- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
» gallions sous la cape : 1558
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
art therapy - andreis ii
Dim 11 Juin 2023 - 21:18
Lundi 12 juin - Fin de journée.
Avant de rencontrer Penny, le sorcier n’avait jamais vraiment été attiré par l’art. Il n’y trouvait pas intérêt n’étant pas vraiment quelqu’un qu’on pouvait qualifier d’esthète. Il lui avait fallu nombre de discussions et même des heures à traverser en long en larges certaines galeries pour que finalement il comprenne.
Quelques minutes avec le Professeur d’Arts Plastiques avait suffit pour que le Hill organise cet instant. Il avait disposé sur le sol une toile neuve et ensorcelé plusieurs peintures colorées pour que de nombreuses poches flottent et se meuvent au dessus de celle-ci.
Il n’y avait plus qu’à attendre celle qu’il avait -encore- convoquée. Si le hibou messager était l’un des plus affectueux de la volière, le parchemin restait laconique. Un lieu. Un horaire. Une signature. Et quelques formules de bienséance pour enrobés le tout. Il avait enfilé un pantalon noir et une chemise assortie, comme si ça pouvait le protéger de l’arc-en-ciel déstructuré qui lui faisait face.
D’un geste, il consulta sa montre. Elle viendrait, il en était certain. Mais visiblement, la ponctualité n’était pas l’affaire de tous.
- InvitéInvité
Re: art therapy - andreis ii
Lun 12 Juin 2023 - 11:50
own my mind. | no, I'm not even superstitious but I'm feeling you're something vicious. |
(mood) (tenue) Ç’aurait dû être simple, c’était un tuyau à la con qui lui avait explosé dessus le matin même. Bien sûr que ça doit arriver aujourd’hui. Elle avait un rapport de projet à déposer auprès du conseil d’administration de la Jenkins le lendemain, une kermesse où déposer Dox avec son lot de gâteries qui seraient vendues par une autre mère que celle du garçon aux grands yeux clairs, et devait par-dessus le marché tenter de ne pas se sentir comme une mauvaise génitrice parce qu’elle ne pourrait pas être présente. Résultat : son rapport était presque fini, mais manquait de la finition à laquelle les administrateurs auraient eu le droit de s’attendre, ses petits gâteaux étaient bons mais semblaient s’effondrer sur eux-mêmes plutôt que de correspondre à l’allure aérienne et délicieusement soufflée que l’illustration accompagnant la recette promettait, et elle était détrempée face à la tuyauterie qu’elle avait été incapable de maîtriser entre deux fournées.
Quelle journée de merde.
Elle s’était enfin résignée à appeler un plombier, sa baguette ayant odieusement refusé de coopérer à l’endiguement de la fuite, lorsqu’une alerte avait fait vibrer son téléphone. La brune avait proféré un chapelet entier de jurons convoquant à la fois Jésus, son père et son putain de saint-esprit accompagnés d’une lithographie hagiographique alors qu’elle passait son t-shirt passablement humide d’avoir été au front des torrents (faux – la fuite n’était pas digne du Niagara, mais à l’échelle d’une journée stressante et chargée où la moindre goutte aurait suffi à faire déborder le vase figuré, même le plus petit ruissellement avait des allures de grand déluge). Elle allait être en retard, et celui qui l’attendait était un être parfaitement propret et positivement ponctuel. Ne pourrait même pas soupirer d’aise, une fois le souci de canalisation réglé, et espérer soupirer quelques instants dans un bain trop court qui aurait probablement le temps de refroidir à moitié avant qu’elle ne puisse s’y glisser.
Bree se précipita hors de chez elle, faisant usage d’un des portoloin qui emmenaient leurs passagers aux abords du domaine universitaire, maudissant le retard qu’elle devrait accumuler. Elle avait elle-même horreur des retardataires qui arrivaient en réunion frais et dispos (et avec l’insulte du café ajouté à l’injure du bris de ponctualité), mais ne pouvait se résoudre à apparaître en nage face à son enseignant. Traversa le territoire universitaire d’un pas leste et volontaire, maudissant intérieurement les interdictions stupides de transplanage qui sévissaient sur le domaine académique – c’est pas comme si tu étais actuellement capable de transplaner, dearest – et finit par le rejoindre dans la salle des cours d’arts plastiques, dont la porte était ouverte. S’annonça en toquant d’un geste discret mais audible contre l’embrasure boisée avant de s’introduire dans la pièce, le cœur palpitant légèrement de son trajet en accéléré. Jeta un regard sévère, ostensible, à sa montre, avant de le projeter sur le professeur. Sept minutes. « Je vous prie d’excuser mon retard, professeur. » Aucune excuse – elle n’aimait pas particulièrement qu’on les lui serve, et n’était pas intéressée à exemplifier la gestion difficile de son quotidien face au Hill, qui semblait avoir tout le temps du monde de se consacrer à ce qui faisait plaisir à ses jours – qu’il s’agisse de recherche ou de torture d’étudiantes plus ou moins consentantes et tout à fait récalcitrantes. Pourrait se montrer un peu plus volontaire, mais attendait (presque) humblement, ses mains tranquillement posées le long de son corps, neutralité incarnée en attente d'animation.
Quelle journée de merde.
Elle s’était enfin résignée à appeler un plombier, sa baguette ayant odieusement refusé de coopérer à l’endiguement de la fuite, lorsqu’une alerte avait fait vibrer son téléphone. La brune avait proféré un chapelet entier de jurons convoquant à la fois Jésus, son père et son putain de saint-esprit accompagnés d’une lithographie hagiographique alors qu’elle passait son t-shirt passablement humide d’avoir été au front des torrents (faux – la fuite n’était pas digne du Niagara, mais à l’échelle d’une journée stressante et chargée où la moindre goutte aurait suffi à faire déborder le vase figuré, même le plus petit ruissellement avait des allures de grand déluge). Elle allait être en retard, et celui qui l’attendait était un être parfaitement propret et positivement ponctuel. Ne pourrait même pas soupirer d’aise, une fois le souci de canalisation réglé, et espérer soupirer quelques instants dans un bain trop court qui aurait probablement le temps de refroidir à moitié avant qu’elle ne puisse s’y glisser.
Bree se précipita hors de chez elle, faisant usage d’un des portoloin qui emmenaient leurs passagers aux abords du domaine universitaire, maudissant le retard qu’elle devrait accumuler. Elle avait elle-même horreur des retardataires qui arrivaient en réunion frais et dispos (et avec l’insulte du café ajouté à l’injure du bris de ponctualité), mais ne pouvait se résoudre à apparaître en nage face à son enseignant. Traversa le territoire universitaire d’un pas leste et volontaire, maudissant intérieurement les interdictions stupides de transplanage qui sévissaient sur le domaine académique – c’est pas comme si tu étais actuellement capable de transplaner, dearest – et finit par le rejoindre dans la salle des cours d’arts plastiques, dont la porte était ouverte. S’annonça en toquant d’un geste discret mais audible contre l’embrasure boisée avant de s’introduire dans la pièce, le cœur palpitant légèrement de son trajet en accéléré. Jeta un regard sévère, ostensible, à sa montre, avant de le projeter sur le professeur. Sept minutes. « Je vous prie d’excuser mon retard, professeur. » Aucune excuse – elle n’aimait pas particulièrement qu’on les lui serve, et n’était pas intéressée à exemplifier la gestion difficile de son quotidien face au Hill, qui semblait avoir tout le temps du monde de se consacrer à ce qui faisait plaisir à ses jours – qu’il s’agisse de recherche ou de torture d’étudiantes plus ou moins consentantes et tout à fait récalcitrantes. Pourrait se montrer un peu plus volontaire, mais attendait (presque) humblement, ses mains tranquillement posées le long de son corps, neutralité incarnée en attente d'animation.
BY CΔLΙGULΔ ☾
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
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» crédits : maav
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» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf - Directeur des Ethelred
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Re: art therapy - andreis ii
Jeu 15 Juin 2023 - 16:40
Lentement les secondes s’écoulent. Il regrette de ne pas avoir pris un livre ou une pile de parchemin à corriger. Celui des première année par exemple, sur les meilleures techniques permettant l’inscription de runes. Un devoir qu’il aimait bien donner à ces très jeunes étudiants… Si certaines copies étaient classiques et ennuyeuses, certaines se révélaient parfois astucieuses et pleines de bon sens. C’est ainsi qu’il élisait ses préférés pour l’année prochaine.
Il aurait pu faire l’aller retour, mais il ne voulait pas paraître absent quand elle allait arriver. Il l’imaginait déjà, arrivant devant la salle de cours vide et faisant demi tour, s’en allant aussi vite qu’elle était revenue.. S’empressant de justifier son absence par un hibou aussi laconique que les sien “vous n’étiez pas là donc je n’avais pas l'intérêt de venir”. Il ne voulait pas lui offrir cette porte de sortie.
Les fesses installés contre un pupitre, une jambe nonchalamment croisée sur l’autre, il a le regard dans le vague. Intérieurement, il fait la liste de toutes les recherches qu’il voudrait pouvoir mener. Il pointe les jours du calendrier où les filles de Penny lui laisseront le champ libre. Il énumère toutes les étapes qui précèdent son enfermement dans les anciennes geôles du château, quelques mètres plus bas, les soirs de pleine lune.
« Je vous prie d’excuser mon retard, professeur. » Il manque la majuscule. On l'entend dans sa voix. Arraché à ses pensées, le réflexe de poser un œil sur sa montre. Huit minutes de retard. Et cette odeur… Si la lycanthropie l’a rendu olfactivement plus sensible, ça faisait bien des années qu’il ne s’était plus ressenti aussi submergé par une odeur en particulier. D’un geste qui pourrait aussi bien être “bonjour” que “vous êtes toute excusée” ou même “je plus surprise par votre présence que par votre retard”, il finit par se redresser de toute sa hauteur. S’écartant pour lui laisser le loisir d’observer ce qui allait pouvoir les occuper.
- J’ai pensé qu’un peu de couleur ne vous ferait pas de mal.
Le sourire est moqueur, dardant un regard sur la tenue de la jeune sorcière, mais il s’imagine qu’elle ne peut pas mal le prendre étant donné qu’ils sont habillés de la même façon au détail près que la chemise d’Andrew recouvre parfaitement ses tatouages là où la peau délicate de Briséis laisse entrevoir des courbes naissantes.
- Vous avez compris le principe ou je dois vous expliciter l’exercice ?
Il aurait pu faire l’aller retour, mais il ne voulait pas paraître absent quand elle allait arriver. Il l’imaginait déjà, arrivant devant la salle de cours vide et faisant demi tour, s’en allant aussi vite qu’elle était revenue.. S’empressant de justifier son absence par un hibou aussi laconique que les sien “vous n’étiez pas là donc je n’avais pas l'intérêt de venir”. Il ne voulait pas lui offrir cette porte de sortie.
Les fesses installés contre un pupitre, une jambe nonchalamment croisée sur l’autre, il a le regard dans le vague. Intérieurement, il fait la liste de toutes les recherches qu’il voudrait pouvoir mener. Il pointe les jours du calendrier où les filles de Penny lui laisseront le champ libre. Il énumère toutes les étapes qui précèdent son enfermement dans les anciennes geôles du château, quelques mètres plus bas, les soirs de pleine lune.
« Je vous prie d’excuser mon retard, professeur. » Il manque la majuscule. On l'entend dans sa voix. Arraché à ses pensées, le réflexe de poser un œil sur sa montre. Huit minutes de retard. Et cette odeur… Si la lycanthropie l’a rendu olfactivement plus sensible, ça faisait bien des années qu’il ne s’était plus ressenti aussi submergé par une odeur en particulier. D’un geste qui pourrait aussi bien être “bonjour” que “vous êtes toute excusée” ou même “je plus surprise par votre présence que par votre retard”, il finit par se redresser de toute sa hauteur. S’écartant pour lui laisser le loisir d’observer ce qui allait pouvoir les occuper.
- J’ai pensé qu’un peu de couleur ne vous ferait pas de mal.
Le sourire est moqueur, dardant un regard sur la tenue de la jeune sorcière, mais il s’imagine qu’elle ne peut pas mal le prendre étant donné qu’ils sont habillés de la même façon au détail près que la chemise d’Andrew recouvre parfaitement ses tatouages là où la peau délicate de Briséis laisse entrevoir des courbes naissantes.
- Vous avez compris le principe ou je dois vous expliciter l’exercice ?
- InvitéInvité
Re: art therapy - andreis ii
Jeu 6 Juil 2023 - 19:15
own my mind. | no, I'm not even superstitious but I'm feeling you're something vicious. |
(mood) (tenue) Plus observatrice que la moyenne, l’étudiante ne manqua pas de remarquer le regard instinctif que posa l’enseignant sur sa montre, comme s’il entendait laisser aux aiguilles mécaniques le fardeau de décider de son degré d’impolitesse. Peu importa à Bree, qui n’entendait pas présenter plus de regret qu’elle n’en éprouvait - surtout pas lorsque les reproches ne se matérialisèrent pas. Il y en avait bien trop, des femmes qui demandaient pardon trois fois trop longtemps pour un rien, alors que pour le même geste, un homme se contenterait de prendre sa place comme une fleur. Elle approcha lorsque l’arcaniste fit un signe, l’interprétant comme un assentiment neutre, et parcourut des yeux ce qui l’attendait, à présent que le Hill en avait libéré l’accès visuel.
« J’ai pensé qu’un peu de couleur ne vous ferait pas de mal. » S’ils avaient été sur un meilleur terrain d’entente, plutôt qu’un enseignant exigeant et rigide face à une étudiante douée mais récalcitrante. S’il avait été moins distant, moins attaché à la bienséance, si elle avait été moins rétive, moins sauvage, elle lui aurait souri, alors, non pas de ces airs ironiques et mutins qui la caractérisaient si souvent, mais avec les yeux, le pétillement au fond des prunelles qui invitait à la connivence. « Excusez-moi professeur, j’ai presque cru à un trait d’humour de votre part », aurait-elle dit, amusée par son trait d’esprit et rassurée de pouvoir sauter sur un pont relationnel autre que le mélange d’insurrection et d’ironie aux allures de caprice entretenu à l’égard du professeur tatillon. Mais ce n’était pas le cas - Hill demeurait à la fois son outil salvateur (car il n’était qu’un moyen pour atteindre une fin qui n’avait aucun rapport avec lui, elle se moquait d’être dans ses bonnes graces) et une royale épine à son pied. Alors sourit d’un air un peu mutin, soulignant malgré tout « je suppose que vous participerez aussi à l’exercice, dans ce cas? ». Le ton ironique et la mine pas bien méchante, mais épousant la moquerie de l’enseignant en désignant d’un mouvement gracieux du menton la tenue de l’enseignant.
« Vous avez compris le principe ou je dois vous expliciter l’exercice ? » Les sourcils froncés, Bree approcha de la toile et des couleurs. Il devait y avoir trois degrés supplémentaires à ce qu’elle anticipait, Hill avait ce talent particulier lorsqu’il s’agissait de présenter des objectifs qui paraissaient simples mais faisaient travailler ses apprenants à plusieurs niveaux. Les contraintes sont mères de créativité, disait-il en classe, et il l’agaçait parce qu’il avait raison. « J’imagine que vous ne souhaitez pas simplement que je peigne au hasard de mes ambitions magiques, professeur? », demanda la jeune femme en affrontant l’air tranquille de l’enseignant de ses prunelles acérées. « Me feriez-vous une démonstration? » Pas de s’il vous plaît, pas de professeur, tout juste un air poliment intrigué qui aurait pu passer pour de l’insolence.
« J’ai pensé qu’un peu de couleur ne vous ferait pas de mal. » S’ils avaient été sur un meilleur terrain d’entente, plutôt qu’un enseignant exigeant et rigide face à une étudiante douée mais récalcitrante. S’il avait été moins distant, moins attaché à la bienséance, si elle avait été moins rétive, moins sauvage, elle lui aurait souri, alors, non pas de ces airs ironiques et mutins qui la caractérisaient si souvent, mais avec les yeux, le pétillement au fond des prunelles qui invitait à la connivence. « Excusez-moi professeur, j’ai presque cru à un trait d’humour de votre part », aurait-elle dit, amusée par son trait d’esprit et rassurée de pouvoir sauter sur un pont relationnel autre que le mélange d’insurrection et d’ironie aux allures de caprice entretenu à l’égard du professeur tatillon. Mais ce n’était pas le cas - Hill demeurait à la fois son outil salvateur (car il n’était qu’un moyen pour atteindre une fin qui n’avait aucun rapport avec lui, elle se moquait d’être dans ses bonnes graces) et une royale épine à son pied. Alors sourit d’un air un peu mutin, soulignant malgré tout « je suppose que vous participerez aussi à l’exercice, dans ce cas? ». Le ton ironique et la mine pas bien méchante, mais épousant la moquerie de l’enseignant en désignant d’un mouvement gracieux du menton la tenue de l’enseignant.
« Vous avez compris le principe ou je dois vous expliciter l’exercice ? » Les sourcils froncés, Bree approcha de la toile et des couleurs. Il devait y avoir trois degrés supplémentaires à ce qu’elle anticipait, Hill avait ce talent particulier lorsqu’il s’agissait de présenter des objectifs qui paraissaient simples mais faisaient travailler ses apprenants à plusieurs niveaux. Les contraintes sont mères de créativité, disait-il en classe, et il l’agaçait parce qu’il avait raison. « J’imagine que vous ne souhaitez pas simplement que je peigne au hasard de mes ambitions magiques, professeur? », demanda la jeune femme en affrontant l’air tranquille de l’enseignant de ses prunelles acérées. « Me feriez-vous une démonstration? » Pas de s’il vous plaît, pas de professeur, tout juste un air poliment intrigué qui aurait pu passer pour de l’insolence.
BY CΔLΙGULΔ ☾
- Andrew Hillgo wild ☽ for a while
- » parchemins postés : 258
» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
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» âge : 39 ans (depuis le 28 décembre 2024)
» situation : son âme s'est envolée en même temps que celle de son amour
» nature du sang : né-moldu
» particularité : loup-garou
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Re: art therapy - andreis ii
Sam 22 Juil 2023 - 10:25
L’humour n’avait jamais été son fort, il fallait le reconnaître. Les rares fois où il s’y essayait, c’était soit capillotracté et donc malheureusement incompréhensible pour son interlocuteur, soit c’était involontairement cruel et ça n’avait évidemment pas l’effet escompté. Rares étaient les personnes avec qui il avait pu établir ce genre de connexion.
« Je suppose que vous participerez aussi à l’exercice, dans ce cas ? » l’ironie suinte jusque dans ses oreilles. Même un homme sourd ne pourrait l’ignorer. Cela dit, il est beau joueur et il considère qu’elle n’a pas tort puisqu’il est vetu tout de noir lui aussi. Il faut dire qu’il n’aime l’originalité que dans son assiette et dans ses expériences. Sa garde robe, elle, est one ne peut plus classique. D’aucun diraient ennuyeuse avant que Penny n’y ajoute quelques capes de couleur profondes.
Mieux valait ne pas s’épancher sur le theme de leurs habits respectifs et de se concentrer sur l’exercice qu’il avait inventé pour travailler la précision magique de la Jenkins. Comme il l’avalt prévu, elle comprend rapidement l’intéret de l’exercice sans qu’il ait le besoin de l’expliciter. « Me feriez-vous une démonstration? »
- Cela vous surprendra peut-être, mais mes compétences en magie ne sauront peut être pas compenser mon manque de créativité.
Il n’avait pas envisagé de devoir faire cet exercice mais il connaissait assez l’étudiante pour savoir ce s’il ne se pliait pas au jeu, il n’y avait aucune chance pour qu’elle le fasse.
- Voyons voir..
Il s’approche de la toile et observe les sphères de peintures ainsi que les séquences de leur mouvement un certain temps. Assez longtemps pour se rendre compte que ça ne lui inspire pas grand chose, en l’état. Sa baguette roule doucement entre ses doigts tandis que ses sourcils se froncent élégamment. Et finalement… lançant un sortilège pour modifier la séquence des mouvements des sphères, il les programme pour qu'elles se déplacent selon son idées. Et puis avec précision, il fait éclater quelques sphères. Sur la toile, un escalier en nuances de bleu. C'est esthétique mais indéfiniment terne, il faut le reconnaître. Pourtant, il a cet air sur le visage de ceux qui sont extrêmement fier d'eux même.
- Bien. avant de vous lancer, pourriez vous me confier les problèmes que vous pourriez rencontrer, Miss Jenkins ?
« Je suppose que vous participerez aussi à l’exercice, dans ce cas ? » l’ironie suinte jusque dans ses oreilles. Même un homme sourd ne pourrait l’ignorer. Cela dit, il est beau joueur et il considère qu’elle n’a pas tort puisqu’il est vetu tout de noir lui aussi. Il faut dire qu’il n’aime l’originalité que dans son assiette et dans ses expériences. Sa garde robe, elle, est one ne peut plus classique. D’aucun diraient ennuyeuse avant que Penny n’y ajoute quelques capes de couleur profondes.
Mieux valait ne pas s’épancher sur le theme de leurs habits respectifs et de se concentrer sur l’exercice qu’il avait inventé pour travailler la précision magique de la Jenkins. Comme il l’avalt prévu, elle comprend rapidement l’intéret de l’exercice sans qu’il ait le besoin de l’expliciter. « Me feriez-vous une démonstration? »
- Cela vous surprendra peut-être, mais mes compétences en magie ne sauront peut être pas compenser mon manque de créativité.
Il n’avait pas envisagé de devoir faire cet exercice mais il connaissait assez l’étudiante pour savoir ce s’il ne se pliait pas au jeu, il n’y avait aucune chance pour qu’elle le fasse.
- Voyons voir..
Il s’approche de la toile et observe les sphères de peintures ainsi que les séquences de leur mouvement un certain temps. Assez longtemps pour se rendre compte que ça ne lui inspire pas grand chose, en l’état. Sa baguette roule doucement entre ses doigts tandis que ses sourcils se froncent élégamment. Et finalement… lançant un sortilège pour modifier la séquence des mouvements des sphères, il les programme pour qu'elles se déplacent selon son idées. Et puis avec précision, il fait éclater quelques sphères. Sur la toile, un escalier en nuances de bleu. C'est esthétique mais indéfiniment terne, il faut le reconnaître. Pourtant, il a cet air sur le visage de ceux qui sont extrêmement fier d'eux même.
- Bien. avant de vous lancer, pourriez vous me confier les problèmes que vous pourriez rencontrer, Miss Jenkins ?