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ㄨ mes anciens personnages
Sam 14 Juil 2018 - 20:30
✤ summerbee Salut !!! Moi c'est Paul Lacombe, j'ai 22 ans, et ayant la double nationalité, je suis d'origine française & anglaise. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétéro, mais aussi célibataire et issu d'une famille 50/50. A Hungcalf, j'ai choisi Botanique et Maîtrise de la faune, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de chêne d'environ 23 centimètre et qui contient en son sein un crin de licorne avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de hibou grand duc. avatar ladygagathe || icônes misery-angel |
this is my story
« Your life is often governed by a mode of thought well defined by our society. You are thinking about what you want, but this is not the case. You are flange. You're tight. Me, I passed that stage. My philosophy of life is different, simple and utopian. I'm choosing the day when I realized who I was and what I wanted to be. So forget everything. Forget yourself and start living » Here are the words of a young french named Paul Kieran Lacombe said the poet.
✎... double-face
Dans la vraie vie, j'ai 21ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à moi même x) et je ferais de mon mieux pour être là 5 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? nop. D'ailleurs, j'en avais fait la demande à personne Mon personnage est un perso inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que ce petit singe est vraiment trop cut ! . code règlement : GODISMINE |
CHAPITRE PREMIER
une enfance pas comme les autres.
On ne se souvient jamais de son enfance comme on le voudrait. Seules quelques bribes de notre histoire sont restées encrées dans notre mémoire défaillante. Des moments intenses, particulièrement heureux ou tristes, et bien souvent, c’est un certain petit quelque chose qui vous plonge dans une réminiscence profonde. Une musique, un objet, une odeur … un endroit particulier. Pour ma part, c’est la confiture de fraise. A chaque fois que j’en mange, je me retrouve dans notre vieille ferme, au milieu des champs de blés et des pâtures. Je peux même apercevoir grand-mère Grizelda se balançant sur son vieux rocking-chair tout en tricotant un pull en laine…Mais la vie est loin d’être aussi belle et idyllique, malgré les prémices d’une histoire bien engagée. Nous sommes en 1998, j’ai à peine neuf printemps et je comprends déjà à quel point cette foutue vie sera longue et pénible. Eternel blasé, je n’arrive plus à apprécier les choses que l’on me donne, ni même à jouir de la sublime simplicité qui m’entoure depuis que des évènements peu communs ont rythmés ma vie candide. J’avais -en apparence- une famille aimante, soudée et unie dans l’adversité. On aurait même pu croire qu’elle était capable de surmonter toutes les épreuves de la vie mais … lorsqu’à l’âge de six ans je me révélai sous ma véritable identité, tout a changé.
ϟ you remember that fateful day.« Ce gamin est dangereux Nicole, nous devons l’emmenez chez des spécialistes avant qu’il ne blesse sa sœur ou quelqu’un d’autre » chuchota Georges à l’oreille de sa femme « tu as vu comme moi ce dont il est capable ! ». L’impatience et la peur faisait trembler la voix de Georges-Emmanuel, qui essaya en vain de convaincre sa femme. « Non Georges … il est simplement différent » répondit cette dernière, les yeux dans le vague. A cet instant, Nicole Bellatrix Lacombe, comprit à quel point le bonheur ne tenait qu’a un fil. Elle qui avait tout fait pour se fondre parmi le commun des mortels et mener une vie tranquille, là voilà rattrapée par son passé. Pourtant, elle avait espérée. Elle avait même prié tous les soirs pour que ses propres enfants ne soient pas sorciers. Mais le sort en voulu autrement, et voilà que son fils ainé avait développé ses pouvoirs devant les yeux ébahis de son moldu de mari.
Quelques jours après cet incident, la mère de famille prit une décision radicale et avoua tout : « Je suis une sorcière Georges. C’est pour cela que Paul fait des choses … inexplicables. C’est parce que lui aussi est capable de faire de la magie […] ». Durant plus d’une heure, Nicole raconta à celui qu’elle aimait d’où elle venait, qui était –en vérité- sa famille et pourquoi elle n’avait jamais voulu lui présenter. Elle lui expliqua également pourquoi elle avait choisi de régner ce qu’elle était réellement et pourquoi elle avait choisi de lui cacher. Mais ses explications furent vaines. Blessé et profondément choqué, Georges décida de partir et prit avec lui Louison. « Ne croit pas que je vais te laisser notre fille ! Hors de questions qu’elle reste avec vous deux » cracha t’il. Comme promis, il prit la fillette et découragea sa femme de tenter quoi que ce soit à son encontre sous peine de dévoiler au monde entier sa véritable nature.
Assis sur le rebord des marches, je regardais mon père marcher au pas de course vers la voiture. Louison était dans ses bras et pleurait silencieusement tout en me faisant un signe de la main à l’aide de son doudou. Impuissant, je réalisais à peine que c’était surement la dernière fois que je voyais ma petite sœur. Ma mère quand à elle pleurait ouvertement derrière la fenêtre de la cuisine tout en se mordant la lèvre inférieure. Sans doute voulait-elle taire un cri de désespoir pour ne pas inquiéter d’avantage ses pauvres enfants ? En tout cas, une page de mon enfance s’était tournée ce jour là. J’entrais enfin dans le monde adulte et réalisais à quel point cette belle aventure que l'on appelle la vie, n’était en fait qu'une belle mascarade.
signature black lotus.
CHAPITRE SECOND
Merlin veille sur nous.
"L'habitude du désespoir est plus terrible que le désespoir lui-même". Albert Camus. Si j’avais connu ce moldu, j’aurais volontiers appuyé ses dires. Mais il ne faut pas oublier que le désespoir ne touche pas seulement qu’une seule personne. Quand ce sentiment vous ronge, vous êtes non seulement affecté, mais vous contaminez tout votre entourage. Malheureusement, aucun remède efficace n’a été découvert à ce jour.
Cela faisait maintenant dix ans, jour pour jour, que Louison et père avaient quittés la demeure familiale. Dix longues années que j’étais seul avec l’ombre décharnée de ma mère, car depuis que les deux êtres qu’elle aimait le plus au monde avaient quitté nos vies, elle s’était laissé lentement sombrer. Non pas dans l’alcool ni même la drogue comme la plupart des personnes qui traversent une période difficile, mais dans une profonde dépression qui frisait la folie. Elle n’était plus celle que j’avais connue autrefois. Je savais qu’elle était morte avec les rires qui faisaient vivre cette maison. Nicole vivait avec ses souvenirs et ne s’en sortirait jamais. « Maman … vient par là » murmurais-je sur le seuil de la porte. La pauvre femme était assise sur le lit de sa fille disparue, serrant contre elle sa petite couverture à fleurs. « Maman … je t’en prie vient dans le salon. Je vais te préparer à manger » insistais-je doucement. Mais j’avais beau la supplier, son esprit ravagée était ailleurs. Alors je m’approchais d’elle pour la prendre par les épaules lorsqu’elle se mit à se balancer d’avant en arrière, les yeux dans le vague … tout en murmurant des paroles inaudibles. A cet instant, j’eu un mouvement recul. Je ne savais pourquoi, mais une étrange sensation de peur m’envahit l’espace d’une seconde et me glaça le sang. « Laisse-moi tranquille … tout est de ta faute … » pleurnicha t’elle avant de me lancer un regard froid et mauvais.
Alors que je m’apprêtais à lui rétorquer sèchement le contraire, un bruit de clochette me parvint du rez-de-chaussée. « Tu attends de la visite ? » lui demandais-je en inclinant légère la tête en direction de la porte. Aucune réponse. « Très bien maman … » soufflais-je, las de devoir attendre après elle. Je lui effleurai l’épaule du bout des doigts, l’incitant à ne pas bouger et filai en bas. Déboulant dans les escaliers quatre à quatre pour ouvrir à l’opportun, je manquai de me rétamer de tout mon long en trébuchant sur un bout de moquette décollé. Pestant comme pas deux, je ne finis tout de même pas atteindre l’entrée sans mal. Deux silhouettes attendaient à l’extérieur et frappaient nerveusement contre la grosse porte en bois. « Ca va, ca va ! J’arrive ! Non mais qu’est ce que … » Commençais-je à râler avant d’ouvrir aux deux impatients. Deux hommes, un grand et un petit tout deux vêtis de capes noirs se tenaient sur le seuil, documents sous le bras. « Monsieur Paul Kerian Lacombe ? » demanda l’un. « C’est moi-même ... » répondais-je méfiants. « Mon garçon, nous sommes affectés au département de la justice magique et c’est le ministère qui nous envoie » annonça le plus grand. « Je me nomme Arthurus Lodwar et voici mon collègue Philibert Sparkford, nous pouvons entrez un moment ? » continua le deuxième. Pris de court, je ne comprenais pas pourquoi deux hommes du ministère étaient venus jusqu’ici, chez moi, dans ce coin paumé. Etait ce pour ma mère ? Voulaient t’ils l’embarquée ? Non c’était impossible. Seul l’hôpital avait ce pouvoir. Mais après tout le ministère n’avait t’il pas tous les droits ? Inquiet, je finis tout de même par faire entrer les visiteurs et leur indiqua le salon. « Je suis navré messieurs, mais je n’ai pas de thé, ni aucun autre rafraichissement à vous proposer » m’excusais-je avant de leur indiquer le canapé. « Maintenant, j’aimerais que nous en venions au fait : quel est le but de votre visite ? » J’étais franc et direct, comme à mon habitude. Je détestais que l’on tourne autour du pot alors que l’on pouvait aller à l’essentiel, et en ce cas précis, j’avais un besoin pressant de savoir ce que me voulaient ces deux sorciers.
« Monsieur Lacombe, un véritable drame s’est produit dans la matinée… » Commença Lodward en lissant nerveusement sa moustache. Il finit par m’avouer quelques minutes plus tard qu’un "fâcheux incident" avait couté la vie à mon père. Apparemment, un accident de la route causé par une dizaine de poubelles volantes qu’avaient ensorcelé quelques heures plut tôt un sorcier fou furieux. Les deux hommes étaient donc sur l’enquête et étaient venus m’annoncer la triste nouvelle. « Bien entendu, vous serez hm … dédommagé vous et votre famille » continua Sparkford. « Oui, bien entendu ! Mais bien heureusement, votre petite sœur n’a rien et … » « pardon ? » le coupais-je brutalement, la bouche à demi entrouverte sous le coup de l’émotion « ma petite sœur ? ». Je n’en croyais pas mes oreilles … après tout ce temps sans nouvelles, ce jour béni et tant espéré était enfin arrivé. Le jour où je retrouverais enfin celle qui m’avait tant manqué. « Oui, votre sœur monsieur Lacombe, elle est d’ailleurs dehors avec l’un de nos collègues et … ». Le pauvre homme n’eut même pas le temps de finir sa phrase que j’avais déjà bondit de mon fauteuil, courant comme un demeuré jusqu’au porche. Une fois dehors, je cherchai du regard celle qui m’avait été arraché, à moi et ma mère. « Louison !! » hurlais-je tout en courant dans la cour. « LOUISON !! » m’époumonais-je, nerveux, excité et tremblant. C’est alors qu’une petite voix criant mon nom me parvint de la rue, tout près de l’arrêt de bus du village. « Paul ?! ». Les larmes aux yeux, j’accourais vers la jolie petite tête blonde que j’apercevais un peu plus loin et qui elle aussi, courait vers moi à en perdre halène. Trente secondes plus tard, nous nous percutions de plein fouet et tombèrent à la renverse. « Paul tu m’as tellement manqué ! » sanglota la fillette tout en me caressant le visage et les cheveux. « Ne me laisse plus jamais … jamais ». J’étais incapable de parler. Je la pris donc dans mes bras et la serra contre moi aussi fort que je le pouvais tout en lui embrassant le front. Non, jamais plus nous ne serions séparés. Jamais.
signature black lotus.
CHAPITRE TROISIÈME
Reprend ta vie en main.
"Nos joies les plus profondes ne tiennent pas à des bonheurs établis, mais à nos bonheurs retrouvés." Gérard Bauër. Un départ ou une arrivée ? Peut importe, les deux peuvent contribuer à notre bonheur. Mais il est tout de même remarquable de voir à quel point un évènement, quel qu’il soit, peut influencer nos vies.
Tout allait bien mieux depuis que la petite dernière était rentrée au bercail. D’ailleurs je n’en revenais toujours pas. J’avais l’impression de vivre un rêve éveillé et que l’impossible était devenu possible. Même ma mère avait reprit des couleurs et elle allait de mieux en mieux. Elle ne restait plus des heures dans son lit ou devant la fenêtre. Elle allait de nouveau dans le jardin, se remettait à faire la cuisine et il lui arrivait même de rire. Oui, tout avait bel et bien changé depuis la mort du moldu qui était mon père. J’avais tout pour être de nouveau heureux, mais … je ne pouvais m’empêcher de nourrir en moi une profonde rancœur. J’en voulais à celle qui m’avait délaissé durant tant d’années et qui du jour au lendemain faisait comme si rien de tout cela ne s’était passé. Oui, j’en venais peu à peu à détester celle qui m’avait donné la vie et cela me faisait peur. « Paul ? Qui à t’il ? Tu as l’air songeur … » Me demanda Louison, visiblement inquiète. D’un sourire un coin qui se voulait espiègle, je la rassurais. « Tout va très bien, ne t’en fais pas pour moi. Je songeais seulement à ce que j’allais bien pouvoir dessiner pour illustrer mon poème » « Oh … et de quoi parle t’il ? D’amour ? D’une jolie femme qui aurait volé ton cœur ? ». Amusé, je lui ébouriffais ses longs cheveux dorés avant de répliquer : « Je ne savais pas que tu avais une aussi piète opinion de moi petite sœur ». J’eus pour toute réponse une magnifique grimace qui n’enlaidissait en rien son superbe visage de porcelaine. Elle n’aurait pas été ma sœur que je l’aurais trouvé tout aussi jolie. Oh oui, je n’étais pas peu fier de ce petit monstre et je savais, ou en tout cas l’espérait, qu’elle en avait conscience. « Non, en fait j’ai écris quelques vers sur une ballerine du Bolchoï que j’ai vu il y a quelques semaines » finis-je par lâcher « elle m’a complètement … époustouflée et j’ai eu envie d’écrire pour elle ». « Et comment était t’elle ? » me demanda soudainement une Louison plus qu’intéressée. « Oh et bien … elle était majestueuse comme un cygne. Je ne sais plus si je t’en avais parlé, mais c’était à Londres que j’ai vu sa représentation. Juste avant que je ne revienne en France pour les vacances, tu te souviens ? » D’un hochement de tête, elle m’indiqua que oui et m’encourageait à continuer mon récit. « Et bien voilà. C’était la première fois que j’assistais à un ballet mais … j’ai tout de suite sentis à quel point elle excellait dans son art. Je t’assure Louison, c’était à coupler le souffle. Merlin s’en retournerait dans sa tombe » plaisantais-je avant de baisser les yeux. « Que ce passe t’il ? Mais tu rougis ! » S’exclama la cadette avant de rigoler de bon cœur. « Bien sûr que non Lou ! Mais tu ne peux pas comprendre. Tu n’as pas la fibre artistique ! » Lui rétorquais-je avant de lui tirer la langue. Bien entendu, elle ne s’en offusqua pas et finit par me prendre dans les bras, comme pour me rassurer. A mon tour, je l’enlaçais et s’avouerais ce moment de complicité que seuls un frère et une sœur pouvaient connaitre.
signature poon.
CHAPITRE QUATRIÈME
Il est temps de refaire sa vie.
"Que vaut le temps, s'il n'en reste plus pour s'émouvoir, s'attendrir, aimer ? Ce n'est pas nous qui décidons de notre temps, mais le temps qui tisse les jours, fait et défait les volontés, les aspirations de l'homme." Lauréanne Harvey. Le temps passe à une vitesse fulgurante, mais on ne s’en rend compte que lorsqu’on a le courage de regarder en arrière.
J’avais eu la chance de pouvoir étudier à l’étranger grâce à ma double-nationalité et je dois bien avouer que c’était grâce à ma mère. Pour cela, je lui en étais infiniment reconnaissant, car j’avais passé les plus belles années de ma vie dans ce château. C’était également là bas que j’avais réussi à m’émanciper et penser à autre chose que ma famille. Loin de la France, j’avais pu me reconstruire. Grâce à des amis formidables, au Quidditch et au monde qui était véritablement le mien : celui de la magie. Mais la fin de ma septième et dernière année à Poudlard avait sonnée et je devais faire un choix qui changerait sans doute toute ma vie : continuer mes études, trouver un travail ou parcourir le monde comme j’en avais tant rêvé. Le choix n’était pas simple …
« Réfléchis bien Paul et fais ce qui te semble le plus judicieux ». Allongée sur mon torse, Anna me caressait tendrement le visage tout en jouant avec l’une de mes mèches de cheveux. Cette belle Gryffondor à la crinière de feu était alors ma petite amie et j’étais (en tout cas, je le croyais dur comme fer) le jeune homme le plus chanceux de la terre. D’elle, j’étais fou amoureux et j’aurais pu faire n’importe quoi pour ses beaux yeux. « Mais toi, qu’est ce que tu comptes faire l’année prochaine ? » lui demandais-je, songeur. Secrètement, j’espérais qu’elle voudrait emménager avec moi à Londres et fonder une famille, mais je savais que ma compagne depuis bientôt huit mois était d’une nature trop impulsive et solitaire pour s’engager dans une telle relation. D'ailleurs, cela me fendait le cœur … « Je n’en sais trop rien .Mais je pense que je vais rentrer en Irlande reprendre le commerce de mon père ». Etrangement, elle s’arrêta de me caresser et arbora un regard qui en disait long. J’avais su à cet instant qu’il ne fallait plus que je me berce d’illusions et que j’avance seul. Mais étrangement je ne lui en voulais pas. Je comprenais ses réticences et les respectais. En fait, j’en venais même à me dire que c’était peut être elle qui avait raison. Pour ne plus y penser, je tirais les draps sur nos têtes et entremêlaient nos corps en une longue étreinte charnelle.
Quelques années plus tard.Me voilà à Hungcalf, la faculté de magie la plus réputée du monde entier. Cela fait maintenant quatre ans que j’étudie ici et ma spécialité, c’est la botanique et la maitrise de la faune. Sinon, je suis plutôt bien intégré et ma petite sœur m’a rejoint il y a de cela 1 an. Quand à ma mère et bien … elle doit couler des jours heureux en France, dans notre vieille maison. Je n’ai plus trop de nouvelles à vrai dire.
signature poon.
- InvitéInvité
Re: ㄨ mes anciens personnages
Sam 14 Juil 2018 - 21:10
Je suis un professeur | personnage inventé
« Quand la douleur et la rage atteignent des niveaux supérieurs à la capacité qu'a l'esprit d'y faire face, un étrange soulagement survient parfois, mais il exige une mort partielle de la personnalité. »
WIZARD CARD INFORMATIONS | © shiya ◈ célébrité |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
« Le sociopathe peut avoir un Q.I. élevé (voir extrêmement élevé), et être ambitieux. Comme il ne sera pas gêné par les remords, il aura toutes les chances d'arriver en haut de l'échelle sociale et professionnelle. Qu’il choisisse le domaine des affaires, de la politique, de la banque ou autre, il poursuivra ses buts avec une passion froide qui ne se laissera pas influencer par les problèmes de morale ou de légalité. Si nécessaire, il n’hésitera pas à bidouiller les comptes, donner des coups de couteau dans le dos à qui se trouve là, que ce soit famille, amis ou clients, à se marier pour de l’argent, à ruiner ceux qui l’ont aidé ou tout simplement écraser ceux qui sont plus petits que lui.
Il peut facilement créer des situations qui effraient les autres ou qui les rabaissent. Surtout s’il considère les personnes en question comme lui étant supérieures (bien que pour lui, cela est extrêmement rare). Le fait de les rabaisser lui donnera une sensation de contrôle et de valeur. Vu qu’il n’a aucun sens moral, il lui est relativement facile de faire extrêmement mal et de dépasser les bornes.
Si le sociopathe a une tendance violente, il pourra facilement tuer quelqu’un (ou le faire tuer par quelqu'un d'autre). Que ce soit un collègue, l'épouse, l’ex-femme, son amant ou qui que ce soit qui est au travers de son chemin, cela n'a aucune importance. La seule chose qui pourrait le retenir serait la peur d’être rattrapé par le système et puni par la loi. Ce ne sera pas la culpabilité ou la morale qui le retiendra »
Extrait du Journal d'Argus Romanov : « Nous y voilà. J'entrevois le revers de ma médaille, mon alter ego, mon autre moi, mon ombre, d'une évidence par trop éclatante pour continuer à être niée ... » { Les autres pages ont été arrachées.
« Mes idées noires persistaient, sous-adjacentes, mais mes actes restaient purs. Autrement dit, je simulais la normalité à la perfection. Si vous m'aviez croisé dans la rue, jamais vous n'auriez deviné à quel point j'avais envie de vous tuer. »
Cela faisait maintenant cinq minutes que Romanov avait terminé son cours. Cinq minutes qu'il était assis derrière son bureau en train de corriger une cinquantaine de parchemins un à un, et le temps lui paraissait long. Très long. Mais il avait une devise : ne jamais regagner ses appartements tant que le travail n'était pas terminé. C'était un principe sur lequel il ne dérogeait jamais, car il n'avait aucune envie de mélanger vie professionnelle et vie privée. Il fallait donc prendre son mal en patience et terminer au plus vite. Mais c'était sans compter la jeune femme qui s’avançait timidement jusqu'à lui tandis que le reste des étudiants quittait la salle dans un vacarme assourdissant. « Professeur ? » Son timbre aiguë et nasillard trahissait son anxiété tandis qu'elle pinçait frénétiquement son pull entre ses doigts. « Professeur, excusez-moi de vous déranger, mais ... J'aurais aimé avoir quelques conseils si vous me le permettez » insista t'elle devant l'ignorance toute feinte de son aîné. Mais ce dernier n'était pas d'humeur. D'un coup sec, il posa sa plume et releva doucement sa tête afin de planter son regard dans celui de l'importune. « Mademoiselle Holloway ... » finit-il par lâcher, un sourire carnassier se dessinant lentement sur son visage. « Que puis-je pour vous ? » Bien que froide, sa question était innocente et sans équivoque. Pourtant, l'étudiante se sentit soudainement très mal à l'aise. « Et bien ... Je me demandais si ... Enfin j'aurais aimé savoir si j'avais les capacités nécessaires pour devenir auror ? Je sais que vous l'avez été durant quelques années et ... J'aurais aimé avoir votre avis à ce sujet ... ». Sa phrase se termina en un murmure alors que ses yeux fuyaient ceux du professeur. Au fond, elle savait qu'elle n'aurait jamais dû venir lui poser cette question. Et pourtant, une fois de plus, elle n'en n'avait fait qu'à sa tête. « Emily ... » Commença Argus tandis qu'il s'enfonçait mollement dans son fauteuil « Bien sûr que vous n'êtes pas faite pour cela. N'est-ce pas évident ? Vous êtes quelqu'un de faible. Votre niveau scolaire est médiocre et vous n'avez absolument pas les épaules nécessaires pour assumer cette fonction. Dois-je continuer ? » Il marqua une pause - sans doute pour appuyer ses propos - avant de reprendre sur le même ton : « A l'évidence ... non. Maintenant excusez-moi, mais j'ai du travail ». Abasourdie, la jeune femme resta plantée là un instant, bouchée bée, tandis qu'il lui désignait poliment la sortie. Elle aurait sans doute souhaité lui rétorquer quelque chose, l'insulter ou même lui hurler dessus, mais rien ne put sortir de sa bouche. Jamais elle n'aurait cru entendre cela de la part de Romanov. Elle s'enfuit donc en courant, les larmes au bord des yeux tandis qu'Argus reprenait tranquillement sa correction.
« Dans son regard, la tristesse se mêlait à la détermination. Je me demandais si elle pouvait voir à travers mes yeux comme à travers des fenêtres et discerner dans mon obscurité intérieure le monstre qui était tapi là. »
« Qui êtes-vous Argus ? » La question résonnait dans sa tête comme un écho sans fin. Qui était-il ? Qui était ce professeur aux allures de gentil homme ? C'était une excellente question ... Mais il était tout bonnement incapable d'y répondre. Pourtant, ce n'était pas faute d'essayer, car depuis qu'il était en âge de penser (et pratiquer la magie), il cherchait inlassablement la réponse. Mais rien ne vint. Il savait seulement qu'il était le genre d'homme extrêmement difficile à cerner. Le genre de personne que l'on croit connaitre, mais qui sait parfaitement bien cacher, sous ce visage apparemment parfait et impassible, de multiples facettes. La seule chose dont il était certain, c'était qu'il était quelqu'un de spécial, d'unique et d'insaisissable. Et personne ne pouvait comprendre sa véritable nature à part elle. Du moins, c'est ce qu'il espérait. « Qui voulez-vous que je sois ? » Un demi-sourire naquit à la commissure de ses lèvres. Il savait qu'il l'intriguait, mais ce n'était pas suffisant. Tout ce qu'il souhaitait, c'était la tester, jouer, la pousser à bout afin de la faire basculer dans ses propres retranchements. Il voulait connaitre ses limites et voir jusqu'où il pouvait aller. Cela l'amusait beaucoup. Pourtant, il savait qu'il ne valait mieux pas aller trop loin avec elle, car sous ses airs doux et délicats se cachait une femme bien plus dangereuse qu'elle ne le laissait paraître. Oui, il pouvait le sentir à travers ce masque glacial et implacable. Elle cachait bien son jeu la garce ... Mais c'est ce qu'il aimait le plus chez elle. La poupée était imprévisible. « Nous méditerons là-dessus n'est-ce pas ? » Plantant son regard dans le sien, il se leva doucement de son fauteuil avant de se diriger vers la sortie. Là, il récupéra son manteau, en-trouvera la porte et s'arrêta net avant de faire volte-face « C'était un plaisir Brynhildr. Comme toujours ... ». Et la porte se referma lentement sur la medium qui n'arrivait pas à oublier le sourire carnassier de son intime ...
Il peut facilement créer des situations qui effraient les autres ou qui les rabaissent. Surtout s’il considère les personnes en question comme lui étant supérieures (bien que pour lui, cela est extrêmement rare). Le fait de les rabaisser lui donnera une sensation de contrôle et de valeur. Vu qu’il n’a aucun sens moral, il lui est relativement facile de faire extrêmement mal et de dépasser les bornes.
Si le sociopathe a une tendance violente, il pourra facilement tuer quelqu’un (ou le faire tuer par quelqu'un d'autre). Que ce soit un collègue, l'épouse, l’ex-femme, son amant ou qui que ce soit qui est au travers de son chemin, cela n'a aucune importance. La seule chose qui pourrait le retenir serait la peur d’être rattrapé par le système et puni par la loi. Ce ne sera pas la culpabilité ou la morale qui le retiendra »
Extrait du Journal d'Argus Romanov : « Nous y voilà. J'entrevois le revers de ma médaille, mon alter ego, mon autre moi, mon ombre, d'une évidence par trop éclatante pour continuer à être niée ... » { Les autres pages ont été arrachées.
« Mes idées noires persistaient, sous-adjacentes, mais mes actes restaient purs. Autrement dit, je simulais la normalité à la perfection. Si vous m'aviez croisé dans la rue, jamais vous n'auriez deviné à quel point j'avais envie de vous tuer. »
Cela faisait maintenant cinq minutes que Romanov avait terminé son cours. Cinq minutes qu'il était assis derrière son bureau en train de corriger une cinquantaine de parchemins un à un, et le temps lui paraissait long. Très long. Mais il avait une devise : ne jamais regagner ses appartements tant que le travail n'était pas terminé. C'était un principe sur lequel il ne dérogeait jamais, car il n'avait aucune envie de mélanger vie professionnelle et vie privée. Il fallait donc prendre son mal en patience et terminer au plus vite. Mais c'était sans compter la jeune femme qui s’avançait timidement jusqu'à lui tandis que le reste des étudiants quittait la salle dans un vacarme assourdissant. « Professeur ? » Son timbre aiguë et nasillard trahissait son anxiété tandis qu'elle pinçait frénétiquement son pull entre ses doigts. « Professeur, excusez-moi de vous déranger, mais ... J'aurais aimé avoir quelques conseils si vous me le permettez » insista t'elle devant l'ignorance toute feinte de son aîné. Mais ce dernier n'était pas d'humeur. D'un coup sec, il posa sa plume et releva doucement sa tête afin de planter son regard dans celui de l'importune. « Mademoiselle Holloway ... » finit-il par lâcher, un sourire carnassier se dessinant lentement sur son visage. « Que puis-je pour vous ? » Bien que froide, sa question était innocente et sans équivoque. Pourtant, l'étudiante se sentit soudainement très mal à l'aise. « Et bien ... Je me demandais si ... Enfin j'aurais aimé savoir si j'avais les capacités nécessaires pour devenir auror ? Je sais que vous l'avez été durant quelques années et ... J'aurais aimé avoir votre avis à ce sujet ... ». Sa phrase se termina en un murmure alors que ses yeux fuyaient ceux du professeur. Au fond, elle savait qu'elle n'aurait jamais dû venir lui poser cette question. Et pourtant, une fois de plus, elle n'en n'avait fait qu'à sa tête. « Emily ... » Commença Argus tandis qu'il s'enfonçait mollement dans son fauteuil « Bien sûr que vous n'êtes pas faite pour cela. N'est-ce pas évident ? Vous êtes quelqu'un de faible. Votre niveau scolaire est médiocre et vous n'avez absolument pas les épaules nécessaires pour assumer cette fonction. Dois-je continuer ? » Il marqua une pause - sans doute pour appuyer ses propos - avant de reprendre sur le même ton : « A l'évidence ... non. Maintenant excusez-moi, mais j'ai du travail ». Abasourdie, la jeune femme resta plantée là un instant, bouchée bée, tandis qu'il lui désignait poliment la sortie. Elle aurait sans doute souhaité lui rétorquer quelque chose, l'insulter ou même lui hurler dessus, mais rien ne put sortir de sa bouche. Jamais elle n'aurait cru entendre cela de la part de Romanov. Elle s'enfuit donc en courant, les larmes au bord des yeux tandis qu'Argus reprenait tranquillement sa correction.
« Dans son regard, la tristesse se mêlait à la détermination. Je me demandais si elle pouvait voir à travers mes yeux comme à travers des fenêtres et discerner dans mon obscurité intérieure le monstre qui était tapi là. »
« Qui êtes-vous Argus ? » La question résonnait dans sa tête comme un écho sans fin. Qui était-il ? Qui était ce professeur aux allures de gentil homme ? C'était une excellente question ... Mais il était tout bonnement incapable d'y répondre. Pourtant, ce n'était pas faute d'essayer, car depuis qu'il était en âge de penser (et pratiquer la magie), il cherchait inlassablement la réponse. Mais rien ne vint. Il savait seulement qu'il était le genre d'homme extrêmement difficile à cerner. Le genre de personne que l'on croit connaitre, mais qui sait parfaitement bien cacher, sous ce visage apparemment parfait et impassible, de multiples facettes. La seule chose dont il était certain, c'était qu'il était quelqu'un de spécial, d'unique et d'insaisissable. Et personne ne pouvait comprendre sa véritable nature à part elle. Du moins, c'est ce qu'il espérait. « Qui voulez-vous que je sois ? » Un demi-sourire naquit à la commissure de ses lèvres. Il savait qu'il l'intriguait, mais ce n'était pas suffisant. Tout ce qu'il souhaitait, c'était la tester, jouer, la pousser à bout afin de la faire basculer dans ses propres retranchements. Il voulait connaitre ses limites et voir jusqu'où il pouvait aller. Cela l'amusait beaucoup. Pourtant, il savait qu'il ne valait mieux pas aller trop loin avec elle, car sous ses airs doux et délicats se cachait une femme bien plus dangereuse qu'elle ne le laissait paraître. Oui, il pouvait le sentir à travers ce masque glacial et implacable. Elle cachait bien son jeu la garce ... Mais c'est ce qu'il aimait le plus chez elle. La poupée était imprévisible. « Nous méditerons là-dessus n'est-ce pas ? » Plantant son regard dans le sien, il se leva doucement de son fauteuil avant de se diriger vers la sortie. Là, il récupéra son manteau, en-trouvera la porte et s'arrêta net avant de faire volte-face « C'était un plaisir Brynhildr. Comme toujours ... ». Et la porte se referma lentement sur la medium qui n'arrivait pas à oublier le sourire carnassier de son intime ...
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Re: ㄨ mes anciens personnages
Sam 14 Juil 2018 - 21:11
Marcelino Oliveira
Je suis un sorcier | perso inventé
« On provoque nous même ce qui nous arrive, et ensuite on appelle ça, le destin. Quoi de plus facile »
WIZARD CARD INFORMATIONS L'aventure, les challenges et la nouveauté ont tendance à te stimuler, Lino. C'est sans doute pour ça que tu aimes tant voyager. Pour cette raison que tu hésiteras souvent dans ta vie entre ton sens des responsabilités et du devoir, ton esprit de famille, et l'envie de tout remettre en cause afin de vivre pour toi et non pas pour les autres. Quoi qu'il en soit, tu restes une épaule stable et solide sur laquelle on peut s'appuyer (même si tu préférerais être un peu moins responsable des autres). Ni nuancé, ni impressionnable, ni influençable, t'es consciencieux, courageux et, bien que parfois abrupt, tu es le plus souvent cohérent dans ton comportement. | ©️ hedgekey ◈ nicolas simeos |
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