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Ethan Lacroix ㄨ Pensine
Jeu 29 Déc 2022 - 16:58
...
- InvitéInvité
Re: Ethan Lacroix ㄨ Pensine
Ven 23 Fév 2024 - 22:20
Le Prix de la Trahison - Part 1
TW : Torture.
Ethan ?!
Il y avait dans sa voix un doux mélange d'incompréhension et de ressentiment, alors que ses yeux s'ouvraient enfin sur ton visage.
Ethan ?! C'était donc vraiment toi derrière toute cette mascarade. Je te jure que...
Que quoi ? Le ton de ta voix suffit à arrêter la sorcière dans sa véhémence. Pourtant, tu n'avais pas crié. Tu ne t'étais pas emporté. Tu ne t'étais pas enflammé. Mais elle te connaissait non ? Et celle qui avait été ta femme si longtemps devait le savoir : alors que ce timbre se dessinait sur tes lèvres, le froid qu'il exprimait n'augurait jamais quelque chose de bon.
Ethan. Réfléchis. Ils vont tous me rechercher. Et quand ils vont me retrouver, tu perdras tout. Assise sur sa chaise, les mains captive par un sort qu'avait réaliser les gardiens de ce lieu, la jeune femme semblait réellement convaincu de ce qu'elle affirmait, chose qui te fit esquisser un sourire.
Tu parles de tes parents ? Tu penses qu'ils vont venir ? Ta tête se penche légèrement, alors que ton esprit vient gratter les portes du sien, provoquant cette réaction lisible sur son visage. La Schrubber resiste à cet assaut sauvage et brutal de ses pensées, sans comprendre que le défi et la douleur qui en résulteront ne seront pour toi que des raisons de plus de continuer.
Non, tu penses à lui, à @Andrew Hill. Tu espères qu'il va te retrouver, te sauver...
Je t'interdis, espèce de salaud ! hurle-t-elle alors. Andrew est...
bel et bien à ta recherche, je le reconnais. Il a même été jusqu'à venir me voir, tu te rends compte. Dire qu'il comptait te demander en mariage... Information que tu laisses volontairement glisser sur tes lèvres, ne serait-ce que pour entrevoir cette aspiration de bonheur sur le visage de ton ex-femme. Oh mince, c'est vrai, tu n'étais pas au courant. Pardon, j'ai gaché la surprise. Et en quelques mots, voir cette même expression se transformer en haine à ton égard.
Tu ignores de quoi il est capable. Il va me retrouver et te...
Allons ma chérie... Même si il imaginait où tu te trouves maintenant, le temps qu'il arrive, tu ne serais plus ici. Et puis... on est quand même dans cet endroit réputé si inviolable. Tu n'as pas reconnu la pièce...
Les yeux de la Schrubber semble s'effrayer de la réalité, alors que la lumière se fait un peu plus vive, à la lueur des baguettes des hommes de main du doyen Tamaharu. Tu... Tu n'as pas osé... on... on est dans...
Oui ! Déclares-tu en te levant, heureux de cette constation de son esprit. Bienvenue Chérie dans le légendaire coffre 17 de la Famille De Lacroix ! Un lieu de passage pour elle, une étape dans son voyage pour son pélerinage de rédemption.
Les gobelins n'ont pas pu... Fermer les yeux tandis qu'on t'amenait ? Voyons, Penny chérie... Il n'y a rien de plus corruptible qu'un Gobelin, et rien de plus discret quand il s'agit des coffres des plus vieilles familles.
Tu la sentais, la peur monter en elle. Tu l'entendais s'immiscer au cœur de ton cerveau, se loger dans ses pensées. Mais déjà tu te rapprochais d'elle, une main venant caresser son visage : Non, Penny s'il te plait... voyons, tu ne vas plus rester ici très longtemps rassure toi. Alors ne cèdes pas à la peur, c'est beaucoup trop tôt.
Ethan... Réfléchis. Ca peut s'arrêter là. Ethan... Pensait-elle réellement te convaincre ainsi ? Croyait-elle réellement que la raison t'habitait encore dans ces moments ? Doucement tu reculais en la regardant, assise là sur sa chaise. Et calmement tu répondais : C'est vrai. Cela aurait pu s'arrêter là. Tu aurais pu aussi tout éviter. Tu aurais pu... Mais tu ne l'as pas fait. Tu ne l'as pas fait Penny. Et maintenant...
Ethan... si tu oses, je te jure que...
Endoloris !
TW : Torture.
17 février 2024
Ethan ?!
Il y avait dans sa voix un doux mélange d'incompréhension et de ressentiment, alors que ses yeux s'ouvraient enfin sur ton visage.
Ethan ?! C'était donc vraiment toi derrière toute cette mascarade. Je te jure que...
Que quoi ? Le ton de ta voix suffit à arrêter la sorcière dans sa véhémence. Pourtant, tu n'avais pas crié. Tu ne t'étais pas emporté. Tu ne t'étais pas enflammé. Mais elle te connaissait non ? Et celle qui avait été ta femme si longtemps devait le savoir : alors que ce timbre se dessinait sur tes lèvres, le froid qu'il exprimait n'augurait jamais quelque chose de bon.
Ethan. Réfléchis. Ils vont tous me rechercher. Et quand ils vont me retrouver, tu perdras tout. Assise sur sa chaise, les mains captive par un sort qu'avait réaliser les gardiens de ce lieu, la jeune femme semblait réellement convaincu de ce qu'elle affirmait, chose qui te fit esquisser un sourire.
Tu parles de tes parents ? Tu penses qu'ils vont venir ? Ta tête se penche légèrement, alors que ton esprit vient gratter les portes du sien, provoquant cette réaction lisible sur son visage. La Schrubber resiste à cet assaut sauvage et brutal de ses pensées, sans comprendre que le défi et la douleur qui en résulteront ne seront pour toi que des raisons de plus de continuer.
Non, tu penses à lui, à @Andrew Hill. Tu espères qu'il va te retrouver, te sauver...
Je t'interdis, espèce de salaud ! hurle-t-elle alors. Andrew est...
bel et bien à ta recherche, je le reconnais. Il a même été jusqu'à venir me voir, tu te rends compte. Dire qu'il comptait te demander en mariage... Information que tu laisses volontairement glisser sur tes lèvres, ne serait-ce que pour entrevoir cette aspiration de bonheur sur le visage de ton ex-femme. Oh mince, c'est vrai, tu n'étais pas au courant. Pardon, j'ai gaché la surprise. Et en quelques mots, voir cette même expression se transformer en haine à ton égard.
Tu ignores de quoi il est capable. Il va me retrouver et te...
Allons ma chérie... Même si il imaginait où tu te trouves maintenant, le temps qu'il arrive, tu ne serais plus ici. Et puis... on est quand même dans cet endroit réputé si inviolable. Tu n'as pas reconnu la pièce...
Les yeux de la Schrubber semble s'effrayer de la réalité, alors que la lumière se fait un peu plus vive, à la lueur des baguettes des hommes de main du doyen Tamaharu. Tu... Tu n'as pas osé... on... on est dans...
Oui ! Déclares-tu en te levant, heureux de cette constation de son esprit. Bienvenue Chérie dans le légendaire coffre 17 de la Famille De Lacroix ! Un lieu de passage pour elle, une étape dans son voyage pour son pélerinage de rédemption.
Les gobelins n'ont pas pu... Fermer les yeux tandis qu'on t'amenait ? Voyons, Penny chérie... Il n'y a rien de plus corruptible qu'un Gobelin, et rien de plus discret quand il s'agit des coffres des plus vieilles familles.
Tu la sentais, la peur monter en elle. Tu l'entendais s'immiscer au cœur de ton cerveau, se loger dans ses pensées. Mais déjà tu te rapprochais d'elle, une main venant caresser son visage : Non, Penny s'il te plait... voyons, tu ne vas plus rester ici très longtemps rassure toi. Alors ne cèdes pas à la peur, c'est beaucoup trop tôt.
Ethan... Réfléchis. Ca peut s'arrêter là. Ethan... Pensait-elle réellement te convaincre ainsi ? Croyait-elle réellement que la raison t'habitait encore dans ces moments ? Doucement tu reculais en la regardant, assise là sur sa chaise. Et calmement tu répondais : C'est vrai. Cela aurait pu s'arrêter là. Tu aurais pu aussi tout éviter. Tu aurais pu... Mais tu ne l'as pas fait. Tu ne l'as pas fait Penny. Et maintenant...
Ethan... si tu oses, je te jure que...
Endoloris !
- InvitéInvité
Re: Ethan Lacroix ㄨ Pensine
Lun 26 Fév 2024 - 21:26
Le Prix de la Trahison - Part 2
TW : Torture.
Andrew... Andrew c'est toi... tu es venu... S'il te plait, délivres moi et...
Te délivrer ? Pourquoi ? Je ne t'aime pas Penny. La vérité, c'est que je ne t'ai jamais aimé. Je me sens tellement libre sans toi...
Andrew... non... je... j'ai renoncé à tout pour toi... je... ETHAN ! SORS DE MA TETE !!!
Tu riais, tandis que la vision de son prince charmant s'effacait et que la prison où elle avait été déplacé reprenait ses droits. Allongée autant que ligotée sur sa table, la Schrubber faisait face à une autre forme de supplice, depuis maintenant à peu près 42 heures : celui de la goutte. Cette minuscule goutte qui tombe, avant la suivante, et la suivante, et ainsi de suite. Le tout dans un intervalle régulier, un supplice simple mais diablement efficace pour rendre fou n'importe qui. Une réelle voie de garage pour rentrer dans l'esprit de la sorcière, pour le controler et le détraquer.
Espece d'enfoiré !
Le plus amusant reste que tu le crois capable de te retrouver ici. Cela n'arriverait jamais. Qui venait dans ce lieu maudit, ancien chateau où les murs faisaient plus de bruit que le vent, où les récits des guerres faisaient état d'immondes crimes contre l'humanité, où ton propre grand père s'était adonné à bien des actes innommables au nom du plus grand bien.
Tu... Tu ne me briseras jamais !
Ton regard s'arrête à cette affirmation, avant que ton corps ne se relève et vienne à la rencontre de celui de la sorcière. Délicatement, ta baguette venait se poser sur la jambe abimée de cette dernière, pour lentement remonter son corps, réveillant quelques cicatrices encore fraiches tandis qu'elle passait dessus.
Penny, voyons trésor. Je ne cherches pas à te briser. Regard qui vient sceller le sien, tu ajoutes en appuyant de ton poing sur une des cicatrices les plus vives : Je ne veux que t'entendre souffrir. Le rale de douleur qui s'échappa alors de ses lèvres, tandis que tu appuyais, il était doux à ton oreille, un délice à entendre et ressentir.
Je... je te déteste...
Chuut. En voila des bien vilains mots, à moi qui pensait te soigner.
Tu ne me soignes que pour me blesser que davantage après...
Doucement tu hoches la tête, et la sorcière le comprends aisément, cela va recommencer. Tu vas de nouveau l'ouvrir, te servir de tes connaissances sur l'anatomie pour entailler sa chair, que tu recoudras ensuite pour ne laisser qu'une faible cicatrice si jamais elle devait apparaitre. Une facon de t'exercer. Une façon de lui faire payer le mal qu'elle avait pu faire à vos filles.
Tu penses qu'il t'aimera encore après tout ça, ton immonde bête de chéri ?
Tu ne me laisseras jamais partir, je le sais bien.
Tutututut Qu'est ce que tu affirmes là ? Tu crois que tu vas mourrir ? ahahahahaha. Nooon. Non Penny. Je te promets que tu vas vivre. Je ne te tuerais pas... Et quand j'en aurais fini avec toi, ils te redéposeront devant chez lui...
Dans les yeux de la sorcière, la lueur d'espoir à cette promesse se fana bien vite, alors qu'elle vit ton regard. Ce regard si malsain, annonciateur de rien de bon, confirmant à l'allemande qu'elle avait de réelles raisons de te craindre. Et pourtant, quelque part au fond de son âme, l'espoir demeurait. Tu en étais conscient, et t'assurais même qu'il le reste.
TW : Torture.
21 février 2024
Andrew... Andrew c'est toi... tu es venu... S'il te plait, délivres moi et...
Te délivrer ? Pourquoi ? Je ne t'aime pas Penny. La vérité, c'est que je ne t'ai jamais aimé. Je me sens tellement libre sans toi...
Andrew... non... je... j'ai renoncé à tout pour toi... je... ETHAN ! SORS DE MA TETE !!!
Tu riais, tandis que la vision de son prince charmant s'effacait et que la prison où elle avait été déplacé reprenait ses droits. Allongée autant que ligotée sur sa table, la Schrubber faisait face à une autre forme de supplice, depuis maintenant à peu près 42 heures : celui de la goutte. Cette minuscule goutte qui tombe, avant la suivante, et la suivante, et ainsi de suite. Le tout dans un intervalle régulier, un supplice simple mais diablement efficace pour rendre fou n'importe qui. Une réelle voie de garage pour rentrer dans l'esprit de la sorcière, pour le controler et le détraquer.
Espece d'enfoiré !
Le plus amusant reste que tu le crois capable de te retrouver ici. Cela n'arriverait jamais. Qui venait dans ce lieu maudit, ancien chateau où les murs faisaient plus de bruit que le vent, où les récits des guerres faisaient état d'immondes crimes contre l'humanité, où ton propre grand père s'était adonné à bien des actes innommables au nom du plus grand bien.
Tu... Tu ne me briseras jamais !
Ton regard s'arrête à cette affirmation, avant que ton corps ne se relève et vienne à la rencontre de celui de la sorcière. Délicatement, ta baguette venait se poser sur la jambe abimée de cette dernière, pour lentement remonter son corps, réveillant quelques cicatrices encore fraiches tandis qu'elle passait dessus.
Penny, voyons trésor. Je ne cherches pas à te briser. Regard qui vient sceller le sien, tu ajoutes en appuyant de ton poing sur une des cicatrices les plus vives : Je ne veux que t'entendre souffrir. Le rale de douleur qui s'échappa alors de ses lèvres, tandis que tu appuyais, il était doux à ton oreille, un délice à entendre et ressentir.
Je... je te déteste...
Chuut. En voila des bien vilains mots, à moi qui pensait te soigner.
Tu ne me soignes que pour me blesser que davantage après...
Doucement tu hoches la tête, et la sorcière le comprends aisément, cela va recommencer. Tu vas de nouveau l'ouvrir, te servir de tes connaissances sur l'anatomie pour entailler sa chair, que tu recoudras ensuite pour ne laisser qu'une faible cicatrice si jamais elle devait apparaitre. Une facon de t'exercer. Une façon de lui faire payer le mal qu'elle avait pu faire à vos filles.
Tu penses qu'il t'aimera encore après tout ça, ton immonde bête de chéri ?
Tu ne me laisseras jamais partir, je le sais bien.
Tutututut Qu'est ce que tu affirmes là ? Tu crois que tu vas mourrir ? ahahahahaha. Nooon. Non Penny. Je te promets que tu vas vivre. Je ne te tuerais pas... Et quand j'en aurais fini avec toi, ils te redéposeront devant chez lui...
Dans les yeux de la sorcière, la lueur d'espoir à cette promesse se fana bien vite, alors qu'elle vit ton regard. Ce regard si malsain, annonciateur de rien de bon, confirmant à l'allemande qu'elle avait de réelles raisons de te craindre. Et pourtant, quelque part au fond de son âme, l'espoir demeurait. Tu en étais conscient, et t'assurais même qu'il le reste.
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Re: Ethan Lacroix ㄨ Pensine
Ven 5 Avr 2024 - 14:59
Le Prix de la Trahison - Part 3 - The End
TW : Racisme, Torture, meurtre
Ame sensible, s'abstenir !
Tu t'étais excusé auprès de tes convives et de @Calliope Muller, souhaitant une bonne nuit à ses parents qui avait l'opportunité de loger chez les Lacroix pour la nuit. Tu avais promis à Calliope de revenir vite, et t'étais exilé dans l'étude. Déballant alors enfin le paquet que tu avais reçu plus tôt dans la journée et que ce brave Guillaume avait soigneusement déposé, tu aperçois l'objet choisi : un poignard. Objet de collection qui viendra plus tard orné une vitrine et que personne ne retouchera. Azazrel. Maitre Ethan. Tu sais quoi faire. Oui Maitre. Baissant la tête en révérance, l'elfe recula de quelques pas, s'effaçant dans l'ombre de la pièce tandis que ta main se portait sur l'objet qui commençait doucement à trembler.
Quelques secondes plus tard, tu n'étais plus dans le faste de la demeure familiale Suisse, mais entouré d'une foret. Un endroit que tu connaissais, que tu avais choisi. L'heure n'était pas la même, ni la température. Et rangeant l'arme et son fourreau à ta ceinture, tu avançais par le chemin qui se présentait devant toi jusqu'à croiser la présence d'autres sorciers, typés asiatique.
Mr Lacroix. Les hommes s'exprimaient dans un anglais correct, mais avec l'accent qui trahissait leur nationalité thailandaise. Tout est prêt. Très bien. Suivez-moi dans ce cas. répondis-tu alors, entrant dans ce qui s'approchait de ruines d'un ancien temple. Au fur et à mesure que vous avanciez, des sons parvenaient à vos oreilles, sons que n'importe qui finiraient par reconnaitre comme des pleurs.
Penny... Penny, ma chérie. Pourquoi pleures-tu ? Un jour comme aujourd'hui voyons.
Ethan... Le regard de la sorcière, assise au sol contre mur semblait déjà brisé. Elle se trouvait en contrebas, dans ce qui était autrefois une arène sacrificielle : une pièce circulaire fait de pierre, avec des couloirs qui ramenaient tous vers la pièce centrale.
Je t'en prie, laisse moi rentrer...
Ton regard venait défier celle que jadis tu avais promis de protéger. Et calmement tu répondait : Tu vas pouvoir rentrer. Anan et Sombun que tu vois derrière moi vont y veiller, mais pour ça, tu dois te soumettre à une dernière épreuve. Elle sembla frémir alors à tes paroles, inquiète réellement de ce que tu allais demander. Elle te connaissait, et doucement se rendait bien compte que te défier avait été sa véritable erreur. Elle ne pouvait dès lors que craindre ce qui serait ta "dernière épreuve".
Et tandis que le silence s'installait à peine, de nouveaux pas se firent entendre. Des pas s'approchant, jusqu'à ce qu'un elfe de maison, un gobelin et un centaure rentrent dans la cavité, apercevant la sorcière. A les voir, il était évident qu'ils n'étaient pas les plus nobles de leur espèce. Pour te laisser retourner vers lui, je veux que tu embrasses toutes les créatures présentes dans cette pièce. Ce n'est qu'à cette condition que tu pourras t'en aller.
Tu... Espèce d'ordure...
C'est toi qui vois Penny. Moi ça m'arrange, j'ai parié avec Anan que tu ne le ferais pas... Le défi était lancé, dernière de tes armes avant de la soumettre par Impero. Non pas que tu aurais détesté, mais tu préférais réellement l'idée que cela vienne d'elle, elle qui avait osé souillé votre lit conjugal avec une autre créature immonde, misérable sang-de-bourbe qui avait osé te menacer.
Jure-le. Jure le sur la vie de ta fille, sur la vie de ta précieuse Isabelle.
Ton regard s'assombrit soudain à cette demande. Comment pouvait-elle... Expirant d'exaspération, tu répondis : Je serais même pret à faire un serment inviolable, mais soit. Anan. Sir ? Tournant le regard vers l'homme de main, tu continuas : Si cette femme embrasse chaque créature et qu'elle n'est pas rendue au Sang de Bourbe Andrew Hill, ma fille Isabelle sera la propriété de votre Maitre. Le pacte est scellé.
Regardant Péneloppe, tu ajoutais alors : Cela te suffit ? Il était évident que tu n'irais pas, jamais jusqu'à menacer ton enfant, et ça, la mère d'Isabelle le savait très bien. Te faire la considérer comme une marchandise était déjà l'une des pires offenses qu'elle pouvait te faire, mais suffisante pour enlever ses doutes. Elle le savait : l'existence d'Isabelle avait toujours été ton réel point faible. la sienne, et celle de sa soeur Cassandre.
Se relevant, la sorcière s'approcha alors à tour de role de l'elfe, du gobelin et du centaure pour les embrasser et les regarder ensuite s'en aller, non sans un certain dégout face à ces derniers.
Tu as eu ce que tu voulais. Maintenant, Ethan, tiens parole.
Je tiendrais parole Penny. Aussitot que tu auras embrassé chacune des créatures dans la pièce, tu seras libre. Le regard incompréhensif de la sorcière te vit reculer d'un pas, et les hommes de main firent apparaitre devant toi et devant chacune des issues un voile bleuté, typique du sort qu'il lançait. Et alors que le sol semblait se glacer, la sorcière regarda en l'air pour apercevoir une sorte de trappe s'ouvrir.
Ethan... Tu ne vas quand même pas ... Non, non, non non ...
Déjà elle tentait de s'enfuir, mais sitôt qu'elle s'approchait d'une entrée, elle était repoussé par les hommes de mains de la famille Chankimha, alors que la silhouette encapuchonnée descendait dans l'antre, vers celle qui avait été préparée spécialement pour elle. Elle s'essaya plusieurs minutes à la repousser, au moyen de la magie sans baguette, parvenant à former tout de même un faible bouclier emprunt probablement de son souvenir le plus intense en compagnie du professeur de runes en place à l'université, mais finalement succomba à la morosité du détraqueur qui l'attaquer. La créature n'avait qu'une consigne, alors que la trappe se refermait sur les tous derniers espoirs de la Schrubber : lui administrer un baiser. Et tu ne détournas pas le regard, à la différence des autres témoins de la scène. Tu observa ce moment, afin d'être sur que tu ne serais pas la personne lésé dans ce marché.
De longues minutes, jusqu'à ce que tout s'arrête. Jusqu'à ce qu'une dernière larme ne coule sur sa joue sale et souillée.
Sir, le Maitre m'a demandé de vous remettre ceci. Et de vous rappeler qu'il faut vous hâter, le portoloin ne vous attendra pas. Que devenons-nous faire du corps ? J'ai promis qu'elle serait rendu à Andrew, alors rendez-lui. Et dans ce cas, Isabelle sera libre n'est-ce-pas ? C'est le pacte oui, mais le Maitre... Ta main se lève comme pour l'arrêter. Ana, tu apprendras qu'un Lacroix paye toujours ses dettes. Très bien, Sir. Et, pour les autres ? Ethan le regarda alors, prenant le pendentif qu'il lui tendait, avant d'ajouter : Ces créatures ont posées les lèvres sur une sorcière au sang pur. Détruis-les. Et débarrasse-toi des autres témoins. Bien, sir.
Tournant les talons, tu repartis alors, sachant qu'Anan ferait ce qu'il faut, conscient qu'à la fin, il ne resterait plus que lui. Son Maitre aurait la récompense promise, ainsi que le dédommagement pour les pertes collatérales de ce dernier ordre, et Anan ton approbation pour l'avenir.
Sortant du temple, tu regardais le ciel avant d'enfiler le médaillon que l'on t'avait donné. Et prenant le pendentif dans tes mains, tu venais tourner le sablier à l'intérieur de quelques tours, avant de voir les événements défiler sous tes yeux, revenant une heure plus tôt par tour qui avait été fait. La seule différence : le fourreau du couteau que quelqu'un avait déposé là, proche. Le prenant, tu venais y ranger le poignard avant que l'objet ne tremble et t'emporte.
Le choc des températures étaient manifestes. Tu n'étais pas revenus à l'intérieur de ton étude, mais à l'extérieur de votre manoir, au coeur de ce qui était le cimetière familial. Tu avais préféré, pas certain que ton étude ne soit pas investie au pire moment. Mais qui venait dans le cimetière ?
Maitre Ethan.
Azazrel apparaissait à coté de toi, comme tu le lui avais ordonné. Et retirant le retourneur de temps à ton cou, tu lui tendis avec le poignard. C'est terminé. Assure toi que le retourneur parvienne au Lord Chankimha et que le poignard soit débarrasser de toute trace de Magie. Et ensuite... place le dans la vitrine de l'étude. Prenant les objets, l'Elfe répondit : Ce sera fait Maitre. Puis-je vous demander... Non. Et tu ne reparlera plus jamais d'elle. Bien Maitre. Il en sera fait comme le Maitre le demande. Azazrel ... Le sorcier regarda son Elfe, s'assurant de son attention. Je veux que tu portes le vêtement que je t'ai offert. Mais Maitre, si Azazrel fait cela, il ne pourra plus vous servir. C'est faux Azazrel. Si tu le fais, tu seras libre. Libre de choisir. Et si il voulait, de te choisir.
Le laissant là, tu entrepris de rentrer au manoir, de retrouver celle que tu avais laissé il y a à peine quelques minutes pour elle.
TW : Racisme, Torture, meurtre
Ame sensible, s'abstenir !
23 février, dans la nuit
Tu t'étais excusé auprès de tes convives et de @Calliope Muller, souhaitant une bonne nuit à ses parents qui avait l'opportunité de loger chez les Lacroix pour la nuit. Tu avais promis à Calliope de revenir vite, et t'étais exilé dans l'étude. Déballant alors enfin le paquet que tu avais reçu plus tôt dans la journée et que ce brave Guillaume avait soigneusement déposé, tu aperçois l'objet choisi : un poignard. Objet de collection qui viendra plus tard orné une vitrine et que personne ne retouchera. Azazrel. Maitre Ethan. Tu sais quoi faire. Oui Maitre. Baissant la tête en révérance, l'elfe recula de quelques pas, s'effaçant dans l'ombre de la pièce tandis que ta main se portait sur l'objet qui commençait doucement à trembler.
Quelques secondes plus tard, tu n'étais plus dans le faste de la demeure familiale Suisse, mais entouré d'une foret. Un endroit que tu connaissais, que tu avais choisi. L'heure n'était pas la même, ni la température. Et rangeant l'arme et son fourreau à ta ceinture, tu avançais par le chemin qui se présentait devant toi jusqu'à croiser la présence d'autres sorciers, typés asiatique.
Mr Lacroix. Les hommes s'exprimaient dans un anglais correct, mais avec l'accent qui trahissait leur nationalité thailandaise. Tout est prêt. Très bien. Suivez-moi dans ce cas. répondis-tu alors, entrant dans ce qui s'approchait de ruines d'un ancien temple. Au fur et à mesure que vous avanciez, des sons parvenaient à vos oreilles, sons que n'importe qui finiraient par reconnaitre comme des pleurs.
Penny... Penny, ma chérie. Pourquoi pleures-tu ? Un jour comme aujourd'hui voyons.
Ethan... Le regard de la sorcière, assise au sol contre mur semblait déjà brisé. Elle se trouvait en contrebas, dans ce qui était autrefois une arène sacrificielle : une pièce circulaire fait de pierre, avec des couloirs qui ramenaient tous vers la pièce centrale.
Je t'en prie, laisse moi rentrer...
Ton regard venait défier celle que jadis tu avais promis de protéger. Et calmement tu répondait : Tu vas pouvoir rentrer. Anan et Sombun que tu vois derrière moi vont y veiller, mais pour ça, tu dois te soumettre à une dernière épreuve. Elle sembla frémir alors à tes paroles, inquiète réellement de ce que tu allais demander. Elle te connaissait, et doucement se rendait bien compte que te défier avait été sa véritable erreur. Elle ne pouvait dès lors que craindre ce qui serait ta "dernière épreuve".
Et tandis que le silence s'installait à peine, de nouveaux pas se firent entendre. Des pas s'approchant, jusqu'à ce qu'un elfe de maison, un gobelin et un centaure rentrent dans la cavité, apercevant la sorcière. A les voir, il était évident qu'ils n'étaient pas les plus nobles de leur espèce. Pour te laisser retourner vers lui, je veux que tu embrasses toutes les créatures présentes dans cette pièce. Ce n'est qu'à cette condition que tu pourras t'en aller.
Tu... Espèce d'ordure...
C'est toi qui vois Penny. Moi ça m'arrange, j'ai parié avec Anan que tu ne le ferais pas... Le défi était lancé, dernière de tes armes avant de la soumettre par Impero. Non pas que tu aurais détesté, mais tu préférais réellement l'idée que cela vienne d'elle, elle qui avait osé souillé votre lit conjugal avec une autre créature immonde, misérable sang-de-bourbe qui avait osé te menacer.
Jure-le. Jure le sur la vie de ta fille, sur la vie de ta précieuse Isabelle.
Ton regard s'assombrit soudain à cette demande. Comment pouvait-elle... Expirant d'exaspération, tu répondis : Je serais même pret à faire un serment inviolable, mais soit. Anan. Sir ? Tournant le regard vers l'homme de main, tu continuas : Si cette femme embrasse chaque créature et qu'elle n'est pas rendue au Sang de Bourbe Andrew Hill, ma fille Isabelle sera la propriété de votre Maitre. Le pacte est scellé.
Regardant Péneloppe, tu ajoutais alors : Cela te suffit ? Il était évident que tu n'irais pas, jamais jusqu'à menacer ton enfant, et ça, la mère d'Isabelle le savait très bien. Te faire la considérer comme une marchandise était déjà l'une des pires offenses qu'elle pouvait te faire, mais suffisante pour enlever ses doutes. Elle le savait : l'existence d'Isabelle avait toujours été ton réel point faible. la sienne, et celle de sa soeur Cassandre.
Se relevant, la sorcière s'approcha alors à tour de role de l'elfe, du gobelin et du centaure pour les embrasser et les regarder ensuite s'en aller, non sans un certain dégout face à ces derniers.
Tu as eu ce que tu voulais. Maintenant, Ethan, tiens parole.
Je tiendrais parole Penny. Aussitot que tu auras embrassé chacune des créatures dans la pièce, tu seras libre. Le regard incompréhensif de la sorcière te vit reculer d'un pas, et les hommes de main firent apparaitre devant toi et devant chacune des issues un voile bleuté, typique du sort qu'il lançait. Et alors que le sol semblait se glacer, la sorcière regarda en l'air pour apercevoir une sorte de trappe s'ouvrir.
Ethan... Tu ne vas quand même pas ... Non, non, non non ...
Déjà elle tentait de s'enfuir, mais sitôt qu'elle s'approchait d'une entrée, elle était repoussé par les hommes de mains de la famille Chankimha, alors que la silhouette encapuchonnée descendait dans l'antre, vers celle qui avait été préparée spécialement pour elle. Elle s'essaya plusieurs minutes à la repousser, au moyen de la magie sans baguette, parvenant à former tout de même un faible bouclier emprunt probablement de son souvenir le plus intense en compagnie du professeur de runes en place à l'université, mais finalement succomba à la morosité du détraqueur qui l'attaquer. La créature n'avait qu'une consigne, alors que la trappe se refermait sur les tous derniers espoirs de la Schrubber : lui administrer un baiser. Et tu ne détournas pas le regard, à la différence des autres témoins de la scène. Tu observa ce moment, afin d'être sur que tu ne serais pas la personne lésé dans ce marché.
De longues minutes, jusqu'à ce que tout s'arrête. Jusqu'à ce qu'une dernière larme ne coule sur sa joue sale et souillée.
Sir, le Maitre m'a demandé de vous remettre ceci. Et de vous rappeler qu'il faut vous hâter, le portoloin ne vous attendra pas. Que devenons-nous faire du corps ? J'ai promis qu'elle serait rendu à Andrew, alors rendez-lui. Et dans ce cas, Isabelle sera libre n'est-ce-pas ? C'est le pacte oui, mais le Maitre... Ta main se lève comme pour l'arrêter. Ana, tu apprendras qu'un Lacroix paye toujours ses dettes. Très bien, Sir. Et, pour les autres ? Ethan le regarda alors, prenant le pendentif qu'il lui tendait, avant d'ajouter : Ces créatures ont posées les lèvres sur une sorcière au sang pur. Détruis-les. Et débarrasse-toi des autres témoins. Bien, sir.
Tournant les talons, tu repartis alors, sachant qu'Anan ferait ce qu'il faut, conscient qu'à la fin, il ne resterait plus que lui. Son Maitre aurait la récompense promise, ainsi que le dédommagement pour les pertes collatérales de ce dernier ordre, et Anan ton approbation pour l'avenir.
Sortant du temple, tu regardais le ciel avant d'enfiler le médaillon que l'on t'avait donné. Et prenant le pendentif dans tes mains, tu venais tourner le sablier à l'intérieur de quelques tours, avant de voir les événements défiler sous tes yeux, revenant une heure plus tôt par tour qui avait été fait. La seule différence : le fourreau du couteau que quelqu'un avait déposé là, proche. Le prenant, tu venais y ranger le poignard avant que l'objet ne tremble et t'emporte.
Le choc des températures étaient manifestes. Tu n'étais pas revenus à l'intérieur de ton étude, mais à l'extérieur de votre manoir, au coeur de ce qui était le cimetière familial. Tu avais préféré, pas certain que ton étude ne soit pas investie au pire moment. Mais qui venait dans le cimetière ?
Maitre Ethan.
Azazrel apparaissait à coté de toi, comme tu le lui avais ordonné. Et retirant le retourneur de temps à ton cou, tu lui tendis avec le poignard. C'est terminé. Assure toi que le retourneur parvienne au Lord Chankimha et que le poignard soit débarrasser de toute trace de Magie. Et ensuite... place le dans la vitrine de l'étude. Prenant les objets, l'Elfe répondit : Ce sera fait Maitre. Puis-je vous demander... Non. Et tu ne reparlera plus jamais d'elle. Bien Maitre. Il en sera fait comme le Maitre le demande. Azazrel ... Le sorcier regarda son Elfe, s'assurant de son attention. Je veux que tu portes le vêtement que je t'ai offert. Mais Maitre, si Azazrel fait cela, il ne pourra plus vous servir. C'est faux Azazrel. Si tu le fais, tu seras libre. Libre de choisir. Et si il voulait, de te choisir.
Le laissant là, tu entrepris de rentrer au manoir, de retrouver celle que tu avais laissé il y a à peine quelques minutes pour elle.