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I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Dim 18 Avr 2010 - 21:43
Sean
Robert
Date et lieu de naissance : 31 octobre 1986. Nationalité : Anglaise Issu(e) d'une famille : Socier depuis des génération Classe sociale : riche Options choisies : DCFM Patronus : x Baguette : 18 cm, noisiettier, poil de griffon |
Me, Myself & I.
.
Musclés, les cheveux foncés, les yeux bruns et remplis de vie. J’ai une belle apparence. Je le sais. On me dit que je suis beau, mais je ne sais pas si c’est ma popularité qui fait dire ça ou si c’est vrai. Mais j’aime soigner mon apparence et j’en suis fier. Je fais mon entrainement physique assidument et ne lésine par pour avoir de beaux vêtements. Je n'ai pas la grosse tête, je sais que je suis connu mais je suis aussi un mec normal qui prend une douche, a de la difficulé avec ses cours de sortilège et qui aime boire un coup. Je projette une attitude nonchalante qui parfois est mal perçu. J’ai l’air hautin, mais ce n’est pas le cas, on dit cela de moi simplement car je suis célèbre. Ceux qui me connaissent de Poudlard savent que j’ai toujours été ainsi : je ne m’en fait simplement pas avec la vie. Je suis par contre minutieux dans tout ce que j’entreprends et lorsque je donne ma parole, je ne me rétracte jamais. Fiable, rieur, amical, enjoué, je suis un bon ami. Je suis un grand blageur avec mes amis et d'une très bonne oreille. Toujours la pour celui qui en a besoin, même si c'est un inconu, Par contre, je n’aime pas me faire marcher sur les pieds et je suis arrogant parfois. Lorsque je suis saoul, j’ai tendance à être facilement vexée et devient très amical auprès des filles. J’ai mis de côté l’amour de ma vie, et combler mon besoin sexuel en filles d’un soir, je suis en mal d’amour. Celui avec un grand A, celui qui donne des frissons, celui qui fait perdre la tête, celui qui rend fou. Je ne l’ai jamais connu. Je ne l’ai jamais connu. Ni lorsque j’étais à Poudlard, ni lorsque j’étais en France. J’espère le connaitre un jour, j’ai arrêté de le chercher. Un jour il viendra, c’est tout ce que je sais. Donc je crois en l’amour, mais ne l’ai jamais connu. Je ne dis pas non pourtant aux aventures d’un soir.
Raconte-moi Une Belle Histoire.
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Je m’appelle Sean Robert. Mon père s’appelle Michel, ma mère Élie. Nous sommes des sorciers depuis des générations, sans pourtant être des sangs purs. J’ai deux sœurs. La plus jeune, Willow. Elle est tête en l’air, dans les nuages, dans son monde, dans sa bulle. Parfois elle est plus dans son imaginaire que dans le vrai monde et cela m’inquiète. C’est une artiste, je ne la comprends pas toujours, mais c’est ainsi que je l’aime. Samyra, elle aussi plus jeune que moi, mais plus vieille que Willo. C’est une cracmol… Coup dur pour une famille de sorcier, qui prit quelque temps à gober. Mes parents avaient appris à s’y faire. Nous avions toujours soutenu ma sœur malgré sa différence, nous ne voulions justement pas qu’elle se sente ainsi. Mais lorsqu’elle apportait ses amis à la maison… C’était toujours un peu le chaos. Bien que nous avions fait quelques gaffes, personne dans l’entourage de Samyra ne se doutait de notre vraie nature. Nous nous sommes donc équipés d’un téléphone et d’un ordinateur pour elle, ainsi elle était en contact avec ses amis sans paraître pour une asociale. Bien qu’elle soit encore un peu complexée par son manque d’atout magique, jamais ma sœur ne fut déroger de la famille et nous nous sommes battu bien longtemps auprès de mes oncles et mes tantes pour qu’elle soit traitée normalement. Maintenant âgée de 20 ans, je peux certifier que Samyra fut un enfant heureux dans le monde des mordus.
11 Ans, j’entrai à Poudlard avec une idée en tête : faire l’équipe de Quiddich. Car OUI, du Quiddich j’en mange depuis que j’ai trois ans. Livres, partie avec des amies, écoute radiophonique, affiche dans la chambre, tout y était…! Mes parents m’ont toujours épaulée dans ce désir et furent plus qu’heureux d’apprendre, à mes treize ans, mon acceptation en tant que poursuiveurs chez les Gryffondor. C’est lorsque McGonnagall, la directrice, vint me féliciter que je compris mon talent. On me disait souvent que j’étais bon. Mais venant d’ami, comment être sur de la vérité. Nous étions devenus l’équipe à battre, j’étais devenue le joueur à vaincre. Je travaillais sans cesse pour ces victoires, mes notes en ont souffert. Ma chance fut-elle que lors de ma sixième année, le père d’un joueur de Poufsouffle vint à un match de son fils. Il était recruteur pour les équipes de Quiddich mondiale. Et il m’a remarqué. C’est ainsi que je devins joueur de Quiddich professionnel. Je n’avais pas de parcours extraordinaire, ni d’aide pour y parvenir. Seuls mon talent et mes efforts eurent raisons de ma volonté à faire de ce sport de ma vie.
Pour ma dernière année, je dus donc déménager. Adieu Poudlard, tu me manqueras beaucoup. Bien sûr que non je ne vous oublierai pas les amis! Merci pour les souhaits de bon succès professeur. Je me retrouvai donc à Beauxbâtons, dans un collège que je ne connaissais que de noms –après tout, ils avaient fait le tournoi des trois sorciers à Poudlard!- et je ne parlais même pas la langue dans laquelle on enseignait. La majorité de mon été fut donc des cours intensifs de français et beaucoup d’entraînement en vue de la saison de Quiddich qui arrivait. En automne j’étais devenue parfais bilingue et était le nouveau visage de ce collège. La nouvelle avait rapidement fait le tour de l’école sur qui j’étais et le pourquoi de ma venue. C’est pourquoi je me fis des amis rapidement. Ami, c’est rapidement dit. Disons que la plus part des personnes avec qui je me tenais me parlait à cause de mon statut, mais à vrai dire je m’en fichais totalement. Ils pouvaient bien être des hypocrites, notre amitié de survivrait simplement pas à la sortie du collège et je me serais senti moins seul pendant un temps. Beauxbâtons me réserva plusieurs belles surprises. Déjà les lieux. L’école était vachement plus luxueuse, les jardins étaient grands et inondés de soleil pratiquement tous les jours –grand changement avec l’Angleterre!- et les plats cuisinés étaient simplement délectables. Bien que beaucoup d’élèves étaient des gosses de riches, je me suis fait de bons et loyaux amis qui me restent encore fidèles jusqu’à ce jour. Et les filles! Que dire des filles! Magnifiquement belle, intelligente et bornée… Je dois avouer avoir usé de mon statut pour en avoir une ou deux dans mes bras le temps d’un soir. J’eus une conquête qui dura plusieurs mois, mais Malory m’avait quittée pour aller avec un amant plus attentif et présent que moi. Je ne pouvais lui en vouloir, j’avais été un piètre petit-ami tout au long de notre relation. Car il faut le dire, je n’avais pas déménagé en France que pour poursuivre mes études. En collaboration avec la direction, je réussissais à faire ma dernière année d’étude tout en assistant aux pratiques et aux parties de Quiddich de l’équipe de France.
Notre année fut phénoménale. Nous nous rendîmes même jusqu’à la coupe du monde où la coupe nous fila entre les doigts. Mais ce n’était pas une défaite qui allait écraser le morale de notre équipe. Nous avions on capitaine motivant et une équipe qui se soutenait grandement. À peine avais-je gradué de Beauxbâtons que nous nous préparions pour la saison prochaine. Les journées de dur labeur et les nombreuses pratiques portèrent fruits; je venais d’avoir dix-neuf ans et je venais d’empocher le titre de meilleure équipe mondiale en Quiddich. Que demander de mieux? Ma troisième saison fut tout aussi intense, mais ma solitude me rattrapait. J’avais encore plusieurs amis avec qui je parlais et je passais du bon temps. Mais je ne partageais pas ma vie avec quelqu’un et cela me pesait. Depuis Malory, aucune fille n’avait été stable avec moi. Plusieurs aventures d’un soir, mais c’était plus des baises qu’un acte réel d’amour. Je voulais aimer. Je voulais savoir ce qu’était aimé. Donc entre les pratiques, les parties à jouer et tout le tralala promotionnel obligé, je tentais de trouver mon âme sœur. Bien mal servi est le cœur lorsque l’amour est cherché. Toutes mes tentatives furent de cuisants échecs. Je passai la plupart de ma troisième saison en peine d’amour ou la tête remplie de confusion face aux yeux d’une nouvelle brune qui était entrée dans ma vie. Ma qualité de jeu fut largement affectée. J’eu droit à une –que dis-je plusieurs!- rencontre avec les administrateurs de l’équipe. Lorsqu’on me menaça de renvoi faute de performance, je mis ma quête d’amour à la poubelle : ma carrière avait beaucoup plus d’importance. Je retrouvais ma passion pour le Quiddich à la même fréquence où je laissais tomber mes recherches. Vingt ans, j’eus ma deuxième coupe du monde. Et je devins une célébrité en Europe, tout comme mes coéquipiers. Je dois avoir que ce côté, je l’ai particulièrement apprécier.
Mes parents habitaient encore Londres, mais venaient très souvent me voir durant leurs vacances. Ma maison leur est toujours ouverte.. Ma sœur avait décidé de continuer ses études dans le monde des mordus et étudie maintenant pour devenir neurochirurgienne. Découper des gens c’est son truc! Je suis très heureuse qu’elle se soit affirmée du côté des mordus et qu’elle ait réussis à percer de cette façon. Par contre, lorsqu’elle vient me voir, elle adore venir me voir jouer et a un réel intérêt pour le Quiddich, comme toute personne qui ait évolué dans une maison de magicien. Willow elle a terminé l’école depuis six mois. Elle ne savait pas ce qu’elle voulait faire plus tard. Elle a donc mis un sac à dos sur ses épaules et est partie découvrir le monde. Aux dernières nouvelles elle est en Amérique et fréquente un sorcier de New York. J’ai bien hâte de la voir, il y a longtemps que je ne l’ai pas vu.
Enfin bref, à mes vingt-deux ans, j’étais devenue un membre établis de l’équipe. On parla quelques mois de m’échanger contre un bulgare, mais je compris rapidement que ce n’était pas une réelle décision de l’entraîneur et que c’était une requête des Bulgares qui s’étaient retrouvés dans les mains d’un journaliste véreux. Maintenant mes histoires de cœurs mis de côté, j’avais le vent dans les voiles. Mon jeu s’affinait et j’étais très appréciée de l’équipe et des fans. J’étais aux anges. Vint alors Yaroslav Kostynak de l’équipe russe.
Je me souviendrais toujours de ce match. C’était le 13 novembre et si nous gagnions ce match nous étions assurés d’une place dans la course aux séries pour la coupe du monde : nous voulions gagné. Le seul problème c’est que la délégation. Russe vivait le même ultimatum. Nous étions le match à ne pas manquer. Les billets s’étaient vendus en moins de cinq minutes. La France menait par trois points, ce qui n’est pas beaucoup. S’il y a quelque chose de magnifique dans le Quiddich c’est que rien n’est joué jusqu’à ce que l’attrapeur empoigne le vif d’Or. La partie n’était pas gagnée d’avance. Jordan, notre attrapeur venait de feindre d’avoir vu le vif d’or, déboussolant ainsi l’adversaire. Alors que le regard de la foule était dirigé vers la chaude lutte qui se passait entre Jordan et le Russe, Yaroslav Kostynak, un batteur de l’équipe adverse envoya un cogna direct sur ma jambe. Après un crac sonore et un tremblement intérieur désagréable, je tombai de mon balai sans chance de m’attraper à quoi que ce soit. La chute fut aussi lente que vite. J’avais l’impression de tout vivre au ralenti et que tous les gestes qui étaient fait autour de mois étaient irréel. Pourtant, le sol s’approchait à une vitesse qui annonçait un très grand dommage pour mot corps, sinon la mort. C’est alors que je sentis un vide s’installer dans le fond de mon ventre et une soudaine envie de vomir. Au dernier moment, Jordan avait dérivé de sa trajectoire pour venir me récupérer; je me retrouvai alors plié en deux sur le bout d’un balai de bois. L’attrapeur russe avait beau s’égosiller en l’air, le vif d’or entre les doigts, tous les regards furent braqués vers moi tandis que je sombrai dans l’inconscience. Le lendemain on annonçait dans les journaux que la victoire avait été donnée à l’équipe de France puisque le coup que Yaroslav m’avait porté avait été vicieux et antisportif. Il fut d’ailleurs exclu pour la saison et toute la Russie lui en avait largement voulu. La suite de l’article parlait de moi, pauvre joueur de Quiddich dans la vingtaine qui ne pourrais pas continuer la saison : blessé pour un minimum de six mois, soit le reste de la saison. J’encourageai mon équipe dans les estrades; présents dans les pratiques et les parties. Mais nous ne remportâmes pas la coupe. Je ne me juge pas essentielle à l’équipe, mais je suis sûr que ce qui s’était passé sur le terrain le 13 novembre avait ébranlé chacun de nous.
Ma jambe aurait dû être guéri en été. Aurait. Même la magie à ses limites, tout sage le dit. Je l’ai expérimenté d’une difficile de façon. Malgré les potions, les atèles magiques et autres traitement, ma jambe n’avait pas totalement guéris, ni les muscles à l’intérieur. J’étais sur le banc encore pour la moitié de la saison. Cette annonce fit renvoyer officiellement Yaroslav de la ligue mondiale et fait faire une crise de panique à mon entraîneur. Après de longues discussions avec mon agent et l’administration, on m’assura que je restais dans l’équipe et qu’ils allaient attendre mon retour. Je devais donc prendre l’année qui veniat pour me rétablir, m’entraîner et me remettre en forme. Pendant ce temps, j’aurais un remplaçant. Voulant montrer le bon exemple, l’équipe me proposa de m’inscrire à l’université. Ainsi, on lancerait le message positif aux plus jeunes fans : les études restent importantes malgré le sport. Retourné sur les bancs d’école au début m’avait paru peu reluisant. Mais à force d’y penser, j’ai décidé d’accepter. J’allais pouvoir reprendre du mieux sans pour autant me torturer à regarder les pratiques de mon équipe. Je choisis donc de revenir pour un an dans mon pays natal, histoire de me rapprocher de ma famille qui me manquait énormément. Après m’être remis une passe saisonnière pour les matchs de l’équipe de France, je retournai en Anglettre : Hungcalf m’ouvrant les portes à une nouvelle vie, du moins pour un an.
Donc, pour faire une histoire courte, je m’appelle Sean, je suis un joueur de Quiddich professionnel. J’ai un très bon compte en banque vut le salaire qu’on me versait en France. J’ai une blessure à la jambe qui m’empêche de jouer. Je suis en mal d’amour. Je parle couramment l’anglais, le Français, le Bulgare, l’Espagnol et l’Allemand. J’aime le chocolat, le thé et le nougat. J’aime la pluie quand elle tape sur les carreaux d’une vitre. Je déteste les bas de laine et le caramel qui collent sur les dents. Je cherche le nom d’une chanson depuis trois ans et j’ignore où je l’ai entendu. J’ai une bonne connaissance générale, mais je déteste argumenter sur l’actualité. J’aime lire, mais beaucoup plus faire du sport. Et maintenant, je suis un élève d’Hungcalf pour un an et je compte bien vivre ce que mon rythme de vie exigeant m’empêchait de faire.
11 Ans, j’entrai à Poudlard avec une idée en tête : faire l’équipe de Quiddich. Car OUI, du Quiddich j’en mange depuis que j’ai trois ans. Livres, partie avec des amies, écoute radiophonique, affiche dans la chambre, tout y était…! Mes parents m’ont toujours épaulée dans ce désir et furent plus qu’heureux d’apprendre, à mes treize ans, mon acceptation en tant que poursuiveurs chez les Gryffondor. C’est lorsque McGonnagall, la directrice, vint me féliciter que je compris mon talent. On me disait souvent que j’étais bon. Mais venant d’ami, comment être sur de la vérité. Nous étions devenus l’équipe à battre, j’étais devenue le joueur à vaincre. Je travaillais sans cesse pour ces victoires, mes notes en ont souffert. Ma chance fut-elle que lors de ma sixième année, le père d’un joueur de Poufsouffle vint à un match de son fils. Il était recruteur pour les équipes de Quiddich mondiale. Et il m’a remarqué. C’est ainsi que je devins joueur de Quiddich professionnel. Je n’avais pas de parcours extraordinaire, ni d’aide pour y parvenir. Seuls mon talent et mes efforts eurent raisons de ma volonté à faire de ce sport de ma vie.
Pour ma dernière année, je dus donc déménager. Adieu Poudlard, tu me manqueras beaucoup. Bien sûr que non je ne vous oublierai pas les amis! Merci pour les souhaits de bon succès professeur. Je me retrouvai donc à Beauxbâtons, dans un collège que je ne connaissais que de noms –après tout, ils avaient fait le tournoi des trois sorciers à Poudlard!- et je ne parlais même pas la langue dans laquelle on enseignait. La majorité de mon été fut donc des cours intensifs de français et beaucoup d’entraînement en vue de la saison de Quiddich qui arrivait. En automne j’étais devenue parfais bilingue et était le nouveau visage de ce collège. La nouvelle avait rapidement fait le tour de l’école sur qui j’étais et le pourquoi de ma venue. C’est pourquoi je me fis des amis rapidement. Ami, c’est rapidement dit. Disons que la plus part des personnes avec qui je me tenais me parlait à cause de mon statut, mais à vrai dire je m’en fichais totalement. Ils pouvaient bien être des hypocrites, notre amitié de survivrait simplement pas à la sortie du collège et je me serais senti moins seul pendant un temps. Beauxbâtons me réserva plusieurs belles surprises. Déjà les lieux. L’école était vachement plus luxueuse, les jardins étaient grands et inondés de soleil pratiquement tous les jours –grand changement avec l’Angleterre!- et les plats cuisinés étaient simplement délectables. Bien que beaucoup d’élèves étaient des gosses de riches, je me suis fait de bons et loyaux amis qui me restent encore fidèles jusqu’à ce jour. Et les filles! Que dire des filles! Magnifiquement belle, intelligente et bornée… Je dois avouer avoir usé de mon statut pour en avoir une ou deux dans mes bras le temps d’un soir. J’eus une conquête qui dura plusieurs mois, mais Malory m’avait quittée pour aller avec un amant plus attentif et présent que moi. Je ne pouvais lui en vouloir, j’avais été un piètre petit-ami tout au long de notre relation. Car il faut le dire, je n’avais pas déménagé en France que pour poursuivre mes études. En collaboration avec la direction, je réussissais à faire ma dernière année d’étude tout en assistant aux pratiques et aux parties de Quiddich de l’équipe de France.
Notre année fut phénoménale. Nous nous rendîmes même jusqu’à la coupe du monde où la coupe nous fila entre les doigts. Mais ce n’était pas une défaite qui allait écraser le morale de notre équipe. Nous avions on capitaine motivant et une équipe qui se soutenait grandement. À peine avais-je gradué de Beauxbâtons que nous nous préparions pour la saison prochaine. Les journées de dur labeur et les nombreuses pratiques portèrent fruits; je venais d’avoir dix-neuf ans et je venais d’empocher le titre de meilleure équipe mondiale en Quiddich. Que demander de mieux? Ma troisième saison fut tout aussi intense, mais ma solitude me rattrapait. J’avais encore plusieurs amis avec qui je parlais et je passais du bon temps. Mais je ne partageais pas ma vie avec quelqu’un et cela me pesait. Depuis Malory, aucune fille n’avait été stable avec moi. Plusieurs aventures d’un soir, mais c’était plus des baises qu’un acte réel d’amour. Je voulais aimer. Je voulais savoir ce qu’était aimé. Donc entre les pratiques, les parties à jouer et tout le tralala promotionnel obligé, je tentais de trouver mon âme sœur. Bien mal servi est le cœur lorsque l’amour est cherché. Toutes mes tentatives furent de cuisants échecs. Je passai la plupart de ma troisième saison en peine d’amour ou la tête remplie de confusion face aux yeux d’une nouvelle brune qui était entrée dans ma vie. Ma qualité de jeu fut largement affectée. J’eu droit à une –que dis-je plusieurs!- rencontre avec les administrateurs de l’équipe. Lorsqu’on me menaça de renvoi faute de performance, je mis ma quête d’amour à la poubelle : ma carrière avait beaucoup plus d’importance. Je retrouvais ma passion pour le Quiddich à la même fréquence où je laissais tomber mes recherches. Vingt ans, j’eus ma deuxième coupe du monde. Et je devins une célébrité en Europe, tout comme mes coéquipiers. Je dois avoir que ce côté, je l’ai particulièrement apprécier.
Mes parents habitaient encore Londres, mais venaient très souvent me voir durant leurs vacances. Ma maison leur est toujours ouverte.. Ma sœur avait décidé de continuer ses études dans le monde des mordus et étudie maintenant pour devenir neurochirurgienne. Découper des gens c’est son truc! Je suis très heureuse qu’elle se soit affirmée du côté des mordus et qu’elle ait réussis à percer de cette façon. Par contre, lorsqu’elle vient me voir, elle adore venir me voir jouer et a un réel intérêt pour le Quiddich, comme toute personne qui ait évolué dans une maison de magicien. Willow elle a terminé l’école depuis six mois. Elle ne savait pas ce qu’elle voulait faire plus tard. Elle a donc mis un sac à dos sur ses épaules et est partie découvrir le monde. Aux dernières nouvelles elle est en Amérique et fréquente un sorcier de New York. J’ai bien hâte de la voir, il y a longtemps que je ne l’ai pas vu.
Enfin bref, à mes vingt-deux ans, j’étais devenue un membre établis de l’équipe. On parla quelques mois de m’échanger contre un bulgare, mais je compris rapidement que ce n’était pas une réelle décision de l’entraîneur et que c’était une requête des Bulgares qui s’étaient retrouvés dans les mains d’un journaliste véreux. Maintenant mes histoires de cœurs mis de côté, j’avais le vent dans les voiles. Mon jeu s’affinait et j’étais très appréciée de l’équipe et des fans. J’étais aux anges. Vint alors Yaroslav Kostynak de l’équipe russe.
Je me souviendrais toujours de ce match. C’était le 13 novembre et si nous gagnions ce match nous étions assurés d’une place dans la course aux séries pour la coupe du monde : nous voulions gagné. Le seul problème c’est que la délégation. Russe vivait le même ultimatum. Nous étions le match à ne pas manquer. Les billets s’étaient vendus en moins de cinq minutes. La France menait par trois points, ce qui n’est pas beaucoup. S’il y a quelque chose de magnifique dans le Quiddich c’est que rien n’est joué jusqu’à ce que l’attrapeur empoigne le vif d’Or. La partie n’était pas gagnée d’avance. Jordan, notre attrapeur venait de feindre d’avoir vu le vif d’or, déboussolant ainsi l’adversaire. Alors que le regard de la foule était dirigé vers la chaude lutte qui se passait entre Jordan et le Russe, Yaroslav Kostynak, un batteur de l’équipe adverse envoya un cogna direct sur ma jambe. Après un crac sonore et un tremblement intérieur désagréable, je tombai de mon balai sans chance de m’attraper à quoi que ce soit. La chute fut aussi lente que vite. J’avais l’impression de tout vivre au ralenti et que tous les gestes qui étaient fait autour de mois étaient irréel. Pourtant, le sol s’approchait à une vitesse qui annonçait un très grand dommage pour mot corps, sinon la mort. C’est alors que je sentis un vide s’installer dans le fond de mon ventre et une soudaine envie de vomir. Au dernier moment, Jordan avait dérivé de sa trajectoire pour venir me récupérer; je me retrouvai alors plié en deux sur le bout d’un balai de bois. L’attrapeur russe avait beau s’égosiller en l’air, le vif d’or entre les doigts, tous les regards furent braqués vers moi tandis que je sombrai dans l’inconscience. Le lendemain on annonçait dans les journaux que la victoire avait été donnée à l’équipe de France puisque le coup que Yaroslav m’avait porté avait été vicieux et antisportif. Il fut d’ailleurs exclu pour la saison et toute la Russie lui en avait largement voulu. La suite de l’article parlait de moi, pauvre joueur de Quiddich dans la vingtaine qui ne pourrais pas continuer la saison : blessé pour un minimum de six mois, soit le reste de la saison. J’encourageai mon équipe dans les estrades; présents dans les pratiques et les parties. Mais nous ne remportâmes pas la coupe. Je ne me juge pas essentielle à l’équipe, mais je suis sûr que ce qui s’était passé sur le terrain le 13 novembre avait ébranlé chacun de nous.
Ma jambe aurait dû être guéri en été. Aurait. Même la magie à ses limites, tout sage le dit. Je l’ai expérimenté d’une difficile de façon. Malgré les potions, les atèles magiques et autres traitement, ma jambe n’avait pas totalement guéris, ni les muscles à l’intérieur. J’étais sur le banc encore pour la moitié de la saison. Cette annonce fit renvoyer officiellement Yaroslav de la ligue mondiale et fait faire une crise de panique à mon entraîneur. Après de longues discussions avec mon agent et l’administration, on m’assura que je restais dans l’équipe et qu’ils allaient attendre mon retour. Je devais donc prendre l’année qui veniat pour me rétablir, m’entraîner et me remettre en forme. Pendant ce temps, j’aurais un remplaçant. Voulant montrer le bon exemple, l’équipe me proposa de m’inscrire à l’université. Ainsi, on lancerait le message positif aux plus jeunes fans : les études restent importantes malgré le sport. Retourné sur les bancs d’école au début m’avait paru peu reluisant. Mais à force d’y penser, j’ai décidé d’accepter. J’allais pouvoir reprendre du mieux sans pour autant me torturer à regarder les pratiques de mon équipe. Je choisis donc de revenir pour un an dans mon pays natal, histoire de me rapprocher de ma famille qui me manquait énormément. Après m’être remis une passe saisonnière pour les matchs de l’équipe de France, je retournai en Anglettre : Hungcalf m’ouvrant les portes à une nouvelle vie, du moins pour un an.
Donc, pour faire une histoire courte, je m’appelle Sean, je suis un joueur de Quiddich professionnel. J’ai un très bon compte en banque vut le salaire qu’on me versait en France. J’ai une blessure à la jambe qui m’empêche de jouer. Je suis en mal d’amour. Je parle couramment l’anglais, le Français, le Bulgare, l’Espagnol et l’Allemand. J’aime le chocolat, le thé et le nougat. J’aime la pluie quand elle tape sur les carreaux d’une vitre. Je déteste les bas de laine et le caramel qui collent sur les dents. Je cherche le nom d’une chanson depuis trois ans et j’ignore où je l’ai entendu. J’ai une bonne connaissance générale, mais je déteste argumenter sur l’actualité. J’aime lire, mais beaucoup plus faire du sport. Et maintenant, je suis un élève d’Hungcalf pour un an et je compte bien vivre ce que mon rythme de vie exigeant m’empêchait de faire.
Pseudo : Gizmo
Age : 20 ans
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Inventaire Sorcier
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Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Dim 18 Avr 2010 - 22:49
Punaise quel bon choix ! :hysteric:
Shia est excellent ! :baveuh:
Shia est excellent ! :baveuh:
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Dim 18 Avr 2010 - 23:02
Je sais! Tu comprend maintenant! Pouvais pas me passer d'être avec ce bel être :grandsyeux:
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 1:01
YES! : D Tu dois ignorer à quel point je t'aime en ce moment même!
hehe, tu sais que j'exige. x)
Bonne chance pour ta fiche et la joie est dans mon coeur d'artiste!
hehe, tu sais que j'exige. x)
Bonne chance pour ta fiche et la joie est dans mon coeur d'artiste!
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 3:07
:) C'est gentil!
VOILA JAI FINIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
VOILA JAI FINIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 8:59
SHIAAAAAAAAAAAAA :hysteric:
bienvenue :brille:
bienvenue :brille:
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 10:31
Bienvenue (l) (l)
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 14:27
merci :)
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 19:27
Jai terminé mais je sius incpable d'enlever le U.C de ma présentation
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 20:26
C'est un bug de FA assez général, malheureusement. Je m'occupe de toi (a)
edit : alors c'est une fiche très sympathique (l) J'ai juste deux/trois points à soulever. Fais attention aux fautes d'accord et de temps. Tu as aussi l'habitude (compréhensible), d'accorder au féminin ("Je suis heureuse", au lieu de "je suis heureux")
Autre chose, si ton personnage est de 86, il a dû redoubler au moins une fois. Hors j'en doute, vu qu'il a l'air assez acharné sur ses études. Il faudrait le rajeunir d'un an =)
Une fois rajeuni, je te validerais (l)
edit : alors c'est une fiche très sympathique (l) J'ai juste deux/trois points à soulever. Fais attention aux fautes d'accord et de temps. Tu as aussi l'habitude (compréhensible), d'accorder au féminin ("Je suis heureuse", au lieu de "je suis heureux")
Autre chose, si ton personnage est de 86, il a dû redoubler au moins une fois. Hors j'en doute, vu qu'il a l'air assez acharné sur ses études. Il faudrait le rajeunir d'un an =)
Une fois rajeuni, je te validerais (l)
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 20:49
Coucou! :) désoler c'est mon correcteur qui sait que je suis une fille et a tendance a accordé tout au fréminin quand c'est le ''je''
Pour l'âge, je me suis dis que vu que Sean était au QUuiddich il n'a pas poursuivit ses études et la il vient de rentrer....
Pour l'âge, je me suis dis que vu que Sean était au QUuiddich il n'a pas poursuivit ses études et la il vient de rentrer....
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 21:17
Ah ok... Si c'est mentionné dans ta fiche je m'excuse, j'ai la tête ailleurs ce soir (pourtant je l'ai lue avec application :canne: )
Mais ok, effectivement j'accepte. Bienvenue chez les rouges (l)
Mais ok, effectivement j'accepte. Bienvenue chez les rouges (l)
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 21:24
YAY JE T'AIME :hysteric:
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Lun 19 Avr 2010 - 21:37
Bienvenuuueeeee (l)
- InvitéInvité
Re: I believe the word 'studying' was derived from the words 'students dying' [u.c]
Mar 20 Avr 2010 - 8:44
Ah et j'avais oublié un point aussi important, décidément j'ai pas de tête. Les persos de HP n'ont pas existé, donc exit McGo. Prends en note pour tes rps.
Et je t'en prie mon chat (l) (aa)
Et je t'en prie mon chat (l) (aa)
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