- InvitéInvité
Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 13:50
✤ Wright Salut !!! Moi c'est Cassie Newton , j'ai dix-sept ans , et je suis d'origine anglaise . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis bisexuelle aux dernières nouvelles , mais aussi célibataire libre comme l'air et issu d'une famille purement moldue, ne vous en déplaise.. A Hungcalf, j'ai choisi l'Étude des moldus - non, ce n'est pas un genre de mauvaise blague - les SACM et la Divination, tout ce qui est quelque peu loufoque en somme., et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de cerisier, 26 cm et cheveu de Leprechaun et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme lémurien . avatar Free soul || icônes ? |
this is my story
- I -
Ma vie est tout ce qu'il y a de plus ordinaire, je dirais même qu'elle est à mes yeux d'une affligeante banalité. Vous ne trouverez point ici d'enfant orpheline, violée ou kidnappée, point non plus de parents tragiquement décédés. Je n'ai point commis d'inceste avec qui que ce soit n'ayant par ailleurs aucun frère ou sœur à choyer, mes deux parents en pleine santé si l'on excepte leur excentricité naturelle sont toujours bien vivants, merci pour eux. Je ne suis pas une femme fatale qui aligne les hommes dans son lit d'un claquement de doigt, bien que j'en ai vu passer un certain nombre entre mes bras, pas non plus une jeune vierge sainte-nitouche. Je suis une adolescente quelconque des quartiers résidentiels de Bristol comme il en existe cent, torturée par d'aussi futiles préoccupations que son apparence rachitique et ses émotions décuplées. Que la vie est dure lorsqu'on est adolescent : ce corps qui change sans votre consentement, ces sentiments fluctuants qui vous frappent avec violence et vous malmènent selon leur gré, ces désirs étrangers qui apparaissent ... Pourtant, il m'a toujours semblé avoir traversé l'âge dit ingrat avec une relative neutralité, flottant à travers cette période incertaine et difficile comme d'autres s'égarent dans le fog londonien : conscients malgré la peur qu'il finira par se dissiper. En vérité l'unique chose qui a jamais fait de moi un être original dans une certaine mesure, qui me distingue du moins de mon extraction moldue est ma nature profonde : je suis une sorcière. Oui, je vous vois arriver avec vos référentiels éculés de vieille femme hideuse au nez crochu et à la peau frippée chevauchant un balai volant : pour autant que j'en sache et que j'ai pu en juger à l'appréciation de ces messieurs, mon visage va très bien, merci. C'est en vérité d'une façon plutôt singulière que j'ai découvert mes pouvoirs.
D'aussi loin que je m'en souvienne, notre maison a toujours été plongée du sol au plafond dans un chaos innommable de jouets, de poêles à frire et d'objets aussi divers et variés qu'inattendus - l'exact reflet en réalité de mes parents : anciens hippies regrettant désespérément leur époque bénie et artistes peintres, ils n'avaient jamais su trouver le temps de trier la pagaille qui gagnait peu à peu sur l'espace habitable de la demeure comme la mauvaise herbe dans un jardin, et c'était moi qui généralement m'occupait de mettre un peu d'ordre afin de pouvoir circuler. C'est ce chaleureux mélange de couleurs pastels et de bric-à-brac disparate que je conserve en mémoire encore aujourd'hui en songeant à mon vieux chez-moi. Mes géniteurs n'étant pas ce qu'il y avait de plus disponible, je passais les trois quarts de mon temps chez la vieille dame qui était alors notre voisine : madame Twemlow prenait soin de moi autant que l'aurait fait une grand-mère, brossant ma chevelure sauvage laissée à l'abandon et recousant mes vêtements. L'odeur de la vieillesse et des petits gâteaux qu'elle cuisinait pour moi imprégnait sa cuisine lorsque je me rendais chez elle ; n'ayant pas de petits-enfants, elle adorait me garder. Si ma mère n'avait pas été si occupée à faire l'amour avec mon père sur la table de la cuisine au beau milieu de leurs toiles et leurs tubes de peinture - ignorant de ce fait leur enfant qui braillait sa faim de tous ses petits poumons - sans doute aurait-elle trouvé un tant soit peu anormal qu'à deux ans sa petite fille fasse léviter le biberon de lait jusqu'à sa chaise de bébé.
J'ignorais ainsi tout de mes dons de sorcière jusqu'à l'âge de sept ans. À l'école, je n'étais pas très appréciée : fillette commune, sale et aux vêtements déchirés puisque maman oubliait constamment de les raccommoder ou de m'en acheter d'autres, j'étais très rapidement devenue la tête de turc de tous mes petits camarades. Mes parents n'ayant ni les moyens ni la volonté de m'inscrire dans une école privée où j'aurais porté l'un de ces jolis uniformes colorés que toutes les petites filles allant à l'école arboraient fièrement dans la rue, je dus faire face à la jungle de l'école publique britannique et porter avec dignité la pelure grise qu'on m'avait octroyée. La cruauté des enfants est sans limites. Un jour comme tous les autres où les petits capitaines de ma bande de persécuteurs menaient la charge dans l'idée bien arrêtée de me voler mon déjeuner - comment pouvaient-ils bien vouloir d'un vieux sandwich au chedar sec alors qu'ils avaient leurs délicieuses lunch box soigneusement préparées par leurs mères, voilà qui m'échappait - je sautais derrière un buisson en espérant qu'ils me croient partie dans une autre direction. Quand je rouvris avec appréhension les yeux, plusieurs mètres de hauteur infranchissable me séparaient du sol ainsi que de mes tortionnaires et j'étais perchée au sommet du plus haut arbre de la cour.
Je fus bien entendu punie par la maîtresse pour avoir soit-disant escaladé et abîmé un arbre de l'école et surtout bien évidemment pour avoir menti, l'adulte ne m'ayant pas crue et mes camarades bien qu'un peu décontenancés s'étant fait un plaisir de ne pas démentir. Je rentrais à la maison en pleurant ce soir-là : moi qui n'avais jamais versé une larme pour ces petits vers de terre - et encore, j'étais méchante avec les vers de terre - j'avais été injustement punie et par-dessus tout j'étais encore terrorisée. « Mum … today at school I was running from classmates when I found myself on top of a tree. » Ma mère me sourit, de ce beau sourire absent qu'elle avait quand elle était sous trips ou qu'elle avait fumé de la marijuana avec mon père. « That's perfect honey, fantastic ! I'm so proud of you … Be a good girl sweetheart, bring mummy the mezcal and don't forget to have your afternoon snack. » Cette injonction d'aller dévorer son goûter faite à une fillette de sept ans pouvait paraître étrange, mais je n'aimais pas manger : je me sentais alors lourde quand la nourriture descendait mon œsophage et faisait son nid dans mon estomac. Je me sentais sale. J'avalais un carré de chocolat dans la cuisine, apportais à ma génitrice la bouteile de Cusano Rojo avec le dégoûtant lézard mort conservé à l'intérieur - pour l'anecdote, je m'efforçais aussi de devenir végétarienne - puis m'en allais jouer avec Merlin, le chat.
- II -
Le temps s'écoula ainsi plutôt calmement. Je commençais à grandir et quelques regards se posaient à présent sur moi, mais tout était paisible : ma petite escapade au sommet du chêne avait malgré tout impressionné mes condisciples, qui choisirent de me laisser en paix jusqu'à la fin de l'école primaire. J'allais sur mes onze ans désormais et le moment d'entrer au collège se rapprochait dangereusement : je n'irais évidemment pas dans un splendide collège pour filles de bonne famille - plutôt à celui de mon quartier, là où je serais sans doute battue et poursuivie par d'autres gens et d'autres caïds plus forts que les précédents. Je commençais à peine à me faire à l'idée de retrouver mon ancienne misérable vie lorsque Merlin mourut - de vieillesse ? Non, simplement de l'oubli général de le nourrir malgré ses miaulements incessants. Oh, j'étais bien là pour lui donner de petits bouts de nourriture et parfois mon assiette entière sous la table puisque je mangeais déjà comme un oiseau à cette époque, mais des croquettes eussent été plus adaptées à un chat qui malgré tout commençait à se faire âgé : encore eut-il fallu pour cela que mes parents aient l'argent ou que l'idée s'imprime dans leur cerveau, ce qui fut en réalité le cœur du problème : ils ne pensaient jamais à ce genre de choses matérielles.
Je fus inconsolable durant de longues semaines. J'enterrais Merlin sous le cerisier de notre jardin sauvage là où je pouvais régulièrement venir lui parler, lui confier mes malheurs et à quel point il me manquait - j'avais l'impression d'entretenir une discussion secrète avec lui, comme si je pouvais encore bénéficier de sa douceur à mes côtés. Ce vieux chat noir et blanc au bout d'oreille déchiqueté avait été mon seul véritable ami depuis ma naissance, et voilà qu'il était mort. Mais un évènement inattendu devait bientôt me tirer de ma tristesse.
Nous étions à la fin de l'été : mes onze ans révolus, il ne me restait plus qu'à me préparer à la pénible perspective du collège communal. Comme bon nombre de jeunes sorciers, le tournant de ma vie prit pourtant un cours radical avec un simple ramassage de lettres. « Cassie darling, go get the mail please, I'm busy. » « Sure mum. » Trottinant de mon pas allègre et dansant jusqu'à la porte d'entrée de la maison, j'attrapais d'un mouvement vague les lettres tombées sur le paillasson par la fente de la boîte aux lettres sans trop m'y intéresser au premier abord, lorsqu'un mot sur une enveloppe qui semblait à peine sortie du feu tant elle était froissée et parcheminée attira mon attention. L'examinant plus attentivement, je découvris avec étonnement que l'adresse et le nom élégamment inscrits à l'encre verte - personne à Bristol n'aurait eu l'idée saugrenue d'employer une telle encre - étaient les miens. Je décachetais l'enveloppe d'un geste machinal et lus distraitement les deux feuilles et le billet de train qu'elle contenait.
« Dear Miss Newton,
We are pleased to inform you that you have been accepted at Hogwarts School of Witchcraft and Wizardry. Please find enclosed a list of all necessary books and equipment.
Term begins on September 1. We await your owl by no later than July 31.
Yours sincerely,
Headmaster »
Je retournais d'un pas lent dans la cuisine et laissais rêveusement tomber au sol le paquet de lettres restantes, des factures sans doute. « Mum, I'm going to Hogwarts. It's like, a school of wizardry, you know ... ». « Oh love, it's so tremendous ! Now please gimme that purple paintbrush on the table, would you ? » « Looks like I'm gonna need money to buy my stuff, I gotta go to a place called Diagon Alley ... guess I'll have to take a train then a cab once in London. » « There must be fifty pounds 'round here in my handbag. What do you think ? » demanda-t-elle en me montrant fièrement son tableau : le résultat était horrible. « Beautiful mummy. As always ».
- III -
« It's lovely, lovely, lovely, waow ! » Poudlard était magnifique, il n'y avait pas à dire. Moi qui ne m'étais jamais imaginée ailleurs que dans le triste et gris collège de Bristol, je découvrais avec émerveillement en même temps que mes nouveaux camarades, ces élèves de la même promotion que moi qui seraient mes compagnons de vie pour les sept ans à venir toute cette splendeur qui s'étalait sous nos yeux. Ma mère n'avait finalement pas trouvé les cinquante livres attendues - comme on aurait pu s'y attendre - et l'école m'avait octroyée une bourse pour régler mes frais de matériel - comme je ne m'y étais pas attendue. Naturellement je n'avais pu ainsi me permettre que du matériel de seconde main : mon chaudron était usé, mes livres abîmés mais je bouillais d'impatience de découvrir ce nouvel univers enchanté.
Mal m'en prit. Après ma répartition chez les Gryffondor - je saisissais mal ce que j'avais au fond de courageux, mais après tout je n'avais que onze ans - je déchantais rapidement ; pauvre et d'aspect négligée, née de moldus envoyée chez les rouges et or et totalement dans la lune, j'avais réuni la totale : même à Poudlard j'endossais la parfaite panoplie du souffre-douleur - chose que je ne tardais guère à comprendre dès le lendemain lorsqu'un Serpentard s'en prit à moi pour lui avoir trébuché dessus et ne pas porter un nom pompeux. Les sept ans s'annonçaient bien ...
Et à ma grande surprise en effet, ils se passèrent bien. Je n'étais pas une catin aguicheuse couchant avec tous les garçons pour s'assurer une réputation ni une pure blood vaniteuse, pas non plus un rat de bibliothèque timide et effacé. Les premières années je fus l'excentrique, la fille mignonne mais bizarre et originale que jamais personne ne comprenait, capable de sortir en toute occasion une phrase totalement hors contexte - parfaitement dans son monde, en somme. Celle qui refusait toujours avec une expression butée de malmener un animal en le changeant en quoi que ce soit et de déraciner des plantes pour en étudier les propriétés, parce qu'elle avait une éthique et une philosophie de vie bien éloignées de celles du monde sorcier. Je me fis quelques amis au fil de l'eau. L'adolescence me gagna comme tant d'autres et je devins le bon coup, la demoiselle gentille à la silhouette gracile qui errait dans les couloirs et les soirées tel un fantôme imbibé d'alcool et de dope, qui souriait tout le temps. La fille bonne au pieu. Les soirées s'enchaînaient. « Cassie's good in the sack, as long as she's not hungry. » « Who says ? » « Everyone. » J'étais accessible, parce que donner de ma personne et un peu de plaisir en en prenant en échange ne me dérangeait pas - quand avais-je réellement découvert le plaisir, quand m'étais-je jamais sentie bien auparavant ? L'étreinte d'un homme me rassurait, puisque j'étais devenue anxieuse et perpétuellement angoissée : cernée à tous les repas de viandes, de chairs d'animaux et avec bien peu d'aliments végétariens, je dépérissais lentement ; bientôt, la moindre nourriture ingurgitée me fit mal et je cessais progressivement de changer.
On tenta tout pour m'extraire de la maladie dont leur pragmatisme et leur rationalité m'avaient affublées : anorexie. On m'emmena régulièrement à l'infirmerie à la suite de trop nombreux malaises en soirées, puis ce fut les séjours ponctuels en institut spécialisé durant les vacances : mes parents ne se rendaient pas même compte que je trichais, jetant ailleurs les barres chocolatées dont ils avaient blindés mes placards par souci de bonne conscience et glissant des poids dans mes vêtements. On trouva à ma distraction chronique un don pour le Quidditch, et l'on m'incita à postuler pour devenir attrapeuse ou au moins joueuse remplaçante : j'obtins une place, on me paya un balai bas de gamme en m'ordonnant de faire mon boulot. Je le fis et plutôt bien, admirant de haut les évolutions du match tout en promenant un regard songeur sur le terrain ; j'aimais les gens dans les gradins devenus de minuscules fourmis dont je n'entendais plus les cris nasillards et les plaintes constantes.
« Miss Newton, il va falloir me faire quelque chose de cette vie que vous traînez ! Vos résultats sont tout juste suffisants pour vous faire réussir votre septième année et vous ne tiendrez pas une semaine dans le monde du travail sans la moindre expérience professionnelle. Et bien que cela me désole de dire ça, je crains que vous n'ayez d'autre choix que d'aller à l'université pour sorciers Hungcalf – essayez de ne pas vous y laisser perdre plus que vous ne l'avez fait jusqu'à présent ? »
Miss Pebbleton, cette femme sévère mais juste que j'avais passé une bonne partie de ma scolarité à Poudlard à faire tourner en bourrique et que j'adorais cependant, comme la figure maternelle que j'aurais aimé avoir en lieu et place de ma génitrice, tentait encore une fois de me convaincre de faire quelque chose de ma vie. J'ai abandonnée toute ambition, fané tout désir de vivre au rythme de nuits sans lendemain et pourtant je continue à rire comme si de rien n'était. Ce qui a rendu mon cœur indifférent ? Je vais vous le dire, moi : mes connards de parents, qui n'en ont jamais rien eu à faire, qu'il est trop facile de berner ; le détachement de celui que j'aimais par-dessus tout et aime encore aujourd'hui car je suis faible et sans avenir. J'ai lamentablement échoué mes ASPICS de botanique et métamorphose, réussi haut la main ceux d'Étude des Moldus, SACM et Divination - à croire que j'ai un don pour les choses extravagantes : que voulez-vous, j'ai ça dans le sang. Je me suis plus ou moins bien débrouillée avec le reste à coups d'Acceptable même si je ne suis pas comme vous tous : une élève brillante sans scrupules et bourrée d'Optimal.
✎... FATE
Dans la vraie vie, j'ai vingt balais . J'ai connu ce magnifique forum grâce à personne et tout le monde, et je ferais de mon mieux pour être là 7 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? oui . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à Lust d'amour (l) Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que les renards c'est l'extase. . code règlement : ok by alex |
icônes by .... ?
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 15:53
re bienvenue parmi nouuus. (l)
en revanche, il me semble qu'un membre a déjà commencé sa fiche avec Hannah
en revanche, il me semble qu'un membre a déjà commencé sa fiche avec Hannah
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 16:16
bienvenue parmi nous :brille:
et oui, une autre membre a commencé une fiche avec Hannah
et oui, une autre membre a commencé une fiche avec Hannah
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 16:33
re-bienvenue :brille:
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 16:41
Effectivement une autre fiche avec Hannah est en cours, mais rien n'empêche d'entrer en concurrence pour la course à l'avatar (a)
Rebienvenue (l)
Rebienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 16:44
Welcome here (l)
A LA COURSE, A LA COURSEEEE :D
*s'en va tel un papillonde lumière sous les projecteurs /SHBAF/ *
A LA COURSE, A LA COURSEEEE :D
*s'en va tel un papillon
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 20:02
Bienvenue!
Bonne chance pour l'avatar^^
Bonne chance pour l'avatar^^
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 20:04
Oh re-bienvenue (l)
bonne chance pour ta fiche :grandsyeux: que la meilleure gagne ma belle (a)
bonne chance pour ta fiche :grandsyeux: que la meilleure gagne ma belle (a)
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 20:39
bon courage ^-^
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 20:50
que de violence les enfants ! calmez-vous nous sommes des gens civilisés, on va pas se bouffer le nez pour un avatar non plus ! :oh:
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Lun 6 Déc 2010 - 22:22
fiche terminée je pense, je peux rallonger si vous le souhaitez mais je crois que l'essentiel est dans Lactel :D y est ^^
à vous les studios ! (l)
à vous les studios ! (l)
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Mar 7 Déc 2010 - 19:10
C'est une très jolie fiche mais cela ne m'étonne pas, j'aime toujours autant ta plume ♥
Alors par contre pour info, McArthur est seulement directeur de Hungcalf, pas de Hogwarts, donc tu peux simplement signer "Headmaster" pour la fameuse lettre d'admission, ça suffira X)
Hormis ça, j'ai bien envie de la laisser chez les Wright : même si elle est surprise de se retrouver chez les Gryff alors qu'elle pense ne pas avoir de courage, je pense que la laisser dans la même lignée fera d'avantage le charisme de ton personnage =)
Je te valide donc, bon jeu !
Alors par contre pour info, McArthur est seulement directeur de Hungcalf, pas de Hogwarts, donc tu peux simplement signer "Headmaster" pour la fameuse lettre d'admission, ça suffira X)
Hormis ça, j'ai bien envie de la laisser chez les Wright : même si elle est surprise de se retrouver chez les Gryff alors qu'elle pense ne pas avoir de courage, je pense que la laisser dans la même lignée fera d'avantage le charisme de ton personnage =)
Je te valide donc, bon jeu !
- InvitéInvité
Re: Cassie ✤ ooh, baby baby it's a wild world ♪
Mar 7 Déc 2010 - 23:21
woops, petite erreur désolée, je vais corriger ça immédiatement.
Et merci infiniment de me la laisser chez les Wright, j'ai vu qu'on manquait de Summerbee mais c'est vraiment chez les rouges que je la voyais le mieux (l) et merci de la validation, Lust d'amour (aa)
Et merci infiniment de me la laisser chez les Wright, j'ai vu qu'on manquait de Summerbee mais c'est vraiment chez les rouges que je la voyais le mieux (l) et merci de la validation, Lust d'amour (aa)
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