de grave puisque cela allait durer tout la nuit, je n’allais pas faire un chichi pour trente minutes non plus. Je me rapprochais de plus en plus malgré mon hésitation à l’idée de m’embarquer ou non dans cette folie, ça faisait un an que je n’avais pas mis les pieds dans une soirée quelconque et mon dernier souvenir restait présent et terrifiant un homme était quand même mort en voulant me défendre. Mais il faut un nouveau début pour tout, un pas puis un deuxième et le chemin retour ne serait que pour le lendemain matin. A l’intérieur tout avait l’air différent tellement plus lumineux, plus drôle quoi que quelques un formaient déjà des petits groupes près du bar et râlaient pour un raison que je ne connaissais pas encore mais tout ce sait si vite à Hung que je n’avais juste à avancer pour en savoir plus alors comme une grande curieuse je me dirigeais droit vers le bar. Chacun parlait d’alcool, comme quoi c’était un scandale, *euh ouai d’accord et alors j’en savais toujours pas plus moi en attendant.* En attendant ma course folle pour ne pas arriver trop en retard à la fête avait ouvert ma soif, alors je mis à la recherche de jus d’orange et à ce moment même un garçon que je n’avais encore jamais vu m’adressa la parole.
- Inconnu _ « Si tu cherches de l’alcool, t’en trouveras pas. J’avais amené de la Vodka et maintenant c’est de la limonade. »
Orphée _ « Euh … Merci mais en faite je cherche juste du jus d’orange. »
Inconnu _ « T’es bizarre toi, tout le monde râle parce qu’il n’y a pas d’alcool, on à même plus de drogue et toi tu veux du jus d’orange ? »
Orphée _ « Bah oui c’est bon le jus d’orange et puis je me drogue pas donc je m’en fou. »
Inconnu _ «Ouai ben va te faire foutre alors. »
Je ne relevais pas de toute façon à quoi bon parler à un abruti pareil, il devait surement y avoir des gens plus intelligent dans le coin qui ne passerait pas leur temps à râler parce qu’il n’y avait pas d’alcool ou de drogue. Après avoir trouvée mon fameux jus d’orange je restais là à attendre que le temps passe ou tout simplement que quelque chose se passe. J’avais beau chercher dans tous les recoins je n’arrivais pas encore à reconnaitre qui que ce soit de ma connaissance. Alors pour faire passer le temps je m’amusais à me chantonner une chanson pour me détendre et pour espérer voir filer les minutes plus vite que la normale.
- InvitéInvité
Re: C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Jeu 21 Jan 2010 - 20:24
- Cours, cours, cours … Trois magnifiques mots pour résumer une simple journée non ? En faite non peut-être pas si simple que ça la journée, ce soir à en effet lieux la soirée qui est dite « soirée de l’année », d’ailleurs si vous avez été en cours aujourd’hui vous auriez pu remarquer assez facilement que c’était le grand sujet de la journée, tout le monde en parle comme si le fait d’y aller leur permettait de vivre éternellement & d’avoir ainsi connu la joie ultime. Ce petit truc qui fait que vous vous approchez du nirvana & que vous pouvez après mourir en paix mais, sincèrement il s’agit d’une soirée comme une autre, peut-être un peu plus arrosé & autre mais, cela reste une soirée. Pourquoi en faire tout un merdier pas possible sur le fait d’y aller bien habillé ou non, ou encore s’il faut venir accompagner du dernier garçon à avec qui toutes les filles veulent sortir ? Tu viens habillés comme tu veux & avec qui tu veux point barre. J’avais d’ailleurs finalement décidé de ne pas aller en cours durant l’après-midi, je ne ratais que deux petites heures où j’aurais dû rester avec d’autres membres de ma maison & si je ne me trompe pas qui avait 18 ans environ pour leur dire que bordel Hungcalf n’était pas un endroit où faire la fête & qu’il fallait qu’il bosse. Très marrant non ? Ah vous ne trouvez pas ... Et bien maintenant si je vous dis que je devais le faire parce que j’avais été collé pour ne pas avoir répondu d’une manière politiquement correcte à l’un de mes professeurs, vous comprendrez mieux pourquoi je trouve ça marrant ?
Maintenant la vraie question c’est de savoir ce que je fous devant ce foutu miroir & habillé de cette manière ? Je critique moi-même les personnes qui n’arrêtent pas de parler de cette stupide fête qui est qualifiée de fête de l’année comme tellement d’autre & je m’apprête à y aller … C’est assez paradoxale quand même mais, tant pis. J’ai envie de voir ces foutus personnes qui se montreront parfaitement hypocrites, c’est tellement marrant de voir la stupidité de l’être humain & surtout de ces soirées. Bien sûr n’allez pas croire que quand je parle de la stupidité de l’être humain je ne m’inclus pas, je le suis plus que n’importe quoi, j’aime les choses compliquées alors que la vie l’est déjà bien assez. Mais, passons ce détail, il me fallut un certain temps pour savoir si j’irais oui ou non à cette fête mais, il était stupide de la poser puisqu’il était évident que j’irais comme j’allais toujours à ce genre de fête juste pour voir ce qu’il s’y passe ou pour faire passer le temps. Il n’y a guère d’intérêt à rester enfermer dans une salle commune complètement déserte à part si l’on a envie de déprimer, or ce n’était pas spécialement la chose dont j’avais le plus envie ce soir. Sortant rapidement de mon dortoir avant de changer d’avis, je me dirigeais à grand pas vers la sortie de la salle commune sans rencontrer personnes, apparemment ils étaient déjà tous là-bas, regardant ma montre je vis qu’il était déjà 19h55. Il n’était donc pas étonnant qu’il n’y ai personne, ils devaient déjà être tous en train de se droguer & de boire comme des malades, une fête à Hungcalf en mieux quoi, je fus prit d’une petite hésitation sur le chemin cependant. Avais-je vraiment envie de voir toutes ces personnes dans un état pitoyable alors qu’il n’était pas encore minuit ? Oui sûrement puisque l’idée de m’arrêter & de rebrousser chemin ne vint pas se cogner contre un de mes neurones.
En m’approchant de la fameuse tente j’entendis de plus en plus de bruit & de chose qui ressemblait à de nombreuses conversations, sûrement vachement intéressantes vu le volume sonore qu’elle faisait & surtout elles n’avaient pas de mal à couvrir la musique qui passait. J’entrais dans la tente sans attendre pour comprendre ce qu’il se passait mais, je ne pus entendre que des brides de conversations n’ayant pas vraiment de sens toutes seules. Ils parlaient, d’alcool, de jus de citrouille & de grosse connerie … Oui ça ne m’aidait pas vraiment à trouver ce qu’il se passait. Décidant finalement de me frayer un chemin jusqu’au bar malgré les nombreux bras qui me tiraient pour que je dise bonjour à tel ou tel personne que je ne connaissais à peine au final. Faisant semblant d’être heureux de les voir je les saluais rapidement pour pouvoir partir mais, ne voulant pas paraitre grossier je commençais à leurs dire que je devais y aller, pourtant les seuls mots qui sortaient de ma bouche ressemblait plus à l’inverse.
- TYLER « Désolé mais, on se connait pas alors je n’ai aucune raison de vous dire saluer. »
Je voulais au départ seulement comprendre qu’elle était le problème avec l’alcool mais, maintenant je me trouvais avec un autre problème. Pourquoi au juste je disais ce que je pensais en réalité ?! Me retrouvant désormais en face du bar, je pus remarquer que le choix n’était pas très large mais, bon si l’alcool est fort, personne ne s’en plaindrait. Pourtant après avoir prit la première gorgée de la boisson je compris quel était le problème, il ne s’agissait pas d’alcool & après avoir testé les diverses boissons, il fallait se rendre à l’évidence, absolument aucune n’était alcoolisé. Émettant un petit rire je ne remarquais pas que quelqu’un s’était approché du bar pour je ne sais qu’elle raison & surtout j’oubliais complètement le petit incident de tout à l’heure.
- TYLER « Félicitation au petit génie qui a eu cette idée. En tout cas ça va être une très très bonne soirée finalement & un gros bordel. »
- InvitéInvité
Re: C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Sam 23 Jan 2010 - 15:09
GRYMM : Bloo ? Tu vas à la fête toi ?
BLODWYN : Evidemment ! Qui n’y va pas ?
A Hungcalf, c’était de la folie. Tout le monde ne parlait que de la grande fête qui allait avoir lieu la semaine suivante. Pendant les cours, on entendait les filles se demander comme elles allaient s’habiller ; on entendait les garçons qui traficotaient déjà pour ramener de l’alcool et de la drogue à la fête. Les profs étaient quelque peu énervés par ce manque d’attention bien qu’ils savaient qu’ils ne pouvaient rien y faire. Ils étaient tous jeunes et ne pensaient presque qu’à s’amuser. Enfin, évidemment, on trouvait aussi les personnes qui passaient leur temps à bosser et qui refusaient d’arrêter pour aller à une fête, mais c’était quand même la minorité des sorciers d’Hungcalf.
Blodwyn, comme beaucoup d’autres, attendait la soirée avec impatience. Pas pour se bourrer la gueule ou pour coucher avec le premier venu, simplement pour passer du bon temps avec ses amis (ou pas d’ailleurs) et pour se détendre un peu. Elle travaillait beaucoup pour maintenir ses résultats assez hauts et avait réellement besoin de repos et de faire la fête. Surtout que faire la fête, Bloo aimait ça !
La jolie brune (ou rousse ça dépend xD mais en ce moment brune.), s’était aussi interrogée sur sa tenue. Devait-elle mettre un habituel jean avec un top ou alors une robe ? Elle opta pour la deuxième solution, décidant finalement qu’elle n’avait pas tant d’occasions que cela de se mettre en 31.
Le jour de la fête, Blodwyn n’avait pas eu beaucoup d’heures de cours. Deux, simplement. Elle passa une bonne partie de son après-midi à lire allongée dans l’herbe fraîche du parc. Lorsque Bloo lisait, elle n’avait aucune notion de l’heure et c’est à 18h45 qu’elle croisa un couple dont une de ses amies wright, en train de se bécoter, attendant déjà l’ouverture de la fête qui était à 19h30.
BLODWYN : Quoi? Vous êtes déjà prêts ? Il est quelle heure ?GARS LUFKIN: Il est 19 heures moins le quart ! Et oui on est déjà prêts mais on voulait passer un peu de temps tranquilles, avant la fête…BLODWYN : Hum, je vois. Bon je vais aller me préparer alors.
FILLE WRIGHT: Bonne chance Bloo! S’il y a autant le bordel que chez les Wright pour la préparation, tu vas avoir besoin de courage!
Blodwyn sourit au couple avant de rassembler ses affaires et de partir précipitamment vers sa chambre. Leah, la jeune wright qu’elle avait croisé, ne mentait pas : la salle commune des Grymm était sens dessus dessous. Il y avait des sèches cheveux, des fers à lisser, du maquillage et des fringues un peu partout. Blodwyn parvint néanmoins à se frayer un chemin jusqu’à son armoire et sortit la robe qu’elle avait prévu avant de s’enfermer dans la salle de bain. Après une bonne douche et un lavage de cheveux, elle enfila sa robe rouge et noire et se sécha rapidement les cheveux. Elle libéra ensuite la salle de bain et ne fit pas attention aux quelques regards énervés des jeunes filles qui attendaient. Elle prit ensuite son maquillage et réussi à se faire un passage entre les quatre-cinq filles déjà occupées à se donner des coups de coude d’un bras, et de tenir le mascara de l’autre. Après s’être légèrement maquillée, elle se lissa les cheveux qu’elle laissa libre.
Une fois prête, elle regarda l’heure : 20h15, elle n’était pas si en retard que ça finalement, il y avait encore beaucoup de monde dans la salle.
Elle se dirigea ensuite vers l’étang et entra sous la tente.
GRYMM : Putain ! Ma tequila s’est transformée en jus d’ananas…
BLODWYN (glousse) : Ils sont vraiment trop forts ces profs.
GRYMM : Tu trouves ça drôle ? Ça sert à quoi d’aller à une fête sans se bourrer la gueule, tu veux bien me dire ?
BLODWYN : Bah tu vas au moins apprendre un truc ce soir, alors. Pousses-toi.
Blodwyn s’écarta du jeune homme et scruta les alentours.
BLODWYN : Evidemment ! Qui n’y va pas ?
A Hungcalf, c’était de la folie. Tout le monde ne parlait que de la grande fête qui allait avoir lieu la semaine suivante. Pendant les cours, on entendait les filles se demander comme elles allaient s’habiller ; on entendait les garçons qui traficotaient déjà pour ramener de l’alcool et de la drogue à la fête. Les profs étaient quelque peu énervés par ce manque d’attention bien qu’ils savaient qu’ils ne pouvaient rien y faire. Ils étaient tous jeunes et ne pensaient presque qu’à s’amuser. Enfin, évidemment, on trouvait aussi les personnes qui passaient leur temps à bosser et qui refusaient d’arrêter pour aller à une fête, mais c’était quand même la minorité des sorciers d’Hungcalf.
Blodwyn, comme beaucoup d’autres, attendait la soirée avec impatience. Pas pour se bourrer la gueule ou pour coucher avec le premier venu, simplement pour passer du bon temps avec ses amis (ou pas d’ailleurs) et pour se détendre un peu. Elle travaillait beaucoup pour maintenir ses résultats assez hauts et avait réellement besoin de repos et de faire la fête. Surtout que faire la fête, Bloo aimait ça !
La jolie brune (ou rousse ça dépend xD mais en ce moment brune.), s’était aussi interrogée sur sa tenue. Devait-elle mettre un habituel jean avec un top ou alors une robe ? Elle opta pour la deuxième solution, décidant finalement qu’elle n’avait pas tant d’occasions que cela de se mettre en 31.
Le jour de la fête, Blodwyn n’avait pas eu beaucoup d’heures de cours. Deux, simplement. Elle passa une bonne partie de son après-midi à lire allongée dans l’herbe fraîche du parc. Lorsque Bloo lisait, elle n’avait aucune notion de l’heure et c’est à 18h45 qu’elle croisa un couple dont une de ses amies wright, en train de se bécoter, attendant déjà l’ouverture de la fête qui était à 19h30.
BLODWYN : Quoi? Vous êtes déjà prêts ? Il est quelle heure ?GARS LUFKIN: Il est 19 heures moins le quart ! Et oui on est déjà prêts mais on voulait passer un peu de temps tranquilles, avant la fête…BLODWYN : Hum, je vois. Bon je vais aller me préparer alors.
FILLE WRIGHT: Bonne chance Bloo! S’il y a autant le bordel que chez les Wright pour la préparation, tu vas avoir besoin de courage!
Blodwyn sourit au couple avant de rassembler ses affaires et de partir précipitamment vers sa chambre. Leah, la jeune wright qu’elle avait croisé, ne mentait pas : la salle commune des Grymm était sens dessus dessous. Il y avait des sèches cheveux, des fers à lisser, du maquillage et des fringues un peu partout. Blodwyn parvint néanmoins à se frayer un chemin jusqu’à son armoire et sortit la robe qu’elle avait prévu avant de s’enfermer dans la salle de bain. Après une bonne douche et un lavage de cheveux, elle enfila sa robe rouge et noire et se sécha rapidement les cheveux. Elle libéra ensuite la salle de bain et ne fit pas attention aux quelques regards énervés des jeunes filles qui attendaient. Elle prit ensuite son maquillage et réussi à se faire un passage entre les quatre-cinq filles déjà occupées à se donner des coups de coude d’un bras, et de tenir le mascara de l’autre. Après s’être légèrement maquillée, elle se lissa les cheveux qu’elle laissa libre.
- Spoiler:
Une fois prête, elle regarda l’heure : 20h15, elle n’était pas si en retard que ça finalement, il y avait encore beaucoup de monde dans la salle.
Elle se dirigea ensuite vers l’étang et entra sous la tente.
GRYMM : Putain ! Ma tequila s’est transformée en jus d’ananas…
BLODWYN (glousse) : Ils sont vraiment trop forts ces profs.
GRYMM : Tu trouves ça drôle ? Ça sert à quoi d’aller à une fête sans se bourrer la gueule, tu veux bien me dire ?
BLODWYN : Bah tu vas au moins apprendre un truc ce soir, alors. Pousses-toi.
Blodwyn s’écarta du jeune homme et scruta les alentours.
- InvitéInvité
Re: C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Mar 26 Jan 2010 - 5:43
Noire est la journée, encore plus noire sera la nuit. Si seulement mon cœur se remettait à battre, afin de ressentir quelque chose autre que la douleur retentissant en moi. Noire est la journée, encore plus noire est mon esprit.
En regardant le cadrant afficher 19h00 tapant, je me dis qu’il était tant que je me rende à cette fichue soirée qui était organisée en l’honneur de… en l'honneur de je ne sais quoi en fait. Peu importe, j’y allais pour une seule et unique raison. Cette soirée était encore un moyen pour moi de libérer toute la souffrance qui se logeait en mon corps et que je cachais dans la vie de tous les jours. Grâce à l’alcool et la drogue qu’il y aurait à cette fête, je pourrais être la Riley amusante et drôle que tout le monde veut voir et parler. Parce qu’avec mon amie Ecstasy, je vois la vie en rose. Les choses sont belles et je vis dans un monde parfait. Quoi demander de plus sérieusement ?! Une personnalité ? J’en ai une. Simplement, je préfère ne pas la révéler au grand jour et montrer que je ne suis pas celle que l’on croit. J’ai toujours été joyeuse alors je ne vois pas pourquoi je me montrerais différente du jour au lendemain. Le masque que je porte me convient, pour le moment. Peut-être qu’un jour je déciderai de le retirer et de me montrer tel que je suis, malheureuse et déprimée, mais cela serait beaucoup moins amusant ainsi.
Revenant à la réalité, je laissai tomber la serviette de bain qui était autour de ma taille pour pouvoir enfiler ma robe pour la soirée, cette dernière qui promettait être la meilleure de toute l’année. J’avais bien hâte de voir ça à vrai dire. Mon maquillage et ma coiffure parfaits, je jetai un dernier regard à mon reflet dans le miroir avant de partir en direction du parc. Il y aurait une tonne de personnes à cette fête, même si je n’en connaissais pas la moitié. Je savais que mes amis les plus proches y seraient présents et c’est ce qui comptait vraiment à mes yeux. J’aime être aimée, mais je ne suis pas non plus le genre de personne qui cherche à tout prix à ce que tout le monde soit mon ami. J’allais donc saluer rapidement quelques personnes poliment avant d’essayer de retrouver mes amis en vitesse pour pouvoir commencer la soirée d’un bon pied, c'est-à-dire un verre de vodka en main et une petite pilule magique au fond de ma gorge. Je devrais d’abord trouver Lust pour voir s’il m’avait apporté ce que je lui avais demandé dans la journée. Une fois à l’intérieur de la tente, je marchai un peu aléatoirement, mon regard s’attardant sur le visage des étudiants de l’école. Certains m’étaient plus que familiers tandis que d'autres apparaissaient comme de véritables inconnus à mes yeux. Ne trouvant personne avec qui j’avais réellement envie d’avoir une conversation, je me dirigeai directement vers le bar, me disant qu’un verre d’alcool ne me ferait que le plus grand bien. Le stress m’envahissait comme à chaque fois que j’étais en manque. J’aurais dû prendre quelque chose pour me calmer avant de partir, mais j’avais été beaucoup trop occupée à me faire belle pour y penser. J’aurais pourtant dû laisser tomber cette attention puisque je n’avais personne à charmer ici, ou du moins, je n’en voyais point l’intérêt. Je me servis un premier verre de punch que je bus d’une gorgée en fermant mes yeux. Cependant, quelque chose clochait. J’ouvris automatiquement les yeux d’une manière intriguée avant de sentir mon verre vide. Il ne sentait pas l’alcool. Le punch ne sentait pas l’alcool et le goûtait encore moins. J’allais pour faire une remarque sur ma constatation quand quelqu’un derrière moi me devança.
TYLER – « Félicitation au petit génie qui a eu cette idée. En tout cas ça va être une très très bonne soirée finalement & un gros bordel. »
Je n’avais pas besoin de me retourner pour savoir qui était la personne qui venait de parler. Pourtant, je le fis puisque j’avais envie de le voir, aussi étonnant que cela puisse paraître. À la vue de Tyler, mon cœur, ou ce qui en restait, se serra. Je baissai les yeux le temps d’une ou deux secondes avant de plonger de nouveau mon regard dans le sien. Je devais arrêter de jouer les victimes. Je déposai mon verre presque vide sur le bar avant de sourire légèrement, bien que je ne trouvais pas vraiment cela amusant.
RILEY- « Un idiot moi je dis… Pas d’alcool ! C’est une blague ?! S'il te plait, dis-moi que s’en est une. Sinon j’espère que tu as une bouteille de whisky dans ton veston ! »
J’étais un peu surprise d’avoir dit tout cela d’une manière décontractée au garçon qui me rendait le plus mal à l’aise dans toute l’école. Pourtant, je vous jure que je n’ai rien pris avant de venir. Mes mains devenaient de plus en plus moites alors qu’elles commençaient à trembler légèrement. Je devrais trouver Lust plus vite que je ne l’aurais pensé s’il n’y allait pas avoir une goutte d’alcool lors de cette fête. Faisant un rapide tour de la tente du regard je reportai mon attention sur Tyler.
RILEY- « Je suis… contente de te voir »
Les mots étaient sortis sans même que j’aie le temps de réfléchir. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Bien que ce que je venais de dire à Tyler était ce que j’avais pensé, je ne comprenais pas vraiment pourquoi je lui avais dit cela. Je n’ai jamais été connue pour ma grande franchise. Pourtant, je venais bien de lui avouer ces paroles si… véritables.
En regardant le cadrant afficher 19h00 tapant, je me dis qu’il était tant que je me rende à cette fichue soirée qui était organisée en l’honneur de… en l'honneur de je ne sais quoi en fait. Peu importe, j’y allais pour une seule et unique raison. Cette soirée était encore un moyen pour moi de libérer toute la souffrance qui se logeait en mon corps et que je cachais dans la vie de tous les jours. Grâce à l’alcool et la drogue qu’il y aurait à cette fête, je pourrais être la Riley amusante et drôle que tout le monde veut voir et parler. Parce qu’avec mon amie Ecstasy, je vois la vie en rose. Les choses sont belles et je vis dans un monde parfait. Quoi demander de plus sérieusement ?! Une personnalité ? J’en ai une. Simplement, je préfère ne pas la révéler au grand jour et montrer que je ne suis pas celle que l’on croit. J’ai toujours été joyeuse alors je ne vois pas pourquoi je me montrerais différente du jour au lendemain. Le masque que je porte me convient, pour le moment. Peut-être qu’un jour je déciderai de le retirer et de me montrer tel que je suis, malheureuse et déprimée, mais cela serait beaucoup moins amusant ainsi.
Revenant à la réalité, je laissai tomber la serviette de bain qui était autour de ma taille pour pouvoir enfiler ma robe pour la soirée, cette dernière qui promettait être la meilleure de toute l’année. J’avais bien hâte de voir ça à vrai dire. Mon maquillage et ma coiffure parfaits, je jetai un dernier regard à mon reflet dans le miroir avant de partir en direction du parc. Il y aurait une tonne de personnes à cette fête, même si je n’en connaissais pas la moitié. Je savais que mes amis les plus proches y seraient présents et c’est ce qui comptait vraiment à mes yeux. J’aime être aimée, mais je ne suis pas non plus le genre de personne qui cherche à tout prix à ce que tout le monde soit mon ami. J’allais donc saluer rapidement quelques personnes poliment avant d’essayer de retrouver mes amis en vitesse pour pouvoir commencer la soirée d’un bon pied, c'est-à-dire un verre de vodka en main et une petite pilule magique au fond de ma gorge. Je devrais d’abord trouver Lust pour voir s’il m’avait apporté ce que je lui avais demandé dans la journée. Une fois à l’intérieur de la tente, je marchai un peu aléatoirement, mon regard s’attardant sur le visage des étudiants de l’école. Certains m’étaient plus que familiers tandis que d'autres apparaissaient comme de véritables inconnus à mes yeux. Ne trouvant personne avec qui j’avais réellement envie d’avoir une conversation, je me dirigeai directement vers le bar, me disant qu’un verre d’alcool ne me ferait que le plus grand bien. Le stress m’envahissait comme à chaque fois que j’étais en manque. J’aurais dû prendre quelque chose pour me calmer avant de partir, mais j’avais été beaucoup trop occupée à me faire belle pour y penser. J’aurais pourtant dû laisser tomber cette attention puisque je n’avais personne à charmer ici, ou du moins, je n’en voyais point l’intérêt. Je me servis un premier verre de punch que je bus d’une gorgée en fermant mes yeux. Cependant, quelque chose clochait. J’ouvris automatiquement les yeux d’une manière intriguée avant de sentir mon verre vide. Il ne sentait pas l’alcool. Le punch ne sentait pas l’alcool et le goûtait encore moins. J’allais pour faire une remarque sur ma constatation quand quelqu’un derrière moi me devança.
TYLER – « Félicitation au petit génie qui a eu cette idée. En tout cas ça va être une très très bonne soirée finalement & un gros bordel. »
Je n’avais pas besoin de me retourner pour savoir qui était la personne qui venait de parler. Pourtant, je le fis puisque j’avais envie de le voir, aussi étonnant que cela puisse paraître. À la vue de Tyler, mon cœur, ou ce qui en restait, se serra. Je baissai les yeux le temps d’une ou deux secondes avant de plonger de nouveau mon regard dans le sien. Je devais arrêter de jouer les victimes. Je déposai mon verre presque vide sur le bar avant de sourire légèrement, bien que je ne trouvais pas vraiment cela amusant.
RILEY- « Un idiot moi je dis… Pas d’alcool ! C’est une blague ?! S'il te plait, dis-moi que s’en est une. Sinon j’espère que tu as une bouteille de whisky dans ton veston ! »
J’étais un peu surprise d’avoir dit tout cela d’une manière décontractée au garçon qui me rendait le plus mal à l’aise dans toute l’école. Pourtant, je vous jure que je n’ai rien pris avant de venir. Mes mains devenaient de plus en plus moites alors qu’elles commençaient à trembler légèrement. Je devrais trouver Lust plus vite que je ne l’aurais pensé s’il n’y allait pas avoir une goutte d’alcool lors de cette fête. Faisant un rapide tour de la tente du regard je reportai mon attention sur Tyler.
RILEY- « Je suis… contente de te voir »
Les mots étaient sortis sans même que j’aie le temps de réfléchir. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Bien que ce que je venais de dire à Tyler était ce que j’avais pensé, je ne comprenais pas vraiment pourquoi je lui avais dit cela. Je n’ai jamais été connue pour ma grande franchise. Pourtant, je venais bien de lui avouer ces paroles si… véritables.
- InvitéInvité
Re: C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Jeu 28 Jan 2010 - 22:36
- « On ne peut forcer quelqu'un à tomber amoureux de soi, mais il est tout à fait possible d'améliorer ses chances. »
La soirée n’avais pas si mal débuté que ça en faite, non en faite c’était plutôt l’inverse, elle avait parfaitement bien commencé, il faut être réaliste. Une soirée sans alcool & sans drogue laissant tout ceux qui ne peuvent plus s’en passer en manque. Enfin une soirée comme moi je pouvais les aimer, il n’y aurait rien de plus intéressant que de pouvoir observer la réaction des gens, de voir comment ils se comportent quand les choses dérapent pour eux. Je suis peut-être sadique, c’est à vous de voir mais, avouez que c’est une opportunité des plus alléchantes quand on fait partit de ce petit groupe de non-drogué qui existent à Hungcalf, encore plus quand on a été soi-même était un drogué qui ne supporte aujourd’hui plus de voir les gens se détruire. Alors, oui cette soirée est une sorte de pain béni pour moi, en tout cas c’est cette impression que j’ai en me retrouvant habiller en costard cravate au milieu de tout ce monde.
C’est tout sourire devant ce bar que je compris le véritable but de cette soirée, personne ne finirait complètement défoncé ce soir. Disant a haute voix ce que je pensais, je me retournais vers la piste de danse pour commencer à regarder les visages déçus, dégouté … Il n’y avait aucun sourire sur leur visage, bien au contraire, certains élèves avaient même un rictus mauvais sur le visage, la personne ayant fait cette soirée avait tout intérêt a bien se cacher si elle ne voulait pas que la moitié de la salle ne vienne se jeter sur elle pour la tuer. C’est donc avec un petit sourire sur le visage face à cette scène que je me retournais vers le bar, pour remarquer que je n’étais plus seul … Non, j’étais accompagné de la dernière personne a qui j’avais pensé rencontrer ce soir. Riley & moi c’était compliqué, en faite pas tant que ça, l’histoire banale pour tout dire. On est sortit ensemble pendant un long moment, elle fut ma plus longue relation, elle avait mon cœur & pouvait en faire ce qu’elle en voulait puisque de toute façon il ne m’appartenait plus. Je lui avais offert depuis un long moment, à partir de la seconde où j’avais réalisé que je venais de prononcé « je t’aime » pour la première fois à une fille. La suite tout le monde l’a connait ou sans doute, deux cœurs brisés plus tard & de nombreuses années à s’ignorer nous voilà l’un en face de l’autre. Marrant comme le destin peut parfois nous jouer des tours ? Non, sadique lui aussi ? Bien sûr tout dépend du point de vue. Nous regardant dans les yeux, elle baissa rapidement son regard avant de revenir plonger ses yeux dans les miens. Un petit frisson vint naître en moi, heureusement cela ne se voyait pas.
RILEY « Un idiot moi je dis… Pas d’alcool ! C’est une blague ?! S'il te plait, dis-moi que s’en est une. Sinon j’espère que tu as une bouteille de whisky dans ton veston ! »
Sa voix finit par se perdre dans le tumulte des conversations qui se déroulaient non loin de nous, un sourire vint naître sur mon visage, elle avait cette petite ride entre les sourcils qu’elle avait seulement quand elle était contrarié. Oui après toutes ces années je la connaissais encore par cœur, enfin c’était l’impression que j’avais. Celle de pouvoir vous dire ce qu’elle pensait rien qu’en la regardant, apparemment c’est comme voler en balais, ça ne s’oublie pas. La petite ride s’accentua légèrement mais, avant d’avoir eu le temps de comprendre sa véritable signification, elle avait déjà disparu. Pourtant mon sourire lui n’avait pas bougé d’un seul millimètre comme s’il venait de se fixer à jamais sur mon visage, j’avais sûrement l’air plus que con comme ça mais, après tout qu’est-ce que ça peut faire que j’ai l’air con ou non ?
RILEY « Je suis… contente de te voir »
Je n’avais pas encore eu le temps de parler qu’elle m’avait déjà répondu, c’était étrange de l’entendre dire que je lui avais manqué ... C’était même très étrange, pourquoi me disait-elle ça alors qu’on ne faisait que s’éviter depuis notre rupture. Il faut d’ailleurs dire que ce n’est pas une chose facile puisque nous sommes tous les deux chez les Summerbee & que nous passons pas mal de temps avec nos amis dans la salle commune de notre maison mais, le château est grand & on a passé nos dernières années à faire en sorte de ne pas se trouver trop près de l’autre. Pathétique comme situation non ? Oui, un peu trop même. Surtout que c’était devenu une habitude avec le temps, l’éviter au maximum pour ne pas avoir à la voir, pour ne pas croiser son regard, son visage & son corps que j’avais tant désiré autre fois, ses lèvres qui me faisaient perdre la tête & qui m’avaient brisés en deux un peu plus tard. Disons que les souvenirs sont parfois mieux où ils se trouvent, rien ne sert de raviver les blessures du passés si ce n’est pas nécessaire. Il restait tout de même impoli de rester planter là sans rien dire.
TYLER « J’aimerais pouvoir en dire autant. »
QUOI ?! POURQUOI EST-CE QUE JE VENAIS DE DIRE CA ?! Oui, c’est vrai je n’étais pas si heureux que ça de la voir, chaque regard vers elle, chaque fois que je posais mes foutues yeux sur elle mon cœur recommençait à saigner un peu. Saloperie de blessure qui ne voulait pas se guérir ! Mais, pourquoi est-ce que je venais de dire ça ? C’était certes la vérité mais, ce n’était pas ce que j’avais voulu dire, mes paroles auraient dû être « moi aussi je suis heureux de te voir », alors pourquoi par la barbe de Merlin est-ce que je n’avais pas dit ça ?
- TYLER « Attend, c’est ce que je voulais dire … PAS ce ... Ce que je voulais dire. & Merde c’est quoi ce bordel ?! L’alcool & la drogue ok mais, là c’est quoi le problème ? »
Non là c’était vraiment trop, pourquoi est-ce que je disais exactement ce que je pensais ? Pourquoi est-ce qu’il mettait impossible de nuancer la vérité ? M’énervant tout seul, j’étais bien décidé à ne pas perdre le contrôle de moi-même & je commençais à serrer le poing, faisant rentrer le peu d’ongle que j’avais, dans ma paume. Respirant lentement je repris mes esprits en même pas deux secondes, seulement je savais aussi que Riley n’avait pas bougé & bizarrement je n’avais aucune envie qu’elle me prenne pour un monstre, de toute façon elle n’avait aucune raison d’être heureuse de me voir, je ne comprenais plus rien, j’étais complètement perdue & il avait fallu seulement deux phrases de sa part pour que je le sois.
TYLER « Riley ne prends pas mal ce que je viens de dire, s’il-te-plait … Crois moi ou non mais, ce n’est pas ce que tu peux penser, vraiment pas. »
- InvitéInvité
Re: C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Dim 31 Jan 2010 - 5:27
TYLER – « J’aimerais pouvoir en dire autant. »
Ne pas savoir la vérité est souvent la meilleure solution pour se sentir un tant soit peu bien dans sa peau. Pour avoir l’impression que la situation est sous contrôle et que peu importe ce qui se passait, nous préférons dire un mensonge ou tout simplement omettre de dire ce que nous pensons vraiment, histoire de ne blesser personne. Pourquoi je pensais à cela, parce que ce que venait de dire Tyler était probablement pire qu’une claque dans la figure. Non pas que je ne m’attendais pas à une telle réponse, puisque de toute évidence, je la méritais amplement. Seulement, ses mots avaient été si francs que cela me figea totalement sur place. Une tornade aurait pu traverser la pièce que je n’aurais pas bougée d’un centimètre. Premièrement, je dois avouer que moi-même je ne comprenais pas pourquoi j’avais avoué à Tyler que j’étais contente de le voir. Un peu plus, et je lui disais qu’il me manquait, ce qui aurait probablement provoqué une situation encore plus inconfortable. Seulement, le simple fait de voir le garçon me faisait ouvrir la porte d’un tiroir que je tentais de garder fermée le plus possible. Mes souvenirs avec Tyler sont beaux. À chaque fois que je me mets à repenser à un « nous », je me vois heureuse et saine. Je viens le cœur un peu plus léger, pour ensuite sombrer dans la noirceur que je me suis moi-même créée en lui tournant le dos. Aujourd’hui, en voyant Tyler dans cette pièce bien remplie, mon cœur s’était contracté et j’avais eu la nécessité de lui dire ce que je ressentais, bien que je savais que tout cela, le « nous », n’existait plus depuis bien trop longtemps hélas. Pendant que mon esprit tournait à la vitesse supérieure, je pus remarquer que le jeune homme semblait lui-même choqué par ses propres paroles. Comme s’il ne pensait pas se qu’il venait de dire, pourtant, le ton de sa voix ne pouvait trahir sa pensé. Il avait été catégorique, je devais me faire à l’idée, Tyler avait tiré un trait sur moi.
TYLER – « Attend, c’est ce que je voulais dire … PAS ce ... Ce que je voulais dire. & Merde c’est quoi ce bordel ?! L’alcool & la drogue ok mais, là c’est quoi le problème ? »
Encore des paroles qui ne m’aidaient pas à me rendre ma motricitée. En fait, je ne comprenais plus rien non plus. Qu’elle était cette fête où nous ne pouvions boire et où j’avais l’impression de ne plus avoir le contrôle de mon esprit. Je ne savais où me mettre à cet instant. Pourtant, la noirceur commençait à reprendre le dessus sur moi et me faisait signe de partir avant de recevoir une autre déclaration qui risquerait de me détruire un peu plus, si cela était possible. J’étais victime de mon malheur et même si j’en avais conscience, je préférais souffrir au lieu d’essayer un tant soit peu de retrouver le bonheur. Mon esprit était enfin sur le point de reprendre l’usage de mon corps et de m’entraîner à l’extérieur quand je replongeai mon regard dans celui du garçon qui avait fait battre mon corps par le passé.
TYLER –« Riley ne prend pas mal ce que je viens de dire, s’il-te-plait … Crois moi ou non mais, ce n’est pas ce que tu peux penser, vraiment pas. »
Pourquoi tant de franchise? Pourquoi essayait-il que je ne sois pas en colère contre lui ? Les choses auraient été bien plus faciles s’il avait ajouter ne plus jamais vouloir me voir. La situation me donnait la nausée. Je voulais savoir qu’elle était le sens de ses paroles, pourtant, tout me disait de ne rien ajouter, de tourner les talons et de partir, comme ce qu’il m’avait demandé il y a quelques secondes, inconsciemment. Mais comme je suis incapable de faire les choses de la bonne manière et que j’ai toujours besoin de donner l’impression de contrôler la situation alors que je suis en chute libre, je restai encore plantée devant lui, en le fixant d’un regard plus ou moins présent cependant. Je n’étais plus maître de moi-même et pourtant, je n’avais pris aucune substance illégale.
RILEY- « Tu as pourtant tous les droits de penser ce que tu viens de me dire. Je le mérite tellement. En fait, je ne mérite même pas que tu m’adresses la parole. Tu devrais te retourner et faire comme si je n’existais pas Tyler. Cela serait tellement mieux… Si je n’existais pas. »
Je ne pouvais croire que je disais cela avec autant d’assurance. Pourtant, je me tenais bien droite devant le jeune homme sans bouger une parcelle de mon corps tandis que mon esprit s’affolait frénétiquement. Cela devait surement se lire dans mon regard. Je me sentais faible à cet instant. Être le plus petit grain de sable serait la meilleure chose qu’il pourrait m’arriver, pour que plus personne ne puisse me voir. Je baissai enfin les yeux pour ne pas montrer Tyler la tristesse qu’il y avait dans mon regard, bien que cela était difficile, puisque je n’étais que tristesse.
RILEY- « Je suis un monstre… Et pour la première fois depuis 3 ans, je te demande pardon… Ce que j’aurais dû faire bien avant cela. »
J’avais honte de moi, comme toujours. Cependant, c’était la première fois que je le laissais voir, ce qui me troublait encore plus. Pourquoi j’agissais ainsi, je n’en avais aucune idée. J’avais seulement le goût de fuir un peu plus. La fuite était toujours ma solution préférée.
Ne pas savoir la vérité est souvent la meilleure solution pour se sentir un tant soit peu bien dans sa peau. Pour avoir l’impression que la situation est sous contrôle et que peu importe ce qui se passait, nous préférons dire un mensonge ou tout simplement omettre de dire ce que nous pensons vraiment, histoire de ne blesser personne. Pourquoi je pensais à cela, parce que ce que venait de dire Tyler était probablement pire qu’une claque dans la figure. Non pas que je ne m’attendais pas à une telle réponse, puisque de toute évidence, je la méritais amplement. Seulement, ses mots avaient été si francs que cela me figea totalement sur place. Une tornade aurait pu traverser la pièce que je n’aurais pas bougée d’un centimètre. Premièrement, je dois avouer que moi-même je ne comprenais pas pourquoi j’avais avoué à Tyler que j’étais contente de le voir. Un peu plus, et je lui disais qu’il me manquait, ce qui aurait probablement provoqué une situation encore plus inconfortable. Seulement, le simple fait de voir le garçon me faisait ouvrir la porte d’un tiroir que je tentais de garder fermée le plus possible. Mes souvenirs avec Tyler sont beaux. À chaque fois que je me mets à repenser à un « nous », je me vois heureuse et saine. Je viens le cœur un peu plus léger, pour ensuite sombrer dans la noirceur que je me suis moi-même créée en lui tournant le dos. Aujourd’hui, en voyant Tyler dans cette pièce bien remplie, mon cœur s’était contracté et j’avais eu la nécessité de lui dire ce que je ressentais, bien que je savais que tout cela, le « nous », n’existait plus depuis bien trop longtemps hélas. Pendant que mon esprit tournait à la vitesse supérieure, je pus remarquer que le jeune homme semblait lui-même choqué par ses propres paroles. Comme s’il ne pensait pas se qu’il venait de dire, pourtant, le ton de sa voix ne pouvait trahir sa pensé. Il avait été catégorique, je devais me faire à l’idée, Tyler avait tiré un trait sur moi.
TYLER – « Attend, c’est ce que je voulais dire … PAS ce ... Ce que je voulais dire. & Merde c’est quoi ce bordel ?! L’alcool & la drogue ok mais, là c’est quoi le problème ? »
Encore des paroles qui ne m’aidaient pas à me rendre ma motricitée. En fait, je ne comprenais plus rien non plus. Qu’elle était cette fête où nous ne pouvions boire et où j’avais l’impression de ne plus avoir le contrôle de mon esprit. Je ne savais où me mettre à cet instant. Pourtant, la noirceur commençait à reprendre le dessus sur moi et me faisait signe de partir avant de recevoir une autre déclaration qui risquerait de me détruire un peu plus, si cela était possible. J’étais victime de mon malheur et même si j’en avais conscience, je préférais souffrir au lieu d’essayer un tant soit peu de retrouver le bonheur. Mon esprit était enfin sur le point de reprendre l’usage de mon corps et de m’entraîner à l’extérieur quand je replongeai mon regard dans celui du garçon qui avait fait battre mon corps par le passé.
TYLER –« Riley ne prend pas mal ce que je viens de dire, s’il-te-plait … Crois moi ou non mais, ce n’est pas ce que tu peux penser, vraiment pas. »
Pourquoi tant de franchise? Pourquoi essayait-il que je ne sois pas en colère contre lui ? Les choses auraient été bien plus faciles s’il avait ajouter ne plus jamais vouloir me voir. La situation me donnait la nausée. Je voulais savoir qu’elle était le sens de ses paroles, pourtant, tout me disait de ne rien ajouter, de tourner les talons et de partir, comme ce qu’il m’avait demandé il y a quelques secondes, inconsciemment. Mais comme je suis incapable de faire les choses de la bonne manière et que j’ai toujours besoin de donner l’impression de contrôler la situation alors que je suis en chute libre, je restai encore plantée devant lui, en le fixant d’un regard plus ou moins présent cependant. Je n’étais plus maître de moi-même et pourtant, je n’avais pris aucune substance illégale.
RILEY- « Tu as pourtant tous les droits de penser ce que tu viens de me dire. Je le mérite tellement. En fait, je ne mérite même pas que tu m’adresses la parole. Tu devrais te retourner et faire comme si je n’existais pas Tyler. Cela serait tellement mieux… Si je n’existais pas. »
Je ne pouvais croire que je disais cela avec autant d’assurance. Pourtant, je me tenais bien droite devant le jeune homme sans bouger une parcelle de mon corps tandis que mon esprit s’affolait frénétiquement. Cela devait surement se lire dans mon regard. Je me sentais faible à cet instant. Être le plus petit grain de sable serait la meilleure chose qu’il pourrait m’arriver, pour que plus personne ne puisse me voir. Je baissai enfin les yeux pour ne pas montrer Tyler la tristesse qu’il y avait dans mon regard, bien que cela était difficile, puisque je n’étais que tristesse.
RILEY- « Je suis un monstre… Et pour la première fois depuis 3 ans, je te demande pardon… Ce que j’aurais dû faire bien avant cela. »
J’avais honte de moi, comme toujours. Cependant, c’était la première fois que je le laissais voir, ce qui me troublait encore plus. Pourquoi j’agissais ainsi, je n’en avais aucune idée. J’avais seulement le goût de fuir un peu plus. La fuite était toujours ma solution préférée.
- InvitéInvité
Re: C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Dim 31 Jan 2010 - 20:27
Ce que je disais me terrifié au plus haut point, tout ce que je disais n’était que vérité mais, la vérité est parfois mal comprise par les autres tant qu’elle n’est pas expliqué. Mais, d’ailleurs pourquoi est-ce que je disais la vérité & pourquoi est-ce que je ne pouvais pas nuancer mes réponses ? La drogue & l’alcool n’était pas les seules surprises de la soirée, je le sentais venir comme un hippogriffe dans le ciel. Dire la vérité n’était pas un problème en soit, ce qui était énervant c’était que je ne pouvais pas la nuancer, il suffisait de voir la situation dans laquelle je me trouvais maintenant. Riley était tout simplement pétrifié devant moi & quand elle posa ses yeux dans les miens tout ce que je pouvais voir c’était une profonde tristesse. La voir comme ça ne faisait que raviver la douleur qui naissait en moi à chaque fois que je posais mon regard sur elle. Par Merlin, elle n’avait pas changé d’un poil, pire que tout, elle faisait en sorte que j’oubliais totalement a quel point elle avait pu briser mon cœur, mon être tout entier j’en oubliais tout ce que cela avait pu changer chez moi, l’addiction à la drogue, aux fêtes & chaque soir une nouvelle fille dans mon lit. Chaque soir un renouveau qui n’avait aucun intérêt puisqu’il n’était qu’un pâle extrait du bonheur que j’avais eu avec elle & seulement avec elle. C’est d’ailleurs bien pitoyable, ne pouvoir oublier la jeune femme que votre cœur à chéri pendant de longue seconde, ne pouvoir rien oublié d’elle puisqu’elle a hanté votre esprit pendant de longue année. On apprend à vivre avec pour tout dire, au final des années le phénomène devient de moins en moins important pour n’être au final qu’un simple murmure mais, un murmure reste un murmure & on ne peut l’ignorer qu’à force de volonté, or je n’en avais aucune.
Ce qui était cependant marrant, c’est pourquoi est-ce qu’elle semblait si triste à ce moment-là, pourquoi d’ailleurs était-elle heureuse de me voir quelques secondes plus tôt ? C’était elle qui avait choisit de m’ignorer complètement du jour au lendemain sans que j’ai eu le temps de comprendre quoi que se soit, ce fut pire qu’un choc, je n’avais rien vu venir & la chute n’en était que bien plus douloureuse.
Mon cerveau s’arrêta momentanément de fonctionner … Comment pouvait-elle dire ça, qu’elle méritait que je la déteste, que je ne lui adresse plus jamais la parole ? De faire comme si elle n’existait plus puisque de toute façon ça serait tellement mieux si elle n’existait pas. Je ne pouvais pas imprimer ce qu’elle disait, malgré toute la souffrance que j’avais pu avoir contre elle je n’avais jamais réussit à la détester, j’avais essayé vainement durant de nombreuses semaines avant de me rendre compte que cela mettait tout simplement impossible. Je ne pouvais pas la détester, cela m’était impossible comme il mettait impossible de vivre si je ne respirais pas. Tout ce qu’elle me disait m’était interdit, il était impensable qu’elle puisse me dire ça, mon cœur recommençait à saigner en entendant ses paroles, les fines cicatrices qui commençait guérir se rouvrait mais, je fis semblant de ne rien ressentir, si ce n’est un peu de tendresse à son égard, il m’était aujourd’hui plus facile d’ignorer la douleur, on dira que c’est devenu une habitude.
Je lui affichais un petit sourire, je n’avais pas voulu dire ça en ces termes, en faite je n’avais pas voulu être aussi sincère mais, l’idée de dire la vérité à cet instant précis n’était peut-être pas plus mal. Je ne pouvais rien y faire, autant que je l’accepte & c’était justement ce que je faisais. Je ne pouvais pas deviner jusqu’où je pourrais aller en disant la vérité mais, ça c’était la suite or nous sommes au présent & il est toujours plus important de ce concentrer sur ce que nous vivons aujourd’hui. Demain arrivera bien & apportera son lot de surprise mais, ce n’est que demain. Pour l’instant je sentais que la conversation ne faisait que commencer en particulier si elle disait ça. Posant ma main dans le haut de son dos je lui indiquais un espace un peu plus tranquille où il n’y avait personne, le bar était un endroit où beaucoup de monde passait, surtout les nouveaux arrivants qui venaient vérifier les dire comme quoi il n’y avait pas une goutte d’alcool.
Il ne restait plus qu’un petit mètre à faire avant d’atteindre l’endroit où nous aurions pu être tranquille mais, je n’arrivais plus à le faire, il me semblait si loin maintenant. Elle venait de s’excuser pour ce qui s’était produit, pour la manière dont nous avions arrêté de nous voir ou plutôt pour la manière dont elle avait fin au « nous » qui m’était si cher. Je n’avais jamais exigé d’excuse, ce n’est pas que je m’en moquais bien au contraire, je trouvais ce qu’elle disait touchant mais, elle ne m’apportait rien. J’avais besoin d’explication, j’avais besoin de comprendre pourquoi est-ce que d’un coup pour elle je n’avais plus existé. J’avais juste besoin de comprendre tout ça.
En faite dire la vérité serait peut-être pratique, par parce que si elle me répondait elle devrait me dire la vérité & l’entière vérité, non je ne l’obligeais même pas à m’expliquer non. Mais, c’était utile je ne pouvais plus me mentir à moi-même, j’étais obligé de me rendre compte que même si mon cœur saignait, ce n’était pas la chose qu’il faisait avec le plus d’acharnement. Il s’acharnait plutôt à me montrer qu’il ne l’avait pas oublié & qu’il ne pourrait jamais l’oublier. Je ne pouvais plus me voiler la face, même si ça me faisait mal de la voir, de reconnaître qu’elle était toujours aussi belle, je ne pouvais nier qu’une partie de moi l’aimait toujours ardemment & plus que tout, comme avant. C’était bête mais, le cœur a ses raisons que la raison ignore. Mon cœur avait fait ce choix & je ne pourrais pas le faire changer d’avis, je n’en avais pas envie de toute façon, elle avait toujours était la seule & l’unique & il n’y aurait aucun moyen de changer ça, aucune de mes petites amies, si géniales soient elles n’y étaient arrivés.
Ce qui était cependant marrant, c’est pourquoi est-ce qu’elle semblait si triste à ce moment-là, pourquoi d’ailleurs était-elle heureuse de me voir quelques secondes plus tôt ? C’était elle qui avait choisit de m’ignorer complètement du jour au lendemain sans que j’ai eu le temps de comprendre quoi que se soit, ce fut pire qu’un choc, je n’avais rien vu venir & la chute n’en était que bien plus douloureuse.
- RILEY « Tu as pourtant tous les droits de penser ce que tu viens de me dire. Je le mérite tellement. En fait, je ne mérite même pas que tu m’adresses la parole. Tu devrais te retourner et faire comme si je n’existais pas Tyler. Cela serait tellement mieux… Si je n’existais pas. »
Mon cerveau s’arrêta momentanément de fonctionner … Comment pouvait-elle dire ça, qu’elle méritait que je la déteste, que je ne lui adresse plus jamais la parole ? De faire comme si elle n’existait plus puisque de toute façon ça serait tellement mieux si elle n’existait pas. Je ne pouvais pas imprimer ce qu’elle disait, malgré toute la souffrance que j’avais pu avoir contre elle je n’avais jamais réussit à la détester, j’avais essayé vainement durant de nombreuses semaines avant de me rendre compte que cela mettait tout simplement impossible. Je ne pouvais pas la détester, cela m’était impossible comme il mettait impossible de vivre si je ne respirais pas. Tout ce qu’elle me disait m’était interdit, il était impensable qu’elle puisse me dire ça, mon cœur recommençait à saigner en entendant ses paroles, les fines cicatrices qui commençait guérir se rouvrait mais, je fis semblant de ne rien ressentir, si ce n’est un peu de tendresse à son égard, il m’était aujourd’hui plus facile d’ignorer la douleur, on dira que c’est devenu une habitude.
- TYLER « J’ai le droit mais, je ne le fais pas alors ne dis pas ça s’il te plait. Et puis ça signifie quoi : Si je n’existais pas ? Tu es bien vivante & devant moi alors, encore une fois s’il te plait n’envisages pas le fait que tu ne puisses pas exister, car c’est grâce à toi que j’ai comprit ce que c’était réellement l’amour, alors ne me l’enlèves pas. »
Je lui affichais un petit sourire, je n’avais pas voulu dire ça en ces termes, en faite je n’avais pas voulu être aussi sincère mais, l’idée de dire la vérité à cet instant précis n’était peut-être pas plus mal. Je ne pouvais rien y faire, autant que je l’accepte & c’était justement ce que je faisais. Je ne pouvais pas deviner jusqu’où je pourrais aller en disant la vérité mais, ça c’était la suite or nous sommes au présent & il est toujours plus important de ce concentrer sur ce que nous vivons aujourd’hui. Demain arrivera bien & apportera son lot de surprise mais, ce n’est que demain. Pour l’instant je sentais que la conversation ne faisait que commencer en particulier si elle disait ça. Posant ma main dans le haut de son dos je lui indiquais un espace un peu plus tranquille où il n’y avait personne, le bar était un endroit où beaucoup de monde passait, surtout les nouveaux arrivants qui venaient vérifier les dire comme quoi il n’y avait pas une goutte d’alcool.
- RILEY « Je suis un monstre… Et pour la première fois depuis 3 ans, je te demande pardon… Ce que j’aurais dû faire bien avant cela. »
Il ne restait plus qu’un petit mètre à faire avant d’atteindre l’endroit où nous aurions pu être tranquille mais, je n’arrivais plus à le faire, il me semblait si loin maintenant. Elle venait de s’excuser pour ce qui s’était produit, pour la manière dont nous avions arrêté de nous voir ou plutôt pour la manière dont elle avait fin au « nous » qui m’était si cher. Je n’avais jamais exigé d’excuse, ce n’est pas que je m’en moquais bien au contraire, je trouvais ce qu’elle disait touchant mais, elle ne m’apportait rien. J’avais besoin d’explication, j’avais besoin de comprendre pourquoi est-ce que d’un coup pour elle je n’avais plus existé. J’avais juste besoin de comprendre tout ça.
- TYLER « Ne t’excuses pas, je suis toujours vivant après tout. Je ne suis plus un drogué, je suis moi-même & personne d’autres alors, ne t’excuses pas. Je préfèrerais des explications, pouvoir enfin comprendre pourquoi est-ce que du jour au lendemain je n’étais plus rien à tes yeux si ce n’est un inconnu. C’est ça dont j’ai besoin je dois l’avouer, pouvoir savoir où j’ai bien pu merder mais, je ne peux pas t’obliger à me le dire. »
En faite dire la vérité serait peut-être pratique, par parce que si elle me répondait elle devrait me dire la vérité & l’entière vérité, non je ne l’obligeais même pas à m’expliquer non. Mais, c’était utile je ne pouvais plus me mentir à moi-même, j’étais obligé de me rendre compte que même si mon cœur saignait, ce n’était pas la chose qu’il faisait avec le plus d’acharnement. Il s’acharnait plutôt à me montrer qu’il ne l’avait pas oublié & qu’il ne pourrait jamais l’oublier. Je ne pouvais plus me voiler la face, même si ça me faisait mal de la voir, de reconnaître qu’elle était toujours aussi belle, je ne pouvais nier qu’une partie de moi l’aimait toujours ardemment & plus que tout, comme avant. C’était bête mais, le cœur a ses raisons que la raison ignore. Mon cœur avait fait ce choix & je ne pourrais pas le faire changer d’avis, je n’en avais pas envie de toute façon, elle avait toujours était la seule & l’unique & il n’y aurait aucun moyen de changer ça, aucune de mes petites amies, si géniales soient elles n’y étaient arrivés.
- InvitéInvité
Re: C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Ven 12 Fév 2010 - 6:56
Tout cela n’avait absolument aucun sens. Cette fête, le manque d’alcool, moi qui avais une réelle conversation avec Tyler, moi qui lui disais le fond de ma pensée. Mais qu’est-ce qui m’arrivait ?! Où est passé le masque perpétuellement attaché à mon visage. Je ne peux pas dévoiler ce que je suis, encore moins à Tyler, celui qui a prit une si grande place dans mon cœur auparavant. J’avais beau être incapable de bouger une seule seconde après les révélations qu’il m’avait fait, je me sentais à présent vouloir courir le marathon pour me changer les idées. Mon corps tremblait fébrilement alors que je me demandais pourquoi Tyler ne se montrait pas plus méchant avec moi. J’aurais bien aimé qu’il me crie des bêtises et me dise que je n’étais qu’un petit moment futile et sans intérêt dans sa vie. J’aurais aimé l’entendre me dire que je n’avais pas eu d’importance pour lui et que les moments que nous avions passés ensemble étaient maintenant bel et bien révolus. Pourtant, j’avais aussi envie qu’il me dise le contraire, mais cela n’était qu’une pensée irréaliste. Je me contentai donc de fixai de nouveau son visage parfait qui me faisait si mal que j’avais envie de pleurer. Depuis l’instant où notre conversation avait commençai, mes larmes poussaient pour pouvoir se déverser sur mon visage, mais je ne les laissais pas faire, ayant beaucoup trop d’orgueil.
TYLER - « J’ai le droit mais, je ne le fais pas alors ne dis pas ça s’il te plait. Et puis ça signifie quoi : Si je n’existais pas ? Tu es bien vivante & devant moi alors, encore une fois s’il te plait n’envisages pas le fait que tu ne puisses pas exister, car c’est grâce à toi que j’ai comprit ce que c’était réellement l’amour, alors ne me l’enlèves pas. »
Je n’arrivais à croire ce qu’il venait de me dire, pourtant cela sonnait si bien à mes oreilles telle une mélodie de mon enfance. Je fermai les yeux pendant quelques secondes voulant imprimer chaque mot dans mon esprit. J’aurais voulu pouvoir lui dire d’aussi belles choses, mais je ne me sentais pas capable de le faire sans fondre en sanglot. Je me sentais si faible que j’avais l’impression que je m’effondrais sur le sol d’une minute à l’autre. Je me laissai pourtant guider dans un coin un peu plus tranquille par Tyler qui, dans sa lancée, n’avait pas l’intention de mettre fin rapidement à notre échange. Maintenant que les choses avaient commencé, nous devions être francs l’un envers l’autre et étonnamment, je n’avais aucune difficulté à le faire en cette soirée.
RILEY- « L’amour est ce qui m’a détruit Tyler… C’est ce qui nous a détruits. Et je le regrette tant. »
Je n’avais pas la force d’en dire plus, mais Tyler, lui voulait connaître les raisons, je pouvais le lire dans son visage, dans son regard. Je voyais le questionnement dans ses yeux et je savais aussi que je serais incapable de lui résister. Comme je me sentais maintenant incapable de quitter la soirée sans lui. Mon cœur battait fort, même si j’aimais mieux ne pas l’écouter, de peur de faire un geste regrettable. Si seulement j’avais pu boire un peu d’alcool, je me serais sentie un peu plus détendue.
TYLER - « Ne t’excuses pas, je suis toujours vivant après tout. Je ne suis plus un drogué, je suis moi-même & personne d’autres alors, ne t’excuses pas. Je préfèrerais des explications, pouvoir enfin comprendre pourquoi est-ce que du jour au lendemain je n’étais plus rien à tes yeux si ce n’est un inconnu. C’est ça dont j’ai besoin je dois l’avouer, pouvoir savoir où j’ai bien pu merder mais, je ne peux pas t’obliger à me le dire. »
Mon sang se glaça, mon esprit s’affola. Je ne pouvais lui dire la vérité, personne ne savait la vérité. Pourquoi me posait-il cette question ? Ne pourrions-nous pas sauter par-dessus ce détail si important, mais si troublant de ma vie. Je sais bien qu’il n’a aucune idée de ce que j’ai pu vivre, mais j’aurais préféré qu’il ne s’y intéresse pas. Mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Je l’avais abandonné sans aucune raison. N’importe qui voudrait savoir la vérité. Je sentis la sueur perler sur mon front, mais je ne levai pas la main pour l’essuyer subtilement étant trop concentrée par ce que je pourrais dire à Tyler. Je voulais être franche, mais je ne me sentais pas assez forte pour le faire. Pourtant, j’avais le pressentiment que d’ici la fin de la soirée, la vérité sortirait de ma bouche.
RILEY- « T’es loin d’avoir merdé Tyler. Tu étais parfait… Si parfait que cela aurait pu faire peur à n’importe quelle fille. Mais moi ça me plaisait. Tu étais mien et je ne voulais personne d’autre. J’envisageais le futur avec toi comme une agréable aventure où nous allions être heureux et amoureux. Cependant, le bonheur n’est pas fait pour tout le monde à ce qui parait. Il n’est pas fait pour moi… Je t’ai quitté parce que… je… »
Je soupirai, ne pouvant pas laisser passer les mots au travers de ma gorge serrée à en faire mal. Mon cœur était en sang. Je voulais lui dire, mais il ne comprendrait pas ou plutôt je ne voulais pas qu’il comprenne. C’était mon secret, ma douleur. Pourquoi la partager avec un autre. Surtout avec Tyler, qui ne méritait pas de souffrir bien que c’est ce que je lui avais fait subir, de la souffrance. Mes yeux s’emplirent de larmes, celles-ci ne glissant pas pour autant sur mes joues. Je ne voulais pas non plus pleurer devant lui. La vérité est si dure à dire…
RILEY- « Il… Il m’a violée. »
Voilà. Je l’avais d’un souffle. D’une voix si basse que je me demandais s’il m’avait entendue. Mais il était trop tard, les mots étaient dits. Mes joues maintenant humides, mon regard échappa à celui de Tyler pour s’attarder sur un couple qui avait l’air de s’amuser un peu plus loin. Je ne pouvais le regarder en face. Je me sentais sale en ce moment, comme à chaque fois où je me mettais à penser à cet instant de ma vie.
TYLER - « J’ai le droit mais, je ne le fais pas alors ne dis pas ça s’il te plait. Et puis ça signifie quoi : Si je n’existais pas ? Tu es bien vivante & devant moi alors, encore une fois s’il te plait n’envisages pas le fait que tu ne puisses pas exister, car c’est grâce à toi que j’ai comprit ce que c’était réellement l’amour, alors ne me l’enlèves pas. »
Je n’arrivais à croire ce qu’il venait de me dire, pourtant cela sonnait si bien à mes oreilles telle une mélodie de mon enfance. Je fermai les yeux pendant quelques secondes voulant imprimer chaque mot dans mon esprit. J’aurais voulu pouvoir lui dire d’aussi belles choses, mais je ne me sentais pas capable de le faire sans fondre en sanglot. Je me sentais si faible que j’avais l’impression que je m’effondrais sur le sol d’une minute à l’autre. Je me laissai pourtant guider dans un coin un peu plus tranquille par Tyler qui, dans sa lancée, n’avait pas l’intention de mettre fin rapidement à notre échange. Maintenant que les choses avaient commencé, nous devions être francs l’un envers l’autre et étonnamment, je n’avais aucune difficulté à le faire en cette soirée.
RILEY- « L’amour est ce qui m’a détruit Tyler… C’est ce qui nous a détruits. Et je le regrette tant. »
Je n’avais pas la force d’en dire plus, mais Tyler, lui voulait connaître les raisons, je pouvais le lire dans son visage, dans son regard. Je voyais le questionnement dans ses yeux et je savais aussi que je serais incapable de lui résister. Comme je me sentais maintenant incapable de quitter la soirée sans lui. Mon cœur battait fort, même si j’aimais mieux ne pas l’écouter, de peur de faire un geste regrettable. Si seulement j’avais pu boire un peu d’alcool, je me serais sentie un peu plus détendue.
TYLER - « Ne t’excuses pas, je suis toujours vivant après tout. Je ne suis plus un drogué, je suis moi-même & personne d’autres alors, ne t’excuses pas. Je préfèrerais des explications, pouvoir enfin comprendre pourquoi est-ce que du jour au lendemain je n’étais plus rien à tes yeux si ce n’est un inconnu. C’est ça dont j’ai besoin je dois l’avouer, pouvoir savoir où j’ai bien pu merder mais, je ne peux pas t’obliger à me le dire. »
Mon sang se glaça, mon esprit s’affola. Je ne pouvais lui dire la vérité, personne ne savait la vérité. Pourquoi me posait-il cette question ? Ne pourrions-nous pas sauter par-dessus ce détail si important, mais si troublant de ma vie. Je sais bien qu’il n’a aucune idée de ce que j’ai pu vivre, mais j’aurais préféré qu’il ne s’y intéresse pas. Mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Je l’avais abandonné sans aucune raison. N’importe qui voudrait savoir la vérité. Je sentis la sueur perler sur mon front, mais je ne levai pas la main pour l’essuyer subtilement étant trop concentrée par ce que je pourrais dire à Tyler. Je voulais être franche, mais je ne me sentais pas assez forte pour le faire. Pourtant, j’avais le pressentiment que d’ici la fin de la soirée, la vérité sortirait de ma bouche.
RILEY- « T’es loin d’avoir merdé Tyler. Tu étais parfait… Si parfait que cela aurait pu faire peur à n’importe quelle fille. Mais moi ça me plaisait. Tu étais mien et je ne voulais personne d’autre. J’envisageais le futur avec toi comme une agréable aventure où nous allions être heureux et amoureux. Cependant, le bonheur n’est pas fait pour tout le monde à ce qui parait. Il n’est pas fait pour moi… Je t’ai quitté parce que… je… »
Je soupirai, ne pouvant pas laisser passer les mots au travers de ma gorge serrée à en faire mal. Mon cœur était en sang. Je voulais lui dire, mais il ne comprendrait pas ou plutôt je ne voulais pas qu’il comprenne. C’était mon secret, ma douleur. Pourquoi la partager avec un autre. Surtout avec Tyler, qui ne méritait pas de souffrir bien que c’est ce que je lui avais fait subir, de la souffrance. Mes yeux s’emplirent de larmes, celles-ci ne glissant pas pour autant sur mes joues. Je ne voulais pas non plus pleurer devant lui. La vérité est si dure à dire…
RILEY- « Il… Il m’a violée. »
Voilà. Je l’avais d’un souffle. D’une voix si basse que je me demandais s’il m’avait entendue. Mais il était trop tard, les mots étaient dits. Mes joues maintenant humides, mon regard échappa à celui de Tyler pour s’attarder sur un couple qui avait l’air de s’amuser un peu plus loin. Je ne pouvais le regarder en face. Je me sentais sale en ce moment, comme à chaque fois où je me mettais à penser à cet instant de ma vie.
- InvitéInvité
Re: C'EST LA FÊTE; mais, n'oubliez pas la surprise
Lun 15 Fév 2010 - 2:49
J’en avais profondément marre de ma voiler la face, de faire semblant. Ca ne servait à rien, je ne faisais que me perdre un peu plus dans qui j’étais. Etais-je celui que je montrais au gens ou étais-je moi tout simplement ? Je détestais la personne que je montrais, ce n’était pas moi … Faire semblant que tout va bien alors que rien ne va est une chose stupide mais, humaine. Encore une imbécilité qui nous permet de nous protéger face aux autres, je comprenais de mieux en mieux Meteora & je détestais ça tout simplement parce que ce n’était pas moi. Je n’étais pas comme ça, je n’étais pas comme tout le monde. Ce n’était pas un choix que j’avais fait, celui d’être différent pour me démarquer, pour me faire remarquer … Non j’étais différent parce que je n’aimais pas l’idée de montrer aux gens autre chose que ce que je suis tout simplement. & d’ailleurs qu’est-ce que je suis ? Un pauvre gars qui lors d’une soirée où tout le monde s’est fait roulé parce qu’il n’y a pas d’alcool, qui est en train de se rendre compte que finalement son ex est la seule qui compte toujours à ses yeux. Qu’elle est la fille qu’il ne pourra sûrement jamais oublié tout simplement parce qu’elle est elle ? Oui, je suis sans aucun doute ce gars, pitoyable pas vrai ? Elle était cette pensée folle qui hantait sans cesse mon esprit, je pouvais essayer de m’en débarrasser mais, je n’y arriverais probablement jamais, de toute façon à cette instant précis je n’en avais aucune envie.
J’avançais tranquillement en sa compagnie d’ailleurs vers un coin de la tente, pour parler & voir finalement où pourrait nous mener cette conversation, car maintenant que nous avions commencé à parler à cœur ouvert, & ce parce qu’à la base nous y étions un peu forcé, il était intéressant de voir ce qui allait se passer à la suite de celle-ci. Je lui expliquais calmement qu’elle ne pouvait pas dire qu’elle méritait de ne pas exister, non elle ne pouvait pas … Elle avait été pendant une année entière mes pensées, mon bonheur, ma drogue, mon cœur & le centre de mon univers, le centre de mon monde où elle tenait la place la plus importante, elle ne pouvait tout simplement pas m’enlever ça.
J’affichais un petit sourire amusé, ne comprenait-elle donc pas que je me fichais bien de ce qui m’était arrivé après notre rupture, c’était certes les moments les plus durs de ma vie mais, ce n’était pas les plus importants. Un simple grain de sable sur une plage de millions de kilomètres. Le pire était peut-être qu’elle le regrettait tant, je ne comprenais plus rien de notre histoire, de la chute de celle-ci en faite. Pourquoi regrettait-elle de m’avoir quitté ? C’était sa décision après tout, nous en avions apparemment subit tous les deux de grandes conséquences mais, elle avait prit la décision. Pourquoi ce choix si elle ne l’avait pas voulu ? Qu’est-ce que je racontais bordel, elle l’avait voulu, c’est son choix.
Saloperie de soirée vérité, bon dieu que ce que je disais été vrai, aucun mensonge mais, bon dieu que ça faisait con de le dire. J’aurais voulu me frapper pour lui avoir dit ça, qu’est-ce qu’elle en avait à faire après tout ? Non mais, franchement dire ça, trop sentimentale, trop moi sans doute mais, trop tout court en faite. Je ne pouvais nier cependant que c’était l’entière vérité, comment pourrait-il en être autrement après tout. J’adorais cet instant présent simplement parce que j’avais une raison, tout aussi bête soit-elle, pour pouvoir être près d’elle, pour pouvoir lui parler & avoir l’impression que rien n’était perdu. Elle était elle, elle produisait toutes les réactions de mon corps, mes pensées qui se bousculaient, mon envie d’être plus proche d’elle encore, mon souffle qui s’accélère très légèrement, mon cœur qui saigne face à la perte qu’il a subit. Riley était la seule qui avait ce pouvoir incroyable sur moi & bon dieu qu’est-ce que ça pouvait me manquer. Je cherchais donc désespérément l’erreur commise, celle qui avait précipité notre rupture, la fin de notre histoire.
Souriant légèrement au début, je me grattais la tête gêné. La possibilité d’être parfait était impossible, l’être humain ne peut-être parfait & j’étais bien loin de l’être. Par bien des aspects j’étais le pire des salauds, la perfection n’était pas pour moi pourtant j’aimais le passage où elle disait que j’avais été parfait, que j’avais été siens & qu’elle n’avait voulu personne d’autre, seulement je n’aimais pas le temps passé utilisé, c’était d’ailleurs le pire. C’est vrai, le passé est passé & il faut se concentrer sur le futur & surtout sur le présent mais, on ne peut ignorer le passé, ce qu’il a amené & ce qu’il a été. Il reste présent comme un fantôme pour nous rappeler que si on en est là c’est seulement à cause de lui.
Je n’aimais pas en tout cas la tournure que prenaient ses paroles, le bonheur n’était pas fait pour elle ? J’aurais voulu lui crier que ce n’était que foutaise, qu’elle pouvait être heureuse, que je pouvais la rendre heureuse si elle le voulait & que j’étais prêt à tout pour ça même si je devais moi-même souffrir. Elle était tout pour moi & je m’en rendais compte seulement maintenant. Je n’étais qu’un imbécile mais, un imbécile silencieux. Riley était sur le point d’avouer pourquoi elle avait rompu, pourquoi nous en étions là aujourd’hui & je ne pouvais résister à l’envie de savoir. Les secondes défilèrent lentement, prenant le temps comme s’il s’agissait d’une simple balade pour elle, j’eu le temps de voir les larmes monter aux yeux de la jeune femme, j’eu le temps de mourir d’envie de la prendre dans mes bras, de l’embrasser, de lui dire que je ne l’avais pas oublié mais, je n’eu pas le temps d’imaginer la suite.
Elle baissa les yeux, les détourna des miens alors que je restais immobile pendant une fraction de seconde avant de me rapprocher d’elle sans réfléchir & de la prendre dans mes bras. C’était inimaginable, non impossible … Je ne savais quoi dire, quoi faire ou encore comment réagir. L’idée était là mais, elle ne pouvait pas être vraie. Le simple fait qu’on ai pu la toucher sans qu’elle soit d’accord, qu’il l’ai touché … Serrant les poings de rage, je ne savais quoi dire, on ne sait jamais quoi dire dans ce genre de situation mais, il faut bien briser la glace, le silence est encore pire.
Oui, un nom & un seul & il souffrirait, plus que ce que chacun pouvait imaginer. La simple idée qu’on ai pu la toucher alors que … Non, cette personne ne méritait pas de mourir, elle méritait de souffrir, de souffrir jusqu’à la fin de ses jours pour ce qu’elle avait fait & j’étais prêt à faire ça. La simple image de quelqu’un couchant avec elle m’était insupportable même lorsque nous avions rompu, l’image d’elle en train de se faire violer était une torture. Je ne pouvais imaginer ce qu’il en était pour elle, soupirant légèrement je renforçais l’étreinte sans pour autant l’étouffer, tout devenait flou … La rage, celle de faire souffrir le salopard qui avait osé faire ça, l’envie de l’embrasser & de continuer de la prendre dans mes bras, tout s’embrouiller mais, il y avait désormais la certitude que j’étais prêt à tout pour elle, il lui suffisait de demander pour que je le fasse.
J’avançais tranquillement en sa compagnie d’ailleurs vers un coin de la tente, pour parler & voir finalement où pourrait nous mener cette conversation, car maintenant que nous avions commencé à parler à cœur ouvert, & ce parce qu’à la base nous y étions un peu forcé, il était intéressant de voir ce qui allait se passer à la suite de celle-ci. Je lui expliquais calmement qu’elle ne pouvait pas dire qu’elle méritait de ne pas exister, non elle ne pouvait pas … Elle avait été pendant une année entière mes pensées, mon bonheur, ma drogue, mon cœur & le centre de mon univers, le centre de mon monde où elle tenait la place la plus importante, elle ne pouvait tout simplement pas m’enlever ça.
- RILEY « L’amour est ce qui m’a détruit Tyler… C’est ce qui nous a détruits. Et je le regrette tant. »
J’affichais un petit sourire amusé, ne comprenait-elle donc pas que je me fichais bien de ce qui m’était arrivé après notre rupture, c’était certes les moments les plus durs de ma vie mais, ce n’était pas les plus importants. Un simple grain de sable sur une plage de millions de kilomètres. Le pire était peut-être qu’elle le regrettait tant, je ne comprenais plus rien de notre histoire, de la chute de celle-ci en faite. Pourquoi regrettait-elle de m’avoir quitté ? C’était sa décision après tout, nous en avions apparemment subit tous les deux de grandes conséquences mais, elle avait prit la décision. Pourquoi ce choix si elle ne l’avait pas voulu ? Qu’est-ce que je racontais bordel, elle l’avait voulu, c’est son choix.
- TYLER « Notre rupture m’a détruit c’est vrai mais, je crois que tu ne comprends pas … Je me fiche bien qu’il m’ai détruit. Je m’en fiche comme de savoir ce que donne Vénus & Mercure s’ils forment tel ou tel angle. Je suis prêt à subir un million de fois cette souffrance à la suite même si ça me détruit, je suis prêt à subir tout ça parce que je sais tout simplement que je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie que quand j’ai été avec toi. Alors oui, c’est pitoyable de dire ça mais, si un jour j’avais la possibilité d’être à nouveau heureux comme je l’ai été lorsque nous étions ensemble & bien je veux bien souffrir après. »
Saloperie de soirée vérité, bon dieu que ce que je disais été vrai, aucun mensonge mais, bon dieu que ça faisait con de le dire. J’aurais voulu me frapper pour lui avoir dit ça, qu’est-ce qu’elle en avait à faire après tout ? Non mais, franchement dire ça, trop sentimentale, trop moi sans doute mais, trop tout court en faite. Je ne pouvais nier cependant que c’était l’entière vérité, comment pourrait-il en être autrement après tout. J’adorais cet instant présent simplement parce que j’avais une raison, tout aussi bête soit-elle, pour pouvoir être près d’elle, pour pouvoir lui parler & avoir l’impression que rien n’était perdu. Elle était elle, elle produisait toutes les réactions de mon corps, mes pensées qui se bousculaient, mon envie d’être plus proche d’elle encore, mon souffle qui s’accélère très légèrement, mon cœur qui saigne face à la perte qu’il a subit. Riley était la seule qui avait ce pouvoir incroyable sur moi & bon dieu qu’est-ce que ça pouvait me manquer. Je cherchais donc désespérément l’erreur commise, celle qui avait précipité notre rupture, la fin de notre histoire.
- RILEY « T’es loin d’avoir merdé Tyler. Tu étais parfait… Si parfait que cela aurait pu faire peur à n’importe quelle fille. Mais moi ça me plaisait. Tu étais mien et je ne voulais personne d’autre. J’envisageais le futur avec toi comme une agréable aventure où nous allions être heureux et amoureux. Cependant, le bonheur n’est pas fait pour tout le monde à ce qui parait. Il n’est pas fait pour moi… Je t’ai quitté parce que… je… »
Souriant légèrement au début, je me grattais la tête gêné. La possibilité d’être parfait était impossible, l’être humain ne peut-être parfait & j’étais bien loin de l’être. Par bien des aspects j’étais le pire des salauds, la perfection n’était pas pour moi pourtant j’aimais le passage où elle disait que j’avais été parfait, que j’avais été siens & qu’elle n’avait voulu personne d’autre, seulement je n’aimais pas le temps passé utilisé, c’était d’ailleurs le pire. C’est vrai, le passé est passé & il faut se concentrer sur le futur & surtout sur le présent mais, on ne peut ignorer le passé, ce qu’il a amené & ce qu’il a été. Il reste présent comme un fantôme pour nous rappeler que si on en est là c’est seulement à cause de lui.
Je n’aimais pas en tout cas la tournure que prenaient ses paroles, le bonheur n’était pas fait pour elle ? J’aurais voulu lui crier que ce n’était que foutaise, qu’elle pouvait être heureuse, que je pouvais la rendre heureuse si elle le voulait & que j’étais prêt à tout pour ça même si je devais moi-même souffrir. Elle était tout pour moi & je m’en rendais compte seulement maintenant. Je n’étais qu’un imbécile mais, un imbécile silencieux. Riley était sur le point d’avouer pourquoi elle avait rompu, pourquoi nous en étions là aujourd’hui & je ne pouvais résister à l’envie de savoir. Les secondes défilèrent lentement, prenant le temps comme s’il s’agissait d’une simple balade pour elle, j’eu le temps de voir les larmes monter aux yeux de la jeune femme, j’eu le temps de mourir d’envie de la prendre dans mes bras, de l’embrasser, de lui dire que je ne l’avais pas oublié mais, je n’eu pas le temps d’imaginer la suite.
- RILEY « Il… Il m’a violée. »
Elle baissa les yeux, les détourna des miens alors que je restais immobile pendant une fraction de seconde avant de me rapprocher d’elle sans réfléchir & de la prendre dans mes bras. C’était inimaginable, non impossible … Je ne savais quoi dire, quoi faire ou encore comment réagir. L’idée était là mais, elle ne pouvait pas être vraie. Le simple fait qu’on ai pu la toucher sans qu’elle soit d’accord, qu’il l’ai touché … Serrant les poings de rage, je ne savais quoi dire, on ne sait jamais quoi dire dans ce genre de situation mais, il faut bien briser la glace, le silence est encore pire.
- TYLER « Je … Je suis désolé, tu aurais dû m’en parler … Désolé, je ne sais pas quoi dire. Si, dis moi le nom de celui qui t’as fait ça & je m’occupe de lui. »
Oui, un nom & un seul & il souffrirait, plus que ce que chacun pouvait imaginer. La simple idée qu’on ai pu la toucher alors que … Non, cette personne ne méritait pas de mourir, elle méritait de souffrir, de souffrir jusqu’à la fin de ses jours pour ce qu’elle avait fait & j’étais prêt à faire ça. La simple image de quelqu’un couchant avec elle m’était insupportable même lorsque nous avions rompu, l’image d’elle en train de se faire violer était une torture. Je ne pouvais imaginer ce qu’il en était pour elle, soupirant légèrement je renforçais l’étreinte sans pour autant l’étouffer, tout devenait flou … La rage, celle de faire souffrir le salopard qui avait osé faire ça, l’envie de l’embrasser & de continuer de la prendre dans mes bras, tout s’embrouiller mais, il y avait désormais la certitude que j’étais prêt à tout pour elle, il lui suffisait de demander pour que je le fasse.