- Charlie KeirMODO - Modérateur
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» situation : célibataire
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Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Dim 18 Fév 2024 - 20:58
Charlie n’a pas regardé le classement. Cela l’importe peu. Il a fait le challenge pour se dépasser, prouver qu’il en était capable. Quel con ! Il aurait dû laisser sa place à Miguel, il ne se serait pas autant ridiculisé que lui. Quand il est enfin sorti de ce labyrinthe d’épreuves, il a refusé d’en parler. Et s’il se trouve à cette fête, c’est uniquement parce qu’elle se trouve dans son appartement. Installé sur le canapé, les genoux repliés contre son torse et le menton posé dessus, Charlie est dans son monde. Son visage porte encore les marques de ce qu’il a vécu et dont il ne parle pas. Il n’écoute pas la conversation, son verre est toujours plein – il n’y a pas touché ; regard dans le vide, mine imperturbable, réaction inexiste… tous les symptômes du déserteur. Son esprit l’emprisonne dans la case 25 et il lui semble encore sentir le faux-souffle de la bête au-dessus de lui. Simple courant d’air. Il se recroqueville un peu plus sur le canapé sans même le réaliser. En fin de compte, c’est à peine s’il prend de la place. La douche n’a pas su effacer dans ses narines les effluves des bombabouses ; pourtant, ses cheveux sentent bon le shampoing à l’amande douce et sa peau le gel douche au lilas. Sa cuisse le démange mais il l’ignore volontairement. S’il commence à y faire attention, il voudra la gratter jusqu’au sang. Pas le moment de se donner en spectacle.
Autour de lui, on parle des épreuves. Alex n’est pas là, parti à la chasse aux Nymphes apparemment. Tant mieux pour lui. Il a envie de dire qu’il a bien aimé le puzzle, mais les mots ne sortent pas. Il revient peu à peu au salon, sort de la case 25. Il faut bien faire un peu semblant. Ça sent la cigarette, il grimace. Où est celle qu’il a offerte à Lewis ? Il ne la voit pas.
@Cataleya Blackthorn @Lewis Barghest @Miguel Pajares
Autour de lui, on parle des épreuves. Alex n’est pas là, parti à la chasse aux Nymphes apparemment. Tant mieux pour lui. Il a envie de dire qu’il a bien aimé le puzzle, mais les mots ne sortent pas. Il revient peu à peu au salon, sort de la case 25. Il faut bien faire un peu semblant. Ça sent la cigarette, il grimace. Où est celle qu’il a offerte à Lewis ? Il ne la voit pas.
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Lun 19 Fév 2024 - 19:05
Posant une nouvelle fois les lèvres sur une bière dont elle avait pourtant juré ne pas vouloir, Cataleya lève les yeux vers Miguel pour s’assurer qu’il ne lui en tient pas rigueur. C’est qu’elle pousse le bouchon Mauricette, trônant sur ses cuisses en dépit des places assises et crapotant sur sa cigarette lorsqu’elle ne sifflait tout bonnement pas ses boissons. Aujourd’hui pourtant elle avait une excuse ; elle avait poutré de l’acromentule, du chaporouge, et un foutu dragon avec tant de brio qu’elle s'enorgueillissait presque contre sa mâchoire à chaque fois qu'on le lui rappelait. Le sourire de la lufkin s'essaye tout de même à s'excuser auprès de l'espagnol en lui rendant sa bière mais l'œil ne trompe pas : Elle a des airs de lutin de Cornouaille tapis sous les cils, Cataleya. Chaotiques, malicieux, et définitivement ingérables. Ils trouvaient cependant une autre teinte lorsqu'elle les reportait non plus sur Miguel mais bien sur Lewis, Lewis qui était sorti de ses épreuves presque cul nul. " Non mais toi c'est pas pareil, tu me fais honte ! " S'indigne t'elle à nouveau, tentant d'atteindre sa jambe de géant à l'aide de ses propres talons aiguilles. Si la Blackthorn s'acharne ridiculement encore quelques secondes, agitant sa jambe dans le vide dans l'espoir de lui flanquer un coup, l'oeil se laisse happer par Charlie dont le visage se refuse à reprendre de la couleur. Tenu immobile, presque prostré, dans son minuscule bout de canapé.
Un baiser se pose sur la joue de Miguel pour signaler qu'elle allait lui chercher un verre puisque, odieusement, elle le lui avait vidé, mais le pas se stoppe derrière le canapé. Juste au dessus de Charlie.
- Et puis j'ai poignardé des Chaporouges avec ces talons, monsieur ! Reprend elle subitement en s'appuyant sur le dossier, levant son majeur pour l'écraser à distance sur le front du wright. Le bras finit cependant par retomber et profite de sa chute pour doucement se poser sur l'épaule de Charlie. Attirer son attention. Et si les lèvres refusent à se mouvoir, le regard se fait clair : "ça va ?"
Un baiser se pose sur la joue de Miguel pour signaler qu'elle allait lui chercher un verre puisque, odieusement, elle le lui avait vidé, mais le pas se stoppe derrière le canapé. Juste au dessus de Charlie.
- Et puis j'ai poignardé des Chaporouges avec ces talons, monsieur ! Reprend elle subitement en s'appuyant sur le dossier, levant son majeur pour l'écraser à distance sur le front du wright. Le bras finit cependant par retomber et profite de sa chute pour doucement se poser sur l'épaule de Charlie. Attirer son attention. Et si les lèvres refusent à se mouvoir, le regard se fait clair : "ça va ?"
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Mer 21 Fév 2024 - 13:27
Le dégout. Le haut le cœur. Ce qui se passait sous ses yeux le répugnait au plus haut point. Franchement Cat, j’croyais que t’étais la plus distinguée de nous tous. Peuh. Ses prunelles roulèrent si fort dans ses orbites qu’on n’en distingua bientôt plus que le blanc. Erk. Il avait une sainte horreur de voir la sorcière roucouler sur les genoux de son pote, et plus encore quand ça se passait à presque un mètre de lui. Comme voir sa sœur à poil ou entendre ses parents copuler. On sait que ça existe. On n’a juste pas envie que la vie nous le rappelle. Un peu de décence merde !
« C’parce que t’as un balai coincé dans l’cul, Blackthorn. Mig, tais-toi. Déjà qu’je dois porter tes fringues là… » Il ricana en voyant sa cinglée d’amie tenter de s’acharner sur lui et y répondit de la façon la plus mature possible : il lui tira la langue, avant de se pencher et d’abattre une claque magistrale sur sa cuisse. Non mais oh.
Il secoua les épaules, remit ce t-shirt qui à sa grande surprise, sentait bon la lessive, et repris sa place auprès de Charlie. Contre lui. Le plus fusionnel possible. Il cherchait déjà ce contact sans s’en rendre compte en temps normal mais là, plus que jamais. Il n’avait repris aucune couleur depuis la fin du challenge, ne pipait mot. Ca lui piquait l’âme si fort que s’en faisait mal. Naturellement, il glissa sa main contre son cou et y fit rouler ses doigts, histoire de chasser les horribles tensions qui y régnaient.
« J’savais bien que les talons étaient des armes. J’vois pas pourquoi vous vous feriez chiez à marcher avec ça, sinon. Ça doit être une torture ! »
Encore un truc qu’il ne comprenait pas dans c’monde. Son sourcil se releva en la voyant approcher. Qu’est-ce qu’elle manigançait encore ? Puis, il s’adoucit. Il lui offrit même un sourire de connivence en la voyant toucher le louveteau. C'était pourtant pas faute d'être agacé par le nuage de nicotine qui l'entourait, comme pour lui rappeler combien il regrettait la perte de sa cigarette électronique. Comme il se sentait con de l'avoir pris !
« C’parce que t’as un balai coincé dans l’cul, Blackthorn. Mig, tais-toi. Déjà qu’je dois porter tes fringues là… » Il ricana en voyant sa cinglée d’amie tenter de s’acharner sur lui et y répondit de la façon la plus mature possible : il lui tira la langue, avant de se pencher et d’abattre une claque magistrale sur sa cuisse. Non mais oh.
Il secoua les épaules, remit ce t-shirt qui à sa grande surprise, sentait bon la lessive, et repris sa place auprès de Charlie. Contre lui. Le plus fusionnel possible. Il cherchait déjà ce contact sans s’en rendre compte en temps normal mais là, plus que jamais. Il n’avait repris aucune couleur depuis la fin du challenge, ne pipait mot. Ca lui piquait l’âme si fort que s’en faisait mal. Naturellement, il glissa sa main contre son cou et y fit rouler ses doigts, histoire de chasser les horribles tensions qui y régnaient.
« J’savais bien que les talons étaient des armes. J’vois pas pourquoi vous vous feriez chiez à marcher avec ça, sinon. Ça doit être une torture ! »
Encore un truc qu’il ne comprenait pas dans c’monde. Son sourcil se releva en la voyant approcher. Qu’est-ce qu’elle manigançait encore ? Puis, il s’adoucit. Il lui offrit même un sourire de connivence en la voyant toucher le louveteau. C'était pourtant pas faute d'être agacé par le nuage de nicotine qui l'entourait, comme pour lui rappeler combien il regrettait la perte de sa cigarette électronique. Comme il se sentait con de l'avoir pris !
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Ven 15 Mar 2024 - 21:18
« C’parce que t’as un balai coincé dans l’cul, Blackthorn. Mig, tais-toi. » La bouche du madrilène s’est ouverte pour se fermer aussitôt, laissant une moue malicieuse éclairer son visage. Pas besoin de dire à voix haute la blague vaseuse qu’il avait à l’esprit puisque l’injonction imposée par le Wright avait laissé entendre que tous savaient ce qu’il allait répondre.
Le joint de tentacula a demi entamé est posé sur le cendrier, lui même posé sur le rebord de la fenêtre ouverte. Il observe un instant son verre vide mais il a déjà pas mal bu tout au long de la soirée au bar, suivant avec plus d’entrain qu’il ne l’aurait pensé les aventures de ses amis alors de la seconde épreuve.
- Qui aurait cru que les talons pouvaient remplacer une baguette quand on ne sait pas s’en servir ?
La voix s’est faite moqueuse à destination de la rouquine qui vient de quitter sa place sur ses jambes après avoir déposé un baiser sur une jour rendue rugueuse par la barbe naissante.
Le regard de l’ancien Grymm se pose sur Charlie. Miguel avait été particulièrement impressionné par ses performances durant l’épreuve, sachant que l’Ethelred n’était pas le luron le plus audacieux du groupe. Mais depuis, il n’avait pas touché un mot. C’est donc tout naturellement qu’il demande sans le moindre tact.
- Bah alors Charlie ? T’es tout paf ! Ca va pas ?
Le joint de tentacula a demi entamé est posé sur le cendrier, lui même posé sur le rebord de la fenêtre ouverte. Il observe un instant son verre vide mais il a déjà pas mal bu tout au long de la soirée au bar, suivant avec plus d’entrain qu’il ne l’aurait pensé les aventures de ses amis alors de la seconde épreuve.
- Qui aurait cru que les talons pouvaient remplacer une baguette quand on ne sait pas s’en servir ?
La voix s’est faite moqueuse à destination de la rouquine qui vient de quitter sa place sur ses jambes après avoir déposé un baiser sur une jour rendue rugueuse par la barbe naissante.
Le regard de l’ancien Grymm se pose sur Charlie. Miguel avait été particulièrement impressionné par ses performances durant l’épreuve, sachant que l’Ethelred n’était pas le luron le plus audacieux du groupe. Mais depuis, il n’avait pas touché un mot. C’est donc tout naturellement qu’il demande sans le moindre tact.
- Bah alors Charlie ? T’es tout paf ! Ca va pas ?
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Ven 15 Mar 2024 - 22:16
Le brouhaha s’éloigne alors que le bras se pose sur son épaule. Les cils papillonnent. Il réalise que la main de Lewis est là, tout contre sa peau. Qu’elle essaye tant bien que mal de le rappeler à eux. Cataleya est derrière lui. Il les entend si souvent se charrier que c’en est presque devenu une toile de fond à sa vie. Pas désagréable, cependant. Il a toujours trouvé que cela créait de la vie.
L’odeur de cigarette lui agresse les narines. Comme d’habitude, Charlie ravale son dégoût. Ils font bien ce qu’ils veulent. Il est devenu le centre d’attention de la pièce, chose qu’il déteste par-dessus tout. Il préfère qu’on ne le voie pas, c’est tellement plus simple de vivre sous les radars ! Même Miguel se met à le regarder, comme s’il pouvait avoir plus d’intérêt que la Blackthorn. Qui peut surpasser ça ? Apparemment, sa tête de fantôme.
« Bah oui ça va, pourquoi tu d’mandes ça… » répond-il du tac-au-tac parce qu’il ne peut pas vraiment dire ce qui ne va pas. Et qu’il n’a, de toute façon, pas pour habitude de se plaindre de quoi que ce soit. Grande inspiration pour ne pas craquer et révéler ce qui le chiffonne. Peut-être que Miguel comprendrait, on ne sait pas…
Il remonte ses jambes contre sa poitrine comme si ça pouvait empêcher les mauvaises pensées de s’emparer de lui. Ce n’est jamais le cas. La vérité, c’est qu’il ne sait pas quoi répondre à leurs « ça va ? ». Qu’est-ce qu’on est supposé dire dans ces moments-là, à part « oui » ? Parce qu’on a trop honte d’admettre que c’est la merde et qu’on a envie de se jeter par la fenêtre pour aller mieux.
« Il est où ton pod ? » demande-t-il brusquement à Lewis.
@Cataleya Blackthorn @Lewis Barghest @Miguel Pajares
L’odeur de cigarette lui agresse les narines. Comme d’habitude, Charlie ravale son dégoût. Ils font bien ce qu’ils veulent. Il est devenu le centre d’attention de la pièce, chose qu’il déteste par-dessus tout. Il préfère qu’on ne le voie pas, c’est tellement plus simple de vivre sous les radars ! Même Miguel se met à le regarder, comme s’il pouvait avoir plus d’intérêt que la Blackthorn. Qui peut surpasser ça ? Apparemment, sa tête de fantôme.
« Bah oui ça va, pourquoi tu d’mandes ça… » répond-il du tac-au-tac parce qu’il ne peut pas vraiment dire ce qui ne va pas. Et qu’il n’a, de toute façon, pas pour habitude de se plaindre de quoi que ce soit. Grande inspiration pour ne pas craquer et révéler ce qui le chiffonne. Peut-être que Miguel comprendrait, on ne sait pas…
Il remonte ses jambes contre sa poitrine comme si ça pouvait empêcher les mauvaises pensées de s’emparer de lui. Ce n’est jamais le cas. La vérité, c’est qu’il ne sait pas quoi répondre à leurs « ça va ? ». Qu’est-ce qu’on est supposé dire dans ces moments-là, à part « oui » ? Parce qu’on a trop honte d’admettre que c’est la merde et qu’on a envie de se jeter par la fenêtre pour aller mieux.
« Il est où ton pod ? » demande-t-il brusquement à Lewis.
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Dim 17 Mar 2024 - 18:45
La claque abattu sur sa cuisse la brule encore, et si l’oeil n’était pas autant accroché à la tignasse de Charlie, sans doute que Cataleya aurait usé de la réponse du loup pour abattre à son tour sa main sur celle de Lewis. C’est pourtant Miguel qui aiguise sur ses mots des envies de vengeance puisqu’elle avait fait de net progrès en duel, déjà, et que ce n’était pas parce qu’elle faisait cramer tout ce qui approchait d’une poele dès lors qu’elle se saisissait de sa baguette que ça en faisait une mauvaise sorcière. Juste une mauvaise cuisinière. Et une mauvaise duelliste. Les sourcils se froncent significativement pour lui faire comprendre que cet affront se règlerait plus tard sur les draps, ou avec un coussin dans la gueule, mais c’est étonnamment douce qu’elle délaisse l’épaule de Charlie pour ravitailler les garçons. « Bah oui ça va, pourquoi tu d’mandes ça… » Parce que tu as la Mort fiché dans l’oeil, et le teint aussi livide que lorsqu’elle avait tenté de t’arracher à eux, Cha. Cataleya n’en dit pourtant rien, consciente que Lewis était le plus à même de nouer le dialogue. Pourtant, lorsque le Gris souligne l’absence de pod, la lufkin se redresse à la manière d’un suricate :
- C’est vrai ça ! Pourquoi tu tournes à la nicotine ?
Une main sur le coeur, l’expression se veut hautement dramatique puisqu’il serait aisé de lui souffler que cela constituait une agression de son pauvre flair, mais puisqu’elle cherchait à l'anesthésier depuis le début de soirée, Lewis pourrait facilement la prendre à revers. Aussi se contente t’elle de revenir vers lui, une moue suspicieuse au bout du nez. Sa perfidie se tourne pourtant vers Miguel puisqu’elle colle l’une des bières glacées contre sa nuque pour lui faire payer son attaque avant de la lui offrir et poser une seconde devant Lewis. Le verre de Charlie étant boudé, elle se réserve le sien.
- C’est vrai ça ! Pourquoi tu tournes à la nicotine ?
Une main sur le coeur, l’expression se veut hautement dramatique puisqu’il serait aisé de lui souffler que cela constituait une agression de son pauvre flair, mais puisqu’elle cherchait à l'anesthésier depuis le début de soirée, Lewis pourrait facilement la prendre à revers. Aussi se contente t’elle de revenir vers lui, une moue suspicieuse au bout du nez. Sa perfidie se tourne pourtant vers Miguel puisqu’elle colle l’une des bières glacées contre sa nuque pour lui faire payer son attaque avant de la lui offrir et poser une seconde devant Lewis. Le verre de Charlie étant boudé, elle se réserve le sien.
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Mer 20 Mar 2024 - 13:34
Les regards s’étaient tous tournés vers le louveteau. Son état les préoccupait tous, à l’évidence. Pour être tout paf, comme l’a si gentiment souligné Miguelito, il l’était. Il était plus pâle qu’un linge. Plus encore qu’une Cataleya en sortie de garde, c’est pour dire.
L’œil tourna rapidement dans son orbite, pour venir se ficher quelques secondes supplémentaires au plafond. La langue passa sur sa canine, appuya dessus de la pointe, avant de retourner bien sagement de sa tanière qui se verrouilla sagement. S’il ne souhaitait pas en parler, c’était son choix. Il le respecterait pour l’heure. Ça ne l’agaçait pas moins pour autant.
Le pouce arrêta d’effectuer les pressions circulaires contre la nuque du Keir. Merde. Merde. Merde. Comment se sortir de cette situation ? Les yeux sombres foudroyèrent la princesse qui, comme à son habitude, avait flairé l’intrigue. Est-ce qu’elle ne pouvait pas s’étouffer à grand renfort de bière, pour une fois ? Il eut beau tourner le problème dans tous les sens, rien ne lui venait. De toute façon, la forme n’en changerait pas le fond. Il s’était chié sur ce coup-là. Il aurait juste préféré l’annoncer plus tard, quand Charlie aurait retrouvé des couleurs aux antipodes du mort-vivant. La main resta dans la nuque malgré tout, l’autre se tendant pour attraper une bière qu’il rêvait fort de coller dans la bouche de la rousse.
« Vous savez quand j’ai manqué d’finir noyé durant l’épreuve ? » Il inspira longuement et se mit à se tortiller sur le canapé, de façon à extirper de sa poche la pauvre e-cigarette agonisante. « Je l’avais pris avec moi. J’crois que les composants sont morts… »
Les deux ambres se posèrent alors sur la bouille du gris.
« J’suis désolé Cha. »
Tellement qu'il s'était même promis de ne plus toucher à une clope une fois ce paquet terminé.
@Miguel Pajares @Charlie Keir @Cataleya Blackthorn
L’œil tourna rapidement dans son orbite, pour venir se ficher quelques secondes supplémentaires au plafond. La langue passa sur sa canine, appuya dessus de la pointe, avant de retourner bien sagement de sa tanière qui se verrouilla sagement. S’il ne souhaitait pas en parler, c’était son choix. Il le respecterait pour l’heure. Ça ne l’agaçait pas moins pour autant.
Le pouce arrêta d’effectuer les pressions circulaires contre la nuque du Keir. Merde. Merde. Merde. Comment se sortir de cette situation ? Les yeux sombres foudroyèrent la princesse qui, comme à son habitude, avait flairé l’intrigue. Est-ce qu’elle ne pouvait pas s’étouffer à grand renfort de bière, pour une fois ? Il eut beau tourner le problème dans tous les sens, rien ne lui venait. De toute façon, la forme n’en changerait pas le fond. Il s’était chié sur ce coup-là. Il aurait juste préféré l’annoncer plus tard, quand Charlie aurait retrouvé des couleurs aux antipodes du mort-vivant. La main resta dans la nuque malgré tout, l’autre se tendant pour attraper une bière qu’il rêvait fort de coller dans la bouche de la rousse.
« Vous savez quand j’ai manqué d’finir noyé durant l’épreuve ? » Il inspira longuement et se mit à se tortiller sur le canapé, de façon à extirper de sa poche la pauvre e-cigarette agonisante. « Je l’avais pris avec moi. J’crois que les composants sont morts… »
Les deux ambres se posèrent alors sur la bouille du gris.
« J’suis désolé Cha. »
Tellement qu'il s'était même promis de ne plus toucher à une clope une fois ce paquet terminé.
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Sam 23 Mar 2024 - 18:55
« Bah oui ça va, pourquoi tu d’mandes ça… » Oh il y avait bien une douzaine de réponses à cette question mais le regard que la Blackthorn pose sur lui lui fait ravaler réplique cinglante et blagues foireuses. Il tend sa main vers la table avant de se rendre compte que sa bouteille de bière est toujours et définitivement vide.
Il détourne le regard de Charlie qui s’en prend bizarrement à Lewis puisqu’il avait décidé que jamais il ne comprendrait ceux qui vapotaient. Autant respirer de l’air, c’était franchement la même chose. Il n’y avait rien qui pouvait remplacer la sensation de fumée qui remplissaient les poumons et relâchaient les muscles.
- Ehhhhh !!
Le froid abattu dans la nuque le redresse subitement et lui donne terriblement envie de faire pipi. Il se saisit de la bière finalement tendue. Parmi les brides de discussion qu’il retient alors qu’il boit au goulot… « Vous savez quand j’ai manqué d’finir noyé durant l’épreuve ? ». Aussitôt, les commentaires hilarants du commentateur lui reviennent à l’esprit.
- Ah !! Mais c’était hilarant !! J’ai cru que t’allais finir par developper des branchies. Eh tiens c’est pas con ça… personne y a pensé ?
Il se mit à réfléchir. Y’avait peu de chance que qui que ce soit ait de la branchiflore sous la poche mais un sortilège de tetenbulle… Ca pouvait donner un peu plus de temps dans la salle et surtout éviter de paniquer. Hilare en imaginant Lewis à moitié sous l’eau a galèrer avec ses petits robinets, il boit une nouvelle gorgée avant d’ajouter.
- Vous avez quand même eut des sacrés galères ! Et toi Charlie avec cette bestiole ! C’était quoi ? Un gros lapin ? T’avais perdu ta baguette ou quoi ?
Il détourne le regard de Charlie qui s’en prend bizarrement à Lewis puisqu’il avait décidé que jamais il ne comprendrait ceux qui vapotaient. Autant respirer de l’air, c’était franchement la même chose. Il n’y avait rien qui pouvait remplacer la sensation de fumée qui remplissaient les poumons et relâchaient les muscles.
- Ehhhhh !!
Le froid abattu dans la nuque le redresse subitement et lui donne terriblement envie de faire pipi. Il se saisit de la bière finalement tendue. Parmi les brides de discussion qu’il retient alors qu’il boit au goulot… « Vous savez quand j’ai manqué d’finir noyé durant l’épreuve ? ». Aussitôt, les commentaires hilarants du commentateur lui reviennent à l’esprit.
- Ah !! Mais c’était hilarant !! J’ai cru que t’allais finir par developper des branchies. Eh tiens c’est pas con ça… personne y a pensé ?
Il se mit à réfléchir. Y’avait peu de chance que qui que ce soit ait de la branchiflore sous la poche mais un sortilège de tetenbulle… Ca pouvait donner un peu plus de temps dans la salle et surtout éviter de paniquer. Hilare en imaginant Lewis à moitié sous l’eau a galèrer avec ses petits robinets, il boit une nouvelle gorgée avant d’ajouter.
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» situation : célibataire
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Dim 24 Mar 2024 - 13:37
Il est bien content de ne pas être le seul à se poser question, même si content n’est pas le mot approprié dans cette situation. Charlie n’aime pas faire des caprices, pourtant tous les Chauffe-Plats savent à quel point la nicotine l’agresse lorsque propagée dans un espace aussi renfermé que celui du petit salon de cet appartement. Il en découvre bientôt la raison. Le commentaire ne vient pas tout de suite. Il regarde l’objet plus mort que mort, grillé jusqu’à la moelle. Ce n’est pas de la faute de Lewis, il ne lui en veut même pas. Cela n’éloigne pas la peine. L’argent a toujours été un problème dans son quotidien, Charlie fait ce qu’il peut et se garde bien de mentionner qu’il en manque parfois. Malgré cela, il tient à faire des présents comme n’importe qui d’autre. Pour bien des humains, l’achat de ce pod est sûrement considéré comme anodin mais pour lui, c’est une somme. Une somme qu’il n’a pas mis dans son alimentation, dans son apparence vestimentaire, dans son hygiène. Une somme qu’il a choisi d’offrir à Lewis parce qu’en fin de compte, ça lui est apparu plus important que le reste. Une somme désormais envolée.
L’Ethelred s’empare de l’objet et l’observe sous tous les angles. « C’est pas grave. Je devrais pouvoir le bidouiller. »
Et il espère sincèrement réussir. Pas sûr que Lewis reste loin de la nicotine sans ça. À moins que le caprice ne soit là, à le forcer à être ce qu’il n’est pas. Ses propos sont camouflés par ceux de Miguel, une histoire de branchies à laquelle il ne fait pas attention. En entendant son prénom cependant, il lève la tête vers l’hispanique. Se fige presque instantanément.
« Un loup. C’était… c’était un gros loup. T’as sûrement raison, c’était débile. J’aurais pas dû paniquer. Sorcier en carton. »
Mais rien que de le mentionner, il sent de nouveau son souffle sur son visage, le paralysant. S’il avait pu devenir plus blanc, il le serait désormais. Les mots s’étranglent dans sa gorge. La même chose est arrivée cette nuit de janvier : s’il avait été un bon sorcier, s’il avait sorti sa baguette pour se défendre, la situation serait sûrement toute autre. La paralysie. Il ne restait que ça. Sa lâcheté.
@Cataleya Blackthorn @Lewis Barghest @Miguel Pajares
L’Ethelred s’empare de l’objet et l’observe sous tous les angles. « C’est pas grave. Je devrais pouvoir le bidouiller. »
Et il espère sincèrement réussir. Pas sûr que Lewis reste loin de la nicotine sans ça. À moins que le caprice ne soit là, à le forcer à être ce qu’il n’est pas. Ses propos sont camouflés par ceux de Miguel, une histoire de branchies à laquelle il ne fait pas attention. En entendant son prénom cependant, il lève la tête vers l’hispanique. Se fige presque instantanément.
« Un loup. C’était… c’était un gros loup. T’as sûrement raison, c’était débile. J’aurais pas dû paniquer. Sorcier en carton. »
Mais rien que de le mentionner, il sent de nouveau son souffle sur son visage, le paralysant. S’il avait pu devenir plus blanc, il le serait désormais. Les mots s’étranglent dans sa gorge. La même chose est arrivée cette nuit de janvier : s’il avait été un bon sorcier, s’il avait sorti sa baguette pour se défendre, la situation serait sûrement toute autre. La paralysie. Il ne restait que ça. Sa lâcheté.
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Dim 24 Mar 2024 - 18:11
“J’ai cru que t’allais finir par développer des branchies” La main de Cataleya s’abat avec une effroyable vivacité sur le bras de Miguel, puisque elle aussi avait fini coincée dans cette maudite salle, par deux fois, et qu’elle s’était crû mourir une infinité. Même si jamais elle ne l’avouerait, et qu’elle aurait certainement écrasé son majeur sur la joue du premier Héro qui se serait essayé à la sauver. “C’était un peu effrayant, mais j’ai carrément géré” avait-elle sifflé à une summerbee inquiète, lorsqu’elle s’était effondré un peu plus tôt sur une table de la taverne. Trempée.
-Venant de la part de quelqu’un qui a séché cette épreuve, et la première, tu devrais t’abstenir. Souffle t’elle vexée, les joues un peu gonflées puisqu’elle croise déjà les bras, avant de se laisser aller à jouer de guillemet sur la suite “Sous prétexte que tu étais censé organiser le tournoi. C’était quoi l’excuse pour celle-ci ? Mal à la tête, Miguelito ?”
Le sourire s’étire en coin mais l’échange de regard ne dure pas, puisque ça serait donner du crédit à une réponse qui la ferait certainement pouffer, et recracher un peu le contenu de son verre. Elle lui pique cependant sa place, puisqu’il est désormais debout, et étire longuement ses jambes devant elle pour délier les tensions que les réminiscences de l’épreuve lui flanquait sous la chaire. Ne relevant pas l’excuse de Lewis, puisqu’un “bah bravo” ne l’aiderait en rien et enfoncerait certainement Charlie dans un état plus triste encore, la lufkin s’étouffe pourtant sur son verre lorsque Miguel reprend la parole, et que Charlie se fige en réponse. Si Cataleya n’avait pas eu a affronter d’Epouventard, le sarcasme de l’espagnol sur l’image d’un lapin auquel répond Gris par celle du loup sont autant d’indice qui font tiquer la lufkin.
-Tu as affronté un épouvantard ?! Elle s’indigne presque, puisque faire cramer des accromentules et combattre des chaporouge à coup de talon était une chose, mais imaginer Charlie en proie à des souvenirs cauchemardesque en était une autre. D’un geste ferme, les doigts se referme sur le pantalon du Pajares pour le contraindre à s’asseoir sur ses genoux avant qu’il n’ouvre la bouche. Le faire taire. “Tu n’es pas un sorcier en carton ; tout le monde aurait paniqué face à un épouvantard qu’il n’attendait pas. “
Parce que, soyons honnête, rare était les fois où on avait la malchance de croiser ses horreurs hors des salles de DFCM. Les organisateurs de cette épreuve avait assurément cherché à les tuer de mille façon différente, c’était maintenant acté.
-Venant de la part de quelqu’un qui a séché cette épreuve, et la première, tu devrais t’abstenir. Souffle t’elle vexée, les joues un peu gonflées puisqu’elle croise déjà les bras, avant de se laisser aller à jouer de guillemet sur la suite “Sous prétexte que tu étais censé organiser le tournoi. C’était quoi l’excuse pour celle-ci ? Mal à la tête, Miguelito ?”
Le sourire s’étire en coin mais l’échange de regard ne dure pas, puisque ça serait donner du crédit à une réponse qui la ferait certainement pouffer, et recracher un peu le contenu de son verre. Elle lui pique cependant sa place, puisqu’il est désormais debout, et étire longuement ses jambes devant elle pour délier les tensions que les réminiscences de l’épreuve lui flanquait sous la chaire. Ne relevant pas l’excuse de Lewis, puisqu’un “bah bravo” ne l’aiderait en rien et enfoncerait certainement Charlie dans un état plus triste encore, la lufkin s’étouffe pourtant sur son verre lorsque Miguel reprend la parole, et que Charlie se fige en réponse. Si Cataleya n’avait pas eu a affronter d’Epouventard, le sarcasme de l’espagnol sur l’image d’un lapin auquel répond Gris par celle du loup sont autant d’indice qui font tiquer la lufkin.
-Tu as affronté un épouvantard ?! Elle s’indigne presque, puisque faire cramer des accromentules et combattre des chaporouge à coup de talon était une chose, mais imaginer Charlie en proie à des souvenirs cauchemardesque en était une autre. D’un geste ferme, les doigts se referme sur le pantalon du Pajares pour le contraindre à s’asseoir sur ses genoux avant qu’il n’ouvre la bouche. Le faire taire. “Tu n’es pas un sorcier en carton ; tout le monde aurait paniqué face à un épouvantard qu’il n’attendait pas. “
Parce que, soyons honnête, rare était les fois où on avait la malchance de croiser ses horreurs hors des salles de DFCM. Les organisateurs de cette épreuve avait assurément cherché à les tuer de mille façon différente, c’était maintenant acté.
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Ven 29 Mar 2024 - 13:34
Un ricanement glissa entre ses lèvres, avant de finir étouffé dans le goulot de la bière. Cheh hurlaient ses yeux bruns en voyant la rousse coller la bouteille dans le cou de Pajares. Pour une fois qu’elle faisait quelque chose de plus intéressant que roucouler avec lui, alors qu’ils étaient juste à côté. Erk.
Vint alors la question de la cigarette éléctronique. Entre deux envies de meurtre, Barghest réussit à se tortiller et à sortir le précieux objet de sa poche. Il relata rapidement les faits, sans la quitter du regard. Ou pas. Il ne put s’empêcher de darder sur le madrilène un regard noir. Hilarant ? Vraiment ? Qu’à cela ne tienne. Il lui appuierait la tête sous l’eau et attendrait qu’il n’y a plus aucune bulle, lors de leur prochaine sortie à la mer. Ce serait grave fun.
Il laissa une oreille trainer et profita du discours de la précieuse princesse. Décidemment. Son sourire en tout point satisfait tordit ses lippes. Lippes qu’il posa sans trop y réfléchir sur la chevelure du louveteau. Il était reconnaissant : il ne semblait pas lui en vouloir et pensait même pouvoir rattraper sa faute. Que demande le peuple ?
C’était un gros loup. Putain de merde. Son attention se reporta aussitôt sur Charlie, ignorant superbement la silhouette du sportif qui disparaissait de sa vision. A la niche, le teckel. Il aimait son pote, y’avait pas photo. Sa connerie, par contre, c’était autre chose. Surtout lorsqu’elle impactait ses proches.
« Cat a raison. »Seigneur Dieu. Il avait dit ça sans s’étouffer en plus. Un exploit. « Même les plus aguerris peuvent avoir du fil à retorde avec ces saletés. » D’autant plus en devinant la forme exacte qu’avait pris l’épouvantard. Le souvenir était trop vif pour être joliment modifié par l’esprit. Lui-même doutait de pouvoir un jour en rire. « Tu t’en es sorti. Tu peux être fier. »
La main se posa sur le genou, en signe de soutien, là où le regard traduisait ostensiblement : « ta gueule, Pajares » à l’attention de ce dernier.
Vint alors la question de la cigarette éléctronique. Entre deux envies de meurtre, Barghest réussit à se tortiller et à sortir le précieux objet de sa poche. Il relata rapidement les faits, sans la quitter du regard. Ou pas. Il ne put s’empêcher de darder sur le madrilène un regard noir. Hilarant ? Vraiment ? Qu’à cela ne tienne. Il lui appuierait la tête sous l’eau et attendrait qu’il n’y a plus aucune bulle, lors de leur prochaine sortie à la mer. Ce serait grave fun.
Il laissa une oreille trainer et profita du discours de la précieuse princesse. Décidemment. Son sourire en tout point satisfait tordit ses lippes. Lippes qu’il posa sans trop y réfléchir sur la chevelure du louveteau. Il était reconnaissant : il ne semblait pas lui en vouloir et pensait même pouvoir rattraper sa faute. Que demande le peuple ?
C’était un gros loup. Putain de merde. Son attention se reporta aussitôt sur Charlie, ignorant superbement la silhouette du sportif qui disparaissait de sa vision. A la niche, le teckel. Il aimait son pote, y’avait pas photo. Sa connerie, par contre, c’était autre chose. Surtout lorsqu’elle impactait ses proches.
« Cat a raison. »Seigneur Dieu. Il avait dit ça sans s’étouffer en plus. Un exploit. « Même les plus aguerris peuvent avoir du fil à retorde avec ces saletés. » D’autant plus en devinant la forme exacte qu’avait pris l’épouvantard. Le souvenir était trop vif pour être joliment modifié par l’esprit. Lui-même doutait de pouvoir un jour en rire. « Tu t’en es sorti. Tu peux être fier. »
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Mar 9 Avr 2024 - 20:46
C’était pas très sympa de la part de Cataleya de le frapper et de lui rappeler qu’il n’avait pas pu participer à l’épreuve qu’il aurait remporté… Pourtant il sourit à la rouquine, a croire que la Blackthorn développait chez lui une certaine forme de masochisme qu’il n’était pas honteux de reconnaître, même devant ses potes.
- Ils n’ont pas voulu de moi à la première épreuve alors il ne me méritaient pas pour la deuxième.
Répond-il, entre deux gorgées de bières prises directement au goulot. Il avait trouvé cette phrase en discutant avec Neal au bar et il l’avalt repété si souvent à qui voulait l’entendre ce soir qu’il était plus convainquant que jamais. Lui, en tout cas, il était convaincu de lui même. C’était déjà pas si mal.
Mais a croire que les avertissements silencieux (ou presque, parce qu’une claque ça fait un peu de bruit sur les muscles) de la Blackthorn n’avait pas suffit, il interroge Charlie sur l’apparence qu’à prit son épouvantard puisqu’il n’arrive pas a se rappeler si le commentateur l’a mentionné. Charlie mentionne un loup et Cataleya semble comprendre aussitôt qu’il s’agissait d’un épouvantard ce qui fait légèrement froncer les sourcils à Miguel… Le fait que la rouquine et Lewis s’échinent à rassurer le Keir fait rire Miguel, lequel trouve leur comportement légèrement infantilisant :
- Arrêtez les gars ! C’est pas un gamin ! On apprend à se défaire d’un épouvantard en quatrième année à Beauxbatons… Vous avez jamais appris ça ou quoi !? Ca n’a vraiment rien de compliqué ! Suffisait de l’imaginer rose bonbon ou miniature ton loup !
- Ils n’ont pas voulu de moi à la première épreuve alors il ne me méritaient pas pour la deuxième.
Répond-il, entre deux gorgées de bières prises directement au goulot. Il avait trouvé cette phrase en discutant avec Neal au bar et il l’avalt repété si souvent à qui voulait l’entendre ce soir qu’il était plus convainquant que jamais. Lui, en tout cas, il était convaincu de lui même. C’était déjà pas si mal.
Mais a croire que les avertissements silencieux (ou presque, parce qu’une claque ça fait un peu de bruit sur les muscles) de la Blackthorn n’avait pas suffit, il interroge Charlie sur l’apparence qu’à prit son épouvantard puisqu’il n’arrive pas a se rappeler si le commentateur l’a mentionné. Charlie mentionne un loup et Cataleya semble comprendre aussitôt qu’il s’agissait d’un épouvantard ce qui fait légèrement froncer les sourcils à Miguel… Le fait que la rouquine et Lewis s’échinent à rassurer le Keir fait rire Miguel, lequel trouve leur comportement légèrement infantilisant :
- Arrêtez les gars ! C’est pas un gamin ! On apprend à se défaire d’un épouvantard en quatrième année à Beauxbatons… Vous avez jamais appris ça ou quoi !? Ca n’a vraiment rien de compliqué ! Suffisait de l’imaginer rose bonbon ou miniature ton loup !
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Mar 9 Avr 2024 - 23:29
Cataleya enfonce une porte ouverte. Meh, il ne lui en veut pas. Lui aussi se serait inquiété dans le cas inverse. Charlie fait tout son possible pour ne pas passer pour la petite victime qu’il faut rassurer mais c’est peine perdue. Il s’est entendu geindre et l’a aussitôt regretté. Il connaît les Chauffe-Plats et si Alex avait été là, il aurait eu la même réaction : le réconforter (même si cela aurait été à sa manière). Des mots rassurants, des « mais non, t’es un super mec, un super sorcier, tu peux être fier ! » alors qu’aucun d’eux ne saurait effacer ce qui s’est passé. Il a envie de répondre à la Blackthorn que certes, tout le monde aurait paniqué mais qu’il aurait préféré ne pas avoir à le vivre. Et en même temps, avec Miguel tout près, il ne peut que fermer sa bouche. Ne pas en dire trop. Non, il ne leur en veut pas de faire leur maximum pour lui redonner vie. Il comprend pourtant que d’un point de vue extérieur, ils ont l’air d’en faire trop.
Charlie regarde la main posée sur son genou. Plutôt que de lui faire du bien comme elle en a le pouvoir, elle l’inquiète. Le genou est pourtant anatomiquement assez loin de sa cuisse pour qu’il n’y ait aucun risque d’accident mais il sent la pression remonter jusqu’en haut et le brûler. Sa main serre son pull. Ne pas la repousser, ne pas la repousser...
Miguel interrompt ses pensées. Appuie là où ça fait mal. La lame du couteau s’enfonce dans la plaie. Qu’est-ce qu’il en sait au fond lui, hein ? Son insouciance le sauve d’à peu près tout, sauf de sa propre connerie. Charlie voudrait poser un regard noir sur le madrilène mais même ça, il n’y arrive pas. Au final, il se sent surtout honteux. Miguel n’a pas tort, tout le monde le traite comme un enfant depuis cet accident. C’est à peine s’ils le laissent sortir seul la nuit et si oui, il est constamment bombardé de messages pour s’assurer que tout va bien.
Là, cette fois, il se sent obligé de retirer la main de Lewis de son genou. L’air de leur faire comprendre « Miguel a raison, c’était pas bien grave et j’en fais toute une montagne, comme un bébé ». Franchement, peut-on faire plus faible et pitoyable ? Il baisse les yeux, la tête. Courbe un peu plus le dos, prêt à rentrer dans sa coquille. Il a beau croire que le madrilène a raison, les mots font mal. Il ne dit toujours rien mais gratte la peau du dos de sa main jusqu’au sang.
@Cataleya Blackthorn @Lewis Barghest @Miguel Pajares
Charlie regarde la main posée sur son genou. Plutôt que de lui faire du bien comme elle en a le pouvoir, elle l’inquiète. Le genou est pourtant anatomiquement assez loin de sa cuisse pour qu’il n’y ait aucun risque d’accident mais il sent la pression remonter jusqu’en haut et le brûler. Sa main serre son pull. Ne pas la repousser, ne pas la repousser...
Miguel interrompt ses pensées. Appuie là où ça fait mal. La lame du couteau s’enfonce dans la plaie. Qu’est-ce qu’il en sait au fond lui, hein ? Son insouciance le sauve d’à peu près tout, sauf de sa propre connerie. Charlie voudrait poser un regard noir sur le madrilène mais même ça, il n’y arrive pas. Au final, il se sent surtout honteux. Miguel n’a pas tort, tout le monde le traite comme un enfant depuis cet accident. C’est à peine s’ils le laissent sortir seul la nuit et si oui, il est constamment bombardé de messages pour s’assurer que tout va bien.
Là, cette fois, il se sent obligé de retirer la main de Lewis de son genou. L’air de leur faire comprendre « Miguel a raison, c’était pas bien grave et j’en fais toute une montagne, comme un bébé ». Franchement, peut-on faire plus faible et pitoyable ? Il baisse les yeux, la tête. Courbe un peu plus le dos, prêt à rentrer dans sa coquille. Il a beau croire que le madrilène a raison, les mots font mal. Il ne dit toujours rien mais gratte la peau du dos de sa main jusqu’au sang.
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Ven 12 Avr 2024 - 19:02
S'efforçant à rouler des yeux pour la forme, la répartie du Pajares arrache pourtant un rire à la Blackthorn qui, sans dire mot, lui promet déjà de panser son égo meurtri lorsqu’ils seraient seuls. Après un bref baisé posé au coin des lèvres elle conclut à son oreille que “C'est le monde qui ne te mérite pas” mais Merlin seul savait ô combien elle regrettait d’avoir soufflé ces mots maintenant que ceux de l’espagnol étaient tombés. Papillonnant un instant du regard, les cils se tournent vers l’ancien grymm puis le loup ramassé silencieusement plus loin, le visage bas et le besoin de retirer la main de Lewis au bout des doigts. Elle l’entendait presque murmurer que le poursuiveur avait raison, et platement s’en excuser. Plissant le nez sous cette image, le regard de la Blackthorn revient à son époux pour lui faire comprendre qu’il avançait sur un terrain glissant.
-Amour. Ca sonne comme un avertissement, autant pour lui que pour elle puisqu’elle avait désespérément envie de lui demander s’il était con ou s’il le faisait exprès. As-tu déjà rencontré un épouvantard hors des salles de cours ?
Tout le monde apprenait à s’en défendre en milieu de parcours scolaire, pourtant le nombre d’hospitalisation après l’attaque de ces horreurs était abominable. S’il était aisé de se préparer à la défense dans le cadre scolaire puisque le professeur présentait la créature et qu’il y avait une classe entière derrière, rencontrer la Terreur quand on ne l’attendait pas figeait les sens ou poussait l’esprit à se faire irrationnel. On réfléchissait mal, sous le poids de la peur.
- Quand j’étais en sixième année, mon père m’a enfermé dans un placard parce j’avais touché à ses affaires. J’ai mis au moins dix secondes à comprendre ce qu’il y avait dedans, pourtant je sais ce qu’est un épouvantard, et je sais lancer un Ridikulus. J’aurai pû lancer un sort quand j’ai compris ce que c’était, pourtant j’ai préféré fuir et j’ai passé les minutes qui on suivit à m’époumoner contre la porte.
Et quand elle s’était épuisé à crier et frapper le bois, elle avait fait tomber sa baguette au sol en cherchant à se défendre. Un désastre qui aurait bien fait marrer Aloysius s’il avait prit la peine d’ouvrir la porte.
-C’est ça, que tu aurais dit à la petite Cataleya que j’étais ?
-Amour. Ca sonne comme un avertissement, autant pour lui que pour elle puisqu’elle avait désespérément envie de lui demander s’il était con ou s’il le faisait exprès. As-tu déjà rencontré un épouvantard hors des salles de cours ?
Tout le monde apprenait à s’en défendre en milieu de parcours scolaire, pourtant le nombre d’hospitalisation après l’attaque de ces horreurs était abominable. S’il était aisé de se préparer à la défense dans le cadre scolaire puisque le professeur présentait la créature et qu’il y avait une classe entière derrière, rencontrer la Terreur quand on ne l’attendait pas figeait les sens ou poussait l’esprit à se faire irrationnel. On réfléchissait mal, sous le poids de la peur.
- Quand j’étais en sixième année, mon père m’a enfermé dans un placard parce j’avais touché à ses affaires. J’ai mis au moins dix secondes à comprendre ce qu’il y avait dedans, pourtant je sais ce qu’est un épouvantard, et je sais lancer un Ridikulus. J’aurai pû lancer un sort quand j’ai compris ce que c’était, pourtant j’ai préféré fuir et j’ai passé les minutes qui on suivit à m’époumoner contre la porte.
Et quand elle s’était épuisé à crier et frapper le bois, elle avait fait tomber sa baguette au sol en cherchant à se défendre. Un désastre qui aurait bien fait marrer Aloysius s’il avait prit la peine d’ouvrir la porte.
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Re: Sale mood (ft. Cat/Mig/Lew)
Lun 22 Avr 2024 - 19:03
Il souffla fort Lewis, à défaut de gronder. Ce n’était pourtant pas faute de fusiller son pote du regard. Putain mec, ferme ta grande gueule !Merde à la fin, il était même prêt à supplier Cat de foutre sa langue de diablesse à l’intérieur pour le faire taire pour de bon. Comme tout bon petit canard qui se respectait, il serait aussitôt rentré dans le rang et aurait arrêté de les gonfler. Mais non, il en rajoutait une couche ! Crétin fini. Si tout l’monde était capable d’affronter ce genre d’épreuve, ça ferait belle lurette que le métier d’auror serait en voie d’extinction. Pour la qualité de ce qui existe, on repassera, mais quand même ! C’est une grande gorgée de bière qu’il s’envoya dans le gossier pour étouffer le feulement qu’il sentait poindre, puis une deuxième pour gérer la frustration qui venait de lui sauter au visage. Comment ça, Charlie enlevait sa main ? Qu’est-ce que… Et pourquoi ça le faisait chier, ça aussi ? Putain de soirée. @Alexander McCandless devait bien s’marrer, où qu’il se trouve.
C’est un regard en coin qu’il coule en direction du louveteau, avant de se laisser glisser complètement sur l’accoudoir du sofa. Il jouait avec sa bière, en mordillait le goulot avant de la claquer sur la table. Pas de mousse, puisque vide aux trois quarts. Il lui avait fallu au moins ça pour tenir sa langue toute la durée du discours de Cataleya, trop énamourée pour clairement secouer ce sombre imbécile pour lequel elle s’était entichée. Lui aussi, il l’aimait. Beaucoup. Ils en avaient fait de la merde ensemble, en presque dix ans. Ils avaient été inséparables plus de la moitié du temps, s’étaient soutenus dans le pire comme dans le meilleur. Combien de nez ou d’arcade avaient-ils pétés sans même en connaitre le motif légitime, se contentant de répondre présent dès que ça chauffait pour l’autre ? Ouaip. Il l’aimait comme un frère mais bordel, que quelqu’un lui mette les doigts dans la prise et qu’il se taise !
« T’es bien trop patiente Cat. Il a décidé d’jouer au con ce soir. C’est c’qui arrive quand on brille plus à la Taverne qu’à une épreuve. » Il ricane Lewis et tire sur sa clope, histoire de calmer un peu ses nerfs. Manque de bol, ça attise sa culpabilité. Robinet à la con.
« Fais nous plaisir et bois ta bière. C’est encore c’que tu sais faire de mieux. »
Il tourna la tête pour expirer la fumée loin du nez de Charlie, même s’il doutait fort que ça serve à grand-chose. Il lui aurait bien donner un coup de coude, histoire de lui sortir le nez de ses genoux, mais n’en fit rien. Il avait compris le message.
Quoique non. Ça aussi ça le fait chier. Il a pas envie de rester sans rien faire alors que son pote se gratte jusqu'au sang, pendant qu'un autre s'enfile pète plus haut que ses fesses. Sa main attrapa celle de Charlie -la saine- et la tint fermement au creux de la sienne. Il darda l'œil sur Miguel et feula :
« Arrête de t'comporter comme une merde Mig', et tiens ta langue. Ça vaudrait mieux pour toi.»
Ouai parce que là, il en avait gros. Ok, il ne savait rien de la condition de Charlie mais n'importe qui doté d'un minimum de sensibilité émotionnelle aurait su quand faire marcher arrière. Là, il abusait et mieux valait qu'il se la boucle pour de bon.
Le coin de ses lèvres se retroussa en un étrange sourire et il se pencha, juste assez pour pouvoir atteindre sa tête à claque. D'ailleurs, c'est ce qu'il y aposa du plat de sa main. Là, juste à l'arrière. Ça faisait pas mal, ne remettait sûrement pas les idées en place mais au moins, ça le detendait .
« Putain, moi qui pensait que ça allait sonner creux. On en apprend tous les jours.»
@Cataleya Blackthorn @Miguel Pajares @Charlie Keir
C’est un regard en coin qu’il coule en direction du louveteau, avant de se laisser glisser complètement sur l’accoudoir du sofa. Il jouait avec sa bière, en mordillait le goulot avant de la claquer sur la table. Pas de mousse, puisque vide aux trois quarts. Il lui avait fallu au moins ça pour tenir sa langue toute la durée du discours de Cataleya, trop énamourée pour clairement secouer ce sombre imbécile pour lequel elle s’était entichée. Lui aussi, il l’aimait. Beaucoup. Ils en avaient fait de la merde ensemble, en presque dix ans. Ils avaient été inséparables plus de la moitié du temps, s’étaient soutenus dans le pire comme dans le meilleur. Combien de nez ou d’arcade avaient-ils pétés sans même en connaitre le motif légitime, se contentant de répondre présent dès que ça chauffait pour l’autre ? Ouaip. Il l’aimait comme un frère mais bordel, que quelqu’un lui mette les doigts dans la prise et qu’il se taise !
« T’es bien trop patiente Cat. Il a décidé d’jouer au con ce soir. C’est c’qui arrive quand on brille plus à la Taverne qu’à une épreuve. » Il ricane Lewis et tire sur sa clope, histoire de calmer un peu ses nerfs. Manque de bol, ça attise sa culpabilité. Robinet à la con.
« Fais nous plaisir et bois ta bière. C’est encore c’que tu sais faire de mieux. »
Il tourna la tête pour expirer la fumée loin du nez de Charlie, même s’il doutait fort que ça serve à grand-chose. Il lui aurait bien donner un coup de coude, histoire de lui sortir le nez de ses genoux, mais n’en fit rien. Il avait compris le message.
Quoique non. Ça aussi ça le fait chier. Il a pas envie de rester sans rien faire alors que son pote se gratte jusqu'au sang, pendant qu'un autre s'enfile pète plus haut que ses fesses. Sa main attrapa celle de Charlie -la saine- et la tint fermement au creux de la sienne. Il darda l'œil sur Miguel et feula :
« Arrête de t'comporter comme une merde Mig', et tiens ta langue. Ça vaudrait mieux pour toi.»
Ouai parce que là, il en avait gros. Ok, il ne savait rien de la condition de Charlie mais n'importe qui doté d'un minimum de sensibilité émotionnelle aurait su quand faire marcher arrière. Là, il abusait et mieux valait qu'il se la boucle pour de bon.
Le coin de ses lèvres se retroussa en un étrange sourire et il se pencha, juste assez pour pouvoir atteindre sa tête à claque. D'ailleurs, c'est ce qu'il y aposa du plat de sa main. Là, juste à l'arrière. Ça faisait pas mal, ne remettait sûrement pas les idées en place mais au moins, ça le detendait .
« Putain, moi qui pensait que ça allait sonner creux. On en apprend tous les jours.»
@Cataleya Blackthorn @Miguel Pajares @Charlie Keir
Valentine ValentineValentine, my decline
Is so much better with you
Valentine, my decline
I'm always running to you
Is so much better with you
Valentine, my decline
I'm always running to you
Charlie Keir est fan
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