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- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Dim 4 Juin 2023 - 14:34
Le port noble et l'oeil froid, Cataleya balaye inlassablement les documents qui lui font face. Elle a cartographiée le Manoir Villanueva sur les bases de plans de construction déniché par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , mais avait du y apporter plus d'une modification en comprenant, à peine eut t'-elle posé les pieds là-bas, que le terrain était truffé de piège. Si elle ne s'était pas laissé démonter, un ultime maléfice de chauve-furie venimeuse avait fini par la contraindre à rebrousser chemin elle qui était d'ordinaire si teigneuse. Il faut dire qu'elle était rentré chez les capes noires la queue entre les pattes, le visage gonflé par le venin, pas mal ecchymose sur le corps et n'avait pas même réussi à échapper au regard de son mentor après ça. Un échec cuisant, en bref. Elle occultait pourtant le fait que c'était cette premières expéditions qui lui avait permis de dégager des ruines des chemins plus sûr, lui avait permis d'analyser les schéma de ces pièges ésotériques, lui avait laissé le temps de s'armer d'anti-venin adéquat et, surtout, lui avait permise de nouer une histoire en béton pour faire de cette quête biologique une épopée fabuleuse destinées à servir les intérêts de leur groupuscule. Sir Alfred Blackwood avait pourtant tout de suite sentit la douille, Cataleya l'avait compris au premier regard, mais pour une raison qui lui échappait et qui la mettait de fait effroyablement mal à l'aise, il l'avait encouragé à poursuivre ses investigations lorsqu'elle s'était avancé pour demander de l'aide. Évidemment, elle n'aurait pas la toute puissante [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] avec elle, malgré le fait qu'elle ait clairement insisté et murmuré par trois fois « Pas Andrew Hill ». Elle avait même tenté de monnayer la confection de nouvelles potion pour changer l'issue de ce qui approchait mais le conseil était inflexible. Leur jugement sans appel. Évidemment qu'elle aurait Hill sur le dos. La tête de la Blackthorn s'était tout de même révulsé en un soupire dramatique pour traduire son désaccord mais eut tôt fait de se raviser. Étonnamment consciente que toute aide serait précieuse. Même la sienne.
Andrew n'avait rien à voir avec son précédent mentor, ou avec les figures d'autorité qui pesait habituellement sur sa vie. Si elle le respectait de par son statut de professeur, elle ne pouvait se défaire de l'image singulièrement frileuse qu'elle avait de lui. Il lui semblait réfractaire à toutes idées et il n'était pas rare que son cercle organise des missions dont il n'apprenait l'existence qu'en court de route pour éviter qu'il ne s'interpose. Difficile d'imaginer qu'il fut formé par Vega, duelliste hors pair aujourd'hui au sommet des Lumières, ou de lui prêter les hauts fait qui se murmurait parfois dans les couloirs.
D'un geste sec, la Blackthorn repli ses documents, peinant à positionner la famille Villanueva parmi les joutes politiques que dépeint partiellement les ouvrages dénichés. Elle n'a que quelques bribes d'Histoire altéré, des ont-dit plein la tête, des secrets supposés qui ne mène à rien de concret, mais a perdu tout enthousiasme lorsqu'elle a été contrainte d'associer « Villanueva » à une flopée de domaine plus que douteux. Elle qui avait espéré un passé doux et choyé se retrouvait fille de proxénète. Bravo. Mais vu du caractère pourri qui nécrosait ses tripes, le Karma était quelques part légitime ; Elle était issue d'une famille mafieuse, avait été élève par des tueurs, et la figure paternelle qu'elle avait choisit avait franchement l'air d'être un psychopathe par moment. Meh. Si Cataleya se force à hausser les épaules pour se prouver que tout ceci ne l'affecte pas, force est d'admettre qu'elle se bad, finalement, effroyablement au dessus de sa table.
- « Allez Humpty Dandy ! Bouge ta gr-. Oh. » Oui, oh. Si elle avait ouvertement hurlé au travers du manoir Blackwood pour invoquer son mentor, force est d'admettre qu'elle à soudainement blêmit en le découvrant non loin d'elle. Elle ne l'avait pas sentit approcher, ça en était fondamentalement perturbant. « Prêt pour l'Espagne ? »
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Andrew n'avait rien à voir avec son précédent mentor, ou avec les figures d'autorité qui pesait habituellement sur sa vie. Si elle le respectait de par son statut de professeur, elle ne pouvait se défaire de l'image singulièrement frileuse qu'elle avait de lui. Il lui semblait réfractaire à toutes idées et il n'était pas rare que son cercle organise des missions dont il n'apprenait l'existence qu'en court de route pour éviter qu'il ne s'interpose. Difficile d'imaginer qu'il fut formé par Vega, duelliste hors pair aujourd'hui au sommet des Lumières, ou de lui prêter les hauts fait qui se murmurait parfois dans les couloirs.
D'un geste sec, la Blackthorn repli ses documents, peinant à positionner la famille Villanueva parmi les joutes politiques que dépeint partiellement les ouvrages dénichés. Elle n'a que quelques bribes d'Histoire altéré, des ont-dit plein la tête, des secrets supposés qui ne mène à rien de concret, mais a perdu tout enthousiasme lorsqu'elle a été contrainte d'associer « Villanueva » à une flopée de domaine plus que douteux. Elle qui avait espéré un passé doux et choyé se retrouvait fille de proxénète. Bravo. Mais vu du caractère pourri qui nécrosait ses tripes, le Karma était quelques part légitime ; Elle était issue d'une famille mafieuse, avait été élève par des tueurs, et la figure paternelle qu'elle avait choisit avait franchement l'air d'être un psychopathe par moment. Meh. Si Cataleya se force à hausser les épaules pour se prouver que tout ceci ne l'affecte pas, force est d'admettre qu'elle se bad, finalement, effroyablement au dessus de sa table.
- « Allez Humpty Dandy ! Bouge ta gr-. Oh. » Oui, oh. Si elle avait ouvertement hurlé au travers du manoir Blackwood pour invoquer son mentor, force est d'admettre qu'elle à soudainement blêmit en le découvrant non loin d'elle. Elle ne l'avait pas sentit approcher, ça en était fondamentalement perturbant. « Prêt pour l'Espagne ? »
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- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
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» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Mer 7 Juin 2023 - 21:58
Lundi 5 juin 2023 en fin de journée - Lendemain de pleine-lune
Chaque mois, Andrew bénissait autant qu’il haïssait Murphy pour sa potion tue-loup qui était trop efficace. Longtemps, il n’avait du compter que sur des protections extérieur pour maintenir la Bête en cage. Être le cobaye de la Fraser avait été une révélation. Presque faîte sur mesure, le breuvage était si efficace qu’il pourrait presque passer chaque pleine lune dans son lit tant elle affaiblissait le loup qui s’éveillait mensuellement. Evidemment, il n’en était rien. La prudence était mère de sûreté, il n’en démordrait pas.
Le loup, enfermé dans les cages d’Hungcalf n’était plus un danger que pour lui même. Et la potion était si diablement efficace que lui même en était sévèrement affaiblit pendant plusieurs jours, presque une semaine, après la pleine lune. Un arrangement avec le doyen lui avait permit de faire en sorte qu’aucun de ses cours ne soient fixé un lendemain de pleine lune. Il avait dormi toute la journée.
L’oeil vitreux, l’air plus contrarié et contrariant que jamais, il s’était rendu au manoir Blackwood alors que le soleil entamait sa longue descente vers les ténèbres. Si l’Université était compréhensive de son état, ce n’était pas le cas de Sir Alfred. Peut-être avait il oublié. Peut être s’en fichait il comme de sa première perruque… Quoi qu’il en soit, le fantôme avait ordonné et Andrew disposait, comme tout ceux qui désiraient évoluer dans la hiérarchie lumineuse de l’ordre qu’il présidait et présiderait toujours.
- Rappelle moi ce qu’il y a de si intéressant pour qu’on doive s’y atteler sur le champs ?
La question n’est qu’un amas de grognement. Que la rouquine reconnaisse son indulgence de ne pas se formaliser d’avantage du surnom qui frisait l’insulte. Le « oh » qu’avaient formé ses lèvres et son teint plus pâle encore, craignant la réprimande lui avait suffit en ce lendemain de nuit chaotique.
- J’espère que tu as une description particulièrement précise du lieu, je ne crée pas de portoloin sans être certain de notre destination.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Ven 9 Juin 2023 - 9:53
La surprise s'est estompée aussi vite qu'elle est venue, et c'est une moue aussi peu engageante que l'était le regard et les grognements informes de son professeur qui enlaidissent la nymphe. Il faut dire qu'elle prend toujours un air particulièrement pincée lorsqu'elle affronte Andrew. Ca en devenait presque ridicule tant chacun de ses mots semblait l'offusquer et, comme à chaque fois, les questions posées ne manquent pas de la faire rouler dramatiquement des yeux. Bravo, en plus d'arriver avec une allures d'inferi moche, ça n'écoutait pas. Il était beau le corps enseignant !
« Je suis ravie de voir que tu ne prête aucune attention à ce que je peux dire. »
Les sourcils froncés, elle rattrape au dernier moment le fait qu'il était un mauvais mentor et que c'était pour ces deux raisons qu'elle n'écoutait jamais ce que, lui, pouvait dire, mais la dernière question du runiste arrache à la Blackthorn un air particulièrement offusqué. Elle a même inspiré dramatiquement, la main porté sur le cœur, et réitère une seconde fois pour être certaine que le vieux ait parfaitement comprit le message.
« Ah bah ! J'y suis allé à la moldu pour te faire plaisir, pourtant ! J'ai sorti un pendule mal calibré, je l'ai agité bizarrement devant une carte et j'ai choisi notre destination au piff. C'est pour ça que ça a été validé par Vega et Sir Blackwood ! »
Ouvertement vexée par ce manque évident de confiance -et en manque de sommeil après avoir veillé les loups de sa cave- Cataleya agite ses cartes dans un large froncement de sourcil pour démontrer, le plus chaotiquement du monde, qu'elle avait préparé l'expédition. Sans doute se rend t'elle compte de sa démesure car ce drôle de manège ne dure qu'une poignée de seconde. Une poignée de trop, vous en conviendrez, mais au moins eut elle la décence de rapidement se stopper en sentant que ça ne servait strictement à rien. Et peut être le sacro-saint jugement d'Arthur à des kilomètres de là, il est vrai.
« Pardon, ce n'est pas ce que je voulais dire. »
Elle le pense, même si elle ne démordrait jamais du fait que les pendules qu'utilisait marginalement les moldus étaient des résidus de bidet mal calibré, et informes, aussi. Les mains se posent sagement sur la table, consciente que les excuses sont faciles à jeter après une attaque peu justifié. Les premières, pourtant, avaient toujours semblé lui arracher la bouche tant elle tordait le visage de la Blackthorn en grimace disgracieuse. Si elle avait grandement évolué sur le sujet, ramener Andrew au monde moldus étaient toujours désastreusement facile. Quoi qu'elle assumait de moins en moins son racisme latent. Le regard se baisse un peu et, intuitivement, elle semble se faire plus petite. Volonté inavouée de se faire plus docile.
« Le Manoir Villanueva appartenait à des sorcier de sang pur et, comme beaucoup de lignées, ils ont amassés sur des siècles des curiosités ésotériques, grimoire et joyaux aux propriétés étonnantes. Je le pensais entièrement pillé au vu de son abandon et délabrement mais en regardant ses plans j'ai remarqué des singularité dans l'architecture. Des caches. En recoupant les informations il apparaît que cette famille était rattaché à des sociétés secrètes et a été en possession de bien appartenant initialement aux capes noires. »
Elle marque une longue pause, priant pour qu'il ne la pousse pas à réciter l'indigeste présentation qu'elle avait du apprendre par cœur pour convaincre les Lumières. Elle avait tellement du naviguer entre fait historique et fantasme qu'elle n'était pas certaine de pouvoir réitérer l’exploit.
« Je suis ravie de voir que tu ne prête aucune attention à ce que je peux dire. »
Les sourcils froncés, elle rattrape au dernier moment le fait qu'il était un mauvais mentor et que c'était pour ces deux raisons qu'elle n'écoutait jamais ce que, lui, pouvait dire, mais la dernière question du runiste arrache à la Blackthorn un air particulièrement offusqué. Elle a même inspiré dramatiquement, la main porté sur le cœur, et réitère une seconde fois pour être certaine que le vieux ait parfaitement comprit le message.
« Ah bah ! J'y suis allé à la moldu pour te faire plaisir, pourtant ! J'ai sorti un pendule mal calibré, je l'ai agité bizarrement devant une carte et j'ai choisi notre destination au piff. C'est pour ça que ça a été validé par Vega et Sir Blackwood ! »
Ouvertement vexée par ce manque évident de confiance -et en manque de sommeil après avoir veillé les loups de sa cave- Cataleya agite ses cartes dans un large froncement de sourcil pour démontrer, le plus chaotiquement du monde, qu'elle avait préparé l'expédition. Sans doute se rend t'elle compte de sa démesure car ce drôle de manège ne dure qu'une poignée de seconde. Une poignée de trop, vous en conviendrez, mais au moins eut elle la décence de rapidement se stopper en sentant que ça ne servait strictement à rien. Et peut être le sacro-saint jugement d'Arthur à des kilomètres de là, il est vrai.
« Pardon, ce n'est pas ce que je voulais dire. »
Elle le pense, même si elle ne démordrait jamais du fait que les pendules qu'utilisait marginalement les moldus étaient des résidus de bidet mal calibré, et informes, aussi. Les mains se posent sagement sur la table, consciente que les excuses sont faciles à jeter après une attaque peu justifié. Les premières, pourtant, avaient toujours semblé lui arracher la bouche tant elle tordait le visage de la Blackthorn en grimace disgracieuse. Si elle avait grandement évolué sur le sujet, ramener Andrew au monde moldus étaient toujours désastreusement facile. Quoi qu'elle assumait de moins en moins son racisme latent. Le regard se baisse un peu et, intuitivement, elle semble se faire plus petite. Volonté inavouée de se faire plus docile.
« Le Manoir Villanueva appartenait à des sorcier de sang pur et, comme beaucoup de lignées, ils ont amassés sur des siècles des curiosités ésotériques, grimoire et joyaux aux propriétés étonnantes. Je le pensais entièrement pillé au vu de son abandon et délabrement mais en regardant ses plans j'ai remarqué des singularité dans l'architecture. Des caches. En recoupant les informations il apparaît que cette famille était rattaché à des sociétés secrètes et a été en possession de bien appartenant initialement aux capes noires. »
Elle marque une longue pause, priant pour qu'il ne la pousse pas à réciter l'indigeste présentation qu'elle avait du apprendre par cœur pour convaincre les Lumières. Elle avait tellement du naviguer entre fait historique et fantasme qu'elle n'était pas certaine de pouvoir réitérer l’exploit.
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Mar 13 Juin 2023 - 21:27
Tout son corps semblait s’insurger contre l’idée même d’une escapade. Chaque muscle semblait courbaturé, aussi chaque mouvement lui était désagréable. Sans compter l’affreuse migraine que la voix trop haut perchée de son étudiante ne faisait qu’aggraver.
- Je prête attention à ce qui mérite mon intérêt.
Cataleya Blackthorn en faisait définitivement partie mais le Hill cachait soigneusement cette information sans quoi la rouquine deviendrait plus insupportable encore qu’elle ne l’était déjà. Par contre, il avait clairement un doute sur l'intérêt de se rendre dans un manoir déserté depuis des années.. Si encore il s’agissait d’une demeure appartenant à une famille d’arcanistes ou quelque-chose du genre… Le peu d’informations qu’il avait réussi à trouver concernant les Villanueva ne lui promettaient pas monts et merveilles.
Elle s’insurge, petite sorcière et la langue de son mentor contraint et forcé claque sur son palais comme pour la faire taire. Idiotie sur idiotie, il ne prend même pas le temps de répondre. Ni à ses déclarations pseudo-sarcastiques, ni à ses excuses qui avaient au moins eut le mérite d’être spontanées à défaut peut-être d’être sincères. Il tend les mains, récupère les éléments de reconnaissance des lieux et s’installe sur un des établis en marbre pour commencer à travailler sur un portoloin temporaire.
La sorcière disserte, cherchant visiblement à le convaincre du bien fondé de sa mission.De toute façon, ce n’est pas comme si il pouvait aller contre les ordres de Sir Blackwood, la question était presque rhétorique en réalité. Étalant carte et photographies sur la table, il se pare d’un parchemin et d’une plume pour préparer l’enchantement si difficile qu’est celui du portoloin.
- C’est Vega ou Sir Blackwood qui a pensé que tu avais besoin d’être baby-sitté ?
Écrivant presque compulsivement sur le parchemin, il ne la regarde plus la rouquine qui s’agite à côté de lui.
- L’un ou l’autre, peu importe. Ils n’ont sûrement pas tort.
- Je prête attention à ce qui mérite mon intérêt.
Cataleya Blackthorn en faisait définitivement partie mais le Hill cachait soigneusement cette information sans quoi la rouquine deviendrait plus insupportable encore qu’elle ne l’était déjà. Par contre, il avait clairement un doute sur l'intérêt de se rendre dans un manoir déserté depuis des années.. Si encore il s’agissait d’une demeure appartenant à une famille d’arcanistes ou quelque-chose du genre… Le peu d’informations qu’il avait réussi à trouver concernant les Villanueva ne lui promettaient pas monts et merveilles.
Elle s’insurge, petite sorcière et la langue de son mentor contraint et forcé claque sur son palais comme pour la faire taire. Idiotie sur idiotie, il ne prend même pas le temps de répondre. Ni à ses déclarations pseudo-sarcastiques, ni à ses excuses qui avaient au moins eut le mérite d’être spontanées à défaut peut-être d’être sincères. Il tend les mains, récupère les éléments de reconnaissance des lieux et s’installe sur un des établis en marbre pour commencer à travailler sur un portoloin temporaire.
La sorcière disserte, cherchant visiblement à le convaincre du bien fondé de sa mission.De toute façon, ce n’est pas comme si il pouvait aller contre les ordres de Sir Blackwood, la question était presque rhétorique en réalité. Étalant carte et photographies sur la table, il se pare d’un parchemin et d’une plume pour préparer l’enchantement si difficile qu’est celui du portoloin.
- C’est Vega ou Sir Blackwood qui a pensé que tu avais besoin d’être baby-sitté ?
Écrivant presque compulsivement sur le parchemin, il ne la regarde plus la rouquine qui s’agite à côté de lui.
- L’un ou l’autre, peu importe. Ils n’ont sûrement pas tort.
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Jeu 15 Juin 2023 - 16:12
Les doigts posés sur la table, Cataleya observe attentivement son mentor dégainer plume et parchemin. Si elle refuse encore d’admettre qu’il y a quelque chose d’hypnotique à le voir rédiger de manière aussi frénétique, le regard court derrière ses enchantements avec une vivacité étonnante. Elle essaye de comprendre les motifs et récurrences qui se plaque sur le papier, mais plisse soudainement le nez aux mots du runniste. Franchement vexée. Il y avait-il seulement des moments où l’un de frustrait pas l’autre ? A deux doigts de cracher qu’elle était trop grande pour être baby-sitter, puis hurler qu’elle ne hurlait pas lorsqu’il pointerait son immaturité émotionnelle et sa propension à être à demi dangereuse lorsqu’elle était seule, Cataleya ravale le plus difficilement du monde sa fierté. Ce n’était pas du babysitting, mais un mentorat des plus classique. Toute chandelle traînait forcément son mentor à la manière d’un poids, ce n’était pas spécifiquement lié à elle quoi qu’elle -.
-Plains toi à ta maîtresse si t’es pas content.
Autrement dit à Véga puisque Andrew passait littéralement sa vie à lui faire les yeux doux et courir après son approbation. Si la Blackthorn aimait voir le runiste à la manière d’un chiot qui courait désespérément après cette superbe duelliste, elle se mettait à croire en une relation plus poussée à chaque fois qu’elle s’ennuyait un peu. D’ailleurs, tout les deux avaient particulièrement l’air épuisé, aujourd’hui. Coïncidence ? Sans doute, mais ça ne l'empêcherait pas de darder sur eux un regard en tout point suspicieux. Pour la forme.
-D’ailleurs, t’as fait une faute.
Souffle la lufkin en posant l’index sur le parchemin d’Andrew. Si elle sait l’affirmation en tout point fausse, et qu’il ne faudra pas plus de deux seconde au brun pour réaliser qu'elle disait une nouvelle fois de la merde, la Blackthorn se complait dans la distraction qu'apporte ses interventions peu sollicité. En vérité, elle retarde un peu l'échéance, traine de la patte, peu rassurée à l'idée de retourner affronter un passé qui l'embête plus qu'elle n'aime se l'avouer. Si elle classe méthodiquement les documents étalés sur la table, l'esprit vagabonde inlassablement. Elle n'aimait pas partir sans son équipe ; elle avait toujours l'effroyable sensation qu'Andrew pouvait la coincer derrière un mur jusqu'à la fin de ses jours et ce, pour un oui ou pour un non.
-Plains toi à ta maîtresse si t’es pas content.
Autrement dit à Véga puisque Andrew passait littéralement sa vie à lui faire les yeux doux et courir après son approbation. Si la Blackthorn aimait voir le runiste à la manière d’un chiot qui courait désespérément après cette superbe duelliste, elle se mettait à croire en une relation plus poussée à chaque fois qu’elle s’ennuyait un peu. D’ailleurs, tout les deux avaient particulièrement l’air épuisé, aujourd’hui. Coïncidence ? Sans doute, mais ça ne l'empêcherait pas de darder sur eux un regard en tout point suspicieux. Pour la forme.
-D’ailleurs, t’as fait une faute.
Souffle la lufkin en posant l’index sur le parchemin d’Andrew. Si elle sait l’affirmation en tout point fausse, et qu’il ne faudra pas plus de deux seconde au brun pour réaliser qu'elle disait une nouvelle fois de la merde, la Blackthorn se complait dans la distraction qu'apporte ses interventions peu sollicité. En vérité, elle retarde un peu l'échéance, traine de la patte, peu rassurée à l'idée de retourner affronter un passé qui l'embête plus qu'elle n'aime se l'avouer. Si elle classe méthodiquement les documents étalés sur la table, l'esprit vagabonde inlassablement. Elle n'aimait pas partir sans son équipe ; elle avait toujours l'effroyable sensation qu'Andrew pouvait la coincer derrière un mur jusqu'à la fin de ses jours et ce, pour un oui ou pour un non.
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Dim 18 Juin 2023 - 21:48
La plume danse sur le parchemin. Chaque mot. Chaque runes. Chaque croquis est pensé, réfléchi, calculé. Il prend des airs de mathématicien quand il s’agit de se transporter à l’autre bout de l’Europe sans heurt. Il a une ride qui se creuse entre ses sourcils et ses lèvres qui se pincent, signe de concentration extrême.
« Plains toi à ta maîtresse si t’es pas content. » Il n’en aurait pas fallut beaucoup plus pour que le runniste ne laisse l’encre tâcher allègrement le parchemin. Il aurait fallut tout recommencer. Mais il suspend son geste, l’espace d’une seconde, avant de se remettre au travail. Il n’aimait pas vraiment l’utilisation de ce mot. Bien sûr, Vega était sa supérieure hiérarchique. La plus jeune Lumière que l’organisation ait connu même. C’était et ça serait toujours son mentor… Mais ce n’était pas tout et il n’aimait pas l’idée que la petite Blackthorn puisse avoir le moindre doute là dessus.
« D’ailleurs, t’as fait une faute. » Cette fois, il ne s’arrête pas et termine même sa formule arithmétique avant de regarder le parchemin comme le ferait un scanner à rayon X. Traquant la moindre virgule mal faîte, le moindre chiffre mal tracé. Une erreur lui ? Inconcevable… C’était forcément une coquille ou une maladresse, rien à voir.
- Ou ç…
Elle pointe finalement le parchemin alors qu’il a levé les yeux vers elle. Son petit air narquois ne laisse pas la place au doute. Il n’y avait absolument aucune faute et il suffisait de voir le regard rieur qu’elle essayait vainement de dissimuler pour en être certain.
- Tu as du temps à perdre sur ce genre de conneries, Cataleya ? Tu n’as pas de vie à ce point ?
Non parce que lui, il avait une femme qui l’attendait et il comptait finir cette mission avant qu’elle ne ce soit endormie. Alors il se remet au travail sans attendre la réponse et la formule achevé, il prépare l’enchantement du biberon (?) qui servira de vecteur au sortilège.
- Le portoloin est prêt, Blackthorn.
« Plains toi à ta maîtresse si t’es pas content. » Il n’en aurait pas fallut beaucoup plus pour que le runniste ne laisse l’encre tâcher allègrement le parchemin. Il aurait fallut tout recommencer. Mais il suspend son geste, l’espace d’une seconde, avant de se remettre au travail. Il n’aimait pas vraiment l’utilisation de ce mot. Bien sûr, Vega était sa supérieure hiérarchique. La plus jeune Lumière que l’organisation ait connu même. C’était et ça serait toujours son mentor… Mais ce n’était pas tout et il n’aimait pas l’idée que la petite Blackthorn puisse avoir le moindre doute là dessus.
« D’ailleurs, t’as fait une faute. » Cette fois, il ne s’arrête pas et termine même sa formule arithmétique avant de regarder le parchemin comme le ferait un scanner à rayon X. Traquant la moindre virgule mal faîte, le moindre chiffre mal tracé. Une erreur lui ? Inconcevable… C’était forcément une coquille ou une maladresse, rien à voir.
- Ou ç…
Elle pointe finalement le parchemin alors qu’il a levé les yeux vers elle. Son petit air narquois ne laisse pas la place au doute. Il n’y avait absolument aucune faute et il suffisait de voir le regard rieur qu’elle essayait vainement de dissimuler pour en être certain.
- Tu as du temps à perdre sur ce genre de conneries, Cataleya ? Tu n’as pas de vie à ce point ?
Non parce que lui, il avait une femme qui l’attendait et il comptait finir cette mission avant qu’elle ne ce soit endormie. Alors il se remet au travail sans attendre la réponse et la formule achevé, il prépare l’enchantement du biberon (?) qui servira de vecteur au sortilège.
- Le portoloin est prêt, Blackthorn.
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» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Mar 20 Juin 2023 - 9:55
Elle se délecte du trouble engendré Cataleya, pendue à la suspension de ce geste, au froncement de sourcil de son professeur qui cherche méthodiquement coquille ou erreur. Si elle tente de saisir le fil de ses pensée à mesure qu'il se perd en vérification, force est d'admettre que c'est pour mieux perdre ses propres appréhensions. « Tu n’as pas de vie à ce point ? » La moue se veut désolée mais sonne effroyablement fausse puisque demeure là, tapis sous l'océan de son regard, une étincelle toute malicieuse. Elle se fait pourtant violence pour qu'aucun rictus ne la trahisse mais il faut croire que son regard est terriblement expressif, beaucoup trop. Elle était tout bonnement incapable de mentir lorsque sa mère lui faisait face ou qu'Arthur plongeait dedans avec sérieux.
« Cesses d'être aussi grincheux, tu vas te créer plus de ride que tu n'en a déjà. »
Si elle avait été un poil plus arrogante, sans doute aurait-elle osé porter l'index à son front pour plisser sa peau. Froncer mécaniquement ces sourcils inquisiteurs qui tentaient presque de la faire culpabiliser. Hélas, l'instinct de survie n'étant pas tout à fait mort, Cataleya devine sans grand mal qu'Andrew aurait la capacité de lui tordre le poignet en une seconde, aussi douloureux soit ce constat. Il avait des airs de rat niché entre deux bibliothèques mais il se dégageait de lui une force inhérente à tout son être. Une aura de vieux lion, un peu pataud, qui était pourtant capable de vous briser la nuque d'un coup de mâchoire. Meh.. C'est pourtant désespérément tentant d'oser un pas, puis un second, rogner méticuleusement la distance jusqu'à trouver cette limite à ne surtout pas franchir. A croire qu'elle attendait la franche colère pour enfin se discipliner.
L'inspiration se fait en tout point profonde lorsque Andrew annonce la fin des préparatifs, et c'est d'un mouvement pleinement impérieux que Cataleya réagence sa queue de cheval haute, comme si tirer sèchement sur ses rousses ondulations pouvaient la décider à avancer un pas.
« Si tu me laisse mourir, je te hante jusqu'à la fin de tes jours. Et je gâcherai chacun de tes plans cul avec Vega. Et les autres. »
Un poil arrogante pour mieux ravaler ses peurs, la menace détonne pourtant de son dramatisme habituel. Des « si tu me laisse mourir, je ... » elle en pondait à quasis chaque mission et se laissait parfois même retomber dramatiquement dans les bras de MacCandless ou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] puisqu'elle se doutait que Grymm, lui, ferait un pas de côté pour qu'elle s'explose les fesses au sol. Pourtant, elle a cette fois ci cette étrange hésitation au bout du pas, à peine perceptible, qui finit par voler en éclat au contact du parchemin. Une Blackthorn, ça ne courbe pas l'échine devant la peur ; ça la soumet sous ses crocs.
« Cesses d'être aussi grincheux, tu vas te créer plus de ride que tu n'en a déjà. »
Si elle avait été un poil plus arrogante, sans doute aurait-elle osé porter l'index à son front pour plisser sa peau. Froncer mécaniquement ces sourcils inquisiteurs qui tentaient presque de la faire culpabiliser. Hélas, l'instinct de survie n'étant pas tout à fait mort, Cataleya devine sans grand mal qu'Andrew aurait la capacité de lui tordre le poignet en une seconde, aussi douloureux soit ce constat. Il avait des airs de rat niché entre deux bibliothèques mais il se dégageait de lui une force inhérente à tout son être. Une aura de vieux lion, un peu pataud, qui était pourtant capable de vous briser la nuque d'un coup de mâchoire. Meh.. C'est pourtant désespérément tentant d'oser un pas, puis un second, rogner méticuleusement la distance jusqu'à trouver cette limite à ne surtout pas franchir. A croire qu'elle attendait la franche colère pour enfin se discipliner.
L'inspiration se fait en tout point profonde lorsque Andrew annonce la fin des préparatifs, et c'est d'un mouvement pleinement impérieux que Cataleya réagence sa queue de cheval haute, comme si tirer sèchement sur ses rousses ondulations pouvaient la décider à avancer un pas.
« Si tu me laisse mourir, je te hante jusqu'à la fin de tes jours. Et je gâcherai chacun de tes plans cul avec Vega. Et les autres. »
Un poil arrogante pour mieux ravaler ses peurs, la menace détonne pourtant de son dramatisme habituel. Des « si tu me laisse mourir, je ... » elle en pondait à quasis chaque mission et se laissait parfois même retomber dramatiquement dans les bras de MacCandless ou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] puisqu'elle se doutait que Grymm, lui, ferait un pas de côté pour qu'elle s'explose les fesses au sol. Pourtant, elle a cette fois ci cette étrange hésitation au bout du pas, à peine perceptible, qui finit par voler en éclat au contact du parchemin. Une Blackthorn, ça ne courbe pas l'échine devant la peur ; ça la soumet sous ses crocs.
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
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» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Mer 21 Juin 2023 - 20:31
Le regard se darde sur la rouquine, semblant lui dire quelque-chose comme “ose seulement, morveuse” tandis que ses petits doigts de sa petite main se meuvent comme pour retenir un mouvement vers des rides à peine visible malgré trente huit ans à froncer le nez et les paupières pour se concentrer sur d’innombrables projets et mystères.
Il n’est pas grincheux, mais s’il y a bien une sensation qu’il déteste, c’est celle de se tromper en ce qui concerne son exercice de la magie. De faire une erreur. Par extension presque maladive, il finit toujours par se demander s’il mérite vraiment ses pouvoirs. Si toute son histoire n’est pas qu’une monumentale erreur. Et ce côté grincheux, ce côté arrogant, c’est bien pour dissimuler crassement ce foutu syndrome de l’imposteur qui l'étreint encore des années après.
Le regard porté sur la sorcière est noir, l’avertissant que la moindre surenchère aurait des conséquences. Il ne lui faut plus que quelques minutes pour achever ce qu’il avait entrepris. Un portoloin qui les emmènera dans le sud de la banlieue madrilène, là où un jour un magnifique domaine composé de vergers et de serres entouraient un magnifique manoir du XVIIe siècle. Il était prêt à inviter galamment la jeune femme à poser son doigt en premier sur le contenant mais.. « Si tu me laisses mourir, je te hante jusqu'à la fin de tes jours. Et je gâcherai chacun de tes plans cul avec Vega. Et les autres. ». L’inspiration se doit d’être profonde tant l’agacement qui le submerge est intense. Cette petite peste est vraiment le poison de sa vie, il n’y avait pas à en douter. Qu'avait-il fait pour mériter ça ?
- Je ne couche pas avec Vega.
Le ton est glacial et ne souffrirait d’aucune contredite. S’il avait fallu être tout à fait exact, il aurait dit “plus” et non “pas”. Parce qu’il est vrai qu’il avait couché avec elle. A quelques reprises. Dans l’espoir de nourrir un amour qui n’avait rien de vraiment réciproque. Et même si sa relation avec Peneloppe le comblait, même s’il s’entendait toujours aussi bien avec sa mentor, il préférait que ça ne s’ébruite pas.
D’un geste autoritaire et pas franchement respectueux d’un quelconque consentement, il attrape le poignet de la rouquine et pose sa main sur le biberon qu’il tient lui-même, avant de lancer le sortilège dans une langue ancienne. La luminosité explose, l’instant d’une seconde, puis ils disparaissent, aspiré par le trou noir crée pour l’occasion.
S’il atterrit proprement, élégamment même sur l’herbe sèche, ce n’est pas le cas de la jeune femme. Subtilement, il a déstabilisé son sortilège au moment de l’arrivé pour que son atterrissage se fasse sur son arrière train d’arrogante et pénible chauffe-plat.
- Alors miss Blackthorn ? On ne tient plus sur ses jambes ? Debout. On ne va pas y passer la soirée.
Il n’est pas grincheux, mais s’il y a bien une sensation qu’il déteste, c’est celle de se tromper en ce qui concerne son exercice de la magie. De faire une erreur. Par extension presque maladive, il finit toujours par se demander s’il mérite vraiment ses pouvoirs. Si toute son histoire n’est pas qu’une monumentale erreur. Et ce côté grincheux, ce côté arrogant, c’est bien pour dissimuler crassement ce foutu syndrome de l’imposteur qui l'étreint encore des années après.
Le regard porté sur la sorcière est noir, l’avertissant que la moindre surenchère aurait des conséquences. Il ne lui faut plus que quelques minutes pour achever ce qu’il avait entrepris. Un portoloin qui les emmènera dans le sud de la banlieue madrilène, là où un jour un magnifique domaine composé de vergers et de serres entouraient un magnifique manoir du XVIIe siècle. Il était prêt à inviter galamment la jeune femme à poser son doigt en premier sur le contenant mais.. « Si tu me laisses mourir, je te hante jusqu'à la fin de tes jours. Et je gâcherai chacun de tes plans cul avec Vega. Et les autres. ». L’inspiration se doit d’être profonde tant l’agacement qui le submerge est intense. Cette petite peste est vraiment le poison de sa vie, il n’y avait pas à en douter. Qu'avait-il fait pour mériter ça ?
- Je ne couche pas avec Vega.
Le ton est glacial et ne souffrirait d’aucune contredite. S’il avait fallu être tout à fait exact, il aurait dit “plus” et non “pas”. Parce qu’il est vrai qu’il avait couché avec elle. A quelques reprises. Dans l’espoir de nourrir un amour qui n’avait rien de vraiment réciproque. Et même si sa relation avec Peneloppe le comblait, même s’il s’entendait toujours aussi bien avec sa mentor, il préférait que ça ne s’ébruite pas.
D’un geste autoritaire et pas franchement respectueux d’un quelconque consentement, il attrape le poignet de la rouquine et pose sa main sur le biberon qu’il tient lui-même, avant de lancer le sortilège dans une langue ancienne. La luminosité explose, l’instant d’une seconde, puis ils disparaissent, aspiré par le trou noir crée pour l’occasion.
S’il atterrit proprement, élégamment même sur l’herbe sèche, ce n’est pas le cas de la jeune femme. Subtilement, il a déstabilisé son sortilège au moment de l’arrivé pour que son atterrissage se fasse sur son arrière train d’arrogante et pénible chauffe-plat.
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- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Mer 21 Juin 2023 - 23:05
Le ton est glacial, la prise autour de son poignet implacable, mais c’est un sourire en tout point sardonique qui prend place sous les canines de la Blackthorn. C’est que ça agaçait le petit Andy, tout ça, et que cette simple vision excitait le pire chez la harpie de Claudia. Les lèvres s’entrouvre mais Cataleya se mord la langue lorsqu’une simple impulsion vient à la déséquilibrer et, si elle maudit son professeur d’un regard noir, c’est brusquement qu’elle tente de se raccroche de nouveau à lui lorsque le portoloin se dérobe sous ses pieds. En vain. Elle suspectait même qu’il l’ait poussé, ce foutu rat.
Un glapissement pour tout aveux de faiblesse, la rousse se redresse noblement, non pas pour répondre à l'ordre qui lui est aboyé mais parce que les gravillons verdâtre sur lequel elle reposait jurait effroyablement avec son teint. Un jeté de cheveux pour toute signature, ses rousses ondulations finissent dans le visage de son professeur avant qu’elle ne se décide véritablement à avancer. C’est que ces dalles vieillissante, elle les a déjà affrontés quelques jours plus tôt ; un trésor de fourberie qu’elle avait méticuleusement marqué pour ne pas se laisser avoir une seconde fois.
“Fine, Mom”.
Les yeux roulent un peu mais la main se lève brutalement, comme pour interdire un pas au runiste. Le nez se plisse, le regard s’affute, et c’est d’un mouvement souple de la baguette qu’elle révèle les marquages tracés lors de sa dernière visite. Elle n’avait pas pu pénétrer le manoir à proprement parler mais avait suffisamment repéré l’extérieur pour éviter les premiers pièges. Pourtant, maintenant que la route à prendre s’illuminait sous ses grands yeux bleu, Cataleya peinait à comprendre pourquoi elle avait rebroussé chemin. La suite à prendre était logique, les arbres bien trop morts pour qu’ils puissent s’ériger en gardien de ces ruines autrefois sacrées. L’orgueil se vexe lorsqu’elle comprend, sans trop se l’avouer, que c’était le coeur qui lui avait fait faux bond dans cette expédition. Elle s’était dégonflée, tout bonnement.
“Si tu n’as pas confiance en mes capacités, tu peux toujours relever les derniers pièges et les désamorcer. Je passe… Juste… Devant. “
Bondissant souplement sur les dalles d’or cerclé, Cataleya jouerait presque à la marelle. Ses grands yeux bleu guette tout irrégularité que comporte la pierre, chaque odeur suspecte. La plupart des maléfices bien jeté était inodore mais l’odeur du sang, elle, demeurait des années après. Avec un peu de chance un fou ou un sot avait tenté sa chance avant elle et souillé de son sang les prochains mètres. Au pire elle pousserait Andrew, puisqu'il avait lancé les hostilités. Ou un caillou, pour déclencher les pièges.
Un glapissement pour tout aveux de faiblesse, la rousse se redresse noblement, non pas pour répondre à l'ordre qui lui est aboyé mais parce que les gravillons verdâtre sur lequel elle reposait jurait effroyablement avec son teint. Un jeté de cheveux pour toute signature, ses rousses ondulations finissent dans le visage de son professeur avant qu’elle ne se décide véritablement à avancer. C’est que ces dalles vieillissante, elle les a déjà affrontés quelques jours plus tôt ; un trésor de fourberie qu’elle avait méticuleusement marqué pour ne pas se laisser avoir une seconde fois.
“Fine, Mom”.
Les yeux roulent un peu mais la main se lève brutalement, comme pour interdire un pas au runiste. Le nez se plisse, le regard s’affute, et c’est d’un mouvement souple de la baguette qu’elle révèle les marquages tracés lors de sa dernière visite. Elle n’avait pas pu pénétrer le manoir à proprement parler mais avait suffisamment repéré l’extérieur pour éviter les premiers pièges. Pourtant, maintenant que la route à prendre s’illuminait sous ses grands yeux bleu, Cataleya peinait à comprendre pourquoi elle avait rebroussé chemin. La suite à prendre était logique, les arbres bien trop morts pour qu’ils puissent s’ériger en gardien de ces ruines autrefois sacrées. L’orgueil se vexe lorsqu’elle comprend, sans trop se l’avouer, que c’était le coeur qui lui avait fait faux bond dans cette expédition. Elle s’était dégonflée, tout bonnement.
“Si tu n’as pas confiance en mes capacités, tu peux toujours relever les derniers pièges et les désamorcer. Je passe… Juste… Devant. “
Bondissant souplement sur les dalles d’or cerclé, Cataleya jouerait presque à la marelle. Ses grands yeux bleu guette tout irrégularité que comporte la pierre, chaque odeur suspecte. La plupart des maléfices bien jeté était inodore mais l’odeur du sang, elle, demeurait des années après. Avec un peu de chance un fou ou un sot avait tenté sa chance avant elle et souillé de son sang les prochains mètres. Au pire elle pousserait Andrew, puisqu'il avait lancé les hostilités. Ou un caillou, pour déclencher les pièges.
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Dim 25 Juin 2023 - 21:54
« Mom », surnom ridicule s’il en était. Mais il semble moins ridicule quand celle qui le profère est au sol, malencontreusement tombée après un portoloin pourtant parfaitement calibré. Le regard du Hill se darde sur la jeune rousse mais il n’esquisse pas le moindre mouvement pour l’aider à se relever. De toute manière, il la connaissait assez pour savoir qu’elle n’aurait pas saisit la main tendue.
Elle prend les devants, ce qu’il n’avait pas spécialement l’intention de faire de toute manière. Après tout, il n’est là que pour desceller une porte verrouillé par un système runique visiblement trop complexe pour l’étudiante qu’il doit baby-sitter.
- Si tu crois que je vais jouer au preu chevalier…
Aucune chance. Ce n’était ni sa vocation, ni son job. D’ailleurs, notez qu’il la sacrifierait sans regret pour sauver sa peau si c’était nécessaire. Il n’avait absolument pas le syndrome du sauveur, celui de l’imposteur était bien suffisant à supporter chaque jour qui naissait.
Discipliné comme il avait toujours pu l’être, il suit les pas de Cataleya. Chaque saut est millimétré. Elle avance bien plus vite que lui, sa souplesse et sa jeunesse n’étant plus à discuter. Les cercles d’or sur les dalles s’effacent au fur et a mesure de leur progression jusqu’à la porte d’entrée du manoir.
- Ne me dit pas que c’est ça qui t’a bloqué ou je te renvoie en première année d’étude des runes sur le champs…
L’enchantement était simpliste et même un étudiant à Poudlard un peu curieux pourrait en venir à bout. Si la rouquine s’était laissée arrêter par si peu, elle chuterait si fort dans son estime qu’il était peu probable qu’elle puisse remonter au niveau avant ses vieux jours…
Elle prend les devants, ce qu’il n’avait pas spécialement l’intention de faire de toute manière. Après tout, il n’est là que pour desceller une porte verrouillé par un système runique visiblement trop complexe pour l’étudiante qu’il doit baby-sitter.
- Si tu crois que je vais jouer au preu chevalier…
Aucune chance. Ce n’était ni sa vocation, ni son job. D’ailleurs, notez qu’il la sacrifierait sans regret pour sauver sa peau si c’était nécessaire. Il n’avait absolument pas le syndrome du sauveur, celui de l’imposteur était bien suffisant à supporter chaque jour qui naissait.
Discipliné comme il avait toujours pu l’être, il suit les pas de Cataleya. Chaque saut est millimétré. Elle avance bien plus vite que lui, sa souplesse et sa jeunesse n’étant plus à discuter. Les cercles d’or sur les dalles s’effacent au fur et a mesure de leur progression jusqu’à la porte d’entrée du manoir.
- Ne me dit pas que c’est ça qui t’a bloqué ou je te renvoie en première année d’étude des runes sur le champs…
L’enchantement était simpliste et même un étudiant à Poudlard un peu curieux pourrait en venir à bout. Si la rouquine s’était laissée arrêter par si peu, elle chuterait si fort dans son estime qu’il était peu probable qu’elle puisse remonter au niveau avant ses vieux jours…
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Dim 25 Juin 2023 - 23:05
« Si tu crois que je vais jouer au preux chevalier » blah blah blah. Cataleya progresse sans encombre mais singe un peu son professeur, mimant sans mal l'expression qu'elle devine prendre dans son dos. Hill était sans aucun doute l'un des derniers inscrits sur sa liste de super héro, juste après son père puisqu'elle espérait encore que leur patronyme commun puisse piquer sa fierté et un élan de préservation. Pas d'amour, juste un lien quasis propriétaire qui pourrait lui sauver un jour la vie si elle arrivait à lui faire croire que, la laisser mourir, c'était quelque part accepter de se faire insulter. La fierté paternelle mise sous le tapis, le taux de confiance était plus ou moins équivalent ; Aloysius, autant qu'Andrew, la pousserait dans une rivière de lave en échange d'un vulgaire sandwich au poulet. Elle en était étrangement consciente et s'en était accommodée là ou pourtant, toujours, elle avait placé une effroyable confiance en son équipe et enn son précédent mentor. Quelque part sans doute, sa voix sonnait encore comme des ordres indiscutable à ses oreilles et savoir Andrew tenter de rentrer en contradictions avec ceux-ci éveillait inconditionnellement ses pires insurrections, oui. Elle l'avait détesté au premier regard, c'est ce qu'elle se plaisait à dire sans même réaliser que c'était là un odieux mensonges. Elle l'avait intuitivement hais, oui, mais seulement lorsqu'elle l'avait vu prendre la place de cet Autre qui l'encourageait encore. Lorsqu'il s'était imposé, arriviste, comme un gnome dans une impeccable roseraie. Avant ça, elle buvait littéralement ses mots.
« Ne me dit pas que […] » Le pas se stoppe et, si la baguette de saule blanc s'est déjà pointé en direction des runes à lever, c'est brusquement que la rousse se raidit net. Il était en train de l'insulter en fait. Le regard qu'elle lui jette au visage est noir et, comme pour lui prouver que non, sa meilleure élève n'avait pas le niveau d'une gamine de six ans, c'est d'un mouvement sec qu'elle fait voler en éclat l'enchantement. La porte s'ouvre brutalement, mais au vu du plissement significatif que prend le nez de la Blackthorn, il est évident qu'elle macère d'odieuse paroles. Elle souhaiterait se contenter d'un simple « Rentre chez toi! » mais la fatigue la rend désastreusement grincheuse, aussi maudit t'elle chacune des larves moldues qui composent la lignée pas même stable de ce sang de bourbe et ce, par trois fois pour ne pas avoir à hurler des horreurs regrettables.
« Si j'étais incapable de résoudre ce genre de problème, c'est ton niveau de pédagogie qu'il faudrait mettre à jour, pas mes capacités ! »
Une nouvelle fois vexée parce Andrew était le mieux placé pour connaître ses capacités runique puisque c'est lui qui se prenait en plein visage ses dissertations les plus minutieuses, Cataleya siffle et persifle des murmures agacées. Ca prend des airs de malédictions mais elle est très clairement en train de ponctuer en roumain et français ses phrases d'insultes murmurés. Elle le haïssait et regrettait de ne pas avoir pu oublié toute cette histoire ; elle aurait terminé sa journée en se glissant sournoisement dans le lit de Miguel, se serait laissé bercer par son odeur et ses caresse. Mais non ! Il avait fallut qu'elle se reboost après des jours de chaos émotionnel, évidemment ! Et ça la démange de lui hurler que le blocage n'était en rien technique, mais ça serait avouer qu'il est pleinement psychique et qu'elle ne se sentait pas de progresser seule dans ce charnier véritable.
Enfin, le regard qui lacérait silencieusement le professeur daigne se poser sur le manoir tombé en ruine. Son escalier de marbre blanc finement gravé prend des teinte irréelle baignée des dernier rayon de soleil mais elle se donne deux brèves claques pour s'obliger à détacher son esprits de souvenir que l'esprit cherche sans parvenir à les retrouver. Focus, Quarta. D'un geste gracile, la baguette insuffle un revelio destiné à souligner les dangers distillé au sol.
« Tu as aussi peu d'estime pour moi ? Le niveau de ta classe est relevé par mes notes je te rappelle ! » Non, elle ne décrochera pas de ce sujet là, profondément insultée.
« Ne me dit pas que […] » Le pas se stoppe et, si la baguette de saule blanc s'est déjà pointé en direction des runes à lever, c'est brusquement que la rousse se raidit net. Il était en train de l'insulter en fait. Le regard qu'elle lui jette au visage est noir et, comme pour lui prouver que non, sa meilleure élève n'avait pas le niveau d'une gamine de six ans, c'est d'un mouvement sec qu'elle fait voler en éclat l'enchantement. La porte s'ouvre brutalement, mais au vu du plissement significatif que prend le nez de la Blackthorn, il est évident qu'elle macère d'odieuse paroles. Elle souhaiterait se contenter d'un simple « Rentre chez toi! » mais la fatigue la rend désastreusement grincheuse, aussi maudit t'elle chacune des larves moldues qui composent la lignée pas même stable de ce sang de bourbe et ce, par trois fois pour ne pas avoir à hurler des horreurs regrettables.
« Si j'étais incapable de résoudre ce genre de problème, c'est ton niveau de pédagogie qu'il faudrait mettre à jour, pas mes capacités ! »
Une nouvelle fois vexée parce Andrew était le mieux placé pour connaître ses capacités runique puisque c'est lui qui se prenait en plein visage ses dissertations les plus minutieuses, Cataleya siffle et persifle des murmures agacées. Ca prend des airs de malédictions mais elle est très clairement en train de ponctuer en roumain et français ses phrases d'insultes murmurés. Elle le haïssait et regrettait de ne pas avoir pu oublié toute cette histoire ; elle aurait terminé sa journée en se glissant sournoisement dans le lit de Miguel, se serait laissé bercer par son odeur et ses caresse. Mais non ! Il avait fallut qu'elle se reboost après des jours de chaos émotionnel, évidemment ! Et ça la démange de lui hurler que le blocage n'était en rien technique, mais ça serait avouer qu'il est pleinement psychique et qu'elle ne se sentait pas de progresser seule dans ce charnier véritable.
Enfin, le regard qui lacérait silencieusement le professeur daigne se poser sur le manoir tombé en ruine. Son escalier de marbre blanc finement gravé prend des teinte irréelle baignée des dernier rayon de soleil mais elle se donne deux brèves claques pour s'obliger à détacher son esprits de souvenir que l'esprit cherche sans parvenir à les retrouver. Focus, Quarta. D'un geste gracile, la baguette insuffle un revelio destiné à souligner les dangers distillé au sol.
« Tu as aussi peu d'estime pour moi ? Le niveau de ta classe est relevé par mes notes je te rappelle ! » Non, elle ne décrochera pas de ce sujet là, profondément insultée.
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Mar 4 Juil 2023 - 20:57
Intérieurement, le mage est infiniment soulagé de la voir faire voler en éclat un enchantement qui n’avait d’original que sa capacité à se régénérer après avoir été brisé. S’il peut ignorer superbement (enfaite, ne pas vraiment se rendre compte) du regard noir de la jeune étudiante, le sorcier n’est guère surprit par sa rebuffade.
- Je ne suis pas précepteur Cataleya, les niveaux individuels des étudiants ne me sont pas imputables.
Pas totalement en tout cas. A contrario, évidemment, il aime se persuader que quand il s’agit de réussites, c’est grâce à lui et à son enseignement qu’il a en haute estime malgré une remise en question quasi journalière.
La porte désormais ouverte, plutôt que d’observer la Blackthorn le maudire sur plusieurs générations qui n’existeront pas, il se concentre sur l’intérieur du manoir duquel une odeur de renfermé s’échappe. Un double escalier de marbre blanc, un sol aux grandes dalles ébènes… Il suffisait d’un simple coup d’oeil pour deviner que l’endroit devait être somptueux et de bon goût. La question de la rouquine ainsi que l’affirmation qu’elle ne peut vérifier arrache son Professeur à sa contemplation silencieuse.
- Est ce que ça t’importe tant, que j’ai de l’estime pour toi ?
Parce que lui, ça le bouffait. Et qu’il souhaite vivement que la jeune femme puisse s’en émanciper. Qu’elle puisse être seule juge de sa réussite. De ses échecs. Bien sûr, il avait conscience que son rôle était de la guider, mais il n’avait jamais eu l’intention d’applaudir à chaque réussite… Il ne voulait pas qu’un élément extérieur qui pourrait disparaitre de son existence puisse être le moteur de son avènement.
La sorcière ayant révélé ce qui avait pu l’être, le Professeur la dépasse et non sans une attention particulière pour les pas qui le mènent, il entre dans le manoir pour l’inciter à avancer, supposant qu’elle connait le chemin à prendre.
- Je ne suis pas précepteur Cataleya, les niveaux individuels des étudiants ne me sont pas imputables.
Pas totalement en tout cas. A contrario, évidemment, il aime se persuader que quand il s’agit de réussites, c’est grâce à lui et à son enseignement qu’il a en haute estime malgré une remise en question quasi journalière.
La porte désormais ouverte, plutôt que d’observer la Blackthorn le maudire sur plusieurs générations qui n’existeront pas, il se concentre sur l’intérieur du manoir duquel une odeur de renfermé s’échappe. Un double escalier de marbre blanc, un sol aux grandes dalles ébènes… Il suffisait d’un simple coup d’oeil pour deviner que l’endroit devait être somptueux et de bon goût. La question de la rouquine ainsi que l’affirmation qu’elle ne peut vérifier arrache son Professeur à sa contemplation silencieuse.
- Est ce que ça t’importe tant, que j’ai de l’estime pour toi ?
Parce que lui, ça le bouffait. Et qu’il souhaite vivement que la jeune femme puisse s’en émanciper. Qu’elle puisse être seule juge de sa réussite. De ses échecs. Bien sûr, il avait conscience que son rôle était de la guider, mais il n’avait jamais eu l’intention d’applaudir à chaque réussite… Il ne voulait pas qu’un élément extérieur qui pourrait disparaitre de son existence puisse être le moteur de son avènement.
La sorcière ayant révélé ce qui avait pu l’être, le Professeur la dépasse et non sans une attention particulière pour les pas qui le mènent, il entre dans le manoir pour l’inciter à avancer, supposant qu’elle connait le chemin à prendre.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
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» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Mer 5 Juil 2023 - 13:04
- “Je donne de l’importance à l’insulte que compose le déni de mes compétences, mais dans les faits, je me moque de l’estime de quelqu’un qui ne prend pas de douche. Tu empestes le chien Andrew, vraiment. “
C’était un peu ironique venant d’une animagus chien, mais passons.
Si elle ne lui accorde plus aucun regard puisqu’elle s’est mise en tête de bouder, le nez se plisse significativement à l'énoncé de cette dernière phrase. Elle ne comprend pas d’où vient cette odeur, n’arrive pas à la cerner, mais plus elle s’efforce de s’y accrocher et plus la nervosité qui la gagne se fait hargneuse. A moins que ce soit l’absence de souvenir rattaché à ces lieux précis qui la mette aussi mal à l’aise ? A son plus grand soulagement, c’est Andrew qui prend les devant et s’avance dans un lieu qu’elle ne reconnaît en rien, si bien qu’il lui faut arracher à son sac à main sans fond la carte qu’elle malmène depuis une semaine déjà.
“Il faudrait que l’on monte par l'escalier mais, quitte à rentrer par effraction dans un manoir abandonnée, peut être pouvons nous fouiner le rez de chaussé ?”
Polie façon de vouloir justifier un pillage sur lequel elle avait déjà mis ses options ; Les grimoires seraient pour elle, même si elle suspectait qu’il ne resterait pas grand chose de la dynastie Villanueva. A part trois fuyards, dont un père qui n'avait jamais cherché à reprendre contact. avec l'enfant qu'il avait abandonné en Espagne. Le couard. Les sourcils se fronce à cette seule idée et, si une voix raisonnable pourrait lui murmurer qu'ils avaient étés contraint à la fuite, décimés, et qu'un retour n'était peut être pas la meilleure chose à faire, même pour les beaux yeux bleu de leur fille, Cataleya ne pouvait s'empêcher de croire que Aloysius, lui, par pur égo, aurait renversé le monde pour prouver sa supériorité. Et il aurait récupérer son enfant au passage, pour la forme. C'était peut être l'une des raisons qui la conduisait à coller aussi étrangement son père depuis quelques mois maintenant. Quitte à empiéter sur son peu de patience et filer à toute vitesse lorsque l'agacement pinçait ses sourcils.
Le geste lent, Cataleya progresse au coeur du rez de chaussé et porte ses mains aux murs pour tenter de déceler des irrégularités non recensé par les cartes. Quelque chose d'étrange que sa baguette n'aurait pu souligner. Doucement, ses mains reposent les tableaux éventré devant lesquels elle passe au sol, comme pour vérifier que rien ne se cache derrière et... Effectivement. C'était une perte de temps. Merci Cat.
Dans un soupire las, et avant même qu'Andrew ne lui fasse la réflexion, elle abandonne sa quête et ose un pas en direction des escaliers.
“Je sais. Tu veux être rentré vite. C'est bon. ”
C’était un peu ironique venant d’une animagus chien, mais passons.
Si elle ne lui accorde plus aucun regard puisqu’elle s’est mise en tête de bouder, le nez se plisse significativement à l'énoncé de cette dernière phrase. Elle ne comprend pas d’où vient cette odeur, n’arrive pas à la cerner, mais plus elle s’efforce de s’y accrocher et plus la nervosité qui la gagne se fait hargneuse. A moins que ce soit l’absence de souvenir rattaché à ces lieux précis qui la mette aussi mal à l’aise ? A son plus grand soulagement, c’est Andrew qui prend les devant et s’avance dans un lieu qu’elle ne reconnaît en rien, si bien qu’il lui faut arracher à son sac à main sans fond la carte qu’elle malmène depuis une semaine déjà.
“Il faudrait que l’on monte par l'escalier mais, quitte à rentrer par effraction dans un manoir abandonnée, peut être pouvons nous fouiner le rez de chaussé ?”
Polie façon de vouloir justifier un pillage sur lequel elle avait déjà mis ses options ; Les grimoires seraient pour elle, même si elle suspectait qu’il ne resterait pas grand chose de la dynastie Villanueva. A part trois fuyards, dont un père qui n'avait jamais cherché à reprendre contact. avec l'enfant qu'il avait abandonné en Espagne. Le couard. Les sourcils se fronce à cette seule idée et, si une voix raisonnable pourrait lui murmurer qu'ils avaient étés contraint à la fuite, décimés, et qu'un retour n'était peut être pas la meilleure chose à faire, même pour les beaux yeux bleu de leur fille, Cataleya ne pouvait s'empêcher de croire que Aloysius, lui, par pur égo, aurait renversé le monde pour prouver sa supériorité. Et il aurait récupérer son enfant au passage, pour la forme. C'était peut être l'une des raisons qui la conduisait à coller aussi étrangement son père depuis quelques mois maintenant. Quitte à empiéter sur son peu de patience et filer à toute vitesse lorsque l'agacement pinçait ses sourcils.
Le geste lent, Cataleya progresse au coeur du rez de chaussé et porte ses mains aux murs pour tenter de déceler des irrégularités non recensé par les cartes. Quelque chose d'étrange que sa baguette n'aurait pu souligner. Doucement, ses mains reposent les tableaux éventré devant lesquels elle passe au sol, comme pour vérifier que rien ne se cache derrière et... Effectivement. C'était une perte de temps. Merci Cat.
Dans un soupire las, et avant même qu'Andrew ne lui fasse la réflexion, elle abandonne sa quête et ose un pas en direction des escaliers.
“Je sais. Tu veux être rentré vite. C'est bon. ”
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Sam 22 Juil 2023 - 10:45
Il avait de la chance, le petit poulpe a pied rose et aux cheveux roux qui se tenait devant lui et ne se rendait peut-être même pas compte qu’elle venait de franchir de ce pied la limite que prédisposaient ses privilèges. Il avait de la chance car la pleine lune était derrière lui et qu’il était psychologiquement et physiquement épuisé par le cycle que lui imposait sa nature. Osons un instant penser que la pleine lune puisse être devant lui, alors il n’est pas certain qu’il aurait su niveler la poussée de range qui dormait en lui depuis bien des années.
- Blackthorn.
Ce simple mot sonnait comme une menace. Le ton était si sec, si tranchant que même le plus imbécile de ses étudiants de première année comprendrait instantanément que la limite était franchie et que mieux valait faire un pas en arrière au risque d’en payer les conséquences. Et quand on connaissait le Hill, on savait que ce genre de grognement signifiant que la facture serait particulièrement salée.
« Peut être pouvons nous fouiner le rez de chaussé ? ». Il se laisse un instant de reflexion. Franchement divisé entre l’idée de faire vite et bien afin d’avoir obéit aux ordres et de retrouver ses occupations personnelles, et la curiosité que pouvait constituer un tel manoir à l’abandon. Elle furète déjà, la Blackthorn, à la recherche d’il ne savait quoi exactement. « Je sais. Tu veux être rentré vite. C'est bon. »
- Ne bouge pas.
Le ton n’est plus aussi grincheux qu’il avait pu l’être. On entend une sorte d’alarme dans sa voix. A peine avait elle posé un pied sur l’escalier qu’une légère distorsion de l’espace était apparu l’espace d’une seconde. Un oeil non averti ne s’en serait peut être pas rendu compte mais l’ancien briseur de sort semblait avoir gardé quelques reflexes. Il avait oublié comme ces petites découvertes pouvaient être grisante, comme les endorphines pouvaient être sécrétées facilement.
- Il y a sur cet escalier un sortilège qui dissimule quelque-chose. Descend doucement.
- Blackthorn.
Ce simple mot sonnait comme une menace. Le ton était si sec, si tranchant que même le plus imbécile de ses étudiants de première année comprendrait instantanément que la limite était franchie et que mieux valait faire un pas en arrière au risque d’en payer les conséquences. Et quand on connaissait le Hill, on savait que ce genre de grognement signifiant que la facture serait particulièrement salée.
« Peut être pouvons nous fouiner le rez de chaussé ? ». Il se laisse un instant de reflexion. Franchement divisé entre l’idée de faire vite et bien afin d’avoir obéit aux ordres et de retrouver ses occupations personnelles, et la curiosité que pouvait constituer un tel manoir à l’abandon. Elle furète déjà, la Blackthorn, à la recherche d’il ne savait quoi exactement. « Je sais. Tu veux être rentré vite. C'est bon. »
- Ne bouge pas.
Le ton n’est plus aussi grincheux qu’il avait pu l’être. On entend une sorte d’alarme dans sa voix. A peine avait elle posé un pied sur l’escalier qu’une légère distorsion de l’espace était apparu l’espace d’une seconde. Un oeil non averti ne s’en serait peut être pas rendu compte mais l’ancien briseur de sort semblait avoir gardé quelques reflexes. Il avait oublié comme ces petites découvertes pouvaient être grisante, comme les endorphines pouvaient être sécrétées facilement.
- Il y a sur cet escalier un sortilège qui dissimule quelque-chose. Descend doucement.
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Sam 22 Juil 2023 - 14:07
L’appel arrache un franc sursaut à la rousse qui, subitement désarçonnée, darde aussitôt ses yeux bleu sur l’homme au visage fermé. Intuitivement le dos s’est courbé sous le passage d’un frisson qui la perturbe autant que l’air prit par Hill. Lui qui jouait de grand air et froncement de sourcil revêtait, ainsi découpé par la lumière, une aura bien plus inquiétante. De quoi tordre un peu ses tripes et éveiller ses instincts les plus primaires. Andrew avait toujours ses jours sans, ses moments où la voix claquait plus sévèrement que d’autre, ou les tensions se lisait tant sur ses muscles que Cataleya le visualisait presque bondir et se préparait de fait à faire de même. Par pur réflexe d’opposition. La Blackthorn se complaisent dans les confrontations verbales depuis la prise de pouvoir du Hill, contestation ouverte d’un leader qui n’en était pas un puisqu’il n’était que l’ombre de son prédécesseur. Elle poussait le vice au point de chronométrer le temps qu’il lui faudrait pour arracher au runniste un sursaut de colère et s’en délectait toujours lorsqu'elle sentait le sourire narquois de MacCandeless peser sur son épaule. Quelque part sans doute, elle attendait encore le faux pas, le geste qui coûterait à Andrew Hill sa place. Celui qui ramènerait nécessairement son prédécesseur ; Le seul qui avait véritablement le droit de siéger en haut de leur cercle. Pourtant, le coeur rapide et l’âme méfiante, Cataleya entrevoit pour la première fois quelque chose palpiter furieusement sous le masque du professeur. Un éclat chaotique, presque animal, rugir à tout rompre derrière l’illusion de contrôle qui tirait les traits du Hill à quatre épingles. Et s’il fallait bien plus pour effrayer la fille d’Aloysius, force fut pourtant d’admettre que son hardiesse en fut grandement affectée.
Trop perturbée pour contester quoique ce soit, l'urgence qui teinte l'ordre fige aussitôt la rousse. Ramenant son regard à celui d'Andrew pour tenter de comprendre les raisons de cette immobilisme imposée. Elle n'a rien sentit d'inhabituel mais a un poil plus confiance en l'expertise d'Andrew concernant la réalité du terrain qu'en la sienne. Il faut dire qu'elle avait un talent tout particulier pour se ramasser tout les pièges en mission. Le poids se bascule tout doucement en arrière, mais la main accroche si fort sa baguette que n'importe lequel de ses sortilèges auraient prit des allures explosifs.
- Je savais qu'il fallait prendre MacCandless ! Elle chouine à mi-mot petite Blackthorn, peine à se convaincre de descendre le pied puisque convaincue que ça y est, elle se mangerait un nouveau maléfice en plein visage, mais se raisonne après trois secondes de panique. Protego.
Il ne faut pas déconner. Elle n'était pas à l'abri que retirer son poids de la marche ne déclenche le piège. Ca ne l'a pas empêcher de sauter sur Andrew tout en gardant sa baguette braqué sur les escaliers. Littéralement puisque ses jambes se sont enroulée autour des hanches du runiste et qu'elle a un bras accroché a sa nuque pour ne plus toucher le sol.
Trop perturbée pour contester quoique ce soit, l'urgence qui teinte l'ordre fige aussitôt la rousse. Ramenant son regard à celui d'Andrew pour tenter de comprendre les raisons de cette immobilisme imposée. Elle n'a rien sentit d'inhabituel mais a un poil plus confiance en l'expertise d'Andrew concernant la réalité du terrain qu'en la sienne. Il faut dire qu'elle avait un talent tout particulier pour se ramasser tout les pièges en mission. Le poids se bascule tout doucement en arrière, mais la main accroche si fort sa baguette que n'importe lequel de ses sortilèges auraient prit des allures explosifs.
- Je savais qu'il fallait prendre MacCandless ! Elle chouine à mi-mot petite Blackthorn, peine à se convaincre de descendre le pied puisque convaincue que ça y est, elle se mangerait un nouveau maléfice en plein visage, mais se raisonne après trois secondes de panique. Protego.
Il ne faut pas déconner. Elle n'était pas à l'abri que retirer son poids de la marche ne déclenche le piège. Ca ne l'a pas empêcher de sauter sur Andrew tout en gardant sa baguette braqué sur les escaliers. Littéralement puisque ses jambes se sont enroulée autour des hanches du runiste et qu'elle a un bras accroché a sa nuque pour ne plus toucher le sol.
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Sam 29 Juil 2023 - 14:04
Il y avait des signes. Des petits rien qu’on apprenait à reconnaître non pas sur les bancs de l’université mais en pratiquant. Des réflexes qu’on ne pouvait acquérir que par l’expérience. Ses années en tant que briseur de sortilège avaient été éprouvantes mais c’est de loin ce qu’il l’avait le plus endurcit. Sorti de sa zone de confort. Lui contre des protections magiques plus ou moins intenses. Il avait peut-être frôlé la mort plus souvent qu’il n’en avait conscience tant certains étaient déterminés à garder leurs secrets… secrets.
Alors cette petite distorsion de l’espace, il faut moins d’une seconde entre l’instant ou son oeil la voit pour que son cerveau ne traite l’information et n’envoie le message d’alerte. Et heureusement, la rouquine a assez d’esprit pour considérer le danger et ne plus bouger. Enfin… Temporairement.
« Je savais qu'il fallait prendre MacCandless ! » Il avait jamais rien entendu de plus stupide au sein de ces bras cassés depuis… depuis… au moins une bonne semaine. Oui, parce que les dingueries qui sortaient de leurs bouches étaient malheureusement assez communes. Trop pour leur mentor en tout cas.
Evidemment, ces mots n’étaient pas les plus ahurissants dans cette histoire… Alors que l’ordre du Hill était on ne peut plus clair, elle quitte son piédestal pour sauter. Ayant la présence d’esprit de lancer un protego au passage. Quant au fait qu’elle lui saute dans les bras…
- Blackthorn !!
C’est tout juste s’il ne la jette pas dans la seconde, la détachant prestement tandis que le rapprochement physique le mettait extrêmement mal à l’aise.
- Qu’est ce que tu ne comprends pas dans « ne bouge pas » ?
D’un geste absolument pas dissimulé, il passe sa main sur sa robe de sorcier pour lisser les plis qu’elle n’avait pas fait en s’accrochant à lui. Passant sa main dans ses cheveux, il lâche de son regard agacé la jeune femme pour se concentrer sur ce qu’il avait vu quelques secondes plus tôt.
- Il ne s’agit pas d’un piège mais d’un sortilège de dissimulation.
Il s’accroupie et passe sa main constatant plus clairement la distorsion quand sa main semble désarticulée. Il était sur le point d’annuler le sortilège pour constater ce qu’il pouvait bien dissimuler mais il se souvient qu’il était censé être le mentor et le Professeur de cette petite peste.
- Approche. Regarde. Passe ta main. Visualise très précisément la zone que couvre le sortilège, dans toutes ses dimensions. Et ensuite tu pourras lancer un Infinite.
Alors cette petite distorsion de l’espace, il faut moins d’une seconde entre l’instant ou son oeil la voit pour que son cerveau ne traite l’information et n’envoie le message d’alerte. Et heureusement, la rouquine a assez d’esprit pour considérer le danger et ne plus bouger. Enfin… Temporairement.
« Je savais qu'il fallait prendre MacCandless ! » Il avait jamais rien entendu de plus stupide au sein de ces bras cassés depuis… depuis… au moins une bonne semaine. Oui, parce que les dingueries qui sortaient de leurs bouches étaient malheureusement assez communes. Trop pour leur mentor en tout cas.
Evidemment, ces mots n’étaient pas les plus ahurissants dans cette histoire… Alors que l’ordre du Hill était on ne peut plus clair, elle quitte son piédestal pour sauter. Ayant la présence d’esprit de lancer un protego au passage. Quant au fait qu’elle lui saute dans les bras…
- Blackthorn !!
C’est tout juste s’il ne la jette pas dans la seconde, la détachant prestement tandis que le rapprochement physique le mettait extrêmement mal à l’aise.
- Qu’est ce que tu ne comprends pas dans « ne bouge pas » ?
D’un geste absolument pas dissimulé, il passe sa main sur sa robe de sorcier pour lisser les plis qu’elle n’avait pas fait en s’accrochant à lui. Passant sa main dans ses cheveux, il lâche de son regard agacé la jeune femme pour se concentrer sur ce qu’il avait vu quelques secondes plus tôt.
- Il ne s’agit pas d’un piège mais d’un sortilège de dissimulation.
Il s’accroupie et passe sa main constatant plus clairement la distorsion quand sa main semble désarticulée. Il était sur le point d’annuler le sortilège pour constater ce qu’il pouvait bien dissimuler mais il se souvient qu’il était censé être le mentor et le Professeur de cette petite peste.
- Approche. Regarde. Passe ta main. Visualise très précisément la zone que couvre le sortilège, dans toutes ses dimensions. Et ensuite tu pourras lancer un Infinite.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Ven 4 Aoû 2023 - 11:14
Clairement, sauter sur Andrew n'était pas l'idée la plus brillante qu'avait pu macérer son petit cerveau usé mais en cas de panique, elle était rarement rationnelle. D'où l'importance de McCandless qui, sans un mot, l'aurait sans mal enhardie : ils auraient foncés connement mais elle n'aurait pas pas paniqué. La voix du Hill tonne et réprimande mais Cataleya -retombée souplement sur ses jambes en dépit de sa condition de pestiférée aux yeux de son mentor [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] – fait aussitôt front. « Je comprend la demande mais je n'ai aucune confiance en la bouche qui l'assène ! » Mais puisque l'éclat de voix semble se lisser en même temps que la robe d'Andrew, la rousse lâche soudainement prise. Si elle détourne le visage pour volontairement ignorer toute demande implicite d'excuse, les explications étranges du runniste pique la soudaine attention de son élève. Étranges, oui, parce qu'elle ne l'avait jamais vraiment considéré comme apte à lui prodiguer le moindre enseignement puisqu'il passait son temps à râler et aller à contre-sens. Et à ramer dans deux sens drastiquement opposés, on n'allait nul part. Ou alors on entrait dans une épreuve de force complètement insensée ; ce qui se passait la majorité du temps entre elle et lui.
Le regard de la chandelle se plisse pourtant un peu pour tenter de percevoir ce que voyait les yeux plus expérimenté de son mentor mais ce n'est qu'à l'invitation franche d'Andrew qu'elle daigne faire un pas, puis s'accroupir. Un sortilège de dissimulation ? La main se tend et croisent des distorsions qui perturbent plus l'esprit que la peau et, aussitôt, le visage se tourne vers Andrew pour boire ses paroles.
Ok ! La baguette de saule tourne un peu dans les doigts de sa propriétaire et, fondamentalement plus assurée que lors de son Protego, la voix souffle l'antisort général. Si elle croit tout d'abord à un raté et lève un peu prestement sa baguette pour réitérer son ordre en augmentant les chances de faire cramer les rideaux miteux plus loin, force est d'admettre qu'elle finit par percevoir quelque chose se dessiner devant elle. Même si ça la contraint en pencher dangereusement la tête sur le côté pour lire les inscriptions latine venu se refléter, là, dans ses bleus iris. Ce n'est pas du latin, et la tête de la lufkin se révulse en arrière lorsqu'elle réalise que le choix de l'espagnol, dans une demeure madrilène, était désastreusement logique, le grognement de frustration n'en reste pas moins sonore. Elle connaissait ces mots, elle en était pourtant convaincue, quand bien même ils ne ressemblaient pas à ceux murmurés par Miguel ou Wyatt. Les sourcils se froncent subitement alors qu'elle dégaine son téléphone portable, prête à passer son appel à un joker puisqu'elle prétendait n'avoir aucune foutue notion d'espagnol, et si elle cherche ouvertement le numéro de Miguel, puis revient en arrière pour Wyatt, et enfin migre sur Ofélia, le défilement frénétique des contacts n'a finalement pour but que de tromper les liens que fait le cerveau. Elle connaît ces mots.
- « Sans voix il hurle... » Murmure t'elle enfin, passant le pouce sur cette porte en bois épais planté grossièrement devant eux. « Sans ailes il vole... » La moue se forme un peu, perplexe, mais l'expression se fait subitement enthousiaste lorsqu'elle se tourne vers Andrew. A croire qu'elle avait trouvé l’antidote à la lycantropie. « Sans voix il hurle, sans aile il vole, sans dents il mord et sans bouche il murmure ! C'est une comptine sorcière ! » Alors... Oui Cataleya, c'était une comptine sorcière espagnole, mais ça ne réglait pas le problème d'une porte désespérément close puisque tourner la poignée ne résolvait rien du tout. Ne pense même pas à donner un coup de pied dedans : c'était perdu d'avance.
Les sourcils se froncent, juste le temps de réaliser que ce n'est pas seulement une comptine certainement chanté dans ses jeunes années mais une putain d'énigme nulle en fait. Et les capes noires en avaient clairement des plus classes.
« V-Vento..? » Réessaie avec un accent moins haché au couteau s'il te plaît ? L'inspiration se prend, le port de tête se redresse pour feindre une noblesse toute Blackthorn, et à l'expression de Mademoiselle-je-sais-tout que prend la grande Quarta, difficile de croire qu'elle n'a pas fondamentalement confiance en sa réponse. « El viento ! »
La porte s'entrouvre dans un effroyable grincement et, hautement satisfaite, Cataleya se laisse même aller à une légère inclinaison devant son professeur. Comme pour le laisser prendre les devants. Soyons honnête : il était certainement le plus expérimenté des deux.
Le regard de la chandelle se plisse pourtant un peu pour tenter de percevoir ce que voyait les yeux plus expérimenté de son mentor mais ce n'est qu'à l'invitation franche d'Andrew qu'elle daigne faire un pas, puis s'accroupir. Un sortilège de dissimulation ? La main se tend et croisent des distorsions qui perturbent plus l'esprit que la peau et, aussitôt, le visage se tourne vers Andrew pour boire ses paroles.
Ok ! La baguette de saule tourne un peu dans les doigts de sa propriétaire et, fondamentalement plus assurée que lors de son Protego, la voix souffle l'antisort général. Si elle croit tout d'abord à un raté et lève un peu prestement sa baguette pour réitérer son ordre en augmentant les chances de faire cramer les rideaux miteux plus loin, force est d'admettre qu'elle finit par percevoir quelque chose se dessiner devant elle. Même si ça la contraint en pencher dangereusement la tête sur le côté pour lire les inscriptions latine venu se refléter, là, dans ses bleus iris. Ce n'est pas du latin, et la tête de la lufkin se révulse en arrière lorsqu'elle réalise que le choix de l'espagnol, dans une demeure madrilène, était désastreusement logique, le grognement de frustration n'en reste pas moins sonore. Elle connaissait ces mots, elle en était pourtant convaincue, quand bien même ils ne ressemblaient pas à ceux murmurés par Miguel ou Wyatt. Les sourcils se froncent subitement alors qu'elle dégaine son téléphone portable, prête à passer son appel à un joker puisqu'elle prétendait n'avoir aucune foutue notion d'espagnol, et si elle cherche ouvertement le numéro de Miguel, puis revient en arrière pour Wyatt, et enfin migre sur Ofélia, le défilement frénétique des contacts n'a finalement pour but que de tromper les liens que fait le cerveau. Elle connaît ces mots.
- « Sans voix il hurle... » Murmure t'elle enfin, passant le pouce sur cette porte en bois épais planté grossièrement devant eux. « Sans ailes il vole... » La moue se forme un peu, perplexe, mais l'expression se fait subitement enthousiaste lorsqu'elle se tourne vers Andrew. A croire qu'elle avait trouvé l’antidote à la lycantropie. « Sans voix il hurle, sans aile il vole, sans dents il mord et sans bouche il murmure ! C'est une comptine sorcière ! » Alors... Oui Cataleya, c'était une comptine sorcière espagnole, mais ça ne réglait pas le problème d'une porte désespérément close puisque tourner la poignée ne résolvait rien du tout. Ne pense même pas à donner un coup de pied dedans : c'était perdu d'avance.
Les sourcils se froncent, juste le temps de réaliser que ce n'est pas seulement une comptine certainement chanté dans ses jeunes années mais une putain d'énigme nulle en fait. Et les capes noires en avaient clairement des plus classes.
« V-Vento..? » Réessaie avec un accent moins haché au couteau s'il te plaît ? L'inspiration se prend, le port de tête se redresse pour feindre une noblesse toute Blackthorn, et à l'expression de Mademoiselle-je-sais-tout que prend la grande Quarta, difficile de croire qu'elle n'a pas fondamentalement confiance en sa réponse. « El viento ! »
La porte s'entrouvre dans un effroyable grincement et, hautement satisfaite, Cataleya se laisse même aller à une légère inclinaison devant son professeur. Comme pour le laisser prendre les devants. Soyons honnête : il était certainement le plus expérimenté des deux.
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» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
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» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Lun 21 Aoû 2023 - 21:06
Le contact physique avait toujours été délicat pour lui. Peut-être parce que des années durant il n’avait connu que les lanières de cuir pour toute étreintes, marquant son corps temporairement mais son âme a tout jamais. Peut-être pas non… Pénélope à force de patience et de douceur avait su lui démontrer qu’il pouvait y avoir de l’intéret dans les échanges tactiles.
Mais là vraiment, ça le mettait intinsément mal à l’aise, si bien qu’il avait presque « jeté » la madrilène, lui reprochant d’avoir désobéi. Car c’était ça, n’est ce pas ? Elle avait toujours une bonne excuse, une bonne raison de contrevenir. Toujours. Jamais Cataleya Blackthorn ne ployait l’échine pour reconnaître sa faute. Le jour où cela arriverait, peut être que lui même serait en capacité de se remettre en question. En attendant, ils étaient des murs l’un pour l’autre et n’étaient capable que de se rentrer dedans.
N’ayant ni l’envie ni le courage de la réprimander d’avantage, il préfère se tourner vers le sortilège que son oeil avisé avait su repérer. C’est amusant comme ses traits se lissent face à l’énigme. La contrariété fait aussitôt place a une instance concentration. C’est qu’il aimait ça, le Hill. Il n’y avait pas grand chose qu’il aimait plus que de résoudre un mystère. Que de comprendre.
Il avait d’ailleurs remarquablement vite compris. Et il aurait certainement pu gérer cela seul. Mais il se rappela soudainement son rôle et essaye de faire preuve de pédagogie. Il l’observe chercher de la main les contours du sortilèges. Il lui faut plusieurs reprises pour jeter de quoi désamorcer le sortilège et le Hill ne peut que froncer un sourcil face a ce constat. Il se demandait parfois pourquoi cette gamine restait sa préférée alors qu'elle avait un caractère d'eruptif et que sa manipulation de la magie était l'une des plus chaotique qu'il lui ait été donné de constater.
Des mots finissent par apparaitre et il faut reconnaitre que le runiste aurait été bien incapable de les traduire, ne pratiquant guère l’espagnol. Il reconnait néanmoins la comptine une fois traduite. Si la réponse parait évidente aux yeux d’Andrew, il se mord la joue pour ne rien en dire, laissant la Blackthorn a ses réflexions.
« El viento ! ». Déclic au loin. La poignée de la porte qui surplombe les escaliers s’ouvre. La comptine s’efface du marbre sous leurs yeux. Analysant les autres marches une a une, il hoche finalement la tête avant de se relever.
- On peut avancer.
D’un pas souple malgré la longue robe de sorcier qui l’étreint, il grimpe l’escalier et au lieu de le continuer celui-ci sur la droite ou sur la gauche, tire sur la porte qui leur fait face. Une affreuse odeur d’humidité et de poussière se répand. Cet endroit n’a pas connu visite depuis des lustres, il en est certain et cela excite sa curiosité. Restée derrière, il se retourne vers l’épine noire pour demander d’un air légèrement goguenard.
- Alors quoi Miss Blackthorn ? On joue la prudence désormais ?
Sans un mot, il allume sa baguette avant de rentrer dans la pièce. Les murs latéraux contiennent des grimoires à n’en plus finir. Le mur d’en face dispose d’un arbre généalogique dont il n’a que faire.
- Tu as des consignes quant aux livres que Sir Blackwood veut récupérer ?
Mais là vraiment, ça le mettait intinsément mal à l’aise, si bien qu’il avait presque « jeté » la madrilène, lui reprochant d’avoir désobéi. Car c’était ça, n’est ce pas ? Elle avait toujours une bonne excuse, une bonne raison de contrevenir. Toujours. Jamais Cataleya Blackthorn ne ployait l’échine pour reconnaître sa faute. Le jour où cela arriverait, peut être que lui même serait en capacité de se remettre en question. En attendant, ils étaient des murs l’un pour l’autre et n’étaient capable que de se rentrer dedans.
N’ayant ni l’envie ni le courage de la réprimander d’avantage, il préfère se tourner vers le sortilège que son oeil avisé avait su repérer. C’est amusant comme ses traits se lissent face à l’énigme. La contrariété fait aussitôt place a une instance concentration. C’est qu’il aimait ça, le Hill. Il n’y avait pas grand chose qu’il aimait plus que de résoudre un mystère. Que de comprendre.
Il avait d’ailleurs remarquablement vite compris. Et il aurait certainement pu gérer cela seul. Mais il se rappela soudainement son rôle et essaye de faire preuve de pédagogie. Il l’observe chercher de la main les contours du sortilèges. Il lui faut plusieurs reprises pour jeter de quoi désamorcer le sortilège et le Hill ne peut que froncer un sourcil face a ce constat. Il se demandait parfois pourquoi cette gamine restait sa préférée alors qu'elle avait un caractère d'eruptif et que sa manipulation de la magie était l'une des plus chaotique qu'il lui ait été donné de constater.
Des mots finissent par apparaitre et il faut reconnaitre que le runiste aurait été bien incapable de les traduire, ne pratiquant guère l’espagnol. Il reconnait néanmoins la comptine une fois traduite. Si la réponse parait évidente aux yeux d’Andrew, il se mord la joue pour ne rien en dire, laissant la Blackthorn a ses réflexions.
« El viento ! ». Déclic au loin. La poignée de la porte qui surplombe les escaliers s’ouvre. La comptine s’efface du marbre sous leurs yeux. Analysant les autres marches une a une, il hoche finalement la tête avant de se relever.
- On peut avancer.
D’un pas souple malgré la longue robe de sorcier qui l’étreint, il grimpe l’escalier et au lieu de le continuer celui-ci sur la droite ou sur la gauche, tire sur la porte qui leur fait face. Une affreuse odeur d’humidité et de poussière se répand. Cet endroit n’a pas connu visite depuis des lustres, il en est certain et cela excite sa curiosité. Restée derrière, il se retourne vers l’épine noire pour demander d’un air légèrement goguenard.
- Alors quoi Miss Blackthorn ? On joue la prudence désormais ?
Sans un mot, il allume sa baguette avant de rentrer dans la pièce. Les murs latéraux contiennent des grimoires à n’en plus finir. Le mur d’en face dispose d’un arbre généalogique dont il n’a que faire.
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Sam 2 Sep 2023 - 23:30
Le couloir est étroit, l’air humide, et la porte qui claque sombrement derrière la Blackthorn éveille en elle des hésitations qu’elle abhorre avec force. L’allure se fait dès lors rase, se coulant subtilement dans l’ombre d’Andrew pour l’épouser parfaitement. Elle n’aimait pas cette sensation de prise au piège, cette odeur de renfermée qui la prenait au coeur, mais le pas de son professeur induisait un tel rythme qu’inconsciemment sans doute, les appréhensions se firent plus discrètes. Du moins jusqu’à ce qu’il ne se retourne et darde sur elle cette étincelle railleuse qui pesa si lourd sur les sourcils de la Blackthorn qu’elle parvint à lui tirer un grondement frustré.
“Je te laisse devant pour que tu te manges les pièg-”
Le regard s’illumine pourtant lorsque se pousse la tête disproportionnée et laide (oui) du Hill et aussitôt le coeur se gonfle d’enthousiasme. Devant eux prennent place des étagères si hautes que la rousse, trépignant derrière son professeur, semble minuscule en comparaison. Les doigts veulent toucher à tout, le regard court follement sur les titres, mais les mains restent sagement tenus sur sa baguette pour éviter de déclencher tout mécanisme qui lui coûterait un episkey et les moqueries du brun tenu devant elle. Pourtant féline, elle parvient à se faufiler devant lui afin de se planter devant la tapisserie venu charmer ses grand yeux bleus.
“Je doute être dans le faux si je te répond “tout ce qui nous paraît intéressant””
La tête penche doucement sur le côté pour suivre les prénoms brodé à la recherche d’un père après lequel elle court sans se l’avouer. Une seconde du moins puisque s’attarder dessus attirerait certainement l’attention du Hill. Un lumos s’offre au mur, le temps de photographier du bout de son portable trop souvent tombé à terre la tapisserie, avant que le bleu regard de la Blackthorn ne courent après les livres.
“Circée ! Tu as déjà vu un ouvrage anthropodermique ? ”
La tête penche un peu en arrière pour capter le regard de son professeur dans un sourire beaucoup trop enthousiaste en comparaison de ce qui s’offrait à eux. “La Bibliopégie anthropodermique est une pratique ancienne, mais elle a retrouvé un regain d’intérêt au XIXe siècle. En général, ça annonce des ouvrages de médicomagie ou de magie noire. ” Précautionneusement, c’est d’un mouvement de baguette qu’elle invite le livre à sortir de sa niche et le fait léviter entre eux, aiguisant un sourire satisfait lorsqu’elle devine des motifs inscrit à l’encre noire. “La France excellait dans le traitement des peaux tatouées et, au vu des motifs que tu vois sur la reliure… Ca a tout l’air d’être un ouvrage importé. Tu paris sur des influences bretonnes ou catalane ?”
N’allait pas croire qu’elle se fascinait pour les ouvrages en peau humaine, mais les discussions tordues que nouait Aloysius et Charles Leroy étaient parfois informatives.
“Je te laisse devant pour que tu te manges les pièg-”
Le regard s’illumine pourtant lorsque se pousse la tête disproportionnée et laide (oui) du Hill et aussitôt le coeur se gonfle d’enthousiasme. Devant eux prennent place des étagères si hautes que la rousse, trépignant derrière son professeur, semble minuscule en comparaison. Les doigts veulent toucher à tout, le regard court follement sur les titres, mais les mains restent sagement tenus sur sa baguette pour éviter de déclencher tout mécanisme qui lui coûterait un episkey et les moqueries du brun tenu devant elle. Pourtant féline, elle parvient à se faufiler devant lui afin de se planter devant la tapisserie venu charmer ses grand yeux bleus.
“Je doute être dans le faux si je te répond “tout ce qui nous paraît intéressant””
La tête penche doucement sur le côté pour suivre les prénoms brodé à la recherche d’un père après lequel elle court sans se l’avouer. Une seconde du moins puisque s’attarder dessus attirerait certainement l’attention du Hill. Un lumos s’offre au mur, le temps de photographier du bout de son portable trop souvent tombé à terre la tapisserie, avant que le bleu regard de la Blackthorn ne courent après les livres.
“Circée ! Tu as déjà vu un ouvrage anthropodermique ? ”
La tête penche un peu en arrière pour capter le regard de son professeur dans un sourire beaucoup trop enthousiaste en comparaison de ce qui s’offrait à eux. “La Bibliopégie anthropodermique est une pratique ancienne, mais elle a retrouvé un regain d’intérêt au XIXe siècle. En général, ça annonce des ouvrages de médicomagie ou de magie noire. ” Précautionneusement, c’est d’un mouvement de baguette qu’elle invite le livre à sortir de sa niche et le fait léviter entre eux, aiguisant un sourire satisfait lorsqu’elle devine des motifs inscrit à l’encre noire. “La France excellait dans le traitement des peaux tatouées et, au vu des motifs que tu vois sur la reliure… Ca a tout l’air d’être un ouvrage importé. Tu paris sur des influences bretonnes ou catalane ?”
N’allait pas croire qu’elle se fascinait pour les ouvrages en peau humaine, mais les discussions tordues que nouait Aloysius et Charles Leroy étaient parfois informatives.
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Dim 10 Sep 2023 - 21:18
« Je te laisse devant pour que tu te manges les pièg-.. » Elle n’a pas le temps de finir sa phrase que le Hill se laisse aller à un regard vers le plafond, signe de son exaspération. S’il était faillible, ce n’était pas dans ce domaine. Il ne se donne pas la peine de répondre à cette énième provocation, trop occuper à sonder la salle à la recherche d’un énième piège.
Il grogne alors que la rouquine le dépasse, faisant fi de toutes mesures de sécurité qu’il aura pu lui enseigner un jour. S’il y avait eu un piège, elle aurait finit avec une phalange en moins ou une malédiction en plus. Heureusement, il semble que les anciens propriétaires des lieux aient considérés que la comptine suffirait.
« Je doute être dans le faux si je te répond -tout ce qui nous paraît intéressant- ». Il hoche la tête en s’assurant d’un énième sortilège puisque prudence est mère de sûreté. Convaincu qu’ils ne restent rien, il se laisse envahir par l’adrénaline qu’il a bien connu du temps où il était briseur de sorts. Celle qui précède, ou plutôt espère, une belle découverte.
Il ne s’occupe pas de ce que peut bien faire la gamine qui l’accompagne. Si elle s’approche de la bibliothèque, le britannique lui se dirige vers la vieille pensine de pierre. Une oeuvre remarquable. Un tel objet magique était bien trop onéreux pour son salaire de Professeur alors il envisage déjà comment il pourrait transporter l’outil sans l’abimer. Il est penché au niveau du socle de celle-ci quand la voix de Cataleya l’extrait de ses machinations.
« Circée ! Tu as déjà vu un ouvrage anthropodermique ? » Il grimace. Pour deux raisons. Parce qu’après tout ces mois elle le prend encore pour un bleu, parce que la pratique le dégoute légèrement mais également parce qu’il est lassé de devoir se répéter.
- Combien de fois devrais-je vous dire que la magie noire est un concept inventé pour vous brider. La magie est la magie. Il n’y a ni magie noire, ni magie blanche. Tout ce qui compte c’est la façon dont vous vous en servez.
Vous ? L’ensemble de ces têtes de noeuds de chauffe plats. Tous plus têtus et obtus les uns que les autres. Cela dit il se lève et s’approche pour observer le livre qui flotte désormais devant la jeune femme. D’un sortilège simple, il le fait s’ouvrir et les pages se tournent lentement.
- Ces livres valent une fortune même si l’éthique reste discutable quand il s’agit d’acheter des vestiges de peau humaine. Les gens qui vivaient ici sont inconscients d’avoir laissé à l’oubli de tels ouvrages… Je ne comprends pas… Pourquoi…
Il grogne alors que la rouquine le dépasse, faisant fi de toutes mesures de sécurité qu’il aura pu lui enseigner un jour. S’il y avait eu un piège, elle aurait finit avec une phalange en moins ou une malédiction en plus. Heureusement, il semble que les anciens propriétaires des lieux aient considérés que la comptine suffirait.
« Je doute être dans le faux si je te répond -tout ce qui nous paraît intéressant- ». Il hoche la tête en s’assurant d’un énième sortilège puisque prudence est mère de sûreté. Convaincu qu’ils ne restent rien, il se laisse envahir par l’adrénaline qu’il a bien connu du temps où il était briseur de sorts. Celle qui précède, ou plutôt espère, une belle découverte.
Il ne s’occupe pas de ce que peut bien faire la gamine qui l’accompagne. Si elle s’approche de la bibliothèque, le britannique lui se dirige vers la vieille pensine de pierre. Une oeuvre remarquable. Un tel objet magique était bien trop onéreux pour son salaire de Professeur alors il envisage déjà comment il pourrait transporter l’outil sans l’abimer. Il est penché au niveau du socle de celle-ci quand la voix de Cataleya l’extrait de ses machinations.
« Circée ! Tu as déjà vu un ouvrage anthropodermique ? » Il grimace. Pour deux raisons. Parce qu’après tout ces mois elle le prend encore pour un bleu, parce que la pratique le dégoute légèrement mais également parce qu’il est lassé de devoir se répéter.
- Combien de fois devrais-je vous dire que la magie noire est un concept inventé pour vous brider. La magie est la magie. Il n’y a ni magie noire, ni magie blanche. Tout ce qui compte c’est la façon dont vous vous en servez.
Vous ? L’ensemble de ces têtes de noeuds de chauffe plats. Tous plus têtus et obtus les uns que les autres. Cela dit il se lève et s’approche pour observer le livre qui flotte désormais devant la jeune femme. D’un sortilège simple, il le fait s’ouvrir et les pages se tournent lentement.
- Ces livres valent une fortune même si l’éthique reste discutable quand il s’agit d’acheter des vestiges de peau humaine. Les gens qui vivaient ici sont inconscients d’avoir laissé à l’oubli de tels ouvrages… Je ne comprends pas… Pourquoi…
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Ven 29 Sep 2023 - 11:28
“Combien de fois devrais-je vous dire [...]” La Blackthorn ne verbalise pas cette grossière imitation qui est celle d’un Andrew venu rabâcher les mêmes choses sans comprendre qu’elle ne pouvait décemment pas dire ça à son professeur de défense contre les forces du mal puisqu’il la considérait, au mieux comme une élève médiocre tant sa pratique était nerveuse et erratique, au pire comme une terroriste en devenir puisque sa théorie était un peu trop poussée sur ce genre de sujet. Il fallait avouer que passer son enfance collé au pas d’Aloysius et Claudia avait nécessairement banalisé des actes qui ne le devaient pas.
- “L’éthique”. Rappelle moi ce que tu tentais de m’inculquer il y a deux secondes ? Attend… Le sourire étire ses contours railleurs mais l’air que prend soudainement la Blackthorn se veut effroyablement solennel. Purement volé à son professeur ; "la magie noire est un concept inventé pour vous brider”. Mais n’est-ce pas l’éthique et la morale qui tracent la frontière entre ce qui est interdit ou non, professeur Hill ? Et puis, si on s'en tenait la l'éthique, nous ferions bien moins d'avancées...
La question de l'abandon de ces vestiges a cependant le mérite d'être posée, et si la rousse tend à la préservation de cet air insolent qui trône sur ses traits, le regard a tôt fait de se faire soucieux. Ses yeux bleus parcourent longuement ces trésors oubliés et intuitivement sans doute, elle les transposent à ceux des Blackthorn. Est-ce que tout empire était voué à la chute ? A s'éteindre bassement, et voir son cadavre pillé de la sorte ? Le pas la rapproche de la pensine qu'elle contemple longuement
- Je doute qu'ils soient parti de leur propre chef. Ose t-elle dans un souffle, penchant son visage au dessus du liquide sans pourtant s'y plonger. Guerre fratricide je dirai ; Les grandes familles s'écrasent toujours pour asseoir leur règne sur les autres. Tu n'as aucune idée de ce que pourrai commettre certain sang purs pour ne pas perdre la face à d'autres...
Pour conserver son pouvoir, sauvegarder son égo, ou simplement espérer survivre dans cet océan de requin. Les divorces coutaient excessivement cher et les stratagèmes pour piller l'autre était tant nombreux que les fiançailles entres jeunes gens prenaient vite des allures de conseil de guerre.
Tu.. Veux regarder ?
- “L’éthique”. Rappelle moi ce que tu tentais de m’inculquer il y a deux secondes ? Attend… Le sourire étire ses contours railleurs mais l’air que prend soudainement la Blackthorn se veut effroyablement solennel. Purement volé à son professeur ; "la magie noire est un concept inventé pour vous brider”. Mais n’est-ce pas l’éthique et la morale qui tracent la frontière entre ce qui est interdit ou non, professeur Hill ? Et puis, si on s'en tenait la l'éthique, nous ferions bien moins d'avancées...
La question de l'abandon de ces vestiges a cependant le mérite d'être posée, et si la rousse tend à la préservation de cet air insolent qui trône sur ses traits, le regard a tôt fait de se faire soucieux. Ses yeux bleus parcourent longuement ces trésors oubliés et intuitivement sans doute, elle les transposent à ceux des Blackthorn. Est-ce que tout empire était voué à la chute ? A s'éteindre bassement, et voir son cadavre pillé de la sorte ? Le pas la rapproche de la pensine qu'elle contemple longuement
- Je doute qu'ils soient parti de leur propre chef. Ose t-elle dans un souffle, penchant son visage au dessus du liquide sans pourtant s'y plonger. Guerre fratricide je dirai ; Les grandes familles s'écrasent toujours pour asseoir leur règne sur les autres. Tu n'as aucune idée de ce que pourrai commettre certain sang purs pour ne pas perdre la face à d'autres...
Pour conserver son pouvoir, sauvegarder son égo, ou simplement espérer survivre dans cet océan de requin. Les divorces coutaient excessivement cher et les stratagèmes pour piller l'autre était tant nombreux que les fiançailles entres jeunes gens prenaient vite des allures de conseil de guerre.
Tu.. Veux regarder ?
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Mar 10 Oct 2023 - 21:31
« Mais n’est-ce pas l’éthique et la morale qui tracent la frontière entre ce qui est interdit ou non, professeur Hill ? ». Voulait elle vraiment se perdre dans un débat de ce genre maintenant ? Alors qu’ils avaient du pain du la planche et pas beaucoup de temps devant eux. Cataleya avait toujours eut un sens du timing plus que discutable mais à cet instant c’était encore plus frustrant.
- Rappelle moi de t’appeler quand j’aurais besoin de quelqu’un pour me rappeler des évidences.
Il aurait pu en rester là. Non. Il aurait dû enfaite. Ca aurait été tellement plus simple. Se taire et profiter de ce que cette pièce pouvait avoir à leur ouvrir. La retourner. S’enquérir des moindres recoins. Et n’en ressortir qu’une fois les mains et les proches pleines au point d’avoir du ajuster le sortilège qui les enchantaient pour agrandir l’espace.
- Je n’ai jamais dit que l’éthique était inutile et que l’on devait se servir de la magie n’importe comment. La seule chose qui compte, c’est que la balance entre le bénéfice et les risques penchent toujours du bon côté.
C’était plus fort que lui. Il essayait encore et toujours de faire rentrer quelque-chose de bon dans cet esprit qui lui semblait pourtant hermétique.
- Quant à ces livres… Il n’a jamais été prouvé que cette technique avait un quelconque intérêt. Dans ces conditions, je préférerais qu’on en reste aux peaux animales ou au papier.
Il lui rend le livre d’un air un peu dégouté. Il hausse les épaules en l’écoutant raconter à demi mot l’histoire de sa famille, bien qu’il l’ignore qu’elle fut une Villanueva un jour. Trop occupé à parcourir les rayons de livre et à se servir parmi les plus intéressants, les empilants sous son bras sans le moindre scrupule et sans vraiment penser à leurs précédents propriétaires.
- Mhm ?…
Il termine de parcourir le dernier rayonnage avant de se tourner vers Cataleya qui est immobile devant la pensine. Le liquide argenté de reflète dans ses yeux bleus et rehausse le rose de ses joues. Certains l’auraient trouvé très belle mais Andrew restait imperméable à ce genre de constats.
- Ce n’est pas ce que Blackwood t’as demandé mais si ça t’amuse…
Pas un geste. Le silence. Jusqu’à ce qu’il comprenne.
- Quoi ? Moi ? Pourquoi je m’intéresserais aux souvenirs de vieux réac morts et enterrés ?
La vrai question qu’il devrait se poser c’est… pourquoi elle s’y intéressait.
- Rappelle moi de t’appeler quand j’aurais besoin de quelqu’un pour me rappeler des évidences.
Il aurait pu en rester là. Non. Il aurait dû enfaite. Ca aurait été tellement plus simple. Se taire et profiter de ce que cette pièce pouvait avoir à leur ouvrir. La retourner. S’enquérir des moindres recoins. Et n’en ressortir qu’une fois les mains et les proches pleines au point d’avoir du ajuster le sortilège qui les enchantaient pour agrandir l’espace.
- Je n’ai jamais dit que l’éthique était inutile et que l’on devait se servir de la magie n’importe comment. La seule chose qui compte, c’est que la balance entre le bénéfice et les risques penchent toujours du bon côté.
C’était plus fort que lui. Il essayait encore et toujours de faire rentrer quelque-chose de bon dans cet esprit qui lui semblait pourtant hermétique.
- Quant à ces livres… Il n’a jamais été prouvé que cette technique avait un quelconque intérêt. Dans ces conditions, je préférerais qu’on en reste aux peaux animales ou au papier.
Il lui rend le livre d’un air un peu dégouté. Il hausse les épaules en l’écoutant raconter à demi mot l’histoire de sa famille, bien qu’il l’ignore qu’elle fut une Villanueva un jour. Trop occupé à parcourir les rayons de livre et à se servir parmi les plus intéressants, les empilants sous son bras sans le moindre scrupule et sans vraiment penser à leurs précédents propriétaires.
- Mhm ?…
Il termine de parcourir le dernier rayonnage avant de se tourner vers Cataleya qui est immobile devant la pensine. Le liquide argenté de reflète dans ses yeux bleus et rehausse le rose de ses joues. Certains l’auraient trouvé très belle mais Andrew restait imperméable à ce genre de constats.
- Ce n’est pas ce que Blackwood t’as demandé mais si ça t’amuse…
Pas un geste. Le silence. Jusqu’à ce qu’il comprenne.
- Quoi ? Moi ? Pourquoi je m’intéresserais aux souvenirs de vieux réac morts et enterrés ?
La vrai question qu’il devrait se poser c’est… pourquoi elle s’y intéressait.
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Dim 26 Nov 2023 - 20:35
“Je n’ai jamais dit que [...]” Le sourire de la lufkin s’étire brillamment et, si la tête se révulse un instant en arrière pour croiser malicieusement le regard de son professeur, Cataleya finit par se faire violence et taire ses airs de lutin de Cornouaille. Ca ne l’empêche pourtant pas de souffler un “Il n’a non plus jamais été établit que cette technique n’avait pas grand intérêt” qui se veut presque sophiste. Plus animé par l’envie de jouer de réparti que véritablement argumenter puisque, tout doucement, le malaise s’insinue dans ses veines. Les explorations interdites, pourtant, c’est son dada. Se glisser dans des conduits étroit en quête de passage oubliés, balayer les murs du bout des doigts, flairer des pistes poussiéreuses, tout ça devrait la pousser à jubiler et pourtant, si c’est d’un geste impérieux qu’elle récupère l’artéfact et le fourre dans son sac, l’approche de la pensine se fait plus craintive. Peut être parce que son reflet argenté harponnait déjà cruellement son âme. Sans doute parce qu’elle avait effroyablement conscience que chaque pas la rapprochait d’un passé largement répudié.
Si elle n’ose alors pas toucher l’objet, une partie d’elle-même se surprend à espérer qu’Andrew la suivra dans ce semblant de curiosité. Elle le répétait mentor désastreux et pourtant, plus que jamais elle éprouvait le besoin de nicher sous ses ailes. Comme elle l’avait fait à l’époque, lorsque pleine d’admiration dans sa salle de cours, elle le fixait.
Mais voilà, Andrew était hautement désespérant et à peine vint-il à répondre que la lufkin s’enferma dans une forme de caprice. Les joues autant gonflés par la frustration que pour taire la singulière défiance qu’il éveillait chez sa disciple. Des réponses plus odieuses les unes que les autres s’enfilent sur les aiguilles de son âme mais c’est un redressement de menton hautain qui scelle finalement le silence de la rousse. Une seconde, du moins.
“Je ne sais pas, parce qu’on est en train de les piller ? Pour répondre à l’appel de la connaissance ? Parce que ça nous donnerait des indices sur ce que renferme ce lieu et leurs objets ? Après tu t’étonnes qu’on ne te prévient jamais quand on part explorer des cryptes ! ”
Non, Cat. Si vous le gardez sagement à l’écart c’est parce que vos actions à quatres étaient hautement répréhensibles, et que jamais votre mentor ne les cautionnerait. “Laisse tomber. Je vais trouver un moyen de la déplacer et je l’étudierai chez moi. ”
Si elle n’ose alors pas toucher l’objet, une partie d’elle-même se surprend à espérer qu’Andrew la suivra dans ce semblant de curiosité. Elle le répétait mentor désastreux et pourtant, plus que jamais elle éprouvait le besoin de nicher sous ses ailes. Comme elle l’avait fait à l’époque, lorsque pleine d’admiration dans sa salle de cours, elle le fixait.
Mais voilà, Andrew était hautement désespérant et à peine vint-il à répondre que la lufkin s’enferma dans une forme de caprice. Les joues autant gonflés par la frustration que pour taire la singulière défiance qu’il éveillait chez sa disciple. Des réponses plus odieuses les unes que les autres s’enfilent sur les aiguilles de son âme mais c’est un redressement de menton hautain qui scelle finalement le silence de la rousse. Une seconde, du moins.
“Je ne sais pas, parce qu’on est en train de les piller ? Pour répondre à l’appel de la connaissance ? Parce que ça nous donnerait des indices sur ce que renferme ce lieu et leurs objets ? Après tu t’étonnes qu’on ne te prévient jamais quand on part explorer des cryptes ! ”
Non, Cat. Si vous le gardez sagement à l’écart c’est parce que vos actions à quatres étaient hautement répréhensibles, et que jamais votre mentor ne les cautionnerait. “Laisse tomber. Je vais trouver un moyen de la déplacer et je l’étudierai chez moi. ”
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
» gallions sous la cape : 1558
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Ven 8 Déc 2023 - 14:57
“Il n’a non plus jamais été établi que cette technique n’avait pas grand intérêt”. Les narines expirent lourdement l’air comprimé dans ses poumons tandis que le regard du Hill se perd sur ce visage de porcelaine. Ses sentiments envers la Blackthorn avaient toujours été mitigés, changeants. Parfois il la trouvait brillante et il s'enthousiasmait secrètement de ses accomplissements. Parfois, il se demandait ce qui avait pu passer dans la tête de Blackwood pour qu’il puisse la juger apte à rejoindre les Capes Noires. Il aurait bien voulu voir le déroulement de l’épreuve qui avait entraîné son admission mais le fantôme gardait ces informations hautement confidentielles.
Andrew n’était pas du genre loquace et parler pour parler ne le séduisait guère. Surtout pas en cet instant. La Blackthorn l’avait fort bien compris car elle abandonna l’idée de s’appuyer sur un débat stérile et rangea le livre dans son sac avant de s’approcher de la pensine. S'offusquant du désintérêt de son mentor, elle décrète qu’elle trouvera bien un moyen de la déplacer jusqu’à chez elle.
Ca aurait pu en rester là si le regard de na jeune femme ne s’était pas fait aussi hautain. Quelques mois auprès de la jeune femme lui avait permis d’apprendre beaucoup sur elle. Il avait appris que cet air distinguait qu’elle essayait de se donner n’était qu’une grossière manière de cacher une blessure. Mais quelle blessure ? Le regard du britannique couvre lentement la pièce, se remémorant leurs échanges, cherchant ce qui avait pu contrarier l’épine noire à cet instant.
Les sourcils se froncent, les yeux se plissent tandis que les neurones s’activent plus ou moins vite. Elle avait réagi ainsi après qu’il eut qualifié (fort à raison d’ailleurs) les Villanueva de “vieux reac morts et enterrés”. Bien qu’il ne vienne pas de ce monde, il avait vite compris que pour évoluer aisément dans la société sorcière, il était important d’en apprendre tous les codes, toutes les nuances. Et il était amateur d’histoire au demeurant, même si elle était contemporaine. Alors il n’ignorait pas la bataille intestine qui avait écorché les Alvarez et leurs hotes actuels. Le regard se pose sur la tapisserie. Puis sur Cataleya. Puis sur la pensine. Et de nouveau sur Cataleya…
- A aucun moment Blackwood ne t’a envoyé ici, n’est ce pas ?
Le ton est calme, comme avant une tempête. Pourtant, on pourrait entendre un grondement sourd dans sa voix. Il venait de se rendre compte qu’il avait été floué et la floueuse ne s’en tirerait pas à si bon compte.
Andrew n’était pas du genre loquace et parler pour parler ne le séduisait guère. Surtout pas en cet instant. La Blackthorn l’avait fort bien compris car elle abandonna l’idée de s’appuyer sur un débat stérile et rangea le livre dans son sac avant de s’approcher de la pensine. S'offusquant du désintérêt de son mentor, elle décrète qu’elle trouvera bien un moyen de la déplacer jusqu’à chez elle.
Ca aurait pu en rester là si le regard de na jeune femme ne s’était pas fait aussi hautain. Quelques mois auprès de la jeune femme lui avait permis d’apprendre beaucoup sur elle. Il avait appris que cet air distinguait qu’elle essayait de se donner n’était qu’une grossière manière de cacher une blessure. Mais quelle blessure ? Le regard du britannique couvre lentement la pièce, se remémorant leurs échanges, cherchant ce qui avait pu contrarier l’épine noire à cet instant.
Les sourcils se froncent, les yeux se plissent tandis que les neurones s’activent plus ou moins vite. Elle avait réagi ainsi après qu’il eut qualifié (fort à raison d’ailleurs) les Villanueva de “vieux reac morts et enterrés”. Bien qu’il ne vienne pas de ce monde, il avait vite compris que pour évoluer aisément dans la société sorcière, il était important d’en apprendre tous les codes, toutes les nuances. Et il était amateur d’histoire au demeurant, même si elle était contemporaine. Alors il n’ignorait pas la bataille intestine qui avait écorché les Alvarez et leurs hotes actuels. Le regard se pose sur la tapisserie. Puis sur Cataleya. Puis sur la pensine. Et de nouveau sur Cataleya…
- A aucun moment Blackwood ne t’a envoyé ici, n’est ce pas ?
Le ton est calme, comme avant une tempête. Pourtant, on pourrait entendre un grondement sourd dans sa voix. Il venait de se rendre compte qu’il avait été floué et la floueuse ne s’en tirerait pas à si bon compte.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: You're not my mom. Ft Andrew (terminé)
Ven 8 Déc 2023 - 21:49
- “Il ne m’en a pas interdit l’accès et t’a convié : C'est une forme d’approbation.”
La réponse tombe aussitôt, et si les mains demeurent encore sagement posées sur la pensine, déjà le regard croise celui de son mentor. Son grondement éveille l'insubordination chez son élève dont l’animagus s’étire sous sa peau, bien trop conscient des représailles sur le point de frapper. Barghest ou Keir l’inviterait certainement à montrer patte blanche et n’auraient pas tord, mais prise dans un lieu qui l’angoissait en compagnie d’un homme dont elle se méfiait comme la peste, le minuscule dragon préféra subitement s’armer. Elle regretta seulement ne pas avoir avisé les autres du lieu où elle se trouvait puisqu’elle craignit, sur l’instant, que le Hill ne l’emmure vivante pour lui faire passer l’envie de se jouer de lui.
D’une lenteur toute mesurée, la rousse esquissa un pas sur le côté et contourna noblement la pensine pour mieux l’aborder. Estimant rapidement son poids, pour évaluer au mieux le moyen de transport adapté. Si les doigts semblaient se refuser à lâcher l’objet, force fut d’admettre que le regard qu’elle braquait sur son professeur se coula par deux fois sur les côtés, vraisemblablement pour se remémorer la configuration du lieu. Elle prépare sa fuite en cas d’attaque Blackthorn, c’est évident. C’est là le choix le plus logique puisqu’elle se sait mauvaise duelliste mais se devine plus rapide qu’un professeur constamment cloîtré dans son bureau et dont le cardio semblait aussi plat que ses choix de vie.
- “Soit libre de partir ; j'invoquerai mon mentor en cas de besoin. C'est pas comme si j'espérais encore que tu remplisses son rôle.”
La réponse tombe aussitôt, et si les mains demeurent encore sagement posées sur la pensine, déjà le regard croise celui de son mentor. Son grondement éveille l'insubordination chez son élève dont l’animagus s’étire sous sa peau, bien trop conscient des représailles sur le point de frapper. Barghest ou Keir l’inviterait certainement à montrer patte blanche et n’auraient pas tord, mais prise dans un lieu qui l’angoissait en compagnie d’un homme dont elle se méfiait comme la peste, le minuscule dragon préféra subitement s’armer. Elle regretta seulement ne pas avoir avisé les autres du lieu où elle se trouvait puisqu’elle craignit, sur l’instant, que le Hill ne l’emmure vivante pour lui faire passer l’envie de se jouer de lui.
D’une lenteur toute mesurée, la rousse esquissa un pas sur le côté et contourna noblement la pensine pour mieux l’aborder. Estimant rapidement son poids, pour évaluer au mieux le moyen de transport adapté. Si les doigts semblaient se refuser à lâcher l’objet, force fut d’admettre que le regard qu’elle braquait sur son professeur se coula par deux fois sur les côtés, vraisemblablement pour se remémorer la configuration du lieu. Elle prépare sa fuite en cas d’attaque Blackthorn, c’est évident. C’est là le choix le plus logique puisqu’elle se sait mauvaise duelliste mais se devine plus rapide qu’un professeur constamment cloîtré dans son bureau et dont le cardio semblait aussi plat que ses choix de vie.
- “Soit libre de partir ; j'invoquerai mon mentor en cas de besoin. C'est pas comme si j'espérais encore que tu remplisses son rôle.”
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