- Zooey de CornouillerOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 249
» miroir du riséd : Sabrina Carpenter
» crédits : gif gcwh
» âge : 19 ans
» situation : celibataire
» année d'études : 1a
» options obligatoires & facultatives : ---
★ medicomagie appliquee
★ potions
★ metamorphose
★ botanique
★ arts sceniques
★ Soins aux Créatures Magiques
» profession : serveuse à la Moufette enchantée
» nature du sang : mère vélane et père (sang pur) inconnu.
» gallions sous la cape : 273
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Zooey ๑ l'innocence, cœur romantique.
Jeu 4 Jan 2024 - 23:13
Chronologie
๑ en cours | ๑ terminés | ๑ annulés
14.09 ๑ Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda! feat. @James Blackthorn.
21.12 ๑ Bal de Yule - contre-soirée ; j'ai vu de la lumière, je suis rentré... feat. @Luan Nguyen.
07.02 ๑ MÍA. ¡Será MÍA! feat. @Maximilien Leroy.
15.03 ๑ Bonbons, potion, explosion ? feat. @Billie Shakespeare.
??.03 ๑ Au pied du mur (td de métamorphose) feat. @Isabelle D'Essenault et les étudiants concernés.
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
KoalaVolant- Zooey de CornouillerOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 249
» miroir du riséd : Sabrina Carpenter
» crédits : gif gcwh
» âge : 19 ans
» situation : celibataire
» année d'études : 1a
» options obligatoires & facultatives : ---
★ medicomagie appliquee
★ potions
★ metamorphose
★ botanique
★ arts sceniques
★ Soins aux Créatures Magiques
» profession : serveuse à la Moufette enchantée
» nature du sang : mère vélane et père (sang pur) inconnu.
» gallions sous la cape : 273
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Zooey ๑ l'innocence, cœur romantique.
Lun 18 Mar 2024 - 19:37
10.03.2024
S’il est impossible de ne pas penser à quelque chose, il reste encore possible de penser à autre chose.
Dans les méandres du labyrinthe de l’esprit humain, une équation inextricable se dessine, une énigme dont les contours semblent flous et changeants. Au cœur de cet enchevêtrement de pensées, l'échec, tel un démon sournois, se tapit dans l'ombre, attendant son heure pour surgir et semer le doute. Chaque pensée, chaque réflexion, est comme une pièce de puzzle manquante, une absence qui pèse sur l'esprit comme une chape de plomb. Tenter d'échapper à ces pensées intrusives est semblable à une danse folle, un pas de deux avec l'angoisse comme partenaires. Tel un acrobate sur le fil du rasoir, l'esprit oscille entre la peur de l'échec et le besoin désespéré de trouver un répit entre pile de parchemin à ne plus voir que quelques mèches qui dépassent et tâches d’encre sur le bout du nez à finir par s’endormir sur ses travaux. Mais même lorsque les pensées se bousculent comme des spectres affamés, il reste encore un rai de lumière vacillant dans les ténèbres.
C'est dans ces moments d'égarement, lorsque l'esprit semble sur le point de céder sous le poids de ses propres tourments, que surgit une étrange magie. Comme un tour de passe-passe dans un spectacle de cirque, l'esprit trouve soudain la force de détourner son regard, de dévier sa trajectoire vers des horizons inexplorés. Car même lorsque l'échec semble inéluctable, il reste encore cette possibilité, infime mais tangible, de se perdre dans les méandres de l'imagination, d'explorer des mondes nouveaux où les règles de la réalité sont suspendues. C’est ce qu’on appelle… Des rêves. Rêves qui accompagnent d’ailleurs le filet de bave qui coule présentement au coin des lèvres de la petite blonde qui finira bien par ce réveiller à un moment, ou à un autre avec la trace de tout ce qui encombre son bureau comme nouveau tatouage directement gravé sur la peau. Quelle chance !
C’est le tambourinement à sa porte, martellement à réveiller même les morts, qui la feront sortir du monde ses songes dans un sursaut qui la déséquilibrera et sa chaise avec. Et PAF là semi-vélane qui va pouvoir voir le lino de sa chambre d’un peu trop près. C’est en se redressant et frottant l’arrière de son crâne avec une petite moue boudeuse que ses yeux traîneront vers l’horloge et qu’un vent de panique s’insinuera en elle.
- J’arrive… J’arrive ! – effectivement, elle arrive.
- Cariño, où est le sac que je t’ai passé la dernière fois ?
- Uh ? Ah ta collection de Bavboule ? Sous mon lit, là-bas. Je l’ai caché et je n’ai pas regardé dedans, comme tu m’avais dit.
- C’est bien, Cariño, je vais le prendre maintenant, ok ? Et n’oublie pas, motus et bouche cousue !
- Heu… Oui ok, mais tu vas bien Rebe ? Tu veux un chocolat chaud ?
- Pas le temps, mais je t’appellerai bientôt, ok ?
- Ok ! …
SBAM que fait la porte qui se referme sur une Zooey qui ne sait pas tout à fait ce qui vient de se passer. Et si on se demande à quel moment ces deux-là ont pu devenir « amies » ou à minima « copines », bien qu’on puisse également analyser la situation comme une « mule » et … Bon bref… ça a dû arriver quelque part en chemin entre la contre-soirée du bal de Yule et l’après arrachage à la volée de sac à dos un matin beaucoup trop tôt. Chose que l’on détaillera dans le prochain épisode, peut-être, de la fin qu’aura connue miss Velazquez.
C'est dans ces moments d'égarement, lorsque l'esprit semble sur le point de céder sous le poids de ses propres tourments, que surgit une étrange magie. Comme un tour de passe-passe dans un spectacle de cirque, l'esprit trouve soudain la force de détourner son regard, de dévier sa trajectoire vers des horizons inexplorés. Car même lorsque l'échec semble inéluctable, il reste encore cette possibilité, infime mais tangible, de se perdre dans les méandres de l'imagination, d'explorer des mondes nouveaux où les règles de la réalité sont suspendues. C’est ce qu’on appelle… Des rêves. Rêves qui accompagnent d’ailleurs le filet de bave qui coule présentement au coin des lèvres de la petite blonde qui finira bien par ce réveiller à un moment, ou à un autre avec la trace de tout ce qui encombre son bureau comme nouveau tatouage directement gravé sur la peau. Quelle chance !
C’est le tambourinement à sa porte, martellement à réveiller même les morts, qui la feront sortir du monde ses songes dans un sursaut qui la déséquilibrera et sa chaise avec. Et PAF là semi-vélane qui va pouvoir voir le lino de sa chambre d’un peu trop près. C’est en se redressant et frottant l’arrière de son crâne avec une petite moue boudeuse que ses yeux traîneront vers l’horloge et qu’un vent de panique s’insinuera en elle.
- J’arrive… J’arrive ! – effectivement, elle arrive.
- Cariño, où est le sac que je t’ai passé la dernière fois ?
- Uh ? Ah ta collection de Bavboule ? Sous mon lit, là-bas. Je l’ai caché et je n’ai pas regardé dedans, comme tu m’avais dit.
- C’est bien, Cariño, je vais le prendre maintenant, ok ? Et n’oublie pas, motus et bouche cousue !
- Heu… Oui ok, mais tu vas bien Rebe ? Tu veux un chocolat chaud ?
- Pas le temps, mais je t’appellerai bientôt, ok ?
- Ok ! …
SBAM que fait la porte qui se referme sur une Zooey qui ne sait pas tout à fait ce qui vient de se passer. Et si on se demande à quel moment ces deux-là ont pu devenir « amies » ou à minima « copines », bien qu’on puisse également analyser la situation comme une « mule » et … Bon bref… ça a dû arriver quelque part en chemin entre la contre-soirée du bal de Yule et l’après arrachage à la volée de sac à dos un matin beaucoup trop tôt. Chose que l’on détaillera dans le prochain épisode, peut-être, de la fin qu’aura connue miss Velazquez.
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
KoalaVolant
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