- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
- » parchemins postés : 791
» miroir du riséd : miguel herran
» crédits : leli-graph (ava) ; crackship (sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & andrew hill
» âge : 29 ans (né le 12 avril 1994)
» situation : en couple avec une jolie rousse
» profession : poursuiveur des shooters d'inverness
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1330
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Oh boi... pv. Fergus
Dim 20 Mar 2022 - 10:22
Dimanche 20 mars 2022
Miguel avait perdu son téléphone. Encore. Heureusement, cette fois, sa baguette et sa bourse de gallions étaient saines et sauves dans son jeans. Non, le Pajares ne s’était jamais fait dépouillé par un malfrat… Non, il était de ceux qui avaient tendance à oublier, une fois ivre, qu’une baguette c’était quand même fort utile parfois. Et que les gallions, c’était cher. Catalina lui avait dit mille fois qu’il ferait mieux de laisser tout cela à l’appart avant de les sortir mais … Evidemment… Il n’écoutait jamais rien. Un type du bar finirait bien par le reconnaitre sur le fond d’écran dans sa tenue des Scorpions de Brasilia…
En attendant c’était compliqué parce qu’il voulait appeler Esther. Il avait été question cette semaine d’aller courir et là il était pleins de motivation. Le soleil de mars tapait sur ses carreaux mal entretenus et un petit footing autour des loch ça ne pouvait être que sympa. Seulement l’espagnol avait pas de hibou et il détestait les patronus en tant que messagers. Pas fiables ces bestioles là.
Il avait donc enfilé un short gris, un tee shirt noir et des baskets avant de quitter l’appartement pour rejoindre à quelques minutes à pied l’immeuble où habitait Esther. Et Peter. Et June. Et pleins de d’autres gens cools. Les escaliers avait été montés quatre à quatre et la poignet de l’appartement d’Esther s’était illuminée de bleue en reconnaissant la peau de l’hispanique. Il était un peu comme à la maison chez Esther. Si y’avait eut une chambre en plus, il l’aurait prise.
Silence assourdissant. Pas d’odeur de p’tit dej. Cent pour cent que sa jumelle astrologique dormait encore. Putain, elle allait finir par dormir plus que lui à ce rythme alors qu’enfant c’était elle qui sautait sur son matelas le matin pour le réveiller et aller jouer dans le jardin d’Abuela où elle avait toujours été la bienvenue. Pour une fois les rôles seraient inversés. Poussé par ce souvenir infantile, il ouvre la porte de la chambre où effectivement Esther est sous les couettes et se cache des rayons de soleil qui filtrent au travers de ses volet. Il grimpe sur le matelas et commence à sautiller :
- Debout vieille chouette ! T’es en gueule de bois ou quoi ?! On d’vait aller courir et ça traine au lit comme une feignasse… !
GO SHOOTERS, GO !
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Re: Oh boi... pv. Fergus
Sam 7 Mai 2022 - 11:31
C'est dans le lit d'Esther et en sa compagnie que j'ai passé la nuit aujourd'hui. Comme à mon habitude j'ai dessiné pendant qu'elle dormait. Il n'y a guère qu'en compagnie d'@Althea d'Arenberg que je me laisse aller au sommeil. Le reste du temps, je prends des potions d'œil vif et j'occupe mes nuitées en esquissant divers croquis au fusain de mes conquêtes.
Au moins avec Esther, la nuit n'est pas trop longue et au petit matin elle est déjà levée pour aller courir. Sans être non plus un inconditionnel des lieux, ce n'est pas la première fois que je partage les draps de l'espagnole et elle me fait suffisamment confiance pour me laisser seul chez elle pendant ce temps. Je pourrais rassembler mes affaires et m'en aller mais elle a su me convaincre de rester avec la promesse d'une douche crapuleuse à son retour.
Je profite d'être seul pour tirer les drap par dessus ma tête et fermer les yeux. Je ne compte pas sombrer, juste me reposer un peu pour tenter de calmer la migraine qui commence à poindre. Je crois que ça fait trop de nuits d'affilée que j'enchaine les potions. Appréciant le silence et l'obscurité, je inspire et expire lentement, me concentrant sur ma respiration comme pour méditer. J'entends alors la porte de l'appartement qui s'ouvre, puis celle de la chambre. Déjà ? J'ai l'impression qu'il s'est à peine écoulé un quart d'heure depuis qu'Esther est partie...
Soudain je me retrouve secoué par les mouvements du matelas alors que quelqu'un s'amuse à rebondir dessus et la voix que j'entends ne ressemble en rien à celle de la jeune femme. Allons bon, il ne manquait plus que ça... Je laisse échapper un soupir agacé en repoussant les draps.
- Sérieusement ? Si tu veux courir, t'as qu'à aller la rattraper, ça fait au moins un quart d'heure qu'elle est partie.
Surpris par mon apparition, Miguel se casse la figure et s'écroule sur le dos avant de glisser du lit. J'entends des mouvements précipités puis je vois sa tête dépasser à nouveau au dessus du lit tandis qu'il se redresse aussi vite qu'il peut, aux aguets.
- What the f... s'exclame-t-il une fois à nouveau sur ses deux pieds.
Je lève légèrement les yeux au ciel, soupirant à nouveau alors que je me redresse sur les coudes.
- C'est bon t'as fini ?
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Re: Oh boi... pv. Fergus
Mer 8 Juin 2022 - 18:32
C’était pas vraiment surprenant de la part de Miguel de se laisser aller à de tels infantilités alors qu’il était en compagnie (qu’il croyait) de celle qui avait toujours (ou presque) partagé sa vie et ce depuis leur plus tendre enfance. Il avait pas hésité une seule seconde, grimpant sur le lit, rebondissant sur le matelas qu’il avait lui même déjà souvent étrenné.
D’ailleurs il était pas le seul. Et c’était pas franchement surprenant. Ce qui l’était par contre, c’est qu’un mec en question se trouvait dans le lit en question à l’instant même où l’hispanique insultait sa jumelle astrologique de « vieille chouette » et de « grosse feignasse ». La voix trop grave pour être correctement intégrée par l’esprit de Miguel le désarçonna autant que le draps qu’on tira sous ses pieds. Combinaison parfaite pour lui faire perdre l’équilbre. Postérieur sur le matela, l’élan de sa chute fait qu’il se retrouve par terre.
- What the f...
Il s’est cogné la tête contre un meuble mais le voila déjà campé sur ses deux pieds alors qu’il reconnait le type qui émerge des draps. Sur le coup, il se demande si c’est pas un tour de son esprit. Après tout, il s’est p’tête assomé un peu plus que prévu.
- C'est bon t'as fini ?
- Je…
Il voulait répondre un truc. N’importe quoi. Mais la surprise laisse doucement place à la colère qui s’insinue, sournoise.
- Qu’est ce que tu branles là bordel de merde ?
Les « r » roulent un peu plus que d’ordinaire sous l’impulsivité de l’espagnol dont les poings et le visage se ferment instantanément.
D’ailleurs il était pas le seul. Et c’était pas franchement surprenant. Ce qui l’était par contre, c’est qu’un mec en question se trouvait dans le lit en question à l’instant même où l’hispanique insultait sa jumelle astrologique de « vieille chouette » et de « grosse feignasse ». La voix trop grave pour être correctement intégrée par l’esprit de Miguel le désarçonna autant que le draps qu’on tira sous ses pieds. Combinaison parfaite pour lui faire perdre l’équilbre. Postérieur sur le matela, l’élan de sa chute fait qu’il se retrouve par terre.
- What the f...
Il s’est cogné la tête contre un meuble mais le voila déjà campé sur ses deux pieds alors qu’il reconnait le type qui émerge des draps. Sur le coup, il se demande si c’est pas un tour de son esprit. Après tout, il s’est p’tête assomé un peu plus que prévu.
- C'est bon t'as fini ?
- Je…
Il voulait répondre un truc. N’importe quoi. Mais la surprise laisse doucement place à la colère qui s’insinue, sournoise.
- Qu’est ce que tu branles là bordel de merde ?
Les « r » roulent un peu plus que d’ordinaire sous l’impulsivité de l’espagnol dont les poings et le visage se ferment instantanément.
GO SHOOTERS, GO !
- InvitéInvité
Re: Oh boi... pv. Fergus
Dim 11 Déc 2022 - 22:47
Je pourrais trouver drôle la tête du Grymm,
Sans la migraine qui s'obstine à marteler,
Frapper, tambouriner mes tempes fatiguées,
De mes nuits d'insomnie les premières victimes.
J'anticipe déjà son ire légitime
Mais c'est plus fort que moi, j'aime le provoquer
- Je peux faire un dessin, mais tu vas pas aimer.
Dis-je d'un ton moqueur, petit sourire en prime
Je vois ses poings serrés, ça n'augure rien de bon
Thea s'amuserait à me traiter de con
Si d'aventure la scène se jouait sous ses yeux.
Mais il n'y a que moi pour faire face à Miguel
Quand il s'agit d'Esther, je le sais chatouilleux
Il est plus que probable qu'il me cherche querelle.
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Re: Oh boi... pv. Fergus
Mer 14 Déc 2022 - 12:00
Athlétique, l'espagnol avait roulé sur lui même afin d'éviter de se blesser une articulation mais ça ne l'avait pas empêché de se cogner le crane contre le coin de la commode de sa jumelle astrologique. Il s'était relevé en moins de deux secondes pour faire face à la tronche mal reveillée du type qui squatte le lit.
Evidemment qu'il avait finit de sauté, pas question qu'il touche de nouveau ce lit tant qu'il était occupé par un autre type que lui. D'ailleurs, pas question qu'il trouche de nouveau ce lit tant qu'il avait pas été desinfecté et que les draps n'avaient pas été nettoyés.
"Je peux faire un dessin, mais tu vas pas aimer." Le sang du madrilène ne fait qu'un tour, de nouveau alors que la colère le bouffe littéralement. Il serre les dents autant que les points pour ne pas lui sauter à la gorge comme le bon crétin qu'il est.
- Dégage.
Le ton est froid. On peut constater qu'il essaye de se contrôler comme il peut. Evidemment, quand il s'agit de sa meilleure amie, le jeune sorcier est plus que chatouilleux. Sans être amoureux de la blonde, il est légèrement jaloux. Plus qu'avec les copines qu'il a pu avoir par le passé d'ailleurs.
- DEGAGE, PUTAIN !
L'inaction du français déclenche la fureur du madrilène qui éclate son point sur la commode, entrainant la chute d'un... vase ou quelques-chose comme ça.
Evidemment qu'il avait finit de sauté, pas question qu'il touche de nouveau ce lit tant qu'il était occupé par un autre type que lui. D'ailleurs, pas question qu'il trouche de nouveau ce lit tant qu'il avait pas été desinfecté et que les draps n'avaient pas été nettoyés.
"Je peux faire un dessin, mais tu vas pas aimer." Le sang du madrilène ne fait qu'un tour, de nouveau alors que la colère le bouffe littéralement. Il serre les dents autant que les points pour ne pas lui sauter à la gorge comme le bon crétin qu'il est.
- Dégage.
Le ton est froid. On peut constater qu'il essaye de se contrôler comme il peut. Evidemment, quand il s'agit de sa meilleure amie, le jeune sorcier est plus que chatouilleux. Sans être amoureux de la blonde, il est légèrement jaloux. Plus qu'avec les copines qu'il a pu avoir par le passé d'ailleurs.
- DEGAGE, PUTAIN !
L'inaction du français déclenche la fureur du madrilène qui éclate son point sur la commode, entrainant la chute d'un... vase ou quelques-chose comme ça.
GO SHOOTERS, GO !
- Aldous langue fourchueOldieㄨ experimented wizard
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Re: Oh boi... pv. Fergus
Sam 17 Déc 2022 - 17:41
Réponse de Fergus (joué par Rémi)
Il me fatigue déjà, les dernières nuits troublées par l’insomnie plutôt que par un sommeil réparateur ne m’aident pas à gagner en patience face au madrilène dont la surprise rapidement se muer en rage. Je l’observe, il en est presque risible, et les mots que j’ai à son encontre ne vont certainement pas le rassurer. J’ai passé l’âge de devoir me justifier, mais franchement, la flemme. Il m’a dérangé dans ce je croyais être un semi-sommeil, et ce serait à moi de me justifier ? Je ne fais même pas cas de sa chute et du coup qu’il a du se faire en tombant, même s’il semble avoir su rouler habilement pour ne pas se faire mal. Miguel est déjà debout, furibond, je lis dans ses yeux qu’il ne comprend pas ce qu’il se passe, il a l’air affolé, comme un petit chien avec qui l’on joue. C’est plus fort que moi, j’aime le taquiner, surtout quand il s’agit d’Esther car je sais à quel point le sujet est sensible. Je vois ses yeux noirs s’assombrir encore plus, sa mâche semble se serrer. Mais il ne m’impressionne pas. Et je n’ai plus de patience avec lui. C’est à peine si je soulève un sourcil alors qu’il m’intime de dégager du lit de sa jumelle astrologique. Son ton est froid, mais il m’en faudra davantage. Serait-il jaloux ? Peut-être. Ca serait marrant, et d’ailleurs, je ne peux m’empêcher d’avoir ce petit sourire insolent quand il jure devant moi. Il ne faut pas s’énerver comme ça voyons, c’est trop bête. Mais je ne suis pas décidé à bouger, et ça, ça l’agace l’espagnol. D’ailleurs, le voilà en train de frapper la commode qui ne lui a rien demandé, entraînant la chute d’un cadre qui se brise en percutant le sol. Mon sourire se transforme en grimace. Esther ne va pas apprécier si sa chambre est toute retournée.
Mec, je n’ai pas l’intention de bouger, j’ai une nuit à finir, alors si tu pouvais t’asperger d’eau froide et baisser d’un ton tu seras gentil. Pas la peine de rameuter tout le quartier.
Il ne m’impressionne pas, je me rallonge dans le lit, sous les couettes, me mettant à mon aise, tellement à l’aise que ça doit en être gênant pour le pauvre bougre.
C’est bon tu es calmé ? Car je doute qu’Esther apprécie que tu casses tout chez elle.
Je me moque un peu de lui, mais son attitude le justifie largement.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
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Re: Oh boi... pv. Fergus
Mer 21 Déc 2022 - 11:29
Il y avait un grand principe que tout les tireurs d'élite, même ceux en formation, connaissaient bien : la sommation. Sommer avant d'attaquer. C'était à la fois un ordre et un avertissement. Celui de cesser l'activité illicite sans quoi la réaction de celui qui somme sera la hauteur de l'outrage.
Alors, il somme, le Pajares. Il somme même furieusement. Peut être même un peu trop. Un bruit d'objet brisé pour accentuer le tout. Il ya une deuxièeme chose que Miguel a apprit sur le terrain lors de ses stages au sein de la 99... Les cons ça comprends pas toujours le sens du mot sommation. Même quand celui-ci est exprime de manière particulièrement explicite.
- Espèce de raclure...
De fond d'évier évidemment. De fond d'evier de fast-food moldu même. De fond d'évier de fast-food moldu, ceux qui font même pas partie d'une chaîne et où les rats se repaissent tranquillement sans que personne dise rien. Et pas le gentil rat propre de ratatouille hein.
Il a absolument rien entendu de ce qu'à dit le Laugharne, faut le reconnaître. Il a rien écouté. Et de toute façon, le sang tape trop dans ses oreilles pour qu'il puisse entendre quoi que ce soit.
D'un bond lest, le madrilène se hisse sur le lit et mieux équilibré cette fois, il attrape le biceps du Wright. Il aurait voulu le choper par le colbac mais vu que l'autre était torse-poil, c'était pas possible. C'est donc avec toute la délicatesse du monde (non) qu'il manipule l'amant de sa meilleure amie pour qu'il dégage vite fait bien fait de son lit.
Alors, il somme, le Pajares. Il somme même furieusement. Peut être même un peu trop. Un bruit d'objet brisé pour accentuer le tout. Il ya une deuxièeme chose que Miguel a apprit sur le terrain lors de ses stages au sein de la 99... Les cons ça comprends pas toujours le sens du mot sommation. Même quand celui-ci est exprime de manière particulièrement explicite.
- Espèce de raclure...
De fond d'évier évidemment. De fond d'evier de fast-food moldu même. De fond d'évier de fast-food moldu, ceux qui font même pas partie d'une chaîne et où les rats se repaissent tranquillement sans que personne dise rien. Et pas le gentil rat propre de ratatouille hein.
Il a absolument rien entendu de ce qu'à dit le Laugharne, faut le reconnaître. Il a rien écouté. Et de toute façon, le sang tape trop dans ses oreilles pour qu'il puisse entendre quoi que ce soit.
D'un bond lest, le madrilène se hisse sur le lit et mieux équilibré cette fois, il attrape le biceps du Wright. Il aurait voulu le choper par le colbac mais vu que l'autre était torse-poil, c'était pas possible. C'est donc avec toute la délicatesse du monde (non) qu'il manipule l'amant de sa meilleure amie pour qu'il dégage vite fait bien fait de son lit.
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