Au sein de ce Ministère tu as l'influence d'un jeune prince promis au poste de roi. L'héritage de la famille. C'est actuellement tout ce qui importe. Tout ce qui compte. Ta seule ambition. Ton obsession, aussi, on te l'a si souvent dit. Il y a cette chevalière marquée de la quatrième lettre de l'alphabet. Delgado. La chevalière transmise entre les générations, celle que tu fais rouler de ton pouce autour de ton annulaire. Distrait.
Les minces pavés sombres se marient aux murs de briques noires dont on peut d'admirer dans le reflet. Lieu à la fois étrange mais aussi détenteur de l'autorité suprême dans le monde de la magie. Le sang chaud, tu avances fièrement dans ces couloirs, accompagné d'un collègue, vous prenez la direction du premier ascenseur. Le hall d'entrée réquisitionne votre présence.
Ta baguette fourchue dans la manche gauche de ton long manteau noir, celui de la brigade d'élite. Tu le portes sans mésestime. Cravate réajustée à la sortie de cette boîte aux portes grillagées. Marche rapide, chaussures de cuir qui claquent le sol, rien ne saurait se mettre en travers de ton chemin. Sauf peut-être… "Elmonte". Ta voix n'est que sifflement, horrible serpent.
"Il y a plus d'amour qui tienne", l'assurance transparaît, tu toises sa petite taille de toute ta hauteur - en vérité tu n'es pas si grand, mais tu préfères croire le contraire. "Que me vaut ce déplaisir..?", questionnes-tu, lancinant. Le monde grouille autour de vous et sa présence ici n'a rien de rassurant. Le sourcil haussé, cet air de petit fonctionnaire con et imperturbable.
Le passé commun n'a rien laissé qui puisse être relevé comme un souvenir positif. Bien au contraire, union qui n'a jamais su s'officialiser. Tu as une forte rancœur envers elle. "Cette robe est affreuse". Les termes ne sont pas mâchés, ne sont pas là pour envelopper sa personne de douceur. Jamais plus. Es-tu seulement doux et attentionné ?
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Ola amor, I'm Here ! {vitor}
Ven 5 Nov 2021 - 15:05
Ola amor I'm here !
Elle avait de nombreuse fois emprunté cette cabine téléphonique afin de se rendre au ministère de la magie, machinalement elle composa les numéros afin de se rendre à l'endroit souhaité. Le brouhaha de l'endroit fit froncer les sourcils de la grymm, elle avait oublié a quel point cela pouvait être assourdissant. Ses talons martelait le sol parfaitement lustré, elle avait pour le coup aucunement réfléchit a sa tenue, une simple robe d'un vieux rose qu'elle appréciait tout particulièrement, un manteau en fausse fourrure noire qu'elle avait eu à noël dernier et des talon noir. Il est loin le temps où elle souhaitait plaire à l'homme qu'elle voudrait surprendre aujourd'hui. Jadis, elle attendait assise près de la statut de l'elfe de maison qui regardait le sorcier à grande allure dont sa baguette pointait vers le ciel. Elle n'avait jamais rien vu de plus que ce hall. Elle patientaient toujours ici et repartait accompagné. L'ambiance qui régnait avait tendance à l'étouffer, elle qui éprouve le besoin de grand air et de liberté. être derrière un bureau, avoir un métier de monsieur et madame tout le monde n'était pas dans ses projets, en réalité, elle n'en n'avait pas vraiment. Elle se laissait plutôt porter par le vent et ce qui pourrait se trouver sur son passage et probablement tout faire valser telle une tornade.
Elle avait des oreilles et des yeux partout et ce qu'elle avait entendu et vu ne lui avait pas plu. Avait-il déjà oublié leur histoire ? Vraisemblablement. Elle était blessée, piquée dans sa fierté, elle n'acceptait pas ce qu'il se passait, non elle refusait la réalité des choses. Et donna un coup de talon au sol pour faire entendre son mécontentement. Un homme vint vers elle vraisemblablement pour demander son chemin, mais elle balaya sa venue d'un mouvement de main pour le renvoyer plus loin. Pas le temps pour ce genre de personne. Elle ne devait en aucun cas le raté, et elle n'avait pas l'intention de perdre son temps si précieux auprès d'une personne sans intérêt. Elle savait par où il allait sortir et elle guettait, oui elle ne comptait pas le lâcher. Elle reconnut un collègue à lui passer la porte de l'ascenseur est et il n'était non loin derrière, elle se leva. Ses petites jambes dévala avec surprise les long mètre qui les sépares et apparut devant lui pour l'arrêter dans sa marche robotique, elle lui sourit, "ola amor".
Elle avait des oreilles et des yeux partout et ce qu'elle avait entendu et vu ne lui avait pas plu. Avait-il déjà oublié leur histoire ? Vraisemblablement. Elle était blessée, piquée dans sa fierté, elle n'acceptait pas ce qu'il se passait, non elle refusait la réalité des choses. Et donna un coup de talon au sol pour faire entendre son mécontentement. Un homme vint vers elle vraisemblablement pour demander son chemin, mais elle balaya sa venue d'un mouvement de main pour le renvoyer plus loin. Pas le temps pour ce genre de personne. Elle ne devait en aucun cas le raté, et elle n'avait pas l'intention de perdre son temps si précieux auprès d'une personne sans intérêt. Elle savait par où il allait sortir et elle guettait, oui elle ne comptait pas le lâcher. Elle reconnut un collègue à lui passer la porte de l'ascenseur est et il n'était non loin derrière, elle se leva. Ses petites jambes dévala avec surprise les long mètre qui les sépares et apparut devant lui pour l'arrêter dans sa marche robotique, elle lui sourit, "ola amor".
Codage par Libella sur Graphiorum
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Re: Ola amor, I'm Here ! {vitor}
Jeu 23 Déc 2021 - 17:28
Ola amor I'm here !
Elle avait envie de profiter de cette tension entres eux pour poser sa main sur le torse du beau brun, elle tourna autour de lui pour l'examiner de plus près, elle savait que le contact de sa paume allait réduire le Brésilien. Elle le faisait exprès l'espagnole, son sourire taquin sur son visage de poupée se dessinait a mesure qu'elle redécouvrirait le regard empreint de rancœur de son ex compagnon. Elle ne parvint pas à se retenir un minuscule rire face au ton qu'il employait face à elle. Elle manifesta un visage faussement triste en basculant sa tête sur le côté. Qu'il était dur avec elle mais elle n'en n'avait rien a faire...presque rien à faire.
Le "compliment" sur sa robe valut un rapide coup d'œil sur le vêtement en question, le regard sombre et brillant de la grymm se posa sur le brigadier. "Pourtant tu te plaisais à la retirer" Elle ne rajouta pas "jadis", se serait une perche tendu pour lui qui rappelle que cela appartenait au passé alors qu'il hante encore ses nuits par moment, après tout, il a enfreint les règles, si ce n'est la plus importante selon elle qu'il ne devait transgresser : s'attacher. Et le lui faire savoir. Sa remarque n'allait pas lui plaire mais elle s'en délectait.
Elle éluda intentionnellement sa question déplaisante même si elle en était amusée, elle tenait à garder un certains suspens et à le faire bouillonner de l'intérieur, sa visite n'était pas pleins de courtoisies et il le savait. Mais elle allait le faire languir un peu plus. "Le hasard fait bien les choses…" il n'y avait rien d'hasardeux de le croiser ici, elle le voulait, elle voulait le voir, voulait le piquer, lui faire mal comme elle a eu mal autrefois.
Le "compliment" sur sa robe valut un rapide coup d'œil sur le vêtement en question, le regard sombre et brillant de la grymm se posa sur le brigadier. "Pourtant tu te plaisais à la retirer" Elle ne rajouta pas "jadis", se serait une perche tendu pour lui qui rappelle que cela appartenait au passé alors qu'il hante encore ses nuits par moment, après tout, il a enfreint les règles, si ce n'est la plus importante selon elle qu'il ne devait transgresser : s'attacher. Et le lui faire savoir. Sa remarque n'allait pas lui plaire mais elle s'en délectait.
Elle éluda intentionnellement sa question déplaisante même si elle en était amusée, elle tenait à garder un certains suspens et à le faire bouillonner de l'intérieur, sa visite n'était pas pleins de courtoisies et il le savait. Mais elle allait le faire languir un peu plus. "Le hasard fait bien les choses…" il n'y avait rien d'hasardeux de le croiser ici, elle le voulait, elle voulait le voir, voulait le piquer, lui faire mal comme elle a eu mal autrefois.
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Re: Ola amor, I'm Here ! {vitor}
Mer 29 Déc 2021 - 12:15
amor.
L'envers de sa main se pose sur la chemise qui recouvre ton torse. Geste curieux dès lors qu'il rappelle à ta mémoire cette relation passée. Il y a une tension difficile à soutenir. Jeux dangereux qu'elle vient attiser sans vergogne. Ton échine frissonne, longuement, elle tourne autour de toi. Tu n'es donc qu'une proie pour elle ? La belle espagnole sait ce qu'elle fait. A n'en pas douter.
Le soldat reste sur ses gardes. Elle sourit, elle balaie tes menaces d'un délicat dédain. Elle n'a que faire de ton sarcasme. Sa tête penchée, la mine grise, tu pourrais croire que tu l'as touché. Ce n'est pas le cas, pas totalement du moins. Tu en es bien conscient. A ton amabilité à propos de sa robe elle renchérit du côté de l'intime. Plutôt bien trouvé. Tu préfères le rictus.
"Il est vrai, tu ne t'en es jamais plaint par ailleurs". Tu essaies de retourner la situation comme tu le peux. Il faut dire que rien n'est aisé pour toi face à cette jeune femme dont l'assurance est démultipliée. Tes poings se resserrent. Aurait-elle la réponse à tout ? Tu ne le crois pas. "Tu as omis de préciser que j'aimais, jadis, la retirer". Tu n'es pas tendre. Tu insistes.
Le cuir de tes chaussures glisse bruyamment contre le sol pavé du Ministère. Un pas en arrière pour te détacher de ton influence. Elle t'énerve, oui, elle réussit là où bon nombre échouent. D'autant qu'elle s'y prend à merveille. Il en faut plus désormais pour que la tête brûlée que tu incarnes ne parte au quart de tour.
"Sonita, même si cela me fait beaucoup de mal de le dire, je dois te reconnaître l'intelligence pour qualité. Je ne crois pas que tu sois venue ici pour rien. Au contraire". Tu contournes sa présence, un pas devant, tu t'immobilises. Pas même un regard. "Tu es une femme perfide, Elmonte, tu essaies de me faire payer mon attachement passé". Tu entames une marche dans la direction opposée.
Le soldat reste sur ses gardes. Elle sourit, elle balaie tes menaces d'un délicat dédain. Elle n'a que faire de ton sarcasme. Sa tête penchée, la mine grise, tu pourrais croire que tu l'as touché. Ce n'est pas le cas, pas totalement du moins. Tu en es bien conscient. A ton amabilité à propos de sa robe elle renchérit du côté de l'intime. Plutôt bien trouvé. Tu préfères le rictus.
"Il est vrai, tu ne t'en es jamais plaint par ailleurs". Tu essaies de retourner la situation comme tu le peux. Il faut dire que rien n'est aisé pour toi face à cette jeune femme dont l'assurance est démultipliée. Tes poings se resserrent. Aurait-elle la réponse à tout ? Tu ne le crois pas. "Tu as omis de préciser que j'aimais, jadis, la retirer". Tu n'es pas tendre. Tu insistes.
Le cuir de tes chaussures glisse bruyamment contre le sol pavé du Ministère. Un pas en arrière pour te détacher de ton influence. Elle t'énerve, oui, elle réussit là où bon nombre échouent. D'autant qu'elle s'y prend à merveille. Il en faut plus désormais pour que la tête brûlée que tu incarnes ne parte au quart de tour.
"Sonita, même si cela me fait beaucoup de mal de le dire, je dois te reconnaître l'intelligence pour qualité. Je ne crois pas que tu sois venue ici pour rien. Au contraire". Tu contournes sa présence, un pas devant, tu t'immobilises. Pas même un regard. "Tu es une femme perfide, Elmonte, tu essaies de me faire payer mon attachement passé". Tu entames une marche dans la direction opposée.
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