- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1280
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @Meloria
» multinick : Vasile Velkan
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Dévastée.
» nature du sang : Pur
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» année d'études : 10ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
» gallions sous la cape : 4278
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Claquement de doigt double et impérieux [Collocation+Alex]
Dim 29 Sep 2024 - 21:17
21 septembre à 8 heure et demi
Clap-clap
Clap-clap
“Bah putain, tu vas avoir la mine fraîche…” Le claquement rapide et régulier du hachoir s’était subitement figé dans la cuisine du Yard Manor, enfoncé si profondément dans la planche à découper qu’il l’avait fendu en son point d’impact jusqu’à sa moitié. Si le craquement terrible qui en avait résulté avait assurément figé le chaos végétal qui s’agitaient jusque là furieusement autour de la table où reposait de larges mets, force était d’admettre que ce n’était désormais plus les tentacules épineuses de la monstera gigantomachia qui fouettait l’air, mais bien de long cheveux roux sagement discipliné sous un nœud de satin noir. Les mèches de Cataleya Blackthorn, semblables aux queues de quelques chats effarouchés, venaient à se mouvoir comme animés d’une volonté qui leur était propre. Vecteur d’une colère qui avait la décence de ne pas être soufflé au visage de ses colocataires, leur mouvement erratique trahissait pourtant sans mal que le message reçu déplaisait en tout point une lufkin levé à six heures pour travailler sur sa thèse de médicomagie puisque la veille avait été dédiée à celle de science occulte. Elle n’avait pas encore prit le temps d’avaler quoi que ce soit, jetée sur les poulets déplumés qui s’accumulaient dans le réfrigérateur afin de nourrir l’armée de plante carnivores et parfaitement carnassière qui pullulaient comme d’étranges monstruosités dans l’enceinte de ce manoir hanté.
Tandis que le hachoir se délogea laborieusement pour conduire la viande à tomber dans un seau pastel où se perdait quelques motifs d’oie, Cataleya inspira profondément et noua ses mains noblement devant sa longue robe noire pour feindre un semblant de bienséance que son sourire sans défaut -quoi qu’un peu mort puisque dénué du moindre sursaut imparfait- appuya sans mal.
-Aela, Cygnus, Nous allons avoir un invité. Et si la Blackthorn souffla la nouvelle au dessus d’un pain d’épice qu’elle avait réalisé et dans lequel elle avait fiché un couteau d’office pour ne plus qu’il daigne bouger, force fut d’admettre qu’elle s’en détourna bien vite pour entrouvrir la fenêtre, s’y appuyer, et chanter un nom avec un enthousiasme qui tranchait avec la colère plus tôt éprouvée. “Impérial d’amour ? C’est l’heure de manger.”
Large et dodue, le jars qui dormait lové sur l’un des bains de soleil du jardin entreprit de rejoindre la demeure dans une course aussi disgracieuse qu’elle était impérieuse, criant son arrivé comme on sonnait les trompettes de l’apocalypse puisque mêmes les plantes de la cuisine -pourtant aussi teigneuses que l’était les trois monstrueux snargaloufs qui bullaient à l’ombre du jardin- avait apprit à le craindre après avoir reçu quelques virulent coup de bec. Difficile d’imaginer qu’en ces lieux pourtant hostile, c’était cette étrange créature qui régnait puisque même Cataleya, lissant sa robe pour mieux poser genoux au sol, semblait se plier à ses caprices comme le témoignait sa facheuse tendance à le garder dans ses bras et lui tisser des colliers en perle de rocaille en murmurant que cette perfection à plume n’était grincheuse que du fait de sa solitude. Les oies étaient grégaires et hormis le chat d’Aela, il n’y avait pas grand monde en ces lieux. Elle avait pourtant la première à souffler qu'il n'y aurait pas d'animaux en ces lieux avant que Lewis ne lui cale dans les bras une foutue oie ; maintenant elle foutait des croquettes aux abords du cimetière. Prenant place à table en calant Impérial sur ses genoux afin de réajuster le large collier qu'elle avait tissé au début du mois sur sa gorge immaculée, Cataleya fronça pourtant les sourcils sitôt les grilles du manoir grincèrent-elle. Signe qu'une âme venait de les pousser.
-S'il se fait attraper par Daisie, je défend quiconque d'aller l'aider tant qu'il n'a pas hurlé à l'aide. La si joliment nommée étant l'une des trois monstruosité végétale et snargaloufienne que Cataleya cultivait depuis ses seize ans, et qui avait prit des proportion titanesques sous ses soins assidues. "Il a insulté ma beauté." Alors, pas tout à fait, mais au vu du chaos qu'était devenue la salle de bain cette semaine puisque engloutie sous les philtres de beauté et soin capillaire, force était d'admettre que c'était devenu un sujet un poil trop sensible depuis que Cataleya rompu ses fiancailles avec Marius Bonnamy et envoyé chier ses parents. Certains mots, quand bien même chassé d'un mouvement de main purement désinvoltes, tournaient assurément dans sa tête jusqu'à l'en rendre malade.
Alexander McCandless et Aela de Lusignan sont fans
- Aela de LusignanOldie ㄨ experimented wizard
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Re: Claquement de doigt double et impérieux [Collocation+Alex]
Ven 4 Oct 2024 - 14:56
Claquement de doigt double et impérieux mood
Des ongles trop courts, quoiqu’en tout point parfaits puisque consciencieusement manucurés repoussèrent sans surprise le plateau qu’elle avait pourtant pris soin de composer. Il y trônait de délicieuses choses dont le fumet appétant titillait les récepteurs de quelques plantes vivaces, ainsi que le nez de ses colocataires. L’appétit défaillant depuis la dernière pleine lune, l’estomac menaçait de se retourner à la moindre tartine mollement mâchouillée. Elles étaient belles pourtant, signe qu’une volonté cherchait malgré tout à combattre l’inévitable. Cette routine inutile persistait depuis six ans maintenant et si elle n’avait que peu d’espoir de réussir à se remplir la pense sans rejeter quoique ce soit la seconde suivante, elle se satisfaisait de l’idée qu’aucun de mets préparés ne seraient tout à fait gâchés. Affreusement immobiles car dépourvus de vie, ces derniers rivalisaient avec les meilleures photos wizardgrammables. Nul doute que l’appareil moldu glissé dans sa chaussette haute serait incessamment sous peu dégainé pour illustrer aux yeux du monde la qualité d’un repas qu’elle ne toucherait que des yeux. Elle ignora par la même occasion le pauvre pain d’épice furieusement empalé, de peur de céder au caprice d’une louve qu’elle sentait horriblement creuser contre son abdomen. Peu alléchée par la vision du beurre de cacahuète, des bananes ou des fruits, celle-ci se serait fait un malin plaisir de le prendre en chasse.
Pour tromper le monstre et l’épuisement, ses doigts délicats se refermèrent autour d’une tasse fumante dont les effluves de caféine et de cardamome apaisaient ses sens. Point de fantaisie en topping cette fois-ci mais une couleur pâle, invitant à la sérénité. Le cul vissé à la chaise qu’elle avait proclamé comme sienne dès le tout premier repas partagé, elle laissait ses perles azurées se perdrent dans la contemplation d’un jardin fou à lier. De temps à autre, elles
papillonnait et revenait à elle, un sourire affable creusant des joues manquant de rondeur. Son sourcil se releva par deux fois, aussi, tant l’agitation de l’autre rouquine la surprenait. Pauvre Cygnus. Coincé avec une folle de la hachette et une insomniaque à l’humeur fragile, il devait faire preuve d’une patience prodigieuse. Impuissante face à la tempête rousse, la française préféra rester sage -pour une fois, et se contenta d’incliner la nuque de façon à se laisser choir contre l’épaule du sorcier. La vision d’un poil mal taillé l’irrita particulièrement et elle se fit la promesse mentale de le coincer dans la journée pour lui tailler le tout de la plus séduisante des façons. S’ils survivaient à la rage de Cataleya, ce qui était loin d’être gagné d’avance. Rocco, fidèle matou, avait d’ailleurs choisi le camp de la sureté et s’était lové contre ses jambes nues après avoir tenté de mordre un vilain tentacule épineux.
« Un invité ? A cette heure ? Tu te moque de moi enfin ! » La paume avait relâché sa prise pour mieux s’abattre sur la table. Les cils auburn ne cessaient de battre à toute vitesse, preuve que l’esprit aux portes de l’agonie s’était dressé, vif au possible. Les prunelles s’étaient attelées à inspecter le corps de la sorcière dont les stigmates de l’innommable nuit résistaient encore malgré les potions relipidantes, les onguents décongestionnants et autres cache-misères. L’horreur ne résidait pas dans ce t-shirt à peine assez long pour couvrir un dessous citant Epicure ou le port de chaussettes en laine. Non. La pudeur était bien le dernier de ces soucis puisqu’il s’agissait ici de son domicile, quoiqu’elle n’en soit qu’une simple locataire. L’angoisse ne se porta pas plus sur l’ignoble cicatrice dont les zébrures éclataient au-dessous du coton, marbrant hanche et cuisse. L’animal la couvrait pour l’heure et s’il s’avisait de la dévoiler, elle l’afficherait d’elle-même sans honte aucune. Peut-être même qu’elle mordrait, si l’envie lui prenait. Odieuse enfant capricieuse, elle n’aimait pas être prise au dépourvu et tenait à offrir la meilleure version d’elle pour chaque rencontre. Les nerfs à fleur de peau suite à aux perturbations lupines, elle se mit à serrer franchement des mâchoires et à inspirer à plein naseau le parfum de sa boisson. Elle cherchait à rassurer la bête qu’elle sentait déjà prête à se rassembler et vola sans une once de culpabilité un peu de chaleur humaine à son voisin de tablé. Elle prenait toujours. N’implorait jamais.
« Je n’aide personne avant d’avoir terminé mon café. Sois rassurée. » Semi-vérité tout juste marmonnée derrière sa tasse. Les griffes ratiboisées glissèrent une longue mèche rousse à l’arrière de son oreille, avant qu’elle ne daigne enfin accorder un peu d’espace au Dubellâtre. « Qu’est-ce que tu comptes faire à ce sujet ? Le faire ployer le genou devant toi ou bien le jeter directement à la gueule de tes amours ? » Elle fit un léger mouvement de tête, indiquant du menton les plantes aux dents les plus aiguisées. Si elles n’étaient pas assez proches pour s’appeler ouvertement amies, les deux sorcières se connaissaient maintenant assez pour justifier une forme de soutien de la part d’Aela. La Blackthorn avait un point d’avance par rapport à l’invité dont elle ne savait rien et le sourire en coin qu’elle affichait éhontément promettait une fidélité certaine. Le temps de l’amusement, du moins.
« Si tu me laisses accéder à ta garde-robe, je veux bien devenir ton alibi. »
Pour tromper le monstre et l’épuisement, ses doigts délicats se refermèrent autour d’une tasse fumante dont les effluves de caféine et de cardamome apaisaient ses sens. Point de fantaisie en topping cette fois-ci mais une couleur pâle, invitant à la sérénité. Le cul vissé à la chaise qu’elle avait proclamé comme sienne dès le tout premier repas partagé, elle laissait ses perles azurées se perdrent dans la contemplation d’un jardin fou à lier. De temps à autre, elles
papillonnait et revenait à elle, un sourire affable creusant des joues manquant de rondeur. Son sourcil se releva par deux fois, aussi, tant l’agitation de l’autre rouquine la surprenait. Pauvre Cygnus. Coincé avec une folle de la hachette et une insomniaque à l’humeur fragile, il devait faire preuve d’une patience prodigieuse. Impuissante face à la tempête rousse, la française préféra rester sage -pour une fois, et se contenta d’incliner la nuque de façon à se laisser choir contre l’épaule du sorcier. La vision d’un poil mal taillé l’irrita particulièrement et elle se fit la promesse mentale de le coincer dans la journée pour lui tailler le tout de la plus séduisante des façons. S’ils survivaient à la rage de Cataleya, ce qui était loin d’être gagné d’avance. Rocco, fidèle matou, avait d’ailleurs choisi le camp de la sureté et s’était lové contre ses jambes nues après avoir tenté de mordre un vilain tentacule épineux.
« Un invité ? A cette heure ? Tu te moque de moi enfin ! » La paume avait relâché sa prise pour mieux s’abattre sur la table. Les cils auburn ne cessaient de battre à toute vitesse, preuve que l’esprit aux portes de l’agonie s’était dressé, vif au possible. Les prunelles s’étaient attelées à inspecter le corps de la sorcière dont les stigmates de l’innommable nuit résistaient encore malgré les potions relipidantes, les onguents décongestionnants et autres cache-misères. L’horreur ne résidait pas dans ce t-shirt à peine assez long pour couvrir un dessous citant Epicure ou le port de chaussettes en laine. Non. La pudeur était bien le dernier de ces soucis puisqu’il s’agissait ici de son domicile, quoiqu’elle n’en soit qu’une simple locataire. L’angoisse ne se porta pas plus sur l’ignoble cicatrice dont les zébrures éclataient au-dessous du coton, marbrant hanche et cuisse. L’animal la couvrait pour l’heure et s’il s’avisait de la dévoiler, elle l’afficherait d’elle-même sans honte aucune. Peut-être même qu’elle mordrait, si l’envie lui prenait. Odieuse enfant capricieuse, elle n’aimait pas être prise au dépourvu et tenait à offrir la meilleure version d’elle pour chaque rencontre. Les nerfs à fleur de peau suite à aux perturbations lupines, elle se mit à serrer franchement des mâchoires et à inspirer à plein naseau le parfum de sa boisson. Elle cherchait à rassurer la bête qu’elle sentait déjà prête à se rassembler et vola sans une once de culpabilité un peu de chaleur humaine à son voisin de tablé. Elle prenait toujours. N’implorait jamais.
« Je n’aide personne avant d’avoir terminé mon café. Sois rassurée. » Semi-vérité tout juste marmonnée derrière sa tasse. Les griffes ratiboisées glissèrent une longue mèche rousse à l’arrière de son oreille, avant qu’elle ne daigne enfin accorder un peu d’espace au Dubellâtre. « Qu’est-ce que tu comptes faire à ce sujet ? Le faire ployer le genou devant toi ou bien le jeter directement à la gueule de tes amours ? » Elle fit un léger mouvement de tête, indiquant du menton les plantes aux dents les plus aiguisées. Si elles n’étaient pas assez proches pour s’appeler ouvertement amies, les deux sorcières se connaissaient maintenant assez pour justifier une forme de soutien de la part d’Aela. La Blackthorn avait un point d’avance par rapport à l’invité dont elle ne savait rien et le sourire en coin qu’elle affichait éhontément promettait une fidélité certaine. Le temps de l’amusement, du moins.
« Si tu me laisses accéder à ta garde-robe, je veux bien devenir ton alibi. »
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- Cygnus DubellâtreOldie ㄨ experimented wizard
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» miroir du riséd : Grant Gustin
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» âge : 32 ans
» situation : Célibataire
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Re: Claquement de doigt double et impérieux [Collocation+Alex]
Mer 16 Oct 2024 - 15:45
Claquement de doigt double et impérieux
Cygnus tentait de prendre ses marques doucement depuis quelques temps au Yard Manor. Non seulement, cela ne faisait que trois mois qu'il avait emménagé mais en plus, une nouvelle colocataire était venue grossir le nombre d'habitants du logement. Le Dubellâtre était clairement en infériorité hormonale ! Mais cela ne le gênait pas vraiment, les deux jeunes femmes, bien que totalement excentriques, avaient quelque chose d'attachant et il apprenait à les connaître jour après jour. Lui qui refusait de revivre avec des animaux se retrouvait, en plus des plantes carnivores, avec un chat et un jars.... Autant, le chat, il pouvait s'y faire, il lui suffisait de ne pas penser à celui de son enfance et ça allait ! Mais... un jars ? VRAIMENT ? Il se rappelait avoir plaquer une main sur son front le jour où Cat' s'était ramenée avec l'animal au manoir. Il avait soupiré très fort aussi.
La venue d'Aela avait eu cela de positif que Cygnus n'était plus obligé de boire les monstrueux cafés de la propriétaire des lieux mais de délicieuses concoctions dont elle avait le secret. Ce matin là encore, il bénéficiait d'une boisson préparée par la jeune femme.
Observant du coin de l’œil Cataleya se débattre à la fois avec un pain d'épice visiblement trop vivant pour être mangé et avec des morceaux de poulet cru, il eut un haut le cœur, il était bien trop tôt pour tout cela. Il hésita même un instant à retourner se coucher ; après tout, c'était samedi, qu'est-ce qui le forçait à être debout aussi tôt un samedi ? Ha oui... Sa thèse !
Détournant les yeux de la rouquine, il observa le plateau de sa voisine de table qui lui faisait bien plus envie. Ses petites tartines avaient l'air très appétissantes même s'il n'était pas un grand fan de beurre de cacahuète. Cependant, elle ne touchait pas à sa préparation ; il n'y avait que Cygnus qui mangeait à ce moment précis. Rien de très excentrique : il trempait une tartine de pain beurre dans son café fumant.
Aela avait visiblement très vite pris ses marques ainsi que ses aises, c'est ainsi qu'elle posa sa tête nonchalamment sur l'épaule du Lufkin ; il la laissa faire, observant dans le même temps le chat qui se collait à elle.
L'annonce de Cataleya sembla surprendre les deux colocataires. Un invité ? Les prévenait-elle très en avance pour qu'ils soient moins choqués ou l'invité en question allait-il arriver dans les minutes qui allaient suivre ? Non parce que Cygnus n'était pas vraiment en état d'accueillir quelqu'un à l'heure actuelle ! Il n'était pas lavé, pas vraiment habillé - un pantalon de jogging noir, très confortable mais pas convenable, un marcel gris et une grosse paire de chaussettes à motifs panda avec semelles antidérapantes qu'il tentait de cacher sous la longueur de son pantalon - pas coiffé et n'avait pas encore pris soin de sa barbe qu'il tentait de laisser pousser bien qu'elle n'en fasse qu'à sa tête, comme les plantes de Cat' !
« Un invité ? Qui est-ce ? Et il arrive quand ? » Doutant rapidement de sa propriétaire, il se permit d'ajouter : « Tu ne parles pas de ton oie j'espère ? »
Elle venait de l'appeler pour le nourrir, le doute était permis ! Cela dit, la suite de la conversation sembla indiquer qu'il s'agissait bien d'une personne, réelle qui plus est, et donc, pas d'un potentiel spectre de la maison qu'elle aurait invité.
Analysant chaque mot, comme bien souvent, le Lufkin eut un moment de doute... « S'IL se fait attraper » IL ? "Il" pour l'"invité" ou "il" parce que l'invité en question était un homme ? Il serait sans doute bien vite renseigné sur le sujet, aussi préféra-t-il ne pas poser la question, ne voulant pas passer pour le mâle protecteur de cette demeure.
Reprenant une gorgée de son café, Cygnus répondit à son tour :
« Je n'aiderai personne non plus tant que je n'aurais pas fini ce délicieux breuvage ! » Petite pique lancée envers Cataleya, à qui il n'aurait jamais pu faire ce compliment ! « De plus, personne ne m'a aidé moi quand je suis venue pour visiter le manoir... »
« On n'aime pas qui on veut. on aime qui on peut. »
Hervé Bazin
Aela de Lusignan est fan
- Alexander McCandlessOldie ㄨ experimented wizard
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» situation : célibataire
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Re: Claquement de doigt double et impérieux [Collocation+Alex]
Jeu 17 Oct 2024 - 20:53
Arrivés devant les grilles du manoir, Alex n’hésite pas à les ouvrir. Il connaît cet environnement que certains pourraient qualifier d’hostile, d’autres de lugubre, ou encore d’étrange. La brume matinale n’arrange pas cette ambiance particulière. Mais McCandless s’y sent bien (après tout, c’est chez Cataleya) et connaît par coeur le chemin qui mène à la porte sans embûches.
Par contre, il tient sa baguette en main, surtout depuis que Cat’ a accueilli chez elle un jars qui prend son rôle de gardien très à coeur. Putain de Barghest. Mais l’anatidé n’a pas l’air d’être présent cette fois-ci. Dommage, cela ne sentira pas le poulet grillé. Tout en traversant le jardin, il siffle pour signaler sa présence à la propriétaire des lieux. Un sifflement particulier que Cataleya et les autres Chauffes-plats connaissent bien.
En entrant dans la demeure, les effluves de café lui chatouillent le nez. Pitié. Pas de café. Non seulement celui de la Blackthorn est imbuvable mais en plus, il n’aime pas ça.
Il stoppe son entrée en cuisine en voyant le tableau qui se présente à lui. Ok, il sait qu’elle a des colocataires, mais il ne s’attendait pas à les voir tous ensemble.
“Salut.”
Il observe rapidement, et vient s'asseoir sur une chaise, comme s’il était chez lui.
Il a bien vu que l’oie est sur les genoux de la Duchesse, et ce n’est pas le moment d’aller lui taper la bise.
“Tu es rayonnante Cat’.”
Oui, il ne peut s’en empêcher d’avoir ce petit air moqueur, bien qu’elle ait une arme sur ses genoux, et près de sa main.
Il prend le temps d’observer les deux autres en face de lui. Il a d’ailleurs remarqué les chaussettes moumouttes de monsieur colocataire en entrant dans la pièce. Sérieux, c’est quoi cette dégaine ? Bon au moins, pas vraiment de risque que Cataleya succombe à son charme. Quoique, on ne sait jamais, sur un malentendu…
Par contre, la petite rouquine attire l'œil de l’Ecossais. Serait-ce cette coiffure matinale qui lui donne cet air sauvage, ou bien est-ce simplement son regard ?
“Alex, meilleur ami de Cat’. Bon et accessoirement son plan cul aussi.”
Autant qu’ils le sachent, cela évite toute suspicion s’ils le croisent au petit matin sortir de la chambre de la Blackthorn.
Il se tourne enfin vers la maîtresse des lieux.
“Bon Cat’, j’ai une surprise pour toi.”
Sur ce, il ouvre lentement sa veste noire, un brin de malice dans le regard. En écartant les pans de sa veste, une petite chauve-souris apparaît accrochée au pull du marin, enveloppée dans ses ailes.
@Cataleya Blackthorn, @Aela de Lusignan, @Cygnus Dubellâtre
Par contre, il tient sa baguette en main, surtout depuis que Cat’ a accueilli chez elle un jars qui prend son rôle de gardien très à coeur. Putain de Barghest. Mais l’anatidé n’a pas l’air d’être présent cette fois-ci. Dommage, cela ne sentira pas le poulet grillé. Tout en traversant le jardin, il siffle pour signaler sa présence à la propriétaire des lieux. Un sifflement particulier que Cataleya et les autres Chauffes-plats connaissent bien.
En entrant dans la demeure, les effluves de café lui chatouillent le nez. Pitié. Pas de café. Non seulement celui de la Blackthorn est imbuvable mais en plus, il n’aime pas ça.
Il stoppe son entrée en cuisine en voyant le tableau qui se présente à lui. Ok, il sait qu’elle a des colocataires, mais il ne s’attendait pas à les voir tous ensemble.
“Salut.”
Il observe rapidement, et vient s'asseoir sur une chaise, comme s’il était chez lui.
Il a bien vu que l’oie est sur les genoux de la Duchesse, et ce n’est pas le moment d’aller lui taper la bise.
“Tu es rayonnante Cat’.”
Oui, il ne peut s’en empêcher d’avoir ce petit air moqueur, bien qu’elle ait une arme sur ses genoux, et près de sa main.
Il prend le temps d’observer les deux autres en face de lui. Il a d’ailleurs remarqué les chaussettes moumouttes de monsieur colocataire en entrant dans la pièce. Sérieux, c’est quoi cette dégaine ? Bon au moins, pas vraiment de risque que Cataleya succombe à son charme. Quoique, on ne sait jamais, sur un malentendu…
Par contre, la petite rouquine attire l'œil de l’Ecossais. Serait-ce cette coiffure matinale qui lui donne cet air sauvage, ou bien est-ce simplement son regard ?
“Alex, meilleur ami de Cat’. Bon et accessoirement son plan cul aussi.”
Autant qu’ils le sachent, cela évite toute suspicion s’ils le croisent au petit matin sortir de la chambre de la Blackthorn.
Il se tourne enfin vers la maîtresse des lieux.
“Bon Cat’, j’ai une surprise pour toi.”
Sur ce, il ouvre lentement sa veste noire, un brin de malice dans le regard. En écartant les pans de sa veste, une petite chauve-souris apparaît accrochée au pull du marin, enveloppée dans ses ailes.
@Cataleya Blackthorn, @Aela de Lusignan, @Cygnus Dubellâtre
Owen Le Floch est fan
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» âge : 25 ans (15 février)
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» profession : Résidente à sainte Mangouste, service pathologie des sortilèges
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Re: Claquement de doigt double et impérieux [Collocation+Alex]
Ven 18 Oct 2024 - 10:45
Si Cataleya devait bien reconnaître une chose à ses colocataires, c’est qu’ils semblaient souvent alignés sur la fréquence radio qui régissait sa propre vie. Une fréquence un peu improbable, souvent hasardeuse, et sur laquelle elle avait souvent crû être la seule à vibrer ; Personne ne lèverait son cul, et encore moins à cette heure de la journée puisque personne n’était préparé. La Blackthorn même, si elle s’était drapé d’une robe corseté jusqu’à l’étouffement pour descendre de son petit grenier, n’était pas en état d’accueillir la moindre âme extérieure puisque l’anticerne n’avait sû pleinement gommer la fatigue et moins encore le plissement de nez revêche qu’elle arborait depuis la réception de ce foutu sms. “Pas le temps pour les alibis ou pour nous changer ; c’est le con qui siffle dans le jardin.” Si légèrement, à dire vrai, que Cataleya dû se faire violence pour ne pas fondre sur la fenêtre et y hurler un peu de respect ; ce n’était pas parce qu’il connaissait l’emplacement de chacune des plantes dangereuse du jardin et qu’il ne se laissait plus impressionner par la vision fantasmagorique du Yard Manor qu’il devait progresser en son sein avec autant de nonchalance. Et voilà qu’il poussait la porte d’entrée comme s’il s’agissait là de la sienne ! Quel mal élevé. Basculant dramatiquement sur l’épaule libre de Cygnus quand celui-ci s’essaya à critiquer son café, la Blackthorn soupira largement. “Si tu avais été attrapé par Daisy, je t’aurais aidé. Toi.” Son bleu regard gagna des airs fauves sitôt Alexander passa le seuil de la cuisine et, redressant doucement le visage pour mieux le fusiller, la rousse leva bien haut son majeur. Il pouvait bien se moquer, au moins n’avait-elle pas la dégaine d’un mauvais surfeur comme lui. Hélas, prise au dépourvu par la présentation de l’auror, la Blackthorn n’eut ni le temps de souligner l’épi moche de ses cheveux, ni de lui siffler d’arrêter de lorgner sur Aela parce qu’il n’était pas discret. Au contraire, elle sembla même sursauter en délogeant le couteau enfoncé trop profondément dans le pain d’épice afin de s’en couper une tranche.
-Je le coupe tout de suite ; “Plan cul” en attendant que Cygnus accepte mes avances.” Répondit-elle du tac-au-tac, plus pour ne ne pas perdre la face que pleinement réfléchi. Pourquoi Cygnus ? Parce qu’il était à côté ? Elle voudrait s’éclater le front contre la table mais préféra poignarder le gâteau aux quatre épices qui rampait laborieusement en direction de McCandless. Et j'attends toujours de voir si je renouvelle ton CDD sous mes draps.”
Histoire de hurler à la Terre entière qu’elle n’était pas assez désespérée pour croire qu’elle ne pouvait plaire qu’à cet ancien grymm, et tenter au passage de lui faire comprendre qu’il pouvait sauter aussi facilement qu’elle, elle pouvait sauter. Quand bien même la concurrence était inexistante d’un côté de la balance ; Personne ne se pressait véritablement au portique de Cataleya et il fallait avouer que le dernier à avoir squatté son canapé était parti au courant quand l’une des plantes s’était essayée à doucement l’étreindre. Meh. L’attention de la jeune femme fut tout de même rappelé à Alexander quand celui-ci écarta doucement les pans de sa veste et, s’attendant vraisemblablement à tout -et au pire-, ce fut d’un geste habile que la Blackthorn offrit sa main en direction du visage d’Aela pour occulter vaguement sa vue dans l’espoir de préserver son esprit innocent. Pas de tatouage honteux cependant, et encore moins de tenue ridicule, juste une chauve souris noire comme l’ébène. La jeune femme tourna vers ses colocataires un regard plein d’incompréhension avant de le ramener à l’auror, ne comprenant vraisemblablement pas où il voulait en venir.
-T’essaye de me faire comprendre d’une manière nulle que tu veux m’offrir ton coeur où tu veux que je juge juste ton pull ? Parce que dans les deux cas, c’est laid. Tu feras gaffe par contre ; Une chauve-souris s’y est accrochée.”
-Je le coupe tout de suite ; “Plan cul” en attendant que Cygnus accepte mes avances.” Répondit-elle du tac-au-tac, plus pour ne ne pas perdre la face que pleinement réfléchi. Pourquoi Cygnus ? Parce qu’il était à côté ? Elle voudrait s’éclater le front contre la table mais préféra poignarder le gâteau aux quatre épices qui rampait laborieusement en direction de McCandless. Et j'attends toujours de voir si je renouvelle ton CDD sous mes draps.”
Histoire de hurler à la Terre entière qu’elle n’était pas assez désespérée pour croire qu’elle ne pouvait plaire qu’à cet ancien grymm, et tenter au passage de lui faire comprendre qu’il pouvait sauter aussi facilement qu’elle, elle pouvait sauter. Quand bien même la concurrence était inexistante d’un côté de la balance ; Personne ne se pressait véritablement au portique de Cataleya et il fallait avouer que le dernier à avoir squatté son canapé était parti au courant quand l’une des plantes s’était essayée à doucement l’étreindre. Meh. L’attention de la jeune femme fut tout de même rappelé à Alexander quand celui-ci écarta doucement les pans de sa veste et, s’attendant vraisemblablement à tout -et au pire-, ce fut d’un geste habile que la Blackthorn offrit sa main en direction du visage d’Aela pour occulter vaguement sa vue dans l’espoir de préserver son esprit innocent. Pas de tatouage honteux cependant, et encore moins de tenue ridicule, juste une chauve souris noire comme l’ébène. La jeune femme tourna vers ses colocataires un regard plein d’incompréhension avant de le ramener à l’auror, ne comprenant vraisemblablement pas où il voulait en venir.
-T’essaye de me faire comprendre d’une manière nulle que tu veux m’offrir ton coeur où tu veux que je juge juste ton pull ? Parce que dans les deux cas, c’est laid. Tu feras gaffe par contre ; Une chauve-souris s’y est accrochée.”
- Aela de LusignanOldie ㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 186
» miroir du riséd : laura gwyneth butler
» crédits : <3
» multinick : Apsa la dancin'queen / Lewis le Grumpy Cat / Cam l'arc-en-ciel
» âge : 24 (25/12/1999)
» situation : Célibataire
» nature du sang : Pur
» particularité : Lycanthrope
» année d'études : 2ème
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Botanique, SACM, Astronomieㅡ options facultatives :▣ Dragonologie
» gallions sous la cape : 479
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Claquement de doigt double et impérieux [Collocation+Alex]
Lun 28 Oct 2024 - 16:25
Claquement de doigt double et impérieux mood
La louve grondait dans l’ombre de sa tanière. Enfermée à double tour jusqu’à la prochaine libération, elle ne cessait de roder et de tester les limites de sa prison nouvellement reformée. La dernière l’avait terriblement secoué et elle osait à peine imaginer ce que donnerait la prochaine. Si celle-ci avait certainement été perturbé par un facteur de stress exacerbé, la prochaine serait assurément plus douloureuse puisque sous l’égide d’une super lune. Sa lâcheté ne la séduisait que plus encore dans ces cas-là. Il lui était si facile de s’endormir plutôt que de vivre le cauchemar à nouveau. Cauchemars qui, cette fois encore, lui rappelait son existence à coup de courbatures, névralgies et asthénie trainantes. Aela aurait aimé invoquer son théâtralisme adoré et cambrer l’échine pour mieux appuyer ses propos. Elle détestait être prise au dépourvue et accordait tant d’attentions aux plus petits détails que cette surprise n’avait, pour elle, rien d’agréable. Les jours succédant ses transformations lui donnaient l’impression de tenir de la bête et non de la femme et elle rivalisait d’astuces pour en gommer les séquelles. Sa routine matinale habituelle lui prenait pas moins d’une heure. Il lui fallait respecter une minuterie stricte entre chaque onguent et philtres hors de prix dans l’espoir de voir diminuer ses poches et remplumer son derme. A trois jours de l’Enfer, son rituel en nécessitait le double… Et cette mégère choisissait le pire moment de la journée pour inviter un glandu inconnu ? N’avait-elle jamais entendu parlé de l’importance d’une première impression ? C’était pourtant capital. Incapable de quitter l’assemblée sans s’effondrer contre l’encadrement de la porte, la sorcière préféra claquer la table de sa paume. Sa pommette vint s’appuyer contre l’épaule de Cygnus qui, bien trop patient, accepta de céder à son caprice. Il était évident pour quiconque présent dans cette cuisine qu’elle ne faisait aucun effort pour se tenir. Elle ne tarda pas à repousser définitivement son assiette sous son en guise de paiement.
« Le con ? Merde Cat, t’abuses ! » La sang-pur se redressa avec toute la peine du monde et s’appliqua à pincer fortement ses joues dans l’idée d’y apporter un peu de couleur. Peut-être qu’avec ça, l’œil de l’infame invité se détournerait de ses prunelles dévastées par la fatigue. Dans le doute, elle bomba également la poitrine et tenta de mettre un peu d’ordre dans les mèches encadrant son visage tacheté. « Je suis comment ? Non. Ne réponds pas. Je flairerai le mensonge et devrais te punir en glissant du sel dans ton prochain café. » Dit-elle à son colocataire avant de s’emparer de sa tasse fumante. Elle en huma le parfum et tenta d’y trouver du réconfort.
L’indésirable ne tarda pas à faire irruption dans la cuisine. Il y évoluait comme s’il était chez lui, ce qui ne manqua pas d’intriguer la sorcière. Elle arqua un sourcil à son attention lorsqu’il s’installa face à eux et ne put s’empêcher de sourire lorsqu’il complimenta Cataleya. Était-il brave ou suicidaire ? Quelle différence, au fond ? Ses ongles trop courts à son goût dessinèrent de jolies arabesques sur le pelage noir de son chat. Tout comme le félin, elle avait planté ses grands yeux blancs dans ceux du prénommé Alex, aka le plan cul. Encore plus intéressant.
« Il faudrait que je commence à me chercher un meilleur ami tout compte fait… » Ses lèvres remontèrent malicieusement avant de s’écraser contre sa tasse. La réaction de la rouquine ne s’était pas faite attendre. Cygnus venait de se prendre une balle perdue et c’était hilarant. « Ou pas. Si même un meilleur ami est incapable de te satisfaire, qui le pourrait ? Han. Comme quoi, on n’est jamais mieux servi que par soi-même. Si ton jouet fini par te lasser Cat, viens dans ma chambre. Je te montrerais deux trois trucs. Denis est sympa. Il peut même aller sous l’e-Une chauve-souris ?! »
Cette fois-ci, elle s’était redressée d’un bon. Le pauvre Rocco fut alors contraint de quitter les genoux de sa maitresse et de sauter à son tour. Il évita soigneusement Cataleya et son poulet obèse et se mit debout, ses patounes aiguisés quémandant à grimper sur les genoux de la montagne.
« Le con ? Merde Cat, t’abuses ! » La sang-pur se redressa avec toute la peine du monde et s’appliqua à pincer fortement ses joues dans l’idée d’y apporter un peu de couleur. Peut-être qu’avec ça, l’œil de l’infame invité se détournerait de ses prunelles dévastées par la fatigue. Dans le doute, elle bomba également la poitrine et tenta de mettre un peu d’ordre dans les mèches encadrant son visage tacheté. « Je suis comment ? Non. Ne réponds pas. Je flairerai le mensonge et devrais te punir en glissant du sel dans ton prochain café. » Dit-elle à son colocataire avant de s’emparer de sa tasse fumante. Elle en huma le parfum et tenta d’y trouver du réconfort.
L’indésirable ne tarda pas à faire irruption dans la cuisine. Il y évoluait comme s’il était chez lui, ce qui ne manqua pas d’intriguer la sorcière. Elle arqua un sourcil à son attention lorsqu’il s’installa face à eux et ne put s’empêcher de sourire lorsqu’il complimenta Cataleya. Était-il brave ou suicidaire ? Quelle différence, au fond ? Ses ongles trop courts à son goût dessinèrent de jolies arabesques sur le pelage noir de son chat. Tout comme le félin, elle avait planté ses grands yeux blancs dans ceux du prénommé Alex, aka le plan cul. Encore plus intéressant.
« Il faudrait que je commence à me chercher un meilleur ami tout compte fait… » Ses lèvres remontèrent malicieusement avant de s’écraser contre sa tasse. La réaction de la rouquine ne s’était pas faite attendre. Cygnus venait de se prendre une balle perdue et c’était hilarant. « Ou pas. Si même un meilleur ami est incapable de te satisfaire, qui le pourrait ? Han. Comme quoi, on n’est jamais mieux servi que par soi-même. Si ton jouet fini par te lasser Cat, viens dans ma chambre. Je te montrerais deux trois trucs. Denis est sympa. Il peut même aller sous l’e-Une chauve-souris ?! »
Cette fois-ci, elle s’était redressée d’un bon. Le pauvre Rocco fut alors contraint de quitter les genoux de sa maitresse et de sauter à son tour. Il évita soigneusement Cataleya et son poulet obèse et se mit debout, ses patounes aiguisés quémandant à grimper sur les genoux de la montagne.
Pardon pour l'attente
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moon child
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Re: Claquement de doigt double et impérieux [Collocation+Alex]
Mar 12 Nov 2024 - 16:04
Claquement de doigt double et impérieux
Pas le temps de se changer car l'invité était déjà là ? Au moins Cat' savait soigner ses surprises ! Dans ce cas, inutile de chercher à soigner son apparence, foutu pour foutu, autant rester à l'aise, Cygnus ne bougea donc pas. De toute façon, comment l'aurait-il pu ? Aela était collé à son épaule d'un côté et Cataleya venait d'en faire de même de l'autre. Cependant, elle ne resta pas, retirant sa tête au moment où ledit invité passa la porte de la cuisine comme s'il était chez lui. Cela eut pour effet de faire arquer un sourcil au Lufkin ; depuis quand cette maison était-elle devenue un moulin ?
« 'lut ! » avait-il seulement répondu à l'homme lorsqu'il les salua tous avant de continuer son petit déjeuner, alternant entre ses tartines et son café qu'il prenait le temps de déguster.
D'un œil attentif, qui se voulait plus protecteur qu'il ne le voulait, il observait la scène qui s'offrait à lui tout en continuant de boire. Il fut quelque peu choqué par la présentation dudit Alex, en tant que plan cul de Cat'. Il avait, lui aussi, ce genre de fréquentation, bien sûr, mais jamais ô grand jamais, il ne le chantait sur tous les toits et encore moins quand il voyait des personnes pour la première fois. Visiblement, cet homme là était très libéré. La réponse de Cataleya en revanche provoqua chez le sorcier une réaction à laquelle il ne s'était pas attendu. Il venait de prendre une gorgée du café préparé par Aela quand la sorcière annonça qu'Alex était son plan cul en attendant que Cygnus ne lui cède ; il ne fallut que quelques secondes pour qu'il ne crache l'intégralité de la gorgée de café qu'il avait dans la bouche, en mettant partout sur la table devant lui. Heureusement qu'il n'avait pas la bouche pleine, ça n'avait pas atteint le côté où se trouvaient Alex et Cat' mais le plateau d'Aela en revanche...
« Mais enfin Cat' ! Qu'est-ce que tu racontes ? » Tournant la tête vers Ae, il fit une moue désolée. « Pardon pour ton p'tit déj, tu veux que je te prépare autre chose ? »
Il était sincèrement désolé et il savait que la française aimait ses petits plats alors sans doute serait-elle moins en colère s'il remplaçait la nourriture gâchée par autre chose. Elle n'avait de toute façon touché à rien depuis le réveil ! En revanche, il fut ravi que son intervention malencontreuse ne vienne couper une conversation qui commençait à vraiment le mettre mal à l'aise ; il n'avait aucunement envie de savoir ce qu'elles pouvaient faire toutes les deux lorsqu'elles étaient enfermées, seules, dans leurs chambres... Cela dit, ce ne fut pas vraiment son incident à base de café qui fit bifurquer la conversation mais plutôt le fait que le nouveau venu avait apporté une chauve-souris dans cette cuisine.
Se levant pour aller chercher de quoi nettoyer les dégâts, Cygnus ne put s'empêcher de lever les yeux au ciel. HORS DE QUESTION pour lui que cet animal reste dans la maison ! Il arrivait déjà qu'il retrouve parfois des fientes du jars sur le sol de la cuisine, ce n'était pas pour retrouver des Coco Pops dans l'évier à cause d'une chauve-souris !
« Sérieusement ? C'est quoi le délire animalier là encore ? »
Il savait qu'il pouvait passer pour le lourd de service avec ce genre de remarque mais il y avait déjà bien trop d'animaux peuplant les lieux à son goût.
« On n'aime pas qui on veut. on aime qui on peut. »
Hervé Bazin
Alexander McCandless et Aela de Lusignan sont fans