- InvitéInvité
let's have some fun.
Sam 30 Oct 2010 - 23:26
let's have some fun.
pv Aleksei, Bonnie, Ceasar, Dolce.
L’air frais provenant de la fenêtre à peine entrouverte pénétrait délicatement la pièce, effaçant sur son passage l’odeur entêtante de parfum qui émanait de la salle de bain. Assise devant son miroir, Bonnie peaufinait soigneusement son maquillage, ajustant une dernière touche de rouge à lèvres carmin avant d’inspecter avec précision ses longs cheveux bruns coiffés spécialement pour l’occasion. Le tombé était parfait, se coordonnant merveilleusement bien avec le reste de sa tenue, pour le moins…Provocante. Oui, en ce soir d’Halloween, la jeune femme avait opté pour un costume de pin-up américaine des années cinquante, de quoi en faire se retourner plus d’un sur son passage. Certes, une telle réaction flattait toujours l’Australienne, mais c’était d’autant plus frustrant quand on savait que tous ces efforts ne serviraient à rien ! Elle se contenterait des deux-trois audacieux qui essaieraient tant bien que mal de la faire succomber tandis qu’elle les observerait indifféremment en leur agitant son alliance sous le nez, sourire narquois au coin des lèvres. A cette pensée, Bonnie laissa échapper un profond soupir avant de se laisser tomber contre le dossier du fauteuil. Allons bon, pourquoi allait-elle à cette soirée, tout compte fait ? Pour se pavaner, comme d’habitude. Pour faire son hypocrite, comme d’habitude. Elle ne s’amuserait même pas, ferait seulement office de présence avant de repartir une heure et demie plus tard. Depuis son retour à Hungcalf, Bonnie ne parvenait plus à s’amuser, à se lancer à corps perdu dans une soirée, parler avec n’importe qui, ridiculiser un individu lambda. Chaque fois que la jeune femme daignait faire un effort, elle finissait par partir, prétextant un mal de tête atroce. Mais ce soir, hors de question de se laisser envahir par des sentiments qui ne faisaient que l’enfoncer de plus belle. Revêtue d’une robe pour le moins suggestive, elle reprit progressivement confiance en elle, se redressa et jeta un dernier coup d’œil à son miroir avant d’enfiler ses chaussures à talons hauts. Bonnie Bougrov était parfaite, espérons que son cavalier serait également de cet avis. Oui, la jeune femme se rendait au bal d’Halloween en compagnie d’Aleksei Sinwaith, très bon ami et également prétendant d’une dénommée O’Shea que Bonnie conservait en permanence dans sa ligne de mire. La raison ? Oh, une histoire toute bête. Cette sainte-nitouche d’O’Shea avait trouvé bon d’entrer dans la chambre de James Lewis alors que Bonnie et lui se trouvaient en plein ébats. Depuis, la Grymm cultivait une certaine réticence à l’égard de cette jeune femme. Enfin, ce soir, O’Shea se trouverait bien bête lorsqu’elle verrait son cher et tendre se rendre au bal d’Halloween avec une délicieuse silhouette brune. Et cette pensée fit sourire l’Australienne, réveillant ce côté garce trop longtemps enfoui au fond d’elle.
Le soir d’Halloween, les rues de Norwich étaient bondées. Bon nombre de sorciers, de moldus, se rendaient dans des pubs pour fêter l’ « évènement ». Les vampires, les sorcières au nez crochu bon marché fusaient à tous les coins de rue tandis que Bonnie déambulait calmement, se frayant un chemin dans la foule de personnes présentes sur la place centrale. Engoncée dans son manteau, la jeune femme pénétra enfin dans l’immeuble tant recherché et se rua à l’intérieur, à la recherche d’un peu de chaleur. Elle retira son pardessus, entreprit de monter l’escalier et se trouva enfin dans le couloir à la recherche de l’appartement de son cher ami. Ses yeux se posaient frénétiquement sur chaque numéro tandis que la brune avançait d’un pas lent en direction du domicile d’Aleksei. Puis, ses yeux s’illuminèrent alors que Bonnie trouvait enfin le dit appartement. Cependant, quelque chose la retint de frapper deux coups distincts sur la porte pour signaler sa présence. Quelqu’un venait d’arriver, quelqu’un qu’elle connaissait pour avoir parfaitement reconnue la silhouette de loin. Ses yeux noirs s’écarquillèrent, sa gorge se noua, ses sourcils se froncèrent et subitement, elle eut envie de fondre en larmes, de se ruer sur lui, de lui crier à quel point elle avait souffert sans lui ! Ceasar se trouvait dans le même couloir qu’elle mais pour autant, Bonnie demeura immobile et détourna son regard en direction de la porte. Son cœur commençait à battre à tout rompre à mesure qu’elle le sentait avancer, mais pour autant, elle ne prononçait mot. Seulement, au bout d’un instant, sentant sa présence à ses côtés, Bonnie ne se laissa pas abattre par cette espèce de souffrance qui tentait de prendre une nouvelle fois possession de son corps. Elle se redressa, comme si de rien n’était, et adopta un ton pour le moins ferme. Après tout, il était revenu et ne lui avait dit mot, comment pouvait-elle se montrer agréable à son égard ? Hors de question de laisser transparaître la moindre émotion qui lui laisserait entendre que Bonnie avait tant de fois espéré son retour malgré ses lettres pour le moins…Cassantes.
« There you are, prononça-t-elle d’un ton froid et détaché, I hope you have good reasons to give me. You know, good reasons that prove you’re not that fucking asshole. »
Sur ce, elle frappa à la porte, n’accordant plus la moindre attention à celui qui se disait être son mari.
Le soir d’Halloween, les rues de Norwich étaient bondées. Bon nombre de sorciers, de moldus, se rendaient dans des pubs pour fêter l’ « évènement ». Les vampires, les sorcières au nez crochu bon marché fusaient à tous les coins de rue tandis que Bonnie déambulait calmement, se frayant un chemin dans la foule de personnes présentes sur la place centrale. Engoncée dans son manteau, la jeune femme pénétra enfin dans l’immeuble tant recherché et se rua à l’intérieur, à la recherche d’un peu de chaleur. Elle retira son pardessus, entreprit de monter l’escalier et se trouva enfin dans le couloir à la recherche de l’appartement de son cher ami. Ses yeux se posaient frénétiquement sur chaque numéro tandis que la brune avançait d’un pas lent en direction du domicile d’Aleksei. Puis, ses yeux s’illuminèrent alors que Bonnie trouvait enfin le dit appartement. Cependant, quelque chose la retint de frapper deux coups distincts sur la porte pour signaler sa présence. Quelqu’un venait d’arriver, quelqu’un qu’elle connaissait pour avoir parfaitement reconnue la silhouette de loin. Ses yeux noirs s’écarquillèrent, sa gorge se noua, ses sourcils se froncèrent et subitement, elle eut envie de fondre en larmes, de se ruer sur lui, de lui crier à quel point elle avait souffert sans lui ! Ceasar se trouvait dans le même couloir qu’elle mais pour autant, Bonnie demeura immobile et détourna son regard en direction de la porte. Son cœur commençait à battre à tout rompre à mesure qu’elle le sentait avancer, mais pour autant, elle ne prononçait mot. Seulement, au bout d’un instant, sentant sa présence à ses côtés, Bonnie ne se laissa pas abattre par cette espèce de souffrance qui tentait de prendre une nouvelle fois possession de son corps. Elle se redressa, comme si de rien n’était, et adopta un ton pour le moins ferme. Après tout, il était revenu et ne lui avait dit mot, comment pouvait-elle se montrer agréable à son égard ? Hors de question de laisser transparaître la moindre émotion qui lui laisserait entendre que Bonnie avait tant de fois espéré son retour malgré ses lettres pour le moins…Cassantes.
« There you are, prononça-t-elle d’un ton froid et détaché, I hope you have good reasons to give me. You know, good reasons that prove you’re not that fucking asshole. »
Sur ce, elle frappa à la porte, n’accordant plus la moindre attention à celui qui se disait être son mari.
- InvitéInvité
Re: let's have some fun.
Dim 31 Oct 2010 - 22:34
- « Fuck.
- What happened ?
- Hm ? Oh, nothing. »
« Eh merde.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Hm ? Oh, rien. »
Ceasar venait de constater que sa chemise était tâchée. Une si belle chemise qu'il avait porté pour il ne savait plus quelle occasion. Il avait oublié ce qu'il s'était passé ces derniers jours. Une altercation malencontreuse qui l'avait laissé blessé dans une ruelle de Londres. Il ne savait même plus ce qu'il était allé faire à Londres. Il avait reçu une lettre d'Evgueni qui lui avait simplement demandé s'il était bien rentré et s'il comptait revenir bientôt en Russie. Par conséquent, Ceasar supposait qu'il avait dû trop boire dès le moment où il était arrivé en Russie (voire avant) ce qui pouvait expliquer qu'il n'ait plus de souvenirs des derniers jours. Quatre jours plus tôt, il était arrivé enfin à Norwich. Un crochet par le pub du Dressing Pony lui avait permis de revoir la délicieuse Prudence Coverwright sur qui il lorgnait depuis quelques semaines déjà. Quelques semaines oui. Ah. Attendez, je crois qu'il faut que je vous signale deux ou trois petites choses… Quoique ça peut attendre encore un peu, tiens. Reprenons. Donc Ceasar avait revu la douce Coverwright et bien qu'il soit officiellement en "couple" avec Bonnie Arton (qu'il n'avait pas encore revue depuis environ deux semaines s'il estimait bien le temps), il se permettait encore quelques écarts. Passons l'épisode Dressing Pony, si vous vous y intéressez vraiment, vous prendrez vos informations. Mais bref. Il avait revu aussi sa jolie rouquine, qu'il appelait affectueusement sa conscience tant elle s'efforçait de lui faire comprendre l'intérêt d'une relation amoureuse avec une seule fille. La jolie Dolce croyait à l'amour et était encore vierge, ça attendrissait Ceasar qui ne l'avait jamais touchée. Trop respectueux envers une des seules demoiselles qu'il n'avait jamais -même légèrement- draguée ? Sans doute un truc de ce genre. Il la respectait trop et tenait trop à sa douce -aha, pardonnez son humour déplorable, il avait un peu bu- amie pour tenter quoi que ce soit envers elle. Et donc, il avait prévu d'aller au Bal d'Hallowe'en avec elle. Il l'avait invitée au détour de la Salle Commune des Lufkin et il ne l'avait pas laissée passer avant qu'elle accepte -qu'il était vil quand il voulait. Bon. Reprenons l'histoire de la chemise.
Ceasar avait donc pour mission de se déguiser. Il avait d'abord pensé à se déguiser en dandy de l'ère victorienne, mais la perspective de ne pas changer vraiment d'habillage était un peu décevante. Une chance que sa chemise soit tachée, ça lui donnait une raison pour se changer. Vous vous demandez peut-être maintenant qui était la voix féminine, hm ? Ah, vous ne saviez pas que c'était une voix féminine, mille excuses. La demoiselle qui s'était inquiétée d'un langage si peu châtié de la part du séduisant Bougrov était une gamine de première année de Wright. Bougrov l'avait approchée la veille, avait élu domicile dans sa chambre pour la soirée et la nuit, ce à quoi elle ne s'était nullement opposée bien sûr. Ça faisait trois nuits qu'il faisait ça. Il n'était pas encore retourné dans sa chambre, ou plutôt si, en coup de vent, pour récupérer justement des vêtements qui pourraient être des costumes convaincants. Donc le dandy passait à la trappe dès la seconde. Restait une autre possibilité. Une chance qu'il ne se soit pas encore rasé. Le corsaire se devait d'avoir une barbe d'au moins trois jours. Se déshabillant de nouveau, il balança le costume de dandy dans un coin de la pièce et allait donc commencer à enfiler son costume de rechange lorsque la demoiselle dont il squattait la chambre sortit de la douche. Le voyant dans son plus simple apparat, elle crut qu'il l'attendait. Sauf qu'il était presque à la bourre sur son timing et s'il arrivait en retard pour prendre Dolce (dans le sens poli du terme, s'il vous plaît), elle allait le tuer. Alors, il fut peu courtois, repoussa grossièrement sa logeuse… Et vu qu'elle insistait, il fit mine de l'entraîner dans la salle de bains… Et il ferma la porte du dehors. Bon. Ça, c'était fait. La demoiselle tapa contre la porte, mais Ceasar était déjà en train de s'habiller sans vraiment se soucier de ce qu'elle pouvait dire ou hurler. Même si elle promettait qu'elle se contenterait de lui faire une petite gâterie et ne le retarderait pas. Trop tard, il était déjà vaguement à la bourre. Et il ne transplanait pas vraiment en ce moment, notamment parce qu'il avait un mal de crâne affreux quand il faisait ça. Donc il allait devoir courir… Ou bien être rapide. Bon. Il finirait de mettre ses bottes dans le couloir. Ça allait être comique, mais bon. Habillé donc à la manière des pirates dont on relatait tant d'histoires fantastiques, il ferma la porte de la chambre de sa logeuse derrière lui, "oubliant" de la libérer de la salle de bains (hé, c'était une sorcière, elle se débrouillerait), et partit sabre, manteau et bottes sous le bras. Il chaussa ses bottes, passa son manteau et ferma la ceinture où était fixé l'étui du sabre tout en marchant.
Profitons de sa marche à l'air pur, assez rapide cependant, pour signaler les deux-trois choses dont vous allez avoir besoin pour comprendre la suite. Voyez-vous, contrairement à ce que Ceasar pensait, ça ne faisait pas deux semaines qu'il avait quitté Hungcalf. Ça faisait plutôt un mois et demi, deux mois qu'il avait quitté Hungcalf ; et d'un. De deux, Arton ne s'appelait plus Arton, mais Bougrov. Ah ? Non, sérieux ? C'était con qu'il ne s'en souvienne pas, ça. Car oui, Bonnie Arton était devenue Bonnie Bougrov en l'épousant. Nooon, vrai ? Si si. Bonnie et Ceasar étaient mariés. Ce qu'il fait à la tromper à tout bout de champ ? Ah. Là est le problème. Voyez-vous, il avait quitté Hungcalf pour essayer de se reconstruire et de redevenir cet homme sur lequel Bonnie pourrait toujours compter : un homme solide, courageux, qui ne la laisserait jamais tomber. Aha ? Bah oui, il l'avait épousée, c'était pas pour des prunes. Il était donc parti en Russie pour se ressourcer, loin de Norwich et de cette culpabilité qui l'avait enlacé. Oui, Ceasar se sentait coupable, coupable de la fausse couche de sa femme, provoquée par un transplanage stupide de la chapelle où ils s'étaient mariés à Norwich où ils auraient dû fêter leur mariage en comité limité. Sauf que… Bah Bonnie avait eu une fausse couche et malgré la tentative de surmonter cette épreuve pendant leur lune de miel à Paris, les deux époux Bougrov ne s'étaient pas remis de la perte de leur première potentielle fille. La vie est injuste. Passons. Maintenant, nous arrivons au nœud du problème : pourquoi Ceasar n'était-il pas avec sa femme, pourquoi n'avait-il plus son alliance à la main gauche et pourquoi n'allait-il pas au Bal d'Hallowe'en avec Bonnie ? Là est le problème : Ceasar ne se souvenait pas de l'année qui venait de se dérouler. Il croyait encore qu'on était en octobre 2009. Et à cette période, il était en "couple" avec Bonnie Arton, histoire de pouvoir profiter de son corps quand il le voulait. À cause d'une altercation sur le chemin du retour, Ceasar avait reçu un sortilège mal contrôlé : un Oubliettes d'une portée inhabituelle. Et il avait été privé de tous ses souvenirs, heureux comme malheureux. Il ne se souvenait plus du bonheur qui avait été sien depuis qu'il s'était rendu compte qu'il aimait Bonnie Arton et en était aimé en retour. Il avait oublié qu'ils s'étaient mariés. Il avait oublié la fois où il l'avait retrouvée à l'hôpital. Il avait oublié leur rupture douloureuse suite à une odieuse magouille de cette enflure Leatherborrow. Il avait oublié les nuits passées près d'elle, à la sentir contre lui, à s'endormir avec elle. Il avait oublié les petites manies de la demoiselle dont il était tombé amoureux. Il ne l'aimait plus. Ou plutôt, c'était comme s'il n'avait jamais appris à l'aimer, ni à la connaître. Il ne savait pas qu'il l'avait aimé. Pour lui, elle était encore la délicieuse Arton qu'il avait chauffée à la Bibliothèque à la fin du mois dernier. Elle n'était qu'une conquête de plus, mais une délicieuse conquête. Oui, nous sommes d'accord, cet homme était stupide. Il aurait mieux fait de ne jamais la quitter. Il lui avait promis de l'aimer à jamais et maintenant, c'était comme si c'était impossible. Mais ses souvenirs n'avaient peut-être pas été effacés ? Peut-être n'avaient-ils été que relayés dans un endroit où ils étaient coincés. Non ?
Son arrivée au bas de l'immeuble où séjournait Dolce -en collocation avec Aleksei à ce qu'elle lui avait dit- me force à arrêter là mes élucubrations. Il entra et commença à monter les marches. Douzième étage de malheur. Il aurait pu transplaner aussi, se dit-il arrivé au cinquième étage. Mais s'il avait transplané, il aurait encore eu mal au crâne, alors il préférait s'abstenir. Les sept autres étages (car 5+7=12, parole de S) ne furent plus si longs à monter et bientôt, Ceasar arrivait dans le couloir du douzième étage. La porte coupe-feu se ferma derrière lui sans aucune discrétion. Un mouvement lui fit remarquer qu'il n'était pas seul dans le couloir : devant la porte de l'appartement de Dolce et Aleksei se tenait la plus sublime des créatures que la Terre avait jamais porté. Ses cheveux bruns tombant en cascade sur ses épaules, une robe magnifiquement bien coupée rayée blanche et jaune d'or, fendue sur ces jambes qui auraient fait se damner plus d'un saint… Oui, vraiment, Bonnie Arton était une jeune femme divine. Tout en elle appelait l'adoration. Avançant vers elle en affichant un sourire appréciateur, il ne manqua cependant pas l'air contrarié qu'elle avait. Un problème peut-être, mon cœur ?, aurait-il pu lui dire. Arrivant à sa hauteur, il prit doucement sa main et y déposa un baise-main bien chaste alors que ses yeux pétillaient de malice et d'envie. Ainsi donc, elle y allait avec Aleksei ? Bon choix, son ami avait bon goût. Bah, il ne lui en tiendrait pas rigueur… Après tout, ce "couple officiel" n'était rien d'autre qu'un prétexte… Passons. Mais peut-être qu'Arton avait une dent contre lui pour ne pas lui avoir donné de nouvelles pendant ces deux semaines dont il ne se souvenait pas grand'chose, vu comment elle fut assez froide à son égard :
- « There you are. I hope you have good reasons to give me. You know, good reasons that prove you’re not that fucking asshole »
« Te voilà. J'espère que tu as des bonnes excuses à me donner. Tu sais, des bonnes excuses qui prouvent que tu n'es pas ce putain de trou du cul. »
Ah ? Quelle mouche l'avait piquée ? Ceasar ne put articuler qu'un vague :
- « Er… »
« Euh… »
que déjà elle toquait à la porte sans plus lui adresser un seul regard. Soit. Il chercherait plus tard à comprendre pourquoi elle pouvait lui en vouloir autant. Il allait s'abstenir de lui mettre la main au cul, elle était capable de tout et il n'aurait pas voulu se faire gifler sans vraiment en connaître la raison. Les mains dans les poches, il attendit alors qu'on leur ouvre, observant le profil parfait de Bonnie discrètement. Merlin, si elle se calmait un peu d'ici la fin de la soirée, il pourrait peut-être tenter de la dérider… Ses pensées furent interrompues par la porte qui s'ouvrit.
- InvitéInvité
Re: let's have some fun.
Mar 2 Nov 2010 - 15:09
Let's have some fun.
&&. &&. &&.
Bonnie &&. Ceasar &&. Dolce &&. Aleksei.
&&. &&. &&.
Bonnie &&. Ceasar &&. Dolce &&. Aleksei.
"Les soupçons dans les pensées sont comme les chauves-souris parmi les oiseaux." Halloween, mon jour préféré, j'aimais ce moment qu'un j'étais enfant, aller frapper chez des personnes et les voir vous offrir et vous demander des bonbons juste pour les plaisir d'avoir des caries.
Extrait du journal de Dolce P. Strowtofsky.
Halloween, le soir où les enfants sonnent aux portes des gens, avec leur fameux costume qui font peur, en prononçant cette phrase que tout le monde connait « Des bonbons ou un sort. » Oui Halloween est le soir de toutes les folies, où on se permet de raconter des histoires qui font peur ainsi que des mythes et légendes. Mais Halloween est aussi le soir où il y a le bal sur la place de Norwich. Ce bal est un moyen de partir de chez sois et d’oublier tous les soucis de la vie quotidienne, c’est aussi un moyen de rencontrer des moldues, mais bon eux on s’en méfie, nous les sorciers. Je m’étais préparé pour cette fête, sachant qu’un magnifique cavalier venait me chercher. Ce cavalier n’était autre que Ceasar, la personne que j’aimais énormément et que j’essayais de résonner. Ceasar était devenu amnésique et il avait oublié Bonnie Bougrov, sa femme, la prenant encore pour Bonnie Arton. J’étais en quelque sorte sa conscience, non pas en quelque sorte, j’étais sa conscience. Il m’avait retenu dans la salle commune des Lufkin jusqu’à ce que j’accepte son invitation pour le bal. J’avais fini par dire oui et du coup je me préparais car il avait rendez-vous chez moi un peu avant que le bal commence. J’avais sorti mon plus beau costume, enfin beau, on peut dire ça comme ça, malgré le fait que des vampires rodent autour d’Hungcalf et que l’un d’entre eux est tué une Lufkin, je m’habillais en vampire. Les crocs, la tenue un peu gothique, et les cheveux tirés en arrière et attachés. J’avais pensé à tout, même si je ne ressemblais pas à l’un de ces suceurs de sang, je me prenais bien dans le rôle pour avoir l’impression d’en être un. Il faut dire que ces êtres mon toujours fascinés, oui je suis folle et j’aurais pu très bien me faire tuer à la place d’Elisa mais c’est elle qu’ils ont choisis. Bref revenons au sujet, le bal d’Halloween. Ceasar était en retard mais cela ne me dérangeais pas, mon colocataire était lui aussi entrain de se préparer pour le bal, il avait invité Bonnie, comme par hasard. J’étais enfin prête, je m’installais sur le canapé en attendant Ceasar. « Alors comme ça tu as invité Bonnie ? Moi qui croyais que tu inviterais Quinn, même si votre relation est terminée, enfin je me tais. » Je regardais l’heure, il avait 10 minutes de retard voir un peu plus mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Il pouvait très bien s’être trompé, quoi que j'étais passé le voir à l’hôpital et je lui avais redonné mon adresse, au cas où qu’il l’est oublié. Quelqu’un frappa à la porte, « Je vais offrir, ça doit être surement Ceasar. » J’ouvris la porte et vu Bonnie ainsi que derrière Ceasar. « Hey, salut vous deux, venez rentrait. » Je laissais passer Bonnie ainsi que Ceasar. Je lançais un regard un peu suspect à Ceasar, c’était-il souvenu de Bonnie ou n’avait-il pas capté. Je le regardais, ouah en corsaire, puis mon regard se jetait sur ses mains. Oh mon dieu ! Son alliance …
Extrait du journal de Dolce P. Strowtofsky.
Halloween, le soir où les enfants sonnent aux portes des gens, avec leur fameux costume qui font peur, en prononçant cette phrase que tout le monde connait « Des bonbons ou un sort. » Oui Halloween est le soir de toutes les folies, où on se permet de raconter des histoires qui font peur ainsi que des mythes et légendes. Mais Halloween est aussi le soir où il y a le bal sur la place de Norwich. Ce bal est un moyen de partir de chez sois et d’oublier tous les soucis de la vie quotidienne, c’est aussi un moyen de rencontrer des moldues, mais bon eux on s’en méfie, nous les sorciers. Je m’étais préparé pour cette fête, sachant qu’un magnifique cavalier venait me chercher. Ce cavalier n’était autre que Ceasar, la personne que j’aimais énormément et que j’essayais de résonner. Ceasar était devenu amnésique et il avait oublié Bonnie Bougrov, sa femme, la prenant encore pour Bonnie Arton. J’étais en quelque sorte sa conscience, non pas en quelque sorte, j’étais sa conscience. Il m’avait retenu dans la salle commune des Lufkin jusqu’à ce que j’accepte son invitation pour le bal. J’avais fini par dire oui et du coup je me préparais car il avait rendez-vous chez moi un peu avant que le bal commence. J’avais sorti mon plus beau costume, enfin beau, on peut dire ça comme ça, malgré le fait que des vampires rodent autour d’Hungcalf et que l’un d’entre eux est tué une Lufkin, je m’habillais en vampire. Les crocs, la tenue un peu gothique, et les cheveux tirés en arrière et attachés. J’avais pensé à tout, même si je ne ressemblais pas à l’un de ces suceurs de sang, je me prenais bien dans le rôle pour avoir l’impression d’en être un. Il faut dire que ces êtres mon toujours fascinés, oui je suis folle et j’aurais pu très bien me faire tuer à la place d’Elisa mais c’est elle qu’ils ont choisis. Bref revenons au sujet, le bal d’Halloween. Ceasar était en retard mais cela ne me dérangeais pas, mon colocataire était lui aussi entrain de se préparer pour le bal, il avait invité Bonnie, comme par hasard. J’étais enfin prête, je m’installais sur le canapé en attendant Ceasar. « Alors comme ça tu as invité Bonnie ? Moi qui croyais que tu inviterais Quinn, même si votre relation est terminée, enfin je me tais. » Je regardais l’heure, il avait 10 minutes de retard voir un peu plus mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Il pouvait très bien s’être trompé, quoi que j'étais passé le voir à l’hôpital et je lui avais redonné mon adresse, au cas où qu’il l’est oublié. Quelqu’un frappa à la porte, « Je vais offrir, ça doit être surement Ceasar. » J’ouvris la porte et vu Bonnie ainsi que derrière Ceasar. « Hey, salut vous deux, venez rentrait. » Je laissais passer Bonnie ainsi que Ceasar. Je lançais un regard un peu suspect à Ceasar, c’était-il souvenu de Bonnie ou n’avait-il pas capté. Je le regardais, ouah en corsaire, puis mon regard se jetait sur ses mains. Oh mon dieu ! Son alliance …