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moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Mer 8 Mai 2019 - 19:47
« moitié lame moitié soie »
Dans la précipitation, tu noues tes cheveux longs et bruns en arrière, plaquant tes mains à ton visage. Tu as disposé deux ordinateurs moldus devant toi, ainsi que plusieurs piles de livres et des morceaux de parchemin. Tu souffles un bon coup tandis que derrière toi une petite masse sombre semble faire les cent pas d’un coin à l’autre de la pièce. La salle de métamorphose est également le lieu où se tiennent les enseignements en soins aux créatures magiques. C’est un endroit que tu fréquentes régulièrement pour tes cours et que tu apprécies pour son calme et son ensoleillement. Tu te sens à l’aise dans une telle immensité. Ton esprit peut vagabonder comme bon lui semble. Tu te sers un nouveau café – le sixième depuis ce matin – que tu fais réchauffer à l’aide de la magie. Tu profites du calme de l’Université en ce début des partiels du second semestre pour t’isoler comme tu l’as fait aujourd’hui. Tu es impatient de découvrir le résultat des travaux à la librairie, tu n’as pas encore eu le temps d’y retourner depuis quelques temps. En ce moment, tu te concentres sur la fin de la rédaction de ton travail de thèse. C’est compliqué, pointilleux, il faut que tout soit parfait pour ta soutenance d’ici deux mois.
Tu apportes ta tasse à tes lèvres charnues mais manque de la faire tomber de peu. Victor, ton niffleur, vient de faire un bond au-dessus de ton épaule et atterri sur le sol sur lequel il glisse sur plusieurs mètres. Tu crois rêver. « Où est-ce que tu as encore déniché ça ? » laisses-tu entendre d’un ton exaspéré. La petite bête semblable à une taupe s’élance alors sur une colonne de pierre et grimpe à la vitesse de l’éclair pour rejoindre un pupitre sur lequel il s’arrête, pestant et caquetant après une petite balle de couleur vive. Un vif d’or. Sans plus attendre, l’animal poursuit sa course, faisant chuter çà-et-là plusieurs piles de livres, un vase et quelques chaises. La salle de cours est sans-dessus-dessous.
Tu essaies de te concentrer sur ton travail, reprenant le paragraphe que tu rédigeais à propos des suivis psychothérapeutiques que tu as mené auprès de tes patients souffrant de syndromes délirants à Ste-Mangouste. Tu te plonges de nouveau sur les statistiques et autres graphiques complexes que tu as réalisés pour présenter tes résultats de recherches. Soudain, tu entends un bruit de verre brisé, tu te retournes et entrevois Victor, immobile, qui t’observes du coin de l’œil, comme si de rien n’était avant de retourner aux trousses de la balle ailée. Cette fois, ta nuque se pose contre le dossier du fauteuil du bureau de l’enseignante, là où tu t’es assis pour travailler. Tu n’en peux littéralement plus.
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Re: moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Ven 10 Mai 2019 - 17:52
moitié lame,
moitié soie
moitié soie
Kashlyn
Journée au travail, la boutique n’avait jamais été aussi populaire que depuis sa réouverture en plus des travaux. Les bénéfices lui permettaient d’en mettre de côté afin d’acheter ou construire une maison d’ici cet été avec son époux. Des projets qui se dessinaient, se concrétisaient, pour son plus grand bonheur. Meublée et agencée selon les goûts d’Evelyn, elle avait pensé aux moindres petits détails afin d’aménager la boutique et de la rendre davantage chaleureuse. Les dernières commandes rangées, la tornade jetait un coup d’œil aux personnes qui se baladaient dans l’antre, en conseillant certains avec cette même passion littéraire débordante. Vers dix-sept heures, Evie fermait la boutique et s’en allait, hissée sur ses talons, vers l’université, décidée à rendre visite à Kash et lui faire la surprise. Cela lui faisait tout drôle de pénétrer dans l’enceinte désertée il y a de nombreuses années. Quelques étudiants déambulaient, croisant quelques têtes connues et qui étaient surprises de voir la rebelle dans les lieux. Arrêt obligatoire dans les bras de Sasha et par le bureau de Dhan, sourire radieux aux lèvres, sûrement le mariage et son rôle de marraine qui la rendaient si heureuse.
Ses talons claquaient contre le sol de l’école, à la recherche de son Lufkin préféré. Monsieur Sanahuja ne lui rendait pas la tâche facile, comptabilisant la totalité des options (ou presque) dans son emploi du temps. Tâchant de se remémorer de ce dernier, Evelyn se rendait dans les quelques salles, qu’elle trouvait vides ou occupées. Enfin, après un bref passage à la bibliothèque, l’ancienne Ethelred entendait un tumulte sans nom. Un coup d’œil et elle apercevait Victor en train de courir après un vif d’or, renversant un nombre incalculable d’objets, sous le regard accusateur de Kashmiri. Il était épuisé et exaspéré face à sa thèse, lui qui était si proche de la fin. Le Libanais était sa petite fierté, l’éclat de joie dans ses iris azur. Il était voué à un futur brillant, son mari, la brune en était persuadée.
Silencieuse et sur la pointe des pieds, Evelyn pénétrait dans la salle de classe, après que Victor ait cassé un bocal. Maigre sourire, elle lui ordonnait en silence de faire comme si de rien était tandis que ses bras venaient enlacer les épaules de Kashmiri. « Bonjour. » Sourire aux lèvres, le visage d’Evie glissait sur le côté, déposant un baiser contre sa joue poilue. « Ta thèse avance ? » La jeune femme venait prendre place contre les jambes du Lufkin, regardant les parchemins ainsi que les ordinateurs ouverts devant le Libanais. « Je vois que tu as bientôt terminé. » Risette gratifiante, la lionne reposait les bouts de papier contre le large bureau du professeur, pivotant sur le côté en passant un bras autour des épaules athlétiques de l’érudit. « Je suis très fière de toi. » Faciès reposant sur son épaule, Evelyn jouait avec les doigts de son mari, consciente que sa présence à l’université avait tout d’inattendu. « J’avais envie de te voir. » Se tournant entièrement pour lui faire face, la libraire déposait son front au sien, frôlant lentement leurs lèvres ensemble. « J’ai senti que tu avais besoin de te changer les idées. Et... J’ai une surprise. » D’un coup, une femme Niffleur sortait de sous sa chevelure : plus petite que Victor, elle était toute blanche avec une tâche marron sur le dos ainsi que sur le sommet de sa tête. « Le jour où j’ai emmené Victor, c’était pour lui trouver une partenaire et figures-toi qu’ils s’adorent. »
Ses talons claquaient contre le sol de l’école, à la recherche de son Lufkin préféré. Monsieur Sanahuja ne lui rendait pas la tâche facile, comptabilisant la totalité des options (ou presque) dans son emploi du temps. Tâchant de se remémorer de ce dernier, Evelyn se rendait dans les quelques salles, qu’elle trouvait vides ou occupées. Enfin, après un bref passage à la bibliothèque, l’ancienne Ethelred entendait un tumulte sans nom. Un coup d’œil et elle apercevait Victor en train de courir après un vif d’or, renversant un nombre incalculable d’objets, sous le regard accusateur de Kashmiri. Il était épuisé et exaspéré face à sa thèse, lui qui était si proche de la fin. Le Libanais était sa petite fierté, l’éclat de joie dans ses iris azur. Il était voué à un futur brillant, son mari, la brune en était persuadée.
Silencieuse et sur la pointe des pieds, Evelyn pénétrait dans la salle de classe, après que Victor ait cassé un bocal. Maigre sourire, elle lui ordonnait en silence de faire comme si de rien était tandis que ses bras venaient enlacer les épaules de Kashmiri. « Bonjour. » Sourire aux lèvres, le visage d’Evie glissait sur le côté, déposant un baiser contre sa joue poilue. « Ta thèse avance ? » La jeune femme venait prendre place contre les jambes du Lufkin, regardant les parchemins ainsi que les ordinateurs ouverts devant le Libanais. « Je vois que tu as bientôt terminé. » Risette gratifiante, la lionne reposait les bouts de papier contre le large bureau du professeur, pivotant sur le côté en passant un bras autour des épaules athlétiques de l’érudit. « Je suis très fière de toi. » Faciès reposant sur son épaule, Evelyn jouait avec les doigts de son mari, consciente que sa présence à l’université avait tout d’inattendu. « J’avais envie de te voir. » Se tournant entièrement pour lui faire face, la libraire déposait son front au sien, frôlant lentement leurs lèvres ensemble. « J’ai senti que tu avais besoin de te changer les idées. Et... J’ai une surprise. » D’un coup, une femme Niffleur sortait de sous sa chevelure : plus petite que Victor, elle était toute blanche avec une tâche marron sur le dos ainsi que sur le sommet de sa tête. « Le jour où j’ai emmené Victor, c’était pour lui trouver une partenaire et figures-toi qu’ils s’adorent. »
(c) DΛNDELION
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Re: moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Dim 12 Mai 2019 - 15:23
« moitié lame moitié soie »
Sans crier gare, tu te retrouvais enlacé de deux avant-bras que tu reconnaissais rapidement comme étant ceux d’une charmante libraire qui ne t’étais pas inconnue. Pris entre le fracas environnant et l’exaspération liée à ton travail de thèse, tu n’avais absolument pas appréhendé l’arrivée de ton épouse qui te saluait d’un sourire radieux auquel tu répondais instantanément. Baiser déposé tout contre ta joue, ton esquisse ne disparaissait pas pour autant. Sans plus attendre, la belle venait prendre place contre toi, te gratifiant de ses plus beaux sourires. Sa seule présence avait le don de te remonter le moral. « J’ai presque terminé, il me reste seulement cinq suivis à analyser et ce sera bouclé pour la récolte de mes données. Après quoi il me restera encore à rédiger une cinquantaine de page. Je te réserve une place dans la partie remerciements » glisses-tu dans un clin d’œil tandis que ses bras se posent sur tes épaules. « Et moi, je suis fier de t’avoir à mes côtés » murmures-tu en lui montrant votre alliance que tu portes à ton annulaire.
Tu déposes délicatement ton front contre le sien, lui volant un baiser alors qu’elle se contentait de frôler tes pulpes. Les raisons de sa venue à Hungcalf étaient tout à fait honorables et savaient te toucher. Le coin de tes yeux noisette semblait imiter l’expression de la commissure de tes lèvres. Ton sourire était éclatant et entièrement dû à la femme qui se trouvait en face de toi. Arquant un sourcil à l’idée qu’il puisse y avoir une surprise, tu essaies de chercher tant bien que mal, sans succès. « Une surprise ? » demandes-tu avec enthousiasme.
Avant même qu’Evelyn ne puisse te donner une quelconque explication, une petite boule de poils immaculée se hissait hors de la chevelure de la tempétueuse Sanahuja. Tu restes bouche-bée un instant, impossible pour toi de dire quoique ce soit. « Waoh ! » lâches-tu dans un éclat de rire. « Elle est magnifique ! » Ta joie est clairement non feinte, tout comme celle de Victor qui vient de vous rejoindre pour câliner sa petite partenaire. « Je crois que l’on peut rayer la mission ‘’trouver une copine à Victor’’ de notre lifetime goals list ! » Tu te saisis de la petite Niffleur que tes phalanges caressent avec minutie. « Ravi de te rencontrer Madame la Niffleur. Moi, c’est Kashmiri. Comment va-t-on t’appeler ? » Ton regard attendri l’est encore davantage à l’écoute des petits couinements émis par la créature. Tu te tournes enfin vers ton épouse que tu gratifies d’un sourire radieux. « Tu as des idées ? J’aurais tendance à dire quelque chose en ‘’V’’ pour coller avec notre beau Victor. »
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Re: moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Dim 12 Mai 2019 - 17:17
moitié lame,
moitié soie
moitié soie
Kashlyn
Discrète et vaporeuse, la bourrasque se mouvait, perchée sur le sommet de ses orteils, essayant de ne pas faire résonner la détonation des aiguilles qui la portaient. Surprise vivante, la jolie entourait les épaules contractées de son mari, cet éternel sourire solaire accroché aux lèvres. Tableau ensoleillé, elle était de ceux qui transpiraient de joie, d’allégresse, dans la manière dont elle se comportait. Un coup d’oeil sur le travail colossal du dixième année et un frisson l’envahissait : le rejet de la scolarité sûrement, sueur froide. « Une cinquantaine de pages ? C’est énorme… » Evelyn roulait des yeux en esquissant un petit sourire, habituée à le voir travailler durant quelques heures lorsqu’ils étaient ensemble. Cela était loin d’être désagréable, disons que la tornade restait plus ou moins dans ses pattes, à lire et en essayant de saisir ce qu’il pouvait bien écrire. « Merci à la plus belle, gentille et merveilleuse des femmes… pour rester dans mes pattes même lorsque je travaille ma thèse et qui m’aide à réviser, malgré elle. » Sourire complice, la brune changeait de position afin de faire face à Kashmiri, la malice éternelle dans l’océan de ses yeux. « Vous me draguez, Monsieur Sanahuja. » Jeu des lèvres, l’enfant heureuse caressait la chevelure ébène de son mari, sans le lâcher du regard.
La petite surprise se dévoilait : une femelle Niffleur avec laquelle, Victor s’était très bien entendue lors de leur première rencontre. Ce dernier se jetait sur le bureau, sur lequel les deux petites bestioles se câlinaient avant de se mettre à faire les 400 coups ensemble, partenaires et complices, ils semblaient heureux. Au même titre que le Libanais qui avait des étoiles dans le regard. « Victoria ? Violette ? Vicky ? » Toujours installée sur le trône de ses cuisses, Evelyn jetait un coup d’oeil aux bestioles, elles étaient si heureuses que cela lui arrachait un sourire. « Maintenant, il reste à voir pour le chat, l’ours et le lion. » Souvenir d’un caprice d’enfant, la libraire avait toujours aimé les animaux, une passion que son homme partageait. Des valeurs importantes, si bien qu’Evie était végétarienne depuis des années, au même titre que Kashmiri. Son dos se penchait légèrement, de manière à prendre appui contre le bureau, les bras appuyés sur le meuble. « J’ai autre chose à te dire. » Les traits de son visage paraissaient plus tendus, tandis qu’elle lui tendait une lettre : une correspondance qui ne s’était jamais terminée, sauf si l’on comptait la fin d’année. Alors que Kashmiri lisait la missive, elle venait déposer sa paume contre son ventre, qu’il pouvait sentir légèrement plus arrondi, un fait retracé à travers sa plume délicate. La gorge plus sèche et des mots tranchants qui en sortaient : « Je porte notre enfant. »
La petite surprise se dévoilait : une femelle Niffleur avec laquelle, Victor s’était très bien entendue lors de leur première rencontre. Ce dernier se jetait sur le bureau, sur lequel les deux petites bestioles se câlinaient avant de se mettre à faire les 400 coups ensemble, partenaires et complices, ils semblaient heureux. Au même titre que le Libanais qui avait des étoiles dans le regard. « Victoria ? Violette ? Vicky ? » Toujours installée sur le trône de ses cuisses, Evelyn jetait un coup d’oeil aux bestioles, elles étaient si heureuses que cela lui arrachait un sourire. « Maintenant, il reste à voir pour le chat, l’ours et le lion. » Souvenir d’un caprice d’enfant, la libraire avait toujours aimé les animaux, une passion que son homme partageait. Des valeurs importantes, si bien qu’Evie était végétarienne depuis des années, au même titre que Kashmiri. Son dos se penchait légèrement, de manière à prendre appui contre le bureau, les bras appuyés sur le meuble. « J’ai autre chose à te dire. » Les traits de son visage paraissaient plus tendus, tandis qu’elle lui tendait une lettre : une correspondance qui ne s’était jamais terminée, sauf si l’on comptait la fin d’année. Alors que Kashmiri lisait la missive, elle venait déposer sa paume contre son ventre, qu’il pouvait sentir légèrement plus arrondi, un fait retracé à travers sa plume délicate. La gorge plus sèche et des mots tranchants qui en sortaient : « Je porte notre enfant. »
(c) DΛNDELION
- InvitéInvité
Re: moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Mar 21 Mai 2019 - 20:04
« moitié lame moitié soie »
Tu souris à sa question qui de l’extérieure pourrait paraître naïve. En fait, elle l’était dans la mesure où la Blackwood n’était pas directement impliquée dans un travail de thèse. Elle n’était donc naturellement pas au fait du nombre de pages à rendre. La voir ainsi lever les yeux au ciel te fais rire, c’est dans ce genre de situation que tu retrouves une des rares choses qui vous sépare : les études. Et pourtant, lorsque vous vous retrouvez seuls à l’appartement, cela n’empêche pas ton épouse de s’immiscer entre tes bouquins. Travailleur acharné que tu es. « En fait je trouve ça peu » dis-tu en faisant la moue. « Une thèse fait en moyenne entre deux-cent et trois-cent pages, je ne suis plus à cinquante près » admets-tu dans un signe approbateur de la tête. Esquisse complice qui se maintien sur ton visage. « Malgré elle, d’accord, je note » insistes-tu en lui lançant un regard faussement accusateur. « Moi ? Vous draguez ? Je n’oserais pas, Madame ! » Tu mimes une attitude outrée qui contraste parfaitement avec le regard dévorant que tu lui portes en l’instant.
Ta femme assise sur toi, tu posais une main sur sa cuisse, geste signifiant protection, proximité et possessivité. Tu observes les deux petites boules de poil qui arpentent le bureau en face duquel vous vous trouvez. Tu hausses un sourcil, réfléchissant à l’alternative qui sera la meilleure pour prénommer la nouvelle recrue de la famille Sanahuja. « Violette me plaît bien. » Tu ris à l’enchainement de sa réplique. « Le chat, d’accord. Mais un Maine Coon sinon ni ours, ni lion ! » Tes pseudo-conditions sont posées dans cet échange qui te laisses croire à une vie de famille parfaite. Les décisions, vous les prendrez ensemble et ce, en tenant compte de l’avis de chacun. C’est un point sur lequel vous avez toujours insisté.
Tes traits se font plus sérieux suite aux mots prononcés par la tempétueuse Evelyn qui résidait pourtant dans un calme olympien en ce moment. Néanmoins, tu parvenais à lire sur son visage une certaine tension. Rien de très grave à priori mais instinctivement tes nerfs commençaient à prendre le dessus. Ta gorge se serre. Tu te saisis de la lettre tendue que tu t’empressas d’ouvrir et de lire. Tes sens se laissaient guider au travers des effluves de parfum dégagées par le document. Au fil de ta lecture, ton épouse déposait ta main sur son ventre que tu caressais avec une douceur particulière. Sans même le lire, tu serais en mesure de le ressentir. Un sourire étire alors tes lèvres, te retournant vers elle, les yeux grands ouverts et pleins d’étincelles. « Je … » Tu restes un instant aphone, ne sachant que dire. Tu enlaces sa nuque et dépose un baiser traduisant ton amour. Tes lèvres contre les siennes, tu souris, déposant ton front contre le sien, larmes étincelantes dans le regard. « Je n’attends qu’une chose : accueillir ce mini-nous ! » déclares-tu dans un rire ému que tu ne peux retenir. « C’est formidable, Evie, tu te rends compte de ce qu’il nous arrive ? Nous allons être parents ! »
- InvitéInvité
Re: moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Mer 22 Mai 2019 - 8:15
moitié lame,
moitié soie
moitié soie
Kashlyn
Les études n’avaient jamais été pour la tornade, ni même le milieu scolaire. Plus jeune déjà, la belle était le cauchemar des adultes. Cette tête brune rebelle qui ne tenait pas en place, qui embêtait et faisait des farces aux autres, toujours avec ce regard empli d’étoiles, risette rêveuse accrochée aux pulpes. Face au long travail de son mari, Evelyn n’était qu’admiration et véhémence, enthousiaste à l’idée de l’avoir quasiment que pour elle après les études. S’ils passaient énormément de temps ensemble, Kashmiri devait travailler, enfermé dans son logement minable partagé. Alors, les mariés s’étaient mis en tête d’acheter ou construire leur maison, les réserves d’argent avaient débuté depuis longtemps. De plus, la libraire marchait extrêmement bien, un avantage puisqu’ils avaient investi dans de la décoration. Enfin, la belle acquiesçait : naturellement curieuse mais loin d’être folle, elle ne se plongeait pas plus dans la thèse de Kashmiri, préférant le laisser paisiblement avancer. Quoi que, ce n’était pas dans ses plans actuels : premièrement, Evelyn avait emmené la femelle niffleur que Victor avait adoré et inversement. Le charme semblait s’opérer chez le Libanais qui choisissait de nommer cette petite boule de poils Violette. Les deux complices étaient déjà en train de se produire en spectacle, courant et couinant sans arrêt, heureux d’être ensemble.
Au niveau des adultes, le sourire était tombé. Face à lui, Evie baissait le regard, jouant nerveusement avec le tissu d’un de ses vêtements. Déstabilisée, si ce n’était anxieuse, la main du brun résidait contre sa cuisse avant de rejoindre son ventre pendant la lecture. Ce qu’elle voyait l’émouvait profondément, il était si fier à cet instant que sa méfiance et son appréhension s’évaporaient. Un sourire étirait désormais ses lèvres, l’humidité davantage présente dans ses prunelles océan. Baisers échangés, Evelyn enlaçait ses épaules, front contre front. « J’étais effrayée à l’idée de te l’annoncer, que tu penses que c’était trop tôt... Et je ne voulais pas te gêner lors de tes études. » Malheureusement, c’était tout l’inverse, tandis qu’un rire quittait ses pulpes, glissant un doigt contre la peau typée de Kashmiri, récoltant ses perles d’eau. « J’ai hâte d’accueillir ce mini-nous, de le sentir grandir... » Si autrefois la Blackwood se serait mise à pleurer, aujourd’hui elle n’était que joie, allégresse et bonheur, ravie avec l’idée de devenir maman. Moment de tendresse, le couple s’échangeait des baisers, caresses et mots doux, sans jamais perdre le sourire. « Concernant le lion... On pourrait avoir une version miniature, comme pour les dragons, non ? » Evie y tenait à son lion, enfant rêveuse qu’elle était.
Se redressant, elle fermait les livres ainsi que les ordinateurs du brun, rangeant tout à sa place dans l’idée de se changer les idées. « Tu reprendras demain. » Sourire complice, la jeune femme déposait le sac de Kashmiri contre la table et attrapait sa paume afin de le lever. « Est-ce qu’il y a quelque chose que tu aimerais faire ? » Les bras autour des épaules du Lufkin, Evelyn l’enlaçait, déposant des baisers chauds contre sa nuque jusqu’à sa mâchoire. « Je t’aime. » Murmure glissé au creux de l’oreille, un brin de malice venait tapisser son regard. « Est-ce que les thermes existent toujours ? » Cela semblait être une excellente idée pour détendre son mari tout en parsemant son derme airain de délicats baisers. Voix sensuelle, la libraire le regardait, maintenant une telle proximité entre leurs lèvres que les souffles s’entrechoquaient, ce feu habituel dans les prunelles. « Tu pourras t’occuper de ta femme... »
Au niveau des adultes, le sourire était tombé. Face à lui, Evie baissait le regard, jouant nerveusement avec le tissu d’un de ses vêtements. Déstabilisée, si ce n’était anxieuse, la main du brun résidait contre sa cuisse avant de rejoindre son ventre pendant la lecture. Ce qu’elle voyait l’émouvait profondément, il était si fier à cet instant que sa méfiance et son appréhension s’évaporaient. Un sourire étirait désormais ses lèvres, l’humidité davantage présente dans ses prunelles océan. Baisers échangés, Evelyn enlaçait ses épaules, front contre front. « J’étais effrayée à l’idée de te l’annoncer, que tu penses que c’était trop tôt... Et je ne voulais pas te gêner lors de tes études. » Malheureusement, c’était tout l’inverse, tandis qu’un rire quittait ses pulpes, glissant un doigt contre la peau typée de Kashmiri, récoltant ses perles d’eau. « J’ai hâte d’accueillir ce mini-nous, de le sentir grandir... » Si autrefois la Blackwood se serait mise à pleurer, aujourd’hui elle n’était que joie, allégresse et bonheur, ravie avec l’idée de devenir maman. Moment de tendresse, le couple s’échangeait des baisers, caresses et mots doux, sans jamais perdre le sourire. « Concernant le lion... On pourrait avoir une version miniature, comme pour les dragons, non ? » Evie y tenait à son lion, enfant rêveuse qu’elle était.
Se redressant, elle fermait les livres ainsi que les ordinateurs du brun, rangeant tout à sa place dans l’idée de se changer les idées. « Tu reprendras demain. » Sourire complice, la jeune femme déposait le sac de Kashmiri contre la table et attrapait sa paume afin de le lever. « Est-ce qu’il y a quelque chose que tu aimerais faire ? » Les bras autour des épaules du Lufkin, Evelyn l’enlaçait, déposant des baisers chauds contre sa nuque jusqu’à sa mâchoire. « Je t’aime. » Murmure glissé au creux de l’oreille, un brin de malice venait tapisser son regard. « Est-ce que les thermes existent toujours ? » Cela semblait être une excellente idée pour détendre son mari tout en parsemant son derme airain de délicats baisers. Voix sensuelle, la libraire le regardait, maintenant une telle proximité entre leurs lèvres que les souffles s’entrechoquaient, ce feu habituel dans les prunelles. « Tu pourras t’occuper de ta femme... »
(c) DΛNDELION
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Re: moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Dim 26 Mai 2019 - 12:34
« moitié lame moitié soie »
Heureux, tu observes de ton regard rieur les deux Niffleurs qui se cherchent l’un et l’autre, jouant, couinant et renversant parfois certains objets sur leur passage. Si ces créatures peuvent être douces et affectueuses, elles n’en restent pas moins des dangers publics lorsqu’elles sont en liberté. Tu souris contre les lèvres de ton épouse, entourant son visage de tes paumes protectrices. Tu comprends qu’il a pu être difficile pour elle de se retrouver dans cette problématique de l’annonce. Pourtant, c’est un fait joyeux mais qui dans certaines circonstances peut-être un véritable fardeau pour un couple. En revanche, ce n’est absolument pas le cas pour toi, pour vous. Pulpes étirées contre les siennes que tu embrasses une seconde fois. « Ce n’est pas trop tôt. Je dirais même que c’est le timing parfait. Je suis diplômé dans quelques semaines, nous avons des projets pour notre appartement et notre famille… C’est le moment adéquat » dis-tu, confiant. Tu ne peux t’empêcher de l’enlacer contre toi. Tu peux percevoir dans les paroles de la Blackwood ce désir de porter votre enfant. Tu trouves ça beau. « On cherchera un lion miniature, c’est promis » ris-tu en secouant la tête. « On trouvera, j’en suis sûr. »
Sans comprendre sur l’instant, tes iris suivent les gestes d’Evelyn, affairée à ranger la plupart de tes affaires dans ton sac de cours. Tu restais silencieux, manquant une légère intonation à l’idée de reprendre ton travail demain. Et pourquoi pas après tout ? Tu n’en a pas conscience mais tu as probablement travaillé bien plus ce jour que la plupart des étudiants. Il est temps que tu prennes un peu de repos. Et la tempête est là pour te le rappeler. Tu suis le mouvement, te levant en attrapant sa main. « Je t’aime aussi, Evie » souffles-tu dans un baiser échangé. Ton esquisse se fait plus marquée à l’évocation des thermes de l’Université. « Ils sont toujours là » confirmes-tu. « Et toi, de ton mari » lances-tu en haussant les sourcils, provocation amusée. Tu déposais à nouveau un baiser sur ses lèvres, te détachant un instant de son corps que tu saisissais entre tes bras pour l’élever du sol. Tu soulèves ta belle avec délicatesse, tenant toutefois fermement sa peau entre les mains. « En route. »
Tu gravis les escaliers menant au deuxième étage avec aplomb. Le petit corps de ton épouse entre tes bras forts. Vous parvenez enfin aux thermes dont le lustre de chandelles s’illumine directement à votre entrée dans les lieux. Les robinets semblent prendre vie, laissant écouler une eau mousseuse aux allures colorées. Regards impressionnés, émerveillés. Vous êtes comme deux enfants. Tu déposes avec douceur la petite femme sur le sol de marbre blanc. Là, tes doigts s’en vont défaire ses vêtements que tu délaisses soigneusement dans un coin de la pièce prévu à cet effet. « Madame Sanahuja, permettez-moi de relever combien vous êtes belle. » Le timbre de ta voix est volontairement charmeur, risette aux coins des lèvres.
- InvitéInvité
Re: moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Dim 26 Mai 2019 - 14:09
moitié lame,
moitié soie
moitié soie
Kashlyn
Un lion miniature suffisait à lui ôter un sourire, risette d’un enfant satisfait d’obtenir ce qu’il désirait après de multiples caprices. Le palpitant plus léger, le poids concernant l’enfant s’était envolé : le brun l’avait rassuré, comme à son habitude, pilier de sa vie, nuage de tendresse qui enveloppait son corps fragile. « Je veux celui qui pousse le rugissement le plus fort. » En plus d’être son patronus, le caractère du roi de la savane correspondait parfaitement au tempérament explosif de la belle. Si, Evelyn aimait être entourée de personnes relativement différentes d’elle, il lui était parfois difficile de laisser rentrer un peu plus de douceur dans sa vie, si habituée à la dureté de la vie ainsi que ses multiples péripéties. De nombreux baisers échangés, Evie ne le lâchait pas du regard, savourait celui de son mari qui admirait son visage, calé entre ses paumes chaudes, affection débordante, comme elle l’aimait. Les thermes évoqués, Kashmiri la soulevait entre ses bras athlétiques, force herculéenne qui ne cessait de la surprendre. Affaires et les niffleurs embarqués, l’étudiant transportait sa chère et tendre jusqu’aux bains, croisant quelques élèves qui allaient en cours ou qui quittaient ces derniers afin de rentrer tranquillement chez eux. Accrochée à la manière d’un koala, ses bras entouraient délicatement ses épaules, à la manière de ses petites jambes autour de sa taille, femme minuscule qu’elle était, petit mètre cinquante-cinq de compétition. « Je ferai en sorte de bien m’occuper de toi. » Lèvres apposées contre celles de son partenaire, ils échangeaient de nouveaux baisers avant que ses pieds ne retrouvent le contact du sol, une fois arrivés aux thermes.
Pièce verrouillée à l’aide de la magie, les divers jets d’eaux ainsi qu’autres babioles s’enclenchaient, laissant aux jeunes mariés une vision magique, presque onirique des bains. C’était un spectacle féérique, digne de l’univers ensorcelé dans lequel ils vivaient. Une étreinte amoureuse et Kashmiri venait ôter les vêtements de sa belle, passant une main contre sa chevelure, la femme épousait ses croissants de chair, attirant son corps désormais nu contre celui du Libanais. « Et je n’attends qu’une chose… » Les doigts fins de la libraire glissaient contre la chemise du brun, faisant sauter d’une lenteur exécrable les boutons du tissu éthéré. « Que tu t’occupes de moi… » Suivi de son pantalon et de la moindre parcelle de parure, Evelyn caressait finalement son derme basané de la pulpe de ses doigts. « Tu es magnifique… » Encore plus entouré de cette brume, ils pénétraient enfin dans le bain central, tandis que les niffleurs s’étaient installés dans un tout petit, c’était comme s’il était apparu pour eux. Cascade d’eau qui coulait sur le couple enlacé, Evelyn embrassait l’apollon, mêlant avec sensualité leurs pulpes ensemble. Comme précédemment, la tempétueuse s’était attachée autour de lui, laissant descendre une paume brûlante contre son dos musclé, frôlant sa chair du rebondi de ses doigts taquins, marquant de traces possessives et passionnelles sa nuque. Il était beau, Kashmiri, ainsi enveloppé par cette brume et le tumulte des eaux.
Pièce verrouillée à l’aide de la magie, les divers jets d’eaux ainsi qu’autres babioles s’enclenchaient, laissant aux jeunes mariés une vision magique, presque onirique des bains. C’était un spectacle féérique, digne de l’univers ensorcelé dans lequel ils vivaient. Une étreinte amoureuse et Kashmiri venait ôter les vêtements de sa belle, passant une main contre sa chevelure, la femme épousait ses croissants de chair, attirant son corps désormais nu contre celui du Libanais. « Et je n’attends qu’une chose… » Les doigts fins de la libraire glissaient contre la chemise du brun, faisant sauter d’une lenteur exécrable les boutons du tissu éthéré. « Que tu t’occupes de moi… » Suivi de son pantalon et de la moindre parcelle de parure, Evelyn caressait finalement son derme basané de la pulpe de ses doigts. « Tu es magnifique… » Encore plus entouré de cette brume, ils pénétraient enfin dans le bain central, tandis que les niffleurs s’étaient installés dans un tout petit, c’était comme s’il était apparu pour eux. Cascade d’eau qui coulait sur le couple enlacé, Evelyn embrassait l’apollon, mêlant avec sensualité leurs pulpes ensemble. Comme précédemment, la tempétueuse s’était attachée autour de lui, laissant descendre une paume brûlante contre son dos musclé, frôlant sa chair du rebondi de ses doigts taquins, marquant de traces possessives et passionnelles sa nuque. Il était beau, Kashmiri, ainsi enveloppé par cette brume et le tumulte des eaux.
(c) DΛNDELION
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Re: moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Jeu 18 Juil 2019 - 20:04
« moitié lame moitié soie »
Chevelures dénouées. Étreintes brulantes. Alchimie de vos échanges passionnés. Paroxysme de l’amour. Tu ris à sa remarque, les joues légèrement rosées par l’effort. Tu l’embrasses délicatement tout en l’entourant de tes bras. Soudain, toute lumière cesse, l’eau s’arrête de couler. Rien. Sourcils froncés sur ton visage de loutre, tu nages jusqu’au rebord de la piscine tandis que ton épouse te conseille de t’habiller. Tu mets ses indications à profit. Tu as peur de comprendre … Les Niffleurs. Satanées petites bestioles pourtant si douces à admirer. Évidemment tu as laissé ta baguette dans la salle où tu étudiais tout à l’heure. Un Sortilège de Lumière aurait permis de mieux s’orienter dans l’obscurité ambiante. Tant pis, il faudra faire sans. Tu poses tes mains un peu partout, là où tu peux trouver une quelconque prise.
Sous l'impulsion de la belle Blackwood, tu lui prend la main et soupire. « Écoute » murmures-tu dans le silence maintenant bien installé. Au loin le couinement caractéristique de ces boules de poils sombres duquel tu te rapproches sans bruit pour enfin saisir Victor par ses pattes arrières. La petite bête laisse alors tomber de sa poche ventrale plusieurs pierres précieuses qui viennent frapper le sol. « Ils ont dû s’emparer des joyaux qui ornaient les thermes … » Encore dans l’obscurité, tu finis par avancer doucement et enfin attraper le levier qui réactive en l’instant les étincelles lumineuses et les jets d’eaux. Tu te tournes vers la tornade que tu gratifies d’un sourire. « Je suis certain que Victor est le fautif. Il a dû entrainer Violette. » Un cri se fait entendre dans la salle, ton compagnon de longue date te fais des signes de contestation, parviens à se glisser hors de tes mains pour se diriger derrière la jambe d’Evelyn. « Je ne vois pas Violette … »
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Re: moitié lame moitié soie x kashlyn (hot)
Jeu 18 Juil 2019 - 21:09
moitié lame,
moitié soie
moitié soie
Kashlyn
À la manière d’un récit fantaisiste, les lumières et les chutes d’eau cessaient de fonctionner, plongeant ainsi le couple de jeunes mariés dans le noir absolu. Le goût de l’inconnu et de l’aventure pulsait dans ses veines, les pupilles un peu plus dilatées et cette risette d’enfant, admirative face aux choses naturelles, Evelyn vibrait facilement face aux mésaventures, aux péripéties. Lentement, elle s’aidait de la paume bienveillante de Kashmiri pour sortir du bain, enfilant rapidement ses vêtements, le tout accompagné d’une once de maladresse. Plongée dans l’obscurité, elle tentait de retrouver sa baguette, sans succès, alors de ses paumes humides, la tornade imitait les gestes de Kashmiri dans l’espoir secret de mettre la main sur l’artéfact. Puis, suite au signal lancé par le Libanais, elle le suivait, celui-ci attrapait Victor par les pattes et de sa poche, sortaient les joyaux qui alimentaient la pièce ensorcelée. Immédiatement, en les remettant, tout revenait comme avant. « Quelle idée de les avoir emmené… » Les orbes qui roulaient, elle finissait par sourire Evie, en sentant Victor grimper le long de sa jambe potelée, remontant jusqu’à son épaule en jouant l’innocent, de quoi attendrir le coeur de l’ouragan Blackwood. « Tant qu’on ne retrouve- » Phrase interrompue par une nouvelle coupure, les plongeant dans le noir pour la seconde fois. « Tu vois, Victor est dans mes mains. » Les bestioles étaient attirées par ce qui brillait, dont les pierres précieuses et il suffisait qu’il y en ait une très petite quantité pour les perdre.
S’approchant, silencieusement, Evelyn attrapait Violette, qui tentait de s’échapper avec les pierres brillantes, plus grosses qu’elle. « Te voilà ! » Petits couinements qui troublaient la libraire, faible face aux créatures, alors elle n’était pas la meilleure pour les disputer. Alors, la rêveuse laissait la tâche à son mari, lui qui avait davantage l’habitude de gronder Victor, même si elle savait qu’il ne l’écoutait pas réellement. Les coupables trouvés et les thermes actifs, elle glissait ses ongles contre sa chevelure brune, de manière à discipliner sa tignasse courte. « On rentre ? » Les niffleurs allongés comme des sacs sur ses épaules, prêt à s’endormir, elle glissait sa main dans celle de Kashmiri et ils passaient de nouveau vers la salle de classe pour prendre les affaires manquantes. Enfin, les mariés rentraient à pied jusqu’à leur appartement, main dans la main, toujours le sourire aux lèvres et la conversation facile, les regards fusionnés, l’alchimie pure et dure entre ces deux amoureux. Idylle puissante, mélange d’amour et d’affection, ils s’étaient bien trouvés, Evelyn et Kashmiri, même si l’orage frappait, même si les opposés se confrontaient, ils n’en restaient pas moins une symbiose parfaite, un couple lié et solide. Et bientôt, futurs parents, prêts à accueillir leur premier enfant, petit extraterrestre inattendu mais ce n’était qu’un événement joyeux, visant à compléter le bonheur attribué par leur union récente.
S’approchant, silencieusement, Evelyn attrapait Violette, qui tentait de s’échapper avec les pierres brillantes, plus grosses qu’elle. « Te voilà ! » Petits couinements qui troublaient la libraire, faible face aux créatures, alors elle n’était pas la meilleure pour les disputer. Alors, la rêveuse laissait la tâche à son mari, lui qui avait davantage l’habitude de gronder Victor, même si elle savait qu’il ne l’écoutait pas réellement. Les coupables trouvés et les thermes actifs, elle glissait ses ongles contre sa chevelure brune, de manière à discipliner sa tignasse courte. « On rentre ? » Les niffleurs allongés comme des sacs sur ses épaules, prêt à s’endormir, elle glissait sa main dans celle de Kashmiri et ils passaient de nouveau vers la salle de classe pour prendre les affaires manquantes. Enfin, les mariés rentraient à pied jusqu’à leur appartement, main dans la main, toujours le sourire aux lèvres et la conversation facile, les regards fusionnés, l’alchimie pure et dure entre ces deux amoureux. Idylle puissante, mélange d’amour et d’affection, ils s’étaient bien trouvés, Evelyn et Kashmiri, même si l’orage frappait, même si les opposés se confrontaient, ils n’en restaient pas moins une symbiose parfaite, un couple lié et solide. Et bientôt, futurs parents, prêts à accueillir leur premier enfant, petit extraterrestre inattendu mais ce n’était qu’un événement joyeux, visant à compléter le bonheur attribué par leur union récente.
(c) DΛNDELION
(Je pense qu'on peut terminer le sujet, dis-moi ce que tu en penses. )