- Gabriele de LucaADMIN – wild bear free heart
- » parchemins postés : 1860
» miroir du riséd : Tom Holland
» crédits : itsamooncalf
» multinick : Margaret, Jules et Verena
» âge : 25 ans
» situation : Célibataire
» nature du sang : Né-moldu
» particularité : .
» année d'études : 1ère année
» options obligatoires & facultatives : Obligatoire : Sortilèges-Métamorphose-DCFM
Options : Vol-Dragonologie
» profession : .
» gallions sous la cape : 260
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Rentrer en bonne compagnie [Duncan Oxford]
Mer 5 Juin 2024 - 17:06
Juin 2009 - Appartement de Caël Muller, jeune Wright de 1ère année
Chuuuuuuut !
@Duncan Oxford avait beau me dire de me taire, j’en étais clairement incapable. Tout comme de marcher sans son aide. Pourtant, si on ne voulait pas réveiller mes voisins, il fallait faire un peu moins de bruit. Merci papa maman, sans eux je n’aurais pas pu avoir cet appartement dès ma première année à l’université, contre la promesse de bosser mes cours pour faire honneur aux Muller. La blague, j’avais surtout besoin d’une piaule pour avoir mon indépendance oui ! Et cet appartement me convenait tout à fait, une cuisine tout en bois et en métal ouverte sur un salon où trônait un gros canapé en cuir marron, sur les murs en briques apparentes, des affiches de quidditch, bien entendu, et une chambre attenante. La base pour tout étudiant qui se respecte, et je devais avouer qu’on trouvait davantage de vêtements sales au sol que de devoirs ou de livres. Les quelques ouvrages que je possédais se battaient en duel sur une étagère dans ma chambre, mais qui avait besoin de livres pour apprendre à se battre en duel et devenir un auror hein ? Duncan m’aurait certainement prouvé le contraire, il était bien plus sérieux que moi sur le sujet, même si j’avais toujours le dernier mot, et même si j’arrivais presque toujours à le convaincre de laisser ses bouquins de côté pour me suivre en beuverie. Comme ce soir. Comme le week-end dernier, et celui d’encore avant. Mais je pouvais compter sur lui comme il pouvait compter sur moi. Bon, présentement, c’était surtout moi qui avait besoin de lui. J’étais complètement ivre, ayant abusé à la soirée organisée par les Beer Flops avec la biérraubeurre. Et maintenant je peinais à mettre un pied devant l’autre, mais Duncan n’était pas beaucoup mieux, je le voyais au pétillant de son œil et à cette drôle de façon qu’il avait de me regarder quand il avait bu. Quand c’était comme ça, on dormait soit chez lui soit chez moi.
Après de longues minutes, j’avais réussi à mettre la clé dans la serrure, et on était chez moi. Duncan me laissa quelques instants pour aller pisser, minutes que je mis à profit en essayant tant bien que mal d’enlever mes chaussures, mais c’était trop dur. Les lacets me jouaient des tours. Alors par dépit, je m’affalais directement sur mon lit, habillé et en chaussure, face contre le matelas. Pauvre Duncan, il allait devoir m’aider à me coucher…
- InvitéInvité
Re: Rentrer en bonne compagnie [Duncan Oxford]
Dim 9 Juin 2024 - 18:23
Juin 2009 - Appartement de Caël Muller, jeune Wright de 1ère année.
Rentrer en bonne compagnie
feat @Caël Muller.– Chuuuuuuut ! disait Duncan.
Caël était beaucoup trop bruyant, comme à son habitude lorsqu’il avait un, ou plusieurs verres de trop dans le sang. Ses pieds étaient lourds et tout obstacle sur son chemin finissait par être percuté, il n’était plus assez conscient de son environnement pour l’éviter. À vrai dire, Duncan n’était pas beaucoup mieux, il avait autant bu que lui, ou un voire deux verres de moins. Cependant, il tenait légèrement mieux l’alcool que lui. Ainsi, comme tous les week-end, malgré la volonté du jeune blond de vouloir se freiner, ils s'aident à rentrer chez l’un ou l’autre pour passer la nuit. Le minimum de conscience pour les voisins que Duncan avait se noyait dans les petits rires qu’il pouvait avoir et se sourire complètement débridé qu’il avait seulement lorsqu’il était un peu trop saoul.
Encore une soirée où Duncan avait passé son temps à regarder Caël, à l’admirer sous toutes les coutures et pourtant à réprimer ses émotions, ses sentiments, ses envies encore si présentes. Avec la fin de Poudlard et le début d’Hungcalf, Duncan était désormais célibataire et il n’avait pas oublié ce qu’il ressentait pour son meilleur ami, au contraire tout était décuplé. Et se trouver ici, seul avec lui dans son appartement, était toujours un supplice pour lui, un supplice si délicieux qu’il ne pouvait s’en passer.
– Allez trouve le trou ! T’y arrives facilement d’habitude ! Lui lance-t-il en pouffant de rire, sachant pertinemment qu’il avait percuté le double-sens de ce qu’il venait de dire. Une fois à l’intérieur, Duncan laissait le temps à Caël d’aller se vidanger tandis que lui allait se servir un verre d’eau, il avait encore terriblement soif mais il savait qu’il fallait stopper les liqueurs. Quand il entendit un brouhaha, il savait que son meilleur ami avait besoin d’aide. Il se rua vers lui, tant bien que mal avec le cerveau à l’envers. Duncan se frappa violemment le visage en voyant Caël affalé sur son lit, encore tout habillé.
– Mais qu’il est con celui-là, j’suis pas ta mère ! Sale gosse… Lui dit-il en commençant à défaire ses chaussures. Heureusement qu’il n’était pas sa mère au vu de tout ce qu’ils avaient déjà fait ensemble et des pensées qui occultent actuellement Duncan. Il ne pouvait s’empêcher de laisser traîner son regard sur son corps alors qu’il commençait à le remettre droit sur le lit et à défaire son haut. Duncan rougissait instantanément, presque gêné car il ne voulait pas faire quelque chose qui déplairait à son ami.
– Tu pourrais m’aider un minimum ! T’es lourd !
Caël était beaucoup trop bruyant, comme à son habitude lorsqu’il avait un, ou plusieurs verres de trop dans le sang. Ses pieds étaient lourds et tout obstacle sur son chemin finissait par être percuté, il n’était plus assez conscient de son environnement pour l’éviter. À vrai dire, Duncan n’était pas beaucoup mieux, il avait autant bu que lui, ou un voire deux verres de moins. Cependant, il tenait légèrement mieux l’alcool que lui. Ainsi, comme tous les week-end, malgré la volonté du jeune blond de vouloir se freiner, ils s'aident à rentrer chez l’un ou l’autre pour passer la nuit. Le minimum de conscience pour les voisins que Duncan avait se noyait dans les petits rires qu’il pouvait avoir et se sourire complètement débridé qu’il avait seulement lorsqu’il était un peu trop saoul.
Encore une soirée où Duncan avait passé son temps à regarder Caël, à l’admirer sous toutes les coutures et pourtant à réprimer ses émotions, ses sentiments, ses envies encore si présentes. Avec la fin de Poudlard et le début d’Hungcalf, Duncan était désormais célibataire et il n’avait pas oublié ce qu’il ressentait pour son meilleur ami, au contraire tout était décuplé. Et se trouver ici, seul avec lui dans son appartement, était toujours un supplice pour lui, un supplice si délicieux qu’il ne pouvait s’en passer.
– Allez trouve le trou ! T’y arrives facilement d’habitude ! Lui lance-t-il en pouffant de rire, sachant pertinemment qu’il avait percuté le double-sens de ce qu’il venait de dire. Une fois à l’intérieur, Duncan laissait le temps à Caël d’aller se vidanger tandis que lui allait se servir un verre d’eau, il avait encore terriblement soif mais il savait qu’il fallait stopper les liqueurs. Quand il entendit un brouhaha, il savait que son meilleur ami avait besoin d’aide. Il se rua vers lui, tant bien que mal avec le cerveau à l’envers. Duncan se frappa violemment le visage en voyant Caël affalé sur son lit, encore tout habillé.
– Mais qu’il est con celui-là, j’suis pas ta mère ! Sale gosse… Lui dit-il en commençant à défaire ses chaussures. Heureusement qu’il n’était pas sa mère au vu de tout ce qu’ils avaient déjà fait ensemble et des pensées qui occultent actuellement Duncan. Il ne pouvait s’empêcher de laisser traîner son regard sur son corps alors qu’il commençait à le remettre droit sur le lit et à défaire son haut. Duncan rougissait instantanément, presque gêné car il ne voulait pas faire quelque chose qui déplairait à son ami.
– Tu pourrais m’aider un minimum ! T’es lourd !
- Gabriele de LucaADMIN – wild bear free heart
- » parchemins postés : 1860
» miroir du riséd : Tom Holland
» crédits : itsamooncalf
» multinick : Margaret, Jules et Verena
» âge : 25 ans
» situation : Célibataire
» nature du sang : Né-moldu
» particularité : .
» année d'études : 1ère année
» options obligatoires & facultatives : Obligatoire : Sortilèges-Métamorphose-DCFM
Options : Vol-Dragonologie
» profession : .
» gallions sous la cape : 260
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Rentrer en bonne compagnie [Duncan Oxford]
Mer 19 Juin 2024 - 17:49
La terre bougeait. Beaucoup trop. C’est la conclusion à laquelle j’étais arrivé en sortant des toilettes, et même si un ou deux neurones au fond de ma conscience me crier de boire un verre d’eau pour éviter la migraine le lendemain ou mieux encore, prendre une bonne douche chaude pour aider mon sang à éliminer tout cet abus d’éthanol dans mes veines. Mais voilà, j’ai trop bu, et je marche comme un marin ou un corsaire sur le pont d’un bateau en pleine tempête. Je n’ai aucun équilibre, et l’option lit me parait la plus raisonnable vu mon état. C’est à peine si je remue un orteil quand j’entends Duncan affluer vers moi. Non t’inquiète poto, je ne me suis rien cassé, j’ai juste laissé ma dignité au bar, tu peux aller me la chercher ? Mais non, Duncan se tient debout, l’air décontenancé de devoir s’occuper de moi comme d’un enfant. Mais je l’assume, même si j’ai quitté Poudlard depuis quelques temps et que j’ai entamé mes études à l’université, je suis encore un grand enfant, il n’y a qu’à me regarder en cet instant précis pour s’en rendre compte n’est-ce pas ? mais mon sauveur est là, et c’est avec un petit grognement que j’accueille mon pote tandis qu’il se baisse pour commencer à défaire mes chaussures. Le pauvre, je ne l’aide absolument pas ! Je sens la nausée arriver quand il me redresse de force pour m’ôter mon haut. Je ne remarque même pas le rougissement de ses joues, en même temps, je suis tellement saoul que je garde les yeux fermés, persuadé que si je les ouvre les vertiges reprendront.
Chuuuut arrête de crier Dundun.
Ce surnom, je ne l’utilise que lorsque je suis vraiment alcoolisé. C’est dire mon état. Je rigole tout seul juste après, n’ayant aucun filtre pour les mots que je peux sortir.
Tu chatouilles ! Allez, tout nu maintenant petit coquin. Avoue que t’as envie de moi maintenant que tu vois mon large torse musclé ?
Je le charrie, mais je ne suis pas sérieux, je suis dans la déconnade. Pourtant, mon inconscient sent son trouble, et s’en amuse. Entre Duncan et moi, il n’y a aucun tabou, on s’amuse ensemble de temps à autre, et vu ma sexualité, je ne cours aucun risque à l’embêter sur le sujet. Soudain, sans prévenir, je m’accroche à lui et le renverse sur le lit. J’ai à peine la force pour lui monter dessus sans préambule, et mes mains fouillent le bas de son haut, pour le lui enlever, mais à la place je touche son ventre. Dans un sourire je poursuis.
Allez, à poil toi aussi. Pas de vêtement dans mon lit ! C’est moi ou t’as fait des abdos ce soir ?