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You inspire my inner serial killer
Mer 23 Mai 2018 - 23:57
Giuseppe feat. Nyx |
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Re: You inspire my inner serial killer
Jeu 24 Mai 2018 - 5:45
see heaven's got a plan for you | ft. swedish house mafia & scrrybae pour l'icon |
pluie, pluie, pluie, tombe douce pluie. Et bien, il fallait dire que tes plans tombaient à l'eau (c'était le cas de le dire). Toi, qui prévoyais passer la journée en dehors du domaine universitaire, aller lire quelques livres d'auteur sur les bancs du stade de quidditch, à l'air libre, tu dus renoncer à ton désir premier. En fin de compte, tu te disais que ce n'était pas si mal, cette fois-ci les rayons lumineux n'arriveraient pas à agresser ta peau super sensible. Aujourd'hui, tu te disais que tu méritais un traitement de roi, après tout, tu en étais un. Et si tu allais aux thermes. Depuis ton arrivée à Hungcalf, tu ne les avais jamais expérimenté. Nombreux sont ceux que tu eus pu visiter à Rome, à Turin ou même à Naples, mais la qualité écossaise t'étais étrangère. Un bon bain chaud dans le caldarium pour te décrasser et te remettre les idées en place, voilà ce qui te manquait !
not enough, pour it up, move to the side. En un coup de vent, tu enfilas un pull ébène au col roulé ainsi qu'un chino beige assez discret, contrairement à ton habitude. Bien entendu, tu n'oublias pas d'enfiler des deux bagues en saphir sur ton index et ton majeur. Lorsque tu arrivas au deuxième étage de l'université vieille de 700 ans, tu remarquas qu'il faisait nuit noire; seule la lumière nocturne réussissait un tant soi peu à passer à travers les fenêtres. Tu passas dont la porte et pris le temps d'observer, sans pour autant crier d'admiration, l'aménagement des thermes. Le moins qu'on puisse était que cette salle est immense, du genre, vraiment immense. Tu ne sus plus où te placer. Le splendide lustre de chandelles éclairait la pièce de milles feux et une centaine de robinets d'or resplendissaient d'un éclat divin. Tu adorais ça... La chair de poule commençait à t'envahir. Tu te dépêcha d'aller rejoindre le caladrium tout au fond de la salle. Tu te dénudas, gardant toujours soigneusement tes deux bagues avec toi et plongea dans l'eau aussi chaude que la braise. Moment de jouissance instantané. Tu apprécias tellement ce moment que tu t'assoupis tout de suite après, d'un coup.
don't. C'est en sursaut que tu te réveillas. Tu allais te noyer. L'eau avait presque complètement envahi tes poumons. Ainsi, tu recrachas toute cette eau qui avait bien failli signer ton arrêt de mort. Tes toussotements intempestifs firent du bruit, beaucoup de bruit. Soudain, alors que tu continuais malgré toi de cracher tes poumons, la lumière projetée par le lustre de chandelle disparu. Elle partit comme une voleuse. Ça ne t'amusais pas. Et là, une voix, étrangement familière, agréablement familière ? Tu frigorifias. Cela voulait que quelqu'un était à côté de lui depuis tout ce temps ? Tu ne savais pas si cette nouvelle se voulait rassurante ou bien totalement dérangeante. Peut-être que l'individu eut opportunité de t'espionner alors que tu t'accordais une sieste ? En même temps, que quelqu'un veuille observer un corps aussi bien sculpté que le tiens , ça ne te surprenais pas le moins du monde. Le plus important était que l'on ne fasse pas attention à tes bras. Tes bras qui cachent un lourd passé. Tes bras parsemés de cicatrices, usés, mutilés. Ton bras droit portait l'inscription, à même la peau, diavoletto.
Non, non, il n'y a personne, juste toi... et moi, crias-tu sarcastiquement tout haut à la personne qui venait de te poser la question. C'était peut-être pas le moment pour blaguer, mais toi, tu pouvais tout te permettre. Soudainement, tu te rappelas à qui appartenait cette voix féminine. Nyx. Tu soupiras de soulagement et de crainte. Tu étais heureux de te retrouver avec une connaissance, mais avec Nyx ? Tu ne l'aimais pas cette fille et tu ne pensais pas plus l'aimer à la fin de cette soirée. Tu resseras la serviette autour de ta taille, pour te protéger des regards curieux et sortit de ton bain. Nyx, t'es là ? Qu'est-ce qui s'est passé? Pourquoi il n'y a plus de lumière ?, demandas-tu d'un ton neutre, plutôt lointain. À ce moment-là, une fabuleuse idée te vint à l'esprit: faut je me rapproche de son bain. Quelle erreur, mais quelle erreur. Ô grand génie Giuseppe, tu omis à cet instant un détail important. Dans la très grande majorité des cas, les gens sont nus dans leurs bains. Tu t'approchas, pas à pas, sur le marbre blanc, et tu vis... quelque chose que tu ne voulais pas voir. Ta camarade de maison nue. Il n'est pas nécessaire de mentionner que tu détournas de suite le regard, même si le mal était fait. Tout de même, Giuseppe Demtrios Vlass, gêné de voir une femme nue ? Ok, cette situation te faisait vraiment suer. Et pas que à cause de la chaleur du caldrium.
not enough, pour it up, move to the side. En un coup de vent, tu enfilas un pull ébène au col roulé ainsi qu'un chino beige assez discret, contrairement à ton habitude. Bien entendu, tu n'oublias pas d'enfiler des deux bagues en saphir sur ton index et ton majeur. Lorsque tu arrivas au deuxième étage de l'université vieille de 700 ans, tu remarquas qu'il faisait nuit noire; seule la lumière nocturne réussissait un tant soi peu à passer à travers les fenêtres. Tu passas dont la porte et pris le temps d'observer, sans pour autant crier d'admiration, l'aménagement des thermes. Le moins qu'on puisse était que cette salle est immense, du genre, vraiment immense. Tu ne sus plus où te placer. Le splendide lustre de chandelles éclairait la pièce de milles feux et une centaine de robinets d'or resplendissaient d'un éclat divin. Tu adorais ça... La chair de poule commençait à t'envahir. Tu te dépêcha d'aller rejoindre le caladrium tout au fond de la salle. Tu te dénudas, gardant toujours soigneusement tes deux bagues avec toi et plongea dans l'eau aussi chaude que la braise. Moment de jouissance instantané. Tu apprécias tellement ce moment que tu t'assoupis tout de suite après, d'un coup.
don't. C'est en sursaut que tu te réveillas. Tu allais te noyer. L'eau avait presque complètement envahi tes poumons. Ainsi, tu recrachas toute cette eau qui avait bien failli signer ton arrêt de mort. Tes toussotements intempestifs firent du bruit, beaucoup de bruit. Soudain, alors que tu continuais malgré toi de cracher tes poumons, la lumière projetée par le lustre de chandelle disparu. Elle partit comme une voleuse. Ça ne t'amusais pas. Et là, une voix, étrangement familière, agréablement familière ? Tu frigorifias. Cela voulait que quelqu'un était à côté de lui depuis tout ce temps ? Tu ne savais pas si cette nouvelle se voulait rassurante ou bien totalement dérangeante. Peut-être que l'individu eut opportunité de t'espionner alors que tu t'accordais une sieste ? En même temps, que quelqu'un veuille observer un corps aussi bien sculpté que le tiens , ça ne te surprenais pas le moins du monde. Le plus important était que l'on ne fasse pas attention à tes bras. Tes bras qui cachent un lourd passé. Tes bras parsemés de cicatrices, usés, mutilés. Ton bras droit portait l'inscription, à même la peau, diavoletto.
Non, non, il n'y a personne, juste toi... et moi, crias-tu sarcastiquement tout haut à la personne qui venait de te poser la question. C'était peut-être pas le moment pour blaguer, mais toi, tu pouvais tout te permettre. Soudainement, tu te rappelas à qui appartenait cette voix féminine. Nyx. Tu soupiras de soulagement et de crainte. Tu étais heureux de te retrouver avec une connaissance, mais avec Nyx ? Tu ne l'aimais pas cette fille et tu ne pensais pas plus l'aimer à la fin de cette soirée. Tu resseras la serviette autour de ta taille, pour te protéger des regards curieux et sortit de ton bain. Nyx, t'es là ? Qu'est-ce qui s'est passé? Pourquoi il n'y a plus de lumière ?, demandas-tu d'un ton neutre, plutôt lointain. À ce moment-là, une fabuleuse idée te vint à l'esprit: faut je me rapproche de son bain. Quelle erreur, mais quelle erreur. Ô grand génie Giuseppe, tu omis à cet instant un détail important. Dans la très grande majorité des cas, les gens sont nus dans leurs bains. Tu t'approchas, pas à pas, sur le marbre blanc, et tu vis... quelque chose que tu ne voulais pas voir. Ta camarade de maison nue. Il n'est pas nécessaire de mentionner que tu détournas de suite le regard, même si le mal était fait. Tout de même, Giuseppe Demtrios Vlass, gêné de voir une femme nue ? Ok, cette situation te faisait vraiment suer. Et pas que à cause de la chaleur du caldrium.
BY CΔLΙGULΔ ☾
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Re: You inspire my inner serial killer
Jeu 24 Mai 2018 - 23:57
Giuseppe feat. Nyx |
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Re: You inspire my inner serial killer
Sam 9 Juin 2018 - 3:44
see heaven's got a plan for you | ft. swedish house mafia & scrrybae pour l'icon |
Tu commençais à avoir de plus en plus froid. Toi qui eus commencé à t'habituer à l'eau chaude et agréable du caldarium, cela faisait plusieurs minutes que tu étais maintenant dehors à l'air libre. Tu mourrais d'envie de retourner te plonger dans le bassin et y rester là pour le rester de la soirée, ne plus penser à rien ni personne. Le stress et la fatigue te rongeait continuellement, ce qui crée un cercle vicieux. Tu éprouves un stress intense, ce qui fait augmenter ta fatigue, mais tu stresses aussi quant au fait d'être à court de batteries lors d'épreuves cruciales, comme les examens finaux. Ce cycle ne s'arrête donc jamais. Sauf si tu te décides à te corriger. Mais tu as remarqué depuis bien trop longtemps que tu es un incorrigible. En plus de te faire du mal à toi-même, tu fais subir de la souffrance aux autres.
Heureusement, tu pouvais compter sur cette situationpas si gênante pour te mettre le rouge aux joues. Pourquoi cela ne te mettait pas à l'aise, alors que dans d'autres circonstances, cela t'aurait plutôt fait plaisir ? C'est peut-être à cause de ça, des circonstances actuelles. Et puis Nyx n'était pas une de celles que tu voulait voir dans son plus simple appareil. Enfin, loin de toi l'idée de dire qu'elle tu ne la trouvais pas belle, mais votre relation n'était pas des plus normales. La bleue ne t'aimais pas, donc elle t'évitait le plus possible, alors tu profitais des rares occasions où vous vous croisiez pour lui lancer deux-trois petites piques. Tu es bizarre quand même comme camarade Giuseppe. Tu te plains de ne pas avoir d'amis, mais lorsque tu as l'occasion de te faire de nouvelles relations et tisser de nouveaux liens, tu profites de ces occasions pour rependre de la haine. Mais est-ce vraiment de ta faute ? Parfois, tu tentes de bien faire les choses, mais malgré toi tu arrives toujours à tout faire foirer.
Je n'arrive plus à trouver ma serviette, dit-elle. Alors trouve-là vite, dis-tu sur un ton légèrement condescendant. Sa nudité n'était pas le centre de tes préoccupations. Tu te demandais encore comment et pourquoi et les lumières se sont éteintes d'un coup. Ça ne te mettait pas du tout en confiance et l'explication de Nyx non plus. Le temps de partir ? On est dans une université, magique qui plus est, alors pourquoi est-ce qu'un couvre-feu aurait lieu ? Tu te grattas le menton, plissa les yeux, passa une main dans tes cheveux encore mouillés et tu te mis à réfléchir. Et soudain, tu l'entendis. CRAC. Le son que fit l'éclair déchirant le ciel nocturne et qui vous offrit pendant un court instant une forte lumière. Tu vis, du coin de l'oeil, Nyx surprise par les nombreuses cicatrices parsemant tes bras. Tu ne dis rien, ce n'était pas la première fois que l'on pouvait être étonné par tes marques éternelles, tes marques démoniaques. Finalement, ta camarade trouva sa serviette blanche. Si je ne me trompes pas, on va bientôt sonner les douze coups de minuit... Ton instinct te joue parfois des tours. Et parmi toutes les fois où je suis venu aux thermes, c'est la première fois que quelque chose comme ça se produit. C'est ça qui te démangeais le plus. Pourquoi aujourd'hui, pourquoi maintenant ? Est-ce que l'on voulait jouer un mauvais tour au grand séducteur italien ? Jalousie ? Haine ? Rancœur ? Tu ne le sauras pas tout de suite. diavoletto.
Giuseppe, dis-moi que tu as ta baguette, s'il te plaît, demanda-t-elle. Une baguette, pour quoi faire, te dis-tu en premier lieu. Mais lorsque que tu vis le front de Nyx s'appuyant désespérément contre le dos de la porte, tu compris. Vous étiez bloqués là. Enfermés comme des sardines dans une boîte. Dans l'immédiat, tu fus tenté de répondre : Oui, bien sûr que j'ai une baguette, par contre je ne pense pas que ce soit celle dont tu parles... À la place de cette réponse tout de même assez inappropriée pour la situation dans laquelle vous vous trouviez, tu lui répondis, avec ton ton condescendant habituel: Bien sûr que non je ne l'ai pas. Tu voulais que je la mette où, dans mes cheveux peut-être ? Ça ne se voyait pas, mais le désespoir commençait à me gagner, moi aussi. Il n'y a pas une autre façon de se sortir de ce merdier ? On pourrait pas forcer la serrure ?
Heureusement, tu pouvais compter sur cette situation
Je n'arrive plus à trouver ma serviette, dit-elle. Alors trouve-là vite, dis-tu sur un ton légèrement condescendant. Sa nudité n'était pas le centre de tes préoccupations. Tu te demandais encore comment et pourquoi et les lumières se sont éteintes d'un coup. Ça ne te mettait pas du tout en confiance et l'explication de Nyx non plus. Le temps de partir ? On est dans une université, magique qui plus est, alors pourquoi est-ce qu'un couvre-feu aurait lieu ? Tu te grattas le menton, plissa les yeux, passa une main dans tes cheveux encore mouillés et tu te mis à réfléchir. Et soudain, tu l'entendis. CRAC. Le son que fit l'éclair déchirant le ciel nocturne et qui vous offrit pendant un court instant une forte lumière. Tu vis, du coin de l'oeil, Nyx surprise par les nombreuses cicatrices parsemant tes bras. Tu ne dis rien, ce n'était pas la première fois que l'on pouvait être étonné par tes marques éternelles, tes marques démoniaques. Finalement, ta camarade trouva sa serviette blanche. Si je ne me trompes pas, on va bientôt sonner les douze coups de minuit... Ton instinct te joue parfois des tours. Et parmi toutes les fois où je suis venu aux thermes, c'est la première fois que quelque chose comme ça se produit. C'est ça qui te démangeais le plus. Pourquoi aujourd'hui, pourquoi maintenant ? Est-ce que l'on voulait jouer un mauvais tour au grand séducteur italien ? Jalousie ? Haine ? Rancœur ? Tu ne le sauras pas tout de suite. diavoletto.
Giuseppe, dis-moi que tu as ta baguette, s'il te plaît, demanda-t-elle. Une baguette, pour quoi faire, te dis-tu en premier lieu. Mais lorsque que tu vis le front de Nyx s'appuyant désespérément contre le dos de la porte, tu compris. Vous étiez bloqués là. Enfermés comme des sardines dans une boîte. Dans l'immédiat, tu fus tenté de répondre : Oui, bien sûr que j'ai une baguette, par contre je ne pense pas que ce soit celle dont tu parles... À la place de cette réponse tout de même assez inappropriée pour la situation dans laquelle vous vous trouviez, tu lui répondis, avec ton ton condescendant habituel: Bien sûr que non je ne l'ai pas. Tu voulais que je la mette où, dans mes cheveux peut-être ? Ça ne se voyait pas, mais le désespoir commençait à me gagner, moi aussi. Il n'y a pas une autre façon de se sortir de ce merdier ? On pourrait pas forcer la serrure ?
BY CΔLΙGULΔ ☾