18 décembre 1991 ━ Rien ne se passe comme prévu. C’était un soir d’hiver qui aurait dû être bien tranquille dans la petite ville de Fort William, à l'ouest des Highlands écossais située au bord du Loch Linnhe.
Mr et Mrs McPrewett, alors enceinte de six mois et quelques, étaient allés passer la journée à la chute d’eau Steall Falls. Un lieu magnifique, qu’ils appréciaient particulièrement. Férus de randonnées tous les deux, l’état de Madame ne l’avait jamais empêcher de marcher et elle comptait bien continuer jusqu’à ce qu’elle n’arrive plus à promener son gros ventre de femme enceinte ! Certes, l'ascension jusqu’à la cascade s’était faite plus lente qu’à l’accoutumée et elle avait dû s’aider d’un bâton de marche mais, ils avaient pris le temps et avaient passé un doux moment, entre amoureux.
Mr Hasting McPrewett, 18 ans, demi-géant, ne passait jamais inaperçu surtout aux yeux des moldus ; ils expliquaient sa grande taille par un problème génétique lorsqu’on leur posait un peu trop de question ; une maladie orpheline et peu connue… En général, ça faisait rapidement taire les trop curieux, les moldus aimaient s’apitoyer sur le sort des autres mais n’aimaient pas compatir trop longtemps.
Mrs Eleonora McPrewett, jeune sorcière de 22 ans était tombée sous le charme de ce géant au cœur tendre. La jeune femme avait, malgré son jeune âge, déjà vécu beaucoup de déceptions amoureuses et personne avant Hasting n’avait réussi à lui donner confiance en elle.
Quand on voyait le couple côte à côte, on se disait qu’ils n’avaient rien à faire ensemble. Lui si grand et costaud et elle, si fine, frêle et petite. Et pourtant… Ils s’étaient trouvés et s’aimaient d’un amour infini. De cet amour, fut conçu un enfant et malgré les recommandations des médicomages de rester tranquille jusqu’à la naissance, Leonora n’écoutait pas, elle se sentait bien, il était hors de question qu’elle reste sans bouger ! Elle savait pourtant qu’il y avait des risques à mettre au monde un quart de géant, surtout quand on était aussi fine qu’elle.
Et ce fut justement au retour de cette belle balade, ce soir de décembre 1991, qu’elle se rendit compte que d'écouter les médecins aurait pu être une bonne idée… La nuit tombait tout juste quand elle commença à ressentir de violentes contractions, très douloureuses et qui, pour elle, arrivaient bien trop tôt. Elle pensa d’abord à de fausses contractions, qui seraient apparues parce qu’elle aurait mangé trop épicé mais le plat mangé ce soir-là était plutôt soft. Son mari, désemparé, envoya de suite un hibou à leur médicomage attitré mais, face à la détresse de sa femme, il douta que celui-ci arriverait assez vite. Il décida donc de se tourner vers une amie voisine et sage-femme magique qui arriva très rapidement.
Les nouvelles n’étaient pas bonnes, le travail avait commencé et le bébé prenait beaucoup de place. La poche des eaux ne s’était pas rompue et elle n’était même pas encore à sept mois de grossesse. La sage-femme essayait de tout faire pour ne pas montrer sa panique mais il était clair qu’elle ne pourrait pas faire cet accouchement seule et à domicile avec un prématuré quart de géant ! Il fallait à tout prix emmener Eleonora à l’hôpital et surtout pas à l’hôpital moldu, jamais ils ne sauraient faire face à cette situation… Transplaner était exclu vu l’état de la future mère, la seule chose encore possible tant qu’elle pouvait à peu près marcher était la poudre de cheminette mais c’était un moyen assez peu commun et peu apprécié pour arriver dans un hôpital. La sage-femme connaissait bien le directeur de l’endroit où elle emmenait Leonora, elle choisit donc d’arriver directement dans le bureau de celui-ci. Elle ne prit pas le temps de lui expliquer ce qu’il se passait, à la tête de Nora, il comprit bien vite qu’il y avait urgence.
Elle fut très vite prise en charge, on dû lui faire une césarienne pour faire sortir le bébé déjà très grand, trop grand… Malgré sa taille, il restait prématuré et fut emmené rapidement pour des soins. Nora quant à elle était épuisée, à bout de force ; elle avait perdu beaucoup d’énergie et surtout beaucoup de sang. Son mari était auprès d’elle, elle était sereine… Mais, les médicomages, malgré leurs prouesses médicales et magiques, n’arrivèrent pas à contenir l'hémorragie… Elle avait à peine pu voir son enfant, on lui avait mis dans les bras cinq minutes après la naissance avant de l’emmener pour les soins vitaux pour lui, et c’est dans les bras d’Hasting qu’elle s’éteignit.

1997 ━ Les mondes partagés. Apprendre à vivre à deux ne fut vraiment pas le plus évident pour les McPrewett. Hasting n’était pas prêt pour cela. Bien sûr qu’il avait voulu cet enfant, plus que tout au monde mais, jamais il n’avait imaginé qu’il se retrouverait seul pour l’élever. Il dû apprendre à préparer les biberons, à gérer les cris, les larmes, à appréhender le fait que son enfant était prématuré et ne se développerait peut-être pas normalement, qu’il pouvait aussi développer des malformations. Heureusement, rien à signaler de ce côté là si ce n’était un petit retard de croissance mais, cela se voit-il vraiment quand on a du sang de géant dans les veines ? Aux yeux des moldus, non, aux yeux d’Hasting, si… Pourtant, à trois mois, il fallait déjà habiller le petit avec des vêtements taille 1 an ! Malgré son très jeune âge et les épreuves qu’il avait déjà vécues, le petit semblait avoir un goût pour la vie fort prononcé et il se battait déjà pour donner le meilleur de lui-même.
Devant rapidement se résoudre au fait qu’il ne parviendrait pas à gérer totalement le petit plus son travail de pêcheur, Hasting dû faire appel à une aide extérieure. Bien qu’il ne voyait plus sa mère, Derdre, de façon aussi régulière qu’avant, il demanda à celle-ci de venir l’aider, à Fort William. Originaire de Norvège et n’ayant pas vraiment d’affinités avec le Royaume-Uni si ce n’était son défunt mari, elle avait quitté le pays très rapidement après la mort de celui-ci, elle hésita longtemps avant d’accepter. Mais le fait de connaître son petit-fils, de lui enseigner tout ce qu’elle savait sur les géants et de passer du temps avec les deux hommes restant dans sa vie, elle accepta. Elle savait cependant qu’elle devrait rester cachée aux yeux des autres personnes car en tant que géante, elle serait source de beaucoup de questionnements. Un sort fut employé malgré tout pour réduire sa taille au maximum aux yeux des autres et surtout aux yeux des moldus et elle et le petit Batholomé furent envoyés un peu plus à l’écart, dans une maison de campagne où ils ne seraient que peu dérangés. Hasting ne pouvait pas rentrer tous les soirs à cause du travail mais il faisait confiance à sa mère et prenait des nouvelles régulièrement, passant sur tous ses jours de repos voir son fils et parler avec lui, même s’il ne recevait que rarement de réponse. En effet, Derdre n’était pas du genre loquace - en bonne géante qui se respectait - et le petit ne semblait pas pressé de prononcer ses premiers mots. Il marcha assez vite cela dit, parvenant avec un peu de difficultés à soulever la masse de son corps. La parole semblait être un obstacle… Sans que personne ne comprenne vraiment pourquoi. Hasting ne put s’empêcher de se demander à plusieurs reprises si le fait de faire appel à sa mère pour l’éducation de son petit était une bonne idée. Les géants ne sont pas vraiment des créatures reconnues pour leur intelligence, sans vouloir manquer de respect à la matriarche de la famille.
Ils vécurent ainsi pendant près de six années, en entendant le son de la voix de Barth uniquement pour dire Papa, Nona ou Faim… Pour le reste, il arrivait à se faire comprendre en montrant du doigt. Ce fut Derdre qui lui fit “l’école” à la maison, école bien peu commune, il n'apprenait pas les mêmes choses que les enfants de son âge qui allaient dans une école moldue mais en même temps, il était un enfant peu commun. Elle faisait son possible pour apprendre à Barth ce qu’il avait besoin de savoir sans pour autant qu’il ait forcément besoin de parler. Elle voyait bien qu’il était intelligent et qu’il avait une soif de savoir malgré tout et, là où il était le plus doué, c’était dans les travaux manuels. Il avait une réelle dextérité dans les doigts, surtout pour un enfant de 6 ans aux doigts tous boudinés ! Il fabriquait toutes sortes de petits objets avec tout et n’importe quoi, il ramassait parfois des cailloux et des morceaux de bois en balade et il arrivait à confectionner des petites choses avec.
Après ces six années passées à aider son fils et à vivre loin de sa Norvège natale, Derdre commença à se lasser de devoir se cacher et d’avoir l’impression de ne pas avancer avec les problèmes de langage de son petit-fils. Elle-même ne parlait pas beaucoup mais tout de même, elle savait aligner une phrase complète et se faire comprendre sans avoir besoin d’une sorte de langage des signes. Elle annonça donc son départ à Hasting qui en fut très perturbé ; il allait devoir changer de vie afin de pouvoir continuer à s’occuper correctement de son fils. Il ne pourrait plus partir pêcher plusieurs jours en mer sans que cela n’ait d’impact. Mais que faire à Fort William à part pêcher ? Les opportunités d’emploi n’étaient pas bien nombreuses dans la petite ville.
Se torturant l’esprit pendant plusieurs semaines, Hasting pensa à sa femme, aux moments qu’ils avaient vécu ensemble et au fait que Barth ne connaissait rien de cette branche de la famille. Il n’avait jusqu’ici vécu que comme un pseudo-géant et n’avait aucune idée de ses racines maternelles… Et si c’était là la raison qui faisait que le petit ne parlait pas ? Si c’était simplement le manque de sa mère et de ses racines maternelles ?
Décision fut donc prise de quitter Fort Williams et de se diriger vers Inverness où vivait la famille d’Eleonora. Elle avait deux frères, ayant chacun des enfants ; cela serait bon également pour Barth de rencontrer d’autres personnes de son âge afin de se sociabiliser un peu. Ici, à part sa grand-mère et son père, il n’avait pas connu grand monde de plus. Et du coup, n’avait jamais vraiment joué avec d’autres enfants. Il serait bien sûr difficile d’expliquer aux non-initiés pourquoi un enfant de six ans faisait la taille d’un pré-ado mais ils s’en sortiraient, Hasting n’en doutait pas. Il pourrait mettre ça sur le dos de l’état prématuré de l’enfant, inventant qu’en général, cela créait des retards de croissance mais que, lié au même problème génétique que lui, cela avait eu l’effet inverse sur son fils. Et, ce ne serait pas réellement un mensonge… La génétique y était bel et bien pour quelque chose !

Septembre 2003━ L’entrée dans le vrai monde magique. Voilà 6 ans que la famille vivait à Inverness et, malgré sa grande taille et ses légers retards de langage, Barth s’était bien adapté. Vivre un peu avec ses cousins l’avait beaucoup aidé et il parlait maintenant normalement même s’il bégayait un peu parfois. Hasting s’était trouvé un nouvel emploi, aidé par son beau-frère, il travaillait désormais au sein du refuge animalier de Myrddin Wyllt. Il aidait à soigner toutes sortes de créatures et surtout à les attraper, sa grande taille étant un atout non négligeable pour venir à bout de certains animaux.
Cela faisait quelques semaines maintenant que Barth avait reçu sa lettre pour Poudlard. Il avait terriblement envie d’y aller et d’apprendre enfin de vrais sorts afin de pouvoir se défendre notamment face à ses cousins. L’enseignement magique fourni par Derdre n’était clairement pas à la hauteur pour un futur sorcier et son père n’avait jamais eu le temps de lui apprendre ce qu’il savait en termes de magie. Bien sûr, le jeune homme connaissait le monde magique et les façons de faire des sorciers ; il connaissait des sorts basiques utiles dans la vie de tous les jours mais son enseignement en la matière s’arrêtait là. Il avait donc été tout excité quand il s’était rendu à Londres, au Chemin de Traverse, avec son père pour acheter toutes les fournitures nécessaires à sa rentrée scolaire. L’idée d’aller vivre loin de sa famille le perturbait un peu en revanche.
Le Choixpeau envoya Bartholomé à Poufsouffle où il passa ses sept années d’études. Ses résultats étaient bons mais pas exceptionnels. Il aimait apprendre mais seulement s’il ne fallait pas trop forcer ! La connaissance l’intéressait, les efforts pour y parvenir, beaucoup moins. Il obtint tout de même ses BUSES et eut ainsi son laissez-passer pour l’Université d’Hungcalf. Le choix du cursus serait en revanche difficile, il savait que cette université était assez prestigieuse et qu’elle demandait du travail qu’il n’était pas certain d’avoir envie de réellement fournir.

Septembre 2010 ━ Welcome to University. ━ 2013 Après avoir réfléchi longtemps et avoir parlé avec son père de son avenir, Barth choisi de s’orienter vers les Sciences Occultes afin de potentiellement devenir fabriquant de baguettes magiques. Depuis toujours, il aimait travailler le bois et ce métier semblait donc tout indiqué pour lui malgré la difficulté que cela représentait. Également rêveur depuis toujours, il prit une option Astronomie afin d’avoir réellement la tête dans les étoiles !
Les premières années, ce fut difficile mais pas insurmontable ; malgré tout, Barth n’obtint pas ses D.U.C.s, il ne chercha même pas à passer des rattrapages ou à redouber car l’effort demandé était trop important pour lui, il fallait beaucoup travailler, dans une voie qui finalement ne lui plaisait pas plus que cela, et cela ne convenait pas vraiment à l’adolescent qui préférait sortir et concevoir des objets sur son temps libre plutôt que travailler ses cours. Il ne lui manquait pourtant pas beaucoup de points pour valider le diplôme mais c'était trop pour lui et Barth avait du mal à le supporter surtout que, plus il avançait dans les années d’études et moins il s’intéressait à ce qu’il apprenait. Il sentait que cette voie n’était pas faite pour lui, qu’il s’envenimait dans quelque chose qui ne lui ressemblait pas… Les sciences occultes pour un garçon plein de joie de vivre et rêveur… Ce n’était pas cohérent finalement… C’est donc après ces 3 années d’études qu’il quitta l’université au grand dam de son père qui ne comprenait pas qu’il s’arrête là après avoir été si bien lancé. Il fut malgré tout fier de voir que son fils ne quittait pas l’université pour ne rien faire de sa vie. En effet, son amour du bois et du travail manuel furent les plus forts et il se lança à son compte dans une petite entreprise de fabrications d’objets en bois. Il avait du talent, nul ne pouvait le nier. Il tenta à plusieurs reprise de se faire embaucher par des sociétés mais, malgré son savoir-faire, on lui reprochait toujours le fait de ne pas avoir assez de qualifications en sortilèges ; les seuls endroits où il aurait pu se faire embaucher, ç'aurait été chez les moldus ! Il avait quelques lacunes dans le domaine des enchantements de ses objets et c’était ça qui pêchait à chaque fois qu’il voulait se faire embaucher. Il n’aurait donc pas le choix, il devrait reprendre ses études un jour pour se perfectionner et être au sommet de son art. Mais, une chose était sûre, ce ne serait pas en sciences occultes !

2014 ━ Le grand amour, il est passé par ici, il repassera par là. Au cours de sa jeunesse, Barth a eu plusieurs petites aventures même s’il n’était pas forcément évident pour lui de se lier réellement avec les gens de par sa grande taille et son côté imposant. Malgré son cœur tendre, il se mettait lui-même des barrières, ayant peur de blesser la personne en la serrant trop fort ou ce genre de chose. Il fallait dire qu’il n’avait pas toujours conscience de sa force.
Puis, un matin de juillet 2014, alors qu’il se promenait à Londres, il la rencontra, elle… Une moldue, joueuse de basketball, 1m90, la taille idéale pour lui. Ils discutèrent longtemps avant de se revoir à plusieurs reprises de façon amicale. Elle lui plaisait vraiment… Il avait eu le coup de cœur pour elle. Bien sûr, elle fut surprise qu’il ne connaisse pas le basket ; même si ce n’était LE sport national, c’était quand-même connu de tout le monde… Bref, elle l’initia à ce sport et il apprécia. Il ne fallu pas longtemps pour que leur relation amicale ne se transforme en quelque chose de plus romantique. Malgré le fait qu’ils venaient de deux mondes différents, Barth était persuadé que ça pouvait marcher entre eux et qu’elle pourrait le comprendre. Quelques mois plus tard, il lui avoua qu’il l’aimait et elle lui annonça la réciproque ; le jeune homme était aux anges et il envisageait dès lors un avenir avec elle. Il patienta plusieurs mois encore avant de prendre la dure décision de lui avouer qu’il venait d’un monde dont elle ignorait tout. Certes, il fallait garder ça secret mais quand on envisage de passer sa vie avec quelqu’un, on ne peut pas cacher ce genre de chose. Malheureusement pour lui, la jeune femme paniqua ; elle le traita d’abord de menteur, il lui montra donc quelques sortilèges pour la convaincre mais cela ne fit qu’intensifier sa peur et elle prit la fuite… Il eut tout juste le temps de l’oubliéter alors qu’elle lui tournait le dos pour le quitter. Barth en eut le cœur brisé et il se promit, bien malgré lui, que jamais plus il ne tomberait amoureux d’une moldue.

2020 ━ Une belle rencontre ? Malgré les échecs pour trouver une entreprise avec qui travailler afin d’avoir un salaire fixe, Barth avait tout de même été repéré à plusieurs reprises pour son travail. C’est ainsi que ses bijoux en bois furent plusieurs fois été sollicités pour apparaître dans des shootings photo. Et ce fut lors de l’un d’eux qu’il rencontra une jeune femme haute en couleurs : Fiona. Il sympathisèrent et la jeune couturière proposa à Barth de l’aider pour ses choix vestimentaires. En effet, depuis toujours, s’habiller correctement avait été difficile pour notre quart de géant. Il avait souvent des pantalons trop courts, qu’il raccourcissait lui-même pour les faire passer pour des pantacourts ! La jeune femme proposa donc ses services pour créer des vêtements sur mesure à notre homme qui ne put pas refuser bien sûr et qui passa de suite une commande à la jeune femme. D’autres suivirent et, avec le temps, ils devinrent amis.

Juin 2021 ━ Le début d’une grande aventure ? Sa relation amicale avec Fiona est sur le point de subir une grande évolution puisqu’ils viennent tous deux de devenir propriétaire d’un local commercial à Myrddin Wyllt District ; ils vont y ouvrir une boutique commune : “Dé à coudre et Ciseaux à Bois” dans laquelle elle proposera ses vêtements sur mesure et lui ses bijoux, objets et accessoires en bois. C’était une grande aventure qui s’annonçait.
Malgré tout… Afin de valoriser son travail et pour perfectionner les objets qu’il fabrique, les deux jeunes gens se sont mis d’accord pour que Barth retourne à l’université afin de reprendre ses études et enfin obtenir un diplôme qui lui serait utile. Nul besoin pour lui d’aller jusqu’aux M.A.G.I.C.S, il faudrait juste qu’il ait la qualification nécessaire pour ce qu’il avait à fabriquer. Et cette fois-ci, il ferait son possible pour aller au bout des choses même si ça ne l’enchantait pas de retourner sur les bancs de l’école et de retourner en première année où il allait se retrouver avec des petits jeunes prépubères et instables ! Il a choisi cette fois-ci d’entrer en Architecture Enchantée, ce qui est bien plus logique par rapport à son parcours.