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La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Mer 28 Avr 2021 - 1:07
La mort donne du prestige
Le cimetière, quel endroit morbide, on pouvait se demander ce que je pouvais bien faire ici. Moi, Adam Muller, tout le monde devait penser que j’avais d’autres elfes de maison à fouetter. J’avais de la famille de ce côté, pas des Muller, non, ma vraie famille, même si ça je ne le disais pas vraiment, je n’accrochais pas tellement aux valeurs qu’on tentait de me transmettre. Je m’étais donc habillé en accord avec la situation, un col roulé noir comme la nuit, un pantalon assez sombre avec une ceinture LV et des chaussures tellement propre qu’on pouvait presque admirer son reflet dedans, au moins ils pourraient admirer à quel point leur fils avait bon gout.
J’avais acheté des fleurs, ça pouvait paraître bête, voir gamin mais c’était une convenance et je comprenais ce mot, c’était un minimum. J’avais un bouquet composé uniquement de fleurs blanches, roses blanches, lys blancs… Ça contrastait parfaitement avec ma tenue, je regardais la tombe de mes parents, je savais qu’ils étaient comme les Muller, aussi strict et aussi conservateur mais je me les imaginais toujours comme des gens pleins d’amour, c’était une illusion à laquelle je m’étais attaché dans les moments difficiles, mais ça me paraissait un peu plus impossible chaque jour.
Je gardais le bouquet contre moi, je rentrais dans la partie sorcière en checkant le corbeau et je m’asseyais un peu sur leur tombe, est-ce que je devais leur parler ? C’était rare que je vienne, alors je ne savais pas comment agir, surtout que c’était rare que je vienne seul, j’avais souvent un domestique ou n’importe quel pecno qui pensait pouvoir me réconforter alors que je ne ressentais aucune peine, les émotions sont pour les faibles.
- Salut ?
Je ne savais pas trop comment m’y prendre, je regardais le bouquet de fleur en souriant, sans aucune douceur, j’en pris une pour la glisser sur mon oreille, c’était mignon non ? J’avais pas de miroir sur moi, je regarderai plus tard. Je leur faisais un clin d’oeil.
- Sans rancune, j’pense pas que vous allez m’en tenir rigueur.
Bah quoi ? Ca m’allait mieux à moi qu’à eux quand on y pensait, puis bon, je ne pensais pas qu’ils allaient pouvoir se venger d’où ils étaient. Je posais donc le bouquet de fleurs sur la tombe même si je trouvais qu'il améliorait mon look. Je souriais en repensant au calme, j’étais sûrement une des seules personnes souriantes dans un cimetière mais pour une fois, il n’y avait pas un chat. J’aimais bien être entouré, c’était bon de se sentir aimé, même si ce n’est que pour l’image qu’on donnait mais parfois un moment de calme valait tout l’or du monde.
J’avais acheté des fleurs, ça pouvait paraître bête, voir gamin mais c’était une convenance et je comprenais ce mot, c’était un minimum. J’avais un bouquet composé uniquement de fleurs blanches, roses blanches, lys blancs… Ça contrastait parfaitement avec ma tenue, je regardais la tombe de mes parents, je savais qu’ils étaient comme les Muller, aussi strict et aussi conservateur mais je me les imaginais toujours comme des gens pleins d’amour, c’était une illusion à laquelle je m’étais attaché dans les moments difficiles, mais ça me paraissait un peu plus impossible chaque jour.
Je gardais le bouquet contre moi, je rentrais dans la partie sorcière en checkant le corbeau et je m’asseyais un peu sur leur tombe, est-ce que je devais leur parler ? C’était rare que je vienne, alors je ne savais pas comment agir, surtout que c’était rare que je vienne seul, j’avais souvent un domestique ou n’importe quel pecno qui pensait pouvoir me réconforter alors que je ne ressentais aucune peine, les émotions sont pour les faibles.
- Salut ?
Je ne savais pas trop comment m’y prendre, je regardais le bouquet de fleur en souriant, sans aucune douceur, j’en pris une pour la glisser sur mon oreille, c’était mignon non ? J’avais pas de miroir sur moi, je regarderai plus tard. Je leur faisais un clin d’oeil.
- Sans rancune, j’pense pas que vous allez m’en tenir rigueur.
Bah quoi ? Ca m’allait mieux à moi qu’à eux quand on y pensait, puis bon, je ne pensais pas qu’ils allaient pouvoir se venger d’où ils étaient. Je posais donc le bouquet de fleurs sur la tombe même si je trouvais qu'il améliorait mon look. Je souriais en repensant au calme, j’étais sûrement une des seules personnes souriantes dans un cimetière mais pour une fois, il n’y avait pas un chat. J’aimais bien être entouré, c’était bon de se sentir aimé, même si ce n’est que pour l’image qu’on donnait mais parfois un moment de calme valait tout l’or du monde.
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Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Mer 28 Avr 2021 - 15:41
La mort donne du prestige ft. @Adam MullerLa nouvelle a fait se crisper sa mâchoire carrée car s’il y a bien une chose qu’il ne tolère pas, c’est ce type de comportement. La famille passe avant tout le reste et en apprenant que son cousin se moque d’eux dans le dos, Octave a senti son sang bouillir. Une réaction qu’il ne vaut mieux pas forcer chez lui car Dieu seul sait quelles conséquences cela pourrait avoir par le futur. Cependant, le Muller s’est mis dans la tête de recadrer son cadet afin qu’il arrête tout de suite les commérages et autres insultes à leur sujet, afin de préserver le sacré nom des Muller. Difficile quand la menace vient de l’intérieur… mais le Grymm a de la ressource et il ne tolérera jamais qu’un membre de la famille - adopté qui plus est donc illégitime - s’amuse à les dégrader ainsi. C’est de son honneur qu’il s’agit avant tout et on ne plaisante pas avec celle d’Octave. Ce dernier décide donc de suivre son cousin ce soir-là, guettant sa destination et ses intentions. Une autre fête pour aller déverser sa rancœur à des inconnus ? Il ne semblerait pas alors que leurs pas les mènent vers un lieu bien plus lugubre, mais dans lequel le Britannique se sent particulièrement à l’aise, n’en déplaise aux autres : un cimetière. D’un pas silencieux, il entre à la suite d’Adam, agissant comme son ombre, imperceptible à son œil. Tout de noir vêtu, le Muller se fond magnifique dans le décor et son teint pâle dû à son accoutumance des espaces profonds et clos le rend presque cadavérique. S’arrêtant près d’un tombeau, il inspecte le jeune homme s’installer près de la tombe de ses parents biologiques, morts il y a plusieurs années de cela. Quelle tragédie, une famille de sang-pur décimée de la sorte et ne reste d’elle que leur fils ingrat… qui se permet de mordre la main qui le nourrit depuis des années. Est-ce un comportement à avoir envers ses sauveurs ? Il aurait peut-être mieux valu qu’il meurt lui aussi, se dit Octave tout en l’examinant du tombeau. Sa bouche a un léger rictus alors qu’il voit le garçon orner sa tête d’une fleur et s’il n’entend pas spécialement ses propos, il peut le déduire par les mouvements de ses lèvres. C’est qu’il est un fin observateur, il faut au moins ça pour se fondre dans la masse afin de surprendre au mieux ses victimes. Octave a toujours opéré de la sorte : dissimulé dans un recoin, à lancer son sort de légilimancie pour connaître les plus profonds secrets des autres sans qu’ils ne s’en aperçoivent - ou n’identifient l’auteur. Le sorcier sort sa baguette et lance le sort à voix basse, semblable au murmure du vent. Son regard ne quitte pas la silhouette de profil de son cousin dont l’état relaxé et vulnérable lui permet de passer les premières couches de son esprit. Sa concentration extrême l’amène vers l’océan de ses souvenirs, dans lequel il fait quelques brasses à la recherche d’une information qui viendrait lui confirmer ce qu’on lui a rapporté quelques jours plus tôt. L’exercice en lui-même n’est pas toujours chose aisée et selon les personnes sur qui il pratique cette capacité, il doit fournir plus d’énergie et de magie que pour d’autres. Mais rentrer dans l’esprit d’Adam, c’est comme couper du beurre mou avec une scie électrique… bien trop facile. Son regard toujours fixé sur les prunelles brillantes et lointaines du jeune homme, il finit par extirper de la mémoire du jeune homme un souvenir particulier prenant place dans un bar. On y trouve Adam, ivre, parlant des Muller avec affront. C’est suffisant pour Octave et il se retire de la tête de son cousin, reprenant son souffle quelques minutes. Que le jeu commence. Ses pas discrets le mènent jusqu’à la tombe des parents biologiques et il reste un long moment face au dos de son cousin, attendant que celui-ci le remarque dans, il l’espère, un cri de peur.
- InvitéInvité
Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Mer 28 Avr 2021 - 16:41
La mort donne du prestige
J'avais pris avec moi une photo d'eux, lors de leur mariage, la photo bougeait et montrait le moment où il s'embrassait, je la regardais souvent, me demandant ce qui aurait bien pu se passer si ils n'étaient pas morts, je serai sûrement devenu encore plus désagréable, pro sang pur et avec sûrement un gros penchant pour la violence.
Je posais la photo sur la tombe, je n'étais pas à l'aise, je n'aimais pas ne pas être à l'aise, je préférais clairement une discussion que j'ai déjà eu, je savais comment réagir et les réactions des autres. Je posais ma main sur la tombe en soupirant un peu, bon, tentons de dire un petit truc au moins.
- Vous me manquez, enfin je crois, je dirai plutôt que l'image que je me suis fait de vous me manque, mais c'est le principal non ?
Pas de réponses, rien, j'entendais aucun bruit, juste mon souffle, on était à la fois bien et mal ici. J'entendais un corbeau qui se pointa devant moi, flippant comme présage, je n'aimais pas les signes et je n'y croyais pas, mais voir un corbeau dans un cimetière ça ne présumait rien de bon.
Je regardais derrière moi pour voir si des gens n'étaient pas venu et je tombais à la renverse sous la surprise en voyant quelqu'un derrière moi. Est-ce qu'il m'observait ? Que pouvait-il regarder d'autres. Flippant, je reconnaissais mon cousin, enfin cousin, cousin adoptif. Je retirais la fleur que j'avais dans les cheveux et je fronçais les sourcils.
- Je peux savoir ce que tu fais ici ?
On ne pouvait pas avoir un peu d'intimité ? Je ne l'appréciais pas vraiment, il était aussi amoureux des sang pur que tous les autres, sa compagnie n'était pas des plus agréables, plus je l'évitais mieux je me portais.
- J'crois pas qu'on ait de famille de ce côté là du cimetière, qu'est-ce que tu me veux ? Et pourquoi tu m'observes de dos ? J'ai manqué la crise cardiaque, c'est flippant !
Y'avait que les psychopathe qui faisaient ça, surtout dans un cimetière ! Je pouvais pas tenter d'exprimer un semblant de tristesse envers mes parents ? Le corbeau avait fui, me laissant seul avec quelqu'un qui ne m'inspirait pas vraiment confiance, ça promettait.
Je posais la photo sur la tombe, je n'étais pas à l'aise, je n'aimais pas ne pas être à l'aise, je préférais clairement une discussion que j'ai déjà eu, je savais comment réagir et les réactions des autres. Je posais ma main sur la tombe en soupirant un peu, bon, tentons de dire un petit truc au moins.
- Vous me manquez, enfin je crois, je dirai plutôt que l'image que je me suis fait de vous me manque, mais c'est le principal non ?
Pas de réponses, rien, j'entendais aucun bruit, juste mon souffle, on était à la fois bien et mal ici. J'entendais un corbeau qui se pointa devant moi, flippant comme présage, je n'aimais pas les signes et je n'y croyais pas, mais voir un corbeau dans un cimetière ça ne présumait rien de bon.
Je regardais derrière moi pour voir si des gens n'étaient pas venu et je tombais à la renverse sous la surprise en voyant quelqu'un derrière moi. Est-ce qu'il m'observait ? Que pouvait-il regarder d'autres. Flippant, je reconnaissais mon cousin, enfin cousin, cousin adoptif. Je retirais la fleur que j'avais dans les cheveux et je fronçais les sourcils.
- Je peux savoir ce que tu fais ici ?
On ne pouvait pas avoir un peu d'intimité ? Je ne l'appréciais pas vraiment, il était aussi amoureux des sang pur que tous les autres, sa compagnie n'était pas des plus agréables, plus je l'évitais mieux je me portais.
- J'crois pas qu'on ait de famille de ce côté là du cimetière, qu'est-ce que tu me veux ? Et pourquoi tu m'observes de dos ? J'ai manqué la crise cardiaque, c'est flippant !
Y'avait que les psychopathe qui faisaient ça, surtout dans un cimetière ! Je pouvais pas tenter d'exprimer un semblant de tristesse envers mes parents ? Le corbeau avait fui, me laissant seul avec quelqu'un qui ne m'inspirait pas vraiment confiance, ça promettait.
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Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Mer 28 Avr 2021 - 17:33
La mort donne du prestige ft. @Adam MullerLes lèvres continuent de se tordre pour prononcer des mots auxquels il n’accorde que peu d’importance. Adam devrait s’estimer heureux d’avoir été recueilli par leur oncle car sans cela, il serait dans un orphelinat de seconde main à côtoyer des sang-mêlés, qui rêve d’un tel sort ? Les Muller ont été indulgents à son égard, pour la simple et bonne raison que ses parents étaient des sang-purs respectables et qu’il était supposé qu’Adam le serait également. Le souvenir qu’il vient de tirer de sa mémoire lui confirme qu’il n’en est rien. L’adopté n’est qu’une contrefaçon de sang-pur, incapable d’apporter la moindre reconnaissance pour les personnes de sa race, crachant sur ses bienfaiteurs qui lui apporté nourriture, logis et vêtements pour vivre. Comment aurait-il pu entrer à Hungcalf sans l’aide financière des Muller ? Tout cela lui donne la nausée mais Octave n’est pas le genre à se laisser guider par les émotions. Il les enferme à double tour dans une cage solide et n’en libère qu’un petit morceau après l’autre afin de les plonger dans le moteur de sa rage. Adam n’a pas idée de l’affront qu’il lui a fait en parlant de la sorte de ses ascendants, de sa famille. Il s’en approche donc avec la furtivité d’un loup en pleine chasse et cela fonctionne puisque le jeune homme continue son discours insipide sans réaliser qu’il se tient juste derrière lui. Le Grymm le regarde, cette fleur ornant l’arrière de son oreille, donnant bien plus d’affront encore à son comportement.
Sa réaction quand il l’aperçoit enfin n’a pas de prix et s’il pouvait sourire, il le ferait. Mais pas de joie, plutôt d’un plaisir dérangeant qui donne des frissons à la victime. Les mouvements du jeune homme sont maladroits et il retire aussitôt la fleur, symbole de sa perdition. Pense-t-il vraiment qu’Octave ne l’a pas remarqué ? Ce dernier reste muet alors que le plus jeune libère un flot de paroles et de questions qui ne l’intéressent pas. Ce qu’il fait ici, pourquoi… qui s’en soucie réellement ? Son intérêt est bien ailleurs, dans une conversation qu’il lui tarde d’aborder avec son cadet. S’il avait réellement fait une crise cardiaque, tout aurait été plus simple. Le Grymm se serait contenté de quitter le cimetière, sachant pertinemment que personne ne l’avait vu y entrer. Mais tout cela n’est qu’hypothétique.
“Sais-tu” commence-t-il d’une voix d'outre tombe “que nous t’avons accueilli sans réserve, acceptant de te considérer comme un membre de notre famille ? Tu portes le nom des Muller et pourtant, tu n’as rien pour en être digne, si ce n’est la pureté de ton sang. Nous savons tous, toi compris, que tu n’en serais pas là si cela en avait été autrement. Tes beaux habits, tes études, ces fêtes à outrance… penses-tu que cela aurait été possible en vivant aux crochets des moldus, disgracié ?” Octave n’est pas homme à faire dans la dentelle et il ne tourne que rarement autour du pot - sauf lorsque cela sert une manipulation plus grande. Il n’y a nullement besoin de manipuler Adam présentement car, après tout, il n’est qu’une poupée de chiffon déjà malléable. Son regard ne le quitte pas, accentuant la gravité de ses propos. Le reproche est bien réel et sans équivoque, il devrait comprendre que le ton de la conversation n’ira pas en s’améliorant - sûrement pas s’il adopte une certaine attitude à son égard.
“Qu’as-tu à dire à cela ?”
- InvitéInvité
Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Mer 28 Avr 2021 - 19:14
La mort donne du prestige
Je regardais le ciel, gris, les nuages prenaient bien de la place, je soupirais un peu, il n'allait pas tarder à pleuvoir, je n'allais pas pouvoir m'éterniser ici, dommage, car j'aurais bien aimé profiter du calme austère qui régnait dans cet endroit, c'était différent, ni en mal ni en bien, juste différent.
Finalement, je ne pensais pas pouvoir vouloir changer d'avis si vite mais en voyant l'autre cousin arrivé, je voulais fuir, genre partir loin et avoir la paix, picoler un coup ou fumer, tiens c'était bien l'heure d'une clope. Je sortais une cigarette de mon paquet et je me l'allumais en le regardant. Je lui tendais mon paquet, j'étais assez sympa quand on y pense.
Il me faisait un peu peur quand il commença à me parler, je fumais en l'écoutant, il me demandait si je savais qu'ils m'avaient accueilli en me considérant comme un membre de leur famille, je me retenais de rire, paye le membre de la famille, j'étais le seul différent, celui qu'on regardait du coin de l'oeil en s'interrogeant.
Il me demanda si c'était possible avec des parents moldus, je ne voyais pas vraiment où il voulait en venir, c'était quoi son problème, je respirais donc la fumée en haussant un sourcil, jetant mes cendres sur le sol. Il me demanda ce que j'avais à dire. Je soupirais, en le regardant droit dans les yeux.
- Que j'ai aucune idée d'où tu veux en venir ? Si c'est des questions rhétoriques, j'suis mauvais pour en comprendre le sens et un bonjour ça t'arracherait la gueule ?
Et après on disait que j'étais vulgaire, ça ne mangeait pas de pain de dire bonjour aux gens ou bien même de s'excuser quand on les surprend. Je continuais de fumer et j'haussais un sourcil.
- Si il y a un problème autant me le dire tout de suite, c'est jamais bon pour le mental d'intérioriser ses sentiments.
Bien évidemment que je me moquais de lui, il n'avait qu'à être aimable dès le départ, je le regardais toujours avec une expression hautaine, j'en avais à peu près rien à battre de ce qu'il pouvait penser ou me reprocher, mais bon, si je partais je sentais que ça allait empirer.
Finalement, je ne pensais pas pouvoir vouloir changer d'avis si vite mais en voyant l'autre cousin arrivé, je voulais fuir, genre partir loin et avoir la paix, picoler un coup ou fumer, tiens c'était bien l'heure d'une clope. Je sortais une cigarette de mon paquet et je me l'allumais en le regardant. Je lui tendais mon paquet, j'étais assez sympa quand on y pense.
Il me faisait un peu peur quand il commença à me parler, je fumais en l'écoutant, il me demandait si je savais qu'ils m'avaient accueilli en me considérant comme un membre de leur famille, je me retenais de rire, paye le membre de la famille, j'étais le seul différent, celui qu'on regardait du coin de l'oeil en s'interrogeant.
Il me demanda si c'était possible avec des parents moldus, je ne voyais pas vraiment où il voulait en venir, c'était quoi son problème, je respirais donc la fumée en haussant un sourcil, jetant mes cendres sur le sol. Il me demanda ce que j'avais à dire. Je soupirais, en le regardant droit dans les yeux.
- Que j'ai aucune idée d'où tu veux en venir ? Si c'est des questions rhétoriques, j'suis mauvais pour en comprendre le sens et un bonjour ça t'arracherait la gueule ?
Et après on disait que j'étais vulgaire, ça ne mangeait pas de pain de dire bonjour aux gens ou bien même de s'excuser quand on les surprend. Je continuais de fumer et j'haussais un sourcil.
- Si il y a un problème autant me le dire tout de suite, c'est jamais bon pour le mental d'intérioriser ses sentiments.
Bien évidemment que je me moquais de lui, il n'avait qu'à être aimable dès le départ, je le regardais toujours avec une expression hautaine, j'en avais à peu près rien à battre de ce qu'il pouvait penser ou me reprocher, mais bon, si je partais je sentais que ça allait empirer.
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Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Ven 30 Avr 2021 - 20:36
La mort donne du prestige ft. @Adam MullerQuelle suffisance dans son regard, quelle arrogance aussi… s’il n’était pas pareil à lui, Octave lui plongerait bien la tête dans la terre fraîche avec un plaisir non dissimulé ! Mais cette façon d’être, c’est très Muller après tout, il n’y a pas à dire. Adam aura appris des meilleurs et il ne leur est même pas reconnaissant ! Le sorcier regarde le paquet de cigarettes sans y toucher et assez longtemps pour que finalement, son cousin le range loin de ses yeux dégoûtés. S’il cherche à se bousiller le corps et l’esprit, tant mieux pour lui mais il ne l’accompagnera pas dans cette démarche. De toute façon, il n’y a absolument rien à attendre d’un tel énergumène, ce n’est plus un secret pour Octave depuis bien longtemps. Il ne lui a jamais fait confiance et cela se confirme avec le souvenir qu’il a tiré de sa mémoire.
Et en plus il est complètement débile, c’est à soupirer d’ennui. Non seulement il n’a aucune répartie, mais en plus il est incapable de comprendre des propos aussi simples qui, certes, peuvent relever de la rhétorique. Mais quand même… Il s’attendait à ce que, après avoir passé tant d’années auprès d’êtres si exceptionnels, il finisse par prendre un peu le pli de l’intelligence. Autre déception au compteur d’Adam.
“Oui, nul doute que tu es bien mauvais à cela… On se demande même à quoi tu peux bien être bon.” Octave n’a jamais caché ses sentiments envers son cousin, c’est sûrement pour cela que ce dernier lui parle avec tant de dédain. Ils ne s’apprécient pas, nul besoin d’être un génie pour remarquer cela ! Il ne prend jamais le temps de le saluer et lui adresse à peine la parole. Uniquement parce qu’il ne voit aucun intérêt dans cet adopté qui n’apporte absolument aucune chose nouvelle ou intéressante à leur famille. Si encore il avait une particularité vraiment unique dont les Muller pourraient faire usage… mais ce n’est pas le cas. Il est inutile en tout point.
“D’ailleurs, en parlant de mental…” bien qu’il doute qu’il en ait vraiment “... tu n’aurais pas plutôt des choses à nous dire ? Car tu sais si bien profiter de notre richesse mais apparemment, nous ne sommes pas assez bien pour toi. Ou quels sont les mots que tu as utilisés, attends donc voir… ah oui, pédant ? Superficiel ? Dérangés ? Tu penses que parce que tu n’es que le petit adopté, tu n’es pas concerné par cette description foncièrement positive ?” Octave utilise volontairement les mots qu’il a pu entendre dans le souvenir d’Adam pour que celui-ci se pose les bonnes questions mais pour que, surtout, il ne puisse pas réfuter ses propos. Après tout, ce sont les siens ! Que peut-il bien répondre à cela ? Oh, le Muller le sait très bien : il va nier de bout en bout. Il vaudrait mieux pour lui d’ailleurs car s’il confirme qu’il les prend tous pour des pigeons, il risque de rapidement rejoindre sa famille biologique bien aimée… On sait quelles rumeurs circulent sur Octave et son amour des pelles et du jardinage. En plein cimetière, il ne vaut mieux pas le mettre en colère.
- InvitéInvité
Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Sam 1 Mai 2021 - 1:27
La mort donne du prestige
Mon appartement me manquait énormément, la douce châleur qu’il diffusait et l’odeur du neuf qu’il dégageait en permanence et je ne pouvais pas rentrer chez moi, non, y’avait monsieur sang pur tout fier de sa famille qui venait m’emmerder. Sérieusement, il ne pouvait pas aller embêter quelqu’un d’autre ? Je ne sais pas moi, chercher des noises à un né moldu qui l’a mal regardé ou à un sang mêlé qui niait la soit disant supériorité de notre sang, tout sauf moi s’il vous plait.
Il me balança un pique, “c’est bien Eleonore on est content”, c’est bon ? Il avait fait sa petite remarque il avait finit et allait me laisser aller chez moi ? Si il se demandait à quoi je pouvais être bon, ma main dans sa gueule, il allait voir si j’étais bon ou non. Je me contentais d’un sourire parfaitement faux.
- Je te retourne le compliment très cher cousin.
J’étais clairement content de ne pas devoir le voir si souvent, à chaque fois qu’on avait une réunion et que je savais qu’il allait se pointer, je décidais de trouver une excuse en béton pour l’éviter, moins je le voyais mieux je me porter. Décidément, j’étais vraiment heureux de ne pas avoir le même sang que lui, surtout soulagé en fait.
Il me parla de mental, je l’écoutais et je lui soufflais ma fumée au visage, c’était assez satisfaisant, il commença par me demander si j’avais quelque chose à dire, mon visage devint impassible, ok, il savait quelque chose, il ne fallait rien montrer dans ces moments là, pas de surprise, pas de colère, pas de peur, rien, tout ce qu’il méritait, une profonde indifférence.
Les mots qu’il utilisa me choquèrent, mon visage n’en montrait rien, mais ça me rappela une soirée assez animée où j’avais confié ça à un parfait inconnu, parfait inconnu que j’avais fini par embrasser et qui m’avait ramené chez lui. Comment pouvait-il savoir ça ? Je n’avais aucun souvenir de l’avoir aperçu dans ce bar, quelqu’un lui avait répété ? Je n’en savais rien mais je ne devais pas paniquer, je devais rester bien calme.
- Qu’est-ce que tu racontes ? J’vois pas vraiment ce que tu me racontes. Mais utiliser ces mots en parlant de notre famille, c’est grave.
Moi, me foutre de sa gueule ? Pas du tout, je le traitais gentiment, aucune insulte, je le regardais mal bien évidemment, mais il aurait fallu que ce soit noël pour qu’il ait ne serait-ce que l’ombre d’un sourire, un doigt à la rigueur. J’allais devoir me montrer malin, pas question qu’il nique le peu de positif que j’avais dans cette famille.
- Et pour ce qui est de ta dernière question, je me considère comme un membre à part entière de la famille, impliquant le bon comme le mauvais, même si je n’en vois pas vraiment. Pourquoi tu ne me vois pas comme ça ?
Mensonge, quand tu nous tiens, je n’en avais aucune honte, je savais qu’il ne me considérait pas comme sa famille et c’était réciproque, merci dieu de n’être qu’un adopté dans cette famille, voyons voir si ma dernière question suffit à savoir ce qu’il me veut vraiment, rester cordial ou partir en fight.
Il me balança un pique, “c’est bien Eleonore on est content”, c’est bon ? Il avait fait sa petite remarque il avait finit et allait me laisser aller chez moi ? Si il se demandait à quoi je pouvais être bon, ma main dans sa gueule, il allait voir si j’étais bon ou non. Je me contentais d’un sourire parfaitement faux.
- Je te retourne le compliment très cher cousin.
J’étais clairement content de ne pas devoir le voir si souvent, à chaque fois qu’on avait une réunion et que je savais qu’il allait se pointer, je décidais de trouver une excuse en béton pour l’éviter, moins je le voyais mieux je me porter. Décidément, j’étais vraiment heureux de ne pas avoir le même sang que lui, surtout soulagé en fait.
Il me parla de mental, je l’écoutais et je lui soufflais ma fumée au visage, c’était assez satisfaisant, il commença par me demander si j’avais quelque chose à dire, mon visage devint impassible, ok, il savait quelque chose, il ne fallait rien montrer dans ces moments là, pas de surprise, pas de colère, pas de peur, rien, tout ce qu’il méritait, une profonde indifférence.
Les mots qu’il utilisa me choquèrent, mon visage n’en montrait rien, mais ça me rappela une soirée assez animée où j’avais confié ça à un parfait inconnu, parfait inconnu que j’avais fini par embrasser et qui m’avait ramené chez lui. Comment pouvait-il savoir ça ? Je n’avais aucun souvenir de l’avoir aperçu dans ce bar, quelqu’un lui avait répété ? Je n’en savais rien mais je ne devais pas paniquer, je devais rester bien calme.
- Qu’est-ce que tu racontes ? J’vois pas vraiment ce que tu me racontes. Mais utiliser ces mots en parlant de notre famille, c’est grave.
Moi, me foutre de sa gueule ? Pas du tout, je le traitais gentiment, aucune insulte, je le regardais mal bien évidemment, mais il aurait fallu que ce soit noël pour qu’il ait ne serait-ce que l’ombre d’un sourire, un doigt à la rigueur. J’allais devoir me montrer malin, pas question qu’il nique le peu de positif que j’avais dans cette famille.
- Et pour ce qui est de ta dernière question, je me considère comme un membre à part entière de la famille, impliquant le bon comme le mauvais, même si je n’en vois pas vraiment. Pourquoi tu ne me vois pas comme ça ?
Mensonge, quand tu nous tiens, je n’en avais aucune honte, je savais qu’il ne me considérait pas comme sa famille et c’était réciproque, merci dieu de n’être qu’un adopté dans cette famille, voyons voir si ma dernière question suffit à savoir ce qu’il me veut vraiment, rester cordial ou partir en fight.
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Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Sam 1 Mai 2021 - 15:25
La mort donne du prestige ft. @Adam MullerAdam essaye bien évidemment de jouer au plus fin mais cela ne fonctionne pas. Autant dire qu’il n’arrange clairement pas son cas et un peu d’honnêteté lui permettrait peut-être de s’en sortir sans égratignure… si seulement cela est possible. C’est qu’Octave a un dangereux penchant pour le détournement des sorts les plus simples afin d’en faire des instruments de torture. C’est bien à cela qu’ils servent, n’est-ce pas ? Il garde sa baguette à proximité de sa main, faisant part alors de sa “théorie” à son cousin sur ce qu’il pense de leur famille. Ou plutôt SA famille, car il ne considère sûrement pas le jeune homme comme un membre à part entière de cette dernière. Si celui-ci ne semble montrer aucune émotion, il y a fort à parier qu’il est en train de se déféquer dessus en apprenant qu’Octave est au courant des insultes qu’il profère à l’encontre des Muller dans le dos de ces derniers. Le pire étant que le Grymm ose nier cette évidence, comme s’il n’avait rien pour prouver ces dires. Techniquement, il n’aurait pas tout à fait tort car Octave garde cet apprentissage de la légilimancie secret et très peu de membres de sa famille sont au courant. Adam n’en fera certainement pas partie, ou pas ce soir. Il y a cependant bien d’autres manières de lui faire avouer son hypocrisie et rien qu’à l’instant, une bonne dizaine d’idées parcourent son esprit à vive allure.
“C’est donc ainsi que tu as décidé de jouer tes cartes, très bien. Jouons ainsi alors.” Adam n’a pas conscience qu’il lui fait le plus grand des plaisirs en lui donnant une raison d’utiliser certains sorts sur lui. En plein cimetière, la nuit, avec aucun passant dans le kilomètre à la ronde… N’est-ce pas le moment parfait pour une petite séance de torture comme il les aime ? Que ce soit sur son propre cousin - mais adopté, rappelons-le - ne le dérange en rien. Il faut savoir sacrifier les maillons les plus faibles pour permettre au reste de la famille de briller. Adam est clairement le pire qu’il puisse y avoir. Même son beau-frère semi-vampire a bien plus d’honneur que cette pièce rapportée…
“Pourquoi te verrais-je ainsi ? Tu pourrais disparaître demain que cela ne gênerait personne. Pas moi, en tout cas.” La question étant : qu’est-ce qui gêne réellement Octave ? Les petits imbéciles comme lui, qui pensent faire les malins mais qui n’utilisent qu’un dixième de leur cerveau maigrelet. Qu’à cela ne tienne, il va passer à la partie la plus intéressante.
“Incarcerem” lance-t-il d’une voix sombre en pointant sa baguette sur le sorcier. Le sort est si rapidement lancé qu’Adam n’a pas le loisir de se protéger et bientôt, il se retrouve immobilisé au sol par un enchevêtrement de cordes magiques, sur la tombe même de ses parents. Quelle ironie. Le bout de bois toujours en main et tenu fermement, le sorcier s’approche de sa victime et le fixe sans ciller. Son premier geste est de récupérer la baguette de son cousin et de jouer avec de sa main libre. Un léger sourire vient marquer la fossette de sa joue qu’on ne voit que rarement tellement cette expression lui est étrangère et il vient se placer au-dessus de son cousin.
“Adam, Adam, Adam… tu me facilites vraiment la tâche. On va jouer à un petit jeu toi et moi. Je vais te poser des questions et tu vas me répondre. Si tu mens, je le saurais et tu seras châtié. Si tu dis la vérité, on pourra alors commencer les négociations. Qu’en dis-tu ? Oh, ne crie pas je te prie, cela me ferait trop plaisir de t’empêcher de parler une bonne fois pour toute…” En lui coupant la langue, par exemple. Pourquoi s’embarrasser d’un Bloclang quand on peut tout simplement la supprimer ?
- InvitéInvité
Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Dim 2 Mai 2021 - 0:55
La mort donne du prestige
Le mensonge, ce mot, je le connaissais depuis longtemps, je vivais avec, je le chérissais, je mentais quand je disais que tout allait bien dans le meilleur des monde, je mentais en disant que j’étais attiré par les femmes, alors qu’elle ne m’inspire rien d’autre que des complications, je mentais aussi quand je disais que j’aimais tout le monde dans ma famille, je mentais tout court en utilisant le mot famille. Il était donc évident que j’allais lui mentir, je n’allais pas lui sortir “ouais, j’aime pas le côté suprémaciste sang pur de notre famille y’a quoi maintenant ?”, je n’étais pas suicidaire, j’avais un bon instinct de survie.
Je finissais ma cigarette que je jetais au sol, quelqu’un finira bien par nettoyer de toute façon et puis j’étais sympa, je m’assurais que les gens aient du travail, j’étais un créateur d’emploi, un véritable visionnaire. Il me dit que j’avais jouer mes cartes, je ne le comprenais vraiment pas, on avait tous un cousin bizarre avec aucun point commun, le mien c’était Octave et il semblait vraiment perché.
- J’suis pas sur d’avoir envie de jouer avec toi en fait.
Voir clairement pas envie en fait, j’voulais me casser d’ici moi, il me disait que je pouvais disparaître que ça ne le gênerait pas, l’envie de lui balancer un c’est réciproque fut très grande, mais je fus coupé dans mon élan par un sort en douce. Je me retrouvais donc ligoté de tous les côtés.
- Tu crois faire quoi là ?!
Il me dit qu’on allait jouer à un jeu, un question réponse, j’allais être puni si je ne disais pas la vérité, je souriais intérieurement, on allait jouer le maso qui kiffe les punitions j’aurai sûrement la paix au bout d'un petit moment, c'était chiant mais ce n'était qu'un moment chiant. Je lui souriais donc et je prenais un ton assez insolent.
- J’ai toujours rêvé de faire du bdsm, t’as des penchants vraiment particulier Octave, on se ressemble un peu plus qu’on ne le pense finalement.
Bien sûr que je me foutais de sa gueule, je n’allais clairement pas m’en priver, si il pensait que psychologiquement j’allais craquer, c’était un vrai demeuré, encore plus que ce que je pensais, je rentrais donc dans son jeu toujours souriant.
- Vas-y, je t’écoute, première question en vitesse, j’aimerai bien ne pas trop tarder, mon lit me manque et j’ai un examen demain, faut que je sois en forme mon chou.
Ok, ça devenait beaucoup trop drôle, j’avais beau être attaché et ne pas pouvoir bouger le petit doigt, j’étais loin de me taire, j’aimais bien parler, surtout pour me moquer des autres et pointer ce qui pouvait ne pas aller, le cousin taré allait-il perdre si vite patience ?
Je finissais ma cigarette que je jetais au sol, quelqu’un finira bien par nettoyer de toute façon et puis j’étais sympa, je m’assurais que les gens aient du travail, j’étais un créateur d’emploi, un véritable visionnaire. Il me dit que j’avais jouer mes cartes, je ne le comprenais vraiment pas, on avait tous un cousin bizarre avec aucun point commun, le mien c’était Octave et il semblait vraiment perché.
- J’suis pas sur d’avoir envie de jouer avec toi en fait.
Voir clairement pas envie en fait, j’voulais me casser d’ici moi, il me disait que je pouvais disparaître que ça ne le gênerait pas, l’envie de lui balancer un c’est réciproque fut très grande, mais je fus coupé dans mon élan par un sort en douce. Je me retrouvais donc ligoté de tous les côtés.
- Tu crois faire quoi là ?!
Il me dit qu’on allait jouer à un jeu, un question réponse, j’allais être puni si je ne disais pas la vérité, je souriais intérieurement, on allait jouer le maso qui kiffe les punitions j’aurai sûrement la paix au bout d'un petit moment, c'était chiant mais ce n'était qu'un moment chiant. Je lui souriais donc et je prenais un ton assez insolent.
- J’ai toujours rêvé de faire du bdsm, t’as des penchants vraiment particulier Octave, on se ressemble un peu plus qu’on ne le pense finalement.
Bien sûr que je me foutais de sa gueule, je n’allais clairement pas m’en priver, si il pensait que psychologiquement j’allais craquer, c’était un vrai demeuré, encore plus que ce que je pensais, je rentrais donc dans son jeu toujours souriant.
- Vas-y, je t’écoute, première question en vitesse, j’aimerai bien ne pas trop tarder, mon lit me manque et j’ai un examen demain, faut que je sois en forme mon chou.
Ok, ça devenait beaucoup trop drôle, j’avais beau être attaché et ne pas pouvoir bouger le petit doigt, j’étais loin de me taire, j’aimais bien parler, surtout pour me moquer des autres et pointer ce qui pouvait ne pas aller, le cousin taré allait-il perdre si vite patience ?
- Joeïa YoonMODO - Modératrice
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Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Dim 2 Mai 2021 - 13:19
La mort donne du prestige ft. @Adam MullerQu’il n’ait pas envie n’entre même pas en ligne de compte dans l’esprit d’Octave. Ils vont jouer et puis c’est tout, il en a décidé ainsi - mais uniquement parce qu’Adam refuse d’assumer ses propos et dire la vérité. Cela lui donnera sûrement une bonne leçon à l’avenir…
“Tu vas vite l’être.” Le sort qu’il jette a pour mission de l’immobiliser au sol tout en lui laissant la parole, car sinon un sortilège de pétrifaction aurait largement suffit. Octave ne dit pas qu’il n’aurait pas préféré un tel sort pour ne pas avoir à subir la voix nasillarde de son cousin qui, apparemment, se prend pour plus fort qu’il ne l’est. Sûrement ne le considère-t-il que comme un taré suprémaciste, mais il n’a pas idée de ce dont il est capable simplement pour obtenir une petite information - et dans le cas présent, un aveu. Prenant garde à la riposte, il retire la baguette d’Adam de son champ de prise et va même jusqu’à jouer avec - dévoré par l’envie de la briser en deux. Ce serait tellement amusant ! Il le voit sourire et sourit à son tour, le trouvant bien sot de dire de telles choses ou de prendre cela à la légère. Quelqu’un de plus intelligent serait déjà en train de négocier sa liberté et peut-être que le Muller aurait été raisonnable et l’aurait laissé partir. Mais son idiot de cousin s’enfonce dans sa bêtise - en même temps, on ne peut guère attendre mieux de sa part…
“Tu aimerais.” Il se place au-dessus de lui et le regarde un long moment, le laissant sortir des imbécilités tranquillement avant qu’il ne s’attaque au gros de la chose. Il laisse courir la pointe de sa baguette le long du visage d’Adam, levant les sourcils alors que ce dernier paraît clairement prendre tout ceci pour une vaste blague. Qu’il en soit ainsi alors…
“Fais le malin. Tu ne manquais pas de forme pour faire ces immondices avec cet homme, n’est-ce pas ?” commence-t-il par dire en faisant clairement référence au souvenir qu’il a pioché dans la tête d’Adam quelques minutes plus tôt. Il aurait clairement dû s’arrêter aux insultes envers sa famille mais la curiosité l’a emporté et il en a vu bien plus qu’il ne l’aurait voulu. Hypocrisie, vous dira-t-on, mais Octave voit simplement que la pièce rapportée de cette famille est pourrie et qu’il est temps de couper le membre gangrené pour que le reste du corps ne soit pas infecté.
“Bien, maintenant que nous en sommes là, réponds à cette question et crois-moi que je ne prends rien de tout cela à la rigolade. Même si je pourrais prendre énormément de plaisir à te voir me mentir, c’est assuré. Vois-tu, tu me décris certainement comme un taré, mais tu n’as aucune idée à quel point tu es loin du compte. Donc je vais poser cette question de façon claire et distincte et tu ne vas pas me mentir en y répondant. As-tu dénigré ma famille dans notre dos avec des sangs de bourbe ?” Pour le côté fornication avec une personne du même sexe, cela viendra plus tard. Quand il pourra s’adonner à une torture un peu plus intense et qu’Adam lui aura déjà assez menti pour que ce soit pleinement justifié.
- InvitéInvité
Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Dim 2 Mai 2021 - 20:11
La mort donne du prestige
Franchement, qu’est-ce que j’avais fais au bon dieu, né orphelin, adopté par une famille stricte puis torturé par un cousin, j’étais vraiment pas béni par les dieux moi. Je soupirais en l’écoutant, ça se voyait que lui il n’avait pas un cours d’histoire de la magie demain, y’en a qui ont des examens, on est pas tous excellent par nature. Je le regardais faire mumuse avec ma baguette, quel gamin, j’étais persuadé que c’était le genre de gosse qui arrachait les ailes des mouches et disséquaient des souris, un petit psychopathe en puissance. J'espérais qu’il n’allait pas la casser, pas pour le coût, ce n’était clairement pas un problème ça, mais parce que j’avais pas envie de faire la queue pour en racheter une ou la faire réparer.
La suite me laissa dubitatif, comment pouvait-il savoir que j’avais fais des choses avec cet inconnu, ok, on s’était embrassé mais c’était en dehors du bar et la rue était déserte, soit j’étais suivie et espionné soit il me cachait un truc. Puis il appelait ça immondice, bon, ok c’était pas ce qu’il y avait de plus propre, mais c’est bon, on va pas en chier une maison non plus, bon, continuons de faire le gentil petit innocent.
- Immondices ? De quoi tu parles ? Franchement, j’vois pas.
Il allait me dire la première question et comme tout bon méchant, il faisait son petit speech, c’était souvent ça qui leur coûtait la vie, mais bon, j’étais pas tellement en mesure de riposter. Il me demanda si j’avais dénigré sa famille avec un sang de bourbe, mon cerveau rigolait tout seul, dans mes souvenirs, ce n’était que des sangs-mélés, alors ça ne comptait pas tellement.
- Je ne te décris pas comme un taré, non, juste comme un gros psychopathe qui doit avoir un sacré problème d’égo, alors raconte moi, c’est un problème d’impuissance qui te pousse à te croire supérieur ? Et non, je n’ai pas dénigré ta famille avec un né moldu, sang de bourbe ça ne se dit plus, t’as un petit souci de nomenclature.
En soit, je disais la vérité, ce n’était pas des sangs de bourbe et il fallait que les deux ou trois personnes à qui je m’étais plaint aillent le répéter, ils ne perdaient rien pour attendre les petits mouchards. Je continuais de lui sourire, toujours aussi faux.
- Allez, question suivante, on ne faiblit pas !
Je regardais autour de moi, si il n’y avait pas une solution pour me barrer d’ici, un truc coupant, le bruit d’une personne, la moindre diversion possible pourrait être intéressante. Bon, je n’avais rien, autant passer le temps.
- Quoique, moi aussi, j’ai des questions à poser, autant qu’on s’amuse tous les deux. Alors, tu veux bien confirmer ma théorie, c’est torturer des animaux étant enfant qui t’a rendu psychopathe ou c’est parce que t’es un psychopathe que tu en torturais ?
Pour l’instant il avait beaucoup parlé mais pas agi, juste un sort pour m’immobiliser, c’est qu’il manquait de créativité dis donc.
La suite me laissa dubitatif, comment pouvait-il savoir que j’avais fais des choses avec cet inconnu, ok, on s’était embrassé mais c’était en dehors du bar et la rue était déserte, soit j’étais suivie et espionné soit il me cachait un truc. Puis il appelait ça immondice, bon, ok c’était pas ce qu’il y avait de plus propre, mais c’est bon, on va pas en chier une maison non plus, bon, continuons de faire le gentil petit innocent.
- Immondices ? De quoi tu parles ? Franchement, j’vois pas.
Il allait me dire la première question et comme tout bon méchant, il faisait son petit speech, c’était souvent ça qui leur coûtait la vie, mais bon, j’étais pas tellement en mesure de riposter. Il me demanda si j’avais dénigré sa famille avec un sang de bourbe, mon cerveau rigolait tout seul, dans mes souvenirs, ce n’était que des sangs-mélés, alors ça ne comptait pas tellement.
- Je ne te décris pas comme un taré, non, juste comme un gros psychopathe qui doit avoir un sacré problème d’égo, alors raconte moi, c’est un problème d’impuissance qui te pousse à te croire supérieur ? Et non, je n’ai pas dénigré ta famille avec un né moldu, sang de bourbe ça ne se dit plus, t’as un petit souci de nomenclature.
En soit, je disais la vérité, ce n’était pas des sangs de bourbe et il fallait que les deux ou trois personnes à qui je m’étais plaint aillent le répéter, ils ne perdaient rien pour attendre les petits mouchards. Je continuais de lui sourire, toujours aussi faux.
- Allez, question suivante, on ne faiblit pas !
Je regardais autour de moi, si il n’y avait pas une solution pour me barrer d’ici, un truc coupant, le bruit d’une personne, la moindre diversion possible pourrait être intéressante. Bon, je n’avais rien, autant passer le temps.
- Quoique, moi aussi, j’ai des questions à poser, autant qu’on s’amuse tous les deux. Alors, tu veux bien confirmer ma théorie, c’est torturer des animaux étant enfant qui t’a rendu psychopathe ou c’est parce que t’es un psychopathe que tu en torturais ?
Pour l’instant il avait beaucoup parlé mais pas agi, juste un sort pour m’immobiliser, c’est qu’il manquait de créativité dis donc.
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Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Ven 7 Mai 2021 - 16:12
La mort donne du prestige ft. @Adam MullerLe garçon continue de nier, donnant à Octave la raison suffisante pour mettre son plan en action. Il l’aurait sûrement fait quoi qu’il en soit, à bien y réfléchir. Mais Adam a de quoi lui mettre les nerfs à vif et quand c’est le cas, tout le monde a sa façon de déstresser. Est-ce réellement de sa faute si la sienne implique de faire du mal aux autres ? Il a pourtant prévenu son cousin de ce qui risquait d’arriver s’il continuait de le prendre pour un idiot, mais ce dernier s’enferme dans son entêtement au lieu de la jouer plus intelligemment. Tant pis pour lui.
Il pose alors sa question et laisse ainsi à Adam la possibilité d’y répondre avec honnêteté, réduisant alors la peine qui lui sera infligée. Mais une nouvelle fois, l’adopté ne semble pas savoir faire usage de son cerveau, pensant qu’il est intelligent d’essayer de le titiller au sujet d’une impuissance qui n’a aucune raison d’être. Octave ne peut même pas essayer d’être offensé par ses propos parce qu’ils lui paraissent tellement… improbables ! Il en soupire de pitié pour le pauvre bougre qui n’est né qu’avec la moitié des connexions entre ses neurones. Ce qu’il veut bien reconnaître cependant, c’est qu’il a oublié que pour les autres, sang de bourbe correspond aux nés-moldus alors que pour Octave, il englobe toute personne n’étant pas de sang-pur. Simple raccourci, il veut bien lui “pardonner” cela.
“Est-ce que tu cherches un moyen de t’échapper ?” demande-t-il dans un rictus mauvais alors qu’il le voit regarder dans toutes les directions. Ce serait stupide de penser qu’il n’a pris aucune précaution avant de venir ici… Un Protego Totalum aura suffit à protéger les deux garçons de regards trop curieux. Et il fera effet jusqu’à ce qu’Octave décide du contraire ou ne soit trop faible pour que le sort subsiste. Il a donc champ libre pour ses amusements les plus spéciaux.
“C’était à défaut de pouvoir vous utiliser, vous, pour mes expériences. Il me fallait bien une solution de remplacement. Maintenant, revenons-en à l’essentiel.” Il pointe de nouveau sa baguette sur le jeune homme et se redresse sur ses deux pieds pour le surplomber. “Tu n’as pas répondu ce qu’il fallait, dommage. Endoloris.” La magie invisible s’échappe de la pointe du morceau de bois sculpté pour s’écraser sur le corps d’Adam, qui se voit submergé par des vagues d’une douleur intense. Et quel plaisir il y a pour Octave de voir son visage grimacer sous l’effet de sa propre volonté ! Il lui fait subir le sort impardonnable pendant quelques secondes à peine, mais il n’en a pas fini.
“Ceci n’est qu’un faible aperçu de ce que je pourrais te faire subir si tu ne me dis pas la vérité. Donc je me répète : as-tu traîné dans la boue le nom de ma famille face à ces gens, peu importe leur sang ? Tu sais ce qui t’attends si tu me mens. Même si j’aimerais bien que tu le fasses, j’ai la baguette qui me démange !” Un grand sourire carnassier vient s’installer sur son visage, rien de moins rassurant que ça.
- InvitéInvité
Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Lun 14 Juin 2021 - 23:26
La mort donne du prestige
Je n'avais plus vraiment de solutions, j'allais devoir endurer cet interrogatoire, moi, Adam, je ne méritais pas une chose pareille, ok, je n'étais pas un ange, mais je ne méritais pas non plus d'être capturé par un cousin et d'endurer des questions complètement idiote. Franchement, si il avait un besoin de supériorité à assouvir, il ne pouvait pas juste... Je sais pas moi, se mettre au sport ? Harceler ses petits camarades de classe ? Un truc habituel, pas séquestrer son cousin, pour laver l'honneur de la famille. Il me demanda si je cherchais un moyen de m'enfuir, je lui offrais un grand sourire et j'haussais faussement un sourcil.
- M'échapper ? Pourquoi donc ? Je passe un excellent moment avec mon cousin.
Une chose était sure, je n'étais clairement pas prêt de retourner dans le cimetière, la tombe de mes parents c'était adieu et à jamais en fait, je pensais tirer quelque chose de cette visite, mais rien, à part de la douleur et découvrir le vrai visage d'un membre de "ma famille". Il torturait bien les animaux étant petit, ça se sentait qu'il arrachait les ailes des mouches pour s'amuser.
- Ahah, je le savais, c'est bien le genre des enfants qui vont devenir des psychopathes en puissance.
Il me disait que j'avais mal répondu et j'eus le droit à un sortilège impardonnable, je n'avais jamais pensé être un jour la cible d'un de ces sorts, j'avais l'impression que chaque parcelle de mon corps me faisait souffrir, os, muscles, organes, c'était ignoble, était-ce sa première fois avec ce sort ? J'en savais rien.
Il continua de me menacer en me disant que ce n'était qu'un petit aperçu, je doutais qu'il puisse vraiment faire mieux. Je ne savais pas vraiment si c'était une mauvaise chose, il me répéta la même question, je réfléchissais en continuant de lui sourire même si la douleur me lançait encore. Devais-je lui dire la vérité et risquer qu'il répète à quelqu'un ou qu'il se fâche complètement ? Ou devais-je continuer de lui mentir jusqu'à ce qu'il finisse par faire un truc irrémédiable. Je soupirais et je choisissais les deux solution en même temps, la vérité englobé de mensonge.
- J'avoue, j'ai juste critiqué le côté élitiste de notre famille, c'était l'alcool qui parlait sur le moment, j'ai pas réfléchis... C'est bon ? Content ? Ou je vais avoir le droit à d'autres questions débiles ?
Si seulement je n'avais critiqué que cet aspect... Mais bon, faisons genre que ce n'était que ce petit point, au moins, je savais que je n'aurai plus à parler sur cette fichue famille, autant tenir un journal mental ou un truc dans le genre plutôt que de risquer de le revoir avec sa pelle.
- M'échapper ? Pourquoi donc ? Je passe un excellent moment avec mon cousin.
Une chose était sure, je n'étais clairement pas prêt de retourner dans le cimetière, la tombe de mes parents c'était adieu et à jamais en fait, je pensais tirer quelque chose de cette visite, mais rien, à part de la douleur et découvrir le vrai visage d'un membre de "ma famille". Il torturait bien les animaux étant petit, ça se sentait qu'il arrachait les ailes des mouches pour s'amuser.
- Ahah, je le savais, c'est bien le genre des enfants qui vont devenir des psychopathes en puissance.
Il me disait que j'avais mal répondu et j'eus le droit à un sortilège impardonnable, je n'avais jamais pensé être un jour la cible d'un de ces sorts, j'avais l'impression que chaque parcelle de mon corps me faisait souffrir, os, muscles, organes, c'était ignoble, était-ce sa première fois avec ce sort ? J'en savais rien.
Il continua de me menacer en me disant que ce n'était qu'un petit aperçu, je doutais qu'il puisse vraiment faire mieux. Je ne savais pas vraiment si c'était une mauvaise chose, il me répéta la même question, je réfléchissais en continuant de lui sourire même si la douleur me lançait encore. Devais-je lui dire la vérité et risquer qu'il répète à quelqu'un ou qu'il se fâche complètement ? Ou devais-je continuer de lui mentir jusqu'à ce qu'il finisse par faire un truc irrémédiable. Je soupirais et je choisissais les deux solution en même temps, la vérité englobé de mensonge.
- J'avoue, j'ai juste critiqué le côté élitiste de notre famille, c'était l'alcool qui parlait sur le moment, j'ai pas réfléchis... C'est bon ? Content ? Ou je vais avoir le droit à d'autres questions débiles ?
Si seulement je n'avais critiqué que cet aspect... Mais bon, faisons genre que ce n'était que ce petit point, au moins, je savais que je n'aurai plus à parler sur cette fichue famille, autant tenir un journal mental ou un truc dans le genre plutôt que de risquer de le revoir avec sa pelle.
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Re: La mort donne du prestige [Ft Octave Muller]
Ven 18 Juin 2021 - 15:07
La mort donne du prestige ft. @Adam MullerOctave n’a jamais compris pourquoi il était si mal vu d’aimer la souffrance - surtout celle des autres. Il entend le terme de psychopathe ou sociopathe depuis de nombreuses années déjà, sans que cela ne lui soit attribué. Et c’est probablement un manque de la part des autres, trompés par sa bonne figure et ses manières posées. S’il aime torturer, le Muller n’en a, pour le moment, jamais fait savoir au public. Ce secret reste bien protégé par sa cousine Lilith, qui le soutient plus que n’importe qui. Il n’est pas malheureux de son sort, bien au contraire. Mais il attend le jour où l’une de ces deux étiquettes lui sera apposée sur le torse et ce moment vient bien plus vite qu’il ne l’avait escompté. Pourtant, Octave s’est préparé à cette éventualité. Il sait qu’un jour, la mascarade prendra fin et que le masque tombera. On le soupçonne déjà de ne pas être aussi irréprochable qu’il y paraît et ils ont bien raison. Le Muller n’est pas ce que l’on peut qualifier de “personne saine” et s’il ne le revendique pas encore publiquement, intérieurement, il est fier de sa personnalité. Il sait que son ambition et sa détermination, sa capacité à ne pas se soucier du malheur des autres le mènera vers les hautes sphères du pouvoir. Il ne demande rien de moins. À vrai dire, il retirerait plus à être un marionnettiste de l’ombre plutôt qu’une personnalité publique, ce malgré son joli minois.
La remarque d’Aaron, donc, le fait doucement sourire. “Y a-t-il vraiment un mal à cela ?” Et la réponse est évidente. Presque rhétorique, pour lui. D’ailleurs, il prouve son point de vue en infligeant le sortilège de douleur à son cousin dans les minutes qui suivent. La conclusion est inévitable : il prend énormément de plaisir à la souffrance d’autrui et nul besoin de le cacher en ces lieux. Personne n’est là pour voir ou juger. Quand à Adam, il s’en occupera comme il se doit. Ce dernier n’est pas immunisé contre Endoloris et c’est une bonne chose, si vous voulez son avis. Il lui laisse l’opportunité de dire la vérité mais, une fois encore, le faux Muller se moque ouvertement de lui. Octave peut, au mieux, lui accorder le fait qu’il ait avoué critiquer sa famille.
“L’alcool, une bien facile et piètre excuse… Je ne sais pas si je dois me contenter de cela. Non, en réalité, je le sais. Je ne me contenterai pas de cela. Je n’ai pas d’autres questions Adam. Je vais simplement te demander de me dire la vérité. Et pour te donner un petit encouragement…” Il fait un léger mouvement de poignet avec sa baguette et sans qu’il n’ait eu à le prononcer, le Diffindo fait effet. Une coupure bien nette apparaît sur le poignet d’Adam d’où, déjà, s’échappe un très léger filet de sang. Pas de quoi le vider, juste assez pour l’avertir qu’il n’hésitera pas à attaquer son visage ou, même, ses parties intimes s’il se joue encore de lui. Il suffirait d’arrêter les mensonges…
“Est-ce que tu as si peur de moi que tu n’oses même pas dire la vérité ? Ce n’est pas comme si je pouvais te tuer en l’apprenant. Quoique…”
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