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swann . someone's missing
Sam 21 Mai 2011 - 1:05
✤ wright Je m’appelle Swann Johnson, j'ai 21 ans, et je suis d'origine anglaise. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis bisexuel, mais aussi célibataire et issu d'une famille de moldus, pour ce que j’en sais. A Hungcalf, j'ai choisi le parcours justice magique, pour me diriger dans les relations entre le monde moldu et le monde magique. Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en vigne et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de chevreuil. avatar © [K] || icônes © ici |
let me tell you...
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Mon père est un salaud. Ou alors, c’en était un… Je n’ai pas la moindre idée de s’il est vivant ou mort, et très franchement, ça m’est égal. D’après ma mère, c’était quelqu’un de bien, mais je suis intimement persuadé que ce n’est pas le cas. Quel homme pourrait engrosser une femme et la laisser sans aucune aide, vieillir et se fatiguer dans sa misère ? Bref, ce n’est pas le bon moment pour me révolter. Par contre, ma mère a toujours essayé de faire tout son possible pour que je ne manque de rien. Ca me fait un peu culpabiliser de me dire qu’elle s’est en quelque sorte sacrifiée pour moi. Je la blâme un peu pour ça, mais je lui suis tout de même très reconnaissant… Jusqu’à mes onze ans, elle a été la seule personne à avoir de la considération pour moi, et à ne pas se moquer de moi, voire me taper dessus quand elle me voyait. Elle a beau ne pas être du même monde que moi, être une Moldue, n’être capable que de se voiler la face et ne pas vraiment comprendre ma vie et mes pensées, je suis profondément attaché à elle. Je me souviens de ce jour où je lui avais dit ce que Mr Widman m’avait fait… Elle n’avait rien dit, avait simplement versé quelques larmes et m’avait fait promettre de n’en parler à personne. Ce que j’ai fait. Je me rends compte, à présent, que c’était une bêtise de rester muet, mais à cet âge là, je n’y comprenais pas grand-chose et maintenant, c’est trop tard pour revenir en arrière. Mon arrivée à Poudlard a été une véritable libération pour moi. Je n’étais plus ce petit gars bizarre dont les autres se méfiaient, je n’étais plus un phénomène de foire qui faisait souvent des actes inexplicables et se retrouvait dans des situations saugrenues, plus cet enfant persécuté dans la cour de récréation. Les gens ne savaient rien de moi, et puis ils étaient tous aussi bizarres que moi, finalement, si ce n’est plus. J'ai été envoyé à Gryffondor, la maison des courageux, je ne sais pas vraiment pourquoi. Je ne pense pas avoir jamais fait preuve de bravoure, mais tout le monde fait confiance au Choixpeau, alors pourquoi pas. Ca m'a permis de rencontrer des gens bien qui m'ont acceptés. Comme plus tard je voudrais travailler dans les relations entre les sorciers et les moldus, car selon moi, j'appartiens aussi bien aux deux mondes, je travaille suffisamment pour. Passer des heures à étudier n'est pas vraiment mon truc, mais je sais que sans ça, je n'obtiendrai pas ce que je veux, alors je me plie plus ou moins à cette loi. Je préfère faire la fête, fumer quelques pétards, boire un peu trop, et me réveiller dans les bras d'une jolie fille au prénom inconnu. Cette vie me convient et tant pis s'il y en a à qui ça ne plaît pas, ils ne réussiront sûrement pas à me changer à coup de pleurs, de charme et de sentiments...
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✎...louise
Dans la vraie vie, j'ai 18 ans. J'ai connu ce magnifique forum grâce à Louve Hepburn et je ferais de mon mieux pour être là ? jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non. Mon personnage est un perso inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que ce forum a l’air super. code règlement : Ok by Dacey |
icônes © by .... ?
- InvitéInvité
Re: swann . someone's missing
Sam 21 Mai 2011 - 1:06
boys don't cry
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« Madame ? Madame ! Ah ! Ce joli petit garcon est à vous ? Il s’était perdu dans le supermarché. Le voici. Oh mais ne pleurez pas, il est là, ce n’est pas grave ! Madame… Voyons. Il va bien, il n’a rien ! Comment tu t’appelles mon petit ?
- Swann. Swann Johnson, monsieur.
- C’est très joli ça, Swann, ça te va à ravir. Et tu as quel âge ?
- J’ai neuf ans et demi, monsieur. »
L’homme qui m’a retrouvé fait un sourire. Son sourire édenté me fait un peu peur, ses dents abimées ne sont pas vraiment rassurantes. Mais pour moi, il a quand même l’air gentil, il a retrouvé maman, alors je l’aime bien. Ils discutent un peu ensemble, mais je n’écoute pas. J’entends quelques bribes de conversation, ils parlent de violon, et puis il lui donne une petite carte en disant « Vous savez où me joindre, madame ! ». Ma mère me prend par la main, et nous nous éloignons, pour finir nos courses.
« Tu as entendu ça, Swann ? Ce monsieur donne des cours particulier de violon, ça te dirait ?
- J’ai pas de violon. Et puis j’en ai jamais fait, j’y arriverai pas.
- C’est justement pour les petits garçons comme toi qui n’en n’ont jamais fait qu’il donne des cours. Et puis je suis sûre qu’on peut en louer un pas trop cher, pour commencer, et si jamais ça te plaît, on pourra peut-être envisager d’en acheter un. »
Je ne dis rien. Je sais très bien que ma mère ne roule pas sur l’or, mais c’est gentil de sa part, alors je ne veux pas la décevoir. J’accepte finalement les cours de violon de Mr Widman, et je commence un mercredi après-midi. Ma mère m’accompagne et reste avec moi pour le premier cours. Ce n’est pas vraiment une réussite, mais Mr Widman dit que c’est normal, qu’au début c’est toujours comme ça. Au cours d’après, ma mère ne vient pas, elle m’emmène juste et me dit qu’elle reviendra me chercher trois quarts d’heure plus tard. Au début du cours, je montre à Mr Widman le travail que j’ai fait dans la semaine. Ce n’était pas facile et je n’ai pas vraiment l’impression de progresser. Ca ne ressemble pas du tout à ce que j’ai déjà entendu du violon. Je commence à m’énerver, ce son strident et insupportable me casse les oreilles et je ne suis pas du tout content de ce que je fais. Mr Widman attrape mon petit violon, le pose sur la table de son salon, s’accroupit, et me regarde droit dans les yeux. Il me sourit, et ses mains frôlent mon ventre. J’arrête alors de pleurer, et ne dis rien.
« Ta maman m’a dit que tu n’as pas de papa… Si tu veux, je peux en être un pour toi. Mais seulement si tu es d’accord et que tu arrêtes de pleurer. »
Je reste muet, et j’imagine qu’il a compris mon silence comme un accord de ma part. C’en était sans doute un. Ses paroles étaient attirantes, il me proposait ce que j’avais toujours rêvé d’avoir. Un père, un homme qui s’occupe de moi, qui s’intéresse à ce que je dis. Je fais un léger sourire.
« Alors, c’est d’accord, fiston ? Mais il y a une condition. Tu dois me promettre de ne jamais en parler à quiconque. Et encore moins à ta maman.
- Pourquoi, Mr Widman ?
- Allons… Réfléchis. Ta mère le prendrait sûrement mal, elle ne me connaît presque pas, et voilà que tu m’appellerais « papa » ? Elle est encore blessée par ce que lui a fait ton père, je pense, alors ne dis rien. »
J’acquiesce. Je n’ai pas très bien compris les raisons, mais c’est un adulte, alors il doit mieux comprendre ma mère qui est en une aussi. Et puis si ce silence peut me permettre d’avoir un père, ne serait qu’une heure par semaine, alors je veux bien. Je fais une promesse, et je me souviens avoir aperçu une lueur de triomphe au fond de ses yeux noirs. Je reprends mon violon et la séance se termine assez vite.
La semaine d’après, il a l’air assez soucieux, sûrement parce qu’il a du penser que j’en parlerai à ma mère. Mais j’ai tenu ma parole, et ma mère me dépose chez lui, sans se douter de quoi que ce soit. Il m’attrape par la main une fois la porte fermée derrière moi, et ne me laisse même pas le temps d’ouvrir mon étui à violon. Il me pousse, sans grande violence cependant, sur le canapé, et je le vois ouvrir un à un les cinq boutons de son pantalon, chercher quelque chose dans son caleçon à carreaux et tendre vers moi cette horrible chose.
« Viens là, Swann.
- Pourquoi, Mr Widman ?
- Appelle-moi papa. C’est ce que font les enfants avec leur père, Swann. »
Je ne pose pas de questions, et je m’exécute. Tout cela me paraît un peu étrange, mais il dit que c’est normal, que tout le monde fait ça et qu’il n’y a rien de dégoutant. Pourtant, moi, ça ne me plaît pas vraiment et je vomis tous les mercredi soirs. Ce petit manège dure plusieurs mois, jusqu’à ce que je décide d’en parler à ma mère. Elle aussi reste muette, et se contente de pleurer et de me serrer contre elle. Je ne revois plus jamais Mr Widman, et je soupçonne ma mère de lui avoir dit de déménager sous peine de le dénoncer à la police. J’aurais préféré qu’elle le dénonce. Je n’aimerais pas qu’il fasse la même chose à d’autres enfants. En plus, je ne sais même pas jouer de violon.
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Je me suis enfin décidé. Il m’aura fallu du temps… Du temps pour essayer de comprendre, en vain, pour accepter ce sort qui est le mien, pour me révolter intérieurement, puis extérieurement, mais sans jamais mettre de mots sur mes émotions. Je sais que je suis différent des autres. Pourquoi ? Est-ce cette absence ? Est-ce qu’un simple silence peut causer tant de question ? Je l’ignore, et j’ai besoin de savoir. Je veux comprendre, pourquoi nous ne sommes que deux, et pas trois. Pourquoi il est parti, pourquoi il l’a abandonnée. Qui il était. J’ai besoin de savoir ce qui s’est passé. Est-ce moi qui l’ai fait fuir ? Ou bien est-il parti parce qu’il y était contraint ? Obligé ? Etait-ce un choix ? Il faut que je sache. Et je me suis enfin décidé à poser ces questions.
Ma mère n’a pas su me dire grand-chose. En vérité, elle a passé son temps à pleurer. Dès que j’ai prononcé les mots « mon père », j’ai vu ses yeux s’humidifier et elle a ouvert la bouche. Aucun son n’en est sorti. Elle était apparemment incapable de prononcer le moindre mot d’explication, de me raconter quoi que ce soit. J’estime pourtant qu’après dix ans, elle pourrait me dire ce qui s’est passé. Pourquoi elle l’a aimé ? D’ailleurs, l’a-t-elle aimé ou était-ce un coup de tête ? Et à partir de là, étais-je vraiment désiré ? J’ai besoin de savoir. Tous les autres, à l’école ont deux parents. Certains sont divorcés, d’autres sont morts, mais ils savent qui sont leurs parents. Moi, je n’ai même jamais vu le visage de mon père, je ne sais pas comment il s’appelle. Et voilà que maintenant que je pose toutes ces questions, après avoir pourtant attendu toutes ces années pour éviter de trop blesser ma mère, on ne me répond rien. Pourrais-je un jour savoir qui est cet homme qui lui a donné toutes ces illusions, et qui a marqué d’une croix indélébile sur son cœur, l’obligeant à supporter cette souffrance et cette marque toute sa vie ?
Elle a fini par dire quelques mots.
Marié. Plus vieux. Obligé de partir. Dans un autre monde. Riche. Amour impossible. Parti avant ta naissance.
Ces quelques mots me suffisent. Je comprends alors que ma mère s’est fait avoir. Elle a cru à l’amour, et l’amour s’est bien moqué d’elle. Quelle connerie.
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Quelques semaines avant mon onzième anniversaire, j’ai reçu cette lettre. Je n’ai d’abord pas très bien compris pourquoi une chouette hulotte avait pénétré dans notre petite maison de banlieue, et encore moins pourquoi une enveloppe de parchemin était attachée dans sa patte. Ma mère n’était pas à la maison quand c’est arrivé, elle n’a donc pas pu m’expliquer. Peut-être était-ce un cadeau d’anniversaire en avance ? Mais enfin, une chouette, elle aurait pu trouver mieux… C’est donc avec beaucoup de perplexité que je me suis approché du volatile, pour en décrocher l’enveloppe. Le parchemin, c’était pas un peu vieillot ça ? Et puis cette encre verte n’était de toute façon pas l’écriture de ma mère. Mais alors… Qui ? Une once d’espoir entrait en moi. Et si c’était mon père ? Peut-être avait-il cherché une façon originale de m’aborder, pendant toutes ces années ? Peut-être s’en voulait-il d’être parti comme ça, de nous avoir abandonnés. J’ouvrais lentement et précautionneusement l’enveloppe, comme si je m’attendais à ce qu’elle disparaisse à tout moment, et en sortais de la même manière la lettre qu’elle contenait. Il y avait deux morceaux de parchemin. J’en prenais une au hasard, et tombais sur une liste des plus singulières. Une baguette magique ? Une cape de sorcier noire ? Ca devait être une blague d’un de ces petits cons de l’école, qui s’amusaient à me poursuivre ou à me taper dessus. Mais tout de même, ça me paraissait bien trop intelligent pour venir d’eux. Il n’y avait même pas de fautes, c’était impossible qu’ils en soient les expéditeurs. Je décidai donc d’ouvrir la seconde lettre, qui m’éclairerait sans doute un peu sur ce mystère.
« COLLEGE POUDLARD, ECOLE DE SORCELLERIE
Directeur : Rufus Unsworth
Cher Mr Johnson,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d’ores et déjà d’une inscription au Collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, cher Mr Johnson, en l’expression de nos sentiments distingués.
Albana Blane
Directrice adjointe »
Je reposai lentement la lettre sur la table. Soit c’était un coup monté du plus mauvais goût et d’un ridicule très poussé, soit c’était l’histoire la plus incroyable que j’aie entendue. Et la plus merveilleuse.
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Mes années à Poudlard se sont déroulées comme je l’espérais. J’ai toujours réussi à m’en sortir, la preuve, j’ai eu mes ASPIC. Maintenant je viens de recevoir la lettre qui m’admet à Hungcalf, et je me roule un petit joint pour fêter ça. Ma mère entre dans la cuisine, et me lance un regard réprobateur. Elle ne dit plus rien, elle a fini par s’habituer, et de toute façon, elle sait qu’elle serait impuissante. Heureusement qu’elle ne connaît pas la réputation d’Hungcalf, elle serait capable d’essayer de m’empêcher d’y aller, et je n’ai pas très envie d’utiliser la magie contre elle. Il paraît qu’on trouve toutes sortes de personnes là-bas, et que les soirées y sont particulièrement débauchées. J’ai hâte de voir ça. Et puis en plus, il n’y aura pas Emily pour venir pleurer dans mes pattes et me supplier de retourner avec elle, et ça, c’est le luxe, elle commence à me gonfler sérieusement. J’ai choisi d’étudier le parcours de justice magique, pour pouvoir me spécialiser dans les relations moldus/sorciers. J’appartiens aux deux mondes, non ? Et selon moi, il n’y a aucune honte à avoir.
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- InvitéInvité
Re: swann . someone's missing
Sam 21 Mai 2011 - 1:22
Bonsoir et bienvenue sur Hungcalf ! (l)
Je te réserve Andrew pour 7 jours ;) Si tu as la moindre question, n'hésite pas !
Je te réserve Andrew pour 7 jours ;) Si tu as la moindre question, n'hésite pas !
- InvitéInvité
Re: swann . someone's missing
Sam 21 Mai 2011 - 13:17
Bienvenue chou d'amour :oh: Bon courage pour ta fiche !
- InvitéInvité
Re: swann . someone's missing
Sam 21 Mai 2011 - 13:19
Merci Lust :)
& merci mon p'tit loup (l) :canard:
& merci mon p'tit loup (l) :canard:
- InvitéInvité
Re: swann . someone's missing
Sam 21 Mai 2011 - 16:13
Bienvenue (du côté de chez) Swann :huhu:
Bon courage pour la fin de ta fiche (l)
Bon courage pour la fin de ta fiche (l)
- InvitéInvité
Re: swann . someone's missing
Dim 22 Mai 2011 - 13:50
BIENVENUE :baveuh: Bonne chance pour ta fiche, j'adore ton avatar :inlove:
- InvitéInvité
Re: swann . someone's missing
Dim 22 Mai 2011 - 23:18
Cher étudiant
Félicitations, tu es admis à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Magnifique plume, une histoire qui m'a mis très mal à l'aise au début, mais un personnage que j'adore, tout simplement, et une fiche très agréable à lire (l) Je te valide donc sans soucis, et j'exige un lien positif avec Zach (a) Si tu as des questions, n'hésite pas ;) Have fun et bon jeu !
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