Ain't no cure for Love ft. @Juliet Blackthorn & @Peter Drummond | 15.12.21

Fermer les yeux devant une telle nouvelle ne lui ressemble pas. Ils ont eu beau avoir leurs différents par leur passé, Juliet reste une partie importante de leur vie. De sa vie, s’il ne doit parler que pour lui-même. Elle n’est pas que son ex-fiancée, elle est surtout la cousine de Peter et une aide incroyablement salvatrice pour Maximilien. Si leur discussion ne lui a pas évité les déboires qu’il a vécu avec la drogue, elle est restée dans un coin de sa tête et il y a de fortes chances qu’elle n’en ressorte jamais. Alors en apprenant cette nouvelle dans le Chineur, plusieurs choses lui viennent à l’esprit. Plusieurs sentiments, surtout.

La suspicion est la première à se frayer un chemin jusqu’à son cerveau car, après tout, ce journal de ragots se détourne bien souvent de la réalité. Suffit-il de lire les articles à son sujet… Mais on peut dire ce que l’on veut, les rédacteurs du Chineur - qui qu’ils soient - se basent toujours sur quelque chose d’existant. Quelque chose qui s’est produit et qui est ensuite mal interprété - volontairement ou non. Cela l’amène au deuxième sentiment : la confusion. Trop concentré par ses propres petits problèmes, il n’a jamais fait attention aux relations sentimentales de Juliet. Il faut dire qu’en tant que son ex-fiancé qui l’a trompé, il se garde bien de faire le moindre commentaire sur le sujet. Mais Elio ? Il le connaît comme un homme bien - ou du moins, c’était la description que Célenne en faisait à l’époque. Et Maximilien le sait mieux que personne : les gens changent. Si Peter l’a finalement mis au courant de la grossesse et fausse couche de sa cousine, il était loin de s’imaginer qu’elle sorte avec le sang-mêlé. Mais après tout, pourquoi pas. Ils peuvent faire un beau couple… sauf que ça n’a pas duré. Et voilà la peine qui s’installe. Celle de se voir heureux dans son ménage quand une personne que l’on apprécie ne l’est pas dans le sien. Sûrement un peu de culpabilité, aussi.

Peut-être est-ce la raison pour laquelle il l’a invitée à dîner. Ou juste par principe. Par peur qu’elle soit trop seule avec elle-même dans un moment de colère et de tristesse. Et aussi parce que, depuis qu’ils se sont remis ensemble avec Peter, ils ne se sont pas vraiment affichés comme ils le faisaient autrefois. Le Français, consciencieux, sort trois tasses qu’il dispose sur la table basse du salon, priant pour que la coloc infernale du Wright ne s’amuse pas à faire irruption pendant la soirée. Il dépose plusieurs sortes de thé à la suite et se fait rapidement surprendre par la sonnerie de l’entrée.

« She’s here ! She’s h… Merde putain. » Il grimace en se frottant le doigt de pied qui a cogné contre la table basse et tout en claudiquant, va ouvrir la porte à Juliet. « Hey ! Tea’s ready, you're right on time ! Come in ! » Il lui offre un doux sourire et referme la porte derrière elle. « Peter’s in the bathroom, he should be back soon. Sit down, make yourself comfortable. How was work ? »

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Peter a toujours cette facilité déconcertante à jouer à la tornade. Au moins, il est certain de se faire remarquer. Maximilien a à peine le temps de lui dire bonjour qu’il court en direction des toilettes, ce qui lui laisse le temps de s’occuper de la préparation du thé. Quelques minutes plus tard - et un orteil en moins - il ouvre la porte à Juliet qui, malgré une légère fatigue, a un teint radieux. Il la fait entrer et elle prend le temps de se dévêtir pendant qu’il va mettre son dessert sur le comptoir de la cuisine. Il prend de ses nouvelles car ils ne se sont pas vraiment parlés depuis la soirée d’Halloween, catastrophique. Et même là, la conversation n’a pas été très longue.

« As usual, you know. I do my best. But I’m fine. » Il lui sourit, ne rentrant pas dans le détail de ses activités de stage. La conversation risque d’un peu trop leur rappeler le dernier numéro du Chineur paru. De toute façon, la tornade fait de nouveau son apparition entre eux et enlace la jeune femme comme il se doit. Voir Peter de nouveau si proche de sa cousine est un pur soulagement pour le Français, qui craignait d’avoir tout bousillé entre eux. Il reste néanmoins gêné de démontrer son affection envers le Wright devant son ex-fiancé et cela se voit lorsque ce dernier l’embrasse dans le cou. Maximilien se racle la gorge.

« Good but this coffee table needs to be moved. » Il ne peut cependant pas s’amuser à changer de place tous les meubles selon son bon vouloir, il en connaît une à qui ça ne plairait pas. Ce n’est pourtant pas la première fois qu’il se prend les pieds dans ladite table basse - encore pire dans l’obscurité. Si on la déplaçait de seulement trente centimètres, personne n’aurait à se cogner dedans… mais là n’est pas la question.

« Lemon for me, thanks ! » Il se retient de lui donner un surnom d’affection et va vérifier que l’eau a fini de bouillir. Étant donné que c’est le cas, il la retire de son socle et verse le liquide brûlant dans les trois tasses devant lui. De même que les différents sachets de thé, le sucre est à disposition. Plusieurs fois, le Français jette un œil en direction de la médicomage, se demandant si elle s’attend à ce qu’ils lui posent des questions sur son couple - ou ex-couple - ou si elle préfère ce silence et serait gênée de répondre à leurs questions. Ce qui est compréhensible.

« Peter, how many times have I told you not to leave your stuff on the floor…Someone could get hurt. It’s unbelievable, your cousin is a mess ! » dit-il à l’attention de Juliet dans un rire, espérant ainsi détendre l’atmosphère. Ce n’est sûrement pas un fait nouveau pour la Blackthorn, qui pratique le semi-vélane depuis plus longtemps que lui. Mais l’organisation carrée du Français ne colle pas toujours avec la tornade systématique qu’est Peter. Il se dit qu’au moins, il y a quelqu’un pour ramasser… Cet appartement serait un beau bordel s’ils se ressemblaient de ce côté-là ! Maximilien récupère le sac de sport de son petit-ami et va rapidement les mettre à laver.

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Les mots de Juliet l’apaisent. Ils sont désormais suffisamment confortables les uns avec les autres pour que leurs conversations à trois ne soient pas bizarres. Maximilien ne cessera jamais d’être mal à l’aise devant les autres lorsqu’il s’agit de démonstration d’affection, sa timidité prenant toujours le dessus sur le reste. Mais plus jamais il ne pourra ressentir de honte à regarder Peter ou lui tenir la main. Ce dernier ne se prive pas pour lui donner de multiples attentions, tout en arborant un visage d’innocent à qui rien ne peut être reproché. Son jeu favori.

« You certainly would be ! » lance le Français, avant de faire les gros yeux au Drummond qui se permet de lui claquer les fesses avec toute la délicatesse qui l’anime. Il mime un baiser de ses lèvres puis part en direction de la buanderie, laissant les cousins terminer de préparer leurs thés. Il ne s’absente pas très longtemps et à son retour, les deux gai-lurons se sont déjà installés sur le canapé, où il les rejoint. Le regard pétillant, il offre sa main à Peter qui l’embrasse d’un air amusé, avant de s’installer à ses côtés. Maximilien se laisse aller contre le dossier du sofa et regarde Juliet, dont la proposition le rend perplexe. Il n’est pas réellement surpris qu’elle ne veuille pas en parler, mais plutôt que le couple se soit séparé alors qu’ils allaient si bien ensemble. Mais il a bien conscience de n’avoir aucune idée de ce qu’ils vivaient l’un avec l’autre et qu’il y a peut-être une bonne raison à cette épreuve. Il regrette juste que Juliet se retrouve de nouveau dans cette situation, elle qui mérite bien plus. Cette même pensée se dirige vers Elio qui, il le sait, n’a jamais réussi à réellement se poser depuis la mort de Célenne. Juliet est l’exception. Était. Le regard perdu dans le vague, il revient à la conversation lorsque Peter fait mine de lui poser une question.

« Never heard of him ! » Le Français a réellement envie de respecter la volonté de la belle blonde, vraiment… mais une part de lui a tout autant besoin d’entendre ce qui s’est passé. Il n’y a peut-être rien de perdu ? Juste quelque chose à réparer ? Si au moins elle leur donnait son point de vue sur cette séparation, ils sauraient peut-être lui redonner le sourire. Maximilien se redresse pour retirer le sachet de thé de sa tasse, qu’il pose sur la petite coupelle à ses côtés, puis se réinstalle tout en laissant la surface dure du récipient lui engourdir les mains. Il prend une petite gorgée brûlante, grimace aussitôt, puis en reprend une autre. Le citron s’imprime dans sa gorge jusqu’à ses narines, lui donnant une sensation de bien-être.

« I didn't even know you’re dating... Does that mean we can introduce you to other men now ? » Il lui lance un petit sourire taquin, échangeant un regard complice avec Peter. Ils ont chacun sûrement un nom en tête afin que Juliet puisse passer à autre chose dans les bras d’un bel éphèbe. Que ce soit l’histoire d’une nuit ou d’une vie. La vérité étant qu’elle préfère probablement rester seule pour le moment et il est en parfaite position pour le comprendre. Aux souvenirs de sa propre solitude après sa rupture avec Peter, il vient chercher la main de ce dernier de la sienne et lie leurs doigts entre eux. Sa simple présence change tout son univers.

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Maximilien se fait plus discret aux côtés de son partenaire. À dire vrai, il ne sait pas jusqu’où il est en capacité de donner des conseils et comment ceux-ci peuvent être perçus. Sur l’instant, il se sent juste désolé que Juliet ait dû vivre une nouvelle rupture, alors qu’elle ne le mérite pas. Le sort semble s’acharner sur elle alors oui, ça le mine un peu. Heureusement, Peter est là pour le sortir de ses pensées avec ses remarques d’un autre âge et il lève les yeux au ciel en maugréant un “t’as qu’à aller t’amuser ailleurs si tu veux”* faussement jaloux. Ou peut-être juste un petit peu. Il sait le sérieux du Drummond quant à leur relation et à quel point il souhaite s’y investir ; cela n’empêche pas Maximilien de se demander s’il ne regrette pas parfois sa vie de grand libertin célibataire. Le fun, quoi. Il n’y a pas la place ici pour cette discussion et de toute façon, le Français ne veut clairement pas l’avoir, ayant toujours trop peur d’apprendre un jour que Peter s’ennuie à ses côtés. Son cauchemar le plus récurrent.

« You can’t say things like that Pete’ … Elio is my friend ! Excuse him Juliet, he didn't have his nap this afternoon so he's a bit agitated. » Lui serrer la main ne suffit pas, il se sent obligé de faire comprendre à Peter que le sujet demande un peu plus de délicatesse que quelques blagues lancées dans le vent pour amuser la galerie, même si c’est un aspect de sa personnalité qui rend les situations difficiles tout de suite plus légères. Sauf que ça ne marche pas à chaque fois et il a peur que dans le cas présent, ce soit déplacé. Même si elle ne le montre pas, Juliet est peut-être en train de pleurer intérieurement. De souffrir le martyre suite à cette rupture. Ils ne doivent pas la blesser davantage et menacer Elio n’y changera rien. Surtout qu’il est possible que cette décision vienne d’elle et non de lui…

« Be beautiful and keep quiet instead. » Maximilien lui fait une petite grimace couplée d’un sourire qui veut dire “je plaisante bien sûr” et pose sa tasse sur la table pour s’occuper distraitement de la chienne. Ses pensées divaguent sur Juliet et Elio, une paire dont il ne soupçonnait même pas l’existence et qui, à bien y réfléchir, ne détonne pas tant que ça. Ils sont en médicomagie tous les deux, ont souffert tous les deux. « He’s right though. Was it your or a joint decision to break up ? What went wrong ? » Il s’attend à n’importe quelle réponse car en fin de compte, Elio a toujours le fantôme de son ex autour de lui et ce n’est pas facile à gérer pour une nouvelle petite amie, tout comme pour lui. Est-ce ce qui les a brisé en tant que couple ? Et n’y a-t-il aucun moyen de réparer ça ?


*dialogue en français

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Maximilien est forcément atteint par les révélations de Juliet car, même sans s’ériger comme centre du monde, il a conscience d’avoir sa part de responsabilité dans les peurs actuelles de la jeune femme. La façon dont il l’a traité a forcément laissé des traces et son couple avec Elio en paye le prix. Il ne peut que comprendre les raisons qui ont poussé à leur rupture car il s’est posé et se pose parfois encore les mêmes questions avec Peter. Leurs différences lui font parfois l’effet d’un obstacle impossible à franchir et ce fut le cas pendant de nombreux mois. Avoir foi en la fidélité du Drummond lui a demandé bien plus de temps qu’il n’ose l’admettre. Il se sent un peu ridicule aujourd’hui d’avoir été aussi réfractaire à l’idée de s’engager avec une personne à l’esprit aussi libre et fou que Peter car même si certaines disputes sont inévitables, les instants passés ensemble valent ces sacrifices. Le regard que lui offre le semi-vélane vient confirmer cette théorie. Il aurait aimé qu’il en soit de même pour Juliet et Elio. La tristesse et la compassion qui apparaissent alors sur son visage laissent comprendre toute la peine qu’il ressent pour elle.

La question qui suivit le laissa perplexe. Sa réponse, pourtant, était toute trouvée. Il était resté suffisamment longtemps avec la jolie blonde pour savoir qu’elle était plus compréhensive que pourrie gâtée… ou du moins, elle n’en avait fait preuve lorsqu’ils se courtisaient à l’époque. Au contraire, il avait décelé chez elle une timidité qu’ils partageaient.

« Maybe it wasn’t the right time for your story. Maybe you’re not ready yet and that’s okay. » Cela ne veut pas dire qu’ils ne pourront pas réessayer plus tard, n’est-ce pas ? Même si cette histoire de sang pur pose en effet problème… Sauf qu’il a bien du mal à imaginer Elio faire une fixette là-dessus. Peter a pourtant raison : si chacun n’accepte que les qualités de l’autre et pas les défauts qui les accompagnent, la relation ne peut pas fonctionner. Maximilien pouffe à la réflexion de Peter mais s’empêche de rajouter une taquinerie. Cela vient juste confirmer ce qu’il pense déjà : Juliet n’est pas une pimbêche égoïste et pourrie gâtée. Elle traverse juste des étapes compliquées de sa vie, sous une pression parentale inhumaine.

« Well, she can't quit and neither can he. But can you avoid him for a while ? » Il parle en connaissance de cause : c’est un art qu’il a tenté de pratiquer sans succès lorsque le Drummond et lui se sont séparés. La souffrance qu’il ressentait à chaque fois qu’ils avaient un cours commun ou le malheur de se croiser dans le couloir n’avait tout simplement pas de nom. Ce devait être la même chose pour elle…

« Maybe he was just… mad, you know. Sad, because of the situation. You're not a spoiled brat and he knows it. Sometimes, anger makes us say things we don't mean only to make the other person as hurt as we are. »


*dialogue en français

Ain't no cure for Love ft. @Juliet Blackthorn & @Peter Drummond | 15.12.21

Maximilien n’est pas fier de l’admettre mais il a expérimenté lui aussi cette colère qui pousse à dire des choses que l’on ne pense même pas dans l’unique but d’évacuer la souffrance et de la passer à quelqu’un d’autre. Il a envie de croire que c’est ce qu’a tenté de faire Elio lors de leur échange et une telle manœuvre n’est jamais sans conséquence. Les mots qui sont alors prononcés ne peuvent plus être repris et ils resteront toujours là, peu importe l’avenir de la relation. Les siens gisent au fond de son esprit, entre lui et Peter et il sait qu’à la moindre dispute, ils peuvent ressurgir et blesser les deux parties. Pardonner n’est pas oublier et lorsqu’ils se sont remis ensemble, les deux tourtereaux l’ont bien compris. La tristesse se fait de nouveau présente sur le visage du Français qui peine réellement à croire que ces deux-là ne sont pas faits pour être ensemble. Et entendre sortir de la bouche de Juliet les propos tenus par son grand-père pour justifier un mariage arrangé lui laisse un arrière-goût amer. Il a longtemps cru que c’était vrai, que l’amour ne suffisait pas mais aujourd’hui, il peine à penser le contraire. Bien sûr, il ne suffit pas que d’aimer pour construire une relation durable dans le temps mais sans cela, à quoi bon même essayer ?

Maximilien baisse les yeux sur les doigts du sorcier qui s’agitent sur sa tasse, signe de sa grande concentration. Le problème lui tient réellement à cœur et connaissant le caractère impulsif du Drummond, il se fait aussitôt la réflexion de veiller sur lui pour ne pas qu’il aille mettre son nez dans les affaires de sa cousine. Pas sans son consentement, en tout cas. Pour stopper la danse qui s’intensifie sur la surface blanche, il prend la main de Peter dans la sienne, un moyen comme un autre de les rassurer l’un l’autre. S’il y a une chose de sûre, c’est que leur inquiétude pour la belle blonde est similaire. L’aigle se tourne vers son aimé et le fixe longuement en se rappelant leurs propres batailles. Est-il réellement capable d’une telle rancune ? Et si c’est le cas, se dirige-t-elle encore vers lui, parfois ? Car ce n’est pas parce qu’ils n’en parlent pas que cela n’existe pas. Ce soir-là, Peter lui a bien fait comprendre la portée blessante de la façon dont Maximilien a géré l’information de sa semi-vélanité. Une chose qui ne s’oublie pas. Il redoute un jour d’entendre cette rancune frapper à la porte de leur relation pour les entredéchirer.

Dans un silence presque religieux, il laisse les deux cousins terminer cette conversation et fronce les sourcils en voyant la bouteille de whisky se déposer sur la petite table devant eux.

« I agree with him, you stay for dinner. » Le sorcier termina sa tasse et se redressa. « You know I don't drink babe, but knock yourself out ! I'll make us something to eat. Pasta ? » Comme tout bon sorcier né de sang pur, Maximilien a mis très longtemps avant de toucher une cuisinière donc ses talents en la matière sont rudimentaires. Néanmoins, depuis un an maintenant, il est dans l’obligation de subvenir à ses propres besoins et prend de plus en plus de plaisir à découvrir les joies (et les peines) de la cuisine, qu’elle soit sorcière ou moldue. Un dernier baiser timide sur la joue légèrement piquante du Drummond et il disparaît de l’autre côté du mur, Lady Mousse aka l’Opportuniste sur ses talons.

terminé pour moi les choux