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There's no crying in Quidditch || Italian bros
Mar 15 Jan 2019 - 0:25
There's no crying in Quidditch.
Giuseppe & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
5 janvier 2019
Quelques jours plus tôt, Matteo a été réveillé par un oiseau de malheur qui s’agitait dans sa chambre. A première vue, l’italien ne reconnut pas cet oiseau mais Citrouille semblait très intéressé par l’idée d’en faire son petit déjeuner. L’oiseau laissa un courrier à l’intention de Matteo et le sorcier s’empressa de l’ouvrir. Malgré tous les événements récents, il avait espoir que ce soit une lettre de Tina, histoire d’avoir enfin de ses nouvelles, même s’il ne reconnaissait pas son écriture sur l’enveloppe. Lorsqu’il déplia la lettre, il constata qu’il s’agissait de son pote, Giuseppe. Ce dernier avait décidé de l’inviter à son manoir du côté de Turin, afin de se retrouver pour cette nouvelle année. Les cours n’avaient pas encore repris, et il restait quelques jours avant de se remettre dans le bain. Il n’y avait aucun moyen pour que Matteo ne refuse cette proposition, ça allait lui faire un bien fou de retourner en Italie. Il attrapa un bout de parchemin sur lequel il annonça à Giuseppe qu’il serait présent d’ici deux jours.
Matteo n’avait pas voyagé depuis un petit moment, depuis l’été pour être plus précis. Il avait réussi à négocier pour ne pas être obligé d’aller travailler à l’infirmerie pendant deux jours. Après tout, c’était les vacances alors il avait droit à un peu de répit et surtout, ce n’est pas comme si les lieux étaient envahis par des étudiants. Il était donc l’heure pour le sorcier de partir pour la région de Turin. Un portoloin avait été créé pour l’occasion, histoire que ce soit plus pratique pour Matteo de voyager. Ne se souvenant plus s’il avait déjà mis les pieds au manoir, le transplanage s’avérait être une solution un peu compliquée, malheureusement. Lorsqu’il arriva au lieu de rendez-vous, il constata que le portoloin était un vulgaire paquet de mouchoir vide. Magnifique. Il patienta et lorsqu’il fut temps de partir, il attrapa le paquet de mouchoir et il se retrouva transporté à l’autre bout de l’Europe sans avoir eu le temps de dire ouf.
Et voilà, il était arrivé au manoir. C’était vraiment impressionnant comme endroit vu de l’extérieur et c’était sans aucun doute similaire à l’intérieur. C’était donc ça avoir une vie de sang-pur ? Vivre dans un manoir ? Ça ne cassait clairement pas les clichés que Matteo avait dans son esprit. Il commença d’ailleurs à se poser des questions. Si avec Giuseppe, il s’est toujours bien entendu, est-ce que sa famille allait l’accepter ? Après tout, Matteo est loin d’être du même sang que son ami. Ses grands-parents sont des moldus et il ne l’a jamais caché. Même s’il n’a pas à le crier à travers le manoir Vlass, il ne peut s’empêcher tout cela. Il passe le portail de la propriété et se dirige vers la porte d’entrée du manoir. Bien éduqué, Matteo n’est pas venu les mains vides, il a ramené une bonne bouteille de vin de Sureau que son grand-père faisait de son vivant. Les Astolfi possèdent une cave qui en est remplie alors c’était évident d’en ramener une.
Il frappa à la porte. Il avait l’impression de se rendre chez ses beaux parents alors que ce n’était que chez son pote Giuseppe. C’est son pote, son ami, son frère, mais sans trop savoir pourquoi, la grandeur de cette bâtisse lui donne un peu la nausée. Il est pourtant habitué à Hungcalf, mais la différence c’est que l’université abrite des centaines de personnes. Il frappe une deuxième fois et la porte finit par s’ouvrir et laisse apparaître l’acolyte de Matteo.
« Giuseppe ! Fratello mio, sono contento di vederti ! Comment vas-tu? »
Heureux de revoir son ami, Matteo lui offrit une chaleureuse accolade.
« C’est un sacré manoir dans lequel tu vis, tu n’avais pas menti hein ! Enfin, j’demande encore à voir l’intérieur. »
Quelques jours plus tôt, Matteo a été réveillé par un oiseau de malheur qui s’agitait dans sa chambre. A première vue, l’italien ne reconnut pas cet oiseau mais Citrouille semblait très intéressé par l’idée d’en faire son petit déjeuner. L’oiseau laissa un courrier à l’intention de Matteo et le sorcier s’empressa de l’ouvrir. Malgré tous les événements récents, il avait espoir que ce soit une lettre de Tina, histoire d’avoir enfin de ses nouvelles, même s’il ne reconnaissait pas son écriture sur l’enveloppe. Lorsqu’il déplia la lettre, il constata qu’il s’agissait de son pote, Giuseppe. Ce dernier avait décidé de l’inviter à son manoir du côté de Turin, afin de se retrouver pour cette nouvelle année. Les cours n’avaient pas encore repris, et il restait quelques jours avant de se remettre dans le bain. Il n’y avait aucun moyen pour que Matteo ne refuse cette proposition, ça allait lui faire un bien fou de retourner en Italie. Il attrapa un bout de parchemin sur lequel il annonça à Giuseppe qu’il serait présent d’ici deux jours.
Matteo n’avait pas voyagé depuis un petit moment, depuis l’été pour être plus précis. Il avait réussi à négocier pour ne pas être obligé d’aller travailler à l’infirmerie pendant deux jours. Après tout, c’était les vacances alors il avait droit à un peu de répit et surtout, ce n’est pas comme si les lieux étaient envahis par des étudiants. Il était donc l’heure pour le sorcier de partir pour la région de Turin. Un portoloin avait été créé pour l’occasion, histoire que ce soit plus pratique pour Matteo de voyager. Ne se souvenant plus s’il avait déjà mis les pieds au manoir, le transplanage s’avérait être une solution un peu compliquée, malheureusement. Lorsqu’il arriva au lieu de rendez-vous, il constata que le portoloin était un vulgaire paquet de mouchoir vide. Magnifique. Il patienta et lorsqu’il fut temps de partir, il attrapa le paquet de mouchoir et il se retrouva transporté à l’autre bout de l’Europe sans avoir eu le temps de dire ouf.
Et voilà, il était arrivé au manoir. C’était vraiment impressionnant comme endroit vu de l’extérieur et c’était sans aucun doute similaire à l’intérieur. C’était donc ça avoir une vie de sang-pur ? Vivre dans un manoir ? Ça ne cassait clairement pas les clichés que Matteo avait dans son esprit. Il commença d’ailleurs à se poser des questions. Si avec Giuseppe, il s’est toujours bien entendu, est-ce que sa famille allait l’accepter ? Après tout, Matteo est loin d’être du même sang que son ami. Ses grands-parents sont des moldus et il ne l’a jamais caché. Même s’il n’a pas à le crier à travers le manoir Vlass, il ne peut s’empêcher tout cela. Il passe le portail de la propriété et se dirige vers la porte d’entrée du manoir. Bien éduqué, Matteo n’est pas venu les mains vides, il a ramené une bonne bouteille de vin de Sureau que son grand-père faisait de son vivant. Les Astolfi possèdent une cave qui en est remplie alors c’était évident d’en ramener une.
Il frappa à la porte. Il avait l’impression de se rendre chez ses beaux parents alors que ce n’était que chez son pote Giuseppe. C’est son pote, son ami, son frère, mais sans trop savoir pourquoi, la grandeur de cette bâtisse lui donne un peu la nausée. Il est pourtant habitué à Hungcalf, mais la différence c’est que l’université abrite des centaines de personnes. Il frappe une deuxième fois et la porte finit par s’ouvrir et laisse apparaître l’acolyte de Matteo.
« Giuseppe ! Fratello mio, sono contento di vederti ! Comment vas-tu? »
Heureux de revoir son ami, Matteo lui offrit une chaleureuse accolade.
« C’est un sacré manoir dans lequel tu vis, tu n’avais pas menti hein ! Enfin, j’demande encore à voir l’intérieur. »
(c) DΛNDELION
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Re: There's no crying in Quidditch || Italian bros
Sam 26 Jan 2019 - 21:03
♛ there's no crying in quidditch
resented like a demon. loved like a child. died like a prince.
▼▲▼
7 janvier. Tu sortais tout juste de la douche, le corps fumant. Tu te frottais les cheveux vigoureusement. Cela te prit une bonne dizaine de minutes. Ta chevelure argentée prenait facilement l'eau. Un trait que tu partageais avec ton père. Cadeau insolite. Alors que tu étais encore nu comme un ver, tu te mis à chercher tes deux grosses bagues de saphir. Tu juras les avoir mis juste au-dessus du lavabo, mais tu ne vis rien. Tu fis le tour de la salle de bain, mais en vain. Tu n'allais pas forcer, ta cuisse droite te faisait encore mal. Tu te rappelais encore la chute. Toi, grand gaillard que tu étais, avais versé une larme, dans la discrétion la plus totale. C'est ce qui arrive quand l'on veut essayer de jouer au héros solitaire. Tu continuas à te préparer pour l'arrivée de ton frère de cœur. De toute façon, tu pourras facilement te racheter des bagues plus grosses, plus brillantes, plus chères. Montrer aux autres que tu as toujours un pas en avance sur eux.
Il y a quelques jours déjà, tu avais invité Matteo, que tu considérais comme le grand frère que tu n'avais jamais eu, à passer un après-midi avec toi au Manoir Vlass, pour fêter la nouvelle années, lui souhaiter tes meilleurs vœux, mais pas seulement. Tes parents étant partis avec Bregoli pour un voyage d'affaires, tu te sentais terriblement seul. Isolé du reste du monde. Sous tes grands airs tu faisais comme si tu étais intouchable alors qu'au fond tu es en terrible manque d'attention. Tu devenais fou à force de parcourir ces escaliers qui semblaient sans fin ou ces pièces qui étaient plus grandes qu'elles en avaient l'air. Tu vivais ici depuis ta naissance et pourtant tu te sentais encore comme un inconnu dans un labyrinthe. Fin prêt à recevoir ton invité, tu commenças à mettre les couverts sur la table, situé en plein de milieu de la Grande Salle. À chaque mouvement que tu faisais, ta cuisse te faisait de plus en plus souffrir. Tu tiens à peine debout. Des gouttes de sueur perlent sur ton front. Tu échappes presque le tiramisu que tu avais méticuleusement préparé pour cette occasion spéciale. T'es mal en point, Demetrios. Peut-être que Matteo pourrait t'aider ? Toc, toc, toc. Quand on parle du loup.
Matteo, mi fa piacere vedere che sei ancora vivo ! Tu déconnes comme à ton habitude. Vous vous étreignez pendant quelques secondes, l'excitation vous habitant. Ah, que veux-tu, les Vlass savent faire impressionner la galerie. Et moi aussi d'ailleurs ! Allez entre, grand frère.Tu lui montres la salle où se trouve la table à manger, qui contient de la nourriture en abondance. Alors que tu pousses une chaise pour pouvoir enfin t'asseoir, tu sens une douleur dans ta cuisse, fais un faux mouvement et tu tombes sur le sol. Rien de cassé, heureusement. Ah Matt, j'ai oublié de te dire, je pense que je me suis blessé en voulant m’entraîner au quidditch. Oulala.
Il y a quelques jours déjà, tu avais invité Matteo, que tu considérais comme le grand frère que tu n'avais jamais eu, à passer un après-midi avec toi au Manoir Vlass, pour fêter la nouvelle années, lui souhaiter tes meilleurs vœux, mais pas seulement. Tes parents étant partis avec Bregoli pour un voyage d'affaires, tu te sentais terriblement seul. Isolé du reste du monde. Sous tes grands airs tu faisais comme si tu étais intouchable alors qu'au fond tu es en terrible manque d'attention. Tu devenais fou à force de parcourir ces escaliers qui semblaient sans fin ou ces pièces qui étaient plus grandes qu'elles en avaient l'air. Tu vivais ici depuis ta naissance et pourtant tu te sentais encore comme un inconnu dans un labyrinthe. Fin prêt à recevoir ton invité, tu commenças à mettre les couverts sur la table, situé en plein de milieu de la Grande Salle. À chaque mouvement que tu faisais, ta cuisse te faisait de plus en plus souffrir. Tu tiens à peine debout. Des gouttes de sueur perlent sur ton front. Tu échappes presque le tiramisu que tu avais méticuleusement préparé pour cette occasion spéciale. T'es mal en point, Demetrios. Peut-être que Matteo pourrait t'aider ? Toc, toc, toc. Quand on parle du loup.
Matteo, mi fa piacere vedere che sei ancora vivo ! Tu déconnes comme à ton habitude. Vous vous étreignez pendant quelques secondes, l'excitation vous habitant. Ah, que veux-tu, les Vlass savent faire impressionner la galerie. Et moi aussi d'ailleurs ! Allez entre, grand frère.Tu lui montres la salle où se trouve la table à manger, qui contient de la nourriture en abondance. Alors que tu pousses une chaise pour pouvoir enfin t'asseoir, tu sens une douleur dans ta cuisse, fais un faux mouvement et tu tombes sur le sol. Rien de cassé, heureusement. Ah Matt, j'ai oublié de te dire, je pense que je me suis blessé en voulant m’entraîner au quidditch. Oulala.
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- InvitéInvité
Re: There's no crying in Quidditch || Italian bros
Lun 28 Jan 2019 - 22:30
There's no crying in Quidditch.
Giuseppe & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
7 janvier 2019
Matteo ne sait pas trop pourquoi il stresse comme ça alors que bon, il va simplement voir son pote, son frère de cœur. Rien de bien angoissant à part une demeure qu’il ne possédera probablement jamais. Même si les Astolfi ont une situation relativement aisée, ils sont loin de posséder de tels biens et Matteo ne compte de toute manière pas investir dans ce genre de maison – ou de château, il ne sait pas trop comment on appelle ça. Il est content quand il voit enfin le visage de son ami qui vient lui ouvrir la porte. Ils échangent quelques familiarités en italien, même si Matteo ne maîtrise pas totalement cette langue puisqu’il n’a que très peu vécu dans ce pays et qu’à la maison, ils parlent tous anglais. Il ne peut s’empêcher de faire remarquer son admiration face à cette bâtisse qui n’est semblable à aucune autre. Giuseppe, lui, ne peut s’empêcher de rappeler à quel point les Vlass sont capables d’impressionner. Finalement, il l’invite à entrer.
Une fois un pied à l’intérieur, Matteo observe bouche bée les intérieurs. Ce n’est pas du tout décevant, c’est très grand, c’est très propre, mais pour autant, il n’est pas sûr d’être capable de vivre dans un tel endroit, même avec une épouse et plusieurs enfants. Il préfère les petites maisons chaleureuses et confortables. Il ne sait pas trop comment il est censé se comporter, alors il enlève ses chaussures, dans le doute, histoire de ne pas salir ce sol qui semble avoir coûté une fortune. Il exagère peut-être mais il ne veut pas s’attirer les foudres de la personne qui fait le ménage, qui qu’elle soit.
Le futur médicomage suit son ami jusque dans l’immense salle à manger où il peut constater que Giuseppe n’a pas lésiné sur les moyens. Il y a à manger pour dix personnes au moins. D’ailleurs, il ignore totalement s’ils sont seuls ou s’il va faire la connaissance du reste de la famille. A part les sœurs de Giuseppe, il ne connaît pas vraiment les Vlass. Ce n’est pas comme si ses parents avaient l’habitude de fréquenter de grandes familles de Sangs-Purs. Ces histoires de sangs, ça les dépasse totalement, tout comme pour Matteo d’ailleurs.
« Wow. T’as prévu d’accueillir toute l’équipe de Quidditch des Lufkin ou bien ? »
Pourtant Matteo est un gros mangeur mais il a souvent les yeux plus gros que le ventre. S’il mange la moitié de ce qui se trouve sur la table, il risque de devenir obèse mais il ne peut pas nier le fait que tout lui semble vraiment délicieux. Est-ce qu’il y a des cuisiniers ici ou est-ce que Giuseppe est un cordon bleu caché ? Ce dernier s’installe sur une chaise et Matteo fait de même, ne remarquant pas la difficulté de son ami à ce moment-là. Il allait faire une remarque sur toute la nourriture quand le Vlass lui annonce qu’il s’est peut-être blessé lors d’un entraînement de Quidditch.
« Blessé ? Comment ça ? Où ça ? Tu veux que je check ? »
C’est toujours le risque de l’entraînement en solitaire, s’il n’y a personne pour emmener le blessé à l’infirmerie, la blessure peut traîner et empirer.
« Je t’avais pourtant dit de ne pas t’entraîner sans moi, mais t’en fais toujours qu’à ta tête, n’est-ce pas ? »
Matteo ne sait pas trop pourquoi il stresse comme ça alors que bon, il va simplement voir son pote, son frère de cœur. Rien de bien angoissant à part une demeure qu’il ne possédera probablement jamais. Même si les Astolfi ont une situation relativement aisée, ils sont loin de posséder de tels biens et Matteo ne compte de toute manière pas investir dans ce genre de maison – ou de château, il ne sait pas trop comment on appelle ça. Il est content quand il voit enfin le visage de son ami qui vient lui ouvrir la porte. Ils échangent quelques familiarités en italien, même si Matteo ne maîtrise pas totalement cette langue puisqu’il n’a que très peu vécu dans ce pays et qu’à la maison, ils parlent tous anglais. Il ne peut s’empêcher de faire remarquer son admiration face à cette bâtisse qui n’est semblable à aucune autre. Giuseppe, lui, ne peut s’empêcher de rappeler à quel point les Vlass sont capables d’impressionner. Finalement, il l’invite à entrer.
Une fois un pied à l’intérieur, Matteo observe bouche bée les intérieurs. Ce n’est pas du tout décevant, c’est très grand, c’est très propre, mais pour autant, il n’est pas sûr d’être capable de vivre dans un tel endroit, même avec une épouse et plusieurs enfants. Il préfère les petites maisons chaleureuses et confortables. Il ne sait pas trop comment il est censé se comporter, alors il enlève ses chaussures, dans le doute, histoire de ne pas salir ce sol qui semble avoir coûté une fortune. Il exagère peut-être mais il ne veut pas s’attirer les foudres de la personne qui fait le ménage, qui qu’elle soit.
Le futur médicomage suit son ami jusque dans l’immense salle à manger où il peut constater que Giuseppe n’a pas lésiné sur les moyens. Il y a à manger pour dix personnes au moins. D’ailleurs, il ignore totalement s’ils sont seuls ou s’il va faire la connaissance du reste de la famille. A part les sœurs de Giuseppe, il ne connaît pas vraiment les Vlass. Ce n’est pas comme si ses parents avaient l’habitude de fréquenter de grandes familles de Sangs-Purs. Ces histoires de sangs, ça les dépasse totalement, tout comme pour Matteo d’ailleurs.
« Wow. T’as prévu d’accueillir toute l’équipe de Quidditch des Lufkin ou bien ? »
Pourtant Matteo est un gros mangeur mais il a souvent les yeux plus gros que le ventre. S’il mange la moitié de ce qui se trouve sur la table, il risque de devenir obèse mais il ne peut pas nier le fait que tout lui semble vraiment délicieux. Est-ce qu’il y a des cuisiniers ici ou est-ce que Giuseppe est un cordon bleu caché ? Ce dernier s’installe sur une chaise et Matteo fait de même, ne remarquant pas la difficulté de son ami à ce moment-là. Il allait faire une remarque sur toute la nourriture quand le Vlass lui annonce qu’il s’est peut-être blessé lors d’un entraînement de Quidditch.
« Blessé ? Comment ça ? Où ça ? Tu veux que je check ? »
C’est toujours le risque de l’entraînement en solitaire, s’il n’y a personne pour emmener le blessé à l’infirmerie, la blessure peut traîner et empirer.
« Je t’avais pourtant dit de ne pas t’entraîner sans moi, mais t’en fais toujours qu’à ta tête, n’est-ce pas ? »
(c) DΛNDELION
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Re: There's no crying in Quidditch || Italian bros
Sam 9 Fév 2019 - 2:23
♛ there's no crying in quidditch
resented like a demon. loved like a child. died like a prince.
▼▲▼
Ton grand frère ne pouvait pas arriver à un meilleur moment. Quand tu y repensais, t'aurais jamais imaginé que les choses se passent comme ça entre Matteo et toi. Au début, tu le considérais juste comme un simple coéquipier de quidditch, un autre batteur. Mais plus le temps, plus vous vous découvriez des points communs. Vos racines communes avaient joué un rôle dans votre relation. Vous veniez du même arbre, mais différents fruits y avaient poussés. Tu l’accueillais chaleureusement dans ta demeure, enfin plutôt celle du clan, et le taquina un peu, comme à ton habitude. Tu pouvais pas t'en empêcher. C'est plus fort que toi.
Toute l'équipe de quidditch ? Mais non, faut voir plus grand. Tous les Lufkins, toute l'université même. T’exagérais un poil. Le manoir était grand, géant, mais pas au point d’accueillir plus d'un millier d'étudiants. Faut croire que même les Vlass ont des limites. Des limites pas comme les autres, mais tout de même. D'ailleurs, tu n'avais pas avisé tes parents que vous receviez un invité cet après-midi. S'ils décidaient de débarquer à l'improviste, ça ferait de sacrées rencontres. Aussi endiablées que sulfureuses. Tu connaissais trop bien tes géniteurs. Tu en sais plus sur eux qu'ils en savent sur eux-mêmes. T'es au courant que la pureté du sang est importante à leurs yeux. Si le pire arrivait, tu leur ferais croire que l'étudiant médicomage est un Sang-Pur. On ne t’appelais pas le roi des menteurs pour rien, right ? Qui plus est, s'ils découvrent qu'il sait baragouiner quelques phrases en italien, ils tomberaient sous le charme. Le tour sera joué. Improvise. Adapt. Overcome.
T'es mal en point. Matteo te propose de regarder ce qui pourrait ne pas bien aller. Sauf que ta fierté te monte un peu trop à la tête. Non, non, non, je pense pas que ça soit aussi grave, si je prends quelques champignons magiques ça devrait calmer la douleur, dis-tu, tout en essayant de contrôler la douleur. Alors que tu te relèves, croyant que tu maîtrises la situation, ta blessure revient de plus belle, et cette fois-ci c'est dix fois pire. Tu crus presque t'évanouir. Pas la peine de dire que tu retombes directement sur le sol. Pour une fois, tu ravales ta fierté et t'acceptes l'aide de ton frère. Cazzo di mierda ! Ouais, ouais, c'est bon, vas-y, check. Tant que le douleur disparaisse. Je pense que je me suis claqué un muscle, au niveau de la cuisse droite. Lorsque Matteo te dit qu'il t'avait prévenu, tu haussas les épaules en faisant comme si tu te rappelais pas. Je voulais essayer de devenir un meilleur batteur que toi. Même dans le malheur, tu trouvais l'opportunité pour glisser une vanne.
Toute l'équipe de quidditch ? Mais non, faut voir plus grand. Tous les Lufkins, toute l'université même. T’exagérais un poil. Le manoir était grand, géant, mais pas au point d’accueillir plus d'un millier d'étudiants. Faut croire que même les Vlass ont des limites. Des limites pas comme les autres, mais tout de même. D'ailleurs, tu n'avais pas avisé tes parents que vous receviez un invité cet après-midi. S'ils décidaient de débarquer à l'improviste, ça ferait de sacrées rencontres. Aussi endiablées que sulfureuses. Tu connaissais trop bien tes géniteurs. Tu en sais plus sur eux qu'ils en savent sur eux-mêmes. T'es au courant que la pureté du sang est importante à leurs yeux. Si le pire arrivait, tu leur ferais croire que l'étudiant médicomage est un Sang-Pur. On ne t’appelais pas le roi des menteurs pour rien, right ? Qui plus est, s'ils découvrent qu'il sait baragouiner quelques phrases en italien, ils tomberaient sous le charme. Le tour sera joué. Improvise. Adapt. Overcome.
T'es mal en point. Matteo te propose de regarder ce qui pourrait ne pas bien aller. Sauf que ta fierté te monte un peu trop à la tête. Non, non, non, je pense pas que ça soit aussi grave, si je prends quelques champignons magiques ça devrait calmer la douleur, dis-tu, tout en essayant de contrôler la douleur. Alors que tu te relèves, croyant que tu maîtrises la situation, ta blessure revient de plus belle, et cette fois-ci c'est dix fois pire. Tu crus presque t'évanouir. Pas la peine de dire que tu retombes directement sur le sol. Pour une fois, tu ravales ta fierté et t'acceptes l'aide de ton frère. Cazzo di mierda ! Ouais, ouais, c'est bon, vas-y, check. Tant que le douleur disparaisse. Je pense que je me suis claqué un muscle, au niveau de la cuisse droite. Lorsque Matteo te dit qu'il t'avait prévenu, tu haussas les épaules en faisant comme si tu te rappelais pas. Je voulais essayer de devenir un meilleur batteur que toi. Même dans le malheur, tu trouvais l'opportunité pour glisser une vanne.
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Re: There's no crying in Quidditch || Italian bros
Sam 9 Fév 2019 - 10:06
There's no crying in Quidditch.
Giuseppe & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
7 janvier 2019
Il ne peut cacher sa surprise face à la taille de cette demeure. Il en vient même à imaginer comment il aurait vécu si son grand-père avait possédé un tel palace. Le doyen Astolfi ne possédait qu’une maison modeste en Toscane. Une grande maison, certes, mais sans prétentions. D’après ce que Matteo savait, la maison avait été vendue une fois que le grand-père était décédé et il trouvait ça tellement dommage. Il avait la majorité des meilleurs souvenirs de son enfance qui provenaient de ce lieu hors du temps. En tout cas, il n’y avait pas que la maison qui était disproportionnée mais aussi la quantité de nourriture sur la table. Matteo a beau être un bon mangeur, là, il se voyait déjà passer les prochains jours à Ste Marie pour un lavage d’estomac. Il fit une blague sur le fait que son frère attendait toute l’équipe de Quidditch à manger et il rétorqua qu’en réalité il attendait tous les Lufkins. Il ne put s’empêcher de rire, il imaginait toute la maison être envahie par les Lufkins et il n’était pas certain que tout le monde rentre.
Giuseppe dit alors à Matteo qu’il s’est peut-être blessé et l’âme de médicomage de l’italien ne peut s’empêcher de commencer à poser des questions à son ami. Où a-t’ il mal ? Comment s’est-il fait mal ? Evidemment, il est tenté de regarder et puis s’il lui en parle, c’est qu’il veut que Matteo regarde un peu si ce n’est pas trop grave. Mais Giuseppe est italien, et sang-pur de surcroît, c’est quelqu’un de très fier et il dit que ce n’est pas grave. Le problème, c’est qu’il suggère l’idée de simplement ingérer des champignons magiques pour que ça aille mieux. Soudainement, Matteo ne se sent pas bien. Il a toujours cette phobie des champignons et le simple fait d’entendre ce mot prononcé et d’imaginer son ami en manger, ça lui provoque un presque malaise. Mais pas le temps de perdre connaissance, Giuseppe se relève et tombe au sol, ce qui ramène Matteo à la réalité très rapidement. Il change très vite d’avis et demande à être ausculté.
« Je te l’avais dit ! »
Le jeune Vlass explique qu’il voulait être un meilleur batteur que le jeune Astolfi. Celui-ci est amusé par ses dires.
« Meilleur batteur que moi ? Mais tu sais bien que… c’est impossible ! »
Il lance un petit pic et se met à tâter la cuisse de son frère. Comme ça, il ne pourra pas vraiment voir s’il y a un claquage musculaire. Il relève la tête pour voir les réactions de Giuseppe à chaque fois qu’il touche une partie de la cuisse, histoire de localiser précisément la douleur. Il sort un baume qu’il a dans son sac, comme il avait prévu de jouer un peu au Quidditch avec son ami, il avait prévu le nécessaire en cas de blessure. Il applique le baume tout en massant.
« Bon, j’ai pas l’impression que ce soit très grave. Ton muscle est dur quand je touche, je pense que c’est simplement une élongation musculaire. Je t’ai mis un baume qui devrait apaiser ta douleur, mais la seule chose à faire c’est rester au lit et attendre que ça passe. L’idée c’est d’éviter de solliciter ta cuisse. »
Insister pourrait effectivement provoquer un claquage, mais là, le muscle n’est pas gonflé et il n’y a aucune ecchymose, donc ça ne semble pas très grave.
« Si vraiment ça persiste, il faudrait passer des examens plus poussés, là, comme ça, je ne peux pas te garantir à cent pourcent que ce n’est pas autre chose, je ne peux te le garantir qu’à quatre-vingt-dix-neuf pourcent. »
La marge d’erreur des médicomages, surtout quand on est apprenti.
Il ne peut cacher sa surprise face à la taille de cette demeure. Il en vient même à imaginer comment il aurait vécu si son grand-père avait possédé un tel palace. Le doyen Astolfi ne possédait qu’une maison modeste en Toscane. Une grande maison, certes, mais sans prétentions. D’après ce que Matteo savait, la maison avait été vendue une fois que le grand-père était décédé et il trouvait ça tellement dommage. Il avait la majorité des meilleurs souvenirs de son enfance qui provenaient de ce lieu hors du temps. En tout cas, il n’y avait pas que la maison qui était disproportionnée mais aussi la quantité de nourriture sur la table. Matteo a beau être un bon mangeur, là, il se voyait déjà passer les prochains jours à Ste Marie pour un lavage d’estomac. Il fit une blague sur le fait que son frère attendait toute l’équipe de Quidditch à manger et il rétorqua qu’en réalité il attendait tous les Lufkins. Il ne put s’empêcher de rire, il imaginait toute la maison être envahie par les Lufkins et il n’était pas certain que tout le monde rentre.
Giuseppe dit alors à Matteo qu’il s’est peut-être blessé et l’âme de médicomage de l’italien ne peut s’empêcher de commencer à poser des questions à son ami. Où a-t’ il mal ? Comment s’est-il fait mal ? Evidemment, il est tenté de regarder et puis s’il lui en parle, c’est qu’il veut que Matteo regarde un peu si ce n’est pas trop grave. Mais Giuseppe est italien, et sang-pur de surcroît, c’est quelqu’un de très fier et il dit que ce n’est pas grave. Le problème, c’est qu’il suggère l’idée de simplement ingérer des champignons magiques pour que ça aille mieux. Soudainement, Matteo ne se sent pas bien. Il a toujours cette phobie des champignons et le simple fait d’entendre ce mot prononcé et d’imaginer son ami en manger, ça lui provoque un presque malaise. Mais pas le temps de perdre connaissance, Giuseppe se relève et tombe au sol, ce qui ramène Matteo à la réalité très rapidement. Il change très vite d’avis et demande à être ausculté.
« Je te l’avais dit ! »
Le jeune Vlass explique qu’il voulait être un meilleur batteur que le jeune Astolfi. Celui-ci est amusé par ses dires.
« Meilleur batteur que moi ? Mais tu sais bien que… c’est impossible ! »
Il lance un petit pic et se met à tâter la cuisse de son frère. Comme ça, il ne pourra pas vraiment voir s’il y a un claquage musculaire. Il relève la tête pour voir les réactions de Giuseppe à chaque fois qu’il touche une partie de la cuisse, histoire de localiser précisément la douleur. Il sort un baume qu’il a dans son sac, comme il avait prévu de jouer un peu au Quidditch avec son ami, il avait prévu le nécessaire en cas de blessure. Il applique le baume tout en massant.
« Bon, j’ai pas l’impression que ce soit très grave. Ton muscle est dur quand je touche, je pense que c’est simplement une élongation musculaire. Je t’ai mis un baume qui devrait apaiser ta douleur, mais la seule chose à faire c’est rester au lit et attendre que ça passe. L’idée c’est d’éviter de solliciter ta cuisse. »
Insister pourrait effectivement provoquer un claquage, mais là, le muscle n’est pas gonflé et il n’y a aucune ecchymose, donc ça ne semble pas très grave.
« Si vraiment ça persiste, il faudrait passer des examens plus poussés, là, comme ça, je ne peux pas te garantir à cent pourcent que ce n’est pas autre chose, je ne peux te le garantir qu’à quatre-vingt-dix-neuf pourcent. »
La marge d’erreur des médicomages, surtout quand on est apprenti.
(c) DΛNDELION
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Re: There's no crying in Quidditch || Italian bros
Dim 17 Fév 2019 - 20:46
♛ there's no crying in quidditch
resented like a demon. loved like a child. died like a prince.
▼▲▼
Tu te tenais la cuisse en agonie. Comment as-tu pu en arriver là ? Même si Matteo est là pour t'épauler, tu n'aimais pas qu'il te voit comme ça, qu'il te voit en position de faiblesse. Tu aimes te pavaner comme un paon, montrer ton plus beau plumage. Montrer aux autres que tu es plus fort qu'eux, plus beau, plus éclatant. Tu n'es pas habitué à être à ton plus bas. Être un perdant. C'est pour ça que tu t'es entraîné pour devenir meilleur que Matteo. En même temps de l'admirer pour ses talents naturels de batteur, tu pouvais pas supporter qu'il puisse être supérieur que toi. C'est dans ta nature. Toujours vouloir dépasser les autres. Non, plutôt vouloir les écraser. Les dominer. Je te l'avais dit. Tu n'aimes pas ne pas avoir raison. Mais cette fois-ci, tu arrives à faire apparaître un sourire sur ton visage crispé.
Ton ange gardien vient t'ausculter avec un pic dans les mains. Tu le vois faire. Tes yeux s'agrandissent. Tu as peur d'avoir encore plus mal. Mais c'est un risque à prendre pour que tu ailles mieux. Matteo te donne alors quelques petits coups de pic sur la cuisse et évidemment, ça ne te fait pas du tout du bien. AIE. AIE. AIE ! Tu n'arrêtes pas de crier comme si on était en de te découper morceaux par morceaux. T'espères que Matteo a bientôt fini son auscultation car à ce rythme, tu ne tiendrais vraiment pas très longtemps. Heureusement, ça se termine bien assez vite et ton frère sort de son sac un baume. Tu le regardes comme s'il tenait en ses mains le Saint-Graal. Ta souffrance diminue peu à peu. Pour la première fois en quelques jours, tu es apaisé. Rester au lit ? Mais, et comment on va manger alors ? Comment je pourrais te servir ? Ce qui te faisait le plus peur, c'était de ne pouvoir rien faire du tout. Emprisonné dans ta propre corps. Soudain, tu eus une idée de génie. Tu pris ta baguette et cria: Accio lit ! En quelques secondes à peine, et non sans difficultés, ton lit format royal vint à tes pieds, en faisant bien attention de contourner ton frère. Voilà, comme ça je pourrais être au lit et être dans la même pièce que toi. Problème, il fallait toujours que tu montes sur le lit. Hé, tu me donnerais un coup de main ? Tu ne sais pas ce que tu ferais sans lui. Je t'ai assez dérangé comme ça, il est temps que tu manges.
Ton ange gardien vient t'ausculter avec un pic dans les mains. Tu le vois faire. Tes yeux s'agrandissent. Tu as peur d'avoir encore plus mal. Mais c'est un risque à prendre pour que tu ailles mieux. Matteo te donne alors quelques petits coups de pic sur la cuisse et évidemment, ça ne te fait pas du tout du bien. AIE. AIE. AIE ! Tu n'arrêtes pas de crier comme si on était en de te découper morceaux par morceaux. T'espères que Matteo a bientôt fini son auscultation car à ce rythme, tu ne tiendrais vraiment pas très longtemps. Heureusement, ça se termine bien assez vite et ton frère sort de son sac un baume. Tu le regardes comme s'il tenait en ses mains le Saint-Graal. Ta souffrance diminue peu à peu. Pour la première fois en quelques jours, tu es apaisé. Rester au lit ? Mais, et comment on va manger alors ? Comment je pourrais te servir ? Ce qui te faisait le plus peur, c'était de ne pouvoir rien faire du tout. Emprisonné dans ta propre corps. Soudain, tu eus une idée de génie. Tu pris ta baguette et cria: Accio lit ! En quelques secondes à peine, et non sans difficultés, ton lit format royal vint à tes pieds, en faisant bien attention de contourner ton frère. Voilà, comme ça je pourrais être au lit et être dans la même pièce que toi. Problème, il fallait toujours que tu montes sur le lit. Hé, tu me donnerais un coup de main ? Tu ne sais pas ce que tu ferais sans lui. Je t'ai assez dérangé comme ça, il est temps que tu manges.
CODAGE PAR AMATIS
- InvitéInvité
Re: There's no crying in Quidditch || Italian bros
Lun 25 Fév 2019 - 12:43
There's no crying in Quidditch.
Giuseppe & Matteo
« Les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux. »
7 janvier 2019
La bonne nouvelle, c’est que la petite blessure de Giuseppe n’est pas si grave que ça, mais il comprend que ça puisse être douloureux. Matteo fait ce qu’il a à faire avec la cuisse de son ami, après tout, des deux, c’est lui le futur médicomage. Les blessures – surtout celles causées par le Quidditch – il en connaît un rayon. Après, il est pas non plus qualifié pour donner le dernier mot, mais bon, il fait de son mieux pour soulager son compagnon Lufkin. Il tâte la cuisse pour tester les réactions de Giuseppe, c’est comme ça qu’il pourra savoir à quel point il est blessé. Celui-ci crie qu’il a mal.
« Roh, t’es pas une chochotte à ce point, Giu, si ? »
Il passe au baume pour soulager sa douleur. Ça n’aurait peut-être pas été utile s’il avait commencé par-là, ne sachant pas la nature de la douleur de son ami. Alors oui, l’auscultation n’est jamais quelque chose d’agréable puisque le patient a souvent tendance à être tendu et ça amplifie la douleur au moment de l’auscultation, mais c’est quelque chose de nécessaire. Matteo lui donne son verdict comme quoi ce n’est pas quelque chose de grave mais qu’il va avoir besoin de repos et de mobiliser sa jambe le moins possible. Pas cool pour un sportif comme Giuseppe… L’idée de rester au lit ne semblait pas plaire à l’italien, ce que Matteo pouvait comprendre, mais les questions qu’il se posait étaient un peu à côté de la plaque.
« Je vais nous servir et je te ferai un plateau repas ! J’ai pas forcément besoin d’une grande table pour manger, t’inquiète, j’ai été habitué aux petits plats servis sur un plateau. »
Puis soudain, il attrapa sa baguette et à l’aide de deux mots seulement, il fit venir son lit. Bon, c’était une solution également, mais ça ne changerait rien au fait qu’il y serait cloué.
« Tu sais, j’aurais très bien pu monter dans ta chambre. A moins que… tu aies des secrets terribles à garder… »
Il le regarde d’un air suspicieux avant d’éclater de rire. Bon, en vrai, peut-être que c’est le cas, mais il s’en fiche complètement de ce qu’il peut y avoir, lui, tant qu’il a un pote sur qui compter, avec qui rigoler et qui ne le trahit pas, le reste, il s’en fiche. Giuseppe l’interpelle pour lui demander un coup de main se mettre sur le lit.
« Oui, princesse Vlass, à votre service ! »
Matteo attrape son ami comme s’il était une véritable princesse en détresse et le dépose – non sans difficulté – sur son lit queen size. Il dit alors qu’il a suffisamment dérangé Matteo comme ça et ce dernier fronce les sourcils.
« Dérangé en quoi ? C’est plutôt moi qui dérange en venant chez toi. Dis-moi ce que tu veux manger, je vais te faire une petite assiette, Princesse Vlass ! »
Le futur médicomage compose alors une assiette spécialement pour son ami et la lui sert directement dans son lit. C’était la seule chose qui réconfortait Matteo quand il était malade, quand sa mère ou ses frères s’occupaient de lui comme un petit prince en lui apportant tout ce dont il avait besoin sans qu’il n’ait à faire le moindre mouvement. Quelle vie !
« Bon, sinon, à part cette blessure, quoi de beau ? »
La bonne nouvelle, c’est que la petite blessure de Giuseppe n’est pas si grave que ça, mais il comprend que ça puisse être douloureux. Matteo fait ce qu’il a à faire avec la cuisse de son ami, après tout, des deux, c’est lui le futur médicomage. Les blessures – surtout celles causées par le Quidditch – il en connaît un rayon. Après, il est pas non plus qualifié pour donner le dernier mot, mais bon, il fait de son mieux pour soulager son compagnon Lufkin. Il tâte la cuisse pour tester les réactions de Giuseppe, c’est comme ça qu’il pourra savoir à quel point il est blessé. Celui-ci crie qu’il a mal.
« Roh, t’es pas une chochotte à ce point, Giu, si ? »
Il passe au baume pour soulager sa douleur. Ça n’aurait peut-être pas été utile s’il avait commencé par-là, ne sachant pas la nature de la douleur de son ami. Alors oui, l’auscultation n’est jamais quelque chose d’agréable puisque le patient a souvent tendance à être tendu et ça amplifie la douleur au moment de l’auscultation, mais c’est quelque chose de nécessaire. Matteo lui donne son verdict comme quoi ce n’est pas quelque chose de grave mais qu’il va avoir besoin de repos et de mobiliser sa jambe le moins possible. Pas cool pour un sportif comme Giuseppe… L’idée de rester au lit ne semblait pas plaire à l’italien, ce que Matteo pouvait comprendre, mais les questions qu’il se posait étaient un peu à côté de la plaque.
« Je vais nous servir et je te ferai un plateau repas ! J’ai pas forcément besoin d’une grande table pour manger, t’inquiète, j’ai été habitué aux petits plats servis sur un plateau. »
Puis soudain, il attrapa sa baguette et à l’aide de deux mots seulement, il fit venir son lit. Bon, c’était une solution également, mais ça ne changerait rien au fait qu’il y serait cloué.
« Tu sais, j’aurais très bien pu monter dans ta chambre. A moins que… tu aies des secrets terribles à garder… »
Il le regarde d’un air suspicieux avant d’éclater de rire. Bon, en vrai, peut-être que c’est le cas, mais il s’en fiche complètement de ce qu’il peut y avoir, lui, tant qu’il a un pote sur qui compter, avec qui rigoler et qui ne le trahit pas, le reste, il s’en fiche. Giuseppe l’interpelle pour lui demander un coup de main se mettre sur le lit.
« Oui, princesse Vlass, à votre service ! »
Matteo attrape son ami comme s’il était une véritable princesse en détresse et le dépose – non sans difficulté – sur son lit queen size. Il dit alors qu’il a suffisamment dérangé Matteo comme ça et ce dernier fronce les sourcils.
« Dérangé en quoi ? C’est plutôt moi qui dérange en venant chez toi. Dis-moi ce que tu veux manger, je vais te faire une petite assiette, Princesse Vlass ! »
Le futur médicomage compose alors une assiette spécialement pour son ami et la lui sert directement dans son lit. C’était la seule chose qui réconfortait Matteo quand il était malade, quand sa mère ou ses frères s’occupaient de lui comme un petit prince en lui apportant tout ce dont il avait besoin sans qu’il n’ait à faire le moindre mouvement. Quelle vie !
« Bon, sinon, à part cette blessure, quoi de beau ? »
(c) DΛNDELION
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