Page 2 sur 2 • 1, 2
- InvitéInvité
Re: the devil eats pasta and excels in comedy x #callimitri6
Mar 14 Sep 2021 - 9:58
Allongé sur le ventre, ton corps n’est animé que par de profondes et lentes respirations. Les instants passent, la lutte est finie, il n’y a ni gagnant ni perdant ce soir. Calliope a sans doute eu ce qu’elle voulait, elle ne t’aurait pas invité là, passé cette robe insolente si elle n’avait pas prévu un plan de ce genre. Es tu tombé dans le panneau ? Peut être. L’invitation était trop tentante pour toi. Tu n’as jamais nié l’évidence de ton attirance pour cette femme somme toute détestable. Même quand tu la possèdes, quand elle est dans tes bras, tu n’as de cesse de ressentir ce manque, cette envie d’elle. Si cela ne se passait pas simplement dans ta tête, tu pourrais sans doute être mortifié. Cependant elle est obligée de composer avec toi maintenant que tu connais son secret. Tu as un avantage certain sur elle, mais cela est loin d’être toute l’étendue du tableau, il serait stupide de croire cela.
Vos peaux se touchent, tu sens la chaleur de son corps irradier vers le tien. Sans être totalement en alerte, tu ne dors pas pour autant. Tu n’as pas oublié ce qui t’a conduit dans ce lit, tu n’es pas assez fou pour lui accorder l’entièreté de ta confiance.Elle est acculée, et tel un scorpion elle attaque pour se défendre, tu ne pourrais pas l’en blâmer. Pourtant tu ne t’attendais pas à quelque chose d’aussi frontal. Tu ne pensais pas qu’une baguette s’élèverait au dessus de toi avec toute la discrétion possible. Le pire des scénario envisagé, celui de non retour, la matérialisation de tes soupçons que tu aurais préférés infondés, ta paranoïa habituelle.
Peu importe l’état confortable dans lequel tu étais plongée encore quelques minutes auparavant, ton sang ne fait qu’un tour. Tu es pris par la trahison, étouffé par la vision sous tes yeux. Le corps nu de la jeune femme à peine éclairé par une faible lueur magique, assez pour deviner l’expression de ses traits, assez pour comprendre, pour savoir ce qu’elle avait l’intention de faire. Pourtant, elle hésite, c’est ce qui fait que tu la prends la main dans le sac, au sens littéral, car déjà tu viens la plaquer de ton corps sur le lit, refusant de rester la cible d’un potentiel sort.
“Tu n’aurais pas dû hésiter.”
La main sur son poignet, elle ne peut le bouger, pour le reste, ton corps écrase suffisamment le siens pour qu’elle soit incapable de s’enfuir.
Tu la dévisages. Tu ne sais pas ce que tu cherches à voir. Le regret ? Peut être.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
- » parchemins postés : 722
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1646
Re: the devil eats pasta and excels in comedy x #callimitri6
Sam 18 Sep 2021 - 13:11
A peine sa tête aura-t-elle retrouvé l’oreiller, Calliope Muller retrouve ses esprits. Pendant de longues minutes, elle s’est oubliée dans les bras du Majewski. L’etreinte charnelle du Russe aura réussi à tout lui faire oublier l’espace d’un instant. Elle a oublié toutes les rancœurs, les frustrations, l’agaçement. Elle a oublié la crainte qui pouvait l’animer alors qu’elle croisait son regard calculateur. Elle a même oublié qu’il détenait le secret de sa vie dans le creux de sa main et qu’il lui suffisait de serrer les doigts pour détruire la vie de celle qui avait lutté pour en arriver là.
Ses cheveux éparpillés sur l’oreiller, nue, le regard rivé sur le plafond, Calliope ne bouge pas. C’est tout juste si elle ose respirer. Concentrée sur la respiration de l’homme qui s’assoupit à côté d’elle, elle se demande comment elle va bien pouvoir procéder à partir de maintenant. L’avoir endormi à ses côtés, vigilance baissée, elle sait ce qu’elle a à faire…
Doucement, elle se lève et sur la pointe des pieds pour ne pas faire grincer le parquet elle rejoint le salon pour récupérer sa baguette oubliée. Les lasagnes sont froides, le vin est tiède… Elle retourne dans la chambre comme une ombre. Elle s’installe, baguette à la main, qu’elle pose sur les draps de satin. Le corps tourné vers celui du soviétique qui irradie d’une douce chaleur.
Quelque-chose en elle lui disait d’abandonner ses craintes, d’abandonner ses mauvaises intentions avec. Quelque-chose lui disait de se glisser dans les bras du soviétique et de fermer les yeux, d’attendre des lendemains meilleurs. Mais treize année de secret, treize année d’angoisse à l’idée de tout ce qui pourrait s’effondrer si quelqu’un savait avait eut raison de sa santé mentale. La paranoïa était plus forte.
Ce n’est pas tant l’illégalité de la chose qui l’inquiète. Même si ça n’enchante pas la juriste, il faut le reconnaitre, elle a bien compris que parfois… pour des intérêts supérieurs que les lois ne pouvaient pas comprendre… on n’avait pas vraiment le choix. Non, ce qui l’inquiète c’est d’utiliser un sort qu’elle pourrait mal maitriser et altérer la mémoire du Majewski au dela de ce qu’elle souhaite effacer.
Parce qu’elle a beau dire, elle a beau vouloir se convaincre… Au dela de la crainte et des rancœurs il y a quelque-chose. Quelque-chose qu’aujourd’hui elle n’assume pas. Qu’elle ne comprend pas, même. C’est donc sûre d’elle mais le cœur douloureux que la brune lève doucement sa baguette et s’apprête à ensorceler d’un « oubliette » l’esprit du bel auror. Elle est concentrée, elle prend à cœur l’importance de ne pas abimer plus que nécessaire l’esprit du sorcier. Elle prend son temps, trop peut être…
Les yeux de Dimitri s’ouvrent brutalement, paralysant la brune assez pour qu’il se saisisse de son poignet et qu’il vienne écraser le poids de son corps contre le sien. Elle suffoque presque mais elle retrouve rapidement ses esprits. D’un coup de genou bien placé, la brune force le Russe a abandonner sa position. Voila que la colère revient :
- Ce n’était pas de l’hésitation. Oubliette !
Ses cheveux éparpillés sur l’oreiller, nue, le regard rivé sur le plafond, Calliope ne bouge pas. C’est tout juste si elle ose respirer. Concentrée sur la respiration de l’homme qui s’assoupit à côté d’elle, elle se demande comment elle va bien pouvoir procéder à partir de maintenant. L’avoir endormi à ses côtés, vigilance baissée, elle sait ce qu’elle a à faire…
Doucement, elle se lève et sur la pointe des pieds pour ne pas faire grincer le parquet elle rejoint le salon pour récupérer sa baguette oubliée. Les lasagnes sont froides, le vin est tiède… Elle retourne dans la chambre comme une ombre. Elle s’installe, baguette à la main, qu’elle pose sur les draps de satin. Le corps tourné vers celui du soviétique qui irradie d’une douce chaleur.
Quelque-chose en elle lui disait d’abandonner ses craintes, d’abandonner ses mauvaises intentions avec. Quelque-chose lui disait de se glisser dans les bras du soviétique et de fermer les yeux, d’attendre des lendemains meilleurs. Mais treize année de secret, treize année d’angoisse à l’idée de tout ce qui pourrait s’effondrer si quelqu’un savait avait eut raison de sa santé mentale. La paranoïa était plus forte.
Ce n’est pas tant l’illégalité de la chose qui l’inquiète. Même si ça n’enchante pas la juriste, il faut le reconnaitre, elle a bien compris que parfois… pour des intérêts supérieurs que les lois ne pouvaient pas comprendre… on n’avait pas vraiment le choix. Non, ce qui l’inquiète c’est d’utiliser un sort qu’elle pourrait mal maitriser et altérer la mémoire du Majewski au dela de ce qu’elle souhaite effacer.
Parce qu’elle a beau dire, elle a beau vouloir se convaincre… Au dela de la crainte et des rancœurs il y a quelque-chose. Quelque-chose qu’aujourd’hui elle n’assume pas. Qu’elle ne comprend pas, même. C’est donc sûre d’elle mais le cœur douloureux que la brune lève doucement sa baguette et s’apprête à ensorceler d’un « oubliette » l’esprit du bel auror. Elle est concentrée, elle prend à cœur l’importance de ne pas abimer plus que nécessaire l’esprit du sorcier. Elle prend son temps, trop peut être…
Les yeux de Dimitri s’ouvrent brutalement, paralysant la brune assez pour qu’il se saisisse de son poignet et qu’il vienne écraser le poids de son corps contre le sien. Elle suffoque presque mais elle retrouve rapidement ses esprits. D’un coup de genou bien placé, la brune force le Russe a abandonner sa position. Voila que la colère revient :
- Ce n’était pas de l’hésitation. Oubliette !
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
- pride:
- InvitéInvité
Re: the devil eats pasta and excels in comedy x #callimitri6
Lun 20 Sep 2021 - 14:36
Calliope aurait dû être plus vigilante. Hélas pour elle, tu n’es pas né de la dernière pluie et tu ne te laisses pas si facilement surprendre. Elle aurait dû s’y attendre, stagiaire ou pas, tu es auror, tu as reçu l'entraînement pour, et elle n’est pas habituée à ce genre de situation. Là il ne s’agit pas de faire de la paperasse sur un bureau, ou de juger celui qui aurait essayé d’en attaquer un autre. Non, maintenant c’est elle l’héroïne de cette situation qui tourne au vinaigre pour elle. N’est elle pas consciente de ce qu’elle fait ? La peur semble être suffisante pour motiver ce geste fou.
Trahison. Voilà ce qui résonne dans ta tête. Bafoué tu te sens alors que tu as toujours eu le sentiment que jamais tu ne lui as accordé sa confiance. Peut être que tu ne tombes que de plus haut à cause de ce dérapage. Sans doute es tu déçu. Attends- tu qu’elle ait confiance en toi ? Pensais tu qu’elle avait confiance en toi ? Tu as pourtant bien compris qu’elle était persuadée que tu allais la faire souffrir avec l’information que tu as récupérée… À croire que Calliope Muller a simplement décidé de te sous estimer.
Le sort part, mais manque largement sa cible. Tu pourrais lui montrer comment faire en sorte que ça n’arrive pas. Elle avait plutôt bien commencé avec son cou de genou, mais ce n’est pas suffisant pour que tu acceptes de prendre le sort de plein fouet. Tu passes à présent en mode auto défense, il n’y a plus rien qui compte. Tu te jettes à nouveau sur elle, tu ne lui laisseras pas la possibilité de te lancer un nouveau sort. Ce n’est pas difficile de récupérer sa baguette pour la prendre dans ta main et la pointer vers elle.
« Incarcerem »
Ta poitrine se lève rapidement des causes de l’effort fourni, ton coeur lui bat la chamade et semble avoir envie de se faire la malle d’une seconde à l’autre.
Absolument nu tu te redresses sur les genoux alors que la jeune femme se retrouve entravée au niveau des mains devant elle par le drap devenue une espèce de corde pour l’occasion.
« Tu as choisi de t’en prendre à la mauvaise personne. »
Tu es blessé. Il n’est pas impossible que ça se lise dans ton regard. Que comptait elle effacer de ta mémoire. Qu'aurait-elle fait si le sort avait marché plus que de raison. Tu jettes la baguette derrière toi. Elle ne va pas pouvoir la récupérer de sitôt, et c’est assez de temps pour que tu récupères la tienne ainsi que ton pantalon abandonné plus tôt. Tu ne la quittes pas des yeux malgré la rage froide qui t’habite.
« Pas la peine de me raccompagner, j’connais la sortie. »
Tu mets un coup de pied dans sa baguette pour l’éloigner que davantage et récupérant tes affaires tu prends la direction de la sortie.
Tu pourrais te retourner, oublietter celle qui a essayé de t'ôter tes souvenirs, lui faire oublier que tu possèdes ce secret sur elle, mais ça impliquerait détruire votre relation, ton égoïsme t’empêche de t’y résoudre.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
- » parchemins postés : 722
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1646
Re: the devil eats pasta and excels in comedy x #callimitri6
Lun 20 Sep 2021 - 19:12
Ce n'était pas de l'hésitation. Elle savait ce qu'elle faisait. Elle avait même contacté un homme peu recommandable pour pouvoir perfectionner ce sort et s'assurer de n'effacer que ce qu'elle souhaiter annihiler de la mémoire du Russe. Mais le fait est que Calliope n'est pas la sorcière la plus douée qui soit en magie. Ses compétences sont ailleurs, elle en est bien consciente. Le temps de concentration qu'il lui fallait pour réaliser correctement le sortilège avait joué contre elle.
Surprise que l'étudiant auror n'ouvre les yeux, la brune se paralyse une seconde. "Shit, shit, shit". C'est tout ce qu'elle est capable de penser à cet instant. Elle n'a pas le temps de réfléchir d'avantage qu'une lutte sournoise s'installe entre les deux amants et malgré les efforts de la Muller, son sortilège vient s'écraser au plafond et le Majewski reprend l'avantage sans difficulté aucune.
Dans d’autres circonstances, être nue et ligotée sur un lit pourrait être tout à fait intéressant mais le regard blessé de Dimitri est sans équivoque. Il ne joue pas. Il ne joue plus. Sa voix est ferme mais sent la rancoeur à pleins nez. Qu’est ce qu’il croyait ? Que tout était effacé ? Que tout était oublié ? Que d’un coup de baguette magique et parce qu’il avait connu son lit elle pourrait lui faire confiance les yeux fermé ? Etait il stupide ou simplement naïf ?
- Détache moi.
Mais le Russe se rhabille. Elle n’a pas l’intention de discuter avec lui. Pas comme ça. De toute manière il n’a pas l’air de vouloir discuter. Il se dirige vers la sortie et ironise sur celle-ci :
- Dimitri ! Détache moi !!!
La voix de la brune se fait hargneuse alors qu’elle comprend qu’il a bien l’intention de la laisse comme ça alors qu’il balance son pied dans sa baguette, l’envoyant à l’autre bout de la chambre et qu’il claque la porte.
Shit. Elle ferme les yeux une seconde, prend une profonde inspiration, essaye de calmer son palpitant qui s’est emballé. Elle s’est plantée. En beauté. Et elle sent la colère et la détresse se mêler au plus profond d’elle même. Elle qui pensait que ce soir elle serait libérée d’un poids. Ce n’était absolument pas le cas. C’était pire même. Elle venait de briser le peu de confiance qu’elle avait obtenu et pouvait considérer que ce plan tombait définitivement aux … oubliettes.
Elle ne pouvait pas rester dans cette situation. Lui sachant. Et elle allait devoir trouver un moyen de se débarrasser des draps qui enserrait son corps. D’un geste rageur, elle balance ses jambes hors du lit pour pouvoir s’assoir et se redresser, permettant à ses mains de bouger légèrement. Il lui faut plusieurs longues minutes à se tordre les poignets pour avoir un peu de marge et commencer à tirer, encore plusieurs minutes pour dégager sa main.
- Putain, qu’elle merde !!!
Surprise que l'étudiant auror n'ouvre les yeux, la brune se paralyse une seconde. "Shit, shit, shit". C'est tout ce qu'elle est capable de penser à cet instant. Elle n'a pas le temps de réfléchir d'avantage qu'une lutte sournoise s'installe entre les deux amants et malgré les efforts de la Muller, son sortilège vient s'écraser au plafond et le Majewski reprend l'avantage sans difficulté aucune.
Dans d’autres circonstances, être nue et ligotée sur un lit pourrait être tout à fait intéressant mais le regard blessé de Dimitri est sans équivoque. Il ne joue pas. Il ne joue plus. Sa voix est ferme mais sent la rancoeur à pleins nez. Qu’est ce qu’il croyait ? Que tout était effacé ? Que tout était oublié ? Que d’un coup de baguette magique et parce qu’il avait connu son lit elle pourrait lui faire confiance les yeux fermé ? Etait il stupide ou simplement naïf ?
- Détache moi.
Mais le Russe se rhabille. Elle n’a pas l’intention de discuter avec lui. Pas comme ça. De toute manière il n’a pas l’air de vouloir discuter. Il se dirige vers la sortie et ironise sur celle-ci :
- Dimitri ! Détache moi !!!
La voix de la brune se fait hargneuse alors qu’elle comprend qu’il a bien l’intention de la laisse comme ça alors qu’il balance son pied dans sa baguette, l’envoyant à l’autre bout de la chambre et qu’il claque la porte.
Shit. Elle ferme les yeux une seconde, prend une profonde inspiration, essaye de calmer son palpitant qui s’est emballé. Elle s’est plantée. En beauté. Et elle sent la colère et la détresse se mêler au plus profond d’elle même. Elle qui pensait que ce soir elle serait libérée d’un poids. Ce n’était absolument pas le cas. C’était pire même. Elle venait de briser le peu de confiance qu’elle avait obtenu et pouvait considérer que ce plan tombait définitivement aux … oubliettes.
Elle ne pouvait pas rester dans cette situation. Lui sachant. Et elle allait devoir trouver un moyen de se débarrasser des draps qui enserrait son corps. D’un geste rageur, elle balance ses jambes hors du lit pour pouvoir s’assoir et se redresser, permettant à ses mains de bouger légèrement. Il lui faut plusieurs longues minutes à se tordre les poignets pour avoir un peu de marge et commencer à tirer, encore plusieurs minutes pour dégager sa main.
- Putain, qu’elle merde !!!
Rp terminé
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
- pride:
Page 2 sur 2 • 1, 2
|
|