- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
Inventaire Sorcier
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Finally Free (Miguel)(terminé)
Lun 10 Juil 2023 - 1:19
10 Juin 2023
Rendue radieuse par la fin des examens, Cataleya faisait preuve d'un singulier enthousiasme depuis qu'elle avait réchappé vivante des notations infâme d'Andrew Hill. Il fallait avouer qu'il tenait du sadisme pur que de placer celui-ci juste après l'examen de potion, mais par chance -et parce que cela faisait deux bonnes semaines qu'elle s'arrachait les cheveux sur ses révisions- Cataleya avait le pressentiment que tout se passerait au mieux. Seule la pratique de la DFCM l'angoissait et il n'avait pas fallut plus d'un jour pour que la rousse ne rampe jusqu'à sa mère pour lui le avouer, puisqu'il était hors de question qu'elle apprenne par elle-même que la magie de sa si précieuse fille s'était, une fois de plus, enraillée sous le coup des angoisses. Ca lui coûterait certainement la petite étoile en diamant qu'elle accrochait à son poignet à chaque fois que, brillante, Quarta couchait ses examens sous le poids d'une ascension sans accrocs. L'espace d'une seconde, le regard de la lufkin se trouble un peu mais la main de Miguel effleurant son bras la ramène inexorablement au sentiment de liesse qui était le sien.
Voilà déjà une heure qu'elle se laissait charmer par un accent dont cruellement il jouait. Qu'elle pinçait sa paille entre ses lèvres pour ponctuer ses réflexions à chaque fois qu'ils parlaient quidditch. Qu'elle répétait avec enthousiasme et innocence chacun des mots étranges qu'il pouvait lui offrir dans cette langue entêtante qui etait la sienne. Elle demeurait convaincue qu’il lui avait fait répéter des phrases insensée ou lubrique et s’était un peu vexée lorsqu’il était venu à rire, mais Pajares avait l’art de lui rendre le sourire en une poignée de secondes alors, elle aussi, elle avait fini par en rire. Quoi qu'elle eut exigée un passage en fête foraine en compensation.
« Tu m'accompagnerais dehors ? » La taverne du troll était bruyante, son verre vide, et les étoiles trop belle pour ne pas être admirée. L'envie de fumer lui tordait un peu les tripes aussi, il était vrai. A croire que MacCandless avait réussi à la contaminer avec ses mauvaises habitudes... Si elle sort déjà de quoi rouler, son regard chasse attentivement les environs, jamais vraiment à l'aise à l'idée que l'on puisse surprendre les regards amoureux qu'elle pouvait pendre au cou du Madrilène. Presque autant coupable que de s'être mise à fumer pour palier au chaos qu'avait porté l'hiver. Le sourire s'étire pourtant en coin lorsqu'elle lève de nouveau son regard en direction du Pajares. Un poil trop malicieuse.
« On se tiendra chaud. »
- InvitéInvité
Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Sam 22 Juil 2023 - 10:48
Il n’y avait bien que le regard malicieux et le rire cristallin de Cataleya pour faire oublier au madrilène le dilemme existentiel auquel il faisait face. Abandonner encore ses études pour rejoindre les Shooters qu’Esther venait de créer ? Ou redoubler sa neuvième année dans l’espoir d’avancer un peu sa thèse ? Ou tout envoyer valser et aller élever des veaudelune en Alaska ? Il détestait les veaudelunes…
A croire qu’il aimait les extrême, Miguel. Il pourrait aussi tout simplement profiter de son diplôme de deuxième cycle et devenir membre de la police magique alors qu’il aspirait aux brigades de tireur l’élite. Tout comme il aspirait à la première ligue de Grande-Bretagne et peut-être pas à l’idée de partir de zéro avec une équipe de débutants…
Mais ce soir, il avait mit tout ça dans un coin de sa tête pour profiter d’une stout et de sa rousse dont les sourires le régalaient. L’ambiance était à la fête car les examens étaient passés et il y avait du monde dans la Taverne du Troll. Leurs pintes colorées étaient bien entamées quand Cataleya le soudoie d’un sourire « Tu m'accompagnerais dehors ? » et d’une promesse « On se tiendra chaud. »
- Bonne idée !
Sans attendre il se lève pour suivre l’épine noire. Regard agacé néanmoins sur la clope qu’elle essaye de rouler, même si lui même n’est pas un modèle en ce qui concerne la nicotine puisqu’il roule lui même sa clope sur son chemin jusqu’à la terrasse.
- Bordel, qu’est ce qu’il fait chaud à l’intérieur c’est ouf.
Et glissant à l’oreille de la rouquine :
- C’est à cause de toi ça…
A croire qu’il aimait les extrême, Miguel. Il pourrait aussi tout simplement profiter de son diplôme de deuxième cycle et devenir membre de la police magique alors qu’il aspirait aux brigades de tireur l’élite. Tout comme il aspirait à la première ligue de Grande-Bretagne et peut-être pas à l’idée de partir de zéro avec une équipe de débutants…
Mais ce soir, il avait mit tout ça dans un coin de sa tête pour profiter d’une stout et de sa rousse dont les sourires le régalaient. L’ambiance était à la fête car les examens étaient passés et il y avait du monde dans la Taverne du Troll. Leurs pintes colorées étaient bien entamées quand Cataleya le soudoie d’un sourire « Tu m'accompagnerais dehors ? » et d’une promesse « On se tiendra chaud. »
- Bonne idée !
Sans attendre il se lève pour suivre l’épine noire. Regard agacé néanmoins sur la clope qu’elle essaye de rouler, même si lui même n’est pas un modèle en ce qui concerne la nicotine puisqu’il roule lui même sa clope sur son chemin jusqu’à la terrasse.
- Bordel, qu’est ce qu’il fait chaud à l’intérieur c’est ouf.
Et glissant à l’oreille de la rouquine :
- C’est à cause de toi ça…
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Sam 22 Juil 2023 - 15:19
Le regard désapprobateur de Miguel n’échappe pas à la nymphe qui, faute de place assise, se hisse sur un petit muret pour proprement rouler cette récente addiction. Si elle aime se répéter que Kiran arquerait le sourcil tant elle avait mené une guerre ouverte contre les siennes, force est d’admettre qu’elle juge bien plus que les autres jugerait. Impitoyable face à ses failles et les chemins chaotiques pris pour les contrer. Elle détestait exposer ce genre de faiblesse et se cachait, de fait, à chaque fois qu’elle ressentait le besoin de fumer. Perchée sur le rebord de sa fenêtre, ou sur celle de Miguel avant que celui-ci ne s’éveille lorsqu’elle ne filait pas sur la pointe des pieds comme une vulgaire voleuse.
La langue passe consciencieusement sur le papier mais le souffle chaud du madrilène, à peine posé derrière son oreille, a tôt fait de lui arracher un sourire en coin. Ne joue pas à ça Miguelito ; tu finirais plaqué à un mur.
“ J'ignorais que la vision de ma langue sur un objet long et chaud te ferait un tel effet… Si j’avais sû, j'aurais choisi un objet moins tendancieux.” Faussement détaché, Cataleya tasse doucement sa cigarette et l’observe sous toutes ses coutures pour ne pas se laisser sombrer dans le regard du madrilène. Ses quelques mots lui coûtaient déjà un frisson ; croiser ses iris aurait raison d’un soudain rougissement. La cigarette se pose sur ses lèvres, s’embrase, mais c’est le plus joliment du monde que la Blackthorn souffle sa fumée vers les étoiles pour y dessiner quelques arabesques. “ Peut être une pipe. “
Oh, elle est loin Miss Blackthorn. Celle qui trépignait d’enthousiasme lorsque Miguel clamait ne vivre que pour la soulever sans même en comprendre le sens véritable, et au vu de l’air de lutin de Cornouaille qu’elle traîne en cette nuit de juin, force est d’admettre qu’elle a cette fois-ci parfaitement conscience du double-sens qu’elle souffle. Les jambes se croisent noblement sous sa longue robe noire et la main s’acharne à lisser les plis puisque l’esprit fourmille encore, lui impose des pensées dont elle ne veut pas.
“ C'est pas bien, je le sais... Ca. “ Le regard accroché aux étoiles, elle désigne à peine l'amante longiligne qui trônait entre ses doigts trop fin. La moue s'esquisse pourtant un peu avant de se parer d'un sourire désolé. “ Mais je vais virer folle avant la dixième années donc c'était soit ça, soit des cours de duel, et on sait tout les deux que je suis excessivement mauvaise en face à face. “ Au mieux elle finirait plaqué au sol, les canines planté jusqu'au sang dans le bras de son adversaire pour le faire lâcher sa baguette...
La langue passe consciencieusement sur le papier mais le souffle chaud du madrilène, à peine posé derrière son oreille, a tôt fait de lui arracher un sourire en coin. Ne joue pas à ça Miguelito ; tu finirais plaqué à un mur.
“ J'ignorais que la vision de ma langue sur un objet long et chaud te ferait un tel effet… Si j’avais sû, j'aurais choisi un objet moins tendancieux.” Faussement détaché, Cataleya tasse doucement sa cigarette et l’observe sous toutes ses coutures pour ne pas se laisser sombrer dans le regard du madrilène. Ses quelques mots lui coûtaient déjà un frisson ; croiser ses iris aurait raison d’un soudain rougissement. La cigarette se pose sur ses lèvres, s’embrase, mais c’est le plus joliment du monde que la Blackthorn souffle sa fumée vers les étoiles pour y dessiner quelques arabesques. “ Peut être une pipe. “
Oh, elle est loin Miss Blackthorn. Celle qui trépignait d’enthousiasme lorsque Miguel clamait ne vivre que pour la soulever sans même en comprendre le sens véritable, et au vu de l’air de lutin de Cornouaille qu’elle traîne en cette nuit de juin, force est d’admettre qu’elle a cette fois-ci parfaitement conscience du double-sens qu’elle souffle. Les jambes se croisent noblement sous sa longue robe noire et la main s’acharne à lisser les plis puisque l’esprit fourmille encore, lui impose des pensées dont elle ne veut pas.
“ C'est pas bien, je le sais... Ca. “ Le regard accroché aux étoiles, elle désigne à peine l'amante longiligne qui trônait entre ses doigts trop fin. La moue s'esquisse pourtant un peu avant de se parer d'un sourire désolé. “ Mais je vais virer folle avant la dixième années donc c'était soit ça, soit des cours de duel, et on sait tout les deux que je suis excessivement mauvaise en face à face. “ Au mieux elle finirait plaqué au sol, les canines planté jusqu'au sang dans le bras de son adversaire pour le faire lâcher sa baguette...
- InvitéInvité
Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Lun 24 Juil 2023 - 21:55
« J’ignorais que la vision de ma langue sur un objet long et chaud te ferait un tel effet… Si j’avais sû, j'aurais choisi un objet moins tendancieux. » Le temps s’arrête, l’espace d’une seconde. Le temps que le message à peine ironique ne se transforme en vision on ne peut plus onirique. Un peu plus et il en aurait rougit, le madrilène. Au lieu de ça, faisant face au visage détaché de sa belle, il sent un sourire en coin poindre le long de ses lèvres. Il fallait répondre mais la suite le cloue sur place, lui arrache même une toux qui dissimule un rire nerveux.
- T’es consciente que plus jamais tu pourras fumer devant moi sans que j’ai cette image en tête, maintenant ?
S’arrachant à l’idée de lui retirer cette robe qu’elle s’échine à lisser vainement, il sort sa baguette pour allumer sa propre cigarette et s’installer à côté d’elle, le dos contre le mur. Elle tente une maigre explication pour justifier cette nouvelle addiction mais dans le fond, le Pajares serait mal placé pour juger, lui qui avait allumé sa première cigarette alors qu’il fréquentait encore l’école de cristal des Pyrénées.
- C’est vrai. Et puis finalement en ce qui te concerne, la clope c’est moins risqué.
Il n’avait un souvenir que trop précis du stand de tir aux ballons qu’elle avait bien failli réduire en fumée. Elle aurait pu tuer le forain et tout humain dans les dix mètres à la ronde, ce soir là, elle y comprit. Il tire une latte, puis une deuxième avant d’ajouter.
- Et puis ce petit côté rebelle, c’est sexy. Si tu me fais le plaisir de te brosser les dents avant de m’embrasser.
Et se contre-disant aussitôt, ne résistant pas a cette idée, il abandonne le mur qui lui servait de dossier pour se glisser face à Cataleya et lui arracher un baiser loin d’être sage.
- T’es consciente que plus jamais tu pourras fumer devant moi sans que j’ai cette image en tête, maintenant ?
S’arrachant à l’idée de lui retirer cette robe qu’elle s’échine à lisser vainement, il sort sa baguette pour allumer sa propre cigarette et s’installer à côté d’elle, le dos contre le mur. Elle tente une maigre explication pour justifier cette nouvelle addiction mais dans le fond, le Pajares serait mal placé pour juger, lui qui avait allumé sa première cigarette alors qu’il fréquentait encore l’école de cristal des Pyrénées.
- C’est vrai. Et puis finalement en ce qui te concerne, la clope c’est moins risqué.
Il n’avait un souvenir que trop précis du stand de tir aux ballons qu’elle avait bien failli réduire en fumée. Elle aurait pu tuer le forain et tout humain dans les dix mètres à la ronde, ce soir là, elle y comprit. Il tire une latte, puis une deuxième avant d’ajouter.
- Et puis ce petit côté rebelle, c’est sexy. Si tu me fais le plaisir de te brosser les dents avant de m’embrasser.
Et se contre-disant aussitôt, ne résistant pas a cette idée, il abandonne le mur qui lui servait de dossier pour se glisser face à Cataleya et lui arracher un baiser loin d’être sage.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
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» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
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Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Mar 25 Juil 2023 - 10:01
Touché, coulé. Si Cataleya ne parvient pas à arracher au madrilène un doux rougissement, force est d'admettre qu'elle se délecte ouvertement de sa toux et des quelques nuages de fumée qui échappe à ses lèvres. Elle voudrait en rire mais la réponse opposé à ses mots n'éveille qu'un peu plus son sens de la répartie. Intuitivement alors, elle se penche en avant pour approcher ses lèvres de son oreilles, ses seins de yeux, et si le sourire s'étire déjà en coin pour sensuellement murmurer un « Parce que c'est un problème, cariño ? » quelques chose la contraint à renoncer à l'offensive. Peut être son éducation ou la peur d'être surprise, ou était-ce les stigmates portée par d'odieuse discussions prônant le fait qu'une femme se devait d'être pudique et sage là où Quarta, conquérante et sauvage, avait très tôt apprit à plaquer James sur son lit pour lui soutirer une forme de dialogue. A croire que la discipline Blackthorn n'avaient jamais vraiment eu raison de ses tempêtes, quoiqu'elle feigne superbement une fois placée derrière l'épaule maternelle.
« [...] la clope c’est moins risqué. » Les lèvres s'entrouvrent subitement et, si la rousse semble un instant s'étrangler sur une forme d'outrage, la vexation lui fait très vite tourner la tête dans le sens opposé. Ce n'était pas parce que ses sortilèges prenaient des allures de feydemon ou des accents explosifs, voir corrosif à chaque fois qu'elle s'agaçait un peu, que nécessairement elle ferait un carnage dans un lieu qui lui cracherait au visage qu'elle n'était pas à la hauteur et qui éveillerait en elle le pire. Elle savait un minimum se tenir ! Elle réglerait ça sous les mâchoire de son animagus ou a la main, pas à la baguette voyons. Et puis elle avait depuis la rentrée une charmante baguette de saule qui était beaucoup plus raisonnable que l'aubépine ; elle ne déclenchait plus de feu lorsqu'elle la gardait tout près d'elle ! La moue se forme pourtant un peu, pleinement consciente qu'il lui faudrait régler bien des frustrations avant de prétendre à des cours de duel.
L'attention se détourne pourtant de ses tristes pensées lorsque Miguel engage un mouvement. Un poil méfiante puisque Miss Blackthorn craint qu'il ne la couche sur le muret ou ne la jette sur son épaule pour lui passer l'envie de s'offusquer de rien, elle finit par cracher sa fumée en l'air afin de le préserver. Pajares était trop précieux ; nulle fumée, aussi douce soient-elle, ne jaspera sa peau dorée. Alors, ainsi charmée par l'assurance de cet éphèbe au bel accent, les cuisses s'entrouvrent pour lui laisser une place au plus près et la cigarette se pose plus loin. Miguel était une addiction plus belle encore, quoi que tout aussi répréhensible. Amoureuse pourtant, elle se raccroche à ce baiser avec fougue.
« Si tu es suffisamment téméraire pour comprendre comment se défait ma robe, je consents à ce que tu nous transplane dans un lieu plus tranquille. » Glisse t'elle enfin à son oreille.
« [...] la clope c’est moins risqué. » Les lèvres s'entrouvrent subitement et, si la rousse semble un instant s'étrangler sur une forme d'outrage, la vexation lui fait très vite tourner la tête dans le sens opposé. Ce n'était pas parce que ses sortilèges prenaient des allures de feydemon ou des accents explosifs, voir corrosif à chaque fois qu'elle s'agaçait un peu, que nécessairement elle ferait un carnage dans un lieu qui lui cracherait au visage qu'elle n'était pas à la hauteur et qui éveillerait en elle le pire. Elle savait un minimum se tenir ! Elle réglerait ça sous les mâchoire de son animagus ou a la main, pas à la baguette voyons. Et puis elle avait depuis la rentrée une charmante baguette de saule qui était beaucoup plus raisonnable que l'aubépine ; elle ne déclenchait plus de feu lorsqu'elle la gardait tout près d'elle ! La moue se forme pourtant un peu, pleinement consciente qu'il lui faudrait régler bien des frustrations avant de prétendre à des cours de duel.
L'attention se détourne pourtant de ses tristes pensées lorsque Miguel engage un mouvement. Un poil méfiante puisque Miss Blackthorn craint qu'il ne la couche sur le muret ou ne la jette sur son épaule pour lui passer l'envie de s'offusquer de rien, elle finit par cracher sa fumée en l'air afin de le préserver. Pajares était trop précieux ; nulle fumée, aussi douce soient-elle, ne jaspera sa peau dorée. Alors, ainsi charmée par l'assurance de cet éphèbe au bel accent, les cuisses s'entrouvrent pour lui laisser une place au plus près et la cigarette se pose plus loin. Miguel était une addiction plus belle encore, quoi que tout aussi répréhensible. Amoureuse pourtant, elle se raccroche à ce baiser avec fougue.
« Si tu es suffisamment téméraire pour comprendre comment se défait ma robe, je consents à ce que tu nous transplane dans un lieu plus tranquille. » Glisse t'elle enfin à son oreille.
- InvitéInvité
Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Jeu 3 Aoû 2023 - 22:02
« Parce que c'est un problème, cariño ? » Est-ce que c’en était un ? Probablement. C’est que l’image qu’elle sous-entend n’a jamais été réellement produite. Et s’il était aussi perturbé en cet instant, c’est que ce ça serait une fois qu’il connaîtrait de tels délices ? Il en avait presque la chair de poule rien que d’y penser…
Il rit, alors qu’elle s’offusque. Cette fille était divine autant lorsqu’elle jouait les allumeuses que lorsqu’elle feignait une bouderie mal placée. Et dans le fond… Elle sait bien qu’il n’a pas tort. Même s’il a remarqué qu’elle avait troqué l’aubépine contre le saule, il se doute bien que ce n’est pas suffisant pour prétendre à la maîtrise de ce pouvoir qui lui brûlait les doigts.
Se faufilant sagement entre ses jambes, il l’embrasse. Sa main libre, fraîche, se pose sur sa cuisse et remonte pour que ses ongles ne se dissimulent sur sa robe. Témoin de son désir pour la rouquine, son baiser n’a rien de chaste malgré le lieu ort peu approprié à ce genre d’échange labial. Auquel elle s’arrache. « Si tu es suffisamment téméraire pour comprendre comment se défait ma robe, je consents à ce que tu nous transplane dans un lieu plus tranquille. »
Vos désirs sont des ordres, Miss Blackthorn.
Voila de quoi éveiller pleinement les envies de Princesse Quarta. Abandonnant la cigarette à peine entamé, il l’embrasse de nouveau comme pour lui signifier ce qui l’attend, quelques étages plus haut. Son bras l’attire contre lui, puis la soulève aisément.
Le transplanage se fait sans encombres malgré les quelques pintes déjà absorbées. Il a bien souvent béni le choix de cet appartement, deux étages au dessus de la Taverne la plus fréquentée d’Inverness. A peine sent-il ses pieds sur le sol qu’il repose la sorcière. C’est qu’il a besoin de ses mains pour faire glisser sans attendre cette interminable fermeture éclair qui court le long de sa colonne vertébrale…
Il rit, alors qu’elle s’offusque. Cette fille était divine autant lorsqu’elle jouait les allumeuses que lorsqu’elle feignait une bouderie mal placée. Et dans le fond… Elle sait bien qu’il n’a pas tort. Même s’il a remarqué qu’elle avait troqué l’aubépine contre le saule, il se doute bien que ce n’est pas suffisant pour prétendre à la maîtrise de ce pouvoir qui lui brûlait les doigts.
Se faufilant sagement entre ses jambes, il l’embrasse. Sa main libre, fraîche, se pose sur sa cuisse et remonte pour que ses ongles ne se dissimulent sur sa robe. Témoin de son désir pour la rouquine, son baiser n’a rien de chaste malgré le lieu ort peu approprié à ce genre d’échange labial. Auquel elle s’arrache. « Si tu es suffisamment téméraire pour comprendre comment se défait ma robe, je consents à ce que tu nous transplane dans un lieu plus tranquille. »
Vos désirs sont des ordres, Miss Blackthorn.
Voila de quoi éveiller pleinement les envies de Princesse Quarta. Abandonnant la cigarette à peine entamé, il l’embrasse de nouveau comme pour lui signifier ce qui l’attend, quelques étages plus haut. Son bras l’attire contre lui, puis la soulève aisément.
Le transplanage se fait sans encombres malgré les quelques pintes déjà absorbées. Il a bien souvent béni le choix de cet appartement, deux étages au dessus de la Taverne la plus fréquentée d’Inverness. A peine sent-il ses pieds sur le sol qu’il repose la sorcière. C’est qu’il a besoin de ses mains pour faire glisser sans attendre cette interminable fermeture éclair qui court le long de sa colonne vertébrale…
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
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Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Ven 4 Aoû 2023 - 0:57
La main de l’espagnol traîne dans son sillage d’infini frissons qui, s’ils sont encore timides, aiguisent petit à petit un appétit que les lèvres portée aux siennes ne peuvent satisfaire. Pas en ce sens, en tout cas. Intuitivement les cuisses se resserrent autour du grymm et les doigts s’accrochent fermement à son haut. Elle pourrait le lui arracher avec les dents si elle n’avait pas autant conscience de leur environnement et des regards alcoolisés qui pouvaient peser sur eux alors elle l’implore d’une voix fiévreuse, Quarta aux yeux bleus, lui et ses mains de l’emporter au plus loin. Elle ne réalise pas tout de suite que les étoiles ont laissé place aux murs nus du madrilène, et si la tête penche prestement pour dégager sa nuque et un dos encombré de tissus, force est d’admettre que la Blackthorn s’impatiente lorsque la fermeture éclair se coincent à mi-chemin de la délivrance. Qu'importe ! Elle avait mille envies à éteindre sur les hanches du Madrilène ; La fièvre flanquée au ventre et l’enfer suspendu au bout des cils.
Soudainement elle se retourne, ses doigts se raccrochent avec force au grymm et déjà ses grands yeux bleu cherchent à le soudoyer ; Elle avait envie de lui, là, maintenant. Elle était prête et ne souffrirait d’aucune contrariété puisqu’elle avait trop longtemps fait attendre -et attendu- cet éphèbe à l’entêtant parfum. Si elle soufflerait bien quelques mots pour déclencher un ébat hautement cathartique, promettre qu’elle était sûre et qu’après six mois elle n’en pouvait de toute manière plus, force est pourtant d’admettre que la fougue du Madrilène l’intimide soudainement elle qui ose a peine passer ses doigts sous son t-shirt pour réclamer son dûe. Elle qui rentre toujours un peu le ventre lorsque Miguel s’en approche. Elle qui accroche de soudain baisé à ses lèvres et ce, pour détourner son attention lorsqu’il vient à effleurer ses répugnantes cicatrices. C’est qu’elle a peur que sa nudité ne le mette en fuite, petite Cat. Que la déception ne le freine brutalement lorsqu’il réalisera, enfin, qu’elle tenait plus du chien errant que de la reine. Un poil intimidé donc, mais désastreusement téméraire, les mains guident doucement les épaules du grymm jusqu’à la table pour l’y basculer. Le canapé était loin, la chambre plus encore, et Keir était supposément au bar avec Barghest alors, pour une fois, la Blackthorn se moque pleinement du “où et quand”. Le genoux se pose sur la table, l’impulsion hisse la rousse sur les hanches du brun et, les doigts noués aux siens, Cataleya finit par plaquer les mains du grymm au bois.
“T’es coincé Pajares.”
Elle a le regard fauve, les lèvres portées à quelques centimètres de celles de cet odieux tentateur et, si elle se délecte un instant de la proximité, force est d’admettre que quelque chose finit par filer sous ses grands yeux bleu. Une hésitation, ou du moins un radoucissement certain. C’est qu’elle le contemple un peu, beaucoup, peut être même à la folie, et que si le coeur s’emballe le rougissement aussi. Alors, prisonnière d’émotion qui la dépasse un peu, la sorcière marque une pause. L’observe longuement, le trouvant beau à en crever ainsi surplombé.
“Et je n'ai pas envie de te laisser filer....”
Soudainement elle se retourne, ses doigts se raccrochent avec force au grymm et déjà ses grands yeux bleu cherchent à le soudoyer ; Elle avait envie de lui, là, maintenant. Elle était prête et ne souffrirait d’aucune contrariété puisqu’elle avait trop longtemps fait attendre -et attendu- cet éphèbe à l’entêtant parfum. Si elle soufflerait bien quelques mots pour déclencher un ébat hautement cathartique, promettre qu’elle était sûre et qu’après six mois elle n’en pouvait de toute manière plus, force est pourtant d’admettre que la fougue du Madrilène l’intimide soudainement elle qui ose a peine passer ses doigts sous son t-shirt pour réclamer son dûe. Elle qui rentre toujours un peu le ventre lorsque Miguel s’en approche. Elle qui accroche de soudain baisé à ses lèvres et ce, pour détourner son attention lorsqu’il vient à effleurer ses répugnantes cicatrices. C’est qu’elle a peur que sa nudité ne le mette en fuite, petite Cat. Que la déception ne le freine brutalement lorsqu’il réalisera, enfin, qu’elle tenait plus du chien errant que de la reine. Un poil intimidé donc, mais désastreusement téméraire, les mains guident doucement les épaules du grymm jusqu’à la table pour l’y basculer. Le canapé était loin, la chambre plus encore, et Keir était supposément au bar avec Barghest alors, pour une fois, la Blackthorn se moque pleinement du “où et quand”. Le genoux se pose sur la table, l’impulsion hisse la rousse sur les hanches du brun et, les doigts noués aux siens, Cataleya finit par plaquer les mains du grymm au bois.
“T’es coincé Pajares.”
Elle a le regard fauve, les lèvres portées à quelques centimètres de celles de cet odieux tentateur et, si elle se délecte un instant de la proximité, force est d’admettre que quelque chose finit par filer sous ses grands yeux bleu. Une hésitation, ou du moins un radoucissement certain. C’est qu’elle le contemple un peu, beaucoup, peut être même à la folie, et que si le coeur s’emballe le rougissement aussi. Alors, prisonnière d’émotion qui la dépasse un peu, la sorcière marque une pause. L’observe longuement, le trouvant beau à en crever ainsi surplombé.
“Et je n'ai pas envie de te laisser filer....”
- InvitéInvité
Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Lun 14 Aoû 2023 - 22:28
Damnées soient les fermetures éclairs qui, refusant de remplir leur devoir, s’interrompaient . Baiser volés dans la nuque de la rousse, juste sous l’oreille pour glisser un regard discret mais efficace au dos de la robe de son ultime conquête. L’idée de s’échiner sur la robe est vaine, il avance déjà sa main vers la poche arrière de son jeans pour se saisir de sa baguette. Tant pis pour la robe. Elle en avait sûrement pleins d’autres… et au pire il y avait toujours son tee-shirt, celui qu’il lui avait soigneusement réservé désormais.
Mais interrompant toute intervention musclée, la jolie rousse fait preuve d’une certaine détermination dans le but de le repousser jusqu’à la table à manger -sur laquelle personne n’a jamais mangé- et de l’y allonger. Et c’est qu’il se laisse faire le Pajares, profondément sous le charme de son regard céruléen que le désir rend plus désirable encore. L’intérieur de la joue en prend pour son grade alors qu’elle s’installe sur lui. Il irradie tant il a envie d’elle. La. Maintenant. Sur cette table. N’importe où. Cette fermeture à moitié ouverte dévoilait de la poitrine de la rousse juste de quoi envie d’en voir un peu plus.
“T’es coincé Pajares.” Il ne réplique pas qu’il est prisonnier plus que volontaire. Il ne répond pas qu’il pourrait se défaire de son emprise d’un geste. Non. Il se contente de la dévorer des yeux si intensément qu’il ne voit pas les secondes qui défilent. “Et je n'ai pas envie de te laisser filer....” Il ne répond pas qu’il ne s’en irait pas même si l’appartement prenait feu. Au lieu de ça, il soulève sa tête du chêne, et attire la Blackthorn à lui d’une main habilement glisse sous ses cheveux de feu. S’il est tendre, lent, le baiser n’en est pas moins témoins de l’envie d’elle qui l’étreint chaque seconde un peu plus.
De nouveau, les mains mordorées remontent la peau laiteuse de ses cuisses. Elles remontent doucement, glissant sans s’attarder au dessus de la dentelle jusqu’à ses côtes. Remontant un peu sa robe, il interrompt son baiser pour demander lèvres contre lèvres :
- Je peux ?
Mais interrompant toute intervention musclée, la jolie rousse fait preuve d’une certaine détermination dans le but de le repousser jusqu’à la table à manger -sur laquelle personne n’a jamais mangé- et de l’y allonger. Et c’est qu’il se laisse faire le Pajares, profondément sous le charme de son regard céruléen que le désir rend plus désirable encore. L’intérieur de la joue en prend pour son grade alors qu’elle s’installe sur lui. Il irradie tant il a envie d’elle. La. Maintenant. Sur cette table. N’importe où. Cette fermeture à moitié ouverte dévoilait de la poitrine de la rousse juste de quoi envie d’en voir un peu plus.
“T’es coincé Pajares.” Il ne réplique pas qu’il est prisonnier plus que volontaire. Il ne répond pas qu’il pourrait se défaire de son emprise d’un geste. Non. Il se contente de la dévorer des yeux si intensément qu’il ne voit pas les secondes qui défilent. “Et je n'ai pas envie de te laisser filer....” Il ne répond pas qu’il ne s’en irait pas même si l’appartement prenait feu. Au lieu de ça, il soulève sa tête du chêne, et attire la Blackthorn à lui d’une main habilement glisse sous ses cheveux de feu. S’il est tendre, lent, le baiser n’en est pas moins témoins de l’envie d’elle qui l’étreint chaque seconde un peu plus.
De nouveau, les mains mordorées remontent la peau laiteuse de ses cuisses. Elles remontent doucement, glissant sans s’attarder au dessus de la dentelle jusqu’à ses côtes. Remontant un peu sa robe, il interrompt son baiser pour demander lèvres contre lèvres :
- Je peux ?
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Mar 15 Aoû 2023 - 6:39
Trônant sur l’un des poursuiveurs les plus téméraires qu’il lui ait été un jour donné de voir, Cataleya frissonnait de tout son long. Elle se sentait minuscule ainsi tenue ; pleinement conquise par cette charmante vision qu’était Miguel faussement assujetti à ses envies. Quoi qu’il semblait bien plus maître de la situation qu’elle ne le fut jamais. Aussi, si la Blackthorn resserra doucement ses doigts autour des siens pour contenir les basses envies qui lui mordaient déjà le ventre, c’est sans mal aucun qu’elle lui céda les rênes lorsqu’une main fit opposition aux siennes pour sournoisement se glisser derrière sa nuque. D’ordinaire, sans doute aurait-elle mit tout son poids pour lutter, jouer les bras de fer avant de céder dans un rire puisque - toujours- Miguel gagnait, mais il y avait en cette nuit quelque chose de doux. Un émerveillement certain, induit par la tendresse de ses baisers. Alors elle s’y accroche, Cataleya, laisse les mains courir sur sa peau puisqu’il y avait bien longtemps que les cicatrices ne faisaient plus mal, mais l’instant ne dure pas et c’est une moue un peu capricieuse qui cueille cette brève distance instaurée.
(Je peux ?)
Une soudaine vulnérabilité nichée au fond de l’oeil puisque tout ceci était encore trop nouveau -et qu’elle savait l’acte préjudiciable s’il venait à s’ébruiter, surtout-, Cataleya vacille devant la demande soufflée sur ses lèvres. Maman la haïrait, mais elle haïrait plus encore cet homme puisqu’il portait ses mains sales -impures- sur le corps immaculé de son parfait joyaux. Es-tu sûr que le jeu en valait la chandelle Miguel …? Les hésitations s’accumulent un instant sur le coeur de Quarta mais le frisson est traître et le sourire irraisonnable puisque c’est la Blackthorn qui poursuit le mouvement initié par son Apollon en se défaisant elle-même de cette trop longue robe qui, tous deux, les encombrait.
“Tu as intérêt, surtout.” Murmure t’elle d’une voix brûlante avant de perdre ses lèvres tout contre la gorge de cet homme pour la marquer de baiser amoureux. Si elle hésite encore un peu, les doigts finissent tout de même par glisser sous le t-shirt afin de goûter à cette peau dorée et y prendre ses aises mais, soudain, la sorcière marque un court temps d’arrêt, là, au-dessus de ses abdos. Comme soudainement consciente de la fougue et de l' impulsivité qui pulsaient sous les muscles sur lesquels elle reposait. “Mais soit gentil ; sinon je te mord.”
Une soudaine vulnérabilité nichée au fond de l’oeil puisque tout ceci était encore trop nouveau -et qu’elle savait l’acte préjudiciable s’il venait à s’ébruiter, surtout-, Cataleya vacille devant la demande soufflée sur ses lèvres. Maman la haïrait, mais elle haïrait plus encore cet homme puisqu’il portait ses mains sales -impures- sur le corps immaculé de son parfait joyaux. Es-tu sûr que le jeu en valait la chandelle Miguel …? Les hésitations s’accumulent un instant sur le coeur de Quarta mais le frisson est traître et le sourire irraisonnable puisque c’est la Blackthorn qui poursuit le mouvement initié par son Apollon en se défaisant elle-même de cette trop longue robe qui, tous deux, les encombrait.
“Tu as intérêt, surtout.” Murmure t’elle d’une voix brûlante avant de perdre ses lèvres tout contre la gorge de cet homme pour la marquer de baiser amoureux. Si elle hésite encore un peu, les doigts finissent tout de même par glisser sous le t-shirt afin de goûter à cette peau dorée et y prendre ses aises mais, soudain, la sorcière marque un court temps d’arrêt, là, au-dessus de ses abdos. Comme soudainement consciente de la fougue et de l' impulsivité qui pulsaient sous les muscles sur lesquels elle reposait. “Mais soit gentil ; sinon je te mord.”
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Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Dim 20 Aoû 2023 - 22:17
- InvitéInvité
Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Lun 21 Aoû 2023 - 16:18
Même lui, il a ce drôle de sentiment d’être un privilégier quand il l’entend rire de la sorte. Aux éclats. Sans filtre. Sans arrière penser. Juste un rire aussi pur que son regard. Il l’a déjà entendu rire, mais rarement de cette manière. Le son est si agréable qu’il semble se nicher tout droit vers son coeur. Ca ne l’empêche pas de continuer son chemin sur la peau laiteuse, entre son cou et sa poitrine, y glissant autant de baiser que l’endroit ne pouvait en recueillir, accueillant les soupirs de sa belle avec autant de joie que d’excitation.
C’est que rapidement ça ne lui suffit plus. C’est qu’il en veut plus. C’est qu’il se damnerait à cet instant pour ne faire plus qu’un avec elle. Luttant tendrement pour retrouver une positions où leurs corps sont a égalités, il aurait presque envie de se retourner, de l’allonger sur la table et de convertir ces discrets soupirs en hurlements.
Mais les mains de la rousse se font douces sur son visage et dans ses cheveux, si bien qu’il le prend comme un besoin de ralentir. Un petit peu au moins. Il relève les yeux, glissant son regard dans le sien, caressant sagement la peau de ses cuisses nues comme pour effacer les maux qui avaient pu contrarier son corps. « Je suis bien avec toi, tu sais ». Elle empêche toute réponse d’un baiser auquel il répond bien volontiers. « Merci d'être là. » Cette fois c’est lui qui l’embrasser.
- Miss Blackthorn aurait elle peur de me dire qu’elle m’aime ?
Il marque une pause, le regard malicieux accroché aux prunelles couleur ciel.
- Tu peux y aller, je m'enfuierais pas. Elles finissent toute par me le dire de toute façon.
L’accent hispanique se fait traînant alors qu’il dit ses bêtises non sans déposer quelques baisers sur ses épaules. Mais avant de se faire envoyer paître, il rattrape son regard et terriblement sûr de lui, il ajoute.
- Moi, je t’aime, Cataleya.
C’est que rapidement ça ne lui suffit plus. C’est qu’il en veut plus. C’est qu’il se damnerait à cet instant pour ne faire plus qu’un avec elle. Luttant tendrement pour retrouver une positions où leurs corps sont a égalités, il aurait presque envie de se retourner, de l’allonger sur la table et de convertir ces discrets soupirs en hurlements.
Mais les mains de la rousse se font douces sur son visage et dans ses cheveux, si bien qu’il le prend comme un besoin de ralentir. Un petit peu au moins. Il relève les yeux, glissant son regard dans le sien, caressant sagement la peau de ses cuisses nues comme pour effacer les maux qui avaient pu contrarier son corps. « Je suis bien avec toi, tu sais ». Elle empêche toute réponse d’un baiser auquel il répond bien volontiers. « Merci d'être là. » Cette fois c’est lui qui l’embrasser.
- Miss Blackthorn aurait elle peur de me dire qu’elle m’aime ?
Il marque une pause, le regard malicieux accroché aux prunelles couleur ciel.
- Tu peux y aller, je m'enfuierais pas. Elles finissent toute par me le dire de toute façon.
L’accent hispanique se fait traînant alors qu’il dit ses bêtises non sans déposer quelques baisers sur ses épaules. Mais avant de se faire envoyer paître, il rattrape son regard et terriblement sûr de lui, il ajoute.
- Moi, je t’aime, Cataleya.
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Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Lun 21 Aoû 2023 - 18:59
Elle aime ses baisés Miss Blackthorn, c'est indéniable. Ceux qu'il porte passionnément à ses lèvres, ceux qu'il dépose tendrement sur sa poitrine ou sur une gorge qui, toute deux conquises, se tendent délicieusement pour l'inviter à plus encore. Elle aime ses regards Miss Blackthorn, c'est évident, parce qu'elle se sent reine lorsqu'elle expose des cicatrices sur lesquels jamais il ne s'arrête. Joyaux véritable quand elle se laisse aller au rire et qu'il s'en délecte. Mais en définitive, ce qu'elle préfère c'est ce genre de mot là.
Le sourire s'étire lorsqu'il pointe la peur parce qu'il serait aisé de lui répondre que ses chevilles étaient déjà trop gonflées pour mérité pareil compliment. Que c'était mielleux et mièvre, un peu ridicule de se souffler ça à l'aube d'un ébat, comme une vulgaire justification à leur désir. Comme s'ils avaient besoin de ça pour se sentir légitime ou faire de l'instant quelque chose de pur et beau. Le sourire se pince malicieusement lorsqu'il évoque ces autres parce qu'en définitive, peu on pu l'aimer aussi intensément qu'elle l'aimait à cet instant précis de sa vie. Qu'importe les promesses crasses qu'elles ont pu lui souffler à l'oreille au moment de la délivrance, comme une simple ponctuation à leurs gestes cathartiques. Et s'il est vrai qu'elle ne visualise que trop bien ces femmes pendus à son cou, ces fantômes plaqués sur ses draps, il serait mentir de croire que Cataleya Quarta Blackthorn n'avait pas une parfaite conscience de la place qu'elle occupait aujourd'hui. Indétrônable et souveraine. A croire que leurs échanges, même les plus discret, avait su insuffler à la rousse une confiance en lui, en elle, rarement éprouvée jusqu'à présent. Elle ne se sentait plus l'âme d'un coq effarouchés, gonflant les plumes et hurlant au crime lorsqu'une autre fée lorgnait sur le sourire de son grymm et s'en inspirait. Non, Cataleya gouttait à une forme de quiétude ainsi sécurisée, presque prête à partager si les baiser amoureusement déposé sur ses épaules venaient à migrer un peu plus vers la clavicule. Ou vers le dos.
Le frisson est traître, mais le regard se plisse de délice lorsque l'espagnol ose ces quatre mots. Ceux qu'elle n'osaient pas de peur de contrarier les astres et les étoiles. Et forcément le palpitant fond et se meurt, hurlant dans un dernier souffle contre les barreaux osseux de sa cage ô combien lui aussi, il était amoureux.
- Tu vois que tu peux être gentil, quand tu veux. Mutine, elle laisse glisser le soutient gorge et le condamne au vide dans une lenteur parfaitement étudiée. Souvenir des cours de danse classique dans lesquels -toujours- elle excellait. La lèvre se pince sous une canine équivoque et, comme enhardie sur des mots jamais explicitement posés, les mains de la Blackthorn se vont aventurière. Viennent retirer ce t-shirt pour rétablir un peu de parité et profiter de la proximité avec l'oreille pour y accrocher quelques notes sensuelles. Moi aussi je t'aime, Miguel.
Les bras se passent un instant autour du cou pour le garder tout près d'un cœur qui follement jubilait et, alors qu'elle s'évertuait pourtant à s'imprégner de chaque discrète note que lui proposait cette peau dorée, l'esprit accroche brusquement un autre et ne sait s'en détourner. Ils ne sont pas seul, elle le sait, et ses entrailles le lui hurle autant que le cœur supplie pour quelques secondes supplémentaire de douceur. D'un geste pleinement lascif le corps retombent sur la table et, faussement sage, le t-shirt se plaque sur une poitrine mise à nue. Elle s'en mord l'index puisque le regard qu'elle porte sur le poursuiveur dévore, court longuement sur cette infinie tentation qui la surplombe et, poussant le vice un peu plus loin, la cuisse finit par cruellement remonter contre le corps de Miguel pour lui insuffler toute les passion qu'il savait éveiller en elle. Elle pourrait le bouffer.
- Mais tes démonstration de virilité vont devoir attendre Amor, nous ne somme plus seul. Si elle prend le temps de longuement étirer son dos avant d'enfiler le t-shirt de Miguel, force est d'admettre qu'elle est désastreusement consciente du rythme de @Charlie Keir et des configurations de l'appartement. Désastreusement consciente du temps qui leur reste. Alors, après un dernier baisé glissé sur la mâchoire de son aimé, elle prend place en tailleur sur cette table de salon, dénouant le plus innocemment sa longue chevelure de feu comme si de rien n'était. Sauf si tu veux traumatiser à jamais ton colocataire.
Le sourire s'étire lorsqu'il pointe la peur parce qu'il serait aisé de lui répondre que ses chevilles étaient déjà trop gonflées pour mérité pareil compliment. Que c'était mielleux et mièvre, un peu ridicule de se souffler ça à l'aube d'un ébat, comme une vulgaire justification à leur désir. Comme s'ils avaient besoin de ça pour se sentir légitime ou faire de l'instant quelque chose de pur et beau. Le sourire se pince malicieusement lorsqu'il évoque ces autres parce qu'en définitive, peu on pu l'aimer aussi intensément qu'elle l'aimait à cet instant précis de sa vie. Qu'importe les promesses crasses qu'elles ont pu lui souffler à l'oreille au moment de la délivrance, comme une simple ponctuation à leurs gestes cathartiques. Et s'il est vrai qu'elle ne visualise que trop bien ces femmes pendus à son cou, ces fantômes plaqués sur ses draps, il serait mentir de croire que Cataleya Quarta Blackthorn n'avait pas une parfaite conscience de la place qu'elle occupait aujourd'hui. Indétrônable et souveraine. A croire que leurs échanges, même les plus discret, avait su insuffler à la rousse une confiance en lui, en elle, rarement éprouvée jusqu'à présent. Elle ne se sentait plus l'âme d'un coq effarouchés, gonflant les plumes et hurlant au crime lorsqu'une autre fée lorgnait sur le sourire de son grymm et s'en inspirait. Non, Cataleya gouttait à une forme de quiétude ainsi sécurisée, presque prête à partager si les baiser amoureusement déposé sur ses épaules venaient à migrer un peu plus vers la clavicule. Ou vers le dos.
Le frisson est traître, mais le regard se plisse de délice lorsque l'espagnol ose ces quatre mots. Ceux qu'elle n'osaient pas de peur de contrarier les astres et les étoiles. Et forcément le palpitant fond et se meurt, hurlant dans un dernier souffle contre les barreaux osseux de sa cage ô combien lui aussi, il était amoureux.
- Tu vois que tu peux être gentil, quand tu veux. Mutine, elle laisse glisser le soutient gorge et le condamne au vide dans une lenteur parfaitement étudiée. Souvenir des cours de danse classique dans lesquels -toujours- elle excellait. La lèvre se pince sous une canine équivoque et, comme enhardie sur des mots jamais explicitement posés, les mains de la Blackthorn se vont aventurière. Viennent retirer ce t-shirt pour rétablir un peu de parité et profiter de la proximité avec l'oreille pour y accrocher quelques notes sensuelles. Moi aussi je t'aime, Miguel.
Les bras se passent un instant autour du cou pour le garder tout près d'un cœur qui follement jubilait et, alors qu'elle s'évertuait pourtant à s'imprégner de chaque discrète note que lui proposait cette peau dorée, l'esprit accroche brusquement un autre et ne sait s'en détourner. Ils ne sont pas seul, elle le sait, et ses entrailles le lui hurle autant que le cœur supplie pour quelques secondes supplémentaire de douceur. D'un geste pleinement lascif le corps retombent sur la table et, faussement sage, le t-shirt se plaque sur une poitrine mise à nue. Elle s'en mord l'index puisque le regard qu'elle porte sur le poursuiveur dévore, court longuement sur cette infinie tentation qui la surplombe et, poussant le vice un peu plus loin, la cuisse finit par cruellement remonter contre le corps de Miguel pour lui insuffler toute les passion qu'il savait éveiller en elle. Elle pourrait le bouffer.
- Mais tes démonstration de virilité vont devoir attendre Amor, nous ne somme plus seul. Si elle prend le temps de longuement étirer son dos avant d'enfiler le t-shirt de Miguel, force est d'admettre qu'elle est désastreusement consciente du rythme de @Charlie Keir et des configurations de l'appartement. Désastreusement consciente du temps qui leur reste. Alors, après un dernier baisé glissé sur la mâchoire de son aimé, elle prend place en tailleur sur cette table de salon, dénouant le plus innocemment sa longue chevelure de feu comme si de rien n'était. Sauf si tu veux traumatiser à jamais ton colocataire.
- InvitéInvité
Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Mer 30 Aoû 2023 - 22:25
Nul n’avait besoin de justification. Il était sincère. Terriblement sincère, alors qu’il témoignait des sentiments à la jolie rousse à demi nue qu’il tenait contre son cœur. Ces mots, il ne les avait que très rarement prononcé. Une seule femme les avait entendu avant elle, avant qu’elle ne le quitte pour vivre de sa passion sur le nouveau continent. S’il a su multiplier les conquêtes, il n’a que très rarement su exprimer aussi clairement ce qu’il ressentait. Et pourtant, il se rendait compte à cet instant, à quel point c’était confortable de clamer son amour et d’entendre si que c’était réciproque.
Aussi délicieux que de la regarder s’effeuiller trop lentement pour son esprit si impatient. Le sous-vêtement délivre sa peau et d’un geste précautionneux, elle le laisse choir. L’espace d’un instant, il se surprend à regarder la dentelle tomber et se rendant compte de l’absurdité de son choix, finit par reporter ses prunelles sur la Blackthorn qui faisait outrageusement battre son cœur. Retrouvant leur position à l’horizontale, il se sent définitivement trop à l’étroit alors que leurs corps se caressent. Déjà ses lèvres recherchent les siennes. Déjà ses mains remontent flirter avec la finesse de son ultime vêtement. « Mais tes démonstration de virilité vont devoir attendre Amor, nous ne somme plus seul. »
- Qu-quoi ?
Trop occupé à s’imaginer au plaisir qu’ils allaient partagés, il n’a rien entendu, le Pajares. Il a des airs de poisson échoué alors que sa belle enfile son tee-shirt après s’être détaché de son étreinte. Il se redresse brusquement, visiblement contrarié. « Sauf si tu veux traumatiser à jamais ton colocataire. » Soudain il les entend, les pas lourds dans les escaliers. Comment avait il pu ne pas les entendre, c’était une question. Mais la vraie question, c’était comme un si petit corps peu faire autant de brouhaha…
- J’te dirais bien que j’en ai rien à foutre et que ça lui ferait pas de mal d’apprendre un peu les choses de la vie…
Il aimait bien Keir. Mais a ce moment précis, il l’aurait bien envoyé au diable ou n’importe ou ailleurs. Il se lève, cherchant sa baguette pour verrouiller la porte. Envisageant de kidnapper la rouquine dans sa chambre en mettant une chaussette à la poigné, message universel… Tout pour sauver cette bulle. Mais l’Ethelred ouvrait déjà la porte…
Aussi délicieux que de la regarder s’effeuiller trop lentement pour son esprit si impatient. Le sous-vêtement délivre sa peau et d’un geste précautionneux, elle le laisse choir. L’espace d’un instant, il se surprend à regarder la dentelle tomber et se rendant compte de l’absurdité de son choix, finit par reporter ses prunelles sur la Blackthorn qui faisait outrageusement battre son cœur. Retrouvant leur position à l’horizontale, il se sent définitivement trop à l’étroit alors que leurs corps se caressent. Déjà ses lèvres recherchent les siennes. Déjà ses mains remontent flirter avec la finesse de son ultime vêtement. « Mais tes démonstration de virilité vont devoir attendre Amor, nous ne somme plus seul. »
- Qu-quoi ?
Trop occupé à s’imaginer au plaisir qu’ils allaient partagés, il n’a rien entendu, le Pajares. Il a des airs de poisson échoué alors que sa belle enfile son tee-shirt après s’être détaché de son étreinte. Il se redresse brusquement, visiblement contrarié. « Sauf si tu veux traumatiser à jamais ton colocataire. » Soudain il les entend, les pas lourds dans les escaliers. Comment avait il pu ne pas les entendre, c’était une question. Mais la vraie question, c’était comme un si petit corps peu faire autant de brouhaha…
- J’te dirais bien que j’en ai rien à foutre et que ça lui ferait pas de mal d’apprendre un peu les choses de la vie…
Il aimait bien Keir. Mais a ce moment précis, il l’aurait bien envoyé au diable ou n’importe ou ailleurs. Il se lève, cherchant sa baguette pour verrouiller la porte. Envisageant de kidnapper la rouquine dans sa chambre en mettant une chaussette à la poigné, message universel… Tout pour sauver cette bulle. Mais l’Ethelred ouvrait déjà la porte…
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Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Dim 3 Sep 2023 - 14:51
Il tapait exagérément fort du talon sur le bois, Keir, parce qu’il ne savait jamais ce qui pouvait l’attendre là-haut, une fois le battant ouvert. Trop de fois sa discrétion lui avait joué des tours et forcé de poser les yeux sur des imbrications qu’il ne souhaitait pas voir. À peine avait-il atteint le premier étage que les fragrances du parfum de Cataleya l’avaient pris d’assaut. “Tu te fais des idées Keir, et puis elle est sûrement venue hier” se dit-il mais par précaution, il se fit le moins discret possible.
Un bref trajet plus tard, il en était venu à se dire qu’il possédait une trop grande imagination et qu’à force de traîner avec la Blackthorn, il la sentait partout où il allait. Elle le collait beaucoup en ce moment - ou il la collait ? Nul doute que son odeur se sera retrouvée partout sur ses vêtements. Keir secoua la tête, plein de moquerie envers lui-même et ouvrit la porte en étant persuadé qu’il avait fait fausse route depuis le début et qu’au pire, il passait juste pour abruti qui tape du pied dans les escaliers.
Ses épaules s’abaissèrent et son regard passa de Miguel à Cataleya plusieurs fois, avant de s’arrêter sur le pantalon du Grymm. Une légère moue déforma son visage juvénile et il hésita longuement entre repartir ou aller se terrer aussi sec dans sa chambre. L’idée d’être là pendant leurs ébats, même protégé par un mur pas très fin, lui donnait des boutons.
« Hum… » Car que dire, dans une telle situation ? Désolé de vous avoir dérangé ? Je vous laisse tranquille ? Vous ne pouviez pas faire ça ailleurs que dans le salon, espace commun par définition ? « Bon bah… ça nous pendait au nez hein. » Comme tout le monde, il connaissait les facilités du Grymm avec la gente féminine et se sentait presque désolé que Cataleya en fasse partie. Inconscient des sentiments qu’ils partageaient, il ne voyait à ce duo qu’une voie sans issue et fatalement source de souffrance pour la Blackthorn. Il pensait au moins qu’elle n’en était pas déjà à coucher avec… Son regard se fixa bien vite sur le mur, les meubles, le sol… tout cela à la fois et à la suite, refusant de se porter sur les corps à moitié dénudés. La situation le mettait plus que mal à l’aise, comme à chaque fois que le sujet du sexe était posé sur la table.
« Je vais aller dans ma chambre. Est-ce que… juste… vous pouvez ne pas le faire ici ? J’utilise aussi ces espaces et j’imagine qu’il y a plein d’autres endroits où… enfin bon… le faire quoi. » Il se racla la gorge en se grattant la nuque.
@Cataleya Blackthorn @Miguel Pajares
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Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Dim 3 Sep 2023 - 15:53
Elle rit Cataleya, mais se mord un peu la lèvre lorsque Miguel se redresse pour se saisir de sa baguette, entrevoyant sans mal quels fou desseins s'imprimaient déjà sur son esprit. « Tu manque de temps Pajares. » aimerait-elle lui souffler à l'oreille, quitte à accrocher un peu son immonde jogging pour le ralentir d'avantage et se complaire sous ses râlements intempestifs lorsqu'elle viendrait à embrasser sa nuque pour le détourner de sa tâche. Il n'arriverait de toute manière pas à vérouiller cette porte ; Keir n'était à quelques mètres. La fougue qui teinte chacun de ses mouvements, à cet instant précis pourtant, éveille chez la rousse un fier enthousiasme qui se gonfle à la seule perspective que l'espagnol puisse abattre cet exploit, brutalement la jeter sur son épaule, puis dans ses leurs draps pour décemment conclure ce qu'ils avaient commencés. Ils utiliseraient son soutient-gorge comme chaussette s'il n'en trouvait pas une dans la seconde songe t'elle, avant d'entrevoir la poignée se tourner et perdre la singulière étincelle qui pétillait dans ses grands yeux bleus. Trop lent, Pajares. Pourtant elle y avait cru elle aussi, fondamentalement convaincue des accents spectaculaires qui se tapissaient sous les réflexes du madrilène.
D'une main faussement tranquille, la rousse discipline ses ondulations pour tromper la gène qui éclot en cascade elle et Charlie, pourtant le corps finit par souplement glisser au sol afin de cueillir sa robe et son soutient-gorge. Il est vrai que prendre d'assaut la table n'était pas l'idée la plus raisonnable qu'elle avait eu, mais pour sa défense... Rien du tout. Croire qu'il était avec Barghest n'était pas une excuse valable. La moue se forme et d'un pas silencieux l'animagus se glisse jusqu'au dos de Miguel afin d'y déposer un bref baiser. Vœux de tempérance soufflé sur leurs hormones déjà bien échauffées. Le visage penche pourtant bien vite sur le côté pour affronter Charlie dans un doux sourire, les bras passé dans le dos de Miguel afin de l'inciter au calme.
« C'est de ma faute Charlie, je te demande de m'excuser. On fera plus attention, promis. » Avance t'elle enfin, desserrant doucement son étreinte autour du grymm pour s'approcher, robe et soutif sagement tenu dans son dos. « Je te pensais au bar et ne t'ai sentit que trop tard, j'aurai du être plus vigilante. Je sais pourtant que la fatigue des examens rend mon odorat moins performant... Je dois arrêter de me reposer exclusivement dessus. » La mine est fondamentalement désolée mais le sourire se veut rassurant pour détourner le regard de Keir du jogging de son aimé. « Qu'est-ce que tu étais venu chercher ? »
D'une main faussement tranquille, la rousse discipline ses ondulations pour tromper la gène qui éclot en cascade elle et Charlie, pourtant le corps finit par souplement glisser au sol afin de cueillir sa robe et son soutient-gorge. Il est vrai que prendre d'assaut la table n'était pas l'idée la plus raisonnable qu'elle avait eu, mais pour sa défense... Rien du tout. Croire qu'il était avec Barghest n'était pas une excuse valable. La moue se forme et d'un pas silencieux l'animagus se glisse jusqu'au dos de Miguel afin d'y déposer un bref baiser. Vœux de tempérance soufflé sur leurs hormones déjà bien échauffées. Le visage penche pourtant bien vite sur le côté pour affronter Charlie dans un doux sourire, les bras passé dans le dos de Miguel afin de l'inciter au calme.
« C'est de ma faute Charlie, je te demande de m'excuser. On fera plus attention, promis. » Avance t'elle enfin, desserrant doucement son étreinte autour du grymm pour s'approcher, robe et soutif sagement tenu dans son dos. « Je te pensais au bar et ne t'ai sentit que trop tard, j'aurai du être plus vigilante. Je sais pourtant que la fatigue des examens rend mon odorat moins performant... Je dois arrêter de me reposer exclusivement dessus. » La mine est fondamentalement désolée mais le sourire se veut rassurant pour détourner le regard de Keir du jogging de son aimé. « Qu'est-ce que tu étais venu chercher ? »
- InvitéInvité
Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Mer 6 Sep 2023 - 20:55
Comme il regrettait les pâtes au beurre. Il aurait dû s’en contenter, des pates au beurre. (Re)prendre un coloc c’était une bonne idée sur le papier pour limiter ses frais... surtout depuis qu’il imaginait abandonner ses études et son stage pour devenir quasi-bénévole dans une équipe de Quidditch qui n’aurait peut-être aucun avenir. Il aurait dû deviner pourtant, que c’en était finit de sauter une fille dans le canapé, à n’importe quelle heure de la journée.
Sauf que ce n’est pas n’importe quelle fille. S’il aurait pu se marrer de la situation avec n’importe laquelle, il se trouve qu’il a du mal à contenir la frustration qu’engendre la présence du lutin dans son… leur appartement. A cet instant. C’était d’autant plus difficile de décolérer que l’excitation est encore présente, pulsant sous sa peau, grondant dans son ventre.
Il se tient droit. Trop droit. Serrant les dents, passif face à l’échange parce qu’il sait ce s’il ouvre la bouche il pourrait dire des mots qu’il regretterait. Au-delà du fait que Charlie, bien qu’un peu chelou, était un bon coloc, c’était aussi l’amie de la rouquine et qu’elle déployait tout les efforts possibles et imaginables pour l’apaiser. En plus de ça… il avait pas tout à fait tort.
« Je te pensais au bar et ne t'ai senti que trop tard, j'aurai dû être plus vigilante. Je sais pourtant que la fatigue des examens rend mon odorat moins performant... Je dois arrêter de me reposer exclusivement dessus. » Aussi étrange que cela puisse paraitre, le madrilène ne s’étonne même pas des mots de Cataleya. Il ne relèvera que bien, bien, bien plus tard. Lorsqu’il sera un peu moins à l’étroit dans son pantalon.
- Déso, on va… aller ailleurs.
Et vite, hein ?
Sauf que ce n’est pas n’importe quelle fille. S’il aurait pu se marrer de la situation avec n’importe laquelle, il se trouve qu’il a du mal à contenir la frustration qu’engendre la présence du lutin dans son… leur appartement. A cet instant. C’était d’autant plus difficile de décolérer que l’excitation est encore présente, pulsant sous sa peau, grondant dans son ventre.
Il se tient droit. Trop droit. Serrant les dents, passif face à l’échange parce qu’il sait ce s’il ouvre la bouche il pourrait dire des mots qu’il regretterait. Au-delà du fait que Charlie, bien qu’un peu chelou, était un bon coloc, c’était aussi l’amie de la rouquine et qu’elle déployait tout les efforts possibles et imaginables pour l’apaiser. En plus de ça… il avait pas tout à fait tort.
« Je te pensais au bar et ne t'ai senti que trop tard, j'aurai dû être plus vigilante. Je sais pourtant que la fatigue des examens rend mon odorat moins performant... Je dois arrêter de me reposer exclusivement dessus. » Aussi étrange que cela puisse paraitre, le madrilène ne s’étonne même pas des mots de Cataleya. Il ne relèvera que bien, bien, bien plus tard. Lorsqu’il sera un peu moins à l’étroit dans son pantalon.
- Déso, on va… aller ailleurs.
Et vite, hein ?
- Charlie KeirOldie ㄨ experimented wizard
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Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Sam 9 Sep 2023 - 15:15
Keir ne pouvait pas croire à l’accusation que se portait Cataleya. Si faute il devait y avoir, elle se partageait forcément entre les deux protagonistes car il était persuadé qu’aucun des deux n’avait cherché à arrêter l’autre. Aucun des deux n’avait pensé au fait que son emploi du temps n’était pas millimétré à la seconde prêt et qu’il pouvait revenir à tout moment de la journée - elle d’autant plus car elle connaissait ses difficultés de concentration à l’arrivée de la pleine lune. S’il ne lui tenait pas rigueur de céder à ses caprices charnels, il demanda simplement à en être épargné.
« Je l’étais mais Barghest a dû s’absenter et je ne me vois pas le suivre pour le reste de la journée comme un toutou, même si ça lui ferait très plaisir de m’avoir à l’œil, tu t’en doutes. » Il regarda Miguel, ne sachant pas à quel point Cataleya l’avait impliqué ou non dans sa vie. Dans LEUR vie. Que savait-il au juste de leur groupe d’amis ? Des Capes Noires ? Vu son air, pas grand-chose, se rassura le brun. « Donc je venais juste me reposer un peu, rien de plus. » Voilà ce qu’il était venu chercher : un peu de repos. Mais avec ces deux loustics à un mètre de lui, difficile d’assurer qu’il en trouvera. Il a toujours la possibilité d’aller au Manoir, certain qu’elle accepterait qu’il aille mais cet endroit avait une réputation spéciale à ses yeux, et rien de très glorieux.
« C’est gentil à vous, merci. Désolé du dérangement, vraiment. La prochaine fois, je t’envoie un sms avant de rentrer Cat. On sait jamais. » Maladroit dans ses gestes, il les contourna en faisant en sorte de garder ses yeux au niveau de leur visage. La gêne déjà existante se suffisait à elle-même, nul besoin d’en ajouter plus.
« Passez une bonne… hum… Bon… Enfin… À plus quoi ! » Que pouvait-on bien dire dans ces moments-là de toute façon ?
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Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Dim 10 Sep 2023 - 21:42
Le regard se baisse sans mal, étonnamment concernée par la gène occasionnée et ce, en dépit d’un égoïsme connu et plus d’une fois reconnue par ses pairs. Si aucune honte ne passe sur ses graciles traits, elle arbore tout de même une moue d’enfant prit sur le fait et secoue rapidement le visage lorsque Charlie vient à s’excuser pour le dérangement : C'était à eux de le faire. Si elle pouvait prendre autant à coeur les réprimandes d’Andrew, sans doute que le monde se porterait un peu mieux. L’expression se fait soucieuse pour une seconde mais dans une brève inspiration la Blackthorn se ressaisit ; elle avait trop d’estime pour Keir pour s’abaisser à la pitié. Le pas s’éloigne donc doucement de Miguel pour se saisir du sac à main qui avait été odieusement jeté plus loin et, si la lufkin en sort deux énormes atlas, les doigts finissent par arracher au tissus une petite fiole opaque qu’elle tend au gris.
"Philtre de paix, trois gouttes grand maximum. Ca t’aidera pour le repos."
Si le sourire est aussi doux que le regard, la rousse a tôt fait de nicher contre Miguel, ramenant ses ouvrages contre sa poitrine pour feindre un retour aux révisions malgré la fin à peine signée de l’année scolaire. Cataleya faisait parti de ces fous épistémophile ; ceux qui n’arrêtaient jamais. Sans doute trop conscient du peu de temps que leur offrait la vie pour courir après leur curiosité. Et puis qui sait, noyer l’esprit dans ses cartes et schéma épongerait peut être la fièvre qui battait entre ses cuisses ? Difficile, pourtant.
Faussement sage Cataleya salue le gris, s’excuse une dernière fois et guette l’ombre de Charlie disparaître dans les couloirs durant de longues secondes. A croire que sa présence l’avait calmé, elle qui était si entreprenante quelques minutes plus tôt. La moue se forme un peu, le flair s’aiguise une dernière fois, mais la tête finit par se révulser en direction de Miguel dans un fin sourire une fois assurée de son départ. Faute de pouvoir le saisir par le col puisque c’est elle qui revêtait son haut, l’index crochète le jogging du madrilène pour l’inviter à faire quelques pas vers elle. Vers la chambre. Vers un impérieux besoin qui, quoi qu’encore un peu troublé par la présence de Charlie au-dessus d’eux, palpitait bien trop fort pour être décemment muselé. Ils seront discrets se jure t’elle, lancerons spotify ou un film pour tromper le monde puisqu’elle n’avait pas la décence d’oublier ce fou projet qu’était la conquête de ce madrilène.
“Miguel…” L’appel est à peine osé -supplique aux accents d’hiver-, tendre réminiscence de cette soirée de décembre où elle avait trouvé refuge dans ses bras lorsqu’elle avait besoin d’un chevalier. Le souvenir est beau, les sensations toujours aussi intenses alors, le goût du popcorn sur la langue, le fantôme de ses doigts posés sur ses lèvres, un frisson parcourt la Blackthorn qui tire un peu plus sur ce vieux jogging pour le faire claquer contre la peau de l’espagnol. Elle voudrait traduire les envies que les gestes plus tôt esquissés provoquait encore en elle mais hésite, incertaine de la réception de son message. Miguel était si tendu que la rousse craignait d’avoir poussé sa patience à bout, atteint le niveau de rupture où il laisserait tomber - tout bonnement- en dépit de l’amour qu’ils partageaient. Après tout, n’avait-il pas déjà trop attendu ? Le geste perd alors de sa superbe, change de direction pour se rapprocher des abdos alors que les lèvres se posent déjà sur le cœur, autant pour tenter d'apaiser les frustrations de cet homme que se rassurer un peu.
"J'espère que tu es efficace dans la réalisation de sortilèges insonorisants, sans quoi je serais contrainte de mordre dans tes coussins. Et je ne garantis pas de l’efficacité de cette technique." Murmure t’elle tout près de ses lèvres, cherchant de ses grands yeux bleus une forme d’approbation sur ce visage hâlé dont elle détailla finalement chacun des traits. "Sauf si tu préfères que je les place entre nous, les coussins...? Ou que je rentre ? Ou que… C’est pas grave tu sais, si tu ne veux plus."
"Philtre de paix, trois gouttes grand maximum. Ca t’aidera pour le repos."
Si le sourire est aussi doux que le regard, la rousse a tôt fait de nicher contre Miguel, ramenant ses ouvrages contre sa poitrine pour feindre un retour aux révisions malgré la fin à peine signée de l’année scolaire. Cataleya faisait parti de ces fous épistémophile ; ceux qui n’arrêtaient jamais. Sans doute trop conscient du peu de temps que leur offrait la vie pour courir après leur curiosité. Et puis qui sait, noyer l’esprit dans ses cartes et schéma épongerait peut être la fièvre qui battait entre ses cuisses ? Difficile, pourtant.
Faussement sage Cataleya salue le gris, s’excuse une dernière fois et guette l’ombre de Charlie disparaître dans les couloirs durant de longues secondes. A croire que sa présence l’avait calmé, elle qui était si entreprenante quelques minutes plus tôt. La moue se forme un peu, le flair s’aiguise une dernière fois, mais la tête finit par se révulser en direction de Miguel dans un fin sourire une fois assurée de son départ. Faute de pouvoir le saisir par le col puisque c’est elle qui revêtait son haut, l’index crochète le jogging du madrilène pour l’inviter à faire quelques pas vers elle. Vers la chambre. Vers un impérieux besoin qui, quoi qu’encore un peu troublé par la présence de Charlie au-dessus d’eux, palpitait bien trop fort pour être décemment muselé. Ils seront discrets se jure t’elle, lancerons spotify ou un film pour tromper le monde puisqu’elle n’avait pas la décence d’oublier ce fou projet qu’était la conquête de ce madrilène.
“Miguel…” L’appel est à peine osé -supplique aux accents d’hiver-, tendre réminiscence de cette soirée de décembre où elle avait trouvé refuge dans ses bras lorsqu’elle avait besoin d’un chevalier. Le souvenir est beau, les sensations toujours aussi intenses alors, le goût du popcorn sur la langue, le fantôme de ses doigts posés sur ses lèvres, un frisson parcourt la Blackthorn qui tire un peu plus sur ce vieux jogging pour le faire claquer contre la peau de l’espagnol. Elle voudrait traduire les envies que les gestes plus tôt esquissés provoquait encore en elle mais hésite, incertaine de la réception de son message. Miguel était si tendu que la rousse craignait d’avoir poussé sa patience à bout, atteint le niveau de rupture où il laisserait tomber - tout bonnement- en dépit de l’amour qu’ils partageaient. Après tout, n’avait-il pas déjà trop attendu ? Le geste perd alors de sa superbe, change de direction pour se rapprocher des abdos alors que les lèvres se posent déjà sur le cœur, autant pour tenter d'apaiser les frustrations de cet homme que se rassurer un peu.
"J'espère que tu es efficace dans la réalisation de sortilèges insonorisants, sans quoi je serais contrainte de mordre dans tes coussins. Et je ne garantis pas de l’efficacité de cette technique." Murmure t’elle tout près de ses lèvres, cherchant de ses grands yeux bleus une forme d’approbation sur ce visage hâlé dont elle détailla finalement chacun des traits. "Sauf si tu préfères que je les place entre nous, les coussins...? Ou que je rentre ? Ou que… C’est pas grave tu sais, si tu ne veux plus."
- InvitéInvité
Re: Finally Free (Miguel)(terminé)
Mer 13 Sep 2023 - 10:12
C’est fou comme le madrilène a du mal a comprendre qu’on ne puisse pas réagir comme… lui. S’il avait été celui qui ouvrait la porte et tombait presque nez à nez avec un coloc sur le point de conclure ? Il aurait éclaté de rire, souhaité bien du plaisir au deux (ou plus) protagonistes et serait reparti boire une pinte. Enfin ça c'était la version où il était de bonne humeur. S’il était pas, il aurait sûrement fait un sketch en hurlant à la délicatesse de ses pupilles et à l’indignité de se sauter dessus sur la table où il mangeait son petit-dej. Et le premier qui oserait lui répliquer que de toute manière il prenait jamais de petit déj aurait le privilège de passer par la fenêtre.
Sauf que voilà. Cette réaction en entre deux, ces objections du bout des lèvres, ces excuses à moitié formulées. Ça le rendait littéralement chèvre. Ou alors c’était le fait d’être interrompu alors que ça faisait des MOIS qu’il attendait ce moment. L’un ou l’autre. Ou un mélange des deux. Dans ses poches, ses poings se serrent et se desserrent comme pour évacuer la tension qui l’éléctrise. Jusqu’à ce que Charlie ne rejoigne sa chambre.
- Bordel, j’ai cru qu’il allait se mettre à pleurer.
Il soupire, le madrilène. Ça aurait vraiment été l’enfer sur terre. Même s’il aurait pu résister (non il ne pouvait décemment pas), il se laisse attirer par la jolie rouquine qui tient l’elastique de son pantalon. Le contact des lèvres de la Blackthorn sur son torse apaise son esprit mais enflamme de nouveau son corps. "J'espère que tu es efficace dans la réalisation de sortilèges insonorisants, sans quoi je serais contrainte de mordre dans tes coussins. Et je ne garantis pas de l’efficacité de cette technique." Il a envie de rire mais vraiment, les zigomatiques semblent figés. Ses bras se forment autour de la taille de Cataleya, glissant sous son tee-shirt.. "Sauf si tu préfères que je les place entre nous, les coussins...? Ou que je rentre ? Ou que… C’est pas grave tu sais, si tu ne veux plus."
- Tu plaisantes, j’espère ?
Il était on ne peut plus sérieux. Mais un sourire en coin s’était offert une place sur son visage après qu’il eut jeté le corps de la sa rouquine sur son épaule pour l'emmener dans sa chambre dont ils ne sortiraient plus avant le lendemain matin. Au moins.
Sauf que voilà. Cette réaction en entre deux, ces objections du bout des lèvres, ces excuses à moitié formulées. Ça le rendait littéralement chèvre. Ou alors c’était le fait d’être interrompu alors que ça faisait des MOIS qu’il attendait ce moment. L’un ou l’autre. Ou un mélange des deux. Dans ses poches, ses poings se serrent et se desserrent comme pour évacuer la tension qui l’éléctrise. Jusqu’à ce que Charlie ne rejoigne sa chambre.
- Bordel, j’ai cru qu’il allait se mettre à pleurer.
Il soupire, le madrilène. Ça aurait vraiment été l’enfer sur terre. Même s’il aurait pu résister (non il ne pouvait décemment pas), il se laisse attirer par la jolie rouquine qui tient l’elastique de son pantalon. Le contact des lèvres de la Blackthorn sur son torse apaise son esprit mais enflamme de nouveau son corps. "J'espère que tu es efficace dans la réalisation de sortilèges insonorisants, sans quoi je serais contrainte de mordre dans tes coussins. Et je ne garantis pas de l’efficacité de cette technique." Il a envie de rire mais vraiment, les zigomatiques semblent figés. Ses bras se forment autour de la taille de Cataleya, glissant sous son tee-shirt.. "Sauf si tu préfères que je les place entre nous, les coussins...? Ou que je rentre ? Ou que… C’est pas grave tu sais, si tu ne veux plus."
- Tu plaisantes, j’espère ?
Il était on ne peut plus sérieux. Mais un sourire en coin s’était offert une place sur son visage après qu’il eut jeté le corps de la sa rouquine sur son épaule pour l'emmener dans sa chambre dont ils ne sortiraient plus avant le lendemain matin. Au moins.