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- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
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Re: Le premier de nous deux qui rira aura une tapette (ft. Cataleya) [terminé]
Mar 10 Jan 2023 - 20:11
Un amour pluriel et une célébration sincère de la vie. Quelque part sans doute, Wyatt lui semblait en tout point étrange, aux antipodes de tout ce qu'elle avait toujours côtoyé. Et si ce constat aurait dû éveiller en elle une méfiance toute singulière, ne serait-ce hanté des habitudes savamment inculqué par papa-maman, elle peinait le plus sincèrement du monde à se défaire de lui. Ses grands yeux bleu s'étaient pleinement amourachés de cette aura solaire, de ce franc parler, et d'un grandiose qu'elle épousa sans le moindre mal tant elle sembla soudainement faire écho à ce qui palpitait en elle et qu'on s'acharnait tant et si bien à museler.
« [...]et puis, même si je le pouvais, le concept de n’appartenir qu’à un seul me terrifie. » D'un mouvement gracile, Cataleya se laisse retomber sur le brun et se cale un peu machinalement contre lui, comprenant sans mal ce sentiment sans l'avoir pourtant expérimenté ; elle trouvait cela rassurant, elle. Alors certes, elle s'étranglait inlassablement sur cette effroyable sensation d'être enchaîné et devoir composer sa vie autour d'un être qui n'était pas elle, se plier sous mille compromis et demeurer sans cesse sur le qui-vive pour s'assurer que l'autre parti -James- s'épanouisse -Soit constamment en sécurité- mais au moins avait-elle la certitude que si le monde s'écroulait demain, au moins ils pourraient faire front commun. Ce qui la terrifiait, elle, c'était de lâcher prise. Plus encore de s'abandonner entière aux mains d'inconnus ou de multiple partenaire ; ses insécurités, son éducation, et plus encore la terreur qu'elle éprouvait à l'idée d'impliquer qui que ce soit auprès du clan familial avait tôt fait d'étrangler tout sursaut d'excitation.
« Honnêtement, je te pensais un peu comme ça aussi. » Le sourcil s'arque significativement mais le rire se fait pleinement sincère lorsque Wyatt la dépeint en ménagère. Oh que non, elle n'était clairement pas faite pour ça et ne se glissait en cuisine que pour rappeler à l'entière famille que jamais, ô grand jamais elle ne se perdrait aux fourneaux par la suite, à moins de risquer la mort de ses convives. Élever des enfants et défendre un foyer tout crocs dehors, peut-être, mais elle n'avait pas parié un elfe de maison face à sa mère pour enchanter des balais ou faire la vaisselle. Prétendre être moins futé que certain de ses prétendants l'insultait déjà suffisamment pour daigner se plier à ce genre de soumission supplémentaire. Alors se niche t'elle plus encore contre le dragonologue, ses lèves à peine posé sur son verre. Elle réfléchit, pèse chacun des mots soufflés à ses oreilles sans pour autant parvenir s'imaginer aussi libre que l'était brun. Aussi épanouie certainement.
« -Mon dernier baisé date de mes.... Seize ans peut être ? » Le dernier qui avait tenté s'était mangé une gifle aussi terrible que mue par le réflexe. Elle volait bien quelques discret baisé à la nuque, mâchoire, joue de James mais force était d'admettre que le dernier véritable acte passionné qui l'avait étreint remontait à presque dix ans et s'était tragiquement conclu. « Je te laisse mûrir tes théories sur l'étape suivante. Nada » Ce n'était pourtant pas faute de passer sa vie à califourchon sur James...
Le regard se noie longuement dans son bloody mary et, si un soupire trahit une claire frustration, c'est avec force qu'elle prend en chasse cette soudaine baisse de morale. « Donc mauvais pari. En dépit de mes charmantes fossettes et de ma crinière de feu, je suis loin d'avoir autant de succès que toi. Et encore moins capable de jongler avec plusieurs partenaire. » Il faudrait déjà qu'on arrive à porter une main sur son sein, avant. « Mais je demeure admirative, tu as une confiance extraordinaire en toi. »
« [...]et puis, même si je le pouvais, le concept de n’appartenir qu’à un seul me terrifie. » D'un mouvement gracile, Cataleya se laisse retomber sur le brun et se cale un peu machinalement contre lui, comprenant sans mal ce sentiment sans l'avoir pourtant expérimenté ; elle trouvait cela rassurant, elle. Alors certes, elle s'étranglait inlassablement sur cette effroyable sensation d'être enchaîné et devoir composer sa vie autour d'un être qui n'était pas elle, se plier sous mille compromis et demeurer sans cesse sur le qui-vive pour s'assurer que l'autre parti -James- s'épanouisse -Soit constamment en sécurité- mais au moins avait-elle la certitude que si le monde s'écroulait demain, au moins ils pourraient faire front commun. Ce qui la terrifiait, elle, c'était de lâcher prise. Plus encore de s'abandonner entière aux mains d'inconnus ou de multiple partenaire ; ses insécurités, son éducation, et plus encore la terreur qu'elle éprouvait à l'idée d'impliquer qui que ce soit auprès du clan familial avait tôt fait d'étrangler tout sursaut d'excitation.
« Honnêtement, je te pensais un peu comme ça aussi. » Le sourcil s'arque significativement mais le rire se fait pleinement sincère lorsque Wyatt la dépeint en ménagère. Oh que non, elle n'était clairement pas faite pour ça et ne se glissait en cuisine que pour rappeler à l'entière famille que jamais, ô grand jamais elle ne se perdrait aux fourneaux par la suite, à moins de risquer la mort de ses convives. Élever des enfants et défendre un foyer tout crocs dehors, peut-être, mais elle n'avait pas parié un elfe de maison face à sa mère pour enchanter des balais ou faire la vaisselle. Prétendre être moins futé que certain de ses prétendants l'insultait déjà suffisamment pour daigner se plier à ce genre de soumission supplémentaire. Alors se niche t'elle plus encore contre le dragonologue, ses lèves à peine posé sur son verre. Elle réfléchit, pèse chacun des mots soufflés à ses oreilles sans pour autant parvenir s'imaginer aussi libre que l'était brun. Aussi épanouie certainement.
« -Mon dernier baisé date de mes.... Seize ans peut être ? » Le dernier qui avait tenté s'était mangé une gifle aussi terrible que mue par le réflexe. Elle volait bien quelques discret baisé à la nuque, mâchoire, joue de James mais force était d'admettre que le dernier véritable acte passionné qui l'avait étreint remontait à presque dix ans et s'était tragiquement conclu. « Je te laisse mûrir tes théories sur l'étape suivante. Nada » Ce n'était pourtant pas faute de passer sa vie à califourchon sur James...
Le regard se noie longuement dans son bloody mary et, si un soupire trahit une claire frustration, c'est avec force qu'elle prend en chasse cette soudaine baisse de morale. « Donc mauvais pari. En dépit de mes charmantes fossettes et de ma crinière de feu, je suis loin d'avoir autant de succès que toi. Et encore moins capable de jongler avec plusieurs partenaire. » Il faudrait déjà qu'on arrive à porter une main sur son sein, avant. « Mais je demeure admirative, tu as une confiance extraordinaire en toi. »
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Re: Le premier de nous deux qui rira aura une tapette (ft. Cataleya) [terminé]
Mar 10 Jan 2023 - 21:09
Le premier de nous deux qui rira aura une tapette ft. @Cataleya Blackthorn | 08.10.22Wyatt laissa connaître ses pensées les plus profondes (et elles étaient rares). Car oui, derrière cette grande joie et cette énergie débordante, il était lui aussi en proie à des doutes et des colères. Il n’était pas totalement sûr de comprendre ce qui n’avait pas fonctionné avec Erwin et simplement admettre que tout était de sa faute ne lui convenait pas, même s’il ne fermait pas les yeux sur sa responsabilité dans cet échec. Il en avait déduit, au final, qu’il n’était pas fait pour la vie de couple. Alors face au schéma de vie dont Cataleya était l'ambassadrice, il se sentait mal à l’aise, en dehors des clous. Comme toujours. Il n’estimait pas avoir à rougir de ses expériences ou de son passé. Sa vie actuelle lui convenait, avec ses hauts et ses bas. Seulement, parfois, il se demandait sérieusement pourquoi il ne parvenait pas à trouver satisfaction dans les schémas de vie et relationnels traditionnels. Cela ne le rendait pas malheureux mais faisait tourner sa cervelle de temps à autre. Surtout lorsqu’il faisait face à des personnes comme la Blackthorn, dont la vie était déjà écrite de bout en bout sans qu’elles n’aient eu leur mot à dire.
Il accueillit la dragonne contre lui, trouvant cette soudaine proximité intrigante mais ne pipa mot. Ses sourcils, eux, se soulevèrent de stupeur lorsqu’elle mentionna la date de son dernier baiser. Cela le laissait pantois, songeur et il fallait bien le dire, un peu critique.
« Dis-moi que t’en as dix-sept sinon je vais crier. » Elle était belle, séduisante, attractive et intelligente, il ne fallait pas grand-chose de plus pour qu’elle attire la gente masculine et s’autorise quelques baisers à droite et à gauche. Pas forcément beaucoup plus, chaque rencontre ne nécessitait pas de mettre la main au panier. Combien de soirées avait-il passées en charmante compagnie, à n’échanger que des baisers ? Il trouvait cela parfois bien plus excitant que de coucher. Il fut d’autant plus surpris d’apprendre que la demoiselle n’avait jamais connu le plaisir de la chair mais en fin de compte, n’était-ce pas évident ? Vu tout ce qu’elle lui avait appris d’elle, il n’aurait pas dû s’attendre à plus. La demoiselle se réservait assurément pour son mari et ne connaîtrait peut-être qu’un seul homme dans sa vie. Au mieux, deux. L’idée lui donna le tournis. Bien sûr, elle était libre de s’en satisfaire mais lorsqu’il s’imaginait à sa place, il se sentait mal. Comme… étranger. Tant de questions traversèrent son esprit et il n’arriva à en poser aucune.
« Je ne pense pas qu’on puisse douter de ton succès. Le mien ne repose que sur ce que tu viens justement de mettre en avant : la confiance en soi. Parce que je suis sûr de moi et que j’ai appris à jouer de mes atouts, j’ai ce que je veux. Mais si je manquais de tout cela, je n’aurais que peu d’expérience à mon actif. T’as un grand potentiel, quoique t’en dises. » Il ne cherchait pas à la rassurer ou jouer le bon samaritain. Il ne savait même pas si elle en avait réellement besoin. Les pensées, sa vérité, coulaient dans son corps et se faisaient entendre par sa bouche. Il le savait : s’il avait aimé les femmes, il aurait déjà tenté quelque chose auprès d’elle et se serait sûrement fait rabattre le caquet.
« On a eu confiance en moi, on m’a accepté et par… naturel, je dirais, j’ai fait pareil. J’ai appris que mon individualité servait à quelque chose. J’suis pas très intelligent, doué ou perspicace en règle générale, donc ce ne sont pas les choses que je mets en valeur quand je drague. À quoi ça servirait à part me faire de la peine ? Mais toi, du coup… Est-ce parce que tu n’en as pas envie que tu n’essayes pas de flirter avec d’autres hommes ou c’est seulement parce que tu penses que tu y serais mauvaise ? Parce que selon le cas, la solution est très différente ! »
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» situation : Dévastée.
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» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
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Re: Le premier de nous deux qui rira aura une tapette (ft. Cataleya) [terminé]
Mer 11 Jan 2023 - 10:46
« Vingt-quatre. » Cataleya s'amuse de la réaction de Wyatt mais la comprend sans mal aucun ; elle même avait conscience d'être passé à côté de mille chose et s'en désolait profondément lorsqu'elle réalisait que tout ces sacrifices n'apportait ni plus de valeur aux yeux de ses parents, ni de réel succès auprès de James. Encore moins un quelconque plaisir ou épanouissement pour elle-même. Cataleya avait le cœur mou et l'âme sensible ; son adolescence s'était plus d'une fois ponctué d'un crush qu'elle avait toujours finit par chasser par pudeur, pour nicher rapidement auprès de James et étouffer la passion qui l'étreignait. Encore aujourd'hui, son regard se perdait parfois sur la musculature plus qu'impressionnante d'Octave Muller, s'émerveillait devant le charmant sourire de @Miguel Pajares et la tentation s'éveillait, la tiraillait un peu sans pour autant parvenir à délier ses muscles et la conduire à la faute. La discipline était grande, ses pulsions raisonnées, et l'idée seule de n'être qu'un énième coup d'un soir la révulsait à demi ; Elle avait désespérément besoin de se sentir spéciale aux yeux de l'autre, un peu aimée, et n'avait encore trouvé personne capable de la tranquilliser, lui insuffler cette émotion, et qui n'avait pas peur de l'effleurer à la fois. Alors elle attendait que James se décide, mais depuis son retour d'Egypte c'était pire encore.
« T’as un grand potentiel, quoique t’en dises. » Le regard roule un peu, mais les lèvres se noient dans son breuvage pour taire son insécurité légendaire. Une confiance en elle éclaté à grand coup de rabaissement perpétuel. Merlin seul saît Ô combien elle aurait aimé que ses parents aient un peu plus confiance en elle, desserre la laisse qui l'étranglait inlassablement car, loin d'êtres stupides, ils auraient dû pouvoir remarquer que tout ce qu'il claquait sévèrement derrière elle empirait plus encore la situation. Alors certes, elle se faisait plus docile, mais doutait aujourd'hui tellement d'elle que sa magie déraillait infiniment et qu'elle n'avait plus même confiance en ses capacités de médicomage. Tout ce qui résultait de cette course folle, des claquements incessants de fouet juste derrière elle et ce, pour la pousser à accélérer, c'était un paradoxale sentiment d'être acculée. Un besoin de fuite contre lequel elle luttait mais qui se faisait de plus en plus irrépressible...
« -Je... » L’amorce se brise soudainement et c'est machinalement que Cataleya tourne une mèche rousse autour de son indexe, nerveusement. « J'en ai envie. Du genre, vraiment envie. Et ce n'est pas les tentations qui manque, ni ma libido, c'est juste que... Je ne sais pas. Je sais que je ferais bien plus de mal que de bien, autant parce que j'ai un caractère impossible à vivre que parce que mon père pourrait briser des bras... Et si inspirer la peur chez les gens flatte ouvertement mon égo, je n'ai pas envie de faire du mal. Et puis soyons honnête, le premier réflexe que j'ai quand on m'embrasse c'est de gifler ; ça n'aide vraiment pas. »
Il n'y avait pas à dire, elle avait retenu la leçon Cillian jusqu'à la moelle de ses os et s'en lavait encore frénétiquement les mains, comme terrifiée à l'idée d'avoir ce sang là sur les doigts. Ce comportement compulsif s'était apaisé avec les années, mais il n'était pas rare qu'il revienne de temps à autre et qu'elle gratte presque jusqu'au sang cet épiderme coupable. « -Je ne suis juste pas faite pour draguer, je pense. Et encore moins pour tomber amoureuse. »
« T’as un grand potentiel, quoique t’en dises. » Le regard roule un peu, mais les lèvres se noient dans son breuvage pour taire son insécurité légendaire. Une confiance en elle éclaté à grand coup de rabaissement perpétuel. Merlin seul saît Ô combien elle aurait aimé que ses parents aient un peu plus confiance en elle, desserre la laisse qui l'étranglait inlassablement car, loin d'êtres stupides, ils auraient dû pouvoir remarquer que tout ce qu'il claquait sévèrement derrière elle empirait plus encore la situation. Alors certes, elle se faisait plus docile, mais doutait aujourd'hui tellement d'elle que sa magie déraillait infiniment et qu'elle n'avait plus même confiance en ses capacités de médicomage. Tout ce qui résultait de cette course folle, des claquements incessants de fouet juste derrière elle et ce, pour la pousser à accélérer, c'était un paradoxale sentiment d'être acculée. Un besoin de fuite contre lequel elle luttait mais qui se faisait de plus en plus irrépressible...
« -Je... » L’amorce se brise soudainement et c'est machinalement que Cataleya tourne une mèche rousse autour de son indexe, nerveusement. « J'en ai envie. Du genre, vraiment envie. Et ce n'est pas les tentations qui manque, ni ma libido, c'est juste que... Je ne sais pas. Je sais que je ferais bien plus de mal que de bien, autant parce que j'ai un caractère impossible à vivre que parce que mon père pourrait briser des bras... Et si inspirer la peur chez les gens flatte ouvertement mon égo, je n'ai pas envie de faire du mal. Et puis soyons honnête, le premier réflexe que j'ai quand on m'embrasse c'est de gifler ; ça n'aide vraiment pas. »
Il n'y avait pas à dire, elle avait retenu la leçon Cillian jusqu'à la moelle de ses os et s'en lavait encore frénétiquement les mains, comme terrifiée à l'idée d'avoir ce sang là sur les doigts. Ce comportement compulsif s'était apaisé avec les années, mais il n'était pas rare qu'il revienne de temps à autre et qu'elle gratte presque jusqu'au sang cet épiderme coupable. « -Je ne suis juste pas faite pour draguer, je pense. Et encore moins pour tomber amoureuse. »
- InvitéInvité
Re: Le premier de nous deux qui rira aura une tapette (ft. Cataleya) [terminé]
Ven 13 Jan 2023 - 18:46
Le premier de nous deux qui rira aura une tapette ft. @Cataleya Blackthorn | 08.10.22Il ne comptait pas la juger tout comme certains s’amusaient à le juger, lui, parce qu’il ne rentrait pas dans les cases. Suite à cette révélation, son impression de Cataleya ne changea pas mais il se questionna, malgré tout, sur l’origine de cette pudeur. Wyatt pensait - à tort ou à raison - que cela dépassait le simple stade du “papa/maman ont dit non donc je ne le fais pas”. Il avait envie de dire que gaspiller une telle beauté était dommage, mais serait-ce la vérité ? Gaspiller ou préserver, il ne parvenait pas à se décider. Peut-être avait-elle raison d’attendre. Si cela lui convenait, pourquoi changer ? Wyatt n’avait pas su être aussi patient. Il avait déballé son précieux cadeau à la vitesse de l’éclair et s’en servait encore énormément aujourd’hui. Le dragonologue souligna néanmoins le potentiel séduction de sa camarade de soirée, persuadé qu’on ne le lui disait sûrement pas assez. Sans-gêne et pas du tout inquiet d’aborder des sujets fâcheux, il lui demanda si cet état virginal était uniquement de son fait ou d’un concours de circonstances. Wyatt n’avait aucun souci à écouter la vie sexuelle des autres. Il trouvait cela même très divertissant, si c’était bien amené.
La nervosité de Cataleya se ressentait à des kilomètres à la ronde. Aussi peu perspicace était-il, même Wyatt le remarquait.
« Mmmh, c’est vrai que ce n’est pas très efficace comme système… » Mais encore une fois, il constata qu’elle ramenait l’acte physique à quelque chose de plus suivi et régulier. « Pourrait-il briser les bras d’inconnus ? » Qui pourrait-elle blesser si ses aventures ne dépassaient pas le stade du lendemain matin ? Ce choix s’offrait à elle et il avait bien compris qu’elle ne souhaitait pas le saisir. Mais vu toutes ces inquiétudes, il trouvait logique qu’elle opte pour cette solution. Nul besoin de se soucier de blesser son partenaire s’il n’en était pas un à la base ! Nul besoin de s’inquiéter d’avoir un caractère “difficile à vivre”... Wyatt cherchait un moyen de lui faire comprendre cela sans la braquer davantage. Mais la subtilité n’était pas son fort.
« Hmmm… » dit-il dans un premier temps en gardant son regard rivé vers le sol, perdu dans ses pensées. « Je ne sais pas pour toi mais ouai, j’suis pas sûr que tout le monde soit fait pour ça. Je pense qu’avec un peu d’entraînement et de conseils, tu saurais draguer mais tomber amoureuse ? J’sais pas si ça s’apprend au final. Avec le temps, peut-être… puis, est-ce que ça vaut vraiment le coup, on s’le demande ! » L’Espagnol termina sa phrase par un ricanement mauvais qui trahissait des mois de rancune envers la fin de sa propre histoire d’amour. Il préférait ne pas y penser davantage. Cela ne faisait que mettre en avant ses propres ingérences sentimentales.
« Comment tu ferais pour que ce mec-là s’intéresse à toi ? » Tu désignes du menton un homme random qui jette déjà des coup d’œil vers elle - aka verre à moitié plein aka le boulot était déjà à moitié fait. Elle ne pouvait pas être SI nulle que cela ! Elle arrivait à le séduire, lui, bien que d’une toute autre manière et probablement non désirée…
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: Le premier de nous deux qui rira aura une tapette (ft. Cataleya) [terminé]
Sam 28 Jan 2023 - 19:03
« Pourrait-il briser les bras d’inconnus ? » Le rire s'élève à peine, tant pétri d'angoisse qu'il s'inscrivit dans une nervosité irrépressible. Son père n'avait clairement pas le temps d'enterrer vivant toute personne qui souillerait sa fille -et par extension, surtout, son propre nom- mais il ne faisait aucun doute que le jour où l'envie de venger cette tache laissé sur le blason familial le piquerait, Inverness connaîtrait une série de rafle des plus terrifiante. Elle refusait de prendre le risque et vivre en sachant condamner plus d'un homme pour son propre plaisir personnel, quoi qu'elle aimait plus que tout siffler l'inverse. Et puis, est-ce que cela valait vraiment le coup ? Faire les yeux doux, se perdre en compliment et cultiver des liens, même pour un nuit, était chronophage au possible . Autant se dédier corps et âme à ses études et se perdre dans une relation quelque peu malsaine avec son amour de la puissance et du pouvoir. Au moins elle était certaine de s'auto-valoriser et ne pas laisser le regard des autres la dégrader. Elle seraint ainsi certaine de ne jamais courir après un homme parce que celui-ci l'avait abandonné dans une histoire sans lendemain et qu'elle était tout bonnement incapable de vivre ainsi.
« puis, est-ce que ça vaut vraiment le coup, on s’le demande ! » Le ricanement de l'hispanique fait soudainement écho à la désolation qui rugit dans les claires iris de Cataleya. Par deux fois elle était tombée amoureuse ; le premier était mort et avait laissé pour héritage une série de traumatisme et angoisses irrépressible, le second cultivait sa frustration et était à deux doigts de finir attaché au lit pour cracher se qui le bloquait dans leur relation, et ce alors qu'elle lui envoyait des signaux avec l'intensité d'un phare projeté sur son crâne. Elle lui avait déjà mit ses seins nus sous le nez, que pouvait-elle faire de plus ? Alors, peut être que Wyatt avait raison de souligner cette question. Peu tête que tomber amoureux, ça ne valait au final pas le coup. C'était la promesse de déboire et frustration.
Le menton se lève, le regard de Cataleya suit intuitivement le mouvement et c'est pleinement déçue qu'elle croise les yeux de cet homme qui darde sur elle une expression de merlan frit. « Je suppose que je devrai taire le fait qu'il ait les cheveux gras, une expression flippante et le fait que me fixer de la sorte va clairement me pousser à croire qu'il tente de me défier et que je déteste, fondamentalement, ça. » C'était... Effectivement des choses à ne pas dire en cas de séduction. Un point pour les Lufkins. Si Cataleya fronce un peu le nez de déception -pour ne pas dire de dégoût, quand bien même son dramatisme prenait des allures légendaire-, elle a tôt fait de noyer le torrent de pensée qui l'agite dans son verre afin de ne pas choir devant un regard qui ne la lâche en rien.
Ok. C'était comme à la maison quand elle devait faire la conversation avec des cons. Dos droit, sourire aimable, pas le moindre mot de travers. Être parfaite en tout point, et ne surtout pas frapper en cas de contact. Ça devrait pouvoir le faire. Le verre se pose, le dos se redresse, et si le port de tête demeure pleinement impérieux, c'est un sourire en tout point charmant, plastique, qui se grave sur les lèvres de l'héritière. Elle a des airs de princesse de conte de fée Cataleya, les cheveux parfaitement ramené sur son épaule, la tenue impeccable, le sourire d'une douceur ineffable et le geste tant gracié par les muses et étoiles qu'il tiendrait presque de l’irréel, mais son regard s'acère, creuse l'âme avec tant d'insistance qu'il ne fait aucun doute qu'elle pourrait bondir au moindre geste esquissé par cet homme qu'elle ne lâche désormais plus. Le combat de regard est lancé.
« -Je suppose que je l'aborderai avec un compliment débile, que je me forcerai à faire comme si sa misérable vie m'intéressait, et qu'ensuite il me proposerait un verre que je refuserais, parce que mon vaisselier est complet et parfait en tout point. » Venait-elle de... Tenter une blague ? Nulle, mais blague quand même ! Le regard se tourne intuitivement vers Wyatt sur lequel elle choit de nouveau, pas spécialement convaincue par ses propres mots. « -Mais il a les mains qui ont l'air poisseuses. Et je crois que s'il approche je vais mour... Il approche. » Il approchait ce con !
« puis, est-ce que ça vaut vraiment le coup, on s’le demande ! » Le ricanement de l'hispanique fait soudainement écho à la désolation qui rugit dans les claires iris de Cataleya. Par deux fois elle était tombée amoureuse ; le premier était mort et avait laissé pour héritage une série de traumatisme et angoisses irrépressible, le second cultivait sa frustration et était à deux doigts de finir attaché au lit pour cracher se qui le bloquait dans leur relation, et ce alors qu'elle lui envoyait des signaux avec l'intensité d'un phare projeté sur son crâne. Elle lui avait déjà mit ses seins nus sous le nez, que pouvait-elle faire de plus ? Alors, peut être que Wyatt avait raison de souligner cette question. Peu tête que tomber amoureux, ça ne valait au final pas le coup. C'était la promesse de déboire et frustration.
Le menton se lève, le regard de Cataleya suit intuitivement le mouvement et c'est pleinement déçue qu'elle croise les yeux de cet homme qui darde sur elle une expression de merlan frit. « Je suppose que je devrai taire le fait qu'il ait les cheveux gras, une expression flippante et le fait que me fixer de la sorte va clairement me pousser à croire qu'il tente de me défier et que je déteste, fondamentalement, ça. » C'était... Effectivement des choses à ne pas dire en cas de séduction. Un point pour les Lufkins. Si Cataleya fronce un peu le nez de déception -pour ne pas dire de dégoût, quand bien même son dramatisme prenait des allures légendaire-, elle a tôt fait de noyer le torrent de pensée qui l'agite dans son verre afin de ne pas choir devant un regard qui ne la lâche en rien.
Ok. C'était comme à la maison quand elle devait faire la conversation avec des cons. Dos droit, sourire aimable, pas le moindre mot de travers. Être parfaite en tout point, et ne surtout pas frapper en cas de contact. Ça devrait pouvoir le faire. Le verre se pose, le dos se redresse, et si le port de tête demeure pleinement impérieux, c'est un sourire en tout point charmant, plastique, qui se grave sur les lèvres de l'héritière. Elle a des airs de princesse de conte de fée Cataleya, les cheveux parfaitement ramené sur son épaule, la tenue impeccable, le sourire d'une douceur ineffable et le geste tant gracié par les muses et étoiles qu'il tiendrait presque de l’irréel, mais son regard s'acère, creuse l'âme avec tant d'insistance qu'il ne fait aucun doute qu'elle pourrait bondir au moindre geste esquissé par cet homme qu'elle ne lâche désormais plus. Le combat de regard est lancé.
« -Je suppose que je l'aborderai avec un compliment débile, que je me forcerai à faire comme si sa misérable vie m'intéressait, et qu'ensuite il me proposerait un verre que je refuserais, parce que mon vaisselier est complet et parfait en tout point. » Venait-elle de... Tenter une blague ? Nulle, mais blague quand même ! Le regard se tourne intuitivement vers Wyatt sur lequel elle choit de nouveau, pas spécialement convaincue par ses propres mots. « -Mais il a les mains qui ont l'air poisseuses. Et je crois que s'il approche je vais mour... Il approche. » Il approchait ce con !
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Re: Le premier de nous deux qui rira aura une tapette (ft. Cataleya) [terminé]
Dim 29 Jan 2023 - 22:08
Le premier de nous deux qui rira aura une tapette ft. @Cataleya Blackthorn | 08.10.22Wyatt jeta un nouveau regard sur l’homme qu’il avait désigné et qui, oui, ne payait pas de mine. Il ne s’y risquerait pas, sauf avec plusieurs verres dans le nez peut-être. L’inconnu ne disait rien qui vaille et Cataleya le faisait remarquer sans prendre de pincettes. Ce qui l’amusait beaucoup. Il l’imaginait fort bien avoir de hauts standards, ne souhaitant pas accorder son temps à n’importe quel clampin venu l’importuner en la couvrant de compliments - aka lui-même - mais il était peut-être temps qu’elle descende un peu de sa grande monture et qu’elle mette ses beaux talons dans la boue. Les choses se passaient différemment dans ce type de soirées, où l’on pouvait s’acoquiner avec des personnes qu’on ne saurait même pas regarder plus de deux secondes dans la rue dans d’autres circonstances. Elle n’était pas la première à se trouver trop bien pour ce genre de gars (dans le fond, elle n’avait pas vraiment tort) et elle ne serait pas la dernière. Mais bêtement, Wyatt pensait que cela pourrait lui faire du bien. La confronter à autre chose que les relations de soirées mondaines, millimétrées jusqu’au moment où il faut aller se soulager après un dîner ridiculement trop peu copieux. Oui, cela lui arrivait aussi d’entretenir les clichés… N’est pas humaine celui qui ne commet aucune erreur.
« Comment ça, t’aimes pas qu’on te mette au défi ? Come on ! C’est le moment le plus drôle. » Pour lui, en tout cas, ça l’était. Il se marrait bien à voir l’air de la jeune femme, qui changeait tout à coup de position pour entrer dans le jeu de l’homme graisseux. Dans la détente, il sirota son verre dans un sourire, ravi de tenter cette petite expérience. Elle fut pourtant de courte durée puisque Cataleya vint bientôt se reposer contre lui. Vaincue ? Il ne pouvait le croire ! Ce n’était pas digne d’un dragon ! Sa blague avait au moins le mérite d’être drôle, il pouvait l’admettre. D’ailleurs, il ne s’empêcha pas de rire.
« Okay, c’est parce qu’il te plaît pas mais si tu le trouvais attirant, l’histoire serait différente. T’accepterais son verre dans ton vaisselier, si tu vois ce que je veux dire… » Son regard parlait pour lui, bien évidemment. Un regard plein de malice et de sous-entendus. Mais en soi, ses propos n’étaient-ils pas justes ? Beaucoup plus calme que la rousse, il regarda l’homme s’approcher d’eux dans une démarche qui ne lui faisait que peu justice.
« Ecoute » murmura-t-il à l’oreille de la Blackthorn quelques secondes avant qu’elle ne se fasse aborder. « Si tu veux clore ça rapidement, je te donne l’autorisation de m’embrasser et dire que j’suis ton mec. Avec un peu de chance, il te laissera tranquille ! Sinon, mmmh… la fuite ! » Il faisait cette proposition de bon cœur et sans arrière pensée. Wyatt n’avait aucun doute sur ses préférences romantiques et sexuelles mais, pour dépanner une personne en détresse, il était prêt à quelques sacrifices. Et embrasser une femme, il l’avait déjà fait auparavant… cela ne lui causait ni peine, ni dégoût. Aucun réel sentiment, en fin de compte. Mais il ne prendrait pas les devants, trouvant plus drôle que cela soit initié par Cataleya, si seulement elle osait y avoir recours…
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: Le premier de nous deux qui rira aura une tapette (ft. Cataleya) [terminé]
Sam 4 Fév 2023 - 17:12
Relever des défis, Micheline, c'était l'histoire de sa courte vie. Cataleya était tant une accrocs à l'adrénaline que les attentes irréalistes que plaquaient ses parents sur son petit crâne n'était devenu, aujourd'hui, qu'un moteur de plus dans son ascension fantasmée. Une excuse pour foncer d'avantage ; étrangler ses sursaut les plus sauvages sur une fatigue physique et mentale. Elle sélectionnait simplement ses défis pour discipliner l'envie de tous les relever et il ne faisait aucun doute que, au vu du sourire que lui adressait cet homme, là bas, la victoire était déjà assurée. Quand bien même humiliante. « mais si tu le trouvais attirant, l’histoire serait différente. »
Sans doute, certainement même... Elle se savait suffisamment stupide pour s'émouvoir d'un geste tendre alors, une main passé dans ses cheveux et l'autre sur ses hanches, peut-être considérerait-elle de laisser un verre passer les portes de son vaisselier.
« -Trouve moi un homme brun, ambitieux, avec de beau cheveux et on en reparle » Souffle t'elle en courbant le dos à mesure que son prétendent approche d'avantage. Il est vrai qu'elle n'était étonnamment pas si élitiste que ça en matière de critère physique, tant que le cœur se laissait charmer par le caractère face. Tout au plus une petite préférence pour les bruns, sportif et les petits cons, mais tant que la personne en face ne fuyait pas à toute vitesse lorsqu'elle montrait les crocs et qu'il se faisait un poil ambitieux et rassurant... « Ecoute » La proposition soufflé à son oreille lui arrache un éclat de rire mais elle ne l'envisage pas sérieusement, pour l'instant du moins car il est vrai qu'elle blêmit significativement lorsque l'homme se plante devant elle. Sa salutation est assuré, celle de Cataleya bien loin des habitudes. Certainement qu'en absence de Wyatt elle aurait craché qu'elle saluait le type à côté, pas lui, et qu'il était osé d'adresser la parole à sacro-sainte Quarta sans avoir daigné prendre un douche mais... Etait-ce le dragonologue qui la rendait si faible ? Aucune des horreurs qui agitent son esprit ne parviennent à passer les frontières de ses lèvres, à part peut être ce minuscule « Bonsoir » qui lui donne envie de s'éclater le crane contre la table.
« Merci d'accepter de jouer les pasteurs. » P-pardon ? La mais diaphane de Miss Blackthorn se noue doucement à celle de Wyatt et, c'est le plus assuré du monde qu'elle se redresse soudainement sur la table après avoir prit soin d'écarter verres et chips de son passage. « Micheline Bleu. Accepterais tu de faire de moi ton Francis , dit Barbe bleu ? » Les lèvres se porte à la main du dragonologue et c'est pleinement impérieuse qu'elle darde son regard sur l’assistance. Tout pour échapper à une tentative de drague humiliante. Tout. Même un mariage improvisé. Si elle ne réclame aucun baisé et bondit hors de la table, c'est en tout point fauve qu'elle passe ses bras autour du brun pour le jeter maladroitement sur son épaule. Ok. Ils vont se casser la gueule d'ici cinq minutes mais Cataleya sait qu'il lui faudra moins de temps que ça pour rejoindre la porte et engager une fuite. « Ne lâche pas les verres chérie, j'ai pas fini le mien. » Parce qu'il était hors de question d'abandonner son bloody mary à cet homme venu l'aborder, il ne fallait surtout pas lui laisser une miette de victoire !
Sans doute, certainement même... Elle se savait suffisamment stupide pour s'émouvoir d'un geste tendre alors, une main passé dans ses cheveux et l'autre sur ses hanches, peut-être considérerait-elle de laisser un verre passer les portes de son vaisselier.
« -Trouve moi un homme brun, ambitieux, avec de beau cheveux et on en reparle » Souffle t'elle en courbant le dos à mesure que son prétendent approche d'avantage. Il est vrai qu'elle n'était étonnamment pas si élitiste que ça en matière de critère physique, tant que le cœur se laissait charmer par le caractère face. Tout au plus une petite préférence pour les bruns, sportif et les petits cons, mais tant que la personne en face ne fuyait pas à toute vitesse lorsqu'elle montrait les crocs et qu'il se faisait un poil ambitieux et rassurant... « Ecoute » La proposition soufflé à son oreille lui arrache un éclat de rire mais elle ne l'envisage pas sérieusement, pour l'instant du moins car il est vrai qu'elle blêmit significativement lorsque l'homme se plante devant elle. Sa salutation est assuré, celle de Cataleya bien loin des habitudes. Certainement qu'en absence de Wyatt elle aurait craché qu'elle saluait le type à côté, pas lui, et qu'il était osé d'adresser la parole à sacro-sainte Quarta sans avoir daigné prendre un douche mais... Etait-ce le dragonologue qui la rendait si faible ? Aucune des horreurs qui agitent son esprit ne parviennent à passer les frontières de ses lèvres, à part peut être ce minuscule « Bonsoir » qui lui donne envie de s'éclater le crane contre la table.
La fierté la gifle si fort qu'enfin, elle parvient à se ressaisir.
« Merci d'accepter de jouer les pasteurs. » P-pardon ? La mais diaphane de Miss Blackthorn se noue doucement à celle de Wyatt et, c'est le plus assuré du monde qu'elle se redresse soudainement sur la table après avoir prit soin d'écarter verres et chips de son passage. « Micheline Bleu. Accepterais tu de faire de moi ton Francis , dit Barbe bleu ? » Les lèvres se porte à la main du dragonologue et c'est pleinement impérieuse qu'elle darde son regard sur l’assistance. Tout pour échapper à une tentative de drague humiliante. Tout. Même un mariage improvisé. Si elle ne réclame aucun baisé et bondit hors de la table, c'est en tout point fauve qu'elle passe ses bras autour du brun pour le jeter maladroitement sur son épaule. Ok. Ils vont se casser la gueule d'ici cinq minutes mais Cataleya sait qu'il lui faudra moins de temps que ça pour rejoindre la porte et engager une fuite. « Ne lâche pas les verres chérie, j'ai pas fini le mien. » Parce qu'il était hors de question d'abandonner son bloody mary à cet homme venu l'aborder, il ne fallait surtout pas lui laisser une miette de victoire !
- InvitéInvité
Re: Le premier de nous deux qui rira aura une tapette (ft. Cataleya) [terminé]
Dim 5 Fév 2023 - 23:07
Le premier de nous deux qui rira aura une tapette ft. @Cataleya Blackthorn | 08.10.22Brun, ambitieux avec de beaux cheveux… Il trouva dans ces propos une description en tous points semblable à sa personne et c’est d’un faux menton fier levé qu’il darda sur elle son regard clair. « Mais tu l’as déjà trouvé ma biche. » Trop tard, cependant, pour amorcer un autre échange que celui-ci et en dernier recours, il lui proposa deux solutions qui lui permettraient de se débarrasser du prétendant audacieux. Wyatt le regarda s’approcher avec la confiance d’un mammouth en pleine saison amoureuse et se pinça les lèvres pour ne pas rire face à la scène qu’il pensait voir se produire sous ses yeux.
Elle fut pourtant bien différente de tout ce qu’il pouvait imaginer. Tout ce qu’il aurait pu imaginer. Aussi étonné que le rôdeur par les paroles de Cataleya, il leva sur elle un regard interrogateur, se demandant quel était son plan de sortie. Car il y avait fort à parier qu’elle était en train de le mettre en place et cela ne manqua pas. Difficile pour Wyatt de ne pas éclater de rire alors qu’il reçoit la demande en mariage la plus ridicule et audacieuse qui soit. Tout, de la mise en scène jusqu’aux noms échangés, relevait du n’importe quoi. Un trait qu’il découvrait chez la Blackthorn. Elle qui semblait si stricte, si collée montée, faisait preuve d’une grande autodérision à laquelle il ne pouvait qu’adhérer. Le dragonologue sauta les pieds joints dans la mare, éclaboussant l’assistance au passage par sa folie.
« Oh, mon Francis Bleu, comment refuser une telle demandaille ? Bien sûr que j’acceptois de t’épousailler ! Cent fois s’il le faut, parole de Micheline Bleu. » Pas de baiser cependant mais une tentative d’extirpation de la pièce qui rendrait jaloux les plus célèbres équilibristes du monde. Car qui aurait pu deviner qu’une fine portion comme elle aurait la force de le porter lui, avec son mètre quatre-vingt et ses plus de soixante-quinze kilos ? Complètement émerveillé par ce qui se produisait et pas du tout inquiet du ridicule qui les englobait en produisant une telle scène, il s’accrocha à la taille de Cataleya, espérant ainsi retirer quelques kilos du poids qu’elle devait supporter sur son épaule. Wyatt, le sourire aux lèvres et les yeux pétillants, adorait voir la scène depuis son point de vue. Il lâcha la taille de la sorcière pour prendre leurs verres, ne pouvant désormais lui assurer plus de confort. Il n’y avait désormais plus qu’à prier pour que la sortie se fasse sans chute catastrophique, sinon tout le sketch serait perdu. Ils tinrent bon, l’un comme l’autre, aidés par la foule qui se scindait en deux sur leur passage, amusés (merci l’alcool) par ce spectacle incongru. Wyatt lui-même accompagnait leur chemin avec gaieté.
« Écartez-vous ! Laissez passer le couple royal sanguinolent ! Les Bleu arrivent, laissez passer les mariés ! » Et nul ne serait jamais en mesure de dire comment, mais ils parvinrent jusqu’à la porte, qui se referma derrière eux avec, en prime, quelques applaudissements mérités. « Quelle sortie royale, mon cher Francis. Vous méritez bien le retour de votre verre. » Revenu les deux pieds sur terre, il rendit à Cataleya son Bloody Mary. Puis dans un rire, il ajouta. « Toi, j’vais te garder dans l’coin. Allez, viens par là, on a un mariage à organiser et j’coucherai pas avec toi avant d’avoir une bague avec un GROS diamant ! » Et tout en prenant le chemin des escaliers, il babilla sur la couleur de sa future robe de mariée, des fleurs et des invités, de quelle couleur serait le gâteau et à quel goût, leur peignant dans la mémoire un mariage aussi frivole qu’unique et grotesque.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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» crédits : @Meloria
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» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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Inventaire Sorcier:
Re: Le premier de nous deux qui rira aura une tapette (ft. Cataleya) [terminé]
Lun 10 Juil 2023 - 13:53
Ambitieuse, Cataleya mésestime la taille et le poids de Wyatt et fait quelques pas sur le côté pour se rééquilibrer. Ok. Leur sortie serait définitivement plus complexe que ce à quoi elle avait aspiré mais il était trop tard pour revenir en arrière. Foutue pour foutue... Sombrons avec panache ! Et de travers. Un homme a la décence de la rattraper lorsque la répartition du poids se fait trop hasardeuse mais enhardie sur les applaudissement, Cataleya s'accroche désespérément à la porte de sortie. Plus que quelques pas et... Enfin ! Wyatt retombe superbement sur ses pied. Il rayonne, tout bonnement, et la Blackthorn se laisse à croire que, oui, peut être, cet homme aurait pu être le prince charmant qu'elle attendait depuis ses plus jeune année. Dommage qu'il craque lui aussi sur de beaux princes. Loin de s'en désoler pourtant, la Blackthorn étouffe un rire dans son Bloody Mary et lui promet une bague outrageuse tant sa conception tenait du fantasque et de l'excès.
Elle voulait des perles, elle voulait des roses, une robe sirène au décolleté dorsal plongeant et une pièce montée improbable. La plus grande qu'ait connu la grande Bretagne. Et des dragons ? Pouvait-on seulement leur offrir des oeufs de dragon en guise de cadeaux de mariage ? Il était dragonologue et elle, en capacité de s'abroger des lois grace à Papa ! Elle voulait ses enfants dragons !
« Nous sommes amenés à faire de grandes chose toi et moi, Micheline. Je le ressens jusque dans mes tripes.»
Elle le pensait. Ce genre de rencontre n'arrivait pas par hasard et il suffisait de voir ô combien la Blackthorn se plaignait de son mal de joue pour réaliser à quel point rire lui avait manqué. A quel point cet homme, sans même la connaître, était parvenu à l'arracher à son cadre morose et sec pour l'égailler d'un jeté de paillette.
Elle voulait des perles, elle voulait des roses, une robe sirène au décolleté dorsal plongeant et une pièce montée improbable. La plus grande qu'ait connu la grande Bretagne. Et des dragons ? Pouvait-on seulement leur offrir des oeufs de dragon en guise de cadeaux de mariage ? Il était dragonologue et elle, en capacité de s'abroger des lois grace à Papa ! Elle voulait ses enfants dragons !
« Nous sommes amenés à faire de grandes chose toi et moi, Micheline. Je le ressens jusque dans mes tripes.»
Elle le pensait. Ce genre de rencontre n'arrivait pas par hasard et il suffisait de voir ô combien la Blackthorn se plaignait de son mal de joue pour réaliser à quel point rire lui avait manqué. A quel point cet homme, sans même la connaître, était parvenu à l'arracher à son cadre morose et sec pour l'égailler d'un jeté de paillette.
Terminé
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