- InvitéInvité
Zephyr → Sometimes we have to let go
Mar 10 Oct 2017 - 19:55
Zephyr Tahoe Curtis
Je suis un summerbee | perso inventé
« Please don't see just a boy caught up in dreams and fantasies. Please, see me. Reaching out for someone I can't see. »
WIZARD CARD INFORMATIONS | ©️ neo venus ◈ jeon jungkook |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
J'ai toujours su que j'avais été adopté. Lorsque j'observais ma mère de mes yeux en amande et que voyais son beau visage hâlé, ses lèvres brunes et cette cascade de cheveux bouclés qui encadrait ses fossettes, je savais qu'elle ne m'avait pas donné naissance. Et lorsque j'apercevais les cheveux blonds emmêlés et humide de mon père, son sourire tordu, ses mains rugueuses et sa peau mouchetée de centaines de tâches de rousseurs, je n'avais pas plus de doutes sur mes origines. Mon père est capitaine d'un chalutier, pêcheur pour le commun des mortels, véritable héro pour moi. Pas souvent à la maison, il passait son temps en mer et bien qu'il n'ait eu de cesse de répéter qu'on lui manquait, je sais qu'il ne pouvait pas se passer de son métier, de l'océan. Il devait toujours repartir, souvent. Je me dis parfois que l'océan est son véritable grand amour et je me demande si ma mère le pense aussi. Ecossais pure souche, natif de l'île de Skye où nous avons toujours vécu, il a un accent à couper au couteau et dans la région, tout le monde le connait. Ma mère, douce et chaleureuse, est d'origine Hawaïenne et elle n'est arrivée en Ecosse que lorsqu'elle avait vingt ans. Elle s'est mariée à mon père et puis elle a repris l'auberge que tenait la mère de celui-ci et est maintenant la fière propriétaire de la meilleure (et la seule) auberge de Portree. Capable d'élever la voix et de se montrer imposante lorsqu'il faut mettre certains ivrognes dehors, ma maman tient son institution d'une main de fer dans un gant de velours. Sa générosité n'a pas d'égal et elle est très appréciée dans le village pourtant à la limite de la xénophobie. Nous formons la famille la plus haute en couleurs du coin et n'en sommes pas peu fiers. Et puis, il y avait le reste de ma famille aussi, ceux qu'on appelle sobrement amis. Il y avait les garçons de l'école, puis quelques filles aussi. J'avais une réputation agréable, j'étais le meilleur de la classe, celui qui apportait toujours des sucreries à l'école et qui les partageait, celui qui jouait au foot comme un champion, celui qui pouvait nager jusqu'à la bouée et revenir sans mourir noyé, celui qui pouvait faire des dessins merveilleux et multicolores avec un seul crayon, celui qui disait bonjour à tous les adultes en les tutoyant aussi. Je dois avouer que j'étais surement une des personnes les plus appréciées du village. Et puis, il y a eu Gabriel.
Notre maison rouge vif donnait vue sur le port d'un côté et sur les rues commerçantes de l'autre. Parfois, je surprenais ma mère à la fenêtre le soir, les yeux rivés vers l'eau d'un noir de jais brillant, elle ne voyait rien d'autre que la lumière du phare mais elle regardait quand même, en pensant à son mari. Je ne disais rien, je ne la dérangeais pas, préférant me traîner de l'autre côté de la maison et regarder vers la maison surplombant la colline où brillaient souvent des lueurs colorées. Je n'avais jamais mis les pieds sur leur propriété et je n'irais jamais. La maison de la famille Kim, la maison de Gabriel. Mon meilleur ami. Celui qui m'avait rayé de sa vie d'un battement de cil et qui passait visiblement les vacances à m'éviter. Je m'étais résigné à ne plus le revoir et surtout à ne pas avoir d'explications. Du haut de mes dix ans et demis, je mettais facilement mon ami de côté dans mes pensées, j'avais beaucoup d'autres choses à faire bien que je sois incapable de retrouver une complicité similaire avec les enfants de l'école, sans doute parce qu'ils n'étaient pas comme moi, pas comme lui. Nous. Puis, j'ai reçu ma lettre à mon tour, sans surprise. J'avais toujours cru en la magie et surtout, j'avais toujours cru en ce qu'il me racontait, Gabriel. Il m'avait parlé de Poudlard, la seule école de sorcellerie du Royaume-Uni, celle où on irait. Le doute, la surprise, l'excitation, la curiosité, le bonheur, je suis passé par toute une palette d'émotion en visitant enfin le chemin de traverse et puis en passant sur la voie 9 3/4 surtout. Je n'y avais jamais autant cru que ce jour-là. Tout était réel, je n'avais pas rêvé. Je me suis vite fait des amis, malgré mon statut du sang qui me portait préjudice j'étais doté d'un sens de la répartie cinglant et d'un sang-froid à toute épreuves, sans oublier le rire au bords des lèvres. Je n'ai jamais aimé avoir des ennemis et je ne pense même pas avoir déjà considéré quelqu'un comme tel. Pour moi, les disputes sont passagères et surtout, perdre un ami ou qui que ce soit est certainement la pire chose qu'il puisse nous arriver. Mes premières années à Poudlard furent difficiles, bien qu'étant très studieux, j'avais des lacunes non-négligeable en matière de sorcellerie et je passais des heures et des heures à lire les livres de la bibliothèque, en dévorant chaque mot avec délice. J'étais curieux de tout, tout me paraissait intéressant, découvrir un nouveau monde est certainement la chose la plus excitante qui me soit jamais arrivé.
Et puis, les sang-de-bourbe jetés à mi-voix au détour des couloirs se sont estompés. Déjà certainement parce que le statut du sang m'importait moins que la couleur de mes chaussettes, et ensuite en grande partie parce que je parlais à tout le monde, que je leur apportais mon aide lorsqu'il en avaient besoin, que beaucoup s'étaient mis à m'apprécier, en particulier dans ma maison. Et que personne n'avait envie se mettre tout Poufsouffle à dos. D'autant qu'on s'entendait particulièrement bien avec les Gryffondor. Mon intégration s'est faite en douceur, mon rire résonnant dans la Grande salle, les cheveux d'une fille caressant mon épaule lorsque je lui expliquais comment écrire son essai, les bras d'une amie autour de moi alors qu'on était assis dans la salle commune. Et puis, en sortant de mes salles de cours, je croisais parfois son regard ou son dos. J'aurais reconnu sa démarche entre mille de toutes façons. Mon sourire restait toujours en suspens, comme le temps, lorsqu'il passait. Et mon coeur battait la chamade dans ma poitrine. J'aurais voulu qu'il me parle, qu'il me dise pourquoi est-ce qu'il brisait une amitié pareille, j'avais la sensation d'avoir été abandonné, encore. Mais aucun moment ne semblait être le bon et s'il avait voulu me parler, il l'aurait déjà fait. Je devais visiblement me faire à l'idée que j'avais perdu Gabriel, à jamais.
La salle sur demande était bondée et je me demandais comment elle pouvait contenir la musique hurlante mais je me contentais de suivre le mouvement, de danser à m'en briser les gens, de respirer difficilement dans l'air chaud et lourd qui nous entourait, de me laisser gentiment attraper par quelques filles pour quelques baisers chastes. Je n'avais aucune idée de qui avait eu l'idée d'organiser cette fête, mais le jus de citrouille avait goût de whisky et quelqu'un n'avait visiblement pas le sens de la mesure. Ca avait eu le don de me rappeler mon enfance, quand je sifflais les fonds de verres en douce à l'auberge, juste pour voir. L'heure avançait de plus en plus et je savais qu'on devrais bientôt justifier le fait qu'on soit tous fatigués en cours, pourtant je me contentais de profiter de l'instant, me laissant bercer doucement par l'euphorie des autres. Et puis, mon coeur s'est subitement vidé, arrêté. Disparu mon sourire ravi et mes yeux rieurs. Parce que Gabriel était là, assis sur une banquette, la langue d'une fille dans sa gorge. Je n'avais jamais réalisé que la jalousie faisait partie de la palette d'émotions dont j'étais capable. Bien sûr, j'aimais qu'on s'occupe de moi quand j'étais dans les parages, j'aimais avoir l'attention des autres, pourtant je ne l'avais jamais recherchée plus que ça, et surtout ça ne m'avait jamais rien fait de voir mes amis avec d'autres. Je me souviens d'avoir posé doucement ma main sur l'épaule de la fille qui a finit par se retourner, visiblement surprise. Je lui ai souri avant de lui murmurer quelques mots à l'oreille. Elle devait se rendre quelque part, quelqu'un la cherchait, tout aurait été bon pour qu'elle déguerpisse et c'est ce qu'elle a fait. Il a essayé de se relever mais mes doigts contre sa poitrine l'ont obligé à rester assis. Je l'ai scruté longuement avant que mes lèvres ne s'étirent. J'ai dû poser mon genou contre la banquette et approcher mes lèvres de son oreille pour lui parler. « T'as du rouge à lèvres partout Gab. » Il m'a écarté du bras, me faisant tomber contre la banquette tandis que mon éclat de rire ne résonnait qu'à mes oreilles. Je l'ai regardé s'enfuir, le sourire toujours aux lèvres avant de me lever. Je ne pouvais pas le laisser partir. C'était le premier contact qu'on avait depuis six ans et si je voulais lui demander quelque chose, c'était maintenant ou jamais. Je suis sorti de la salle sur demande à sa suite, courant presque pour le suivre dans l'obscurité. « Attends. » L'echo de mon chuchotement fut plus fort que ce que je pensais mais je finis quand même par l'attraper par la manche de sa robe. Et puis, ce qui devait arriver arriva, cette horrible chatte fouineuse se mit à miauler dans un coin. Miss Teigne, elle porte bien son nom celle-là. Je devinais les traits fins du sorcier dans le noir, je l'ai tiré vers le mur à la recherche du foutu passage secret et je suis tombé sur une porte. Quitte ou double, on pouvait entrer dans le bureau d'un prof ou dans les toilettes des filles, je n'en savais foutre rien, pourtant je l'ai ouverte rapidement et j'ai poussé mon ami à l'intérieur avant de refermer derrière moi. Je l'ai encore un peu poussé dans le dos. « Avance. »
Les questions se sont succédées dans mon esprit, sur ma sexualité d'abord, la nature de mes sentiments pour Gabriel, la nature de ses sentiments pour moi, la nature de notre relation. Le souvenir de la douceur de ses lèvres me hantait nuit et jour et je sentais mon coeur bondir et rugir chaque fois que je le voyais dans les couloirs bien qu'il n'ait pas cessé de m'éviter. On s'est revus, une fois ou deux à Poudlard avant la fin de l'année, dans des endroits où on ne risquait pas de nous surprendre et après ça j'avais facilement deviné la réponse à toutes mes questions. Une attirance magnétique me rappelait sans cesse à lui, j'en devenais obsédé, au point de le faire passer avant tout le reste, y compris moi-même. Il a finit par partir à l'université, mais lorsqu'il revenait pour les vacances, il passait des jours entiers chez moi, on n'avait pas vraiment besoin de sortir, on ne le pouvait pas vraiment non plus. On parlait beaucoup, trop peut-être. Il savait que je caressais l'espoir de retrouver ma mère biologique. Je savais qu'il rêvait de faire du Quidditch professionnel mais que son père le poussait en sciences occultes. Je crois que petit à petit j'ai réussi à lui faire croire qu'il pouvait s'opposer à son père, faire ce qu'il voulait, que tout irait bien, qu'il fallait qu'il se batte. Et puis, les années passant, je laissais Poudlard derrière moi à mon tour, ma mère m'enjoignant à rejoindre les bancs de l'université, j'acceptais volontiers, me disant que j'avais encore quelques semaines pour choisir mon cursus dont je n'était pas sûr. Je me souviens du jour fatidique, celui auquel on ne s'attend pas, celui qui change la donne. Je marchais près de Gabriel, trop près de lui peut-être. Il allait lui dire, à son père. Il avait l'air décidé. Son père m'a fait peur à l'instant où je l'ai vu. Si son fils était grand, lui l'était encore plus, il me toisait sans gentillesse et pour être honnête, je ne suis pas sûr qu'il avait un regard très affectueux pour son fils non plus. L'affirmation de Gabriel a claqué dans l'air comme un coup de fouet, et je me souviens encore aujourd'hui de la tension palpable entre le père et son fils. Il voulait faire du Quidditch, mais qui était-il pour s'opposer à son père ? Lorsque je l'ai vu sortir sa baguette, la mienne est apparue dans ma main également, comme si j'étais prêt depuis le début à l'attaque de l'impressionnant monsieur Kim. Protego. Le sort le plus utile du monde à mes yeux. Mon coeur brûlait au fond de ma poitrine, voir la personne que j'aimais sans doute le plus au monde se faire attaquer m'étais insupportable et la puissance de mon sortilège fût telle que le bouclier frappa l'homme de plein fouet, le renversant comme l'ouragan fauche le roseau. J'ai ouvert la bouche et j'ai tendu les doigts vers la main de Gabriel mais celui-ci courait déjà vers son père. Je n'ai entendu les mots cinglants ni du père, ni du fils. Je n'ai vu que son regard furieux et désolé pour son père. Il avait changé de camp. Je me suis retourné pour courir, le plus loin possible, le plus vite possible. J'ai souvent rêvé de la promenade devant chez moi, c'était toujours des rêves sombres où il faisait nuit et je pouvais apercevoir la lumière chez Gabriel. Ce jour-là, en arrivant essoufflé sur la promenade, je ne me suis pas arrêté, je ne suis pas rentré chez moi. J'ai continué ma course jusqu'à atteindre le bout de la jetée, jusqu'à plonger dans les eaux sombres et glaciales, jusqu'à arrêter complètement de respirer, jusqu'à sortir de ma léthargie, de mon rêve. En ressortant de là trempé et frigorifié, je savais que je n'allais pas aller à Hungcalf.
C'est ma mère qui m'a prêté l'argent dont j'avais besoin après avoir pleuré toutes les larmes de son corps. Je venais de la trahir. Lui dire que j'avais l'ambition de retrouver ma mère biologique alors même qu'elle m'avait donné tout l'amour dont on puisse avoir besoin pour une vie complète et plus encore n'avait pas été facile mais j'avais la conviction que c'était ce que je devais faire. J'ai pris un billet d'avion, j'ai caché ma baguette dans ma chambre et je suis parti, comme ça, comme un pauvre moldu perdu dans l'immensité du monde. J'étais né comme ça, je voulais voir comment c'était, le vrai monde. Je suis retourné dans mon pays natal, la Corée du Sud, avec une adresse sur un carnet, celle de l'orphelinat où une mère m'avait adopté et une autre abandonné. J'ai eu du mal à communiquer avec les coréens, je ne parlais pas un mot de leur langue et ils maitrisaient mal la mienne. J'ai passé deux mois et demis là bas, complètement coupé du monde, à essayer en vain de retrouver une trace de mes parents biologiques. Et puis, j'ai décidé de rentrer, j'ai abandonné moi aussi. J'ai réalisé que le monde réel n'était pas si loin que ça, le monde réel c'était de me blottir contre ma mère, la vraie, celle qui m'avait élevé et aimé comme un fils, qui m'avait soigné lorsque j'étais tombé malade, qui m'avait compris lorsque j'avais ramené un garçon à la maison plutôt qu'une fille. Elle m'avait tout donné et l'idée que j'ai pu lui faire du mal en partant me déchirait soudainement le coeur et me torturait l'esprit. Je me souviens du jour où on m'a déposé à Portree, les cheveux décoiffés, le tee-shirt sale. Je me souviens d'avoir observé ma mère à travers la fenêtre quelques longues minutes avant qu'elle ne me voit et ne sursaute. Je me souviens de m'être jeté dans ses bras et d'avoir versé une larme de bonheur. Je me souviens de mes excuses sans fin. Je n'ai jamais été bavard sur mon voyage en Corée, me contentant de dire que je n'avais pas trouvé ce que je cherchais. C'est faux. J'ai trouvé ma mère en Corée. La vérité, c'est que je n'avais jamais perdu ma mère, il a fallu que je la perde pour comprendre qu'elle avait toujours été près de moi.
RÉSERVE TON AVATAR
- Code:
<bottin><span class="pris">●</span> <b>jeon jungkook</b> ━ zephyr curtis</bottin>
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Mar 10 Oct 2017 - 20:13
Oh tiens, un petit de la Team Korean
Dis moi tout cela semble très intéressant
Hâte d'en lire plus, bon courage pour la rédaction de ta petite fichette.
Bienvenue officielement chez toi, petit chat
Dis moi tout cela semble très intéressant
Hâte d'en lire plus, bon courage pour la rédaction de ta petite fichette.
Bienvenue officielement chez toi, petit chat
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Mar 10 Oct 2017 - 21:51
Bienvenue parmi nous mon cher
Bon courage pour la rédaction de ta fiche! Hâte d'en savoir plus sur ton petit Zephyr
Bon courage pour la rédaction de ta fiche! Hâte d'en savoir plus sur ton petit Zephyr
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Mar 10 Oct 2017 - 23:16
Oh, un joli monsieur avec une jolie plume, que demander de plus Bienvenue parmi nous, hâte d'en lire un peu plus sur Zéphyr et de te voir en jeu
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Mer 11 Oct 2017 - 1:04
oui! encore un petit première année! on a enfin la côte!
bonne rédaction!!
bonne rédaction!!
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Mer 11 Oct 2017 - 12:34
Un bébé summerbee !
Bienvenue et bon courage pour ta fiche chaton !
En cas de pépins, on est là
Bienvenue et bon courage pour ta fiche chaton !
En cas de pépins, on est là
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Mer 11 Oct 2017 - 12:48
Bienvenue officiellement parmi nous sur Hungcalf !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Mer 11 Oct 2017 - 18:03
Les coréens nous envahiiiiiiissent Voilà qui amène de la diversité sur le forum en tout cas! Bienvenue à toi mon joli et bon courage pour ta fiche!
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Jeu 12 Oct 2017 - 9:52
Bienvenue !
J'aime beaucoup ta manière d'écrire
J'aime beaucoup ta manière d'écrire
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Jeu 12 Oct 2017 - 11:46
Bienvenue parmi nous Zephyr !
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Ven 13 Oct 2017 - 16:02
Vous êtes adorables, merci pour l'accueil les enfants
- InvitéInvité
Re: Zephyr → Sometimes we have to let go
Ven 13 Oct 2017 - 16:18
bienvenue
dans ta nouvelle famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, lire quelques annexes ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion, n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer dans notre roulette ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
★ T'es paumé ? Tu ne sais pas qui est dans quelle maison ou dans quels cours ? Tu te demandes qui sont les étudiant(e)s qui sont dans la même filière ou la même année que toi ? Tu aimerais savoir si ton voisin est un sang-pur ou un né-moldu ? Bah ne cherche plus ! Pour ça, y'a le : Référentiel de Hungcalf.
Have fun sur Hung !
PS: OH MY GOD j'ai tellement aimé lire ta fiche, tu écris tout en fluidité et on a envie de connaître la suite de ses aventures, à ton Zeph Je te souhaite de beaucoup t'amuser avec Gaby et tous les autres
|
|