- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Ven 26 Mai 2023 - 2:27
Pressant ses talons aiguilles contre le pavé sale d'Iverness, Cataleya furète étrangement dans sa robe noire, parfaitement consciente du timing qui rythmait ses dernières courses et des positions de chaque point qui composait cette ultime ligne droite sur la carte. Elle avait enchaîné les heures passées à Sainte Marie pour libérer sa soirée ainsi que déborder sur la matinée, avait bouclé les potions destinées aux capes noires le matin même, terminé les fiches-mémoires qui ponctuait ses révisions maladive et arrosé ses plantes, ce qui était une tâche cyclopéenne en soit tant le Yard Manor en regorgait. Trois jours intenses, effroyablement condensé pour pouvoir la jeter sur le lit de Miguel dans un ronronnement purement félin. Leurs emplois du temps respectifs semblaient parfois se faire la guerre et ils ne voyaient pas autant qu'elle -qu'ils ?- le voudrait, aussi c'était pétrit par l'angoisse de ne pas être assez disponible pour lui que Cataleya s'échinait toujours à bien faire. La tâche lui paraissait parfois anxiogène tant elle demandait un effort d'organisation, mais c'était toujours infiniment apaisé qu'elle délaissait discrètement l'appartement du Madrilène. Renouant presque avec ce tempérament solaire qui avait sacralisé ses jeunes années.
L'ascension jusque chez le grymm se fait pourtant par des chemins détourné, Cataleya étant devenue presque paranoïaque à l'idée qu'on puisse la surprendre ou suivre. Elle fait toujours mine de se perdre, transplane, mais ne souffle véritablement qu'après l'ouverture de cette porte à laquelle elle frappe deux brefs coups. Arthur serait fier.
Réajustant le décolleté plongeant qu'offre sa robe, Cataleya se laisse cette fois-ci surprendre par la porte et lèverait presque un regard emplit de culpabilité vers lui tant elle se sent subitement gênée. C'est qu'elle tâtait presque sa poitrine pour s'assurer qu'elle ne devenait pas concave.
« Miguel... » Pendu à son cou à la manière d'une sirène, le regard rendu intense par le manque de contact, Cataleya remonte sa cuisse le long du grymm pour l'inciter à la porter. L'habitude voudrait qu'elle tâte un peu ses biceps avant pour stimuler son égo, mais peine cette fois ci à détourner la tête, niché si habilement au fond de ses yeux qu'elle pourrait s'y perdre pour la soirée. Alors elle se sent sotte Cataleya, elle et son regard de biche, rougissant tout contre le poursuiveur sans parvenir à formuler ô combien il lui avait manqué. Son visage finit par se rapprocher et, si le baiser est tentant, c'est la douceur des étoiles au bout du nez qu'elle effleure tendrement celui du madrilène Le sourire est discret, l'oeil pétillant, mais la lufkin se résout finalement à soulever les sacs en plastiques qui pèsent lourdement sur ses poignets, autant pour chasser le trouble qui l'habite que signifier qu'ils n'auraient pas à se soucier de cette problématique plus tard.
Elle avait un peu craqué, il est vrai, autant parce qu'elle n'avait rien avalé de la journée que parce qu'elle s'appliquait à faire découvrir à Miguel de nouveaux horizon culinaire, bien loin des fastfood et pizza, quand bien même c'est elle qui l'avait supplié -la dernière fois qu'elle avait bu- de pousser la porte de cette étrange échoppe qui proposait des bonhommes sourire. Trop gras, trop salé, de piètre qualité, elle s'était tout de même satisfaite de son expérience car partagée. Même si elle n'était pas parvenue à attraper la baguette du grymm, et ce en dépit de ses trop nombreux essaies esquissé.
Cette fois-ci donc, Cataleya avait opté pour un mélange d’ethnicité et saveur, occultant toute notion d'alcool puisque le lendemain se lèverait sur un match sur lequel la médicomage garderait assurément un oeil durant sa pause. Faute de pouvoir l'encourager de vive-voix, elle s'était promise de le préparer au mieux et aimait se répéter que cela passait en premier lieu par l'estomac. Et si elle pouvait gratter en plus de ça une nuit toute douce, allègrement niché dans ses bras, elle serait la plus heureuse des femmes.
« Je me croyais épuisée mais ton sourire a suffit à recharger mes batteries... Qu'est-ce que je ferais sans toi Pajares.. »
@Miguel Pajares
L'ascension jusque chez le grymm se fait pourtant par des chemins détourné, Cataleya étant devenue presque paranoïaque à l'idée qu'on puisse la surprendre ou suivre. Elle fait toujours mine de se perdre, transplane, mais ne souffle véritablement qu'après l'ouverture de cette porte à laquelle elle frappe deux brefs coups. Arthur serait fier.
Réajustant le décolleté plongeant qu'offre sa robe, Cataleya se laisse cette fois-ci surprendre par la porte et lèverait presque un regard emplit de culpabilité vers lui tant elle se sent subitement gênée. C'est qu'elle tâtait presque sa poitrine pour s'assurer qu'elle ne devenait pas concave.
« Miguel... » Pendu à son cou à la manière d'une sirène, le regard rendu intense par le manque de contact, Cataleya remonte sa cuisse le long du grymm pour l'inciter à la porter. L'habitude voudrait qu'elle tâte un peu ses biceps avant pour stimuler son égo, mais peine cette fois ci à détourner la tête, niché si habilement au fond de ses yeux qu'elle pourrait s'y perdre pour la soirée. Alors elle se sent sotte Cataleya, elle et son regard de biche, rougissant tout contre le poursuiveur sans parvenir à formuler ô combien il lui avait manqué. Son visage finit par se rapprocher et, si le baiser est tentant, c'est la douceur des étoiles au bout du nez qu'elle effleure tendrement celui du madrilène Le sourire est discret, l'oeil pétillant, mais la lufkin se résout finalement à soulever les sacs en plastiques qui pèsent lourdement sur ses poignets, autant pour chasser le trouble qui l'habite que signifier qu'ils n'auraient pas à se soucier de cette problématique plus tard.
Elle avait un peu craqué, il est vrai, autant parce qu'elle n'avait rien avalé de la journée que parce qu'elle s'appliquait à faire découvrir à Miguel de nouveaux horizon culinaire, bien loin des fastfood et pizza, quand bien même c'est elle qui l'avait supplié -la dernière fois qu'elle avait bu- de pousser la porte de cette étrange échoppe qui proposait des bonhommes sourire. Trop gras, trop salé, de piètre qualité, elle s'était tout de même satisfaite de son expérience car partagée. Même si elle n'était pas parvenue à attraper la baguette du grymm, et ce en dépit de ses trop nombreux essaies esquissé.
Cette fois-ci donc, Cataleya avait opté pour un mélange d’ethnicité et saveur, occultant toute notion d'alcool puisque le lendemain se lèverait sur un match sur lequel la médicomage garderait assurément un oeil durant sa pause. Faute de pouvoir l'encourager de vive-voix, elle s'était promise de le préparer au mieux et aimait se répéter que cela passait en premier lieu par l'estomac. Et si elle pouvait gratter en plus de ça une nuit toute douce, allègrement niché dans ses bras, elle serait la plus heureuse des femmes.
« Je me croyais épuisée mais ton sourire a suffit à recharger mes batteries... Qu'est-ce que je ferais sans toi Pajares.. »
@Miguel Pajares
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Dim 28 Mai 2023 - 23:03
14 avril 2023
Si vous imaginez Miguel du genre à traîner trop longtemps au lit et passe du temps sur sa console, parfaitement moldue, vous avez raison. Enfin vous devriez avoir raison. Une vie en jogging, à passer de son lit au canapé puis du canapé à la cuisine pour enfin échouer dans le canapé, c’est tout ce à quoi il aspirait en ce moment. Mais ses journées étaient affreusement chargées.
Au matin, il avait échangé quelques tirs sous la Griffe de l’Hippogriffe pour honorer son inscription parmi les Duellistes d’Inverness. Il avait fait un détour par le Ministère, apparement il manquait quelques détails à ses dossiers avant que ceux-ci ne soient transmis au procureur pour poursuites. De la paperasse à ses yeux mais Evan n’avait pas manqué de le rappeler à l’ordre et de le faire déplacer un jour de congé pour l’occasion. L’après midi avait été dédiée à sa thèse qui avançait à pas de botruc, Miguel décrivait cet enfer à qui voulait l’entendre. Et évidemment, il avait participé au tableau noir qu’avait animé Octave en préparation du match du lendemain. S’il attendait de pied ferme le match contre les Ethelred, il y avait une échéance pour ce soir qu’il avait bien hâte d’honorer.
Le sourire qu’il arbore ne dissimule pas le ravissement de la voir. Elle n’a même pas passé le pas de la porte qu’il a ouvert qu’elle l’enlace et les mains du madrilène, comme faussement habituées, viennent se loger sous ses cuisses puis sous ses fesses pour la soulever contre lui. Il pose doucement la tête contre ses boucles rousse alors qu’elle se niche dans son cou pour y sentir le parfum qu’il avait déposé sur sa peau. C’est qu’il s’était pomponné pour l’accueillir. Il avait même humidifié ses mèches brunes pour qu’elles bouclent de plus belle sur son crâne, l’une d’entre elle flirtait même avec son sourcil gauche.
- Je suis content de te voir aussi.
Qu’il déclare, avant de la poser doucement au sol. Elle est magnifique dans cette robe noire qui souligne sa peau diaphane et contraste avec l’intensité de la couleur de ses cheveux. Il dépose un baiser sur son front, pas franchement contenté de la douce caresse nasale qu’ils se sont échangés.
- Qu’est ce que je ferais sans toi ? Je mangerais probablement des nouilles instantanées…
Il tend les bras pour récupérer les sacs qu’elle porte et les poser sur le plan de travail qui lui sert plus souvent de bar qu’autre-chose. Ca sentait les épices et le madrilène en avait déjà l’eau à la bouche.
- T’as ramené quoi de bon ? Y’a des sucres lents ?
Il n’y avait bien que la veille d’un match de quidditch qu’il s’en inquiétait…
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Inventaire Sorcier
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Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Lun 29 Mai 2023 - 22:34
Nichée tout contre le madrilène, Cataleya réapprend à respirer. Elle réalise sans peine que les mains qui glisse habilement sous ses cuisses parviennent enfin à délier les tensions de ses muscles ainsi que les torsions de son faible palpitant. Pourtant, s'il s'agit là d'un constat habituel tant elle semble radieuse et légère à chaque nuit passé tout contre le grymm, Cataleya s'étonne encore de cette faculté qu'à Miguel à la rassurer. De cette faculté qu'il a à lui faire croire, sans dire mot, qu'elle pouvait nicher, en tout point imprenable, hors de portée de ses parents et de leur sacro-saint jugement. Que jamais plus elle n'aurait à craindre quoi que ce soit, et que ce n'étais pas si grave d'envisager un futur avec un homme qu'il haïrait au premier regard, tant que elle, elle était heureuse. A l'instar d'un vent qui soufflerait l'orage ou d'une douce lueur au bout du tunnel, sa simple présence chassait les ombres de sa vie. Et pour cela elle lui était infiniment reconnaissante.
Perché dans ses bras, le cœur s'emballe mais le regard peine à se défaire de ces boucles brune dans laquelle elle rêve déjà de passer ses doigts. Merlin ! Comment pouvait-elle se faire aussi perméable à son charme ? Conquise par cette voix qui lui flanque encore quelques frissons, Miss Blackthorn se fait violence pour dissiper les vagues d'enthousiasme qui la submerge. Elle connaît toujours l'effroyable sensation d'avoir le baiser létal et se hais d'éprouver encore autant de réserve à l'idée de se jeter sur les lèvres de Miguel, mais les traumatismes ont la peau dures et la culpabilité est tant encré dans ses veines qu'il lui ait difficile de progresser sur le terrain amoureux sans avoir à occulter constamment le sinistre craquement des os de Cillian. Ou l'expression qui avait tordu son visage lors de sa chute sur le terrain de quidditch de Poudlard. Comme un constant rappel que, chaque pas osé hors du chemin parfaitement tracé pour elle, signerait désastre et désolation. Ce n'est pourtant pas faute de se consumer de désir et d'avoir milles supplique pendu au bout de ses cils lorsque le ton se fait plus intimiste entre elle et Miguel.
Désormais pied à terre et libéré des sacs qui l'avaient tant agacés sur la route, Cataleya emboîte le pas du madrilène et se glisse dans son dos, l'étreignant doucement, menton posé sur l'épaule. Si elle clos un instant le regard, c'est un sourire en coin qui trône irrépressiblement sur les lèvres de la lufkin à mesure qu'elle hume l'air pour tenter de retrouver ses marques à l'aveugle. Quelques part sans doute essaye t'elle d'identifier chacun des plats sans même poser ses yeux bleu dessus ; une gymnastique de l'esprit à laquelle elle aimait se soumettre, autant pour faire la paix avec son animagus que parce que cela lui demandait un état de concentration tout particulier.
- On a à la fois de l'indien, et du mexicain. Difficile de faire plus complet comme repas Cariño. D'une voix chaude, Cataleya s'applique à rouler son « r » mais peine à se défaire de son accent britannique. Aussi s'y reprend t'elle à voix basse, et sur diverses tonalité pour tenter de faire sonner au mieux ce mot qu'elle peine à maîtriser. Il n'y a pas à dire, elle préfère lorsque c'est Miguel qui lui parle en espagnol. Et tu le devines sans doute déjà au vu du poids, mais on ne pourra pas tout manger ce soir. Tu n'auras donc pas à cuisiner demain ; Si ça ce n'est pas de l'optimisation au top...
La poitrine pressée contre le dos du grymm, Cataleya s'autorise à déposer quelques baisers sur la nuque de Miguel afin de patienter un peu, le temps qu'il mette à nu chacun des plats devant eux. C'est que son ventre commence à vocaliser la famine qui le tient !
Alooors ? Ton égo supportera t'il une nouvelle victoire après deux ans de règne incontesté sur les autres équipes ? Ou es-tu un peu nerveux à l'idée que les gris puissent vous mettre une odieuse fessée ?
Viens t'elle de joindre le geste au mot ? Plus intuitivement qu'elle ne l'aurait crû, en effet. Elle se détourne pourtant rapidement du madrilène pour partir à l'aventure des fourchettes, clairement paumée dans cette cuisine que dans la sienne.
Perché dans ses bras, le cœur s'emballe mais le regard peine à se défaire de ces boucles brune dans laquelle elle rêve déjà de passer ses doigts. Merlin ! Comment pouvait-elle se faire aussi perméable à son charme ? Conquise par cette voix qui lui flanque encore quelques frissons, Miss Blackthorn se fait violence pour dissiper les vagues d'enthousiasme qui la submerge. Elle connaît toujours l'effroyable sensation d'avoir le baiser létal et se hais d'éprouver encore autant de réserve à l'idée de se jeter sur les lèvres de Miguel, mais les traumatismes ont la peau dures et la culpabilité est tant encré dans ses veines qu'il lui ait difficile de progresser sur le terrain amoureux sans avoir à occulter constamment le sinistre craquement des os de Cillian. Ou l'expression qui avait tordu son visage lors de sa chute sur le terrain de quidditch de Poudlard. Comme un constant rappel que, chaque pas osé hors du chemin parfaitement tracé pour elle, signerait désastre et désolation. Ce n'est pourtant pas faute de se consumer de désir et d'avoir milles supplique pendu au bout de ses cils lorsque le ton se fait plus intimiste entre elle et Miguel.
Désormais pied à terre et libéré des sacs qui l'avaient tant agacés sur la route, Cataleya emboîte le pas du madrilène et se glisse dans son dos, l'étreignant doucement, menton posé sur l'épaule. Si elle clos un instant le regard, c'est un sourire en coin qui trône irrépressiblement sur les lèvres de la lufkin à mesure qu'elle hume l'air pour tenter de retrouver ses marques à l'aveugle. Quelques part sans doute essaye t'elle d'identifier chacun des plats sans même poser ses yeux bleu dessus ; une gymnastique de l'esprit à laquelle elle aimait se soumettre, autant pour faire la paix avec son animagus que parce que cela lui demandait un état de concentration tout particulier.
- On a à la fois de l'indien, et du mexicain. Difficile de faire plus complet comme repas Cariño. D'une voix chaude, Cataleya s'applique à rouler son « r » mais peine à se défaire de son accent britannique. Aussi s'y reprend t'elle à voix basse, et sur diverses tonalité pour tenter de faire sonner au mieux ce mot qu'elle peine à maîtriser. Il n'y a pas à dire, elle préfère lorsque c'est Miguel qui lui parle en espagnol. Et tu le devines sans doute déjà au vu du poids, mais on ne pourra pas tout manger ce soir. Tu n'auras donc pas à cuisiner demain ; Si ça ce n'est pas de l'optimisation au top...
La poitrine pressée contre le dos du grymm, Cataleya s'autorise à déposer quelques baisers sur la nuque de Miguel afin de patienter un peu, le temps qu'il mette à nu chacun des plats devant eux. C'est que son ventre commence à vocaliser la famine qui le tient !
Alooors ? Ton égo supportera t'il une nouvelle victoire après deux ans de règne incontesté sur les autres équipes ? Ou es-tu un peu nerveux à l'idée que les gris puissent vous mettre une odieuse fessée ?
Viens t'elle de joindre le geste au mot ? Plus intuitivement qu'elle ne l'aurait crû, en effet. Elle se détourne pourtant rapidement du madrilène pour partir à l'aventure des fourchettes, clairement paumée dans cette cuisine que dans la sienne.
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Jeu 1 Juin 2023 - 21:31
La bouffe face à lui sentait divinement bon. Et le parfum de Cataleya dans son dos chatouillait aussi ses narines. Deux plaisirs bien distincts, pourtant il peine légèrement à concentrer son attention sur les sachets de kraft qu’il ouvre au fur et à mesure. Certaines barquettes sont encore tièdes, un simple sortilège devrait les amener à température idéale pour faire honneur à cette soirée dégustation.
- Cariño.
Il a patiemment attendu qu’elle se lasse de ses tentatives pour lui donner la prononciation qui aurait pu être celle de son Abuela. Il avait si souvent entendu ce mot dans la bouche de sa grand-mère, puis dans celle de sa cousine qui aimait tant reprendre ses gestes et expressions. Pina lui manquait, et il se surprend parfois à penser qu’elle aurait beaucoup aimé Cataleya. Après quelques années à la cotoyer.
- Tu t’améliores.
L’ironie ne s’entend pas mais les yeux brillants du Pajares témoignent de la douce moquerie dont il est coupable. Déjà, il sort sa baguette et réchauffe un par un les plats. Il est clair qu’ils ne pourront pas tout manger… Ou alors il fallait appeler toute la team des Grymm pour venir à bout du petit buffet que la rouquine avait apporté. Il sourit en pensant au fait qu’Esther ne ferait qu’une bouchée des samossas qu’il réchauffe patiemment et puis se rappelle qu’ils avaient trop attendu leur tête à tête pour appeler toute la smala.
Un léger frisson le prend alors qu’il sent les lèvres de la sorcière dans sa nuque mais ce n’est rien comparé au vertige à l’idée de perdre demain. Il grimace mais ce n’est pas à cause de la fessée appliquée par la Blackthorn.
- Crois le ou non, chaque match est important et je rigole pas du tout sur la préparation mentale.
Il sourit, un peu gêné, une main dans sa nuque alors qu’elle furete dans la cuisine avant d’ajouter.
- Bref, je stress de ouf. Mais je vais essayer de pas trop y penser ce soir.
Ce match, c’était de loin le plus important de toute la saison. Et auprès de n’importe qui il aurait sûrement fanfaronné en disant qu’il était sûr de gagner et que les Ethelred n’avaient aucune chance… Mais là, il était obligeamment sincère. Il s’approche d’elle et ouvre le tiroir où il « range » les couverts. Un amas de ferraille s’étale sous les yeux de la rousse tandis qu’il sort des assiettes propres.
- Cariño.
Il a patiemment attendu qu’elle se lasse de ses tentatives pour lui donner la prononciation qui aurait pu être celle de son Abuela. Il avait si souvent entendu ce mot dans la bouche de sa grand-mère, puis dans celle de sa cousine qui aimait tant reprendre ses gestes et expressions. Pina lui manquait, et il se surprend parfois à penser qu’elle aurait beaucoup aimé Cataleya. Après quelques années à la cotoyer.
- Tu t’améliores.
L’ironie ne s’entend pas mais les yeux brillants du Pajares témoignent de la douce moquerie dont il est coupable. Déjà, il sort sa baguette et réchauffe un par un les plats. Il est clair qu’ils ne pourront pas tout manger… Ou alors il fallait appeler toute la team des Grymm pour venir à bout du petit buffet que la rouquine avait apporté. Il sourit en pensant au fait qu’Esther ne ferait qu’une bouchée des samossas qu’il réchauffe patiemment et puis se rappelle qu’ils avaient trop attendu leur tête à tête pour appeler toute la smala.
Un léger frisson le prend alors qu’il sent les lèvres de la sorcière dans sa nuque mais ce n’est rien comparé au vertige à l’idée de perdre demain. Il grimace mais ce n’est pas à cause de la fessée appliquée par la Blackthorn.
- Crois le ou non, chaque match est important et je rigole pas du tout sur la préparation mentale.
Il sourit, un peu gêné, une main dans sa nuque alors qu’elle furete dans la cuisine avant d’ajouter.
- Bref, je stress de ouf. Mais je vais essayer de pas trop y penser ce soir.
Ce match, c’était de loin le plus important de toute la saison. Et auprès de n’importe qui il aurait sûrement fanfaronné en disant qu’il était sûr de gagner et que les Ethelred n’avaient aucune chance… Mais là, il était obligeamment sincère. Il s’approche d’elle et ouvre le tiroir où il « range » les couverts. Un amas de ferraille s’étale sous les yeux de la rousse tandis qu’il sort des assiettes propres.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
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Inventaire Sorcier
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Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Ven 2 Juin 2023 - 19:07
Elle pourrait roucouler sous le compliment si elle connaissait moins Miguel car, sans l'entendre ou la voir, Cataleya devine une pointe de moquerie nicher délicieusement sur les traits du grymm. Elle même jugeait un peu, il était vrai, car incapable de courir après un héritage culturel dont elle avait été privé. Ce n'était pourtant pas faute d'avoir un entourage hispanophone et de s'essayer au dialogue de temps à autre, mais elle conservait toujours ce même foutu accent. Cet odieux accent.
Tirant un nouveau tiroir, l'expression de la Blackthorn s'effondre sur une large déception lorsqu'elle ne découvre qu'une maigre cuillère en bois. Raté. La déduction persistait pourtant à lui murmurer que les fourchettes ne pouvait être que prisonnière d'un tiroir, et pas des placards qui l'encerclait ; Cela réduisait considérablement son champ de recherche. La main court donc mais se stoppe devant les mots du brun, ramenant à lui l'entière attention de la lufkin. C'était peut être la première fois qu'elle le sentait aussi penaud, et ce simple constat adoucie considérablement le sourire qu'elle lui offrit.
L'angoisse était légitime, la pression sans nul doute lourde à porter, et si bon nombre soufflerait qu'il ne s'agissait là que d'un simple match universitaire, Cataleya entrevit sans mal des perspectives professionnelles sur lesquels Miguel devait compter. Il était passionné mais plus encore doué ; Il ne serait pas étonnant qu'il nourrisse les espoirs d'être un jour repéré, en dépit d'un chemin parfaitement tracé chez les tireurs d'élites.
- « Le stress est légitime, mais je sais que tu seras époustouflant. Tu l'es toujours Miguel. » Ose t'elle finalement, s'appuyant sur le plan de travail pour observer avec attention le jeune homme. Elle n'a jamais été très doué pour inspirer ou réconforter, mais s'efforce à garder une attitudes affirmée pour l'en convaincre. « Les Ethelred n'ont aucune chance. »
Si elle rougit un peu et se détourne du madrilène en ouvrant un nouveau tiroir, elle a l’œil brillant Cataleya. Un enthousiasme rare au bout des cils. Elle ignore comment apaiser la nervosité qui mord Miguel et s'en maudit un peu, il est vrai, alors faute de réponse elle joue avec cette poignée. Ouvre et referme ce tiroir comme si ce simple geste pouvait le changer en salle sur demande capable de la mener aux fourchettes. Elle se sent effroyablement sotte, le regard bas et les joues brulantes, mais peine à se défaire de ce petit sourire qui la tient. Ou du moins qui la tenais jusqu'à ce que Miguel daigne lui ouvrir le bon.
- « Quel héro, cet homme. » Elle aurait aimé tomber dans le surjeu, le taquiner un peu, mais le murmure est posé au creux de son oreille alors qu'il s'apprête à partir à l’assaut des assiettes. La scène est étrange, elle s'en rend bien compte, rendu presque paisible alors qu'elle trie méticuleusement les couverts pour en sortir les plus brillants. Ca a des airs de bonheur conjugal et si l'idée l'effrayait affreusement, force est d'admettre qu'elle s'y sent bien et veut y croire. Qu'elle lorgne grandement sur les charmantes boucles de Miguel aussi, et sur une musculature qu'elle détaille attentivement Circée ! C'est lui qu'elle allait bouffer au final.
La moue se forme. Elle n'aime pas se sentir aussi démunie, aussi fragilisé par un regard ou une caresse, mais à cet instant précis elle jalouserait presque les assiettes dont s'occupait Miguel. A deux doigt de souffler qu'elle voulait que ce soit elle qu'il plaque sur la table, la Blackthorn ravale ses envies et dresse noblement la table, un peu vexée par son manque d'audace. Elle aimerait être plus assurée, moins elle, mais elle se sent toujours à la ramasse lorsqu'elle part à l'assaut du grymm.
Ses doigts blancs effleurent les siens alors qu'elle dépose un couteau tout près de son assiette. Remontent timidement le long se son bras avant de se porter à sa joue pour noyer, là, dans l'océan de son regard celui de Miguel. Que les étoiles lui viennent en aide, elle était définitivement amoureuse et le lui hurlait à chaque nouveau battement de cil.
- « Puisqu'on parle de préparation.. Apprends que je fais de merveilleux massages pré-match. Qui sait, si tu me plaques sur ton lit pour me couvrir de baiser, je serais peut être encline à t'en prodiguer. »
Tirant un nouveau tiroir, l'expression de la Blackthorn s'effondre sur une large déception lorsqu'elle ne découvre qu'une maigre cuillère en bois. Raté. La déduction persistait pourtant à lui murmurer que les fourchettes ne pouvait être que prisonnière d'un tiroir, et pas des placards qui l'encerclait ; Cela réduisait considérablement son champ de recherche. La main court donc mais se stoppe devant les mots du brun, ramenant à lui l'entière attention de la lufkin. C'était peut être la première fois qu'elle le sentait aussi penaud, et ce simple constat adoucie considérablement le sourire qu'elle lui offrit.
L'angoisse était légitime, la pression sans nul doute lourde à porter, et si bon nombre soufflerait qu'il ne s'agissait là que d'un simple match universitaire, Cataleya entrevit sans mal des perspectives professionnelles sur lesquels Miguel devait compter. Il était passionné mais plus encore doué ; Il ne serait pas étonnant qu'il nourrisse les espoirs d'être un jour repéré, en dépit d'un chemin parfaitement tracé chez les tireurs d'élites.
- « Le stress est légitime, mais je sais que tu seras époustouflant. Tu l'es toujours Miguel. » Ose t'elle finalement, s'appuyant sur le plan de travail pour observer avec attention le jeune homme. Elle n'a jamais été très doué pour inspirer ou réconforter, mais s'efforce à garder une attitudes affirmée pour l'en convaincre. « Les Ethelred n'ont aucune chance. »
Si elle rougit un peu et se détourne du madrilène en ouvrant un nouveau tiroir, elle a l’œil brillant Cataleya. Un enthousiasme rare au bout des cils. Elle ignore comment apaiser la nervosité qui mord Miguel et s'en maudit un peu, il est vrai, alors faute de réponse elle joue avec cette poignée. Ouvre et referme ce tiroir comme si ce simple geste pouvait le changer en salle sur demande capable de la mener aux fourchettes. Elle se sent effroyablement sotte, le regard bas et les joues brulantes, mais peine à se défaire de ce petit sourire qui la tient. Ou du moins qui la tenais jusqu'à ce que Miguel daigne lui ouvrir le bon.
- « Quel héro, cet homme. » Elle aurait aimé tomber dans le surjeu, le taquiner un peu, mais le murmure est posé au creux de son oreille alors qu'il s'apprête à partir à l’assaut des assiettes. La scène est étrange, elle s'en rend bien compte, rendu presque paisible alors qu'elle trie méticuleusement les couverts pour en sortir les plus brillants. Ca a des airs de bonheur conjugal et si l'idée l'effrayait affreusement, force est d'admettre qu'elle s'y sent bien et veut y croire. Qu'elle lorgne grandement sur les charmantes boucles de Miguel aussi, et sur une musculature qu'elle détaille attentivement Circée ! C'est lui qu'elle allait bouffer au final.
La moue se forme. Elle n'aime pas se sentir aussi démunie, aussi fragilisé par un regard ou une caresse, mais à cet instant précis elle jalouserait presque les assiettes dont s'occupait Miguel. A deux doigt de souffler qu'elle voulait que ce soit elle qu'il plaque sur la table, la Blackthorn ravale ses envies et dresse noblement la table, un peu vexée par son manque d'audace. Elle aimerait être plus assurée, moins elle, mais elle se sent toujours à la ramasse lorsqu'elle part à l'assaut du grymm.
Ses doigts blancs effleurent les siens alors qu'elle dépose un couteau tout près de son assiette. Remontent timidement le long se son bras avant de se porter à sa joue pour noyer, là, dans l'océan de son regard celui de Miguel. Que les étoiles lui viennent en aide, elle était définitivement amoureuse et le lui hurlait à chaque nouveau battement de cil.
- « Puisqu'on parle de préparation.. Apprends que je fais de merveilleux massages pré-match. Qui sait, si tu me plaques sur ton lit pour me couvrir de baiser, je serais peut être encline à t'en prodiguer. »
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Lun 5 Juin 2023 - 15:42
Miguel & Cataleya & Maciya
Watermelon Sugar
tenue
Il y avait un feu au fond d’elle qui ne semblait que vouloir semer la zizanie. Était-ce l’ennui ? Ou un soudain manque d’attention ? Elle ne savait pas réellement mais parfois qu’est-ce que c’était bon de se laisser porter par ses émotions… Cela permettait entièrement de laisser con enfant intérieur renaître. Cet enfant qui se fichait bien évidemment des conventions et qui ne pensait qu’à son propre plaisir … Enfin sur ce dernier point Maciya n’avait pas trop changé. Elle était égoïste, joueuse et impertinente. Elle avait ce goût de la provocation et du franchissement des limites, telle une gosse pourrie gâtée …
La jeune femme terminait une toilette presque scandaleuse. Elle avait déployé mille et une senteurs. Rien de fort bien évidemment car le parfum doit sublimer une personne et non faire suffoquer les autres. Elle se préparait un regard de biche et terminait toute sa préparation par une jolie tenue. Vraiment habillée pour tuer la jeune grymm. Bien sûr elle avait un but, revoir son cher et vieil ami Miguel. Elle voulait juste passer rapidement et elle savait que ce serait suffisant. Elle appela son majordome pour qu’il la conduise chez lui. Elle ne savait pas s’il serait à son domicile donc elle préférait avoir son chauffeur au cas où ses plans devraient changer.
« Je te rappelle plus tard, à tout l’heure ! » Dit-elle pour le congédier.
Elle avait ramené un petit panier en rosier avec quelques mets et surtout une bonne bouteille de vin. La saison s’était réchauffée mais elle avait pris soin de porter un gilet léger sur sa jolie robe. Elle se présenta tout sourire devant la porte avant de sonner. Bien sûr elle ne lui avait pas dit qu’elle passerait mais son petit doigt lui disait qu’il ne tarderait pas à ouvrir la porte …
@Cataleya Blackthorn @Miguel Pajares
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Mer 7 Juin 2023 - 15:27
Ce n’était qu’un championnat universitaire et il avait déjà fait une croix sur l’avenir que le Quidditch pouvait lui promettre. Ce choix, il l’avait fait il y a plusieurs années, persuadé que c’est ce qu’il fallait faire. Ce qui l’aurait rendu fière. La réalité, c’est que si elle était encore là, il y avait de fortes chances pour que Carmen Mora Pajares l’encourage dans le chemin qui l’épanouissait, quel qu’il soit. Et on ne pouvait pas dire que sa thèse en était un.
La vérité, c’est que même depuis qu’il avait renoncé à sa carrière de joueur, le Quidditch comptait toujours beaucoup pour lui. Il se fichait pas mal de perdre dix gallions au poker mais il était compétiteur né quand il s’agissait du souaffle. Maladroite dans sa tentative de réassurance, Cataleya le fait quand même sourire un peu. Même s’il sait que rien ne pourra complètement l’apaiser, il se doute qu’elle fait un effort pour se montrer présente.
Les assiettes sont sorties, les couverts sont trouvés, non sans une moquerie qui vaut à la rousse un pincement discret aux côtés qu’elle a coincée dans cette robe toujours trop cintrée pour l’occasion mais moins habillée que d’habitude. Il sert quelques tapas dans les assiettes et se laisse surprendre par l’etreinte de la Blackthorn. Si le geste le fait légèrement douter, les mots, eux, confirment cette impression qu’il risque d’y avoir un léger malaise… Déposant un rapide baiser sur ses lèvres pour répondre, partiellement, à ses exigences, il essaie vainement d’esquiver.
- Cat’.. Je..
Sauvé par la sonnette ! C’était ça l’expression ? Il n’attendait personne mais vraiment, qui que ce soit, iel le dépêtrait temporairement d’une situation qu’il n’avait vraiment pas l’habitude de gérer.
- Bouge pas, j’arrive.
Abandonnant femme et ignames dans la cuisine. Il parcoure les quelques pas qui le sépare de la porte d’entrée pour l’ouvrir. Il ne s’attendait à personne mais alors particulièrement pas à la vision de rêve qu’offrait Maciya ainsi pomponnée et qui sentait délicieusement bon. Presque aussi bon que les onions rings qui l’attendaient.
- Macie ! Ca va… euh ? On devait se voir ? Qu’est ce que tu fais là ?
La paume de sa main vient frotter sa nuque, signe évident de gêne de celui qui se rend compte que le regard de la Grymm crie « braguette ».
La vérité, c’est que même depuis qu’il avait renoncé à sa carrière de joueur, le Quidditch comptait toujours beaucoup pour lui. Il se fichait pas mal de perdre dix gallions au poker mais il était compétiteur né quand il s’agissait du souaffle. Maladroite dans sa tentative de réassurance, Cataleya le fait quand même sourire un peu. Même s’il sait que rien ne pourra complètement l’apaiser, il se doute qu’elle fait un effort pour se montrer présente.
Les assiettes sont sorties, les couverts sont trouvés, non sans une moquerie qui vaut à la rousse un pincement discret aux côtés qu’elle a coincée dans cette robe toujours trop cintrée pour l’occasion mais moins habillée que d’habitude. Il sert quelques tapas dans les assiettes et se laisse surprendre par l’etreinte de la Blackthorn. Si le geste le fait légèrement douter, les mots, eux, confirment cette impression qu’il risque d’y avoir un léger malaise… Déposant un rapide baiser sur ses lèvres pour répondre, partiellement, à ses exigences, il essaie vainement d’esquiver.
- Cat’.. Je..
Sauvé par la sonnette ! C’était ça l’expression ? Il n’attendait personne mais vraiment, qui que ce soit, iel le dépêtrait temporairement d’une situation qu’il n’avait vraiment pas l’habitude de gérer.
- Bouge pas, j’arrive.
Abandonnant femme et ignames dans la cuisine. Il parcoure les quelques pas qui le sépare de la porte d’entrée pour l’ouvrir. Il ne s’attendait à personne mais alors particulièrement pas à la vision de rêve qu’offrait Maciya ainsi pomponnée et qui sentait délicieusement bon. Presque aussi bon que les onions rings qui l’attendaient.
- Macie ! Ca va… euh ? On devait se voir ? Qu’est ce que tu fais là ?
La paume de sa main vient frotter sa nuque, signe évident de gêne de celui qui se rend compte que le regard de la Grymm crie « braguette ».
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Mer 7 Juin 2023 - 18:08
Miguel & Cataleya & Maciya
Watermelon Sugar
tenue
Elle l’analysa de toute sa hauteur en fronçant les sourcils. C’est qu’il était surpris le grymm, pas une réaction très habituelle, peut-être était-elle en train d’interrompre quelque chose ?
« Non, c’est une surprise comme tu peux le voir ! »
Elle secoua son panier qui comportait mille et une bonne chose avant de glisser sous son bras pour rentrer à l’intérieur. Elle était assez menue pour pouvoir sa faufiler facilement et littéralement s’imposer dans son appartement. A vrai dire ce n’était que récemment qu’elle avait commencé à venir chez lui, elle aimait bien sûr changer de lieux pour le voir car elle n’aimait pas la répétition mais parfois c’était juste agréable d’être d’un terrain plus ... confortable.
« Je ne devrais pas rester trop longtemps, j’ai des choses à faire après ! » Toujours aussi occupée la petite médicomage, on se demandait comment elle faisait pour gérer son emploi du temps tellement il semblait inhumain.
« J’ai juste besoin de rapidité et d’efficacité, tu ne vas éconduire une jolie demoiselle tout de même. » Dit-elle en se tournant pour lui lancer un regard faussement désapprobateur.
« De plus, je nous ai pris un vin mais incroyable j’ai hâte de le tester après notre petite partie de jam- » De quoi ? De jambe en l’air ? Elle y allait fort celle-là, était-elle à ce point pressée ? Elle se stoppa net quand elle aperçue la chevelure rousse de la jeune femme dans la cuisine. Elle avait assez avancé pour correctement l’apercevoir, une expression d’étonnement se dessina sur son visage, elle était clairement venue au mauvais moment. Elle se tourna vers Miguel avec un sourire, le regard toujours surpris même si on pouvait voir son clair amusement. Elle se dirigea donc vers la cuisine.
« La douce et adorable Cataleya Blackthorne ! Quel plaisir de te voir en dehors de nos très sérieuses réunions de nymphe. » Il était vrai qu’elle n’avait pas tellement d’interaction avec elle, tout restait cordial et formel et connaissant sa famille la voir ici était une vraie surprise. Maciya voulait bien croire que la rousse puisse de lier d’amitié totalement platonique avec le madrilène mais connaissant le grymm et au vu de la beauté de la jeune femme, cela restait peu probable.
« Oh vous aviez déjà préparé tout un tas de choses, mon panier s’annonce superflu … » Dit-elle en faisant une petite moue. Elle déposa son panier sur la table et prit soin de retirer la légendaire bouteille de vin qu’elle s’était procurée. Son plan semblait tombé à l’eau mais elle pouvait bien procéder à quelques dégustations avant de partir. Elle se mit complétement à son aise et semblait bien connaître cette cuisine puisqu’elle sortit trois verres pour le vin.
« Je te sers ? On va me prendre pour une folle puisque je n’arrête pas le répéter mais ce vin est exquis, tu vas l’adorer ! » Dit-elle le visage rempli de malice.
@Cataleya Blackthorn @Miguel Pajares
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Mer 7 Juin 2023 - 20:11
Le baiser est bref ; l'incompréhension totale. Miguel était du genre impulsif et Cataleya s'était attendu à un peu plus de passion venu de sa part, aussi, si elle espère une seconde supplémentaire qu'il pourrait la coucher là, sur la table, entre une blague nulle et leurs plats refroidissant, l'allure toute fuyante qu'arbore subitement le madrilène la glace toute entière. Avait-elle fait quelque chose de mal ? Insécurités obligent, elle imagine déjà le pire lorsqu'il invoque son surnom et passe en revue tout les signes et motif de rupture devant lesquels elle serait maladroitement passé. Mauvaise idée : elle peine à se rassurer lorsqu'elle en décompte déjà quatre. Cinq. Si... La sonnette arrache un franc sursaut à la rousse qui, ramenant prestement ses mains contre sa poitrine de peur qu'on la prenne en faute, darde déjà sur la porte un regard tout anxieux.
« Miguel... »
Le ton est plaintif, autant parce qu'elle visualise déjà son père exploser la porte pour la saisir à la gorge que parce qu'elle n'aime pas l'atmosphère qui pèse, maintenant qu'elle a proposé ce foutu massage, sur elle et le Pajares. Elle s'exécute pourtant, plus docile qu'elle ne l'aimerait, et rabat ses inquiétudes sur des plats qu'elle réagence impeccablement. Comme si mettre de l'ordre sur cette table pourrait chasser les doutes qui l'assaille. Macie!. Le sang de Cataleya ne fait qu'un tour et la fourchette pique dans le poulet tandoori, quoi qu'elle demeure sagement tenu plus loin. Que venait faire ce vautour ici ? Une pointe de jalousie tord un instant les traits de la Blackthorn qui s'efforce de renvoyer ses insurrections au placard à grand coup de talon. Ils étaient amis, ce n'était -en soit- pas étonnant qu'elle ose une visite de courtoisie une veille de match. Alors pourquoi les muscles de la lufkin demeurait aussi tendu ? Etait-ce le manque d'assurance dans la voix de Miguel qui lui indiquait, une fois encore, que quelque chose n'était pas normal ou bien ce scandaleux parfum sur lequel Cataleya aiguisait son flair ? Le regard s'acère sur les samoussas à mesure qu'elle devine, sans trop vouloir y croire, ce qu'il se passe. Et si l'assurance de Maciya était déjà équivoque, ses mots le furent plus encore. C'est que ça sentait presque l'habitude à plein nez !
« J’ai juste besoin de rapidité et d’efficacité, tu ne vas éconduire une jolie demoiselle tout de même. »
Le nez se plisse de dégoût, autant vis à vis de Miguel que d'elle-même. Elle avait l'air fine maintenant, avec ses vœux de confiance plein les mains. Au moins l'héritière Mane eut la décence de ne pas écarter les cuisses dans l'instant. L'interjection qu'elle lui offre est mielleuse, tout autant que le ton que lui offre Cataleya en la voyant approcher. C'est qu'elle a reprit ses allures de parfaite poupée maternelle, miss Quarta.
« Le plaisir est partagé Maciya, tu es ravissante dans cette tenue. D'aucun dirait solaire. » Mue d'une noblesse froide, Cataleya n'offre aucun regard à Miguel. Elle se sait capable de lui éclater le cœur sous ses canines vexée. C'est donc d'une main avenante qu'elle enjoint la grymm à se prendre place à la table, plus pour donner une illusion de contrôle que par souci de bienséance ; cette vipère progressait déjà à son aise dans l'appartement du madrilène. Elle aurait forcément trouvé sa place jusqu'au repas.
« Je suis sincèrement navré... Si j'avais eu vent de votre soirée en amoureux je ne me serais pas permise de m'inviter. C'était indélicat de ma part. Je m'en veux d'interrompre des besoins aussi impérieux. »
Faussement désolée, Cataleya se saisit d'une nouvelle assiette, retrouve les couverts après une seconde d'hésitation mais reviens auprès de Miguel d'une démarche purement féline. Si sa main l'effleure pour l'inviter à se décaler, elle ne le regarde définitivement plus. Seule Maciya obtient ses grâces, piquant un sourire qui illuminerait presque la pièce tant la Blackthorn abattait une à une les cartes de la fille parfaite. La Mane se délecterait de son désarroi, ça puait à plein nez. Elle ne lui donnerait pas cette satisfaction là alors, dans un poli remerciement, la main se tend pour cueillir le verre que lui offre la grymm.
« Dis moi tout, Macie. » Le corps se rapproche intuitivement de la jeune femme pour induire une confidence, et l'air de lutin de Cornouailles que prend l'infante de Claudia éveillerait la suspicion de chaque membres de sa fratrie. « Ca fait combien de temps vous deux ? »
Une singulière malice posé sur chant de sirène, la rousse contemple un instant la grymm avant son regard ne vienne brutalement frapper l'espagnol de sa froide intensité. T'as intérêt de courir vite Pajares.
« Miguel... »
Le ton est plaintif, autant parce qu'elle visualise déjà son père exploser la porte pour la saisir à la gorge que parce qu'elle n'aime pas l'atmosphère qui pèse, maintenant qu'elle a proposé ce foutu massage, sur elle et le Pajares. Elle s'exécute pourtant, plus docile qu'elle ne l'aimerait, et rabat ses inquiétudes sur des plats qu'elle réagence impeccablement. Comme si mettre de l'ordre sur cette table pourrait chasser les doutes qui l'assaille. Macie!. Le sang de Cataleya ne fait qu'un tour et la fourchette pique dans le poulet tandoori, quoi qu'elle demeure sagement tenu plus loin. Que venait faire ce vautour ici ? Une pointe de jalousie tord un instant les traits de la Blackthorn qui s'efforce de renvoyer ses insurrections au placard à grand coup de talon. Ils étaient amis, ce n'était -en soit- pas étonnant qu'elle ose une visite de courtoisie une veille de match. Alors pourquoi les muscles de la lufkin demeurait aussi tendu ? Etait-ce le manque d'assurance dans la voix de Miguel qui lui indiquait, une fois encore, que quelque chose n'était pas normal ou bien ce scandaleux parfum sur lequel Cataleya aiguisait son flair ? Le regard s'acère sur les samoussas à mesure qu'elle devine, sans trop vouloir y croire, ce qu'il se passe. Et si l'assurance de Maciya était déjà équivoque, ses mots le furent plus encore. C'est que ça sentait presque l'habitude à plein nez !
Le nez se plisse de dégoût, autant vis à vis de Miguel que d'elle-même. Elle avait l'air fine maintenant, avec ses vœux de confiance plein les mains. Au moins l'héritière Mane eut la décence de ne pas écarter les cuisses dans l'instant. L'interjection qu'elle lui offre est mielleuse, tout autant que le ton que lui offre Cataleya en la voyant approcher. C'est qu'elle a reprit ses allures de parfaite poupée maternelle, miss Quarta.
« Le plaisir est partagé Maciya, tu es ravissante dans cette tenue. D'aucun dirait solaire. » Mue d'une noblesse froide, Cataleya n'offre aucun regard à Miguel. Elle se sait capable de lui éclater le cœur sous ses canines vexée. C'est donc d'une main avenante qu'elle enjoint la grymm à se prendre place à la table, plus pour donner une illusion de contrôle que par souci de bienséance ; cette vipère progressait déjà à son aise dans l'appartement du madrilène. Elle aurait forcément trouvé sa place jusqu'au repas.
« Je suis sincèrement navré... Si j'avais eu vent de votre soirée en amoureux je ne me serais pas permise de m'inviter. C'était indélicat de ma part. Je m'en veux d'interrompre des besoins aussi impérieux. »
Faussement désolée, Cataleya se saisit d'une nouvelle assiette, retrouve les couverts après une seconde d'hésitation mais reviens auprès de Miguel d'une démarche purement féline. Si sa main l'effleure pour l'inviter à se décaler, elle ne le regarde définitivement plus. Seule Maciya obtient ses grâces, piquant un sourire qui illuminerait presque la pièce tant la Blackthorn abattait une à une les cartes de la fille parfaite. La Mane se délecterait de son désarroi, ça puait à plein nez. Elle ne lui donnerait pas cette satisfaction là alors, dans un poli remerciement, la main se tend pour cueillir le verre que lui offre la grymm.
« Dis moi tout, Macie. » Le corps se rapproche intuitivement de la jeune femme pour induire une confidence, et l'air de lutin de Cornouailles que prend l'infante de Claudia éveillerait la suspicion de chaque membres de sa fratrie. « Ca fait combien de temps vous deux ? »
Une singulière malice posé sur chant de sirène, la rousse contemple un instant la grymm avant son regard ne vienne brutalement frapper l'espagnol de sa froide intensité. T'as intérêt de courir vite Pajares.
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Dim 11 Juin 2023 - 21:41
Il n’avait pas encore posé sa main sur la poignée de porte qu’il se flagellait mentalement. C’est que c’était vraiment pas dans ses habitudes d’éconduire une fille donc il avait un peu paniqué quand il avait compris les intentions indécentes de la canonissible rousse qu’il rêvait de mettre dans son lit depuis bien des années. Sauf que ce soir, c’était pas possible. Vraiment pas possible. Pas juste avant un match. Et il se rendait compte qu’il avait été un peu maladroite. Mais il allait rattraper ça et elle comprendrait.
Ouvrant la porte et voyant Macie face à lui, il se rendit compte qu’il avait un autre genre de problème à régler avant. En temps normal, il aurait été ravi de la surprise parce qu’elle aussi, il avait longtemps rêvé de la mettre dans son lit. Il l’avait fait. Pas plus tard que le mois dernier, d’ailleurs. Et il n’avait pas pensé à updater la jeune femme de sa relation avec Cataleya, puisqu’il n’avait même pas conscience de celle qui aurait pu se profiler avec Maciya.
- Ouais alors… C’est que…
Il en aurait presque rougit alors qu’elle demande de la rapidité et de l’efficacité. Il est aussi un peu contrarié qu’on puisse penser qu’il est du genre rapide… que va pouvoir en penser Cataleya ? Il était encore a des lieux de comprendre que ca serait peut-être la moindre de ses contrariété puisque la jeune Grymm passa sous son bras et alla à la rencontre de la rouquine.
“La douce et adorable Cataleya Blackthorn”. Pas la peine de la corriger en lui précisant que Cataleya n’avait rien de douce. Elle devait confondre avec Juliet. Ça ne serait pas arranger son cas. Pas plus que Maciya se servant dans les armoires et versant trois verres de vin. Il prend volontiers le verre qu’on lui tend et ne sachant pas en placer une dans les échanges entre les deux jeunes femmes, il boit d’un trait le rouge.
« Je suis sincèrement navré... Si j'avais eu vent de votre soirée en amoureux je ne me serais pas permise de m'inviter.” Il n’est pas stupide au point de ne pas entendre l’ironie dans les paroles de sa rouquine. Il ouvre la bouche tel un poisson hors de l’eau pour lui répondre mais se retrouve pantois puisque la jeune femme ne lui adresse pas un regard. Sauf après avoir demandé depuis combien de temps ils se fréquentaient. Et bien que n’ayant rien à se reprocher concrètement, il craint un peu la réponse de Camiya qu’il connaît taquine à l’excès. Il aurait bien commencé par le sacr-saint classique “je peux tout expliquer” mais en réalité, il panique un peu à l’idée que ça parte plus en cacahuète que ça ne l’est déjà…
- Combien de temps nous deux quoi ? Qu’on se connaît ? Qu’on se fréquente ? Qu’on couche ensemble ? Enfaite…
Purée… Y’avait deux filles qui avaient envie de le péchoi, au même endroit au même moment et tout ce qu’il pouvait faire c’était balbutier des explications franchement vagues. Si creuses enfaite que Maciya semble penser qu’il est opportun d’intervenir pour lui sauver les miches. Ou pas.
Ouvrant la porte et voyant Macie face à lui, il se rendit compte qu’il avait un autre genre de problème à régler avant. En temps normal, il aurait été ravi de la surprise parce qu’elle aussi, il avait longtemps rêvé de la mettre dans son lit. Il l’avait fait. Pas plus tard que le mois dernier, d’ailleurs. Et il n’avait pas pensé à updater la jeune femme de sa relation avec Cataleya, puisqu’il n’avait même pas conscience de celle qui aurait pu se profiler avec Maciya.
- Ouais alors… C’est que…
Il en aurait presque rougit alors qu’elle demande de la rapidité et de l’efficacité. Il est aussi un peu contrarié qu’on puisse penser qu’il est du genre rapide… que va pouvoir en penser Cataleya ? Il était encore a des lieux de comprendre que ca serait peut-être la moindre de ses contrariété puisque la jeune Grymm passa sous son bras et alla à la rencontre de la rouquine.
“La douce et adorable Cataleya Blackthorn”. Pas la peine de la corriger en lui précisant que Cataleya n’avait rien de douce. Elle devait confondre avec Juliet. Ça ne serait pas arranger son cas. Pas plus que Maciya se servant dans les armoires et versant trois verres de vin. Il prend volontiers le verre qu’on lui tend et ne sachant pas en placer une dans les échanges entre les deux jeunes femmes, il boit d’un trait le rouge.
« Je suis sincèrement navré... Si j'avais eu vent de votre soirée en amoureux je ne me serais pas permise de m'inviter.” Il n’est pas stupide au point de ne pas entendre l’ironie dans les paroles de sa rouquine. Il ouvre la bouche tel un poisson hors de l’eau pour lui répondre mais se retrouve pantois puisque la jeune femme ne lui adresse pas un regard. Sauf après avoir demandé depuis combien de temps ils se fréquentaient. Et bien que n’ayant rien à se reprocher concrètement, il craint un peu la réponse de Camiya qu’il connaît taquine à l’excès. Il aurait bien commencé par le sacr-saint classique “je peux tout expliquer” mais en réalité, il panique un peu à l’idée que ça parte plus en cacahuète que ça ne l’est déjà…
- Combien de temps nous deux quoi ? Qu’on se connaît ? Qu’on se fréquente ? Qu’on couche ensemble ? Enfaite…
Purée… Y’avait deux filles qui avaient envie de le péchoi, au même endroit au même moment et tout ce qu’il pouvait faire c’était balbutier des explications franchement vagues. Si creuses enfaite que Maciya semble penser qu’il est opportun d’intervenir pour lui sauver les miches. Ou pas.
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Lun 12 Juin 2023 - 20:41
Miguel & Cataleya & Maciya
Watermelon Sugar
tenue
L’ambiance était tendue. La verte le sentait bien, ce qui la faisait jubiler de l’intérieur. Elle était complétement à son aise. Il fallait dire que fonctionner dans des situations catastrophiques était un de ses talents. Quand elle ne constituait pas elle-même la fâcheuse situation, elle semblait pouvoir s’y accommoder avec facilité… Elle ne s’était tout de même pas attendue à voir une autre femme dans ses appartements. Quoique connaissant le personnage elle ne pouvait pas s’étonner … Miguel était Miguel. Elle le connaissait depuis des années et son penchant pour la gent féminine avait toujours été le même. C’était d’ailleurs pour ça qu’elle mettait initialement autant de limite à leur drague même si à présent elle avait décidé de passer le pas.
C’est donc avec un sourire qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de regarder la rousse. Elle pouvait paraître aimable mais toute nymphe qui se respectait savait qu’une telle expression de visage n’était pas teintée de bonnes intentions.
« Je te remercie Cataleya… » Dit-elle face à ce compliment tout en prenant place face à l’invitation de la Blackthorne. La verte se sentait plus qu’à l’aise. Cet appartement elle le connaissait bien et cela bien avant qu’elle commence une aventure charnelle avec Miguel.
Maciya écarquilla les yeux face aux excuses de la rousse, elle avait décidément tout compris ce qui n’était pas difficile si vous voulez mon avis. Maciya ne pût s’empêcher de jeter un œil au madrilène qui n’était décidemment pas dans sa zone de confort.
« Amoureux ? Je n’irais pas jusque-là voyons même si j’admets que j’entretiens une profonde affection pour Miguel … Si tu le fréquentes tu sais très bien qu’il peut être très attachant… » Dit-elle avec un petit rire. C’est vrai que les deux grymm passaient d’excellents moments ensemble, le dernier n’avait été que la cerise sur le gâteau !
Le verre proposé par Maciya se fît rapidement cueillir et c’est avec douceur que la pokeby se rapprocha de la Mané. Cette dernière n’avait pas vraiment l’habitude de parler de ses relations, elle restait souvent floue et peut-être que ça arrangerait le jeune homme pour le coup ? Est-ce que Maciya avait vraiment envie d’être arrangeante ce soir ? Elle ne comptait pas être plus sérieuse que cela avec le madrilène mais son côté séducteur pouvait rapidement se révéler possessif lorsqu’elle sentait qu’elle perdait sa prise.
« Combien de temps ? » Répéta-elle en tournant également sa tête vers le jeune homme. « Suffisamment pour que je revienne apparemment … » Elle retourna son regard vers la rousse.
« De plus en, réalité c’est moi qui vous interromps, j’espère que ce bon vin suffira à me faire pardonner. » Décidemment il y avait de l’or dans le vin ! Elle fît une moue faussement désolée avant de reprendre la parole.
« Je ne suis pas trop étonnée d’une autre présence féminine dans ces appartements mais toi Cataleya tu es la dernière personne que j’aurais pensé trouver ce soir. » Les Blackthorne n’en avait pas-t-il marre de tout fréquenter sauf des sangs-purs ? Il fallait lâcher l’affaire à un moment donné… Mine de rien la verte connaissait bien cette famille. Sa première motivation à fréquenter Miguel était surtout pour blesser Nullus … Un peu puéril c’est vrai mais l’égo d’une femme amoureuse pouvait être très catastrophique.
« Mais bon la vie est pleine de surprise et tant mieux sinon elle serait si fade… » Dit-elle avant de reculer un peu. Elle n’allait pas s’éterniser longtemps et elle savait qu’après son départ l’ambiance deviendrait macabre. Elle attrapa deux trois mets avant de claquer les mains face une pensée soudaine.
« Oh mais que suis-je bête ! Par Merlin c’est une veille de match aujourd’hui ! » Elle avait souvent eu l’occasion de voir Miguel s’atteler à des préparations intensives. Il était toujours là dans le silence à attendre une sentence et la verte ne put s’empêcher de lui dire quelques mots avant de repartir.
« Alors déjà, tu lâches ce verre il est pour moi. Pas d’alcool et pas de femmes olala ! » Dit-elle en riant avant de jeter un regard à la rousse. Toujours le verre en main elle passa une main affectueuse dans sa chevelure bouclée. « Tout va bien se passer, fais donc honneur à notre maison demain ! » Elle avait presque oublié son premier objectif mais au-delà du fait qu’elle s’intéressait très peu au quidditch, la renommée des grymm lui tenait vraiment à cœur. Elle se permit uniquement du chuchoter tout de même de manière assez audible "On se fera plaisir une prochaine fois ..."
« Bon je vous laisse, toujours un plaisir de te voir Cataleya, je vous laisse le panier mais je prends ce verre ! » Elle se retrouvait d’un coup nettement moins chargée.
« Oh et Cat, ne le laisse pas boire ! » La verte gloussa de rire avant de disparaitre et de faire claquer la porte. Courage à des deux protagonistes !
@Cataleya Blackthorn @Miguel Pajares
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Mar 13 Juin 2023 - 4:08
Oxygénant d'un mouvement lent son verre de vin, Cataleya affronte sans ciller Maciya. Si elle a le rire facile et des airs de soleil ainsi tenue dans sa robe obsidienne, l'éclat qui navigue sous les tempêtes de son regard est en tout point équivoque. Trahie, vexée, elle peine encore à croire que cet homme qui lui avait soufflé ne pas vouloir partager puisse coucher la ville entière dans ses draps et fuir ses baisers. Si elle tente encore de rationaliser se sachant impulsive, l'égo se débat à grand caprice en réalisant que, peut être, -sans doute-, elle avait perdu tout intérêt aux yeux du madrilène dès l'instant où elle s'était adoucie. Il était assez masochiste pour que Cataleya en vienne à croire que, ce qui lui plaisait chez elle, c'est quand elle menaçait de lui péter le poignet. C’était peut être ça, ce qu’il avait cherché à verbaliser avant l’arrivée de Maciya. Elle s'obstine pourtant à espérer un geste, un mot, un “c’est pas ce que tu crois” suspect mais l’air tout penaud que prend Miguel ne la conforte qu’un peu plus dans son impression de chaos, alors c’est un sourcil inquisiteur qu’elle darde sur lui à mesure qu’il balbutie un semblant de réponse informe. Combien de temps nous deux quoi ? Qu’on se connaît ?Miguel. T’as très bien compris la question Qu’on se fréquente ? Parce que vous vous fréquentez ? Qu’on couche ensemble ? Il s’enfonce et la Blackthorn écrase les vagues de son regard sur son âme pour l’y noyer. Si l’hostilité est toute muselée faute de preuve à lui enfoncer dans la gorge, l’intensité qui réside sous ses battements de cils donnerait presque le vertige.
« Suffisamment pour que je revienne apparemment … »
Le sourire s’étire superbement, plastique, en dépit du fait qu’elle finit par pousser de sa langue des canines devenue subitement trop longue. C’est que sous sa peau, ça s’agite. Cataleya se connaît suffisamment pour savoir qu’à cette distance elle pourrait bondir et plaquer l’héritière Mane au sol, une baguette sur sa gorge faute d’y claquer sa terrible mâchoire. Miguel même serait pris au dépourvu puisque dans l’ignorance d’une capacité avec laquelle elle se réconciliait tout juste et, s’il s’agirait là d’une décision désespérément stupide que répudirait sa mère sans un regard, l’enseignement paternel lui hurlait à plein poumon de défendre ses intérêts. Même s’il s'étouffait sur ses pires sortilèges en comprenant que, les intérêts de sa fille, à cette instant précis, c’était une relation contre-nature avec un sang-mêlé. Et ça la démange, Cataleya, de persifler que la Mane n'interrompt rien puisque que Blackthorn et Pajares ne se fréquente pas. Ca la démange de le renier publiquement, de faire purement mal, juste pour rappeler au madrilène ô combien elle pouvait se faire odieuse lorsqu’il n’arrivait plus à la prendre dans le filet de son charme. Ca la démange, mais elle est suffisamment disciplinée pour ravaler son fiel et jouer de patience. Crier au scandale attirerait sur elle, sur eux, un oeil dont elle ne voulait pas.
« N'ai crainte Maciya, tu interromps rien. C'est une simple visite de pré-match destiné à insuffler un peu de courage aux grymms.. »
Circée ! Qu’elle peut se haïr lorsqu'elle se fait aussi lisse et faussement solaire. Un verre de vin inentamé roulant entre ses doigts. Le regard, pourtant, accroche chacun des gestes de la grymm et se cristallise sur cette main tendrement passée dans les cheveux de Miguel. L'insulte jeté au visage, la Blackthorn étire un peu plus les zygomatiques et en souffrirait presque tant l'effort lui coute, mais le faux-murmure porté à l'oreille de son grymm lui arrache un premier pas. Oh toi. Oooooh toi. Un grondement à peine perceptible sur la langue, la furie s'éveille. Si les doigts font encore l'effort de se poser gracieusement sur la table, la posture se fige tout près de Maciya, les canines près de son oreille.
« Tu es en retard. » Littéralement en retard, ce n'était pas une manière détournée de marquer son territoire car Cataleya le faisait généralement en grande pompe. Peut être invoquerait-elle un citronus fulgurant cette fois-ci, autant pour se décharger des frustrations accumulées en quelques minutes que pour s'assurer que cette odieuse coureuse de rempart ne pose plus jamais les mains sur Miguel. Par ce qu'elle le saurait, maintenant que Maciya et l'absence de défense de Miguel avaient réveillé à grand coup ses paniques.
« C'est pour ça qu'il n'y avait aucun alcool sur la table. » Connasse. Même si elle ne comprend toujours pas le lien avec le "pas de femme"; Le ton est cette fois-ci effroyablement sec, écorché sur un calme auquel elle a prétendu pendant tout l'échange. Si c'est un feu étrange qui fait bouillir les océans de son regard, l'âme n'est pas en reste car elle siffle inlassablement des malédictions. Elle était quasis certaine qu'elle était assez cinglée pour avoir dans sa collections d'objet très personnel des cheveux de Maciya, puisqu'elle en avait de chacune des Nymphes.. Maman serait fière. Si fière... Même si elle lui répondrait que le sang était plus efficace. Évidemment.
Politesses, faux sourire, bisous au revoir ; La porte se claque, le verre se vide dans l'évier. Il était hors de question que la Blackthorn touche à une boisson offerte par un(e) inconnus; déjà, et encore moins lorsqu'il était destinés à célébrer une partie de jambe en l'air avorté. Si elle se rasseoit noblement, la présence de ce panier à un mètre d'elle l'agace suffisamment pour qu'elle se saisisse de sa baguette de saule pour nécroser son contenu à une vitesse folle et le conduire jusqu'à la poubelle. L'inspiration est profonde, volonté évidente de chasser les tensions cristallisée autour de sa baguette, mais l'esprit hurle si fort qu'elle voulait mettre le feu à cette poubelle qu'il est étonnant qu'elle ne s'embrase pas sur le champ. Les départs de feu spontanés, c'était pourtant sa spécialité.
Elle devrait rentrer. Tout en elle hurlait de rentrer, mais une fuite à quelques seconde du départ de Maciya serait évidemment considéré comme un voeux de faiblesse. Peut être même que cet odieux vautour dégarni attendait dans le couloir en espérant la voir partir en pleur. Lui donner cette satisfaction là, où laisser sa place l'inciterait peut être à revenir à la charge. Le sourire qui lui faisait si mal s'effondre sur le champ, et c'est d'un mouvement impérieux qu'elle délaisse cette table qu'elle ne supporte plus, ne réalisant même pas qu'en se redressant, tous les couverts étaient venu se ficher dans les plats pour chasser les frustrations de son esprit.
Les habitudes voudraient qu'elle s'effondre sur le lit de Miguel, mais pas certaine de vouloir sentir l'odeur d'une autre sur ses draps, c'est mécaniquement qu'elle fait demi tour et s'écroule dramatiquement dans le salon.
Etendue sur le canapé à la manière d’une sirène sur son rocher, Cataleya évolue entre grâce et lascivité. Elle joue avec ses cheveux mais perd toute notion de noblesse lorsque qu'elle coince une moustache rousse entre son nez et sa lèvre supérieure, et fronce les sourcils lorsqu’elle sent le regard de Miguel peser sur elle. Si elle n’’a pas envie de retourner à table et boude ouvertement une soirée dont elle se réjouissait, c’est dans le plus grand des silences qu’elle accueille le retour au calme. Elle aurait crû crier mais en est incapable, et cet état de fait la perturbe profondément. A dire vrai; elle se rend vite compte que ce n’est pas le fond qui la dérange, en soit, mais bel et bien la forme. Dans l’absolue, elle se moquerait presque que Miguel puisse avoir d’autre histoire tant qu’elle demeurait sa priorité et qu’il ne choppait rien. Elle l’avait accepté avec ses qualités, défaut, et n’avait pas pour vocation à le changer. Pourtant, la forme piquait son plus grand dégoût ; c’était lui qui avait parlé d’exclusivité, lui qui avait verbalisé le fait de ne pas vouloir partager, et c’était lui qui avait une armée de groupies affamées qui grattait à sa porte.
« Rapide, donc. » Ok, elle ne savait clairement pas comment reprendre une discussion normale sans lui jeter au visage qu'elle le détestait et le presser de question sur qui, quand, pourquoi et combien alors... "Rapide". C'était le seul truc non agressif qui hurlait dans son esprit. La mèche qui trônait sous son nez retombe souplement sur ses seins et, doucement, le buste se redresse pour capter le regard de Miguel. « Si je n'avais pas été là, tu.. Tu l'aurais couché sur ton lit ? » Elle s'étonne du ton qu'elle emploie car il n'appelle aucune accusation. Il sonne même étrangement posé, là, entre ses lèvres. Sans doute parce qu'elle cherche bien plus de réponse qu'un vulgaire exutoire.
Le regard se dérobe, rampe maladroitement jusqu'aux consoles moldus de Miguel avant de revenir à lui, un peu plus assuré.
« C'est parce que j'ai arrêté de te menacer à tout bout de champ que je ne te fais plus d'effet ? »
Non parce que, il ne la touchait pas, s'était barré précipitamment après un baiser presque forcé, mais accueillait quand même des filles dans son appart qui lui criait presque de les plaquer au mur. Elle commençait à se poser des question ! Et puis, soyons honnête, @James Blackthorn et son imperméabilité à des avances bien plus franche et poussée avait profondément perturbée Cataleya au point de douter de ses charmes.
Le sourire s’étire superbement, plastique, en dépit du fait qu’elle finit par pousser de sa langue des canines devenue subitement trop longue. C’est que sous sa peau, ça s’agite. Cataleya se connaît suffisamment pour savoir qu’à cette distance elle pourrait bondir et plaquer l’héritière Mane au sol, une baguette sur sa gorge faute d’y claquer sa terrible mâchoire. Miguel même serait pris au dépourvu puisque dans l’ignorance d’une capacité avec laquelle elle se réconciliait tout juste et, s’il s’agirait là d’une décision désespérément stupide que répudirait sa mère sans un regard, l’enseignement paternel lui hurlait à plein poumon de défendre ses intérêts. Même s’il s'étouffait sur ses pires sortilèges en comprenant que, les intérêts de sa fille, à cette instant précis, c’était une relation contre-nature avec un sang-mêlé. Et ça la démange, Cataleya, de persifler que la Mane n'interrompt rien puisque que Blackthorn et Pajares ne se fréquente pas. Ca la démange de le renier publiquement, de faire purement mal, juste pour rappeler au madrilène ô combien elle pouvait se faire odieuse lorsqu’il n’arrivait plus à la prendre dans le filet de son charme. Ca la démange, mais elle est suffisamment disciplinée pour ravaler son fiel et jouer de patience. Crier au scandale attirerait sur elle, sur eux, un oeil dont elle ne voulait pas.
« N'ai crainte Maciya, tu interromps rien. C'est une simple visite de pré-match destiné à insuffler un peu de courage aux grymms.. »
Circée ! Qu’elle peut se haïr lorsqu'elle se fait aussi lisse et faussement solaire. Un verre de vin inentamé roulant entre ses doigts. Le regard, pourtant, accroche chacun des gestes de la grymm et se cristallise sur cette main tendrement passée dans les cheveux de Miguel. L'insulte jeté au visage, la Blackthorn étire un peu plus les zygomatiques et en souffrirait presque tant l'effort lui coute, mais le faux-murmure porté à l'oreille de son grymm lui arrache un premier pas. Oh toi. Oooooh toi. Un grondement à peine perceptible sur la langue, la furie s'éveille. Si les doigts font encore l'effort de se poser gracieusement sur la table, la posture se fige tout près de Maciya, les canines près de son oreille.
« Tu es en retard. » Littéralement en retard, ce n'était pas une manière détournée de marquer son territoire car Cataleya le faisait généralement en grande pompe. Peut être invoquerait-elle un citronus fulgurant cette fois-ci, autant pour se décharger des frustrations accumulées en quelques minutes que pour s'assurer que cette odieuse coureuse de rempart ne pose plus jamais les mains sur Miguel. Par ce qu'elle le saurait, maintenant que Maciya et l'absence de défense de Miguel avaient réveillé à grand coup ses paniques.
« Oh et Cat, ne le laisse pas boire ! »
« C'est pour ça qu'il n'y avait aucun alcool sur la table. » Connasse. Même si elle ne comprend toujours pas le lien avec le "pas de femme"; Le ton est cette fois-ci effroyablement sec, écorché sur un calme auquel elle a prétendu pendant tout l'échange. Si c'est un feu étrange qui fait bouillir les océans de son regard, l'âme n'est pas en reste car elle siffle inlassablement des malédictions. Elle était quasis certaine qu'elle était assez cinglée pour avoir dans sa collections d'objet très personnel des cheveux de Maciya, puisqu'elle en avait de chacune des Nymphes.. Maman serait fière. Si fière... Même si elle lui répondrait que le sang était plus efficace. Évidemment.
Politesses, faux sourire, bisous au revoir ; La porte se claque, le verre se vide dans l'évier. Il était hors de question que la Blackthorn touche à une boisson offerte par un(e) inconnus; déjà, et encore moins lorsqu'il était destinés à célébrer une partie de jambe en l'air avorté. Si elle se rasseoit noblement, la présence de ce panier à un mètre d'elle l'agace suffisamment pour qu'elle se saisisse de sa baguette de saule pour nécroser son contenu à une vitesse folle et le conduire jusqu'à la poubelle. L'inspiration est profonde, volonté évidente de chasser les tensions cristallisée autour de sa baguette, mais l'esprit hurle si fort qu'elle voulait mettre le feu à cette poubelle qu'il est étonnant qu'elle ne s'embrase pas sur le champ. Les départs de feu spontanés, c'était pourtant sa spécialité.
Elle devrait rentrer. Tout en elle hurlait de rentrer, mais une fuite à quelques seconde du départ de Maciya serait évidemment considéré comme un voeux de faiblesse. Peut être même que cet odieux vautour dégarni attendait dans le couloir en espérant la voir partir en pleur. Lui donner cette satisfaction là, où laisser sa place l'inciterait peut être à revenir à la charge. Le sourire qui lui faisait si mal s'effondre sur le champ, et c'est d'un mouvement impérieux qu'elle délaisse cette table qu'elle ne supporte plus, ne réalisant même pas qu'en se redressant, tous les couverts étaient venu se ficher dans les plats pour chasser les frustrations de son esprit.
Les habitudes voudraient qu'elle s'effondre sur le lit de Miguel, mais pas certaine de vouloir sentir l'odeur d'une autre sur ses draps, c'est mécaniquement qu'elle fait demi tour et s'écroule dramatiquement dans le salon.
Etendue sur le canapé à la manière d’une sirène sur son rocher, Cataleya évolue entre grâce et lascivité. Elle joue avec ses cheveux mais perd toute notion de noblesse lorsque qu'elle coince une moustache rousse entre son nez et sa lèvre supérieure, et fronce les sourcils lorsqu’elle sent le regard de Miguel peser sur elle. Si elle n’’a pas envie de retourner à table et boude ouvertement une soirée dont elle se réjouissait, c’est dans le plus grand des silences qu’elle accueille le retour au calme. Elle aurait crû crier mais en est incapable, et cet état de fait la perturbe profondément. A dire vrai; elle se rend vite compte que ce n’est pas le fond qui la dérange, en soit, mais bel et bien la forme. Dans l’absolue, elle se moquerait presque que Miguel puisse avoir d’autre histoire tant qu’elle demeurait sa priorité et qu’il ne choppait rien. Elle l’avait accepté avec ses qualités, défaut, et n’avait pas pour vocation à le changer. Pourtant, la forme piquait son plus grand dégoût ; c’était lui qui avait parlé d’exclusivité, lui qui avait verbalisé le fait de ne pas vouloir partager, et c’était lui qui avait une armée de groupies affamées qui grattait à sa porte.
« Rapide, donc. » Ok, elle ne savait clairement pas comment reprendre une discussion normale sans lui jeter au visage qu'elle le détestait et le presser de question sur qui, quand, pourquoi et combien alors... "Rapide". C'était le seul truc non agressif qui hurlait dans son esprit. La mèche qui trônait sous son nez retombe souplement sur ses seins et, doucement, le buste se redresse pour capter le regard de Miguel. « Si je n'avais pas été là, tu.. Tu l'aurais couché sur ton lit ? » Elle s'étonne du ton qu'elle emploie car il n'appelle aucune accusation. Il sonne même étrangement posé, là, entre ses lèvres. Sans doute parce qu'elle cherche bien plus de réponse qu'un vulgaire exutoire.
Le regard se dérobe, rampe maladroitement jusqu'aux consoles moldus de Miguel avant de revenir à lui, un peu plus assuré.
« C'est parce que j'ai arrêté de te menacer à tout bout de champ que je ne te fais plus d'effet ? »
Non parce que, il ne la touchait pas, s'était barré précipitamment après un baiser presque forcé, mais accueillait quand même des filles dans son appart qui lui criait presque de les plaquer au mur. Elle commençait à se poser des question ! Et puis, soyons honnête, @James Blackthorn et son imperméabilité à des avances bien plus franche et poussée avait profondément perturbée Cataleya au point de douter de ses charmes.
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Mer 21 Juin 2023 - 20:32
Si les acteurs, enfin surtout les actrices, étaient à son goût, le scénario était catastrophique. S’il y avait quelque-part un réalisateur de sa vie, Miguel aurait pu se plaindre lourdement. Deux jolies filles qu’il adorait dans son appartement et pas une seule culotte de retirée… C’était franchement scandaleux.
Au lieu de ça, le madrilène semblait de noyer sous la litanie de Maciya et les regards assassins de Cataleya. A plusieurs reprises ils ouvre la bouche mais la Grymm l’enfonce un peu plus à chaque mot et il a l’impression qu’au plus il tarde à parler, au plus c’est difficile de s’exprimer.
Et pour ne rien arranger, le verre de vin lui est arraché. Il ne boit normalement pas une veille de match, comme la Mané s’empresse de le rappeler, mais les circonstances justifiaient largement l’exception faîte ce soir. Il lui aurait fallut plus qu’un verre de rouge pour sauver les apparence. Même une bouteille de rhum n’aurait peut-être pas suffit.
- T’es contente de toi ?
La caresse de la Grymm lui arrache un frisson inavouable. Il la repousse fermement. Les mots soufflés à l’oreille de la Grymm ne lui arrachent pas son sourire éclatant qui perdure alors qu’elle claque la porte.
Joue rebondie, air soufflé alors qu’il se demande comment il va pouvoir rattraper ça. Il s’attendait à devoir désamorcé une Cat en furie et autant vous dire que ce n’était pas mince affaire. Mais elle s’installe dans le canapé, plus silencieuse que la mort elle même. Et Miguel se surprend à penser que c’est plus flippant encore. « Si je n'avais pas été là, tu.. Tu l'aurais couché sur ton lit ? »
- Non bien sûr, on aurait fait ça dans le canapé.
Tentative désespérée d’humour de la part du madrilène, ô combien stupide.
- Je plaisante Cat…
« C'est parce que j'ai arrêté de te menacer à tout bout de champ que je ne te fais plus d'effet ? »
- Hein ?
Au lieu de ça, le madrilène semblait de noyer sous la litanie de Maciya et les regards assassins de Cataleya. A plusieurs reprises ils ouvre la bouche mais la Grymm l’enfonce un peu plus à chaque mot et il a l’impression qu’au plus il tarde à parler, au plus c’est difficile de s’exprimer.
Et pour ne rien arranger, le verre de vin lui est arraché. Il ne boit normalement pas une veille de match, comme la Mané s’empresse de le rappeler, mais les circonstances justifiaient largement l’exception faîte ce soir. Il lui aurait fallut plus qu’un verre de rouge pour sauver les apparence. Même une bouteille de rhum n’aurait peut-être pas suffit.
- T’es contente de toi ?
La caresse de la Grymm lui arrache un frisson inavouable. Il la repousse fermement. Les mots soufflés à l’oreille de la Grymm ne lui arrachent pas son sourire éclatant qui perdure alors qu’elle claque la porte.
Joue rebondie, air soufflé alors qu’il se demande comment il va pouvoir rattraper ça. Il s’attendait à devoir désamorcé une Cat en furie et autant vous dire que ce n’était pas mince affaire. Mais elle s’installe dans le canapé, plus silencieuse que la mort elle même. Et Miguel se surprend à penser que c’est plus flippant encore. « Si je n'avais pas été là, tu.. Tu l'aurais couché sur ton lit ? »
- Non bien sûr, on aurait fait ça dans le canapé.
Tentative désespérée d’humour de la part du madrilène, ô combien stupide.
- Je plaisante Cat…
« C'est parce que j'ai arrêté de te menacer à tout bout de champ que je ne te fais plus d'effet ? »
- Hein ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Jeu 22 Juin 2023 - 9:45
Si Miguel confesse un trait d’humour franchement mauvais, Cataleya s’enferme dans un bref silence puisqu’elle n’a pas le reflex de l’étouffer sous les coussins du canapé. Ses yeux se ferment un instant, la bouche se tord pour réfréner les questions qui s'agglutinent sur sa langue, mais l’incompréhension qui touche le madrilène a tôt fait d’arracher à la Blackthorn un grondement plaintif. Elle n’avait pas franchement envie d’expliciter la question et se sentait suffisamment stupide pour développer une tentative de fuite en abattant un coussin sur son propre visage, et ainsi disparaitre. Tenter de disparaître ; les trois quart du corps dépassaient et s’agitait capricieusement pour échapper au dialogue.
Elle voudrait lui souffler d’oublier, crier au scandale ou descendre point par point Maciya pour s’auto-convaincre que la grymm ne faisait pas le poids face à ses lancé de cheveux fabuleux, mais si le coussin consent finalement à tomber mollement au sol, l’esprit ne se tempère pas. Alors elle se laisse aller au soupir, petite lufkin, et se redresse de moitié pour laisser une place à Miguel sur le canapé.
“C’est juste que… Je ne sais pas. Parfois je me dis que ce qui te plaisait de prime abord chez moi c’était le goût du défi et, puisque j’étais à deux doigts de plaquer ta main sur mon sein pour te faire comprendre que, si tu ne me jetais pas dans ton lit, c’est moi qui t’y traînait…”
Elle laisse sa phrase en suspension et récupère finalement le cousin au sol pour le plaquer contre son ventre, les sourcils un poil froncé devant l’effroyable sensation de vulnérabilité que Miguel arrivait à faire naître chez elle de temps à autre. Elle n’aimait pas ça, mais était devenue accro à la toute puissance que lui conférait ses mains lorsqu’elle venait se poser sur sa taille ou se perdre dans ses cheveux alors.. Soit. Si cela signifiait passer pour une débile et ce, en formulant des doutes cons, ou en roucoulant à chaque fois qu’il parlait en espagnol, elle y consentait.
“Je me dis que j’ai peut être perdu tout intérêt à tes yeux puisque je ne suis plus un défi.”
Le coeur se pince mais l’esprit se rebiffe presque aussitôt, peu enclin à la défaite. Pas sûre qu’elle survive au fait que Miguel préfère la remplacer par la pétillante Maciya alors, en signe de protestation, le coussin finit par brutalement frapper Miguel au visage.
“Mais je te préviens, je pète le nez de prochaine qui ouvre en clamant vouloir coucher avec toi. Et si tu me trompe avec Mane, je m’assurerai de te rendre impuissant jusqu’à la fin de tes jours. Et incapable de tenir sur un balais. Et je t’offrirai une défaite cuisante lors d’un duel qui te couvrira de honte sur huit génération !”
Dose Cat, vraiment. T’es pas capable de tenir tête à Miguel lors d’un duel. Le visage de la rousse se tourne pourtant brutalement vers l'espagnol pour le noyer sous ses bleus iris et, si l'idéal voudrait que ce soit sa baguette qu'elle pointe sur le grymm, la violence de ce geste hypothétique s'efface au profit d'un nouveau coussin jeté sur Mr je fais des blagues nulles.
Elle voudrait lui souffler d’oublier, crier au scandale ou descendre point par point Maciya pour s’auto-convaincre que la grymm ne faisait pas le poids face à ses lancé de cheveux fabuleux, mais si le coussin consent finalement à tomber mollement au sol, l’esprit ne se tempère pas. Alors elle se laisse aller au soupir, petite lufkin, et se redresse de moitié pour laisser une place à Miguel sur le canapé.
“C’est juste que… Je ne sais pas. Parfois je me dis que ce qui te plaisait de prime abord chez moi c’était le goût du défi et, puisque j’étais à deux doigts de plaquer ta main sur mon sein pour te faire comprendre que, si tu ne me jetais pas dans ton lit, c’est moi qui t’y traînait…”
Elle laisse sa phrase en suspension et récupère finalement le cousin au sol pour le plaquer contre son ventre, les sourcils un poil froncé devant l’effroyable sensation de vulnérabilité que Miguel arrivait à faire naître chez elle de temps à autre. Elle n’aimait pas ça, mais était devenue accro à la toute puissance que lui conférait ses mains lorsqu’elle venait se poser sur sa taille ou se perdre dans ses cheveux alors.. Soit. Si cela signifiait passer pour une débile et ce, en formulant des doutes cons, ou en roucoulant à chaque fois qu’il parlait en espagnol, elle y consentait.
“Je me dis que j’ai peut être perdu tout intérêt à tes yeux puisque je ne suis plus un défi.”
Le coeur se pince mais l’esprit se rebiffe presque aussitôt, peu enclin à la défaite. Pas sûre qu’elle survive au fait que Miguel préfère la remplacer par la pétillante Maciya alors, en signe de protestation, le coussin finit par brutalement frapper Miguel au visage.
“Mais je te préviens, je pète le nez de prochaine qui ouvre en clamant vouloir coucher avec toi. Et si tu me trompe avec Mane, je m’assurerai de te rendre impuissant jusqu’à la fin de tes jours. Et incapable de tenir sur un balais. Et je t’offrirai une défaite cuisante lors d’un duel qui te couvrira de honte sur huit génération !”
Dose Cat, vraiment. T’es pas capable de tenir tête à Miguel lors d’un duel. Le visage de la rousse se tourne pourtant brutalement vers l'espagnol pour le noyer sous ses bleus iris et, si l'idéal voudrait que ce soit sa baguette qu'elle pointe sur le grymm, la violence de ce geste hypothétique s'efface au profit d'un nouveau coussin jeté sur Mr je fais des blagues nulles.
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Mar 27 Juin 2023 - 21:08
S’il l’avait vraiment fallut, Miguel aurait pu avouer que de prime abord, les airs de princesse hautaine de Cataleya avaient pu esquisser un défi intéressant à relever. Mais c’était il y a des années de cela et depuis il l’avait assez côtoyée pour savoir que ce n’était pas… que ce n’était plus… ce qui l’attirait chez la rouquine. Alors quand elle explicite, il ne peut s’empêcher de sourire, n’accordant pas le moindre intérêt au coussin choisi soigneusement par sa soeur qui avait finit sa course par terre.
Il comprenait mieux, maintenant. Et si effectivement, elle avait attiré sa main mordorée sur ce sein immaculé, il aurait sûrement envoyé valdinguer ces sacro-sainte règle qu’il s’imposait avant les match, héritage d’un pseudo magasine masculin lu un jour sur les toilettes d’un bar sportif qu’il n’avait que trop fréquenté.
- C’est pas ça.
Pas la temps d’argumenté d’avantage, un autre coussin (lui aussi soigneusement choisi par Catalina) le heurte sans ménagement ce qui lui arrache un grognement. Il l’attrape fermement avant que la rouquine ne se sente pousser des ailes et qu’elle réitère le geste. Les menaces plus ou moins crédibles de la sorcière lui font moins peur que celles de @Jules de Gray s’accompagne d’un nouveau lancé de coussin mais cette fois, il l’intercepte avant de le poser sagement sur le canapé.
- Tu vois t’es toujours aussi infect avec moi, rien n’a changé.
Le ton est à la plaisanterie mais son regard est infiniment doux alors qu’il se plonge dans celui céruléen de sa dulcinée. Il s’assoit à côté d’elle et glisse une main dans la sienne, tant dans un geste rassurant que pour s’épargner un énième assaut de coton.
- Tu te goures si tu penses que j’ai pas envie de m’envoyer en l’air avec toi. Mais je joue demain Cat’. Et c’est un match important. Je ne peux pas me laisser déconcentrer par tes fesses aussi incroyablement sexy soient elles. Je n’ai pas l’intention de te tromper, ni avec Macie, ni avec qui que ce soit. Pas ce soir. Pas demain. Jamais. Et je suis vraiment vraiment désolé si tu penses que je serais capable de faire un truc pareil.
Il comprenait mieux, maintenant. Et si effectivement, elle avait attiré sa main mordorée sur ce sein immaculé, il aurait sûrement envoyé valdinguer ces sacro-sainte règle qu’il s’imposait avant les match, héritage d’un pseudo magasine masculin lu un jour sur les toilettes d’un bar sportif qu’il n’avait que trop fréquenté.
- C’est pas ça.
Pas la temps d’argumenté d’avantage, un autre coussin (lui aussi soigneusement choisi par Catalina) le heurte sans ménagement ce qui lui arrache un grognement. Il l’attrape fermement avant que la rouquine ne se sente pousser des ailes et qu’elle réitère le geste. Les menaces plus ou moins crédibles de la sorcière lui font moins peur que celles de @Jules de Gray s’accompagne d’un nouveau lancé de coussin mais cette fois, il l’intercepte avant de le poser sagement sur le canapé.
- Tu vois t’es toujours aussi infect avec moi, rien n’a changé.
Le ton est à la plaisanterie mais son regard est infiniment doux alors qu’il se plonge dans celui céruléen de sa dulcinée. Il s’assoit à côté d’elle et glisse une main dans la sienne, tant dans un geste rassurant que pour s’épargner un énième assaut de coton.
- Tu te goures si tu penses que j’ai pas envie de m’envoyer en l’air avec toi. Mais je joue demain Cat’. Et c’est un match important. Je ne peux pas me laisser déconcentrer par tes fesses aussi incroyablement sexy soient elles. Je n’ai pas l’intention de te tromper, ni avec Macie, ni avec qui que ce soit. Pas ce soir. Pas demain. Jamais. Et je suis vraiment vraiment désolé si tu penses que je serais capable de faire un truc pareil.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Mer 28 Juin 2023 - 11:23
Touché. L'égo se pare de victoire mais le second lancé est trop facilement intercepté par Miguel qui, loin de le lui renvoyer en plein visage, approche d'un pas tranquille. La voix taquine, s'élève sans animosité, et le regard est si doux qu’irrépressiblement, Cataleya relâche l'emprise sur ce dernier coussin que sa main sournoise était parti chercher. La tendresse du moment est trop précieuse pour qu'elle cherche à la briser. Doucement, les doigts se nouent, le regard se perd dans celui du madrilène et, si c'est avec beaucoup d'attention que la Blackthorn écoute le brun, c'est le plus intuitivement du monde que le sourire vient à paraître.
La dévotion de Miguel au quidditch est admirable ; elle se le murmure chaque fois qu'elle l'entend commenter un match mais parvient encore à s'en étonner lorsqu'elle réalise la discipline à laquelle il assujettit à chaque veille de match. Aussi, si elle doute ouvertement que son auguste fessier puisse pleinement déconcentrer le poursuiveur tant il était acharné et ambitieux, elle prend la justification avec beaucoup de bienveillance. Son corps se redresse pourtant et c'est d'un mouvement souple que la cuisse passe au dessus de celles du grymm pour hisser miss Blackthorn à califourchon sur lui. Un poil sadique il est vrai, un peu capricieuse surtout, le regard hurle ses plus basses envies mais l’aveu s'éteint tendrement contre la mâchoire du madrilène puisqu'elle s'efforce de ne pas courir amoureusement sur sa gorge. Marquer son corps de fiévreux baiser. Soit, ses déclarations se feront au plus chaste.
(Je n’ai pas l’intention de te tromper )
Un peu surprise par la franchise qui caresse son esprit, Cataleya se défait de cette main qu'elle massait précieusement du bout du pouce pour mieux se nicher contre Miguel. Si l'étreinte n'est pas désespérée puisque le jeune homme possède l'odieuse faculté de la mettre en confiance de sa seule présence, le cœur se presse un peu et l'esprit s'accroche avec force aux mots qui suit. Captivé par cette promesse qui se forme entre les lèvres du madrilène. Elle ne doute pas une seule seconde de sa sincérité mais sait l'avenir trop nébuleux pour qu'on puisse pleinement s'y projeter et...
Et. L'excuse qu'il formule a l'effet d'un électrochoc puisqu'il redresse soudainement la rousse et plaque d'un baiser Miguel au dossier du canapé. Elle aurait aimé le faire taire avant qu'il ne conclue sa phrase, mais elle a manqué de réactivité.
Si elle avait pu douter, c'était en parti à cause des bruits de couloirs. A cause d'une réputation qui lui sied mal mais qui persistait cruellement dans un coin de son esprit, prête à donner raison aux rumeurs au moindre faux pas puisque tous s'acharnait à la mettre en garde. Alors certes, si l'attitude de Maciya irritait la rousse au plus haut point et méritait une correction adéquate, force était d'admettre que celle de Miguel n'avait prit aucun contour suspect ou déplacé. Il ne l'avait certes pas repoussée comme la pire des pestiférées, mais ils étaient amis, certainement anciens amants, et tout le monde ne pouvait pas être aussi barbare que Cataleya dans ses relations humaines.
- Tu ne m'a jamais donné de raison de douter Miguel. C'est moi qui suis désolé ; Je n'ai pas a te faire subir mes insécurités. Étonnamment douce en comparaison de la puissance injecté dans son précédent baiser, le regard finit par gagner en malice à mesure que le sourire point sur ses joues. Alors comme ça... Mes fesses pourraient te déconcentrer du match le plus important de la saison ? C'est incroyablement flatteur. Tu veux que je mette un t-shirt moche pour t’épargner la tentation de mes courbes ?
La dévotion de Miguel au quidditch est admirable ; elle se le murmure chaque fois qu'elle l'entend commenter un match mais parvient encore à s'en étonner lorsqu'elle réalise la discipline à laquelle il assujettit à chaque veille de match. Aussi, si elle doute ouvertement que son auguste fessier puisse pleinement déconcentrer le poursuiveur tant il était acharné et ambitieux, elle prend la justification avec beaucoup de bienveillance. Son corps se redresse pourtant et c'est d'un mouvement souple que la cuisse passe au dessus de celles du grymm pour hisser miss Blackthorn à califourchon sur lui. Un poil sadique il est vrai, un peu capricieuse surtout, le regard hurle ses plus basses envies mais l’aveu s'éteint tendrement contre la mâchoire du madrilène puisqu'elle s'efforce de ne pas courir amoureusement sur sa gorge. Marquer son corps de fiévreux baiser. Soit, ses déclarations se feront au plus chaste.
Un peu surprise par la franchise qui caresse son esprit, Cataleya se défait de cette main qu'elle massait précieusement du bout du pouce pour mieux se nicher contre Miguel. Si l'étreinte n'est pas désespérée puisque le jeune homme possède l'odieuse faculté de la mettre en confiance de sa seule présence, le cœur se presse un peu et l'esprit s'accroche avec force aux mots qui suit. Captivé par cette promesse qui se forme entre les lèvres du madrilène. Elle ne doute pas une seule seconde de sa sincérité mais sait l'avenir trop nébuleux pour qu'on puisse pleinement s'y projeter et...
Et. L'excuse qu'il formule a l'effet d'un électrochoc puisqu'il redresse soudainement la rousse et plaque d'un baiser Miguel au dossier du canapé. Elle aurait aimé le faire taire avant qu'il ne conclue sa phrase, mais elle a manqué de réactivité.
Si elle avait pu douter, c'était en parti à cause des bruits de couloirs. A cause d'une réputation qui lui sied mal mais qui persistait cruellement dans un coin de son esprit, prête à donner raison aux rumeurs au moindre faux pas puisque tous s'acharnait à la mettre en garde. Alors certes, si l'attitude de Maciya irritait la rousse au plus haut point et méritait une correction adéquate, force était d'admettre que celle de Miguel n'avait prit aucun contour suspect ou déplacé. Il ne l'avait certes pas repoussée comme la pire des pestiférées, mais ils étaient amis, certainement anciens amants, et tout le monde ne pouvait pas être aussi barbare que Cataleya dans ses relations humaines.
- Tu ne m'a jamais donné de raison de douter Miguel. C'est moi qui suis désolé ; Je n'ai pas a te faire subir mes insécurités. Étonnamment douce en comparaison de la puissance injecté dans son précédent baiser, le regard finit par gagner en malice à mesure que le sourire point sur ses joues. Alors comme ça... Mes fesses pourraient te déconcentrer du match le plus important de la saison ? C'est incroyablement flatteur. Tu veux que je mette un t-shirt moche pour t’épargner la tentation de mes courbes ?
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Lun 3 Juil 2023 - 21:48
Le mouvement souple est loin de surprendre le madrilène qui se laisse chevaucher malgré la tentation évidente d’une telle position. La rouquine se niche dans son cou et Miguel n’hésite pas une seconde à passer tendrement ses bras autour de la jeune femme. Son propre visage se noie dans les boucles rousse de la Blackthorn, humant discrètement un parfum qu’il ne connaissait que trop bien désormais.
Aussi difficile que cela puisse être pour lui, il entreprend de la rassurer. Les mots sont sûrement mal choisis. Les formulation sont clairement maladroites. Mais il espère sincèrement qu’elle en comprendra la substance. Il avait trop pâti d’être le type en qui on a pas confiance par principe, il n’avait pas envie de renouveler l’expérience une troisième fois.
Ce baiser par contre, le surprend. Le saisi comme l’huile sur le feu. Il lui semble même qu’un frisson lui parcourt l’échine alors que les lèvres de Cataleya embrassent les siennes. Comme par enchantement, la main du madrilène se glisse dans la nuque de la jeune femme. L’autre vient sagement se poser dans le bas de son dos. « Tu ne m'a jamais donné de raison de douter Miguel. C'est moi qui suis désolé ; Je n'ai pas a te faire subir mes insécurités. »
- T’es affreusement sexy quand tu deviens raisonnable, tu sais.
Il a l’air de se plaindre, le Pajares. Faut dire qu’elle est là, tout contre lui et qu’il meurt d’envie d’elle. Prétendre le contraire relèverait presque du blasphème. « Alors comme ça... Mes fesses pourraient te déconcentrer du match le plus important de la saison ? C'est incroyablement flatteur. » et comme il fallait s’en doutait, la Blackthorn n’est pas la plus coopérative dans cette entreprise difficile.
- Ne dit pas ça comme si tu le découvrais.
Il grommelle, c’est à peine compréhensible. « Tu veux que je mette un t-shirt moche pour t’épargner la tentation de mes courbes ? »
- Parce que t’en a ramené un ? Sinon désolé, j’ai pas de tee-shirt moche ici.
Sourire amusé de celui qui sait que @Esther Alvares dirait le contraire, balançant hors de son armoire mal rangé tout les tee-shirt des Flèches d’Appleby dont il faisait la collection sans se l’avouer.
Aussi difficile que cela puisse être pour lui, il entreprend de la rassurer. Les mots sont sûrement mal choisis. Les formulation sont clairement maladroites. Mais il espère sincèrement qu’elle en comprendra la substance. Il avait trop pâti d’être le type en qui on a pas confiance par principe, il n’avait pas envie de renouveler l’expérience une troisième fois.
Ce baiser par contre, le surprend. Le saisi comme l’huile sur le feu. Il lui semble même qu’un frisson lui parcourt l’échine alors que les lèvres de Cataleya embrassent les siennes. Comme par enchantement, la main du madrilène se glisse dans la nuque de la jeune femme. L’autre vient sagement se poser dans le bas de son dos. « Tu ne m'a jamais donné de raison de douter Miguel. C'est moi qui suis désolé ; Je n'ai pas a te faire subir mes insécurités. »
- T’es affreusement sexy quand tu deviens raisonnable, tu sais.
Il a l’air de se plaindre, le Pajares. Faut dire qu’elle est là, tout contre lui et qu’il meurt d’envie d’elle. Prétendre le contraire relèverait presque du blasphème. « Alors comme ça... Mes fesses pourraient te déconcentrer du match le plus important de la saison ? C'est incroyablement flatteur. » et comme il fallait s’en doutait, la Blackthorn n’est pas la plus coopérative dans cette entreprise difficile.
- Ne dit pas ça comme si tu le découvrais.
Il grommelle, c’est à peine compréhensible. « Tu veux que je mette un t-shirt moche pour t’épargner la tentation de mes courbes ? »
- Parce que t’en a ramené un ? Sinon désolé, j’ai pas de tee-shirt moche ici.
Sourire amusé de celui qui sait que @Esther Alvares dirait le contraire, balançant hors de son armoire mal rangé tout les tee-shirt des Flèches d’Appleby dont il faisait la collection sans se l’avouer.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Mar 4 Juil 2023 - 19:29
Un soupire d’aise échappe à la Blackthorn lorsque les mains de Miguel se posent au bas de son dos et la rapproche inexorablement de lui. Elle voudrait lui murmurer ô combien elle aimait ce genre de contact, perdre ses lèvres contre sa gorge mordorée mais les propos tenus lui arrachent un large sourire qu’elle vient perdre là, sournoisement, au creux de son oreille. C’est qu’il se plaindrait presque de la sincérité du moment, petit Miguelito.
“ Une chance pour tes nerfs à vif, je ne le suis pas souvent, raisonnable. “
Elle murmure à peine, passant ses bras autour de son cou pour se perdre dans une étreinte et réorienter les folles idées qui courrait déjà sur ses cuisses avides de baiser. C’est qu’elle a bien conscience de la sensualité qu’induit ce genre de posture, et des limites qu’à exprimé Miguel alors, lorsque celui-ci grommelle des mots qu’elle ne comprend pas, c’est pleinement douce que la lufkin vient à reposer son menton sur l’épaule du Grymm et abandonner ses plans de conquête. Les yeux clos, un fin sourire aux lèvres, la jeune femme s’étonne encore du fait que ce soit Miguel qui tempère ses plus basses ardeurs, mais se laisse aller à un franc rire lorsque ce dernier ose brandir le fait qu’il n’avait, dans cet appartement, aucun t-shirt moche. Elle l’avait déjà vu arborer en cours des tenues franchement douteuse et savait pertinemment que, si même elle pouvait avoir une collection de vêtements honteux, Miguel avait forcément dans ses placards quelques trésors inesthétiques.
Le visage se redresse, les bras se retirent, et d'un mouvement lent Cataleya consent enfin à délaisser son trône.
“ Mon t-shirt vert, déjà “ Celui là même qui lui avait prêté en décembre et qu'elle avait acté être le sien depuis. La moue se fait faussement songeuse et, si elle claque des doigts pour marquer une fausse quête de souvenir, le regard qu'elle tourne finalement vers le madrilène se fait purement malicieux. “ Laisse moi réfléchir, attend.. Tu soutiens aussi cette équipe un peu honteuse, tu as forcément des t-shirts... Les flèches de.. Attend. “ Hérésie véritable, Cataleya se recule d'un pas consciente de l'affront qu'elle avançait en faisant mine d'oublier le nom de l'une treize meilleure équipe de grande Bretagne. L'air se veut neutre mais le sourire pique ses fossettes avec tant de force qu'elle éclate soudainement de rire. Oh, elle guette presque ce coussin propulsé en plein visage pour la faire taire, ou un jeté sur l'épaule de Miguel, mais on approche d'un sujet sur lequel elle se veut inflexible. "En tout cas, c'est clairement pas les Frelons de Wimbourne et ça, c'est laid ! Tu sais aussi bien que moi que leur attrapeur est plus efficace ! "
“ Une chance pour tes nerfs à vif, je ne le suis pas souvent, raisonnable. “
Elle murmure à peine, passant ses bras autour de son cou pour se perdre dans une étreinte et réorienter les folles idées qui courrait déjà sur ses cuisses avides de baiser. C’est qu’elle a bien conscience de la sensualité qu’induit ce genre de posture, et des limites qu’à exprimé Miguel alors, lorsque celui-ci grommelle des mots qu’elle ne comprend pas, c’est pleinement douce que la lufkin vient à reposer son menton sur l’épaule du Grymm et abandonner ses plans de conquête. Les yeux clos, un fin sourire aux lèvres, la jeune femme s’étonne encore du fait que ce soit Miguel qui tempère ses plus basses ardeurs, mais se laisse aller à un franc rire lorsque ce dernier ose brandir le fait qu’il n’avait, dans cet appartement, aucun t-shirt moche. Elle l’avait déjà vu arborer en cours des tenues franchement douteuse et savait pertinemment que, si même elle pouvait avoir une collection de vêtements honteux, Miguel avait forcément dans ses placards quelques trésors inesthétiques.
Le visage se redresse, les bras se retirent, et d'un mouvement lent Cataleya consent enfin à délaisser son trône.
“ Mon t-shirt vert, déjà “ Celui là même qui lui avait prêté en décembre et qu'elle avait acté être le sien depuis. La moue se fait faussement songeuse et, si elle claque des doigts pour marquer une fausse quête de souvenir, le regard qu'elle tourne finalement vers le madrilène se fait purement malicieux. “ Laisse moi réfléchir, attend.. Tu soutiens aussi cette équipe un peu honteuse, tu as forcément des t-shirts... Les flèches de.. Attend. “ Hérésie véritable, Cataleya se recule d'un pas consciente de l'affront qu'elle avançait en faisant mine d'oublier le nom de l'une treize meilleure équipe de grande Bretagne. L'air se veut neutre mais le sourire pique ses fossettes avec tant de force qu'elle éclate soudainement de rire. Oh, elle guette presque ce coussin propulsé en plein visage pour la faire taire, ou un jeté sur l'épaule de Miguel, mais on approche d'un sujet sur lequel elle se veut inflexible. "En tout cas, c'est clairement pas les Frelons de Wimbourne et ça, c'est laid ! Tu sais aussi bien que moi que leur attrapeur est plus efficace ! "
- InvitéInvité
Re: Watermelon Sugar (ft Miguel) - Terminé
Dim 9 Juil 2023 - 22:22
« Je ne le suis pas souvent, raisonnable. » la confession murmurée, un peu honteuse, fait rire de sa voix chaude le Pajares. Cette fille était si surprenante qu’il avait parfois l’impression de la re-découvrir encore et encore. Et c’était sûrement pour ça qu’il l’aimait tant. Pour la magie qui opérait à chaque rencontre. Pour les éclats de rires inattendus alors qu’il prétend ne pas avoir de tee-shirt moche. « Mon t-shirt vert, déjà ».
- C’est bien ce que je dis. Les seuls tee-shirts moches ici, ce sont les tiens.
Et cet air à la fois angélique et malicieux sur le visage du madrilène, celui qui sait qu’il ne devrait pas pousser la blaguer trop longtemps sans quoi les conséquences pleuvront sur lui comme les giboulées sur les Highlands au printemps.
Bien que l’étreinte soit fort agréable, l’hispanique est soulagé que la rouquine ne retrouve sa place sur le canapé plutôt que sur ses cuisses. Même si la raison et l’ambition lui imposent de rester chaste, tout son corps semble réclamer celui de la jeune femme et c’est particulièrement difficile à ignorer quand elle est tout contre lui.
« Laisse moi réfléchir, attend.. Tu soutiens aussi cette équipe un peu honteuse, tu as forcément des t-shirts... Les flèches de.. Attend. » Les yeux de Miguel s’écarquillent une seconde, juste le temps de comprendre qu’elle se paie royalement sa tête, l’épine noire. « En tout cas, c'est clairement pas les Frelons de Wimbourne et ça, c'est laid ! Tu sais aussi bien que moi que leur attrapeur est plus efficace ! » Trop, c’en était trop. Aussi souple que rapide, le madrilène se jette sur elle pour l’allonger sur le canapé et commença à la chatouiller là où les côtes se creusent.
- Demande pardon aux Flèches, Cat…
- C’est bien ce que je dis. Les seuls tee-shirts moches ici, ce sont les tiens.
Et cet air à la fois angélique et malicieux sur le visage du madrilène, celui qui sait qu’il ne devrait pas pousser la blaguer trop longtemps sans quoi les conséquences pleuvront sur lui comme les giboulées sur les Highlands au printemps.
Bien que l’étreinte soit fort agréable, l’hispanique est soulagé que la rouquine ne retrouve sa place sur le canapé plutôt que sur ses cuisses. Même si la raison et l’ambition lui imposent de rester chaste, tout son corps semble réclamer celui de la jeune femme et c’est particulièrement difficile à ignorer quand elle est tout contre lui.
« Laisse moi réfléchir, attend.. Tu soutiens aussi cette équipe un peu honteuse, tu as forcément des t-shirts... Les flèches de.. Attend. » Les yeux de Miguel s’écarquillent une seconde, juste le temps de comprendre qu’elle se paie royalement sa tête, l’épine noire. « En tout cas, c'est clairement pas les Frelons de Wimbourne et ça, c'est laid ! Tu sais aussi bien que moi que leur attrapeur est plus efficace ! » Trop, c’en était trop. Aussi souple que rapide, le madrilène se jette sur elle pour l’allonger sur le canapé et commença à la chatouiller là où les côtes se creusent.
- Demande pardon aux Flèches, Cat…
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