- InvitéInvité
I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Ven 4 Sep 2020 - 22:02
Your music takes me through the highs and lows
EXORDIUM.
Lorcan aurait pu être franchement de mauvaise humeur, il aurait pu. Après tout, il s’était essuyé une fin de non recevoir sans le moindre fondement quand il était allé chercher Lucrèce pour lui proposer de venir profiter du festival. Il n’avait eu le droit qu’à un refus sans la moindre explication, qui avait manqué de lui faire perdre son sang froid, avant de battre en retraite en direction des seules blondes de sa vie qui ne l’avaient jamais déçu. Ne vous y trompez pas, les sœurs De Booij auraient du les accompagner de toute façon, elles n’étaient pas un choix par défaut. Cependant cette fois ci, elles auraient le luxe de l’avoir rien que pour elles, dévoué corps et âmes, comme au bon vieux temps de leurs tribulations à Beauxbatons. Après tout, elles avaient été ses premières partenaires de débauche, les vraies, les solides, les irremplaçables, celles qui l'avaient fait passer de gamin turbulent à ado problématique, et enfin jeune adulte insupportablement énergique et attachant, tout cela à la fois.
Si s’était montré un peu maussade les quinze premières minutes de leurs retrouvailles, il n’avait eu qu’à gobeloter son godet de bière et se laisser aller à l’ambiance festive pour se dérider, passant rapidement d’un ombrageux Tamaharu revêche au flamboyant Loki pour qui la fête était comme une seconde nature. Ils avaient fait le tour du village pour faire le stock d’éthanol, mais aussi pour faire escale sur le stand de maquillage où, en bons festivaliers professionnels, ils avaient tracé leurs peintures de guerre à grand renfort de fluorescence et de paillettes bariolées. Une blonde à chaque bras, l’énergique wright se pavanait en coq, bavardait fort et riant aux provocations de ses camarades d’hérésies. Ce n’était pas la première fois qu’ils partaient en goguette ensemble, bien assortis avec leurs peaux bronzées tavelés de strass et de brillants. Il ne manquait plus que Max, leur compère de toujours, qui ne manquerait pas de les rejoindre plus tard, il le leur avait promis.
- Bon alors les girls, vous préférez qu’on aille au nord, à l’ouest ? Perso l’est j’trouve ça tout péter, j’ai pas encore assez picolé pour ...
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Sam 5 Sep 2020 - 18:07
This is the rythm of my life
Comment refuser un festival ? Non, pas un festival, LE festival ? Musarum Nox fait étape dans le coin et c'était juste impossible pour toi de ne pas y aller, alors forcément t'es un peu mal à l'aise d'abandonner Vic dans la peinture et les travaux mais ... T'as reçu une invit' de la part de Lorcan et t'es incapable de refuser une proposition pareil, t'es incapable de dire non à Loki de toute façon, qu'importe le sujet. Petit détours par le Phare pour te changer, un brin de toilette ne sera pas de trop, t'as de la peinture plein les cheveux, du plâtre sous les ongles, heureusement qu'il ne te faut pas longtemps pour être prête; tu portes le choix de ta tenue sur un ensemble beige très estival, les cheveux lâchés, t'as tout de la sirène dans cette tenue. Quelques minutes plus tard, t'as soeur arrive suivie de Lorcan, tu t'étonnes de l'absence de Lucrece, mais préfères ne pas ternir l'humeur déjà orageuse de ton meilleur ami.
La bière, le maquillage,les strass, les paillettes, tout cela semble ramener un peu de bonne humeur sur le visage de Lorcan et ça te soulage, il n'y a rien de pire que de voir Loki faire la gueule et ne rien pouvoir faire. T'optes pour un max de pierres phosphorescentes, de même qu'un maquillage plus appuyé que celui initialement réalisé dans ta salle de bain, tu n'en es pas à ton premier festival et tu sais d'expérience qu'il faut miser sur la scintillance. « J'dirais le Nord, on peut laisser les DJ's s'échauffer un peu, les meilleurs arrivent que dans deux ou trois heures », tu passes tes bras autour de la tailledésormais bien fine de Lorcan en souriant, « on va s'mettre bien mon chat, t'inquiète j'ai tout prévu », c'est à dire que tu as prévu des petites parts de cake maison, une bonne petite soirée comme avant en prévision.
La bière, le maquillage,les strass, les paillettes, tout cela semble ramener un peu de bonne humeur sur le visage de Lorcan et ça te soulage, il n'y a rien de pire que de voir Loki faire la gueule et ne rien pouvoir faire. T'optes pour un max de pierres phosphorescentes, de même qu'un maquillage plus appuyé que celui initialement réalisé dans ta salle de bain, tu n'en es pas à ton premier festival et tu sais d'expérience qu'il faut miser sur la scintillance. « J'dirais le Nord, on peut laisser les DJ's s'échauffer un peu, les meilleurs arrivent que dans deux ou trois heures », tu passes tes bras autour de la taille
code par drake.
les moches
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Ven 11 Sep 2020 - 14:20
This is the rythm of my life
Sourire étincelant barrant tes lèvres. Légèreté et gaieté à chacun de tes pas. Représentant parfaitement bien ton état d’esprit du moment. Tous les ingrédients étaient réunis pour que tu puisses passer une excellente soirée. L’enthousiasme et l’allégresse avaient pris possession de tes traits. Rien ne pourrait gâcher ce moment que t’allais passer en compagnie de ta sœur et de son meilleur ami. Remplaçant rapidement cette inquiétude qui avait parsemé ton visage quelques instants plus tôt. Lorsque Loki était entré dans ton champ de vision. Il avait probablement dû le sentir. Cette intrusion dans sa tête. Depuis le temps. Loki semblait quelque peu agacé. Énervé par le comportement de sa bien-aimée. Ses pensées étaient inlassablement tournées vers elle. Et tu détestais le voir de mauvaise humeur. Allergique à toute négativité. Écœurée par le pessimisme et la mélancolie. Tu ne comptais pas de toute évidence le laisser broyer du noir. C’était mal te connaître. T’étais certaine qu’une soirée en compagnie des de booij allait le requinquer. Lui faire oublier préoccupations et tourments.
Armée de ton bracelet enchanté vous permettant de franchir sans esclandre les barrières du festival. Ton corps ne pouvant dissimuler plus longtemps cette frénésie qui te submerge, qui te gagne progressivement à mesure que vous vous avanciez plus profondément à l’intérieur de Musarum Nox. Ayant toujours éprouvé une affection particulière pour ce genre d’évènement estival. Musique déjantée, alcool à profusion, tes proches à tes côtés. Un cocktail explosif en vue. Vos faciès colorés, peints sans aucune gêne, bières à la main, prêts à affronter cette nuit endiablée. Les lèvres de Loki se mirent en mouvement et t’y prêtas immédiatement attention. Quelle direction comptiez-vous prendre. En soit, il soulevait un bon point. Plusieurs lieux étaient mis à votre disposition et tous semblait contenir une certaine particularité. T’avais entendu parler des cocktais exotiques de la scène ouest. Et il était évident que t’étais toujours partante pour régaler tes papilles gustatives. Ta sœur fut cependant plus rapide que toi. Proposant de vous diriger directement vers le nord. Ton corps allait devoir se montrer patient avant de goûter ce nectar divin qui t’attendait. « Va pour le nord dans ce cas ! Je veux trop voir les feux follets ! » tu t’exclames, leur emboitant le pas, directionla maison stark le nord. Admiration profonde pour ces êtres féeriques, t'allais enfin pouvoir les admirer de tes propres yeux. Ta sœur finit par se rapprocher de Loki, le rassurant quand à la suite du programme. Tes lippes s’étirent sournoisement en un sourire. L’image des fameux cakes maison venant tout droit se frayer un chemin dans ton esprit. Ton estomac qui se réveille subitement. Parfaitement consciente des ingrédients utilisés pour satisfaire leurs palais. Ta sœur était p a r f a i t e. « Ymkje Cookie de Booij, tu viens à l’instant de me donner faim. Tu sais que je t’aime hein ? » tu déclares, tes lèvres venant se poser sur sa joue la plus proche. Ne ratant jamais un seul instant pour lui montrer cet amour inconditionnel que tu lui portes, et ce, depuis sa naissance.
Armée de ton bracelet enchanté vous permettant de franchir sans esclandre les barrières du festival. Ton corps ne pouvant dissimuler plus longtemps cette frénésie qui te submerge, qui te gagne progressivement à mesure que vous vous avanciez plus profondément à l’intérieur de Musarum Nox. Ayant toujours éprouvé une affection particulière pour ce genre d’évènement estival. Musique déjantée, alcool à profusion, tes proches à tes côtés. Un cocktail explosif en vue. Vos faciès colorés, peints sans aucune gêne, bières à la main, prêts à affronter cette nuit endiablée. Les lèvres de Loki se mirent en mouvement et t’y prêtas immédiatement attention. Quelle direction comptiez-vous prendre. En soit, il soulevait un bon point. Plusieurs lieux étaient mis à votre disposition et tous semblait contenir une certaine particularité. T’avais entendu parler des cocktais exotiques de la scène ouest. Et il était évident que t’étais toujours partante pour régaler tes papilles gustatives. Ta sœur fut cependant plus rapide que toi. Proposant de vous diriger directement vers le nord. Ton corps allait devoir se montrer patient avant de goûter ce nectar divin qui t’attendait. « Va pour le nord dans ce cas ! Je veux trop voir les feux follets ! » tu t’exclames, leur emboitant le pas, direction
code par drake.
les moches
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8434
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : byweaslove (ava)
» multinick : arty / joe / keir / mag
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée, en attente d'un poste en France
» gallions sous la cape : 6321
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Ven 11 Sep 2020 - 15:11
This is the rythm of my life ft. les moches
Maximilien n’est certainement pas un grand habitué de ce genre de festivités mais il faut bien avouer que la joie qui en découle le met toujours de bonne humeur. Et le bonheur, il adore ça ! Le voir sur tous les visages, ça le réconforte un peu. Surtout dans ce monde de fous ! Il aurait pu y aller avec n’importe qui, le choix ne manque pas ; pourtant il a finalement décidé d’y emmener son nouvel ami, Cameron, qu’il a rencontré à peine quatre jours plus tôt ! Mais l’amitié s’est tout de suite installée entre eux et vu la timidité du garçon, il s’est dit qu’il n’irait jamais par lui-même. Et ce serait dommage qu’il manque ça, n’est-ce pas ?
‘F is for friends who do stuff together’ Marchant dans la foule peu après avoir passé l’entrée du festival, le français ne sait pas pourquoi cette musique lui trotte dans la tête. Surtout en anglais ! Sûrement parce que les paroles correspondent plus ou moins à ce qu’il est en train de vivre. «Me perd pas de vue hein ! Pas sûr qu’on se retrouve sinon.» Dit-il à Cameron dans un rire, même s’il y a un brin de vérité dans ses propos.
‘U is for you and me’ Prenant la direction du nord, ils essayent de ne pas se faire haper par la foule, tandis que Maximilien se met à fredonner la petite musique de Bob l’Eponge sans même s’en rendre compte. Arrivant vers un stand, ils se voient proposés de maquiller leurs visages et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, voilà leurs joues bariolées de paillettes multicolores ! Drôle de look.
‘N is for anywhere and...’ «any time at all...» Chantonne-t-il alors, juste avant qu’il ne repère des silhouettes reconnaissables entre mille. «Oh ! Des amis à moi là-bas, on va les rejoindre, ça ne te gêne pas ? Promis, ce sont des agneaux.» Ou pas. Mais c’est une autre histoire ! Jouant du coude, ils se glissent tous les deux dans la foule jusqu’à ce que Maximlien arrive derrière Elsje et mette ses deux mains sur ses yeux, chantant Bob l’Eponge en pensée pour ne pas qu’elle lise les siennes et devine son identité trop vite. Il prend alors une voix grave - et franchement ridicule.
«C’est qui ?»
Outfit du festival
résumé : Max arrive avec Cameron au festival. Ils se font grimer le visage avec des paillettes avant de rejoindre le trio de choc, qu'ils croisent par hasard. Max chantonne Bob L'Eponge parce que, why not ? Il fait une petite blague à Elsje au passage.
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Dim 13 Sep 2020 - 12:07
En route ! Les deux sorciers arrivèrent au festival et s’empressent de faire le nécessaire pour pouvoir y pénétrer. Cameron ne parvenait pas à se départir de son sourire, même si l’un des sorciers de l’accueil s’agaçait en lui mettant son bracelet. Rien ne semblait pouvoir ternir sa bonne humeur… Rien sauf la foule qui se resserrait toujours plus autour de lui. Maximilien n’eut pas besoin de l’avertir une deuxième fois que le plus jeune se pressa déjà contre lui, s’agrippant sans même s’en rendre compte au bas de son débardeur. Là, au moins, il se sentait en sécurité. Il pouvait enfin se concentrer sur le plus intéressant : le festival. Il écarquilla les yeux en passant non loin de la grande roue et rit en voyant la tête toute scintillante de son ami. Ce fut tout de suite moins drôle lorsque son tour arriva. Des paillettes arc-en-ciel décorèrent ses pommettes, changeant de nuance selon l’inclinaison de son visage. Il tira la langue à l’intention du brun avant de le suivre de nouveau dans cette folle aventure.
Le sorcier hocha la tête à sa demande et s’éloigna légèrement, les paillettes camouflant légèrement ses joues rosies. Il salua d’un geste de la main le trio qui leurs faisaient face –ou plutôt le duo, l’une des demoiselles ayant les yeux cachés par Maximilien. Il se rapprocha à peine, de façon à se faire entendre. Il pouvait bien se présenter, ça ne devrait pas nuire à la blague du brun. Enfin, c’était sans se douter du talent de légilimens de la victime.
« Salut. Moi c’est Cameron. »
Bien. Très bien. Maintenant tu respires. Ça va très, très bien se passer. Il tenta de cacher sa nervosité tant bien que mal, de noyer sa timidité sous toutes les bonnes vibrations qui émanaient du festival.
- Résumé ::
- Etape 1 : Cameron est tout content d'avoir été invité par Maximilien. Il saute de joie et passe également par la case paillette arc-en-ciel. Etape 2 : Cameron panique en voyant la foule et se raccroche à Max, son phare dans la nuit noire. Il a tout plein d'étoiles dans les yeux en voyant ce qui les entoure. Etape 3 : Cameron prend sur lui pour se présenter aux amis de Max. Faudrait pas faire tache !
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Jeu 24 Sep 2020 - 16:54
Your music takes me through the highs and lows
EXORDIUM.
Les gobilles de Lorcan s’agrandirent avec gourmandise quand sa meilleure amie mentionna, avec des airs de ne pas y toucher, les gourmandises à la tentacula qu’elle avait dissimulé dans son sac. Avec un amour incontrôlable et incontrôlé, il agrippa le cou de la De Booij avec enthousiasme, l’embrassant à la base de la machoire avec tant d’entrain que l’on aurait pu se tromper sur ses intentions, si on ne connaissait pas les énergumènes, et leur relation quasi filiale :
- T’es la meilleure putain, t’es juste la meilleure.
Dans sa tête, il afficha des images grotesques d’Ymkje portant une énorme couronne, assise sur un trône d’or dans un dressing rempli de petites culottes, pour le plaisir égoïste d’une Elsje qui serait la seule destinataire d’une image ô combien colorée. C’était là l’avantage de Lorcan, pour l’incroyable télépathe qu’elle était, en tant que légilimens, il savait comment lui transmettre les informations de la manière la plus savoureuse qu’il soit. Si il pouvait lui faire l’honneur d’une petite private joke, il ne s’en gênerait certainement pas. Il était toujours accroché à Cookie quand deux nouveaux compères s’approchèrent, l’un dissimulant le regard de l’aînée de blonde tout en soufflant dans son cou. Lorcan sourit, avec complaisance : il le connaissait bien, Max, depuis un bon moment même, et il se doutait bien qu’il serait dans le coin pour une telle fiesta, mais le croiser si tôt, c’était une chance. Le grand Tamaharu le salua d’un mouvement quasi militaire, doigts sur la tempe puis en direction de son ami, avant de basculer un regard curieux vers le jeune homme à moitié planqué derrière lui.
- Tiens, tiens, tiens, tu nous ramènes de la chair fraiche, Max ? Cookie, soit polie, dis bonjour à Cameron. Bon-jour-Cam’rooon . T'inquiète, on est foncièrement cons, mais pas méchants... J'crois.
Le wright était lancé, tout sourire dehors, tic et tac sous extasy. D’ailleurs, il commençait à faire soif, terriblement soif.
- Qui veut boire quoi la jeunesse ? Chu’ de bonne humeur, la première tournée est pour moi ! … La deuxième aussi, mais que si vous êtes sympas.
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Mar 29 Sep 2020 - 9:25
This is the rythm of my life
L'enthousiasme de Lorcan et Elsje est beau à voir, pour qui est-ce qu'ils te prennent ? Tu ne vas pas les laisser mourir de faim lors d'un évènement comme celui-ci tout de même, t'es pas cruelle ! Puis si tu avais su l'humeur massacrante dans laquelle se trouvait Lorcan, tu aurais forcé sur la tentacula. Enfin, il n'aura qu'à en manger deux ... ou trois... Oui, trois, c'est bien ! Tu ris en réponse au baiser fougueux de ton meilleur ami et répond en les regardant, les épaules qui se soulèvent subtilement, un petit air mutin sur le visage, « c'est pour ça que je suis indispensable, n'est-ce pas ? » Faut avouer que vous formez un magnifique trio depuis des années.
Vous avancez en direction de la mainstage du Nord quand ta soeur se fait attaquer par un Max sauvage, tu ricanes, elle l'a sans doute vu venir le ptit, mais si ça l'amuse, alors ... Cookie, dis bonjour à Camron, pas besoin d'invitation, pas besoin de plan, tu sais exactement ce qui va suivre, alors tu colles ton bras contre celui de Lorcan et de concert avec lui, tu salues le blond qui vient d'arriver, « Bon-jour-Cam’rooon », votre synchronisation est belle à voir, des années à vous foutre de la gueule des gens, ça laisse des marques. On est foncièrement cons, mais pas méchants, regard surpris vers Lorcan, tu grimaces, « ça dépends avec qui en fait... y'en a qui ont droit à notre côté malin et pas gentil », c'est vrai que parfois, Lorcan et toi pouvez être des teignesteam rocket bitch please, « mais t'as l'air cute, puis t'es un pote de Max, alors on va pas te manger... pas tout de suite », c'est vrai qu'il est cute. « BIERE !!! » Tu veux boire quoi d'autre en festival, tu lances un regard amoureux à Lorcan, ce genre de regard qui participe totalement à mettre des doutes à tout qui ne vous connait pas depuis suffisamment longtemps, « moi suis touuuuuujouuuuuuuuuuuuurs sympa... » que tu dis pour assurer la tournée suivante, même si t'as de quoi payer tes tournées aussi et que tu sais que Lorcan te refuse rarement quoi que ce soit, « puis j'ai de la contrepartie », tu hausses les sourcils plusieurs fois en tirant la langue, ta contrepartie sent bon, est délicieuse et offre une expérience unique à qui la dévore. Finalement, tu sautes sur ta soeur en poussant Max d'un coup de hanche, « puis lâche ma soeur », tu tires la langue au principal intéressé en riant, faudrait pas qu'il prenne ça au sérieux, t'es juste d'excellente humeur.
Vous avancez en direction de la mainstage du Nord quand ta soeur se fait attaquer par un Max sauvage, tu ricanes, elle l'a sans doute vu venir le ptit, mais si ça l'amuse, alors ... Cookie, dis bonjour à Camron, pas besoin d'invitation, pas besoin de plan, tu sais exactement ce qui va suivre, alors tu colles ton bras contre celui de Lorcan et de concert avec lui, tu salues le blond qui vient d'arriver, « Bon-jour-Cam’rooon », votre synchronisation est belle à voir, des années à vous foutre de la gueule des gens, ça laisse des marques. On est foncièrement cons, mais pas méchants, regard surpris vers Lorcan, tu grimaces, « ça dépends avec qui en fait... y'en a qui ont droit à notre côté malin et pas gentil », c'est vrai que parfois, Lorcan et toi pouvez être des teignes
code par drake.
les moches
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Dim 1 Nov 2020 - 22:59
This is the rythm of my life
Rire cristallin qui s’échappe de tes lèvres lorsque l’image burlesque qui se forme dans la tête de Loki finit par te parvenir. Clin d’œil amusé en guise de réponse. T’imaginant plutôt bien ta sœur assise sur un trône, couronne guerrière posée sur la tête. Après tout, courage et royauté lui correspondaient plutôt bien. Les lèvres de Loki vinrent prendre leur marque sur le visage d’ymkje et tu en profitas pour faire de même. Déposant tendrement les tiennes sur sa joue, le sourire qui s’élargit quand elle vous fait comprendre qu’elle reste indispensable. Et encore, le mot était bien faible. Représentant littéralement toute ta vie. Poupée en porcelaine que tu désirais protéger envers et contre tout. Les pensées qui dérivent vers le festival qui vous attendait. Jusqu’à ce qu’on vienne soudainement obstruer ta vision. Des mains délicatement posées sur tes yeux, t’empêchant subitement de voir. Ton esprit qui s’éveille automatiquement, reconnaissant entre mille l’âme qui se tenait derrière toi. Doux contact qui réchauffe ton cœur instinctivement, agréablement surprise de croiser ton meilleur ami en ces lieux. « Hm, laisse-moi réfléchir… un strangulot qui se prénomme Maximilien ? » tu réponds, le ton taquin. Tes doigts venant doucement se saisir des siens, te retournant vers lui. « T’es pas tout seul à ce que je vois » tu murmures à son oreille, jetant un regard intrigué au fameux Cameron. Ne t'ayant jamais mentionné ce bel inconnu dans vos conversations. Jeune homme visiblement pas très à l’aise, très intimidé par votre présence, ou plutôt par le duo des deux comiques qui profitaient de son incrédulité. Sourire railleur qui se forme sur tes lippes face au spectacle que t’offraient Loki et ta sœur. Tu n’en attendais pas moins d’eux. « T'en fais pas, ils sont pas bien méchants, tu ries affectueusement, priant pour qu’il ne prenne pas peur. Enchantée Cameron, moi c’est Elsje mais tu peux m’appeler Elsie c’est plus simple. Et les deux loulous là c’est Lorcan et Cookie » t’ajoutes en désignant les deux concernés du doigt. T’allais te détourner du nouvel inconnu pour t’adresser à Maxi mais ta sœur fut plus rapide que toi. Te prenant complètement de court en te sautant délibérément dessus. Gratifiant du Summerbee de sa plus belle langue. Ymkje dans toute sa splendeur. Rire qui résonne à nouveau de tes lippes, la serrant fermement contre toi. « T’en fais pas Ym, je n’ai d’yeux que pour toi tu le sais » tu t’extasies, un regard mi-désolé, mi-amusé en direction de ton meilleur ami. Lorcan finit par couper court à toute cette profusion d’amour en vous proposant de vous délecter de ce nectar alcoolisé qui vous attendait impatiemment. « Et je m’occupe de la troisième tournée alors ! On y va ? » tu termines, en t’écartant doucement de ta sœur pour les inviter à te suivre et à avancer, directement le nord.
code par drake.
les moches
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8434
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : byweaslove (ava)
» multinick : arty / joe / keir / mag
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée, en attente d'un poste en France
» gallions sous la cape : 6321
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Mar 3 Nov 2020 - 14:48
This is the rythm of my life ft. les moches
“Un strangulot, t’as du culot toi !” Rit-il tout en lâchant le visage de sa meilleure amie, gratifiant les deux autres d’un sourire qui sera donc synonyme de bonjour. Tout le monde remarque aussitôt Cameron, qui se présente… à la Cameron. De façon timide et qui donne l’impression qu’il pourrait s’enterrer sous terre d’une minute à l’autre. Le duo de comiques fait son show alors que lui, essaye de rassurer le blondinet d’un regard. Non, ils ne sont pas méchants. Juste un peu stupides sur les bords (oups). Mais en festival, c’est ce qui rend l’ambiance encore meilleure !
“C’est un ami.” Tient-il à préciser, allez savoir pourquoi. Sûrement à cause du regard que lui lance sa meilleure amie d’enfance. Parce qu’il sait qu’ici, avec eux, un rien peut devenir une montagne si on ne les rectifie pas ! Et le français n’a même pas le temps de profiter de la présence de la blonde que sa jeune sœur vient s’interposer entre eux. Comme si elle ne l’avait pas déjà assez eue ! Mais au moins, cela lui permet de se concentrer sur Cameron qui, il le devine, n’est pas réellement à son aise. Surtout qu’il l’a pris de court. Maximilien essaye de se mettre à sa place, c’est beaucoup d’un coup pour une personne qui n’en a pas l’habitude. Donc il hésite franchement à suivre le petit trio délirant, qui aura bien du mal à laisser de la place à une personnalité aussi effacée que Cameron actuellement. Même la sienne, on peut le dire…
“En fait, on allait plus de l’autre côté, nous, mais on n’a qu’à se rejoindre plus tard ?” Surtout que la boisson, ce n’est pas vraiment le truc de Maximilien. Il n’est même pas sûre de la tenir… et il s’en voudrait que Cameron se sente forcé de boire lui aussi parce que les autres le font. Autant aller écouter de la musique à la place ! “À tout à l’heure, vous torchez pas trop.” Le français fait signe à son nouvel ami de le suivre et ils se retrouvent donc dans une bulle un peu plus calme et détendue désormais. Qui leur ressemble plus, dira-t-on. “Pas trop traumatisé ?” Demande-t-il au blond alors que le trio s’éloigne vers le nord.
Outfit du festival
résumé : L'ambiance est déjà bien chauffée et n'étant lui-même pas très à l'aise avec l'ambiance festival - et la boisson, Maximilien décline la proposition du trio et décide de continuer sa route avec son nouvel ami, Cameron.
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Jeu 5 Nov 2020 - 19:15
L’autre, Elsie donc, fut ensuite libérée de l’emprise de Maximilien par sa sœur et s’empressa de faire les présentations. Il pouvait enfin mettre un nom sur ces visages inconnus… Enfin presque. Il doutait que Cookie soit son véritable prénom mais qu’importe ? Ça lui allait bien. C’était agréable et sucrée. Comme elle, de ce qu’il voyait. Il entrouvrit la bouche pour lui répondre mais se retrouva face à un dos, la sucrerie faisant vraisemblablement une « crise de jalousie ». Cameron ne put s’empêcher de rire de bon cœur devant la scène avant de reporter son attention sur Maximilien.
« A plus tard ! » entonna-t-il en se laissant entrainer un peu plus loin par le summerbee.
Lui qui avait pourtant l’impression de s’être relativement bien débrouillé s’étonna du soulagement qu’il ressentit à mesure qu’ils s’éloignaient du groupe. Peut-être à cause du stress qui s’étiolait une bonne fois pour toute ? Qu’importe. Il avait passé un bon moment –court et intense et tenait à le lui faire savoir.
« Non du tout. Ils sont plutôt amusants. »
Peut-être un soupçon trop fou pour qu’il n’arrive à tenir le coup toute une soirée mais… Minute !
« On est parti à cause de moi ? Hm… »
Ok. Là, c’était pas possible. Max n’allait pas se priver d’une bonne soirée par sa faute. Et pour quel motif ? Timidité ? Non. Il allait se mettre un coup de pied aux fesses et lui montrer qu’il n’avait pas besoin d’être sauvé ainsi. En plus, ils avaient l’air vraiment adorable. Il glissa donc son bras sous le sien et décida de prendre le rôle de meneur –pour une fois, oui oui. Enfin il était tout de même rassuré par sa présence mais faisons comme si…
Ils avancèrent ainsi… 5 ou 6 mètres. Pas plus. Pour sa défense, la foule était vraiment difficile à traverser. Un groupe devait être monté sur scène. Ceci fut confirmé par des cris hystériques suivis par… Merlin ! Du feu ! Il se hissa sur la pointe des pieds et écarquilla les yeux.
« Regardes ! C’est Abraxas ! Et t’as vu les guitares ? Elles crachent du feu ! »
Un sourire d’enfant illumina son visage –comme si les paillettes ne suffisaient pas. Il était vraiment content d’être venu !
- Résumé :
- L'attitude du trio fait rire Cameron. Il les trouve fooort sympathique Ils s'éloignent ensuite avec Max mais pas bien loin. La foule les empêche d'aller plus loin. Ils peuvent tout juste discerner le groupe Abraxas.
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Lun 9 Nov 2020 - 23:04
i feel it in my head, my shoulders, knees and toes ft. les plus beaux
L’océan pétillait dans le gobelet qui tournoyait sur l’échasse de chair qui le soulevait vers le soleil au rythme d’une chanson entrainante et parfaitement choisie pour l’occasion. Les deux pupilles protégées derrière les deux verres teintés de ses lunettes, le garçon faisait teinter ses bracelets en dansant au même rythme que celui de ses amis et des basses qui pulsaient et faisaient trembler son cœur en émoi ; il ne pouvait pas imaginer meilleure façon de terminer l’été que de s’être rendu au Musarum Nox. Les nombreuses personnes venues fêter l’événement étaient toutes plus radieuses les unes que les autres et apportaient une chaleur incomparable au festival. Les âmes et les cœurs s’échauffaient alors que le concert battait son plein ; les lèvres engloutissaient des gallons d’alcool et de boisson toujours moins hydratantes. Les regards s’enivraient de la vue de ces corps tantôt partiellement dénudés, tantôt parfaitement mis en valeur dans des habits de lumière et d’abandon. Son pendentif doré en forme de scorpion venait frapper son nez et son menton lorsqu’il sautait trop haut pour suivre le mouvement de la foule et s’offrir aux notes de musique convaincantes et dévorantes. Caché sous ses lunettes de soleil, ses yeux ténébreux étaient soulignés d’un trait de fard à paupière aux tons marron et encadrés par des paillettes de lumière qu’il avait ensorcelées avant de quitter l’immeuble de leur colocation. Ses lèvres étaient moins timides et hydratées par une fine couche de stick à lèvres et lui donnaient un air joueur et vigoureux. De son chapeau noir s’échappaient deux longues mèches ondulées qui venaient encadrer son visage fin et caresser ses pommettes hautes.
La vie était belle et ils s’étaient tous donnés rendez-vous pour la célébrer ! Peter resserra d’une main la chemise qu’il avait nouée autour de ses hanches et qu’il sentait glisser. Il but une longue gorgée du gobelet et sourit en sentant les bulles de l’eau tonique s’entrechoquer dans sa gorge et délivrer les senteurs et les bouquets d’un gin tonic un peu chargé. Tout en marchant vers un stand pour se ravitailler, le garçon attrapa de son index et son majeur droit la demi-rondelle de citron et la porta à sa bouche pour en sucer l’eau acidulée. Il aspira l’air entre ses dents et secoua la tête alors que son tour venait enfin. Peter commanda un énième gobelet et attendit d’être servi pour sortir quelques Mornilles de la poche arrière de son short au gris délavé. Un sourire radieux aux lèvres, il s’éloigna en gratifiant du regard la serveuse par-dessus ses verres teintés.
En s’éloignant, Peter avait perdu de vue son petit groupe. L’abeille butinait de fleur en fleur et n’y voyait généralement aucun inconvénient mais elle s’amusait cette fois beaucoup et n’était pas encore prêt à changer de ruche. L’envol aurait très certainement lieu plus tard dans la journée, peut-être en début de soirée, quand ses camarades et amis seraient trop fatigués pour supporter son énergie inépuisable. Le verre au bord des lèvres, le corbeau observait les visages qui l’entouraient à la recherche d’une figure connue. C’est alors qu’il le vit, cet idiot de @Lorcan Tamaharu. Son sang ne fit qu’un tour – ce qui n’était pas une mince affaire tant il était ankylosé par l’alcool ; il le vit s’approcher un peu trop près de la sœur d’Elsje (@Ymkje de Booij). Le sale con venait d’embrasser la belle blonde sur la mâchoire et son propre baiser échangé avec @Lucrece de Gray des années auparavant lui sauta au visage et manqua de lui faire lâcher son gobelet. La pilule avait été difficile à passer – il s’était étranglé avec en apprenant qu’elle se faisait courtiser (restons polis) par le débile de Wright. Rares étaient ceux capables de mettre Peter en colère, mais Lorcan semblait y trouver un malin plaisir, un challenge charmeur même. Les deux garçons n’avaient jamais su se parler et Lorcan n’était jamais parvenu à le supporter. And today he decides to mess with Crecre? She’s suffered enough! She deserves better than this pathetic excuse of a Wright!
Pris dans une frénésie incontrôlable, le garçon ne se rendit compte que ses jambes avançaient droit vers lui que lorsqu’une petite poignée de mètres les séparaient.
“Hey babe! What’s up Ymkje? Funny seeing you here Tamaharu! Crecre already dumped you?”
Et il prit une gorgée de son verre, parce que dans sa tête, il lui rendait service et que ça méritait bien une petite lampée.
- Résumé:
• Peter danse plus loin dans le festival.
• Il décide d’aller se rechercher un verre parce que ça donne soif de se dandiner.
• Il a perdu son groupe d’amis et en les cherchant du regard, il croise celui de Lorcan, puis celui d’Elsje et de sa sœur mais ne voit pas les autres.
• Lorsque Lorcan fait un baiser un peu trop près de la bouche d’Ymkje, il pète un plomb et décide de venir lui rappeler qu’il a une copine – à qui il tient.
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Ven 20 Nov 2020 - 17:31
Your music takes me through the highs and lows
EXORDIUM.
La soirée était parfaite, savant cocktail de picoles sucrées, de rythmes endiablés et de fous rires un peu niais: en compagnie de ses deux De booij favorites, les seules, les uniques, Lorcan s’amusait comme un petit fou : exit le stress de ses sessions de légilimencie exigeantes, presque traumatisantes, la contrariété face aux comportements incompréhensibles de Lucrèce, les reflexions quant à son avenir, au sien, au leur…. Le jeune wright se sentait juste bien, complètement à l’ouest, franchement beurré, la confiture en prime sur les joues en forme de trace de rouges à lèvres multicolores. Il revenait aux bonnes vieilles bases, celles qui faisaient de lui le jeune héritier attachiant qui parlait fort, chantait encore plus fort, se déhanchait comme un fois sur la piste de danse et oubliait qu’autour de lui, il y avait un monde dont il n’était pas l’Hélios, s’en foutant royalement. Ils avaient dansé de tout leur saoul, jusqu’à ce que la soif se fasse, à nouveau, ressentir. Après tout, la bière appelait la bière, et les cabanes à boissons de part et d’autres de la scène étaient fort bien achalandées en traitrises liquides toujours plus sucrées.
Bras dessus dessous, coincé non sans satisfaction entre Elsje et Ymkje, Lorcan tanguait un peu non loin du bar quand l’apparition la plus déplaisante de la soirée lui agressa les rétines : Peter Drummond venait d’apparaître dans son champ de vision et, par Merlin, il aurait presque préféré qu’on lui inflige la vision du cul poilu d’un mec dont on aurait volé le froc pendant un pogo. Pire encore, la peu ragoûtante illusion était doté de cordes vocales, et bien que les acouphènes sifflaient, lancinants, dans ses oreilles, il avait entendu la remarque de ce pur imbécile, qui le dévisageait clairement avec un air qui ne lui plaisait pas. Pas du tout, même.
- Qu’est ce que t’as encore, Drummond, t’es perdu ou c’est juste que t’as toujours pas d’potes ? T’sais il est tard, ta mère doit t’attendre, ses nichons doivent être sur le point d’éclater si t’as pas têté depuis le gouter.
C’était crade, c’était insultant, c’était gratuit, c’était du Lorcan Tamaharu dans toute sa splendeur. Pire encore, c’était du Lorcan bourré, qui, n’ayant déjà pas sa langue dans sa poche habituellement, avant abandonné le peu de retenue qu’il avait d’ordinaire pour afficher un visage rare, inédit : agressif, condescendant, méchant. Surement pas son meilleur profil, mais il exécrait Peter avec la moindre particule de son être, alors...
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Dim 22 Nov 2020 - 18:55
i feel it in my head, my shoulders, knees and toes ft. les plus beaux
L’idiot du village – il en fallait toujours un – le dévisageait avec son air de merlan fris. C’était laid, c’était faux, c’était indéniablement gerbant. (Ou bien était-ce l’excès d’alcool ?) Il lui fallait bien deux minutes pour comprendre les mots qui s’étaient échappés comme des poignards hors de la bouche du jeune Drummond. He’s not the cleverest of the band, is he? Le garçon ébréché et inconscient ne se priva pas de glousser. Il semblait comprendre à cet instant précis, ce que Lorcan devait envier chez lui pour agir de manière aussi lamentable. Il avait sûrement manqué de l’amour de sa mère – et trouvait bon de s’attaquer à la sienne sans savoir qu’Alice n’aurait fait qu’une bouchée de sa petite existence – et jalousait l’attention qu’on lui portait de toutes parts. Ils auraient pourtant pu être amis, si Lorcan n’avait pas été aussi profondément mauvais et féroce. Leur terrain de jeu était suffisamment grand pour deux.
« Wow! Chill, Lorcan. Bête et vulgaire, ça fait beaucoup, même pour toi. »
Peter leva les mains, paume vers le ciel et verre dans l’autre main, l’air de dire « fallait bien que quelqu’un te le dise un jour » et recula en riant.
« Ecoute gars, tu fais ce que tu veux avec les pauvres filles qui croiseront ta route, mais Lucrece, t’y touches pas. Elle vaut bien mieux qu’toi. Et on sait tous les deux que si tu fais le chaud, c’est parce que tu l’as toujours su au fond d’toi. Sur ce, j’vous emprunte ma belle deux secondes… »
Ce qu’il partageait avec Elsje, Lorcan ne le toucherait sûrement jamais du bout des doigts. Peter prit une gorgée de sa boisson et attrapa Elsje par la taille.
« On se voit toujours ce soir ? J’ai un truc à te montrer. »
Demanda-t-il en faisant tinter sa pensée pour qu’elle puisse l’entendre dans tout ce brouhaha. Ils s’étaient éloignés de quelques pas, tournant le dos au petit groupe, à découvert. Faut dire que les faibles aveuglés, ça attaque toujours par derrière. I’m sorry babe. I just don’t like the way he treats Lucrece. She’s a dear friend and she’s been through enough. I don’t trust him, the lad’s a jerk!
- Résumé:
• Peter s'amuse de la réponse de @Lorcan Tamaharu et l'envoit bouler.
• Il le provoque une fois de plus avant de s'éloigner quelques mètres plus loin avec @Elsje de Booij pour lui poser une question.
• Est complètement à découvert.
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Lun 23 Nov 2020 - 14:53
This is the rythm of my life
Bien que tu trouves le duo Cameron/Max très intéressant, les deux intéressés disparaissent assez rapidement, tu les regardes s'éloigner un instant, l'index sous le menton et une moue mimant une intense réflexion, puis soudain tu t'animes en regardant ta soeur et Loki, « vous pensez qu'on leur à fait peur ? Oups... » En réalité, tu ne crois pas qu'ils aient eu peur de vous, mais tu comprends difficilement qu'on préfère passer un moment sans votre compagnie. Les jeunes ne savent vraiment plus s'amuser. Quelle déception. Une seconde plus tard, tu es déjà sur un autre sujet, enfin... c'est plutôt le sujet qui vient à vous. Peter. Si ta soeur sort avec lui, tu sais qu'il y a un passif assez virulent entre lui et Lorcan et tu connais le Tamaharu, il n'est pas du genre gentil, particulièrement quand il a bu. « Hey Pete ». That's all. T'es beaucoup moins moqueuse que lors de l'arrive de Max et Cameron, méfiante, tu fronces les sourcils lorsqu'il s'en prend à Lorcan. Erreur. Lorcan était très contrarié tout à l'heure, il ne va pas se priver de sauter sur l'occasion et en effet, « come on guys... » c'est bas, même pour lui comme le fait remarquer Peter, mais pourtant tu te contentes de poser une paume contre le torse de ton meilleur ami, tentative veine pour qu'il garde les pieds sur terre et la tête froide; il semble ne plus avoir de tête depuis quelques secondes déjà. Elle vaut bien mieux qu’toi. Ton sang ne fait qu'un tour, c'est le genre de phrase que tu ne supportes pas d'entendre, encore moins quand le destinataire est une personne qui t'es chère, « elle est assez grande pour prendre ses décisions Peter, c'est bon là ». Y'a plus aucune once de plaisanterie dans ton regard, t'es pire qu'une louve quand on touche à tes petits, même si ce petit-ci est plutôt du genre encombrant. Tu laisses Peter et ta soeur s'éloigner légèrement et te concentre sur Lorcan qui te semble plus tendu que jamais, « il est bourré, laisse tomber Lo' ». Tu le vois, tu le sens, tu entends ses jointures craquer, tu espères qu'il va rien faire de stupide, mais tu crois plus au père noel depuis un moment.
résumé :
Ym sous-entends en rigolant qu'ils ont fait peur à @Maximilien Leroy et @Cameron Fawley juste avant l'arrivée en fanfare de @Peter Drummond. Elle essaie de garder @Lorcan Tamaharu au calme, sans grand succès et se prépare psychologiquement à sortir les popcorn avec @Elsje de Booij ^^
résumé :
Ym sous-entends en rigolant qu'ils ont fait peur à @Maximilien Leroy et @Cameron Fawley juste avant l'arrivée en fanfare de @Peter Drummond. Elle essaie de garder @Lorcan Tamaharu au calme, sans grand succès et se prépare psychologiquement à sortir les popcorn avec @Elsje de Booij ^^
code par drake.
les moches
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Mar 1 Déc 2020 - 13:41
Your music takes me through the highs and lows
EXORDIUM.
Si il n’avait pas été si torché, Lorcan n’aurait probablement pas pris garde aux propos de ce pauvre type. Drummond était un loser, un paumé, pire que ça, probablement un jaloux, planqué dans les jupons de sa mère et condamné à n’être que le type bizarre et un peu gênant dans les réunions de famille : il n’y avait qu’à voir le niveau de ses cousins et cousines directs pour comprendre que Peter n’était que le crétin de la team, un simplet qui se complait à se regarder dans le miroir et s’imagine en lion là où il n’était qu’un pauvre chat de gouttière, un batard chez les animaux racés. C’était même à se demander si sa daronne n’avait pas fauté avec un de ses elfes de maison, une nuit d’hiver solitaire : ça expliquerait bien des choses.
Il roula des yeux méchamment quand il se mit à baver ses idioties, plus encore quand le nom de Luce atterrit au milieu de la conversation : qu’est ce qu’il en savait, lui, d’abord ? Etait il suffisamment con pour ignorer que si la summerbee n’était pas devenue dépressive à cause, allooooo, de fiançailles forcées, c’était avant tout grâce à lui ? Il était où, hein, le Drummond, toutes ces nuits de tourmente, pendant ses crises de larmes, quand le désespoir était tel qu’il ne pouvait rien faire d’autre que de la garder blottie fort contre lui, à la bercer jusqu’à ce qu’elle s’endorme, à lui raconter des âneries et à leur inventer un futur hypothétique. Il en savait rien, cet imbécile, et il osait proférer des menaces ? Il ne méritait rien d’autre que de …
- … Laisse tomber Lo’…
La voix d’ymkje résonnait comme celle de la raison dans le crâne embrumé du jeune wright, et si il n’avait pas été légilimens, à cet instant précis, peut être aurait elle réussi à le convaincre, peut être qu’il aurait simplement siffler une insulte vaguement dépitée, avant de se mettre à l’écart, dans l’espoir de trouver une nouvelle choppe à écluser pour oublier cette rencontre désagréable.
* I don’t trust him, the lad’s a jerk! *
Oh really, il n’aimait pas ses manières ? La condescendance dans les pensées était telle qu’elle dégoulina sur Lorcan comme un produit irritant, achevant de lui chauffer les sangs, et l’alcool qui coulait dedans, l’embrassant tout entier. Il se dégagea de l’étreinte un peu molle de Cook’, et fonça sur le Drummond, écartant Elsje d’un mouvement un peu maladroit de ses grands bras, pour attraper ce dernier pour l’épaule et lui décocher un giffle qui le fit reculer de plusieurs pas. Lorcan ne se contrôlait plus, tout en ébriété et en fureur, alors qu’il assaillait l’esprit de Peter d’images écoeurantes, de sensations glauques et de sons stridents, juste avant de lui cracher dessus. Littéralement. Un mollard qui vint s’exploser sur la chaussure du sorcier, alors que le Tamaharu le fixait d’un air de dément.
- T’es une putain d’erreur de la nature, Drummond, les gens comme toi devraient même pas exister.
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Sam 5 Déc 2020 - 21:22
i feel it in my head, my shoulders, knees and toes ft. les plus beaux
“You’re a fucking freak, Drummond, people like you shouldn’t get to live!” Les mots s’infiltrèrent dans l’esprit assailli de toutes parts par la légimancie infâme du Tamaharu. Les pensées l’envahirent et le terrassèrent tandis que la sécrétion atteignait ses pieds et se répandaient sur le sol souillé. Trop saoul pour parvenir à le sortir de sa tête, Peter explosa de l’intérieur. Fuck off! You fuck off! You’re not welcome here, you prick! Une erreur de la nature dont la beauté surnaturelle avait terni chaque aspect de sa vie, chaque relation jusqu’à le faire douter de leurs véracités à toutes. Une erreur de la nature qui ne méritait pas d’être parmi eux, qui aurait dû se donner la mort des années plus tôt. Une foutue erreur qui devait, comme toutes les autres, être écrasée pour que le plus fort l’emporte. Peter fixa de ses yeux le cracha pendant une éternité. La seconde suivante, pourtant, alors que son dernier mot résonnait encore dans les tympans des témoins, l’erreur de la nature se soulevait pour repousser Lorcan. Sa joue chauffait et réveillait toute la rage enfouie au fond de ses entrailles. Sans le savoir, le télépathe remua le couteau avec lequel Peter s’apprêtait à le frapper : il lui rappelait chaque injure, chaque jugement, chaque image qu’il et ses amis avaient de lui. Son poing se serra et s’écrasa sur la mâchoire coupante du Wright. Le choc fut si fort qu’il craqua sous les doigts engourdis du démon réveillé. Don’t let it show. Don’t let it show. Fuck off Lorcan! Il voyait pourtant ses propres traits se métamorphoser, se tordre et s’enlaidir pour révéler la harpie tapie, cachée derrière une beauté trop éclatante pour être vraie. Fuck the hell off! Il n’envahirait plus ses pensées, ne peuplerait plus ses souvenirs de démons vomissant leur haine. Le coup sembla surprendre toute la petite assemblée car il entendit un court silence lui vriller les tympans. Lorcan lui, fut déséquilibré et tomba lourdement sur le sol.
“Don’t ever touch me again, Tamaharu. And stay out of my head, dobber!.”
Il inspirait comme après une apnée de quelques minutes. Stay focused. Just stay focused. Don’t let it get to you. Focus. Focus, Peter. Aux oreilles indiscrètes des télépathes, il tentait de garder le contrôle et de se maîtriser. La vérité était toute autre et la lumière qui émanait habituellement de lui s’assombrissait. Elle menaçait de disparaître et d’emporter son secret avec elle pour dévoiler aux yeux de tous quelle véritable erreur de la nature il était vraiment. Lorcan avait fait mouche, bien plus que n’importe quel coup porté ce jour-là. Peter se coupa de son environnement, incapable d’interagir avec qui que ce soit d’autre ; il n’y avait plus que lui, Lorcan et la harpie, tapie dans l’ombre, qui s’éveillait tandis que le soleil laissait place à la lune, dangereuse.
- Résumé:
• Peter est touché de plein fouet par les images mentales sordides produites par @Lorcan Tamaharu.
• Il tente autant que possible de chasser Lorcan de sa tête mais n'y parvient pas tout à fait.
• Pour ne pas le laisser voir davantage et risquer d'exposer son secret - il est semi-vélane mais le cache - Peter lui donne un coup de poing à la mâchoire et le fait tomber.
• Peter n'entend plus les autres, il consacre toute sa concentration à ne pas se transformer, à ne pas laisser la colère l'envahir, au risque de se transformer en harpie.
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Sam 12 Déc 2020 - 19:12
Your music takes me through the highs and lows
EXORDIUM.
Sans le savoir, Lorcan avait appuyé là où ça faisait mal, sorte de coïncidence pernicieuse, puisqu’il était bien trop imbibé pour découvrir quoi que ce soit du secret bien gardé du Drummond. Simplement il avait le sens de la formule, et pour un type aussi égocentrique que l’autre wright, être traiter de monstre et d’erreur de la nature était à coup sûr ce qui faisait le plus mal, égratignant le vernis d’une confiance qu’il devinait, malgré tout, de façade. Il était satisfait de sa provocation, s’apprêtait même à lui décocher un ultime sourire méprisant et à tourner les talons, quand le poing de Peter percuta son visage dans un « crac » éloquent. Il ne s’y attendait tellement pas qu’il n’eut même pas un mouvement pour se défendre, se mangeant une bonne grosse patate dans la face sans même sourciller. Avec la surprise, l’alcool, il n’eut pas mal de suite, mais le choc lui avait fait mettre un genou à terre, alors qu’il se touchait la joue, abasourdie. Bien sur, il avait été éjecté de la tête du brun au passage, mais il n’essayait même pas d’y entrer, complètement sonné par la violence de la réaction de Peter : ils passaient leur vie à s’insulter, dès que l’occasion se présentait, mais jamais, absolument jamais, ils n’avaient levé la main l’un sur l’autre, notamment parce qu’ils avaient trop d’amis en commun pour risquer de devoir leur faire choisir un camp.
- Really Drummond… Really….
Il avait soufflé entre ses dents serrées, crachant sur le coté un peu de salive mélangée de sang, la douleur venant à présent frapper à ses tempes, irradiant de sa mâchoire et dans toute sa pommette. Dans un grognement sec, il se redressa d’un coup pour foncer la tête la première contre le ventre de Peter, à la manière d’un rugbyman, bien que l’ébriété le rende pataud, lent. Pas assez néanmoins pour manquer sa cible, amenant Peter à terre, s’écrasant sur ce dernier jusqu’à lui asséner un magnifique coup de front dans le nez. Seconde « crac » de la soirée, il ne l’avait pas volé, celui là .
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Jeu 24 Déc 2020 - 10:52
i feel it in my head, my shoulders, knees and toes ft. les plus beaux
Un combat de sumos ; deux sumos minces et athlétiques ; deux garçons imbibés d’alcool comme un petit sucre dans un café. Ridicules. Le coup de poing fila dans les airs – moins une étoile filante qu’une grosse comète biscornue. Le garçon n’eut pas le temps de se réjouir de sa petite victoire puérile et nuisiblement virile tant il était occupé à dresser des remparts dans son esprit que personne ne voudrait jamais gravir. Peter reprenait conscience de son entourage quand un hippopotame se précipita dans son ventre et se heurta à sa cage thoracique, le faisant tomber en arrière. Sa tête heurta le sol et propagea une douleur atroce dans tout son corps. Shit! Il ne l’avait pas vu venir celle-ci ; il l’avait sûrement un peu méritée, aussi. Looks like you were really eager for all this to happen, you dobber shit! Lorcan s’élança en avant pour lui donner le baiser de la mort : un gros coup de tête en plein dans l’arcade sourcilière ; il n’était pas aisé de viser lorsqu’on avait trop bu et pour la défense du Wright agressif (lequel ?), le front de Peter n’était pas très large. Une fois de plus, la douleur se propagea jusqu’à l’extrémité de ses doigts et le fit bander les abdominaux pour se recroqueviller ; la présence de Lorcan sur son corps l’en empêcha et il se laissa retomber sur le sol. The boy actually grew a spine! Ses jolies boucles châtaigne feraient l’affaire ; il en attrapa une bonne poignée et le tira sur le côté pour le faire rouler en prenant soin de le repousser aussi fort que possible avec ses pieds. L’alcool peut-être l’aidait à trouver l’humour de la situation, lui tirant un air hilare et éclipsant la bête hideuse cachée dans l’obscurité. Une goutte de sang coulait le long de son visage, témoin de l’hématome violacé qui s’étendrait sur le côté de sa face quelques heures plus tard. Il décocha un nouveau coup de poing dans sa tronche d’hamster enflée et se releva gracieusement (comprenez « en titubant »).
“I’m not doing this. You’re pathetic.”
Bien sûr qu’il le faisait ! Bien sûr qu’il était un participant dynamique et volontaire. Evidemment qu’il avait donné le premier coup. Evidemment, il se retirait de la mêlée. Une urgence le fit détourner le visage, tirant ses traits et avilissant son corps qui criait vouloir changer.
“I’m out.”
Le sorcier hypocrite recula de quelques pas en arrière sans se retourner, écrasant au passage le gobelet qu’il avait fait tomber un peu plus tôt. Il ne parvenait pas à secouer l’image de lui qu’avait peinte Lorcan plus tôt. Sans un mot pour qui que ce soit, le jeune homme s’écarta du groupe à grande enjambées, la main douloureuse discrètement supportée par la deuxième et une crainte toujours bien présente : l’avaient-ils vu pour ce qu’il était vraiment ? Non, la rage n’avait pas été suffisante pour lui faire perdre le contrôle. But in my head… did he see? Il ne voulait pas le savoir. Le garçon se perdit dans la foule, laissant derrière lui des souvenirs obsédants et pénibles. Il avait failli perdre le contrôle et mieux que n’importe quel café, cette vérité l’avait fait désaouler.
- Résumé:
• Peter et Lorcan se battent comme deux sumos minces et enragés.
• Ils roulent au sol (parce que Peter tire sur ses cheveux d'hippopotame) et finit par donner un deuxième coup de poing.
• Peter sent la harpie prête à surgir et décide de se sortir de la mêlée avant que le ridicule de la situation ne suffise plus à la maintenir en cage.
- InvitéInvité
Re: I feel it in my head, my shoulders, knees and toes
Mer 30 Déc 2020 - 12:52
Your music takes me through the highs and lows
EXORDIUM.
Lorcan était bien trop bleu pour avoir encore vraiment mal. C’était tant mieux d’ailleurs, que l’alcool et l’adrénaline prennent le pas sur la douleur, parce qu’en réalité, Peter ne l’avait vraiment pas loupé. Il voyait un peu flou, la faute à l’un des coups pris au niveau des tempes, aussi parce qu’il y avait de l’hémoglobine partout. Ça pissait le sang, une arcade, et il n’y avait vraiment pas que ça, en plus. Il était prêt à remettre le couvert, en dépit du bon sang, en dépit du fait que les quelques grammes de bières en moins dans le sang du Drummond en faisait un adversaire imbattable. Pourtant, âne bâté (et battu) qu’il était, il se redressait encore, cahin caha, les poings écorchés essuyant le sang d’une lèvre éclatée pour mieux se l’étaler sur le visage. Autour d’eux, quelques festivaliers s’agglutinaient avec des airs hallucinés, sans pour autant oser s’interposer. Curieux, courageux, mais certainement pas téméraires.
- Ouais, ouais ouais oui bah CASSE TOI ouais avant que j’te réduise en purée, sale con !
Bien sur Loki, tout le monde y croyait hyper fort. Il continuait de gonfler les plumes, débile de coq, tout ébouriffé qu’il soit. Il ne suivit cependant pas Peter dans la foule qui s’écartait pour le laisser passer. Ce n’est que lorsque que la haute stature du français disparut tout à fait que Lorcan baissa les poings et les épaules, coulant un regard en direction des sœurs de Booij, qui n’avaient pas bougé. Un soupir. Quelle drôle de soirée.
- … J’vais peut être avoir besoin de me rincer le visage, non ?
- Ouais, ouais ouais oui bah CASSE TOI ouais avant que j’te réduise en purée, sale con !
Bien sur Loki, tout le monde y croyait hyper fort. Il continuait de gonfler les plumes, débile de coq, tout ébouriffé qu’il soit. Il ne suivit cependant pas Peter dans la foule qui s’écartait pour le laisser passer. Ce n’est que lorsque que la haute stature du français disparut tout à fait que Lorcan baissa les poings et les épaules, coulant un regard en direction des sœurs de Booij, qui n’avaient pas bougé. Un soupir. Quelle drôle de soirée.
- … J’vais peut être avoir besoin de me rincer le visage, non ?