- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
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» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
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» options obligatoires & facultatives : Ancien cursus : Journalisme
♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Bad blood (ft. Cataleya)
Lun 6 Fév 2023 - 14:30
Bad blood ft. @Cataleya Blackthorn | 05.02.23C’est d’un geste fraternel que Maximilien serre la main de l’attrapeur des Lufkin avec, au coin des lèvres, une crispation semblable à un sourire. Vaincu, encore une fois. Voilà ce qu’ils sont : une équipe vaincue. Et le Summerbee ne saurait expliquer pourquoi. Les abeilles se sont entraînées des semaines durant pour s’offrir une meilleure saison que l’an passée. Détermination, volonté, foi, efforts, rage et un peu de sang, aussi. Ils ont tout mis. Tout. Ils sont même allés jusqu’à faire une sortie de “thérapie de groupe” pour renforcer les liens de l’équipe afin d’être le plus efficaces possibles sur le terrain. Et ça pour quoi ? Une défaite. Encore une défaite. Non, Maximilien ne comprend pas. Il a beau être bon joueur et se réjouir pour les Bleu - champions d’il y a deux ans tout de même - la tristesse s’empare de tout son être. Tout a été si vite. Son rôle ne tient qu’à quelques minutes cruciales et une fois encore, il a laissé tomber son équipe. Ou le Lufkin le voulait-il peut-être plus que lui ? Non, c'est impossible. L’embrassade de Peter est amère. Les Wright ne sont pas dans une meilleure position qu’eux. C’est la même année qui se répète, intransigeante et douloureuse. Elle le pousse à se demander pourquoi il continue si ses seuls succès ne sont dû qu’à l’indulgence des Rouge parce qu’il sort avec l’un des leurs. C’est ce que tout le monde semble penser, en tout cas.
« Je te rejoins tout à l’heure » dit l’aigle à la fierté blessée à son partenaire le corbeau. Il laisse aux Lufkin les couloirs de la victoire et n’emprunte que ceux où sa solitude est certifiée. Quelle journée de merde, pense-t-il en s’asseyant sur l’un des bancs entourant la grande cour de l’université. C’est l’incompréhension qui lui fait le plus de peine. Maxence a peut-être raison ; à trop vouloir en faire, il n’est bon nulle part. Son regard divague. Il regarde les élèves passer, ceux qui n’ont pas encore rejoint la fête des Lufkin. Au loin, il reconnaît facilement les deux chatoyantes chevelures de ses amis ; la glace et le feu se font face mais rien, dans l’expression de leur corps, ne laisse penser que la conversation est plaisante. Maximilien se penche mais de là où il est, il lui est impossible d’entendre plus de quelques mots et aucun qui ne forme une phrase cohérente. Cette vision le ramène à d’autres de ses inquiétudes qu’il a tu pour le bien du match - ce qui n’a servi à rien - et il hésite à s’approcher des cousins. Ne bouge pas de sa place. Une force étrange le repousse donc quand bien même il aimerait s’approcher d’eux, il n’y parviendrait pas. Maximilien les regarde l’un et l’autre, tour à tour, ne sachant dire lequel lui fait le plus de peine. Et lorsque le duo se sépare, il se retrouve tiraillé. Face au choix de Sophie, quoiqu’en beaucoup moins cruel. L’aigle les regarde s’éloigner l’un et l’autre, réalisant qu’il ne sait rien de ce qui les tiraille depuis quelques semaines. Établissant qu’il obtiendra plus facilement des informations de Cataleya que de James, dont l’effet porte de prison peut être déstabilisant, il quitte son banc dans sa tenue noire et dorée, et part à sa suite. Son pas est d’abord hésitant car il connaît le caractère tumultueux de la rousse et jusqu’à présent, n’est jamais parvenu à déterminer au préalable si venir à elle plutôt qu’elle ne vienne à lui est une bonne chose. Finalement, son pas s’accélère et il la dépasse, posant délicatement sa main sur son épaule pour se manifester. En quelques secondes, il est face à elle, marchant à reculons.
« Hey, il se passe quoi entre toi et James ? Tout va bien ? Votre discussion avait l’air tendue et il me donne à peine des nouvelles depuis le nouvel an. Vous vous êtes disputés ? »
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Lun 6 Fév 2023 - 16:45
Le cœur palpitant furieusement contre sa cage osseuse, Cataleya racle ses griffes sur son cuir chevelu pour en dissiper l'ire. Rien ne va, et rien n'allait de toute manière avant que ce con de James ne tente une approche sous couvert de molles excuse. Le sms de la veille auraient pourtant dû dissiper tout sursaut d'hardiesse mais il fallait croire que les Pokeby étaient stupides. Alors, tirant sans délicatesse aucune ses mèche en une queue de cheval haute, Cataleya tente encore un peu de s’apaiser. Elle tremble, finit par frénétiquement chercher dans son sac à main une Malice réglisse à éclater sous ses molaires, mais une odeur familière tend plus encore ses muscles déjà trop crispés. Putain, pas maintenant Leroy. Elle accélère significativement, abat ses talons comme des guillotines sur les pavés mais il faut croire que les summerbees aussi, sont stupides. Incapable de percevoir l'agacement notable d'une sorcière à deux doigts de leur cramer le visage.
Les bras se croisent finalement sous sa poitrine, les griffes plongent solidement dans la chaire, et si la nouvellement blonde s'efforce de marquer plus de distance encore, une main à peine posé sur son épaule la stoppe net. Vrille instantanément son esprit.
Quelque chose file brutalement sous le terrible océan de son regard. Une étincelle,un monstre antique aux énormes mâchoire peut être - sans doute - car les dents se serre pour ne pas mordre cette main qui se veut certainement empathique mais qui outrepasse de loin la tolérance de la sorcière. Elle a déjà usé de toute sa retenue sur James, et n'est clairement pas en état pour un discours moralisateur ou englué de miel et d'étoile parce que pipiou, la vie est belle et les oiseaux chantent. Putain ! Le grondement pèse lourdement sur sa gorge mais si elle ne dit mot, c'est en tout point sauvage que Cataleya se tordrait presque sous cette simple pression à peine posé sur son épaule
« C'est la coalition des échecs ma parole ! » Aboie t'elle en fonçant droit sur Maximilien pour le contraindre à reculer plus encore. L'offensive est claire, directe, et le regard si intense qu'il ne laisse rien entacher l'envie de purement faire mal. « Si cette infâme larve ne te tient au courant de rien, c'est peut être que t'es un ami de merde ? T'as pas une défaite à pleurer plutôt que te mêler de mes affaires ? »
L'épaule de la Blackthorn bouscule celle du Leroy et si elle entame quelques pas pour mettre fin à l'échange, c'est soudainement qu'elle se stoppe et fait volte face. Elle sait pourtant que c'est une mauvaise idée et que c'est la douleur, autant que son esprit fracturé par trois mois de calvaire qui parle. Elle sait que ses premiers mots, son attitude toute entière devrait suffire à contraindre Mr balais dans le cul à la fuite et pourtant...
« T'es quand même conscient que, la seule raison qui pousse les gens à te faire croire que t'as encore ta place sur un balais, c'est que t'es le cousin raté de Marius hein ? T'es pas assez con pour croire que, si tes seule victoires sont contre Wright, c'est qu'elles sont méritées si ? Range cet air d'abruti, on sait tous que Peter à tellement pitié de toi qu'il fait de l'anti-jeu ! » Nous prieront fort pour @Peter Drummond n'ait jamais vent de ses odieux mots.
Les bras se croisent finalement sous sa poitrine, les griffes plongent solidement dans la chaire, et si la nouvellement blonde s'efforce de marquer plus de distance encore, une main à peine posé sur son épaule la stoppe net. Vrille instantanément son esprit.
Quelque chose file brutalement sous le terrible océan de son regard. Une étincelle,un monstre antique aux énormes mâchoire peut être - sans doute - car les dents se serre pour ne pas mordre cette main qui se veut certainement empathique mais qui outrepasse de loin la tolérance de la sorcière. Elle a déjà usé de toute sa retenue sur James, et n'est clairement pas en état pour un discours moralisateur ou englué de miel et d'étoile parce que pipiou, la vie est belle et les oiseaux chantent. Putain ! Le grondement pèse lourdement sur sa gorge mais si elle ne dit mot, c'est en tout point sauvage que Cataleya se tordrait presque sous cette simple pression à peine posé sur son épaule
« C'est la coalition des échecs ma parole ! » Aboie t'elle en fonçant droit sur Maximilien pour le contraindre à reculer plus encore. L'offensive est claire, directe, et le regard si intense qu'il ne laisse rien entacher l'envie de purement faire mal. « Si cette infâme larve ne te tient au courant de rien, c'est peut être que t'es un ami de merde ? T'as pas une défaite à pleurer plutôt que te mêler de mes affaires ? »
L'épaule de la Blackthorn bouscule celle du Leroy et si elle entame quelques pas pour mettre fin à l'échange, c'est soudainement qu'elle se stoppe et fait volte face. Elle sait pourtant que c'est une mauvaise idée et que c'est la douleur, autant que son esprit fracturé par trois mois de calvaire qui parle. Elle sait que ses premiers mots, son attitude toute entière devrait suffire à contraindre Mr balais dans le cul à la fuite et pourtant...
« T'es quand même conscient que, la seule raison qui pousse les gens à te faire croire que t'as encore ta place sur un balais, c'est que t'es le cousin raté de Marius hein ? T'es pas assez con pour croire que, si tes seule victoires sont contre Wright, c'est qu'elles sont méritées si ? Range cet air d'abruti, on sait tous que Peter à tellement pitié de toi qu'il fait de l'anti-jeu ! » Nous prieront fort pour @Peter Drummond n'ait jamais vent de ses odieux mots.
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Lun 6 Fév 2023 - 17:43
Bad blood ft. @Cataleya Blackthorn | 05.02.23Toucher, mauvaise idée. Il le sait à l’instant même où leurs regards se croisent. La colère irradie de tout son être et le frappe de plein fouet. Il n’a pourtant fait que de montrer de l’inquiétude pour la relation des deux Blackthorn, et sur le drame sous-jacent qui sévit. Il aurait pourtant dû s’y attendre. Après tout, il a choisi de suivre le feu. Normal qu’il s’y brûle les ailes. Aurait-il eu plus de chances avec la glace, ceci dit ? Glace ou “infâme larve”, de son nouveau surnom. Maximilien écarquille les yeux, sonné par la violence des propos de Cataleya. Il est contraint de faire plusieurs pas en arrière et manque une ou deux fois de s’étaler au sol.
« Eh ! » s’exclame-t-il dans un premier temps, aussitôt vexé par l’attaque de la rousse. « De une, je ne pleure pas et de deux… je comprends que tu sois énervée mais c’est pas une raison pour t’en prendre à moi ! C’est pas facile de voler là-haut, toi mieux que quiconque devrais le savoir… » Ces derniers mots sont à peine soufflés et à voir son regard, il comprend qu’il aurait mieux fait de la fermer. Là n’est pas la question, au final. Il est un bon ami pour James, non ? Il l’aide à s’ouvrir aux autres, au monde moldu notamment. Il fait vraiment de son mieux pour lui apporter son soutien, même s’il ne sait pas toujours ce qui se passe dans sa tête. Il est un bon ami.
Alors pourquoi les mots de Cataleya font si mal ? Ils parviennent à se frayer un chemin jusqu’à sa raison et pourrir la bonne image de lui-même à laquelle il essaye de croire chaque jour. Un exercice difficile et épuisant ! Mais pourquoi aurait-elle tort ? James ne lui dit rien de personnel. Presque rien. Et quand on ne dit rien, c’est qu’on n’a pas confiance en l’autre, n’est-ce pas ? Sa cousine est la personne la plus importante à ses yeux, il lui aurait dit une telle confidence. Il lui aurait dit “Maximilien n’est pas un bon ami pour moi, sauf que j’ai du mal à m’en débarrasser”. Le Français fronce les sourcils, mais Cataleya n’attend pas qu’il efface cette incertitude quant à son amitié avec James pour enfoncer un peu plus le couteau dans la plaie.
« Les insultes sont vraiment nécessaires ? » Cette fois, l’air passe à peine entre sa mâchoire serrée. Alors c’est vrai, tout le monde le pense, ce n’est pas qu’une chose qu’il a imaginée ou que le Chineur a inventée : on le laisse gagner par pitié. Peter doit user de son charme de vélane pour les convaincre… Non, non ! Il refuse d’y croire, de penser que son petit-ami puisse lui faire un coup aussi bas. Qu’Heaven puisse avoir raison sur ses capacités. Que tous, TOUS, le considèrent comme un raté. Jusqu’à son propre cousin.
« Je t’interdis de colporter de tels ragots ! Peter joue et a toujours joué un jeu honnête, qu’il soit en face de moi ou d’un autre ! Tout ça c… c’est que de la connerie ! Qu’est-ce que t’en sais de toute façon toi hein ? T’es même pas capable de jouer en équipe alors pourquoi je t’écouterais ?! C’est pas parce que je suis sympa avec toi malgré ton caractère de merde qu’il faut me balancer à la gueule tes insécurités ! OUI, TES insécurités ! J’ai mérité ma place, moi. » Subtile (ou non) allusion à sa place dans cette famille haineuse qui l’a probablement poussée à agir de la sorte. Maximilien fait son possible pour calmer ses nerfs et se surprend à prendre de grandes inspirations à cet effet. Elles fonctionnent de moins en moins, cependant.
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Lun 6 Fév 2023 - 20:17
A mi-chemin entre une hilarité carnassière et volte face trop vif dès lorsqu'on évoque à peine ses capacités de voltigeuse, Cataleya navigue dangereusement. Aiguise ses crocs sur les tensions qui se nouent là, délicieuses, sur la mâchoire de l'abeille. Elle déteste réagir de la sorte et s'en maudira certainement lorsque l'adrénaline tombera mais, force est d'admettre que sauter à la gorge de tout ce qui bouge est devenue une seconde nature que nourrit largement ses parents, quand bien même tenu loin d'elle. Censément tenu loin d'elle. Elle ignore encore comment sa mère a pu obtenir son adresse mais n'est nullement dupe quant aux lettres reçue et son ton faussement bienveillant. Loin de là. C'est en panique qu'elle s'éveille à chaque bruissement glissé par la nuit, et frénétique qu'elle vérifie chaque soir les enchantements visant à sécuriser sa vieille bâtisse.
« Les insultes sont vraiment nécessaires ? »
Une moue faussement désolé au bout des lèvres, Cataleya serait tenté de lui répondre que ses insultes étaient pour l'heure infiniments douces et terriblement aisées tant le summerbee semblait une cible facile à abattre, mais pince ses horreurs sous son sourire, consciente que Maximilien Leroy était bien plus qu'un poussin jeté sur l'autoroute : il savait se défendre, un peu du moins.
« - Mooooh, tu m'interdis. C'est adorable.» La langue claque par delà le discours d'une abeille qui montre le dard, et si elle en rit désinvolte, se fait faussement attristé par sa supposée absence de cohésion d'équipe, le regard se fait plus froid lorsque Maximilien approche dangereusement des plaies ouvertes qui balafre de toute part sa vie. S'il effleure à peine le sujet dont on ne doit pas même nommer, Cataleya s'efforce garder silence. Sa place chez les Blackthorns, elle l'avait amplement mérité tant elle se saignait corps et âme, à chaque seconde de sa vie, pour se plier aux fantasmes irréalistes et parentaux. A peine arraché à l'orphelinat, on lui avait imposé une nouvelle langue, des cours de danse classique dans lesquels elle se devaient d'exceller, terrifiée à l'idée d'être renvoyée dans un orphelinat que Claudia aimait dépeinte comme glauque et pitoyable. N'étant clairement pas suffisant pour gonfler l'ego maternel, elle avait enchaîne les compétitions de gymnastique rythmique, de patinage artistique, les instruments, les langues, tout pour ravir ne serait-ce qu'un peu l'esprit de cette mère dont elle était la parfaite petite poupée. Ses foutus D.U.Cs, elle les avaient obtenu en deux ans. Ses options secondaires, elle ne les avaient jamais lâché. Elle devait composer ses études avec sainte marie, les nymphes, les capes noires, les cours particuliers avec Irina, une vie de merde, un animagus / magie défectueux et des exigences qui montaient crescendo. Chaque pas osé en avant lui promettait une chute douloureuse alors le mérite, elle l'avait obtenu cent fois !
« Ta sympathie m’indiffère Leroy ! Qui veut de la pseudo bienveillance d'un mec qui trompe sa femme le jour de son mariage ? Parce que c'est quand même facile de jouer les moralisateurs gangnan quand on une gueule de summerbee, mais veux tu vraiment qu'on se lance sur le sujet ? Moi j'assume le fait d'être une odieuse garce, mais qu'en ait-il de toi ? T'arrive encore à te regarder dans le miroir ? »
Le ton est glacial mais c'est pleinement assurée qu'elle se jette sur une voie qu'elle sait facile. Une voie qu'elle savait pourtant exciter son propre fiel tant l'image de James roucoulant sous les baisés d'un autre la révulsait corps et âme. Pourtant le sourire s'étire pour ne trahir aucune de ses failles, et c'est cruelle qu'elle reprend. « C'est facile d'avoir le beau rôle quand on choisit d'occulter ses travers, mais tu sais quoi ? Tant mieux. Je béni ce jour parce que tu ne méritais pas Juliet. Et puis ils est communément admit que t'es un mauvais coup. Pas étonnant que Peter regarde ailleurs ! Peut être serait-il plus excité par ton balais dans le cul si tu ne passais pas ta vie à jouer les étoiles de mer sur le lit conjugale ! »
Terrible, Cataleya ose plus d'un pas en direction de Maximilien et lève le ton, mais si l'attitude se fait menaçante, le sourire venu poindre au coin de ses lèvres témoigne sans mal de toute la délectation qui coule sur ses mots. Tu pouvais tromper ton monde Max, mais Cat n'oubliait pas.
« Les insultes sont vraiment nécessaires ? »
Une moue faussement désolé au bout des lèvres, Cataleya serait tenté de lui répondre que ses insultes étaient pour l'heure infiniments douces et terriblement aisées tant le summerbee semblait une cible facile à abattre, mais pince ses horreurs sous son sourire, consciente que Maximilien Leroy était bien plus qu'un poussin jeté sur l'autoroute : il savait se défendre, un peu du moins.
« - Mooooh, tu m'interdis. C'est adorable.» La langue claque par delà le discours d'une abeille qui montre le dard, et si elle en rit désinvolte, se fait faussement attristé par sa supposée absence de cohésion d'équipe, le regard se fait plus froid lorsque Maximilien approche dangereusement des plaies ouvertes qui balafre de toute part sa vie. S'il effleure à peine le sujet dont on ne doit pas même nommer, Cataleya s'efforce garder silence. Sa place chez les Blackthorns, elle l'avait amplement mérité tant elle se saignait corps et âme, à chaque seconde de sa vie, pour se plier aux fantasmes irréalistes et parentaux. A peine arraché à l'orphelinat, on lui avait imposé une nouvelle langue, des cours de danse classique dans lesquels elle se devaient d'exceller, terrifiée à l'idée d'être renvoyée dans un orphelinat que Claudia aimait dépeinte comme glauque et pitoyable. N'étant clairement pas suffisant pour gonfler l'ego maternel, elle avait enchaîne les compétitions de gymnastique rythmique, de patinage artistique, les instruments, les langues, tout pour ravir ne serait-ce qu'un peu l'esprit de cette mère dont elle était la parfaite petite poupée. Ses foutus D.U.Cs, elle les avaient obtenu en deux ans. Ses options secondaires, elle ne les avaient jamais lâché. Elle devait composer ses études avec sainte marie, les nymphes, les capes noires, les cours particuliers avec Irina, une vie de merde, un animagus / magie défectueux et des exigences qui montaient crescendo. Chaque pas osé en avant lui promettait une chute douloureuse alors le mérite, elle l'avait obtenu cent fois !
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Le ton est glacial mais c'est pleinement assurée qu'elle se jette sur une voie qu'elle sait facile. Une voie qu'elle savait pourtant exciter son propre fiel tant l'image de James roucoulant sous les baisés d'un autre la révulsait corps et âme. Pourtant le sourire s'étire pour ne trahir aucune de ses failles, et c'est cruelle qu'elle reprend. « C'est facile d'avoir le beau rôle quand on choisit d'occulter ses travers, mais tu sais quoi ? Tant mieux. Je béni ce jour parce que tu ne méritais pas Juliet. Et puis ils est communément admit que t'es un mauvais coup. Pas étonnant que Peter regarde ailleurs ! Peut être serait-il plus excité par ton balais dans le cul si tu ne passais pas ta vie à jouer les étoiles de mer sur le lit conjugale ! »
Terrible, Cataleya ose plus d'un pas en direction de Maximilien et lève le ton, mais si l'attitude se fait menaçante, le sourire venu poindre au coin de ses lèvres témoigne sans mal de toute la délectation qui coule sur ses mots. Tu pouvais tromper ton monde Max, mais Cat n'oubliait pas.
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Lun 6 Fév 2023 - 20:51
Bad blood ft. @Cataleya Blackthorn | 05.02.23Il pensait connaître le caractère de Cataleya mais il n’en est rien. L’aperçu qu’elle lui a donné à la Moufette il y a quelques mois n’est que douceur à côté des horreurs qu’elle ose lui lancer à la figure, sous prétexte qu’elle est de mauvais poil. Son homophobie flagrante ne suffit pas et elle dépeint d’elle-même une personnalité antipathique qu’il tente de combattre à coup de bouquet de fleurs dépourvues d’épines car oui, c’est ainsi qu’est Maximilien. Toujours à arrondir les angles, à vouloir satisfaire toutes les parties en oubliant parfois de prendre en compte la sienne. Pousser Cataleya dans son humeur noire n’est certainement pas un objectif mais face à ses grotesques attaques - blessantes, de surcroît, il n’a d’autre choix que de répondre pour se défendre. Défendre quoi ? Son honneur ? Sa fierté ? La vérité ? Quelle vérité ? Il ne sait plus, il ne sait pas. James le considère-t-il comme un ami ? Les Summerbee comme un bon joueur ? Peter comme un bon amant ? Les mots s’enchaînent entre les lèvres de la rousse, viennent piquer sa peau et son cœur. Mais plutôt que de provoquer les larmes habituelles qui savent toujours si vite apparaître au coin des yeux du Français, c’est un autre sentiment qui prend place au creux de sa poitrine. Une force en lui lui hurle de ne pas l’autoriser à le blesser de la sorte, qu’il mérite bien mieux que de se faire traiter comme un moins que rien par une personne qui ne fait que rarement l’effort de chercher à le comprendre et le connaître. Même s’il ne l’a jamais dit et qu’il s’est souvent interdit de le penser, il a toujours en travers de la gorge les propos qu’elle a tenu à son égard concernant sa relation avec Peter. S’il a toujours mis cela sur le compte de son lien affectif avec Juliet, il arrive un moment où l’acceptation de la négativité n’est plus possible. Où l’insulte n’a plus sa place.
« Mais renseigne-toi un peu avant de parler ma pauvre. Si tu cherches à me blesser, essaye au moins de le faire avec des faits avérés ! » Il ne peut pas dire néanmoins qu’elle ait totalement tort. Il a trompé. Beaucoup. Longtemps. Suffisamment pour que cela détruise plus d’une personne. Et il sait que le malheur qui est survenu entre Peter et sa cousine n’est que de son fait, qu’il est responsable de la peine vécue pendant des mois, accompagnée d’une séparation presque inévitable qu’il a craint ne voir jamais disparaître. Il est facile de le juger, facile de lui en vouloir et Cataleya le sait. Elle veut faire mal, elle cherche à déchirer, déchiqueter son amour-propre en lui envoyant à la face toutes ses erreurs. Car oui, il y en a eu plus d’une. Dans d’autres circonstances, il l’aurait peut-être laissé faire, hanté comme il est par sa culpabilité.
« “Communément admis”, c’est quoi ça encore ?! Bah ouai j’ai des travers, j’ai commis des erreurs, et alors ? T’en as jamais fait toi, Miss Perfection ? Tu crois que parce que tu obéis aux ordres de papa et maman, ça fait de toi une personne plus acceptable ? Mais regarde comme tu traites les autres Cat ! Écoute ce que t’es en train de me balancer à la gueule ! Que je suis cocu, voilà ce que tu veux que je crois ! Tu sais qui d’autre est capable d’un tel vice ??? TON PÈRE. TA MERE. Cette merde de famille qui agi comme un cancer sur tous ses membres parce que vous savez quoi ? Vous êtes incapables d’amour et de compassion ! » Qui dirait le contraire ? Il les a vu de loin, les Blackthorn. Il a failli faire partie des leurs. Il sait quel traitement ils ont réservé à Elio, quels regards et rumeurs courent au sujet d’Elliot. Leur famille empeste le malheur et la douleur et en s’attaquant à lui, Cataleya espère probablement la transmettre à d'autres pour se soulager, ne serait-ce que quelques secondes. Maximilien est facile à lire, facile à détruire. La fidélité de Peter est un sujet sensible chez lui que personne, pas même le corps professoral probablement, n’ignore. Il a peur, toujours, de ne pas être un partenaire suffisant. Il n’a connu personne d’autres avant le Drummond quand lui a plus d’expériences qu’il n’en faut pour pouvoir déterminer ce qu’il aime de ce qui l’indiffère.
« Arrête de dire de la merde sur Peter, j’te préviens. Tu peux me pourrir tant que tu veux mais n'envisage pas une seule seconde de noircir cet homme-là. Il est plus radieux, plus solaire et plus bénéfique que n’importe quelle branche de votre famille maudite ! Vous devriez le jalouser et c’est ce que c’est d’ailleurs hein ? T’es jalouse, purement jalouse et mauvaise parce que nous partageons tout ce que tu n’auras jamais. » Il pointe son doigt sur elle, comme un parent mécontent. Il a la tête sur le point d’exploser, ses tempes vibrent au rythme des battements de son cœur et une boule, énorme et dérangeante, lui bloque la respiration. On ne touche pas à sa relation amoureuse, un point c’est tout. Mauvais ami, si elle veut. Mauvais attrapeur, passe encore. Mais mauvais coup ? Elle essaye vraiment de lui faire croire que Peter se balade dans Hungcalf en disant à qui veut l’entendre qu’il se fait chier au pieu avec lui ? Avec TOUT ce qu’ils font ?
« Avant de critiquer le supposé balai que j’ai dans le cul, essaye plutôt de retirer la barre de fer qui obstrue le tien. Moi au moins, on me désire. Mais pour que tu saches ce que ça fait, faudrait déjà qu’on ait envie de passer du temps en ta compagnie, n’est-ce pas ? »
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» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Lun 6 Fév 2023 - 22:30
Si Cataleya s'était attendue -avait certainement espéré- une fuite larmoyante et un vague « t'es méchante, et c'est pas gentil d'être méchante », force est d'admettre que l'héritier Leroy encaisse et fait admirablement front. Montre presque les crocs lors qu'il se lance à son tour à l'assaut de cette colère furieuse. Des fait avérés ? Pourquoi faire Dumb-dumb ? Le but était de déstabiliser un homme qu'elle souhait voir hors de son chemin, pas de mener un plaidoyer d'une main de maître ! Et le simple sourire narquois qui niche au coin de ses lèvres en est le plus fidèle témoin.
Le lancé de cheveux se fait superbe lorsque « Miss Perfection » orne ses blondes ondulations, mais ce qui suit déforme sans peine le triomphe incontestable qui régnait sur son visage. « Laisse le nom de mes parents hors de ta putain de bouche. » Elle siffle entre ses dents le joyaux Blackthorn, clairement piqué par ce qui s'amorce douloureusement. Si elle aime à prétendre qu'elle se moque de ce qu'on pense d'elle car le résultat demeurera en tout point le même, aimé ou non - elle dominerait le monde une fois placé à la tête d'une prestigieuse unité de recherche médicale- force est d'admettre que le sourire à pleinement disparu lorsqu'elle se voit confronté au traitement qu'elle fait subir aux autres.
Jamais ses relations avec sa si précieuse fratrie ne s'était faite aussi tumultueuses qu'à cet instant T de sa vie, et maintenant qu'elle s'acharnait à mettre de la distance entre elle et James, force était d'admettre que son monde s'était pleinement écroulée. Alors certes, il y avait bien Wyatt et Ofélia, mais ils n'avaient pas encore eu le temps de se confronter au monstre qui grattait sous la peau de la Blackhtorn, ni à la laideur de son âme.
Le visage se ferme significativement et elle recule d'un pas sous le miroir que lui tend Monsieur Prince charmant. Effectivement, elle avait appuyé là où elle devinait tapis d'horribles plaies, autant par réflexe que pour s'arracher du crâne le fait que c'était elle, au final, qui avait été faite cocue. Le grondement est reflex, à peine perceptible, et si elle s'apprête à marquer un nouveau pas de recul, ce qui suit réveille en elle ses plus bas instinct. Oh toi. La comparaison avec les démons qui incarnaient le rôle de ses parents l’effraie plus qu'elle ne la flatte, mais le besoin de rebondir se fait trop grand pour céder aux larmes alors soit, elle le prendrait comme un compliment. Après tout, parfaite Quarta, golden and favorit child n'était-elle pas vouée à se couler dans l'ombre de papa / maman ? La terreur frissonne, le pas reste en suspend, hésite, mais la langue claque amèrement sous les mots du summerbee.
« Ferme là ! » La répartie vacille sous le poids du doute, et si Cataleya se dresse tout crocs dehors devant cette absence d'amour théorique, se jure qu'il y a encore quelque chose, là, enfouit sous les chambres vides de ses frères et sœur, l'horreur la rattrape comme un cauchemar récurrent. Elle a toujours aimé arguer qu'elle était l'enfant préférée de ses parents sous prétexte qu'ils la toléraient dans leurs bureaux, qu'ils portaient peut être un peu plus d'attention sur elle tant elle s’acharnait à leur plaire. Et pourtant, ses regards remplit d'espoir n'avait jamais trouvé de quelconque écho dans leurs sombres iris. Pire, à force de vouloir défendre sa précieuse fratrie devant eux, et ses parents devant la meute qui constituait la seconde génération, il fallait croire qu'elle perdait sur les deux tableaux.
Nullus, bien trop occupé avec Juliet, l'avait totalement oubliée. Prima n'avait que faire de sa petite sœur et son obsession pour la remplacer par "Précieuse Sunshine" lui donnait de l'urticaire. Sa relation avec Kiran allait un peu mieux mais leurs échanges étaient si rares qu'ils n'avaient pas le loisir de de disputer, et c'était peut être là la meilleure à adopter... Eliott... C'était un con qui avait préféré partir vivre à l'autre bout du monde, et Baby... La mâchoire se resserre considérablement quand elle réalise que, si elle à un poil renoué avec Kaiden et s'est précipitée sur Tertia pour se nicher dans ses bras dans une moue infiniment rassurée, c'était de loin les deux seul membre de sa famille qui ne pouvaient pas la repousser car trop doux pour ce monde. James l'avait remplacé en Égypte et maintenant que son peintre d'amour et moldu avait traversé les mers pour le rejoindre ! Et Juliet... C'était désespérément compliqué, mais elle virerait folle lorsqu'elle aurait vent des horreurs que maugréait sa cousine sur le dos de son frère et meilleur ami. Et passé les barrières de la famille, elle n'avait plus grand monde. Personne, en fait.
Un peu déstabilisé, Cataleya réalise qu'elle a cessé de respirer pendant quelques seconde et c'est le plus difficilement du monde qu'elle se raccroche aux mots de Maximilien, s’enhardit sur les attaques pour ne pas couler. « Jalouse de quoi ? Sérieusement ? D'un mec qui, comme par hasard, port le nom de ton frère décédé et dont l'abandon signerait la fin de ton misérable monde ? Putain Max ! C'est la pire gestion de deuil qu'il m'est été donné de voir ! » Elle feule Cataleya, mais étrangle la suite pour ne pas aller trop loin. Quoi que la limite avait été franchit depuis bien longtemps. « Baisse ton doigt, t'as pas quatre ans ! » Mais il n'a pas tord, Maximilien. Elle n'aurait jamais ce qui l'unissait à Peter. Peut être que si elle n'avait pas été aussi déviante et monstrueuse aurait-elle réussit à conserver James dans son lit, car quelle autre raison pouvait-il avoir pour repousser ses sourire et chercher de l'amour ailleurs, si celui qu'elle lui offrait était suffisamment beau ?Suffisamment fort ? La gorge se serre mais le regard refuse en tout point de se baisser. Ça serait avouer sa défaite sur une abeille qui lui courrait sur le haricot. Alors elle gonfle la poitrine petite Cataleya, arme ses pires horreurs, mais se heurte de plein fouet aux derniers mots du brun.
James lui avait-il parlé du dégout qu'elle lui insufflait ? Du fait qu'il lui avait fallut presque vingt ans et une armée de shooter pour obtenir de lui un premier baisé ? Et encore, c'était avant qu'il avoue avoir préféré un homme à ses bras ! Le glapissement qui échappe aux lèvres de la Blackthorn est équivoque, et c'est pleinement troublé que le regard fuit au loin, tente un instant de réclamer une pause qui ne vient pas. « Mais pour que tu saches ce que ça fait, faudrait déjà qu’on ait envie de passer du temps en ta compagnie, n’est-ce pas ? »
« Contrairement à toi, Leroy, je ne me tape pas tout ce qui vient. Ma compagnie se mérite ! » Alors, peut être, mais pouvais-tu citer les gens qui réclamait ta compagnie, Kitty Cat ? Wyatt aimait tout le monde, étais-tu certaine que votre relation privilégiée en était vraiment une ? Après tout, des amis tu en avais jamais vraiment eus, étais-tu vraiment apte à reconnaître une amitié d'un «je te tolère parce que j'ai pitié de toi » ? Le regard s'embrume un peu mais la langue claque pour la rappeler à l'ordre, pourtant elle peine à s'extraire de son doute Cataleya, et c'est d'une voix tremblante, quoi qu’étonnamment farouche, qu'elle s'aventure sur un chemin qu'elle ne voulait pas emprunter. Décidément pas emprunter. « Mais c'est peut être ton obsession à racoler tout ce qui bouge qui est la source de mes emmerdes en fait ! Pourquoi ma relation avec James t'intéresse autant ? Ton vautour ne te suffit pas ? »
Le lancé de cheveux se fait superbe lorsque « Miss Perfection » orne ses blondes ondulations, mais ce qui suit déforme sans peine le triomphe incontestable qui régnait sur son visage. « Laisse le nom de mes parents hors de ta putain de bouche. » Elle siffle entre ses dents le joyaux Blackthorn, clairement piqué par ce qui s'amorce douloureusement. Si elle aime à prétendre qu'elle se moque de ce qu'on pense d'elle car le résultat demeurera en tout point le même, aimé ou non - elle dominerait le monde une fois placé à la tête d'une prestigieuse unité de recherche médicale- force est d'admettre que le sourire à pleinement disparu lorsqu'elle se voit confronté au traitement qu'elle fait subir aux autres.
Jamais ses relations avec sa si précieuse fratrie ne s'était faite aussi tumultueuses qu'à cet instant T de sa vie, et maintenant qu'elle s'acharnait à mettre de la distance entre elle et James, force était d'admettre que son monde s'était pleinement écroulée. Alors certes, il y avait bien Wyatt et Ofélia, mais ils n'avaient pas encore eu le temps de se confronter au monstre qui grattait sous la peau de la Blackhtorn, ni à la laideur de son âme.
Le visage se ferme significativement et elle recule d'un pas sous le miroir que lui tend Monsieur Prince charmant. Effectivement, elle avait appuyé là où elle devinait tapis d'horribles plaies, autant par réflexe que pour s'arracher du crâne le fait que c'était elle, au final, qui avait été faite cocue. Le grondement est reflex, à peine perceptible, et si elle s'apprête à marquer un nouveau pas de recul, ce qui suit réveille en elle ses plus bas instinct. Oh toi. La comparaison avec les démons qui incarnaient le rôle de ses parents l’effraie plus qu'elle ne la flatte, mais le besoin de rebondir se fait trop grand pour céder aux larmes alors soit, elle le prendrait comme un compliment. Après tout, parfaite Quarta, golden and favorit child n'était-elle pas vouée à se couler dans l'ombre de papa / maman ? La terreur frissonne, le pas reste en suspend, hésite, mais la langue claque amèrement sous les mots du summerbee.
« Ferme là ! » La répartie vacille sous le poids du doute, et si Cataleya se dresse tout crocs dehors devant cette absence d'amour théorique, se jure qu'il y a encore quelque chose, là, enfouit sous les chambres vides de ses frères et sœur, l'horreur la rattrape comme un cauchemar récurrent. Elle a toujours aimé arguer qu'elle était l'enfant préférée de ses parents sous prétexte qu'ils la toléraient dans leurs bureaux, qu'ils portaient peut être un peu plus d'attention sur elle tant elle s’acharnait à leur plaire. Et pourtant, ses regards remplit d'espoir n'avait jamais trouvé de quelconque écho dans leurs sombres iris. Pire, à force de vouloir défendre sa précieuse fratrie devant eux, et ses parents devant la meute qui constituait la seconde génération, il fallait croire qu'elle perdait sur les deux tableaux.
Nullus, bien trop occupé avec Juliet, l'avait totalement oubliée. Prima n'avait que faire de sa petite sœur et son obsession pour la remplacer par "Précieuse Sunshine" lui donnait de l'urticaire. Sa relation avec Kiran allait un peu mieux mais leurs échanges étaient si rares qu'ils n'avaient pas le loisir de de disputer, et c'était peut être là la meilleure à adopter... Eliott... C'était un con qui avait préféré partir vivre à l'autre bout du monde, et Baby... La mâchoire se resserre considérablement quand elle réalise que, si elle à un poil renoué avec Kaiden et s'est précipitée sur Tertia pour se nicher dans ses bras dans une moue infiniment rassurée, c'était de loin les deux seul membre de sa famille qui ne pouvaient pas la repousser car trop doux pour ce monde. James l'avait remplacé en Égypte et maintenant que son peintre d'amour et moldu avait traversé les mers pour le rejoindre ! Et Juliet... C'était désespérément compliqué, mais elle virerait folle lorsqu'elle aurait vent des horreurs que maugréait sa cousine sur le dos de son frère et meilleur ami. Et passé les barrières de la famille, elle n'avait plus grand monde. Personne, en fait.
Un peu déstabilisé, Cataleya réalise qu'elle a cessé de respirer pendant quelques seconde et c'est le plus difficilement du monde qu'elle se raccroche aux mots de Maximilien, s’enhardit sur les attaques pour ne pas couler. « Jalouse de quoi ? Sérieusement ? D'un mec qui, comme par hasard, port le nom de ton frère décédé et dont l'abandon signerait la fin de ton misérable monde ? Putain Max ! C'est la pire gestion de deuil qu'il m'est été donné de voir ! » Elle feule Cataleya, mais étrangle la suite pour ne pas aller trop loin. Quoi que la limite avait été franchit depuis bien longtemps. « Baisse ton doigt, t'as pas quatre ans ! » Mais il n'a pas tord, Maximilien. Elle n'aurait jamais ce qui l'unissait à Peter. Peut être que si elle n'avait pas été aussi déviante et monstrueuse aurait-elle réussit à conserver James dans son lit, car quelle autre raison pouvait-il avoir pour repousser ses sourire et chercher de l'amour ailleurs, si celui qu'elle lui offrait était suffisamment beau ?Suffisamment fort ? La gorge se serre mais le regard refuse en tout point de se baisser. Ça serait avouer sa défaite sur une abeille qui lui courrait sur le haricot. Alors elle gonfle la poitrine petite Cataleya, arme ses pires horreurs, mais se heurte de plein fouet aux derniers mots du brun.
« Moi au moins, on me désire. »
James lui avait-il parlé du dégout qu'elle lui insufflait ? Du fait qu'il lui avait fallut presque vingt ans et une armée de shooter pour obtenir de lui un premier baisé ? Et encore, c'était avant qu'il avoue avoir préféré un homme à ses bras ! Le glapissement qui échappe aux lèvres de la Blackthorn est équivoque, et c'est pleinement troublé que le regard fuit au loin, tente un instant de réclamer une pause qui ne vient pas. « Mais pour que tu saches ce que ça fait, faudrait déjà qu’on ait envie de passer du temps en ta compagnie, n’est-ce pas ? »
« Contrairement à toi, Leroy, je ne me tape pas tout ce qui vient. Ma compagnie se mérite ! » Alors, peut être, mais pouvais-tu citer les gens qui réclamait ta compagnie, Kitty Cat ? Wyatt aimait tout le monde, étais-tu certaine que votre relation privilégiée en était vraiment une ? Après tout, des amis tu en avais jamais vraiment eus, étais-tu vraiment apte à reconnaître une amitié d'un «je te tolère parce que j'ai pitié de toi » ? Le regard s'embrume un peu mais la langue claque pour la rappeler à l'ordre, pourtant elle peine à s'extraire de son doute Cataleya, et c'est d'une voix tremblante, quoi qu’étonnamment farouche, qu'elle s'aventure sur un chemin qu'elle ne voulait pas emprunter. Décidément pas emprunter. « Mais c'est peut être ton obsession à racoler tout ce qui bouge qui est la source de mes emmerdes en fait ! Pourquoi ma relation avec James t'intéresse autant ? Ton vautour ne te suffit pas ? »
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8434
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : byweaslove (ava)
» multinick : arty / joe / keir / mag
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» nature du sang : sang-pur
» particularité : animagus
» année d'études : /
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♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Mar 7 Fév 2023 - 11:04
Bad blood ft. @Cataleya Blackthorn | 05.02.23Ce qui est en train de se passer est surréaliste. Cataleya lui hurle dessus et lui-même n’est pas en reste. Il faut dire que la demoiselle est douée pour appuyer là où ça fait mal. Maximilien n’en revient pas d’avoir cette réaction et d’un autre côté, il ne fait rien pour s’en empêcher. Il est en colère pour diverses raisons et les attaques de Cataleya sont les ultimes gouttes qui font déborder le vase. Il essaye d’expliquer leur comportement mais aucun mot ne saurait exactement décrire ce qu’ils sont devenus. Des fous. À ses yeux, elle fait preuve d’une extrême jalousie et il n’aurait jamais imaginé qu’on puisse avoir ce type de sentiment à son égard, tout en l’exprimant aussi mal. Le mot sonne comme une insulte aux oreilles de la rousse qui, aussitôt, se défend avec véhémence. Maximilien, lui, blêmit. Pas de peur, mais bien de rage. Une rage folle, sournoise et dévastatrice qui fait serrer son poing le long de son corps. Doigt baissé, regard sombre, on ne l’a jamais vu si furieux. Son dos se redresse et il se rapproche d’elle, affichant une assurance pleine et entière.
« Mentionne-le encore une fois, UNE SEULE, et je jure sur tout ce que j’ai de plus cher au monde que je te le ferai regretter. Je suis peut-être gentil mais faut pas me pousser. Ne t’avise plus JAMAIS de l’évoquer. » Peter, c’est un sujet hors-limite. Il n’en parle quasiment jamais, pas même avec le Drummond. Ce dernier connaît son existence dans la cœur de Maximilien et la place immense qu’il occupe toujours, le poids sur ses épaules qui l’accable dès qu’il entend son prénom. Un poids journalier car il a eu le malheur de tomber éperdument amoureux de son homonyme. Un cruel sort du destin. On ne touche pas aux Peter de sa vie, c’est une règle plus précieuse que l’or et le diamant. Il se fait silencieux après ça, encaissant dans un sourire narquois la fausse image qu’elle renvoie de lui. D’un coureur de pantalons qui saute tout ce qui bouge, dont la compagnie se donne au plus offrant et non au plus méritant.
« T’es vraiment qu’une garce, j’sais pas ce que j’ai voulu prouver en essayant de te défendre face aux autres. » Il veut faire demi-tour, entame quelques pas et soudainement, s’arrête. Il ne peut pas s’avouer vaincu, pas maintenant, pas si vite. Elle a trop fait, trop dit pour qu’il la laisse s’en sortir comme ça. Alors Maximilien tourne à nouveau les talons et cette fois, il s’arrête bien plus près de Cataleya.
« Tu sais quoi ?! Non ! J'en ai ras-le-cul qu'on me prenne pour une serpillière ! Tu veux vraiment qu’on parle de deuil ? Hein ? Tu veux que j’évoque à mon tour le fait que pour s’échapper de la famille Blackthorn, il faut se SUICIDER, peu importe l’âge ??? Tu veux qu’on aille sur ce terrain-là ?! Parce que je suis prêt, j’ai rien à me reprocher. Peter est mort courageusement, pas comme un putain de lâche torturé par sa famille ! » Il grince des dents, le Leroy, mal placé qu’il est pour juger le mental d’un suicidaire. Il l’a vécu, il sait ce que ça fait et probablement qu’elle s’en servira comme contre-argument. Elle aurait raison. Mais les chiens sont lâchés, il ne peut pas arrêter maintenant.
« Faudrait d’ailleurs que tu te décides dans tes mensonges, tu crois pas ? Une minute je suis si coincé et nul au lit que personne veut me sauter, et l’autre je suis une pute de bas étage que tout le monde, même ton cousin, veut se faire ! T’es tellement dénuée d’empathie que même tes arguments ne valent rien ! C’est siiiii facile de remettre la faute sur les autres quand en fait, ce qui pose problème dans ta relation avec James, c’est TOI. PERSONNE D’AUTRE. T’es moche à l’intérieur, si laide que tu me fais pitié. J’ai essayé de voir le bon en toi, de me dire que tu méritais qu’on ne se fie pas qu’aux apparences. Je me suis littéralement SAIGNÉ pour t’aider à gérer une part de toi que tu évoques toi-même comme un monstre !!! Je t’ai accueillie, je t’ai écouté, je t’ai entendu et j’ai fait mon possible, TOUT mon possible, pour passer outre cette figure de monstre ! Alors MERCI de me confirmer que j’ai eu tort ! T’es qu’une peste et si James veut pas de toi ni en tant que meuf ni en tant qu’amante, c’est parce qu’aucune part de toi n’est enviable. » Il est à bout de souffle, l'aigle blessé. La rage l'aveugle et gangrène ses paroles et ses pensées. Où est la lumière ?
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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» miroir du riséd : Abigail Cowen
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» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Mar 7 Fév 2023 - 12:50
« Mentionne-le encore une fois » Try me stupid bitch. L'arrogance palpite au même rythme que son cœur rendu fou, le souffle est court, mais l'expérience préfère mille fois le rire aux larmes. Alors, l'éclat qu'elle offre au Summerbee se fait glacial, odieux, pleinement calqué sur ses propres bourreaux, et l'articulation se fait pleinement impeccable lorsqu'elle ose de nouveau. « Pe-ter ». Ca fait mal, n'est-ce pas ? La moue se désolerait presque mais se brise sur le sourire terrible qui se dresse entre eux. Sur cette distance qui s'est considérablement raccourcit des deux côtés. « T'as le charisme d'une moule avariée, comment veux tu que je prenne sérieusement tes menaces ? » Et pourtant, quelque chose glisse sur son échine lorsqu'elle devine les prémisses d'un sourire en tout point narquois, là, sur les lèvres de son homologue. Elle a enfoncé la porte où rampent les squelettes, elle le sait, et elle devine déjà Barbe bleu descendre les escaliers quatre à quatre avec un hachoir en main.
Son pas se rapproche pourtant, arrogant ou fou, et c'est en tout point altière qu'elle accueille un adjectif qu'elle n'aurait jamais crû poindre sur les lèvres du gentil petit summerbee. Garce. Ca fait du bien, Max ?
« A aucune fraction de ta misérable existence tu n'as tenté de défendre mon cul, Leroy. Je me bat seule contre ton foutu grand père ! Alors ravale ton pseudo syndrome du chevalier, et cesse de vouloir te positionner en sauveur lorsque tu te contente de buller, le regard bas ! » Elle aboie plus fort Cat, mais son esprit creuse inlassablement ses souvenirs, balaye farouchement ses interactions avec Maximilien. Elle est injuste, elle le sait, et ça fait bien quelques minutes déjà qu'elle tente d'appuyer à tout rompre sur les frein de son propre buldozer sans grand succès. Ils foncent, l'un et l'autre, et faute de déviation de leur part, l'impacte se devine désastreux.
Les muscles se relâchent à peine pourtant, lorsque Maximilien amorce un retrait, mais le brutal volte face de ce dernier fait monter d'un cran encore la virulence de la Blackthorn. « Mais putain ! Comprend que tu ES une serpi- » Elle s'écrase, impératrice Quarta, et si fort contre ce qui suit qu'elle s'en éclate le cœur. « P-pardon ? » Répête pour voir dinde moche ? Répête ! Le rire de la lufkin se fait nerveux, frénétique, et si elle se sait incapable de répondre pour l'heure, force est d'admettre que l'esprit peine à se détacher de cette tour, du spectre de sa sœur, de Kiran et ses propres tentatives, d'un James qu'elle savait tant brisé qu'elle le croyait capable du pire à chaque secousse de sa vie. Et puis il y avait son comportement à elle, aussi, trop traumatisée pour se faire franche dans son auto-destruction, mais incapable de lâcher cette baguette qui gravait un peu plus chaque jour sa chaire.
Ce qui suit la vrille significativement, des pieds jusqu'à l'âme, et si le regard se fige sur le Leroy, la tête penche le côté. Elle respire à peine la Blackthorn, mais le rire reprend erratique et si sombre qu'il oscille entre craquage total et grondement si lourd qu'il aurait pu faire écho aux peurs les plus primaires des Hommes. Oh Max. Elle te ferait ravaler tes mots. Chacun d'entre eux.
Pourtant encore hanté par Baby et la descente aux enfers de son frère aînés, Cataleya peine a retrouver consistance, un semblant de force. Elle n'a d'ailleurs plus assez d'énergie après la dispute avec James pour pleinement abattre l'aigle alors, le rire se stoppe étrangement, et le regard se fait terrible. Tout son être lui hurle de bondir et taire ces vocalises infâmes qui grille ses neurones. Son dos s'est même courbé sous la caresse de l'instinct, mais quelque chose la muselle si fort que ça l'enrage plus encore.
« - Ton frère est mort parce qu'il était faible Maximilien, ma sœur est morte en martyr. Mais si tu veux parler de lâche, regarde toi dans un miroir. Moi, je n'ai pas besoin de me droguer pour gérer mon animagus ! Moi, je n'ai jamais eu besoin de fuir une part de moi, ou un traumatisme parce que j'étais trop faible pour le supporter !!! »
Mais Merlin seul savait ô combien il avait raison, Max. Elle était monstrueuse, et les seules personne qui s’acharnait à se tenir pas trop loin de ses horreurs ne le faisait que par peur, ou par pitié... « Blablabla, j'ai pris une balle, oh non ! La mort m'a effleuré de ses griffes ! Putain Max ! Comment l'héritier Leroy peut être aussi faible et ennuyeux ! Si j'avais du réagir de la sorte à chacun des coups, ça fait bien longtemps que je serais morte !» Injuste, toujours. Ses problématiques d'animagus se transposait pourtant sans mal à celle de l'abeille, et taper dessus était infiniment mal venu. Incohérent, surtout.
Le ton s'est drastiquement baissé pour ne pas que le chineur ou les regard tournés vers eux ne viennent s'en emparer, et dieu seul sait que ça lui fait mal, Cat. Elle voudrait hurler mais saisit l'uniforme du summerbee pour drastiquement le rapprocher d'elle. « Si James ne veut pas de moi, c'est qu'il préfère les hommes espèce d'ordure ! Mais ça, soit t'était tellement un ami de merde qu'il te l'a caché, soit t'étais au courant, et tout tes discours visant à me rassurer n'était là que pour te le taper ! »
Son pas se rapproche pourtant, arrogant ou fou, et c'est en tout point altière qu'elle accueille un adjectif qu'elle n'aurait jamais crû poindre sur les lèvres du gentil petit summerbee. Garce. Ca fait du bien, Max ?
« A aucune fraction de ta misérable existence tu n'as tenté de défendre mon cul, Leroy. Je me bat seule contre ton foutu grand père ! Alors ravale ton pseudo syndrome du chevalier, et cesse de vouloir te positionner en sauveur lorsque tu te contente de buller, le regard bas ! » Elle aboie plus fort Cat, mais son esprit creuse inlassablement ses souvenirs, balaye farouchement ses interactions avec Maximilien. Elle est injuste, elle le sait, et ça fait bien quelques minutes déjà qu'elle tente d'appuyer à tout rompre sur les frein de son propre buldozer sans grand succès. Ils foncent, l'un et l'autre, et faute de déviation de leur part, l'impacte se devine désastreux.
Les muscles se relâchent à peine pourtant, lorsque Maximilien amorce un retrait, mais le brutal volte face de ce dernier fait monter d'un cran encore la virulence de la Blackthorn. « Mais putain ! Comprend que tu ES une serpi- » Elle s'écrase, impératrice Quarta, et si fort contre ce qui suit qu'elle s'en éclate le cœur. « P-pardon ? » Répête pour voir dinde moche ? Répête ! Le rire de la lufkin se fait nerveux, frénétique, et si elle se sait incapable de répondre pour l'heure, force est d'admettre que l'esprit peine à se détacher de cette tour, du spectre de sa sœur, de Kiran et ses propres tentatives, d'un James qu'elle savait tant brisé qu'elle le croyait capable du pire à chaque secousse de sa vie. Et puis il y avait son comportement à elle, aussi, trop traumatisée pour se faire franche dans son auto-destruction, mais incapable de lâcher cette baguette qui gravait un peu plus chaque jour sa chaire.
Ce qui suit la vrille significativement, des pieds jusqu'à l'âme, et si le regard se fige sur le Leroy, la tête penche le côté. Elle respire à peine la Blackthorn, mais le rire reprend erratique et si sombre qu'il oscille entre craquage total et grondement si lourd qu'il aurait pu faire écho aux peurs les plus primaires des Hommes. Oh Max. Elle te ferait ravaler tes mots. Chacun d'entre eux.
Pourtant encore hanté par Baby et la descente aux enfers de son frère aînés, Cataleya peine a retrouver consistance, un semblant de force. Elle n'a d'ailleurs plus assez d'énergie après la dispute avec James pour pleinement abattre l'aigle alors, le rire se stoppe étrangement, et le regard se fait terrible. Tout son être lui hurle de bondir et taire ces vocalises infâmes qui grille ses neurones. Son dos s'est même courbé sous la caresse de l'instinct, mais quelque chose la muselle si fort que ça l'enrage plus encore.
« - Ton frère est mort parce qu'il était faible Maximilien, ma sœur est morte en martyr. Mais si tu veux parler de lâche, regarde toi dans un miroir. Moi, je n'ai pas besoin de me droguer pour gérer mon animagus ! Moi, je n'ai jamais eu besoin de fuir une part de moi, ou un traumatisme parce que j'étais trop faible pour le supporter !!! »
Mais Merlin seul savait ô combien il avait raison, Max. Elle était monstrueuse, et les seules personne qui s’acharnait à se tenir pas trop loin de ses horreurs ne le faisait que par peur, ou par pitié... « Blablabla, j'ai pris une balle, oh non ! La mort m'a effleuré de ses griffes ! Putain Max ! Comment l'héritier Leroy peut être aussi faible et ennuyeux ! Si j'avais du réagir de la sorte à chacun des coups, ça fait bien longtemps que je serais morte !» Injuste, toujours. Ses problématiques d'animagus se transposait pourtant sans mal à celle de l'abeille, et taper dessus était infiniment mal venu. Incohérent, surtout.
Le ton s'est drastiquement baissé pour ne pas que le chineur ou les regard tournés vers eux ne viennent s'en emparer, et dieu seul sait que ça lui fait mal, Cat. Elle voudrait hurler mais saisit l'uniforme du summerbee pour drastiquement le rapprocher d'elle. « Si James ne veut pas de moi, c'est qu'il préfère les hommes espèce d'ordure ! Mais ça, soit t'était tellement un ami de merde qu'il te l'a caché, soit t'étais au courant, et tout tes discours visant à me rassurer n'était là que pour te le taper ! »
- Maximilien Leroyfrench style ♔ sweet golden boy
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Mar 7 Fév 2023 - 13:26
Bad blood ft. @Cataleya Blackthorn | 05.02.23« Mais tu plaisantes j’espère ???? Tu crois vraiment que Charles supporterait ta simple existence dans la même pièce que lui si je n’étais pas là pour vanter tes mérites ?! Voyons les choses en face : t’as pas ce qui faut pour être une Leroy ni une Bonnamy ! Tu veux voir ce que ça fait quand je ne te défends pas, quand je n’insiste pas pour qu’il mesure ses propos et ne te traite pas comme une simple mère couveuse ? Soit ! Dès à présent, tu es seule dans cette famille. » C’est fini les ronds de jambe, les supplications et les tentatives de rendre la situation plus aisée pour Cataleya. Après le fiasco avec Juliet, il avait espéré que son grand-père lâche l’affaire et ne tente pas une nouvelle alliance avec cette famille mais c’était trop espérer. Charles est cupide, il ne voit que l’argent que peuvent lui rapporter les Blackthorn et tant pis si, au passage, on sacrifie un petit-fils. Elle a raison, il en a marre de jouer le chevalier protecteur, de s’inquiéter pour tout le monde en tout temps, de toujours s’arranger pour que les autres soient contents de la situation quand lui en souffre et ressort de ces échanges épuisés mentalement et physiquement. Il se bat pour intégrer Peter, il se bat pour épargner Cataleya et Marius… à quoi bon ? Personne ne s’est battu pour qu’il reste dans cette famille.
Alors il la lance, l’attaque perfide. Ces mots terribles qui quittent ses lèvres, des mots qu’il n’aurait jamais pensé prononcer un jour. Mais n’est-elle pas la vision d’une réalité dure à encaisser ? Les patriarches Blackthorn ont un traitement si cruel envers leur progéniture que mourir semble plus paisible à leurs yeux que de vivre dans ces conditions. Elle ne peut le nier !
« C’est l’hôpital qui se fout de la charité là ! C’est qui qui est obligé de se tartiner de runes parce qu’elle est incapable de gérer son animagus hein ? Et qu’est-ce que t’en sais de sa faiblesse, de sa force ? T’as déjà tenté de combattre une maladie magique incurable peut-être, petite princesse ?! Oh oui, pardonne-moi si je suis faible !!! Si la vision de mon frère qui dépérit pendant des mois, jusqu’à ne plus se reconnaître lui-même, me hante encore parce que c’est sûr que chez les Blackthorn, c’est une promenade de santé ! Désolé d’avoir des sentiments et de la tristesse quand toi, t’es morte à l’intérieur ! » Elle ose encore le traiter de faible ? Car se vider de son sang n’est pas un traumatisme suffisant pour se sentir bouleversé des semaines durant ? Ah oui, il parle à une Blackthorn, les rois et reines de la torture physique et mentale. Pour eux, crever revient à aller acheter du pain.
« Moi au moins je suis un héritier. Toi, t’es obligée de vendre ta croupe pour espérer obtenir quelque chose de la vie. Mais c’est dans tes habitudes non ? Courber l’échine devant papa, c’est un peu ton mantra. » Et qu’elle ne vienne pas dire qu’il n’en a pas bavé, qu’il est un lâche. Maximilien n’a pas baissé les bras face à Charles. Il a accepté d’être renié et de ne plus voir sa famille pendant des années pour le maintien de ses convictions. Il n’est pas un vendu et n’en sera jamais un. D’un geste brutal, il force Cataleya à le lâcher, n’aimant pas l’emprise qu’elle peut avoir sur lui, déjà bien assez négative comme ça.
« Wouah. T’es tellement homophobe que tu vas même jusqu’à raconter de la merde sur James tout ça pour m’insulter. Tout ça pour justifier qu’il ne s’intéresse pas à toi. T’es pas si extraordinaire ma p’tite, pas besoin d’aimer les hommes pour ne pas te vouloir, toi. Tu veux un conseil ? Laisse-nous tranquille, tous autant que nous sommes les “déviants”. T’es probablement la dernière personne qu’on veut avoir à nos côtés et dont l’opinion compte. Grandis un peu, t’es en retard de cent ans ma pauvre. » Les mariages arrangés, les ventes d’utérus, les visions homophobes et unilatérales sur le couple… Maximilien en a marre d’entendre ces personnes fermées d’esprit se justifier encore et encore auprès de lui à coup de “c’est pas que t’es pas normal, mais t’avoueras que c’est bizarre…” ou “je ne m’attendais pas à ce que tu en sois un”. “Un” quoi ? Encaisser ces réflexions n’est plus une option aujourd’hui et accepter de se faire pourrir pour cette raison - car il s’agit bien de haine dans le cas de Cataleya - n’est plus envisageable.
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Mar 7 Fév 2023 - 14:52
« - Parce que tu crois que je veux être une Leroy ou une putain de Bonnamy ?? ? Tu crois que ce n'est pas assez humiliant d'avoir du troquer le retour de James contre mes ovaires pour qu'en plus, j'essaye de me réjouir d'appartenir à une famille dirigée par un connard finit ? Ah mais merci ! Tu crois vraiment qu'il ne me murmure pas les pires horreurs à chaque fois qu'on se croise et qu'il ne m'a pas fait comprendre que je n'était qu'un ventre sur patte alors que putain, jamais je ne me résumerai à ça ? A ton avis, pourquoi je suis blonde et plus rousse ? Tu crois vraiment que jouer les Juliet numéro 2 et être promise à son dernier plan cul c'est pas la pire insulte que vous avez pu me cracher à la gueule ?! Alors merci Monsieur « tu me dois tout » ! Merci d'avoir protéger ma misérable vie des griffes de ton grand père. C'était très efficace !»
Elle tremble, elle hurle princesse Blackthorn, et se refuse à croire que Maximilien ait pu jouer les diplomate tant chaque rencontre entre elle et Charles sonnait comme une nouvelle guerre mondiale. Si Claudia Blackthorn la tempérait encore un peu, force était d'admettre que plus elle l'approchait des fiançailles et plus Cataleya réprimait de moins en moins bien l'envie de bondir sur la table pour fondre sur le visage vieillissant de ce mafieux de pacotille.
Sacrifier son corps pour la pérennité de son lignage ne l'avait jamais dérangé plus que mesure tant on lui rabâchait depuis ses quatre ans que c'est ainsi que filait la vie, et pas autrement. Son éducation toute Blackthorn l'avait même inspiré dans ses rêves de foyer tant vivre en meute lui semblait nécessaire ; elle voulait des enfants, et beaucoup d'enfant, mais jamais elle ne souhaitait les exposer à ce qu'elle avait connu alors, un mariage loin du manoir familial aurait dû être la promesse d'un avenir heureux pour ces êtres pas même né. Que leur promettait-elle en posant le pied chez les Leroy ? Des ruines, un patriarcat infâme, et le fait que s'il avait le malheur de naître roux, ils devraient se décolorer à jamais leur précieuse capillarité ? Non. C'était tout bonnement hors de question.
« Je combat tout les jours des maladies magiques incurables Leroy ! C'EST MON TRAVAIL ! » Sans aucun doute, impliquer Peter premier du nom dans cette histoire avait été la pire de ses idées. Impliquer le second également car elle savait le sujet tout aussi épineux mais... N'était-ce pas pour ça qu'elle avait agité leur spectre ? Si le regard panique un peu et que les lèvres s'entrouvrent pour amorcer un temps mort, force est d'admettre que Princesse Quarta s'est fait prendre à son propre piège et qu'il est bien trop tard pour faire machine arrière. « c’est sûr que chez les Blackthorn, c’est une promenade de santé ! »
« Un héritier incapable d'engendrer la moindre descendance ! Tu vas faire quoi ? Demander à la première greluche de porter ton enfant ? MIEUX ! Tu ne veux pas demander à la femme que t'as trompée ? Comme ça ton charmant grand père sera enfin satisfait ! Et les heures que j'ai passé à confectionner les vêtements de vos enfants n'auront pas été inutiles !!! »
Elle secoue encore un peu la tête, refuse de verser la moindre larme pour cet homme -Lui donner la moindre satisfaction d'avoir pu la blesser- mais la voix tremble, et l'iris vacille. Plus encore lorsque James revient sur le sujet. Homophobe, elle ? Passer derrière @Jeremiah Shenton ne lui plaisait guère, mais elle avait été la première à assurer à James qu'aimer un homme, ce n'était pas grave. Tout ça parce qu'elle avait été assez faible pour se laisser influencer pas Maximilien, puis par Wyatt ! Bon sang ! Elle aurait pu faire culpabiliser James, se révulser en hurlant que non, c'était impossible, et le maintenir contre sa poitrine là où pourtant, infiniment consciente que son aimé ne s'épanourait jamais avec elle, elle avait tout fait pour le précipiter dans les bras de son peintre.
« Tu sais quoi ? T'as raison ! Il ne m'aime pas parce que je suis laide, pourrie jusqu'à la moelle, cruelle, et que je ne sais décidément pas aimer. Content ? » Elle préfère courber l'échine devant se sujet là. Si James n'avait rien dit à Maximilien, c'est certainement qui ne se sentait pas prêt à l'avouer, elle n'avait pas le droit d'utiliser ça comme ça. Non. « Je ne sais pas pourquoi c'est vers toi que je me suis tournée pour mon animagus, mais tu sais quoi ? Je crois qu'on s'est trompé tout les deux. C'était la pire erreur de jugement qu'on a commis, toi et moi. Dégage de ma vie Maximilien. Je ne veux plus rien avoir à faire avec toi. Jamais plus. »
Elle tremble, elle hurle princesse Blackthorn, et se refuse à croire que Maximilien ait pu jouer les diplomate tant chaque rencontre entre elle et Charles sonnait comme une nouvelle guerre mondiale. Si Claudia Blackthorn la tempérait encore un peu, force était d'admettre que plus elle l'approchait des fiançailles et plus Cataleya réprimait de moins en moins bien l'envie de bondir sur la table pour fondre sur le visage vieillissant de ce mafieux de pacotille.
Sacrifier son corps pour la pérennité de son lignage ne l'avait jamais dérangé plus que mesure tant on lui rabâchait depuis ses quatre ans que c'est ainsi que filait la vie, et pas autrement. Son éducation toute Blackthorn l'avait même inspiré dans ses rêves de foyer tant vivre en meute lui semblait nécessaire ; elle voulait des enfants, et beaucoup d'enfant, mais jamais elle ne souhaitait les exposer à ce qu'elle avait connu alors, un mariage loin du manoir familial aurait dû être la promesse d'un avenir heureux pour ces êtres pas même né. Que leur promettait-elle en posant le pied chez les Leroy ? Des ruines, un patriarcat infâme, et le fait que s'il avait le malheur de naître roux, ils devraient se décolorer à jamais leur précieuse capillarité ? Non. C'était tout bonnement hors de question.
« Je combat tout les jours des maladies magiques incurables Leroy ! C'EST MON TRAVAIL ! » Sans aucun doute, impliquer Peter premier du nom dans cette histoire avait été la pire de ses idées. Impliquer le second également car elle savait le sujet tout aussi épineux mais... N'était-ce pas pour ça qu'elle avait agité leur spectre ? Si le regard panique un peu et que les lèvres s'entrouvrent pour amorcer un temps mort, force est d'admettre que Princesse Quarta s'est fait prendre à son propre piège et qu'il est bien trop tard pour faire machine arrière. « c’est sûr que chez les Blackthorn, c’est une promenade de santé ! »
…
Il savait que c'était faux. Il savait qu'elle n'arrivait pas à passer au delà du décès de sa sœur, au delà de l'idée même que Kiran ou James aient pu songer à mourir : elle avait pleuré dans ses bras le jour où elle le lui avait avoué. « Toi, t’es obligée de vendre ta croupe pour espérer obtenir quelque chose de la vie. » La spirale infernale revient frapper de plein fouet, et cette fois, Cataleya n'arrive pas à chasser les larmes qui se forment au coin de ses yeux. Bordel ! Elle secoue un peu la tête mais ne sait pas quoi répondre tant c'est là une bien cruelle vérité. Elle était le gentil toutou de papa, capable de lui servir le café le lendemain d'un doloris venu la frapper. Capable, dans son amour tordu et malade pour ce sauveur d'attendre inlassablement un fragment de fierté de sa part. « Un héritier incapable d'engendrer la moindre descendance ! Tu vas faire quoi ? Demander à la première greluche de porter ton enfant ? MIEUX ! Tu ne veux pas demander à la femme que t'as trompée ? Comme ça ton charmant grand père sera enfin satisfait ! Et les heures que j'ai passé à confectionner les vêtements de vos enfants n'auront pas été inutiles !!! »
Elle secoue encore un peu la tête, refuse de verser la moindre larme pour cet homme -Lui donner la moindre satisfaction d'avoir pu la blesser- mais la voix tremble, et l'iris vacille. Plus encore lorsque James revient sur le sujet. Homophobe, elle ? Passer derrière @Jeremiah Shenton ne lui plaisait guère, mais elle avait été la première à assurer à James qu'aimer un homme, ce n'était pas grave. Tout ça parce qu'elle avait été assez faible pour se laisser influencer pas Maximilien, puis par Wyatt ! Bon sang ! Elle aurait pu faire culpabiliser James, se révulser en hurlant que non, c'était impossible, et le maintenir contre sa poitrine là où pourtant, infiniment consciente que son aimé ne s'épanourait jamais avec elle, elle avait tout fait pour le précipiter dans les bras de son peintre.
« Tu sais quoi ? T'as raison ! Il ne m'aime pas parce que je suis laide, pourrie jusqu'à la moelle, cruelle, et que je ne sais décidément pas aimer. Content ? » Elle préfère courber l'échine devant se sujet là. Si James n'avait rien dit à Maximilien, c'est certainement qui ne se sentait pas prêt à l'avouer, elle n'avait pas le droit d'utiliser ça comme ça. Non. « Je ne sais pas pourquoi c'est vers toi que je me suis tournée pour mon animagus, mais tu sais quoi ? Je crois qu'on s'est trompé tout les deux. C'était la pire erreur de jugement qu'on a commis, toi et moi. Dégage de ma vie Maximilien. Je ne veux plus rien avoir à faire avec toi. Jamais plus. »
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Mar 7 Fév 2023 - 16:05
Bad blood ft. @Cataleya Blackthorn | 05.02.23« Redescends sur Terre putain ! À quel point peut-on être aussi narcissique ??? Tu crois vraiment qu’en faire ton travail et le VIVRE c’est la même chose ??? Toi t’as fini ton service et tu rentres chez toi mais lui, il est pas rentré chez lui ! Il rentrera jamais chez lui ! Alors n’essaye même pas de comparer ton combat pathétique avec le sien. » Il n’arrive même pas à croire qu’il soit obligé de le dire pour qu’elle puisse le comprendre. Traiter une maladie est évidemment un processus lourd pour un médecin. Voir son patient s’effacer du monde n’a rien de plaisant, pour celui qui a ne serait-ce qu’une once d’empathie. Mais vivre cet effacement sans rien pouvoir y faire, c’est une douleur inimaginable. Peter n’a rien choisi. Il n’a rien demandé et jusqu’à la fin, il s’est montré fort et courageux pour supprimer de son visage toute trace de peur et de tristesse. Un héro pour Maximilien. Une figure que personne d’autre ne saura jamais prendre.
« Oooooh pauvre petite Cataleya, si triste parce qu’elle ne peut pas refourguer des vieux vêtements dégueulasses qu’elle prétend avoir confectionnés elle-même, comme si on allait y croire ! T’en fais pas pour moi va, je ne te ferai pas le plaisir de pondre un môme qui viendra m’effacer de l’arbre généalogique. Tu peux enfanter tant que tu voudras, tes enfants n’auront jamais cette légitimité-là. » La question de la lignée Leroy l’intéresse de moins en moins depuis que Charles sort de son crâne. Mais face aux attaques incessantes de la Blackthorn, il semble y accorder une nouvelle importance. S’il veut effectivement des enfants, ça n’a jamais été pour “être le premier et couper l’herbe sous le pied à Marius et Cataleya”, mais bien pour leur propre bonheur. Sauf qu’il comprend désormais que le seul but de la rousse, c’est d’agir comme son poison de paternel et d’envahir la lignée française. Plutôt crever que d’abandonner les Leroy aux Blackthorn.
« Au moins cette fois, on est d’accord » railla-t-il, légèrement surpris qu’elle ne cherche pas à démentir ses propos comme elle le fait depuis plusieurs minutes. Ce qui le fait douter. Il est allé trop loin et ce, à maintes reprises. À ce stade, le retour en arrière n’est plus envisageable mais la mâchoire toujours serrée de Maximilien est incapable de se détendre pour y laisser passer des excuses.
« Eh bah ça me va très bien ! Bon vent et va crever dans ta jalousie. » Déterminé cette fois, nauséeux et sur le point de frapper la première personne qui viendrait lui demander sa direction, il tourne les talons et les claque sur le sol jusqu’à sa sortie du domaine. Il la déteste. Sur le moment, c’est tout ce à quoi il pense. Il la déteste pour ce qu’elle fait, pour ce qu’elle dit, pour ce qu’elle laisse naître en lui. Même son grand-père n’a jamais réussi à lui provoquer une telle colère. Être posé, calme et profondément bienveillant, il se pensait incapable de haïr qui que ce soit. Bravo Cataleya, tu as accompli un exploit ! Désirant s’enfermer dans sa solitude, c’est chez Maxence qu’il va, n’envisageant même pas de faire face à Peter. Bien qu’il sache que rien de ce qu’elle a dit à son sujet n’est vrai, le doute lui tient la gorge jusqu’à suffocation et une nouvelle preuve de manque de confiance en le Drummond risquerait de mettre un point final à leur relation. Espace, temps… voilà ce dont il a besoin. Alors il claque la porte de l’appartement du peintre, le regarde à peine en se dirigeant vers sa chambre.
« Si quelqu’un me cherche, je ne suis pas là. » Le battant fait un bruit sourd en se refermant sur un Maximilien blessé, encore sous le coup de la colère et de la honte.terminé pour moi merci pour ce coup de chaud
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Re: Bad blood (ft. Cataleya)
Mer 8 Fév 2023 - 11:12
« Toi t’as fini ton service et tu rentres chez toi mais lui, il est pas rentré chez lui ! »
Blême, quoi qu'encore trop terrible pour stopper le massacre, Cataleya maintient ses poings serré le long de sa cuisse pour ne pas frapper. Elle sait le sujet sensible quoi que sordidement jeté sur la table par ses soins, et a trop souvent dû accompagner les pleurs et la colère des familles de ceux qu'elle n'avait pas pu sauver pour faire véritablement front contre cette nouvelle offensive. Il a raison, elle, elle rentre toujours. Coupable, dévastée, mais elle rentre toujours. Et elle n'a qu'une seule envie Cat, et c'est de reculer, s'excuser peut être, mais ce sont deux choses que sa mère exècre et lui a fondamentalement interdit depuis son plus jeune âge. Un blackthorn ne ploie pas le genoux, quand bien même la gifle pourrait faire trembler son monde. Et elle le fait trembler, n'est-ce pas Cataleya ?
La tentation de hurler qu'il n'a aucune conscience de comment elle peut vivre tout ça pèse sur ses lèvres, car il est vrai que si elle s'était toujours faite trop sensible pour survivre chez les Blackthorn, c'était aussi la principale raison qui l'avait toujours poussé à arguer que, jamais, elle ne travaillerait sur le terrain. Jamais, elle ne travaillerait avec de l'humain. L'odeur de la peur et de la détresse lui donne toujours la nausée lorsqu'elle prend son service, parce qu'elle la ressent de plein fouet, petit animagus au flair trop développé. Parfois même, elle sait l'état de ses patients se dégrader drastiquement avant même de pousser la porte, parce qu'elle le sent, là, dans ses tripes, que quelque chose ne va pas. Sans même parvenir véritablement à se l'expliquer, il lui suffit parfois d'un pas en avant pour comprendre, en un regard, que ce qui bouffe l'enfant tordu de douleur devant elle ne lui laissera aucune chance. Parce qu'elle le sent, là, dévorer ses propres entrailles. Pourtant jamais elle n'a abandonné, et jamais elle le fera, quand bien même chaque nouveau décès la presse de fermer plus encore les portes de l'empathie.
Elle n'attendait que son diplôme pour se réfugier dans un froid laboratoire, loin, si loin de l'odeur la mort qui maculait ses doigts.
Alors elle laisse gagner, Maximilien, quand bien même il serait aisé de cracher à son visage trop près que, tant mieux. Tant mieux bon sang ! Le monde n'avait pas besoin d'un Charles numéro deux. Que ce grand frère qui n'était plus n'aurait pas à supporté la vision d'échec le plus total que renvoyait le summerbee à la Terre entière ! L'horreur serait aisé, mais ça obligerait Cataleya à se tourner le regard vers le spectre de Baby. Vers son propre effondrement.
Alors, le regard plongé profondément dans l'âme de l'attrapeur, un sourire mauvais se grave pour chasser les larmes. Un rire s'oppose, infâme, lorsque le Leroy reprend. Quand bien même la panique glisse sur le cœur de la lufkin lorsqu'elle devine que ses enfants, pas même nés, seraient pleinement menacé par ceux de l'héritier. Et ça l'enrage, petite maraine trop maternelle. Ca la dévaste, elle qui ne rêve que de sécurité pour des enfants qu'elle souhaite élever loin de tout ce qu'elle a connu. Loin de la menace constante d'être remplaçable car pas assez précieux.
Si elle avait toujours aimé prétendre qu'elle n'aimait pas Maximilien, parce qu'elle était infiniment dramatique et qu'avouer aimer quelqu'un lui semblait inconcevable, force est d'admettre que, pour la première fois de sa vie, c'est un regard mort et froid qui harponne le visage du Leroy. Une menace, tout bonnement, identique aux expressions que pouvait prendre son père lorsqu'il s'apprêter à lui jeter un endoloris au visage. Menace Maximilien, cette descendance pas même née, et elle s'assurerait d'ériger son trône sur ta tombe, précieux petit héritier.
« Bon vent et va crever dans ta jalousie » Si les mots font mal et font pleinement écho à un moral au plus bas et des idées franchement pas joyeuse, c'est un sourire radieux, en tout point plastique qui accueil les souhaits du brun. Elle lui souhaiterait une agonie lente devant le cadavre de son aimé mais, force est d'admettre qu'après la dispute avec James, elle n'a plus véritablement de force. Que le peu qu'elle parvient à rassembler ne sert qu'à repousser les larmes. S’ériger reine, là, sur l’amoncellement des horreurs qu'ils ont tout deux empilés. Pour ne pas perdre la face devant tout ces regards braqué sur elle, et qui s'attende sans doute à la voir vaciller. Elle ne leur donnera pas cette joie, non.
Blême, quoi qu'encore trop terrible pour stopper le massacre, Cataleya maintient ses poings serré le long de sa cuisse pour ne pas frapper. Elle sait le sujet sensible quoi que sordidement jeté sur la table par ses soins, et a trop souvent dû accompagner les pleurs et la colère des familles de ceux qu'elle n'avait pas pu sauver pour faire véritablement front contre cette nouvelle offensive. Il a raison, elle, elle rentre toujours. Coupable, dévastée, mais elle rentre toujours. Et elle n'a qu'une seule envie Cat, et c'est de reculer, s'excuser peut être, mais ce sont deux choses que sa mère exècre et lui a fondamentalement interdit depuis son plus jeune âge. Un blackthorn ne ploie pas le genoux, quand bien même la gifle pourrait faire trembler son monde. Et elle le fait trembler, n'est-ce pas Cataleya ?
La tentation de hurler qu'il n'a aucune conscience de comment elle peut vivre tout ça pèse sur ses lèvres, car il est vrai que si elle s'était toujours faite trop sensible pour survivre chez les Blackthorn, c'était aussi la principale raison qui l'avait toujours poussé à arguer que, jamais, elle ne travaillerait sur le terrain. Jamais, elle ne travaillerait avec de l'humain. L'odeur de la peur et de la détresse lui donne toujours la nausée lorsqu'elle prend son service, parce qu'elle la ressent de plein fouet, petit animagus au flair trop développé. Parfois même, elle sait l'état de ses patients se dégrader drastiquement avant même de pousser la porte, parce qu'elle le sent, là, dans ses tripes, que quelque chose ne va pas. Sans même parvenir véritablement à se l'expliquer, il lui suffit parfois d'un pas en avant pour comprendre, en un regard, que ce qui bouffe l'enfant tordu de douleur devant elle ne lui laissera aucune chance. Parce qu'elle le sent, là, dévorer ses propres entrailles. Pourtant jamais elle n'a abandonné, et jamais elle le fera, quand bien même chaque nouveau décès la presse de fermer plus encore les portes de l'empathie.
Elle n'attendait que son diplôme pour se réfugier dans un froid laboratoire, loin, si loin de l'odeur la mort qui maculait ses doigts.
Alors elle laisse gagner, Maximilien, quand bien même il serait aisé de cracher à son visage trop près que, tant mieux. Tant mieux bon sang ! Le monde n'avait pas besoin d'un Charles numéro deux. Que ce grand frère qui n'était plus n'aurait pas à supporté la vision d'échec le plus total que renvoyait le summerbee à la Terre entière ! L'horreur serait aisé, mais ça obligerait Cataleya à se tourner le regard vers le spectre de Baby. Vers son propre effondrement.
Alors, le regard plongé profondément dans l'âme de l'attrapeur, un sourire mauvais se grave pour chasser les larmes. Un rire s'oppose, infâme, lorsque le Leroy reprend. Quand bien même la panique glisse sur le cœur de la lufkin lorsqu'elle devine que ses enfants, pas même nés, seraient pleinement menacé par ceux de l'héritier. Et ça l'enrage, petite maraine trop maternelle. Ca la dévaste, elle qui ne rêve que de sécurité pour des enfants qu'elle souhaite élever loin de tout ce qu'elle a connu. Loin de la menace constante d'être remplaçable car pas assez précieux.
Si elle avait toujours aimé prétendre qu'elle n'aimait pas Maximilien, parce qu'elle était infiniment dramatique et qu'avouer aimer quelqu'un lui semblait inconcevable, force est d'admettre que, pour la première fois de sa vie, c'est un regard mort et froid qui harponne le visage du Leroy. Une menace, tout bonnement, identique aux expressions que pouvait prendre son père lorsqu'il s'apprêter à lui jeter un endoloris au visage. Menace Maximilien, cette descendance pas même née, et elle s'assurerait d'ériger son trône sur ta tombe, précieux petit héritier.
« Bon vent et va crever dans ta jalousie » Si les mots font mal et font pleinement écho à un moral au plus bas et des idées franchement pas joyeuse, c'est un sourire radieux, en tout point plastique qui accueil les souhaits du brun. Elle lui souhaiterait une agonie lente devant le cadavre de son aimé mais, force est d'admettre qu'après la dispute avec James, elle n'a plus véritablement de force. Que le peu qu'elle parvient à rassembler ne sert qu'à repousser les larmes. S’ériger reine, là, sur l’amoncellement des horreurs qu'ils ont tout deux empilés. Pour ne pas perdre la face devant tout ces regards braqué sur elle, et qui s'attende sans doute à la voir vaciller. Elle ne leur donnera pas cette joie, non.
Mieux valait passer pour un monstre que pour une faible.
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