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- InvitéInvité
(mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Sam 6 Juin 2020 - 10:52
seront nôtres, la sérénité en sera l’apôtre
Laelia était partie en avance du domicile, embrassant une dernière fois Mirko en lui adressant quelques mots légers, propres à eux. Une touche récréative avant de passer aux choses sérieuses, le temps d’une étreinte, de quelques plaisanteries glissées, avant que la belle se rende sur le lieu du mariage. Ils avaient privatisé un terrain avec un château et une salle à part, dont les préparatifs étaient en train de s’achever, sous les regards critiques de Franca et Agneas. C’était à l’étage du château que l’orchidée retrouvait ses demoiselles d’honneur : entre les coiffeuses, maquilleuses et les portants de vêtements, elle ne pouvait pas s’empêcher de sourire. Ainsi débutèrent les préparatifs, dans la joie et la bonne humeur, bien qu’elle avait un peu l’estomac noué. L’appréhension qui se mêlait à l’excitation de réaliser un de ses projets de vie. Il s’agissait là d’une situation proche du rêve et même si les filles lui changeaient les idées, Laelia écoutait d’une oreille distante, songeant au chemin parcouru, à la suite, au futur se dessinant à l’horizon. Ainsi, tout semblait à sa place, ils s’étaient trouvés, les âmes écorchées, pour mieux être rafistolées. Au fond, ils étaient faits pour être ensemble, Laelia et Mirko, cette pensée ayant été confirmée il y a un long moment, désormais. Rien n’avait été tout rose, mais pour autant, l’on mettait une pointe d’honneur pour cette fin délicate, heureuse, les cœurs parsemés de sentiments positifs.
Enfin, lorsque les invités étaient installés dans la salle de cérémonie, au rez-de-chaussée, les demoiselles escortaient la mariée avant de s’installer. Tous étaient prêts à accueillir la nymphe, vêtue de sa plus belle parure immaculée. Ayant pour habitude de défiler, son arrivée se passait parfaitement bien, une démarche précise, sensuelle, les mires azurés rivés sur Mirko qui l’attendait. Touchée par la présence de leurs proches, elle était davantage concentrée sur son époux, somptueusement apprêté (pour une fois). Ce fut le temps d’une vingtaine de minutes, pour la cérémonie et l’échange des vœux, des alliances, concluant cette union sous un tonnerre d’applaudissements, des mots doux glissés à l’encontre de son mari, des baisers et un lancé de pétales à la sortie du château, dans la joie, la bonne humeur. La fête prenait place dans une bâtisse à deux pas du lieu de cérémonie : là-bas tenait un large buffet avec une immense table, permettant à tous de s’installer ensemble, de ne séparer personne. Pas de service, ici l’on mangeait lorsqu’on le désirait, bien que le dessert était la pièce la plus attendue de ce mariage, à n’en pas douter. L’orchidée, elle, avait changé de robe une nouvelle fois, d’un coup de baguette et les mariés ouvraient la soirée, une danse sur Eternal Flame et des sourires lancés, les regards qui se perdaient dans l’autre. « On pourrait s’éclipser et s’envoyer en l’air, amor. » Qu’elle murmurait contre ses lèvres, laissant aller un de ces rires malicieux, teintés de farce et de légèreté. Puis, lorsque la danse prit fin en toute complicité et que les convives se dispersaient, pour danser, manger ou échanger, la brune, elle, restait un instant dans les bras de son mari. Quelques danses, les yeux dans les yeux, sereine, apaisée, puis quelques mots susurrés. « Je suis enceinte de deux mois... »
Enfin, lorsque les invités étaient installés dans la salle de cérémonie, au rez-de-chaussée, les demoiselles escortaient la mariée avant de s’installer. Tous étaient prêts à accueillir la nymphe, vêtue de sa plus belle parure immaculée. Ayant pour habitude de défiler, son arrivée se passait parfaitement bien, une démarche précise, sensuelle, les mires azurés rivés sur Mirko qui l’attendait. Touchée par la présence de leurs proches, elle était davantage concentrée sur son époux, somptueusement apprêté (pour une fois). Ce fut le temps d’une vingtaine de minutes, pour la cérémonie et l’échange des vœux, des alliances, concluant cette union sous un tonnerre d’applaudissements, des mots doux glissés à l’encontre de son mari, des baisers et un lancé de pétales à la sortie du château, dans la joie, la bonne humeur. La fête prenait place dans une bâtisse à deux pas du lieu de cérémonie : là-bas tenait un large buffet avec une immense table, permettant à tous de s’installer ensemble, de ne séparer personne. Pas de service, ici l’on mangeait lorsqu’on le désirait, bien que le dessert était la pièce la plus attendue de ce mariage, à n’en pas douter. L’orchidée, elle, avait changé de robe une nouvelle fois, d’un coup de baguette et les mariés ouvraient la soirée, une danse sur Eternal Flame et des sourires lancés, les regards qui se perdaient dans l’autre. « On pourrait s’éclipser et s’envoyer en l’air, amor. » Qu’elle murmurait contre ses lèvres, laissant aller un de ces rires malicieux, teintés de farce et de légèreté. Puis, lorsque la danse prit fin en toute complicité et que les convives se dispersaient, pour danser, manger ou échanger, la brune, elle, restait un instant dans les bras de son mari. Quelques danses, les yeux dans les yeux, sereine, apaisée, puis quelques mots susurrés. « Je suis enceinte de deux mois... »
design ϟ vocivus
Laelia se prépare avec ses demoiselles, se marie avec Mirko et ouvre la fête avec une danse à deux. Ensuite, les invités se dispersent : c'est l'occasion de manger, danser et échanger avec les invités.
- Favorisez les réponses courtes avec un résumé.
- Pas d'invités surprises ou de +1.
- Le mariage prend place sur une propriété privée, avec un château et une salle à quelques pas. C'est en fin de journée, le soleil est plus doux. Il va durer toute la nuit.
- Il n'y a qu'une grande table pour tous les invités et un grand buffet, pour pouvoir tous être ensemble.
- Les discours et autres surprises auront lieu lors du découpage du gâteau.
- Amusez-vous, sans dramas (inutiles). C'est un moment joyeux, célébrant l'amour, on veut que ça se passe bien.
De plus, il s’agit de notre dernier rp sur le forum avec Mirko, on compte sur votre compréhension pour que ça se passe bien, sans drama. ♡
Prochain tour le 15
Prochain tour le 15
Les invités : Demoiselles : @Adalia Blackthorn (+ témoin) ; @"Raphaël Axton" ; @Aura Dalgaard ; @Alice Hangbé
@Darcy Trafalgar
@Ymkje De Booij
@Mercy Donovan
@Azazel Alighieri
@Dhan Chaffinch
@Alex Nightingal & @Oscar Hangbé
@Tiki Tamaharu
@Vitoreia Gallo
@Evandro Delgado
@Terrence Bishop
@Sebastian Donovan & @Ekwensu Hangbé
@Soledad Ruiz
@Sayanel Fra Daggry
PNJ : Les potes beauf de Mirko & l'équipe Lilium & Agneas Muller & Franca & Sasha Muller & @Jacob Hangbé
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Dim 7 Juin 2020 - 11:34
Les préparatif furent l'affaire de quelques semaines. Si certains couples planifiaient la chose jusqu'à un an en amont, vous décidiez de sauter le pas avant l'été. L'envie de profiter des meilleures heures de la vie de couple s'imposait au dessus du reste et ce d'autant plus que l'année fut rude pour vous deux. Des débuts houleux de votre relation jusqu'à la vengeance sanglante de l'oncle Lazaro, il apparaissait évident de marquer le retour du calme et de la sérénité par un acte à ce point symbolique.
Pour toi, le mariage était une évidence. Tes mœurs traditionnelles impliquaient d'épouser la femme avec laquelle tu prévoyais de vivre et fonder une famille. C'était tout bonnement l'ordre des choses, à croire que les grandes heures du vampire Mirko étaient définitivement à ranger sur l'étagère des reliques du passé. Rien n'était moins sûr, mais tu aimais à le croire (et pour l'heure, c'était suffisant).
Cette dualité propre à ta personne, entre homme et ombre, ne disparaîtrait probablement jamais. L'on t'a fait tourmenté et tourmenté tu resteras. Tu estimais néanmoins mériter cette rédemption.
Laelia entra dans ta vie comme un météore rayant le ciel pour se fracasser contre les ruines de ton précédent mariage. Tu n'étais pas prêt, à ce moment là, et elle non plus. Cela aurait pu mal tourner mille fois (cela a mal tourné quelques fois). Vous auriez pu vous haïr, vous entre-déchirer, mais le hasard et les circonstances décidèrent du contraire. Aujourd'hui, vous promettez amour et fidélité éternelle, les yeux dans les yeux. Mais tu es heureux et c'est ce qui compte.
Tes collègues insistèrent pour célébrer ton enterrement de vie de garçon (de manière ironique, puisqu'il s'agissait d'un second mariage) peu de temps après votre retour du Texas. Ces quelques jours passés à sillonner les routes à moto et à picoler te rappelèrent tes jeunes années.
Tu confirmais inconsciemment ton choix, à force de te perdre dans l'ébriété (jamais totale puisque ta nature te permet de récupérer efficacement des effets de l'alcool). La vie dissolue n'était décidément pas pour toi. Tu réalisais combien un quotidien rangé te manquait et combien les errances adolescentes (c'est à dire les fêtes qui vous consument plus qu'elles ne vous divertissent) sont une perte de temps. Cela dit, tu appréciais de passer un moment « entre hommes », car l'on sait que tu portes l'amitié en haute estime (amitié et engagement sont deux formes de loyauté).
Le jour J, tu interrogeais une énième fois Laelia sur le déroulé de la cérémonie. C'est elle qui avait tout organisé (ce que tu désignais sous l'expression générale des « affaires de femme »). Assurément, ta position était la plus confortable. A ce titre, tu étais moins nerveux que pour ton premier mariage, car l'expérience t'avais permis de comprendre qu'il s'agissait d'abord et avant tout du jour de la mariée (et aussi parce-que tu n'étais plus un jeune homme).
Tu laissais cependant Laelia rejoindre le château, puisque la tradition exigeait que les mariés ne se voient pas avant la cérémonie. Il était grand temps de vous préparer. Tu passais donc le costume qu'elle avait choisi pour toi (on connaissait ton rapport à la mode) et rejoignais tes camarades masculins qui attendaient de te récupérer pour faire le trajet.
Le reste se déroula comme une partition bien écrite. Laelia apparut dans une robe de dentelle à l'aspect virginal et tentateur (ce qui la définissait bien). Tu l'avisais comme elle approchait l'autel, l'air parfaitement serein, un regard plein d'affection pour cette jeune femme que tu t'étais pris à aimer.
En cet instant, tu oubliais la déception aigre provoqué par l'absence de ta fille sur le banc des invités, toujours révoltée contre votre union (quand bien-même batailler serait vain, à ce stade). Tu aurais voulu qu'elle soit là, car elle était ta fille et tu étais son père et ce moment comptait pour toi. Tu aurais voulu qu'elle le comprenne et fasse abstraction de sa colère, pour un jour, simplement pour le geste. Mais non : tant-pis.
Tu laissais cette émotion de côté et prononçais tes vœux le cœur entièrement tourné vers ta femme. L'échange des alliances, un baiser pour sceller l'union et vous voilà mariés. La cérémonie laissait place aux festivités. Tu retrouvais Laelia pour ouvrir le bal avec la première danse (tradition oblige), non sans moquer sa coquetterie qui l'amenait à changer régulièrement de tenue (coquetterie dont on savait qu'elle te paraissait charmante, au fond).
Ses taquineries t'arrachèrent un sourire en coin assorti d'un de ces regards de lion paresseux que tu avais lorsque tu considérais de répondre ou non à une provocation. En revanche, l'annonce de sa grossesse t'arracha une sincère expression d'étonnement. Tu souriais en interrompant la danse.
« Really ? Un rire rauque et sourd s'arracha du fond de ta gorge, comme tu la soulevais pour la faire tourner deux fois. Shit... Il faut que je boive quelque chose.
Finissais-tu par conclure après une énième déclaration d'amour et un énième baiser. Le printemps s'installait donc définitivement sur vos heures, les généreuses floraisons annonçant déjà de beaux fruits. Tu finissais par rejoindre l'espace dédié aux boissons, une fois la source de toutes les expressions de la joie asséchée, afin de te servir un grand verre de vodka.
Pour toi, le mariage était une évidence. Tes mœurs traditionnelles impliquaient d'épouser la femme avec laquelle tu prévoyais de vivre et fonder une famille. C'était tout bonnement l'ordre des choses, à croire que les grandes heures du vampire Mirko étaient définitivement à ranger sur l'étagère des reliques du passé. Rien n'était moins sûr, mais tu aimais à le croire (et pour l'heure, c'était suffisant).
Cette dualité propre à ta personne, entre homme et ombre, ne disparaîtrait probablement jamais. L'on t'a fait tourmenté et tourmenté tu resteras. Tu estimais néanmoins mériter cette rédemption.
Laelia entra dans ta vie comme un météore rayant le ciel pour se fracasser contre les ruines de ton précédent mariage. Tu n'étais pas prêt, à ce moment là, et elle non plus. Cela aurait pu mal tourner mille fois (cela a mal tourné quelques fois). Vous auriez pu vous haïr, vous entre-déchirer, mais le hasard et les circonstances décidèrent du contraire. Aujourd'hui, vous promettez amour et fidélité éternelle, les yeux dans les yeux. Mais tu es heureux et c'est ce qui compte.
Tes collègues insistèrent pour célébrer ton enterrement de vie de garçon (de manière ironique, puisqu'il s'agissait d'un second mariage) peu de temps après votre retour du Texas. Ces quelques jours passés à sillonner les routes à moto et à picoler te rappelèrent tes jeunes années.
Tu confirmais inconsciemment ton choix, à force de te perdre dans l'ébriété (jamais totale puisque ta nature te permet de récupérer efficacement des effets de l'alcool). La vie dissolue n'était décidément pas pour toi. Tu réalisais combien un quotidien rangé te manquait et combien les errances adolescentes (c'est à dire les fêtes qui vous consument plus qu'elles ne vous divertissent) sont une perte de temps. Cela dit, tu appréciais de passer un moment « entre hommes », car l'on sait que tu portes l'amitié en haute estime (amitié et engagement sont deux formes de loyauté).
Le jour J, tu interrogeais une énième fois Laelia sur le déroulé de la cérémonie. C'est elle qui avait tout organisé (ce que tu désignais sous l'expression générale des « affaires de femme »). Assurément, ta position était la plus confortable. A ce titre, tu étais moins nerveux que pour ton premier mariage, car l'expérience t'avais permis de comprendre qu'il s'agissait d'abord et avant tout du jour de la mariée (et aussi parce-que tu n'étais plus un jeune homme).
Tu laissais cependant Laelia rejoindre le château, puisque la tradition exigeait que les mariés ne se voient pas avant la cérémonie. Il était grand temps de vous préparer. Tu passais donc le costume qu'elle avait choisi pour toi (on connaissait ton rapport à la mode) et rejoignais tes camarades masculins qui attendaient de te récupérer pour faire le trajet.
Le reste se déroula comme une partition bien écrite. Laelia apparut dans une robe de dentelle à l'aspect virginal et tentateur (ce qui la définissait bien). Tu l'avisais comme elle approchait l'autel, l'air parfaitement serein, un regard plein d'affection pour cette jeune femme que tu t'étais pris à aimer.
En cet instant, tu oubliais la déception aigre provoqué par l'absence de ta fille sur le banc des invités, toujours révoltée contre votre union (quand bien-même batailler serait vain, à ce stade). Tu aurais voulu qu'elle soit là, car elle était ta fille et tu étais son père et ce moment comptait pour toi. Tu aurais voulu qu'elle le comprenne et fasse abstraction de sa colère, pour un jour, simplement pour le geste. Mais non : tant-pis.
Tu laissais cette émotion de côté et prononçais tes vœux le cœur entièrement tourné vers ta femme. L'échange des alliances, un baiser pour sceller l'union et vous voilà mariés. La cérémonie laissait place aux festivités. Tu retrouvais Laelia pour ouvrir le bal avec la première danse (tradition oblige), non sans moquer sa coquetterie qui l'amenait à changer régulièrement de tenue (coquetterie dont on savait qu'elle te paraissait charmante, au fond).
Ses taquineries t'arrachèrent un sourire en coin assorti d'un de ces regards de lion paresseux que tu avais lorsque tu considérais de répondre ou non à une provocation. En revanche, l'annonce de sa grossesse t'arracha une sincère expression d'étonnement. Tu souriais en interrompant la danse.
« Really ? Un rire rauque et sourd s'arracha du fond de ta gorge, comme tu la soulevais pour la faire tourner deux fois. Shit... Il faut que je boive quelque chose.
Finissais-tu par conclure après une énième déclaration d'amour et un énième baiser. Le printemps s'installait donc définitivement sur vos heures, les généreuses floraisons annonçant déjà de beaux fruits. Tu finissais par rejoindre l'espace dédié aux boissons, une fois la source de toutes les expressions de la joie asséchée, afin de te servir un grand verre de vodka.
- Résumé:
- Même chose que Laelia, sauf qu'à la fin Mirko va se servir de la vodka.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Lun 8 Juin 2020 - 10:23
| | les liens sacrés du mariage ; vitoreia & les autres |
— En voilà une situation qui m'aura surprise, un évènement que je ne m'attendais pas à voir arriver de si tôt et pourtant nous y voilà : le mariage de Mirko et sa charmante fiancée. Nous nous connaissons depuis de nombreuses années et je ne me souviens pas d'avoir vu l'homme aussi souriant que ces derniers mois; je comprends le trouble qui habitait Jolene, mais je ne peux nier que voir son père si heureux me fait plaisir. On mérite tous le bonheur après tout, non ?
J'écoute l'office religieusement, ce petit arrière-gout amère dans le fond de la gorge, souvenir de mes propres vœux, ces promesses d'éternité qui m'auront tant déçues au final, mais je leur souhaite l'amour sincère qu'ils se promettent, cet amour qui transperce leurs pupilles lorsqu'elles se rencontrent. J'aurais aimé que Jolene soit là, je sais combien cet instant est important pour Mirko, j'aurais été un soutien silencieux pour elle, je connais son opposition à cet union, elle s'est sentie trahie par le choix de son père, mais j'ai vraiment espéré que la jeune femme serait présente aujourd'hui. Voilà le temps d'applaudir les jeunes mariés (y en a au moins un des deux qui est jeune paf ) venu, la cérémonie était merveilleusement bien orchestrée, touchante et point trop longue. Merci les amis.
Les mariés ouvrent le bal, la jeune mariée changeant de tenue à chaque occasion, elle est radieuse et son bonheur fait plaisir à voir. J'observe la première danse et puis m'éclipse vers les tables fournies de victuailles, mon choix se portant en premier lieu vers un verre bien remplis de je-ne-sais-quoi, ça fera l'affaire. Légèrement à l'écart, j'observe la salle, cherchant quelques visages familier, je repère Ekwensu et Dhan, je ne serais pas totalement isolée ce soir. Une bonne nouvelle. Mon attention est captée par l'ombre du héro du jour qui approche les boissons, posant son choix sur une vodka, un choix peu étonnant.
((Tenue du jour))
Résumé : Reia s'étonne de l'absence de @Jolene Volkine , mais apprécie la cérémonie. Elle trouve @Laelia Volkine merveilleusement belle dans ses différentes tenues. Après avoir applaudit et assisté à la première danse, elle s'écliplse vers les tables dressées pour picoler un peu, ce mariage lui rappelant son propre échec marital , au loin elle repère @Dhan Chaffinch et @Ekwensu Hangbé qu'elle se promet d'aller saluer. @Mirko Volkine arrive au bar et elle lui présente officiellement ses félicitations, pointant l'importance de le voir heureux à nouveau.
(c) SIAL ; icon kawaiinekoj
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Lun 8 Juin 2020 - 12:01
Pour être honnête, tu n’étais pas sûr de faire parti de l’assemblée aujourd’hui. Ce matin encore, quand tu as récupéré le costume, ta décision n’était pas prise. Mais pour une fois, dans ta vie, tu t’es dit que fuir et ignorer la situation ne serait que plus douloureux. Car tu te doutes, au fond, que ce mariage sera un nouveau départ pour Laelia, l’éclosion d’une vie nouvelle dans laquelle tu auras tout au plus un rôle de figurant. En l’espace d’une année, ta relation avec la jeune femme s’est métamorphosée d’une haine profonde en une douce et si étrange amitié. Il a fallu quelques confessions, un soupçon d’honnêteté et à cela ajouter un peu de tendresse pour enfin vous comprendre. Tu sais tout cela fragile, et aujourd’hui plus encore, tu ne sais pas si tu es totalement prêt à y dire adieu.
Pourtant, te voilà, debout et droit dans l’assemblée, légèrement en retrait. Déjà un peu alcoolisé, un rictus plaqué sur les lèvres et ayant enfermé dans une boite de Pandore tes derniers tourments, tu tentes d’apprécier au mieux la cérémonie. Elle te l’a demandé, et par Merlin que ça te demande toute la force des Olympiens pour ne pas grimacer à la vue de Mirko et des souvenirs déplaisants qui le suivent dans son ombre. Alors c’est sur la silhouette sublime de la mariée que tes yeux se perdent, celle qui aurait pu être tienne. Tu aurais été le pire des hommes pour elle, tu le sais. Tu sais aussi la page doit être tournée et un nouveau chapitre doit commencer. Alors c’est de tout ton cœur que tu applaudis l’échange des vœux avec le reste des invités. Vous n’êtes pas bien nombreux et ça te fait réaliser que Laelia a choisi avec soin chacun de ses invités -ça te touche, un peu.
Enfin, vous progressez vers la seconde bâtisse. La nourriture t’y fait les yeux doux mais tu as le temps d’y ravir un simple petit four avant de faire bonne figure pour observer les mariés danser -une joue de hamster pendant toute sa durée. Tu aurais aimé aller voir la mariée aussitôt la danse terminée, mais ton intuition te dit que ce moment n’est pas le bon. Alors c’est aux sirènes du bar que tu réponds et laisses tes talents de barista prendre le dessus, te préparant un cocktail dont toi seul a le secret.
Pourtant, te voilà, debout et droit dans l’assemblée, légèrement en retrait. Déjà un peu alcoolisé, un rictus plaqué sur les lèvres et ayant enfermé dans une boite de Pandore tes derniers tourments, tu tentes d’apprécier au mieux la cérémonie. Elle te l’a demandé, et par Merlin que ça te demande toute la force des Olympiens pour ne pas grimacer à la vue de Mirko et des souvenirs déplaisants qui le suivent dans son ombre. Alors c’est sur la silhouette sublime de la mariée que tes yeux se perdent, celle qui aurait pu être tienne. Tu aurais été le pire des hommes pour elle, tu le sais. Tu sais aussi la page doit être tournée et un nouveau chapitre doit commencer. Alors c’est de tout ton cœur que tu applaudis l’échange des vœux avec le reste des invités. Vous n’êtes pas bien nombreux et ça te fait réaliser que Laelia a choisi avec soin chacun de ses invités -ça te touche, un peu.
Enfin, vous progressez vers la seconde bâtisse. La nourriture t’y fait les yeux doux mais tu as le temps d’y ravir un simple petit four avant de faire bonne figure pour observer les mariés danser -une joue de hamster pendant toute sa durée. Tu aurais aimé aller voir la mariée aussitôt la danse terminée, mais ton intuition te dit que ce moment n’est pas le bon. Alors c’est aux sirènes du bar que tu réponds et laisses tes talents de barista prendre le dessus, te préparant un cocktail dont toi seul a le secret.
Tiki est présent malgré une longue hésitation. Il est heureux pour Laelia malgré les nombreux souvenirs attachés à leur relation et il se doute que ce mariage sera un nouveau départ pour elle. Il va ensuite au bar et commence à préparer un cocktail de son cru, vous pouvez lui en demander un si vous voulez !
-- tenue.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mar 9 Juin 2020 - 20:57
| | je m'arrime à côté de toi. aura dalgaard & les invités |
♡ tenue ♡
on peut dire que ces deux derniers ont été chargés, autant d’événements que d'émotions. deux mariages en si peu de temps, deux bénédictions à célébrer. il ya quelques semaines, tu mariais ta plus jeune cousine, te voilà aujourd'hui, mariant ta chère amie, la belle fleur, laelia. cela t'envahit de sentiments si étranges, voir tes proches prendre leur envol comme cela, te chamboule un peu. un tournant significatif dans sa vie, qui te rend aussi nostalgique qu'heureuse. peut-être un peu peur d'y voir comme une fin, même si c'est pour entamer une nouvelle page blanche à colorier des plus belles aquarelles, c'est ce que tu lui souhaite. vous vous préparez ensemble, entre la mariée et les demoiselles d'honneur, une place qu'elle t'a offerte et qui t'as particulièrement touché. l'humeur est presque enfantine, comme un dernier temps de jeux avant de sauter le pas, tout est douceur même si une lueur un peu appréhensive se sent dans son regard. tu te prépares donc entre filles, et vous avez l'honneur de voir la splendeur de la mariée, en avant-première. un sourire tendre agrippé aux lèvres, une main réconfortante sur l'épaule, un compliment plein de sincérité. « tu es magnifique, laelia. je suis vraiment fière de toi. » enfin tous et toutes apprêtés, vous vous diriger pour la cérémonie.
magnifique moment, où les deux amants se promettent leur amour, et leur fidélité. ras-de-marée d'émotions, un trop plein qui lâche une petite perle d'eau, moins méfiante de s'ouvrir un peu, plus à l'aise avec ce plus petit comité, peut-être une atmosphère plus intime. sous les applaudissements, elle prend fin, laissant place à maintenant à la réception, ouverte par la danse des deux mariés, une danse d'amour, il ne lâchera jamais, et non plus. perdue dans la beauté de cette danse, tu te demande toi-même, si ton destin te permettra de découvrira ça aussi un jour, loin des devoirs et des jeux d'influence, un vœu d'amour rien qu'à toi. mais les voir ainsi, te donne le goût d'un bel espoir. les invités finissent par s'éparpiller, et tu fais de même. tu voudrais aller féliciter, ta belle fleur, mais elle a l'air de partager un instant précieux avec son mari, et tu ne veux pas déranger. tu n'es pas forcément à l'aise dans les endroit où il y a plusieurs personnes, tu préfères donc te poser tranquillement au bar, siroter un cocktail frais, tout en profitant de l'humeur festive. tu prends ce que tu désires boire, et regarde les âmes s'amuser sur la piste, ce qui te décoches un petit sourire, qui vivifie un peu ton manque d'expression habituel. une bien belle soirée qui s'annonce, où l'amour brille sous les étoiles.
(c) SIAL ; icon kawaiinekoj
- résumé:
- aura est un peu chamboulée par ces deux mois pleins d’émotions. elle est vraiment heureuse pour laelia, même si elle a petit pincement nostalgique. elle se prépare avec les autres demoiselles d'honneur et la mariée, profitant de ce moment d'intimité pour lui adresser quelques mots. après la cérémonie et la danse des deux mariés, elle se pose tranquillement au bar, sirotant sa boisson, tout en profitant de l'atmosphère festive.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mer 10 Juin 2020 - 12:50
Londres & le monde
Vêtu d’un costume bleu élégant, sans cravate, Azazel était au premier rang, après tout il était de la famille du marié. Il était aussi ainsi très bien placé pour immortaliser ce moment de son appareil. Son œil avisé capta le moment solennel de l’échange des vœux et l’émotion du baiser des nouveaux mariés.
La cérémonie terminée, il était temps de faire la fête. Azazel immortalisa la première danse du couple phare de la soirée avant de les laisser profiter de ce moment. L’italien aura tout le temps d’aller parler avec son cousin et son épouse durant le reste de la nuit. Pour le moment, il préférait laisser le couple profiter de la musique.
Le semi-vampire prononça quelques mots et l’appareil se réduisit à la taille d’un simple pendentif. Il gagna ensuite le bar comme par réflexe. C’était ce genre d’endroit où il se sentait bien. Il croisa alors le regard de Tiki. Il n’avait pas vu cet homme depuis longtemps et ce n’était pas du tout attendu à le croiser à ce mariage. On ne pouvait pas dire que les hommes étaient en train bon terme, bien qu’Azazel ne sache pas pourquoi. Le semi-vampire avait couché avec Tiki, il a plusieurs années maintenant, mais il avait traité son amant avec respect. Pourtant, c’était bien depuis ce jour que Tiki semblait avoir de la rancœur envers le semi-vampire.
_ Cia ! Tu me fais un cocktail ? Stasera, je ne suis pas barman. Dit-il en riant, essayant de pas faire ressortir la rancœur de son interlocuteur.
Tu es là pour le marié ou la mariée ?
- Résumé:
- Azazel prend des photos de la cérémonie et de la première dance. Puis, il rejoint @Tiki Tamaharu au bar.
- Tenue
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mer 10 Juin 2020 - 19:00
Je m'arrime à coté de toi
Le monde & Alice
La cérémonie avait été à l’image des mariés, discrètement radieuse, impeccable, sans accroc. Alice, aux cotés de Laelia, avait eu bien du mal à contenir son émotion lors de l’échange des vœux. Pourtant elle avait enchainé les noces ces derniers temps, comptaient plus de robes de bal et de cocktails dans son dressing qu’une boutique de taille normale, mais cette fois-ci était un peu différente : Elle mariait deux êtres chères à son coeur, et l’intensité des oeillades silencieuses qu’ils s’échangeaient la renvoyait à une image de l’amour maritale aussi touchante qu’inaccessible. Utopie lointaine qui ne touche que les héros des romans et les fleurs amoureuses de la nuit. Elle s’était tenue bien droite derrière la mariée, la caressant d’un regard tendre et, il fallait en convenir, passablement embué de larmes d’émotion. Dieu soit loué, son fiancé n’était pas là pour assister à cet accès de tendresse incontrôlé. Elle avait applaudi le baiser, sifflé la sortie des mariés, participé aux vivas avec enthousiasme et une voix forte, de celle qui recouvre les autres par ses intonations chantantes. Elle avait serré Laelia comme Mirko contre elle avec chaleur, sourit pour les photos, avant qu’on les amènes vers le lieu de la soirée, non loin. En coquette, Alice avait avisé les lieux avant de retourner sur ses pas, au château, dans l’une des chambres servant de vestiaires à ces dames.
Elle retrouva sans difficulté la housse blanche contenant sa robe pour la soirée, merveille couverte de tulle et de cristaux précieux, mais respectant toujours le dress code poudré et pastel de la mariée. Elle quitta ses chaussures, libérant ses orteils de la morsure avide de ces dernières -sales bêtes- , avant de s’attaquer aux nœuds qui tenaient sa robe dans son dos. D’un claquement de doigts, elle leur ordonna de couler sagement pour faire tomber le tissu au sol et puis … Rien. Ou plutôt, pas ce qu’elle attendait : elle pensait se retrouver en petite culotte dans la seconde et à la place, elle eut l’impression que la robe se faisait plus lourde sur ses bras, ses épaules. Plus rêche aussi, la soie sauvage ayant laissé sa place à une jute grossière, qui la démangeait furieusement dans le dos, sous les aisselles… Partout.
- What the f…
Elle tira sur le tissu épais, se contorsionna pour avoir accès au dos de sa robe, mais rien n’y fit : elle était coincée dedans. Elle ne pouvait même pas la passer par dessus de sa tête, le tissu plaqué contre sa taille ne passant pas au niveau de ses épaules. Avec de la soie ou une matière plus extensible, elle aurait pu tenter, mais avec cette espèce de bure diabolique, il n’y avait rien à faire. Alice pesta dans les nombreuses langues qu’elle connaissait tout en se débattant avec l’habit devant le miroir. Elle en était à la malédiction sur trois générations de la pauvre couturière de l’ensemble quand une large paire d’oreilles sur un tout petit corps passa dans son champs de vision. La sorcière alpagua l’elfe de maison d’un sifflement qui fit tourner la tête de la créature surprise. Heureusement, les manières cavalières de l’américaine s’arrêtèrent là, demandant de la voix la plus douce et calme qu’elle pouvait offrir en ces conditions, si l’elfe pouvait aller quérir une personne de Confiance pour l’aider avec un petit Problème logistique. L’elfe avait acquiescé avec un sourire respectueux avant de disparaître dans le couloir, laissant Alice assise dans sa robe insolite. Elle était toujours aussi belle, parfaitement taillé sur ses courbes mais bon sang, ce que cela pouvait gratter.
Elle ne se redressa pas quand la poignée de la porte de la chambre tourna pour s’ouvrir, se contentant de lever les yeux d’un air déjà reconnaissant vers sa sauveuse… Ou plutôt son sauveur, qui eut l’air soudainement aussi gêné qu’elle en la découvrant là, seule en robe de bure. Évidemment, il fallait que ce soit lui. Elle parvint à se composer un sourire faussement nonchalant, croisant les jambes tout en basculant les bras en arrière sur le lit. Showtime.
- Hello Baz. Je pensais que l’elfe appellerait une fille à la rescousse mais enfin, quelqu’un qui s’y connaît en rôti de dinde, ça le fait aussi.
Elle gloussa de sa propre blague, agitant ses bouclettes brunes avant de se redresser un peu avec un soupir un peu mélodramatique. Mais juste un peu.
- On a ensorcelé ma robe. Je n’arrive plus à l’enlever.
Made by Neon Demon
- résumé:
- On remercie Evan Wakefield d'avoir ensorcelé la robe de sa fiancé pour la transformer en robe de tissu rêche et impossible à ôter seule. Trop drôle. Alice se réfugie dans une chambre et demande à un elfe de l'aide... Son sauveur prend la forme de son ex, ce bon vieux Seb Donovan. Oups.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Sam 13 Juin 2020 - 19:09
(Mariage Mirlia) Je m'arrime à côté de toi
Tu ne t'attendais pas réellement à recevoir une invitation pour le mariage de Laelia. D'autant que son futur époux, tu ne pensais pas le connaître. Pourtant, alors que tu te trouves à côté de ton frère pendant la cérémonie, tu réalises que le marié, tu l'as rencontré! L'été précédent. Sans vous connaître, vous avez fêté la victoire de l'équipe américaine au soir du premier tour de la coupe du monde de Quidditch. Comme quoi, le monde est petit! Tu est, en tout cas, heureuse pour ton amie qu'elle ait trouvé quelqu'un qui la rende aussi heureuse. Parce qu'elle rayonne, Laelia! C'est visible comme le nez au milieu de la figure. Cela te donnerait presque envie de connaître le même bonheur, toi aussi. Mais c'est compliqué. Tu n'as pas encore rencontré la personne qui fasse battre ton coeur à ce point, celle qui te donnerait envie de t'arrimer, de t'encrer, de construire quelque chose.
La cérémonie terminée, tu suis tout le monde jusqu'au buffet. Si les tenues, notamment de Laelia sont chics, le buffet évoquait plus quelque chose de moins guindé qui te convient parfaitement, même si tu as fait un effort particulier pour ta tenue, portant une robe dorée moulante et sexy, mais pour autant pas non plus ultra provocante comme tu en as l'habitude. Tu prends rapidement une coupe de champagne pour trinquer avec tes proches avant d'abandonner ton frère à la jeune femme qui vient d'arriver et de t'approcher des héros du jour pour les féliciter:"Laelia! Je suis tellement heureuse pour toi! Tu es magnifique! dit-elle en serrant la jeune femme contre ton coeur. "Mirko, félicitatin! Maintenant, je peux mettre un nom sur le visage avec lequel j'ai trinqué il y a bientôt un an!" ajoutes-tu en riant.
La cérémonie terminée, tu suis tout le monde jusqu'au buffet. Si les tenues, notamment de Laelia sont chics, le buffet évoquait plus quelque chose de moins guindé qui te convient parfaitement, même si tu as fait un effort particulier pour ta tenue, portant une robe dorée moulante et sexy, mais pour autant pas non plus ultra provocante comme tu en as l'habitude. Tu prends rapidement une coupe de champagne pour trinquer avec tes proches avant d'abandonner ton frère à la jeune femme qui vient d'arriver et de t'approcher des héros du jour pour les féliciter:"Laelia! Je suis tellement heureuse pour toi! Tu es magnifique! dit-elle en serrant la jeune femme contre ton coeur. "Mirko, félicitatin! Maintenant, je peux mettre un nom sur le visage avec lequel j'ai trinqué il y a bientôt un an!" ajoutes-tu en riant.
résumé: Mercy est très heureuse pour les mariés. Cela lui ferait presque envie, d'ailleurs, de voir ce bonheur! Elle reconnait Mirko comme celui avec lequel elle a passé une soirée pendant la coupe du monde de Quidditch. Après avoir trinqué et avoir regardé la première danse, elle laisse @Alice Hangbé avec son frère et va féliciter les mariés.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Lun 15 Juin 2020 - 16:56
C'est la saison qui veut ça, probablement, mais tu es à nouveau invitée à un mariage - et pas des moindres, celui de ta bosse et néanmoins amie: Laelia. Tu as été surprise d'apprendre ses noces, mais ravie pour elle. La jeune femme méritant de trouver le bonheur et de le vivre pleinement, selon toi. Si tu avais mis le paquet pour le mariage de Lys au niveau de ta tenue, pour celui de Laelia tu as choisi de jouer dans un registre plus sobre, une robe fleurie qui joue sur la transparence accompagnée d'une paire de sandales à talons; pour la coiffure, tu as choisi de laisser tes boucles blondes lâchées sur tes épaules. La cérémonie était belle, touchante, tu as apprécié les jeux de regards des mariés, leur complicité indéniable est réjouissante à voir. Après avoir applaudis, comme tous les autres invités, les héros du jour ont ouvert le bal par une danse, Laelia changeant de robes à chaque occasion, évidemment.
Dans ton coin, tu repères quelques compères du Styx, au moins tu n'es pas totalement seule ce soir, les invités commencent à se mélanger et tu aperçois la mariée seule, mais rapidement rejointe par une jeune femme, tant pis, tu les rejoins à ton tour, t'invitant juste à côté de la mariée avec ton sourire rayonnant et cette étincelle de malice bienveillante dans le regard, « félicitation boss, t'es magnifique, tout comme ce mariage, je te souhaite tout le bonheur du monde ». La paume de la main qui accroche délicatement le bras de Madame Volkine, elle la félicite avec son enthousiasme légendaire, manque de délicatesse probable, elle sourit et s'excuse d'un geste de tête lorsqu'elle disparaît, laissant Laelia avec son amie. Dans la foule, elle reconnait aussi quelques têtes rencontrées lors du mariage de Lys, c'est bien, mais elle préfère prendre la direction du bar où elle rencontre Tiki. Regard curieux, elle lui glisse « tu m'en fais un ? » inutile de rajouter corsé, Wrath doit suffisamment la connaitre maintenant. « T'es là pour la mariée ou le marié ? »
résumé :
ym se réjoui pour @Laelia Volkine, elle la trouve magnifique, va la saluer et lui présenter ses félicitations une fois que la première danse est terminée. Elle rejoint ensuite @Tiki Tamaharu à qui elle demande un cocktail et engage légèrement la conversation avec lui.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Lun 15 Juin 2020 - 19:42
Le naturel rejoint au galop, et c’est avec un étrange confort que tu te faufiles derrière le bar. Repérer les ingrédients, faire s’entrechoquer les verres, ce sont des gestes dont tu es devenu expert. Ton oeil est calibré pour repérer les dosages parfaits, maîtriser l’exacte balance entre les différents liquides et adapter ta préparation à tes objectifs. Cela est un talent qui t’a toujours permis de passer les potions sans réellement avoir besoin d’antisèches et qui t’est toujours précieux pour tes affaires les plus sombres. Si tu n’avais pas été aussi fainéant avec les cours et un imbécile sans nom, peut-être aurais-tu pu devenir un bon potionniste. Dommage. Dans ton verre, tu verses ta préparation, une réimagination du Black Pearl, avec un peu plus de rhum, une nuance de mûres et une goutte de whiskey pur feu en plus. Parfait pour engourdir suffisamment tes sens et coudre un rictus sur ton visage pour le reste de la nuit.
Ainsi absorbé par ta tâche, tu lèves un sourcil surpris quand on te salue avec des mots italiens. Il te faut une courte seconde avant de réaliser qui est la personne devant toi. Tes gestes restent en suspens et tes yeux sont perdus sur le visage d’Azazel. Les souvenirs viennent kidnapper un instant ton esprit avant que tu puisses reprendre un semblant de contrôle. Et, si tes lèvres tremblent un peu, tu prends une gorgée de ta boisson. La nuit avec Azazel avait eu lieu quand tout ce que tu pouvais ressentir pour toi-même était un profond dégoût, inculqué avec force par la main de ton père. Il t’est difficile de séparer ce visage de ce souvenir, pourtant, aujourd’hui, tu te fais violence. Au fond, tu sais très bien qu’Azazel ne veux pas te nuire -mais la paranoïa reste profonde et te crie le contraire.
Tu vas pour lui répondre quand une sirène du Styx s’échoue elle-aussi au comptoir. Elle demande à son tour un cocktail et te pose la même question, ce qui t’arrache un rire. Du bout de ton verre, tu fais tanguer le liquide vers tes deux interlocuteurs.“Je vois que les grands esprits se rencontrent. J’imagine que pour cette fois, je peux vous partager mes talents gratuitement.” L’arrivée d'Ymkje t’a permis de de nouveau endosser ta nonchalance arrogante, elle qui pourtant se plaît à te faire des cheveux blancs au Styx. C’est qu’elle est aussi démoniaque que ton cher cousin Lorcan, malgré sa gueule d’ange.
D’un geste expert, tu fais rouler le shaker contre ta paume en songeant à ce que tu peux leur préparer. Finalement, tu le poses pour servir deux petites pintes, fouinant pour trouver de la vodka (avantage d’un mariage avec un Russe), citrons verts et autres glaçons.“J’suis pas voyant moi, je sais pas ce qui vous f’rez plaisir à vous deux donc boudez pas si jamais c’est pas à votre goût.” Fallait que tu râles, pour la forme. Ainsi, tu t'attaques à ta tâche, rapide et habitué. “Je suis là pour Laelia.” Réponds-tu enfin, évitant encore d’utiliser le mot mariée. “Mais c’que je vous fais, c’est plus un hommage pour monsieur Volkine : Moscow Mule.” Tu réserves le White Russian pour quand les invités commencent à s’endormir. Fier de ta présentation, tu places ta préparation devant les deux personnes dans un geste théâtral.
Ainsi absorbé par ta tâche, tu lèves un sourcil surpris quand on te salue avec des mots italiens. Il te faut une courte seconde avant de réaliser qui est la personne devant toi. Tes gestes restent en suspens et tes yeux sont perdus sur le visage d’Azazel. Les souvenirs viennent kidnapper un instant ton esprit avant que tu puisses reprendre un semblant de contrôle. Et, si tes lèvres tremblent un peu, tu prends une gorgée de ta boisson. La nuit avec Azazel avait eu lieu quand tout ce que tu pouvais ressentir pour toi-même était un profond dégoût, inculqué avec force par la main de ton père. Il t’est difficile de séparer ce visage de ce souvenir, pourtant, aujourd’hui, tu te fais violence. Au fond, tu sais très bien qu’Azazel ne veux pas te nuire -mais la paranoïa reste profonde et te crie le contraire.
Tu vas pour lui répondre quand une sirène du Styx s’échoue elle-aussi au comptoir. Elle demande à son tour un cocktail et te pose la même question, ce qui t’arrache un rire. Du bout de ton verre, tu fais tanguer le liquide vers tes deux interlocuteurs.
D’un geste expert, tu fais rouler le shaker contre ta paume en songeant à ce que tu peux leur préparer. Finalement, tu le poses pour servir deux petites pintes, fouinant pour trouver de la vodka (avantage d’un mariage avec un Russe), citrons verts et autres glaçons.
(jugez pas la qualité de cette réponse svp mdrr)
Tiki est perturbé par l'arrivée d'@Azazel Alighieri, le faisant remonté à des temps qu'il ne chérit pas particulièrement. Il prend néanmoins sur lui et profite de l'arrivée de @Ymkje de Booij pour reprendre le contrôle. En plaisantant, il leur fait un cocktail en se servant sans gêne dans le bar (et rends hommage à @Mirko Volkine).
-- tenue.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Lun 15 Juin 2020 - 21:28
Comme tu reçois ses félicitations, tu adresses à Vitoreia un sourire franc et sincère. Verre levé, tu trinques avec elle, avant de descendre deux gorgées de vodka. La voir en ce moment te fait très plaisir, car elle fait parti des quelques (rares) invités à te connaître depuis longtemps : l'université en l’occurrence, quand tu étudiais les forces publiques et commençais à fréquenter celle qui deviendrait ta femme. Un témoin du chemin parcouru, en somme.
« Merci Reia. Je suis content de te voir. Tu es magnifique.
Fais-tu d'un ton sympathique et (cette fois-ci) dépourvu de toute séductivité. Si votre dernière rencontre au Vampire's Night fut teintée d'un léger flirt, il va sans dire que les choses sont revenues à leur place, désormais. A ce titre, tu détournes les yeux en direction de Laelia, tandis que ton amie la complimente courtoisement.
« Oui, je suis très heureux de l'avoir rencontré. C'est une jeune femme exceptionnelle.
Le commentaire est énoncé sur le ton banal de la conversation, l'emphase n'étant pas vraiment ton genre. L'on devine néanmoins la profondeur cachée derrière ces paroles simples (et de rigueur, dans un tel contexte). Elle et toi avez des regards qui ne trompent pas, en dépit de tout ce que la nature et les conventions pourraient mettre entre vous.
A tes yeux, il y a le lien et rien d'autre : un lien presque magique (puisque ayant impliqué les crocs et le sang), au moins spirituel et désormais contractuel, matérialisé par cette alliance que vous portez respectivement au doigt. Si cela effraie certains, à toi cela plaît.
Adressant un regard empreint de sympathie à Vitoreia, tu t'abstiens néanmoins de lui souhaiter de (re)trouver son bonheur un jour, elle aussi. Quand bien-même l'intention serait là, tu n'es pas d'humeur rustre (un tel commentaire pourrait être perçu comme humiliant).
Tu t'apprêtes à poursuivre la conversation, mais une jeune femme interrompt cet élan en venant te féliciter. Tu la reconnais dès que le mot « trinquer » est prononcé. Un large sourire amusé s'installe aussitôt sur ton visage.
« Mercy, je me souviens de toi. Un rire rauque accompagne celui de la jeune femme. On s'est rencontré lors du match Irlande/Italie, à la coupe du monde. Si je me souviens bien, j'ai perdu ma mise sur celui-là.
Ajoutes-tu pour donner un peu de contexte à Vitoreia.
« Et il me semble qu'on avait parié que si l'Irlande gagnait...
Tu fais mine de réfléchir et puis comme les termes exacts de votre pari te reviennent en tête, tu décides de noyer le poisson en terminant ton verre de vodka cul-sec. En effet, l’Irlande avait gagné le match, ce soir là, ce qui signifiait que Mercy te devait effectivement sa petite culotte en dentelle. Tu te racles la gorge bruyamment d'un air vaguement embarrassé.
« Pas devant ma femme, alright ?
Que tu lui glisses en chuchotant entre tes dents serrées, avec un regard entendu qui semblait dire « on s'arrangera plus tard » (une plaisanterie idiote, bien entendu).
« Merci Reia. Je suis content de te voir. Tu es magnifique.
Fais-tu d'un ton sympathique et (cette fois-ci) dépourvu de toute séductivité. Si votre dernière rencontre au Vampire's Night fut teintée d'un léger flirt, il va sans dire que les choses sont revenues à leur place, désormais. A ce titre, tu détournes les yeux en direction de Laelia, tandis que ton amie la complimente courtoisement.
« Oui, je suis très heureux de l'avoir rencontré. C'est une jeune femme exceptionnelle.
Le commentaire est énoncé sur le ton banal de la conversation, l'emphase n'étant pas vraiment ton genre. L'on devine néanmoins la profondeur cachée derrière ces paroles simples (et de rigueur, dans un tel contexte). Elle et toi avez des regards qui ne trompent pas, en dépit de tout ce que la nature et les conventions pourraient mettre entre vous.
A tes yeux, il y a le lien et rien d'autre : un lien presque magique (puisque ayant impliqué les crocs et le sang), au moins spirituel et désormais contractuel, matérialisé par cette alliance que vous portez respectivement au doigt. Si cela effraie certains, à toi cela plaît.
Adressant un regard empreint de sympathie à Vitoreia, tu t'abstiens néanmoins de lui souhaiter de (re)trouver son bonheur un jour, elle aussi. Quand bien-même l'intention serait là, tu n'es pas d'humeur rustre (un tel commentaire pourrait être perçu comme humiliant).
Tu t'apprêtes à poursuivre la conversation, mais une jeune femme interrompt cet élan en venant te féliciter. Tu la reconnais dès que le mot « trinquer » est prononcé. Un large sourire amusé s'installe aussitôt sur ton visage.
« Mercy, je me souviens de toi. Un rire rauque accompagne celui de la jeune femme. On s'est rencontré lors du match Irlande/Italie, à la coupe du monde. Si je me souviens bien, j'ai perdu ma mise sur celui-là.
Ajoutes-tu pour donner un peu de contexte à Vitoreia.
« Et il me semble qu'on avait parié que si l'Irlande gagnait...
Tu fais mine de réfléchir et puis comme les termes exacts de votre pari te reviennent en tête, tu décides de noyer le poisson en terminant ton verre de vodka cul-sec. En effet, l’Irlande avait gagné le match, ce soir là, ce qui signifiait que Mercy te devait effectivement sa petite culotte en dentelle. Tu te racles la gorge bruyamment d'un air vaguement embarrassé.
« Pas devant ma femme, alright ?
Que tu lui glisses en chuchotant entre tes dents serrées, avec un regard entendu qui semblait dire « on s'arrangera plus tard » (une plaisanterie idiote, bien entendu).
- Résumé:
- Mirko discute avec @vitoreia gallo et @mercy donovan (et il se rappelle que cette dernière lui doit sa culotte )
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Lun 15 Juin 2020 - 22:17
Lorsque la révélation fut faite, Laelia laissait partir son mari, après avoir partagé quelques instants de joie. À ce titre, la jeune femme partageait quelques danses avec ses employés et avec Magnus, bien que ce dernier n’était pas des plus à l’aise avec la chose. Il faisait au mieux, mais c’était bien avec ses employés que l’orchidée virevoltait, au son de musiques et danses hispaniques, sensuelles ou dynamiques. Il s’agissait là d’un domaine dans lequel la poupée s’amusait : au-delà de la création de vêtements ou du violoncelle, elle faisait de la danse classique depuis de longues années, sans oublier les autres danses pratiquées. Sa tignasse virevoltait, ses pas étaient fluides et légers, mettant en avant tous ses charmes de jeune femme dans la fleur de l’âge, que ce soit le blanc immaculé jurant avec son derme basané à ses mouvements féminins, à la légèreté de sa seconde tenue. Pour autant, l’envie de manger se faisait plus présente avec le temps. Ainsi, elle laissait ses partenaires et accueillait les étreintes ainsi que les félicitations des autres d’un sourire radieux : Laelia, elle ne la perdait pas, cette risette enjôleuse, sincère, offerte à chaque interlocuteur. Mais, c’était aux côtés d’Aura que l’orchidée s’ancrait, glissant de nombreux mets végétariens dans ses mains. « Tu es sacrément belle. » Qu’elle glissait, d’une voix mesquine, puisque celle-ci portait une robe de sa collection, au même titre que de nombreux invités, affichant les tenues de sa marque. Lorsqu’elle abordait des sujets plus légers avec Aura, son regard accrochait celui de Mirko, au loin, auquel elle adressait un sourire inépuisable, teinté de malice et ces mêmes yeux d’amour qu’ils se lançaient. Elle remarquait également Tiki, qui se faisait barman et offrait des cocktails à qui le voulait. Pour cela, Laelia laissait Aura en l’enlaçant, pour avancer vers son ami (ou quelque chose comme ça). Elle avait constamment cette démarche de mannequin, la fleur, la démarche droite et féminine, ondulant des hanches, tandis que ses talons aiguilles martelaient le sol, la chevelure qui s’échouaient contre ses épaules, se soulevait par instants. Ainsi, l’orchidée trouvait sa place aux côtés de Tiki, derrière le bar, glissant sa paume délicate autour de son avant-bras, en portant l’autre à son oreille, afin de lui murmurer quelques mots. « J’en veux bien un, sans alcool. » Ce n’était pas une adoratrice de la boisson, excepté quelques verres de vin et de rosé, mais avec sa grossesse, la donne changeait. « Il se pourrait que je ne puisse plus en boire durant de longs mois… » Qu’elle confiait au brun, d’un rire audible, tandis qu’elle reculait, en lui adressant un de ces regards complices, un sourire aux lèvres. « Tu me dois au moins une danse. » Qu'elle ajoutait en lui faisant les yeux doux, le rire facile lors de ces moments simples et agréables.
Laelia danse un long moment, sur des musiques hispaniques et trouve @Aura Dalgaard, après avoir remercié ceux qui sont venus la voir : @Mercy Donovan et @Ymkje de Booij. Elle va ensuite trouver @Tiki Tamaharu et lui demande à l'oreille un cocktail, en lui faisant comprendre qu'elle est enceinte, avant de lui imposer une danse, lorsqu'il le voudra.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mer 17 Juin 2020 - 21:42
Sayanel avait failli arriver en retard, étourderie caractéristique. Il était parvenu à entrer à l'Eglise avant la mariée, et en toute discrétion, efficacité notable.
Vêtu d'un costume sombre et bien taillé, ses longues boucles tombant sur ses épaules, il était resté dans l'ombre durant la cérémonie, assis dans un coin, au fond de la salle, presque invisible.
Sayanel détestait l'amour. Enfin, il préférait le détester plutôt que de s'y laisser prendre, aussi pouvait-il être étrange pour quiquonque le connaissait un minimum de le voir assister à un mariage, l'incarnation même de ce sentiment, et de paraître presque ému. C'était en effet étrange, tout comme leur amitié avec Mirko. Les deux hommes n'avaient guère en commun, pour ne pas dire rien, et pourtant le quarantenaire faisait partie des rares personnes en qui il vouait une confiance absolu, pour avoir eu sa vie entre ses mains tant de fois.
C'est pour cette amitié si atypique qu'il était venu, parce que s'il méprisait l'amour pour mieux le tenir éloigné, il pouvait bien faire une exception pour son équipier de temps d'années, ce compagnon de beuverie, cet homme avec qui il avait traversé les pires dangers, et qu'il savait si torturé.
Aujourd'hui il semblait heureux, et cela fit naître un fin sourire sur les lèvres de Sayanel, qui y voyait là la fin d'une période, mais aussi tout au fond, un message d'espoir.
D'un point de vue objectif la cérémonie avait été réussie, la mariée était superbe, la salle élégantes, les voeux ni trop longs, ni trop courts, ni trop émotifs, ni trop impersonnel. Mirko était un traditionnel, et le mariage avait été réalisé dans les règles de l'art, il n'y avait aucun doute là-dessus.
A la sortie, il ne s'attarda pas, et se dirigea vers la salle de récéption tandis que les photos étaient prises au milieu des cris d'émerveillements des proches et des jeunes femmes qui se rêvaient à la place de la mariée. Ridicule pensa un instant Sayanel avant de repousser son sarcasme, tenant à rester accepssible ce soir là.
Une fois arrivé dans la salle de réception, il s'était immédiatement dirigé vers le bar, commandant comme toujours un whisky, et observant les invités envahir l'espace alors que le soleil déclinait. Il apprécia les courbes, les traits et les regards avant de se focaliser sur les mariés dansant en harmonie au milieu de la piste et sur une musique douce.
Sayanel était un observateur, il aimait regarder les foules et déduire la vie et les relations de chacun, touchant souvent juste. Deux whiskys plus tard, il se dirigea vers Mirko, qui buvait un vodka en discutant avec deux femmes, dont une qu'il reconnaissait comme la professeur de théâtre. Arrivé à sa hauteur, il posa sa large main sur l'épaule de son ami et commenta avec un sourire sincère.
« Bonne chance pour cette mission mon vieux, le mariage c'est probablement plus dangereux que tout ce qu'on a affronté. Puis repoussant une mèche derrière son oreille, il ajouta plus bas, avec pudeur, J'aime te voir heureux, je te souhaite le meilleur, sincèrement. Enfin, il releva la tête, l'air malicieux, et commanda ce qu'ils prenaient toujours lors de leurs soirées au bar et tendit son verre au tout nouveau marié, For old time sake ! »
Vêtu d'un costume sombre et bien taillé, ses longues boucles tombant sur ses épaules, il était resté dans l'ombre durant la cérémonie, assis dans un coin, au fond de la salle, presque invisible.
Sayanel détestait l'amour. Enfin, il préférait le détester plutôt que de s'y laisser prendre, aussi pouvait-il être étrange pour quiquonque le connaissait un minimum de le voir assister à un mariage, l'incarnation même de ce sentiment, et de paraître presque ému. C'était en effet étrange, tout comme leur amitié avec Mirko. Les deux hommes n'avaient guère en commun, pour ne pas dire rien, et pourtant le quarantenaire faisait partie des rares personnes en qui il vouait une confiance absolu, pour avoir eu sa vie entre ses mains tant de fois.
C'est pour cette amitié si atypique qu'il était venu, parce que s'il méprisait l'amour pour mieux le tenir éloigné, il pouvait bien faire une exception pour son équipier de temps d'années, ce compagnon de beuverie, cet homme avec qui il avait traversé les pires dangers, et qu'il savait si torturé.
Aujourd'hui il semblait heureux, et cela fit naître un fin sourire sur les lèvres de Sayanel, qui y voyait là la fin d'une période, mais aussi tout au fond, un message d'espoir.
D'un point de vue objectif la cérémonie avait été réussie, la mariée était superbe, la salle élégantes, les voeux ni trop longs, ni trop courts, ni trop émotifs, ni trop impersonnel. Mirko était un traditionnel, et le mariage avait été réalisé dans les règles de l'art, il n'y avait aucun doute là-dessus.
A la sortie, il ne s'attarda pas, et se dirigea vers la salle de récéption tandis que les photos étaient prises au milieu des cris d'émerveillements des proches et des jeunes femmes qui se rêvaient à la place de la mariée. Ridicule pensa un instant Sayanel avant de repousser son sarcasme, tenant à rester accepssible ce soir là.
Une fois arrivé dans la salle de réception, il s'était immédiatement dirigé vers le bar, commandant comme toujours un whisky, et observant les invités envahir l'espace alors que le soleil déclinait. Il apprécia les courbes, les traits et les regards avant de se focaliser sur les mariés dansant en harmonie au milieu de la piste et sur une musique douce.
Sayanel était un observateur, il aimait regarder les foules et déduire la vie et les relations de chacun, touchant souvent juste. Deux whiskys plus tard, il se dirigea vers Mirko, qui buvait un vodka en discutant avec deux femmes, dont une qu'il reconnaissait comme la professeur de théâtre. Arrivé à sa hauteur, il posa sa large main sur l'épaule de son ami et commenta avec un sourire sincère.
« Bonne chance pour cette mission mon vieux, le mariage c'est probablement plus dangereux que tout ce qu'on a affronté. Puis repoussant une mèche derrière son oreille, il ajouta plus bas, avec pudeur, J'aime te voir heureux, je te souhaite le meilleur, sincèrement. Enfin, il releva la tête, l'air malicieux, et commanda ce qu'ils prenaient toujours lors de leurs soirées au bar et tendit son verre au tout nouveau marié, For old time sake ! »
- Résumé:
- Sayanel arrive pile à l'heure et assiste à la cérémonie dans l'ombre, il est touché par le bonheur de son ancien équipier, et ce malgré sa relation compliquée avec l'amour. Il se rend ensuite directement à la salle de réception et prend un whisky au bar en observant les invités et la danse des mariés. Il va ensuite voir @Mirko Volkine et plaisante avant de lui souhaiter le meilleur et de lui proposer un verre.
-Tenue-
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Jeu 18 Juin 2020 - 7:18
Polby aimait bien les jours comme celui-là, ceux où le travail du maître Donovan exigeait une paire de mains supplémentaire — souvent celle de Polby — pour une occasion spéciale et sans lien aucun à leurs engagements Hungcalfiens. Oh attention, Polby était toujours heureux de pouvoir se rendre utile auprès des étudiants, de ses semblables et tout particulièrement de son maître, mais il s’ennuyait parfois des clients du restaurant avec leurs drôles de costumes, puis aussi des visites impromptues dans des foyers éloignés, en quête de quelques ingrédients précis que l’ancien maître Saouli lui réclamait. Le maître Donovan lui, ne demandait jamais à Polby de faire les commissions, le maître disait qu’il préférait garder Polby dans son giron, par crainte qu’on ne lui fasse une meilleure offre pour ses services, quoique Polby n’était pas bien certain de comprendre de quelle offre ou de quels services il fut question ?
Toujours est-il qu’après avoir finement déposé les derniers éclats d’or et autres branchages pastels sur le fabuleux cake au miel préparé la veille — avec deux ou trois binômes d’elfes supplémentaires — le maître Donovan avait accordé son congé à Polby, une véritable récompense pour Polby donc, lui qui s'estimait choyé de pouvoir désormais se joindre aux équipes du château afin de servir davantage tous ces bons sorciers réunis pour l’heureux événement !
Le maître Donovan avait le chic de faire plaisir à Polby, bien que Polby ne travaillait pas toujours aussi fort que ses confrères, du genre de ceux qui assemblait déjà les premiers plateaux de service du grand buffet à venir. Soucieux de faire honneur à son privilège quotidien, Polby avait quand même rapidement mit la main à la pâte, obéissant spontanément aux commandements d’une vieille dame — au chignon un peu étrange — et qui avait réclamé que Polby procède à la distribution de lessive propre à toutes les chambres de l’établissement, en prévision d'accueillir « les sorciers trop bourrés pour transplaner », comme elle l’avait bien pris la peine de le préciser à Polby.
Tant mieux, Polby aimait beaucoup l'odeur fraîche de lavande qui émanait des draps pliés, tout autant que Polby appréciait visiter ces luxueuses chambrées qui ne ressemblaient en rien aux dortoirs de l’Université, bien que les sifflements d’une demoiselle soient rapidement venus lui chatouiller la pointe des oreilles, tout pareil que lors des balades de Polby sur le campus. Inexplicablement, une jeune sorcière avait tenté d’enfiler une version taillé sur mesure des habits de jute que Polby et ses acolytes avaient l’habitude de porter, ce qui avait évidemment suffit à émouvoir le naïf Polby ; les sorciers étaient des maîtres si sensibles et bienveillants !
— Polby a bien compris, Polby revient tout de suite avec de l’aide pour la maîtresse !
L’attention présumée avait embrouillé les esprits de Polby au point où Polby avait négligé de réclamer le nom de la dite maîtresse. Qu'importe, Polby était déjà déterminé à lui offrir l'assistance du sorcier le plus charitable, le plus serviable et surtout le plus fiable qu’il connaisse ; le maître Donovan ! En un claquement de doigts, Polby s’évapora donc pour ne revenir que de longues minutes plus tard, accompagné d’un Sebastian plus médusé que volontaire.⁂
Si d’ordinaire on avait l'habitude de tirer sur les coins de son tablier pour s’accaparer son attention, c’était plutôt à l’unique bretelle de cuir — qui tombait au dos de son ensemble — qu’on était cette fois venu s’accrocher avec insistance, forçant ainsi le trentenaire à un volte-face qui devait le détourner du bar où il se dirigeait initialement en compagnie de sa soeur. Bien que Mercy eut préféré voir son frère enfiler un gilet ou un veston — lui qui détestait les coupes étriquées des costumes trop formels — la jeune femme avait soigneusement sélectionné une boutonnière et un noeud papillon aux tons chauds pour son aîné, de quoi faire honneur à la robe dorée qu’elle avait elle-même enfilé pour l'occasion. Enfin, constatant que c’était son dévoué sous-chef qui réclamait un entretien — puis craignant une problématique en lien avec le dessert dont il avait la charge — le chef avait signalé à sa frangine qu’il viendrait la rejoindre dès que possible, en exigeant qu'on lui garde un verre au frais.
— Le maître Donovan doit absolument accompagner Polby au château, pour aider la maîtresse dans son déguisement d’elfe, Polby a promis ! lui intima la créature en un seul souffle, si bien que le cuistot eut grand mal à saisir le sens de la requête. Hold on, what now ? Mais pourquoi est-ce que tu traînais au château ? Good God Po’, were you helping out again ?
Le ton de l’Irlandais oscillait à nouveau entre le découragement et la magnanimitude, mais par crainte que l’elfe ne redouble d’effort pour se punir lui-même de ce qu’il aurait interprété incorrectement dans les commandements de son maître, Sebastian obtempéra rapidement.
— Fine, just take me there. dit-il en entraînant l’elfe à l’écart, se préparant déjà pour cette désagréable expérience qu’impliquait un transplanage contrôlé. But after that, you must promise to quit working and… oh I don’t know, just lay in the grass contemplating the sky for a couple hours, all right ?
Déporté au beau milieu d’un long couloir, l’aîné Donovan eut besoin de quelques secondes pour apprivoiser la réalité de ce nouveau décor, un délais soigneusement employé par Polby pour réclamer la permission de rejoindre les quartiers de cette mystérieuse invitée en détresse. Suivant l’invitation qui leur fut faite, l’ancien Wright ne tarda donc point à découvrir une Alice défavorablement vêtue d’une tenue à l'étoffe aussi brune que grossière, de quoi balayer bien vite le souvenir de cette cette robe à l’échancrure dorsale si vertigineuse qu’elle avait suffit à tenir éveillé quelques vieux potes du marié au premier rang.
- Hello Baz. Je pensais que l’elfe appellerait une fille à la rescousse mais enfin, quelqu’un qui s’y connaît en rôti de dinde, ça le fait aussi.
Le cuisiner haussa un premier sourcil, puis encore un second, ravalant les quelques répliques tout juste mordantes qui lui étaient instinctivement montées aux lèvres — entre autre à l’effet du sort qu’il réservait aux carcasses aviaires effectuant un transit par son plan de travail — tout en croisant les bras sur sa poitrine, signifiant silencieusement à l’Américaine qu’il n’était pas trop tard pour lui préférer une toute autre compagnie. Après tout, il pouvait largement se passer de la prochaine offensive que mijotait sans doute la belle, car en dépit d’un humour toujours raffiné, il était exceptionnel que celle-ci cède au piège commode de l’autodérision. Peinant à se figurer son utilité dans ce cadre particulier, il n’en demeurait pas moins que l'ancien membre du rouge et or préférait attendre qu’on lui accorde son congé, soignant inconsciemment cet orgueil qui craignait sans doute qu’une absence de bénéfices à sa présence ne marque le retour d'un sentiment d'abandon déjà trop familier. Laissant son épaule gauche s'appuyer distraitement au cadre de la porte, son regard se fixa entre temps sur cette chevelure libérée où quelques billes dorées scintillaient, un contraste marquant avec le timide chignon qui surplombait le crâne de la demoiselle tout juste une heure auparavant.
- On a ensorcelé ma robe. Je n’arrive plus à l’enlever.
L’affirmation coula aux oreilles du cuistot comme une mélodie satinée et lorsqu’il comprit enfin en quoi cette robe de bure était venue chatouiller les meilleurs pans de sa mémoire, il s'autorisa un rire franc, ajoutant instinctivement un tour aux manches de sa chemise immaculée, présumant d’une nature toute manuelle à l’aide requise.
— Un méfait que tu n’as bien évidemment pas mérité, je me trompe ? Qu’importe l’identité de l’auteur(e) de ce crime astucieux, il était évident que le trentenaire était tout disposé à s’en faire un(e) ami(e). C’mon, stand up. commanda t-il à la jeune femme, non sans lui tendre d’abord une main relativement débonnaire et destiné à soutenir son élan. Now turn. ajouta t-il encore d’un ton placidement paternaliste, espérant peut-être écorcher au passage — en plus de cette nature indépendante qu’il lui connaissait — quelques uns des grands idéaux féministes de la Grymm.
S'agrippant avec bien moins de délicatesse que son prédécesseur au “noeud” du problème, Sebastian avait quelque peu malmené l’équilibre d’Alice en déficelant grossièrement les cordages rêches qui la retenait prisonnière, puis il avait du se résoudre à poser un genou à terre, approchant ainsi de son regard une ultime boucle problématique. Ce court spectacle s’avéra — certainement doux sur l’égo de la belle déjà — heureusement être sans témoin, car en cédant, le dernier filament redevenu soie abandonna complètement les rivets de tissu qui lui étaient réservés, dévoilant encore davantage cette chaîne de vertèbres que l'aîné Donovan s’était longtemps plu à parcourir du bout des doigts. Dans l’immédiat, il ne lui restait toutefois plus que deux prunelles sombres pour en couver le tracé rectiligne jusqu’à cette nuque dont émanait bien sûr quelques délicieuses effluves de karité. Gageons que si ce n’était de cette annonce toute récente des fiançailles de la demoiselle à une autre âme qu’il estimait, l’irlandais aurait sans doute laissé quelques pensées bien moins chastes le gagner, mais il se contenta plutôt de déglutir légèrement de travers avant de tendre le segment de cordelette orphelin par-dessus l’épaule de son ancienne amante.
— Right, anything else ? souffla t-il sans attendre de remerciements, puis priant discrètement pour que le filament au cou de l’étudiante ne soit pas frappé d’un enchantement similaire. Otherwise, I have a cake waiting to be served. conclu t-il avec un peu plus de contenance, une paume déjà bien appuyé à la poignée chromé de la porte, qu'il ne manquerait pas de refermer derrière lui.
- The much NEEDED résumé...:
- Polby vit vraiment sa meilleure vie.
- Par la faute de son sous-chef bien servile, Baz abandonne sa soeur au bar et se retrouve confronté à une Alice que les bons soins d'Evan ont saucissonné dans sa robe.
- Notre vaillant sous-chef libère la belle de son vêtement, puis profite au passage de la jolie vue qu'offre ce dos dénudé.
- Baz attends sagement l'autorisation de se barrer pour pouvoir retourner à la soirée.
- Polby vit vraiment sa meilleure vie.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Jeu 18 Juin 2020 - 10:21
(Mariage Mirlia) Je m'arrime à côté de toi
Ton frère t'a lâchement abandonné pour aller au secours d'une lady. Tu as arqué un sourcil, songeant que tu irais le questionner plus tard. Mais pour l'instant, tu as mieux à faire, très clairement: à savoir aller féliciter les mariés. Tu commences par Laelia, forcément, et celle-ci te remercie rapidement avant de s'éloigner, te laissant avec son jeune (mais pas si jeune) époux. "On s'est rencontré lors du match Irlande/Italie, à la coupe du monde. Si je me souviens bien, j'ai perdu ma mise sur celui-là." Tu souris, amusée. "Raté. C'était le soir du premier match des USA. Et le pari, c'était si l'Irlande remportait la coupe du monde. Nous avons perdu contre les anglais, donc, effectivement, je te dois quelque chose." réponds-tu, restant vague tout comme lui, même si Laelia s'est éloignée, maintenant. "Pas devant ma femme, alright ?" "Pas devant ta femme, très certainement, mais est-ce vraiment à propos maintenant que tu es marié?" demandes-tu avec un clin d'oeil. Tu sais être séductrice. Tu sais jouer de tes charmes. Mais... Tu as des limites. Et les hommes que tu sais mariés sont définitivement hors limite pour toi. Surtout le jour-même de leur mariage, avec une jeune femme que tu connais, apprécie et que tu soignes.
A cet instant, un des professeurs de l'université arrive, venant féliciter l'heureux époux. Il te semble qu'il s'agit du professeur de littérature, mais sans certitude. Quoiqu'il en soit, tu le salues rapidement avant de t'éclipser, estimant que ce n'est pas ton rôle de t'accaparer les héros du jour. Du regard, tu cherches ton ainé sans le repérer et hausse les épaules, revenant vers le coin bar pour reprendre quelque chose à boire.
A cet instant, un des professeurs de l'université arrive, venant féliciter l'heureux époux. Il te semble qu'il s'agit du professeur de littérature, mais sans certitude. Quoiqu'il en soit, tu le salues rapidement avant de t'éclipser, estimant que ce n'est pas ton rôle de t'accaparer les héros du jour. Du regard, tu cherches ton ainé sans le repérer et hausse les épaules, revenant vers le coin bar pour reprendre quelque chose à boire.
résumé: Mercy corrige Mirko concernant le jour de leur rencontre, admet lui devoir quelque chose et lui demande si c'est bien à propos maintenant qu'il est marié. Elle s'éloigne après l'arrivée de Sayanel qu'elle a salué et se dirige vers le bar. Elle est dispo!
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Jeu 18 Juin 2020 - 13:55
Tu acquiesces vivement après la jeune femme, comme te reviennent les images de la soirée. La coupe du monde fut une période riche en émotion : tu assistas à de nombreux match et célébra presque toutes les victoires au milieu des autres supporters. A ce titre, la quantité de bière ingurgitée t'avais visiblement embrouillé au point de confondre ces deux soirées.
« Oui, très juste ! Le match Irlande/Italie c'était l'objet de notre pari. Répondais-tu avant de savourer une gorgée de vodka, ton regard perçant rivé dans le vague (le signe que tu réfléchissais). C'est le soir où on a eu des emmerdes avec les hooligans.
Cette anecdote là débloqua le reste de la soirée dans ton esprit. Tu te souvenais des hymnes et de ce moment où les choses commencèrent à chauffer. Tu t'étais même battu avec un supporter adverse : français ou autre (c'était un peu loin et un peu flou). En tout cas, ce dont tu es sûr, c'est que ce dernier t'avais collé un coup de poing en pleine figure et que vous aviez dû en découdre. Après, tu avais escorté Mercy jusqu'à la sortie du camping, au cas où d'autres bagarres auraient éclaté.
Concernant la plaisanterie au sujet de sa lingerie, tu te contentas de hausser les épaules.
« Non, à l'évidence.
Fis-tu avant de laisser échapper un de ces rires rauques de fond de gorge que tu avais. Marié ou non, tu n'étais pas le genre d'homme à collectionner les petites culottes (tu souffrais probablement de quelques pratiques que l'on pourrait qualifier d'étrange, mais pas celle-là). Il était donc clair que tu n'avais aucune intention sérieuse de lui réclamer ses dessous.
Enfin, tu la regardais s'éloigner avant de reporter ton attention sur Sayanel qui venait de se détacher de la masse des invités pour t'offrir un verre. De toutes tes accointances, celle-là devait être la plus insolite. La vérité, c'est que Sayanel et toi vous étiez rapproché, non pas en raison de quelques valeurs identiques ou similitude de caractère, mais bien par la force des circonstances et d'une adversité partagée. Votre association tolérait néanmoins les divergences morales perpétuelles et les discussions sans fin sur la manière dont il convenait de mener son existence. Aussi, si sa première réflexion te fit grimacer d'un air désapprobateur, tu accueillais la seconde avec un sourire chaleureux et sincère.
« Buddy, quand comprendras-tu que la vie d'un homme ne vaut rien sans une femme pour l'accompagner ?
Déclares-tu joyeusement (mais avec autorité), en faisant trinquer ton verre contre le sien. Vous différez tant l'un de l'autre que ce genre de conversations sont aussi vaines que répétitives. Pourtant, tu ne te lasses pas de policer son mode de vie dissolu en tentant de le persuader des bienfaits du modèle traditionnel de la famille et lui d'accueillir tes convictions avec autant de sarcasme que de dédain.
« Ce n'est pas dans tes bouquins que tu connaîtras le bonheur que c'est de tenir son petit dans ses bras et la femme qui a accompli ce miracle de te regarder dans les yeux.
Poursuis-tu en posant ton bras sur les épaules de ton comparse, les premiers effets de l'alcool se manifestant (apparemment) pour te rendre plus bavard.
« Oui, très juste ! Le match Irlande/Italie c'était l'objet de notre pari. Répondais-tu avant de savourer une gorgée de vodka, ton regard perçant rivé dans le vague (le signe que tu réfléchissais). C'est le soir où on a eu des emmerdes avec les hooligans.
Cette anecdote là débloqua le reste de la soirée dans ton esprit. Tu te souvenais des hymnes et de ce moment où les choses commencèrent à chauffer. Tu t'étais même battu avec un supporter adverse : français ou autre (c'était un peu loin et un peu flou). En tout cas, ce dont tu es sûr, c'est que ce dernier t'avais collé un coup de poing en pleine figure et que vous aviez dû en découdre. Après, tu avais escorté Mercy jusqu'à la sortie du camping, au cas où d'autres bagarres auraient éclaté.
Concernant la plaisanterie au sujet de sa lingerie, tu te contentas de hausser les épaules.
« Non, à l'évidence.
Fis-tu avant de laisser échapper un de ces rires rauques de fond de gorge que tu avais. Marié ou non, tu n'étais pas le genre d'homme à collectionner les petites culottes (tu souffrais probablement de quelques pratiques que l'on pourrait qualifier d'étrange, mais pas celle-là). Il était donc clair que tu n'avais aucune intention sérieuse de lui réclamer ses dessous.
Enfin, tu la regardais s'éloigner avant de reporter ton attention sur Sayanel qui venait de se détacher de la masse des invités pour t'offrir un verre. De toutes tes accointances, celle-là devait être la plus insolite. La vérité, c'est que Sayanel et toi vous étiez rapproché, non pas en raison de quelques valeurs identiques ou similitude de caractère, mais bien par la force des circonstances et d'une adversité partagée. Votre association tolérait néanmoins les divergences morales perpétuelles et les discussions sans fin sur la manière dont il convenait de mener son existence. Aussi, si sa première réflexion te fit grimacer d'un air désapprobateur, tu accueillais la seconde avec un sourire chaleureux et sincère.
« Buddy, quand comprendras-tu que la vie d'un homme ne vaut rien sans une femme pour l'accompagner ?
Déclares-tu joyeusement (mais avec autorité), en faisant trinquer ton verre contre le sien. Vous différez tant l'un de l'autre que ce genre de conversations sont aussi vaines que répétitives. Pourtant, tu ne te lasses pas de policer son mode de vie dissolu en tentant de le persuader des bienfaits du modèle traditionnel de la famille et lui d'accueillir tes convictions avec autant de sarcasme que de dédain.
« Ce n'est pas dans tes bouquins que tu connaîtras le bonheur que c'est de tenir son petit dans ses bras et la femme qui a accompli ce miracle de te regarder dans les yeux.
Poursuis-tu en posant ton bras sur les épaules de ton comparse, les premiers effets de l'alcool se manifestant (apparemment) pour te rendre plus bavard.
- Résumé:
- Mirko discute avec Mercy, puis Sayanel. Il évoque avec ce dernier sa vision de la famille.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Lun 22 Juin 2020 - 1:13
Mirlia ; Arrimage ultime
Laelia, Mirko & leurs invités
Dans un geste au moins aussi lent qu’affirmé, Ekwensu avait vérifié une dernière fois que la mince pince dorée de sa cravate se présentait dans une horizontalité quasi parfaite, s'opposant délibérément à ce foulard replié dont une extrémité pointait depuis la poche de son veston ivoiré. Peu friand des excès de vanité vide, cette dernière inspection depuis le grand miroir du vestibule servait avant tout à rendre profitable l’attente de son cadet, dont le pas mesuré pouvait déjà se faire entendre sur le carrelage de la cuisine séparant leurs appartements privés, celui-ci trahissant invariablement le passage d’un cuir italien de qualité sa surface robuste et lisse. L’attente se fit donc silencieuse et dans la mesure où l’événement mondain ciblé lui rendait la présence d’Oscar aussi appréciable qu’indispensable, le procureur fit en sorte de ne point verbaliser d’impératifs relatifs à leur horaire. Qui plus est, lui-même avait déjà été retenu pour la durée de la cérémonie — par la visite d’un émissaire de la Confédération internationale des sorciers — et n’était donc attendu que dans le cadre de la réception maritale, là où il pourrait se mêler aux esprits lourdement imprégnés des émotions de l’après-midi ; une perspective à la fois fort engageante et bien indigeste pour l’aîné des Hangbé. Cela dit, il n’enviait point davantage la position de son frère immédiat, qui avait également assisté à l’échange des voeux dans son intégralité.
Avisant enfin de la silhouette soignée de Guerre qui portait le présent familial destiné aux époux — principale cause de ce retour au temporaire à la Tribe Tower — le plaideur ministériel n’eut qu’à étendre un bras en direction de l'ascenseur pour confirmer à son inestimable frangin qu’il était tout disposé à le suivre enfin jusqu’au site des épousailles.
⁂
Sur place, le parcours des deux frères fut initialement marqué par un premier détour à la table des offrandes, là où se trouvait empilé bon nombre de boîtes, sacs et autres emballages extravagants. Puisque le présent des Hangbé se présentait sans artifices ou enveloppe décorative destinée à préserver une forme de surprise en rapport à sa nature, celui-ci détonnait quelque peu du lot déjà rassemblé, ce qui n’était évidemment pas pour déplaire à l’aîné de la fratrie.
— Espérons que Jacob n’aura pas eu l’extravagance d’une aumône toute personnelle. souffla t-il de sorte à ce que seul le diplomate à ses côtés puisse l’entendre.
Profitant de sa hauteur, le regard perçant du représentant apocalyptique de la Mort scruta la foule un moment, en quête d’une paire de prunelles vertes à qui avait été confié la meilleure moitié de la générosité associé à leur patronyme commun. Qui sait, peut-être bien que le rire contagieux de Pestilence serait le premier à se faire entendre, lui qui devait déjà profiter gaillardement des marques sensibles qu’une union sirupeuse laissaient sur le coeur des demoiselles plus impressionnables.
(c) electric bird.
- Le résumé objectif:
- Ekwensu arrive en compagnie d'Oscar à la soirée et ce, après avoir été absents de la cérémonie. Il envisage ensuite de se lancer à la recherche des éléments manquants de sa fratrie, soit Jacob et Alice.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Lun 29 Juin 2020 - 10:50
La cérémonie du mariage avait été belle, sans excès, juste ce qu’il faut. Oscar se trouvait bien loin de ce dont il avait l’habitude, il devait bien l’avouer. La cérémonie avait été réalisée de manière très privée et seuls quelques élus avaient eu l’honneur d’y être présent. C’était son cas. Seul, aux côtés de personnes qu’il ne connaissaient pas, ou de très loin seulement, le diplomate avait assisté, le regard légèrement brillant, à cet échange de vœux, tout en simplicité en en honnêteté. Une vision bien loin de ce qu’il avait lui-même vécu. Il n’oserait pas l’avouer à voix haute, mais son esprit en était toutefois convaincu : voir un mariage comme celui de Mirko et Laelia, aussi étonnant soit-il, avait quelque chose de rassurant. Il n’y avait donc pas que les mariages arrangés qui ponctuaient la vie des sorciers ! Certains s’en sortaient autrement, visiblement. Et c’était tant mieux pour eux. Cette cérémonie était rafraîchissante et accordait à l’esprit du diplomate, un repos mérité. Il n’y avait pas à gagner l’approbation d’un opposant ici, ni s’assurer d’entretenir une alliance déjà établis. C’était presque un sentiment étrange, mais qu’il appréciait bien plus qu’il n’aurait plus le penser. Les jours pré-mariage avaient été plus « délicats ». Les frères Hangbé s’étaient tous les trois assis dans la cuisine de leur Penthouse discutant du cadeau parfait à offrir aux mariés. Si le cas de Mirko avait rapidement été réglé – la cave de la famille et plus particulièrement celles des aînés étaient pleines de bouteille dignes d’une telle occasion ! – ce qui pourrait permettre d’honorer la jeune mariée était resté un mystère bien longtemps, jusqu’à ce qu’Alice vienne leur glisser une ou deux idées.
Mais ce présent, si longtemps réfléchis, était resté à la penthouse, en haut de la Tribe Tower, avec un autre invité. Et Oscar avait bien l’intention de ramener les deux à bon port, c’est-à-dire ici, auprès du bar et de cette nouvelle famille qui venait de se dire oui. L’homme quitta alors discrètement les lieux, pour mieux revenir une vingtaine de minutes plus tard auprès de son frère aîné, retenu auparavant par des affaires du ministères. Oscar avait déjà aperçu Alice, plus tôt, mais la présence du troisième chevalier Hangbé ne s’était pas faites annoncée. Peut-être était-ce pour le mieux ? Une esquisse de sourire étira les lèvres du diplomate, alors qu’il déposa une tape amicale et fraternel sur l’épaule de son frère.
- Laissons-lui le bénéfice du doute, assura-t-il. Il n’était pas question de surveiller Jacob toute la journée, d’autant plus qu’il n’était pas encore arrivé, alors rien ne pressait.
Oscar ne ferait pas l’affront à Ekwensu de lui dire qu’il avait loupé une belle cérémonie. Son frère n’était pas homme à ses choses-là, le diplomate le savait bien. Lui-même devait simplement être dans un bon jour ! Enfin, le chevalier rouge entraîna son aîné vers le bar, et récupéra lui-même un verre de champagne, le classique ne manquait pas de charme et il était bien trop tôt pour suivre le jeune marié dans sa consommation. Et tout naturellement, Oscar rejoignis le petit groupe que formait @Mirko Volkine et @Sayanel fra daggry, ne captant que la fin de la conversation, suffisamment pour rebondir dessus.
- Le tout étant de trouver la bonne femme..., laissa-t-il échapper dans un petit soupire amusé. Messieurs ! Magnifique cérémonie, Mirko, toutes mes félicitations !
Les compliments étaient sincères et mérités.
- Quelle sera donc la prochaine étape ? questionna-t-il, curieux. Il se contenterait d’un lieu de voyage de noce...
HRP : Oscar était présent à la cérémonie mais est repartie rapidement récupérer son frère et le cadeau des mariés. Il ne s’inquiète pas outre mesure de ce que pourrait faire Jacob, passe par le bar avec Ek et rejoins Mirko et Sayanel !
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Lun 29 Juin 2020 - 15:16
La cérémonie avait été belle, pleine de pudeur et de sentiments doux, à l’image du couple qui se présentait face à la foule, uni et radieux. Adalia ne pouvait prétendre ne pas avoir été émue par l’échange des voeux, témoin et demoiselle d’honneur de Laelia qu’elle considérait comme une soeur, elle s’était trouvée au premières loges de la cérémonie. Ne s’épanchant néanmoins guère dans de grandes émotions, regard légèrement brillant malgré tout, elle s’était contentée de glisser quelques mots de félicitations et aveux de tendresse à l’oreille de la mariée, étreinte douce sans être trop chaleureuse et félicitations plus expressives au marié dont elle espérait qu’il comble son amie tout au long de leur union. Les préparatifs avaient été rapides, il lui semblait que c’était quelques jours à peine avant que Laelia lui avait demandé d’être son témoin pour l’évènement qui la lierait pour le reste de sa vie à l’homme qu’elle aimait. Et maintenant, c’était fait, elle était Madame Volkine, cette pensée lui arrache un léger sourire.
Discrétion habituelle à la Blackthorn, coupe de champagne au bout des doigts, elle observe l’assemblée qui commence à se disperser, mariés occupés à divers remerciements et trouvant bien vite leurs connaissances respectives, invités ne tardant pas à former quelques groupes homogènes la madrilène se fend de quelques salutations polies mais ne prend pas la peine de s’intégrer directement à un groupe. Pourtant, son regard clair n’a pas eu de mal à remarquer quelques connaissances qui seraient d’agréable compagnie mais elle n’avait pas encore le coeur à évoquer quelques pétoffes avec eux. Elle fait bonne figure, sourire paisible sur ses lèvres maquillées mais les mariages lui laissent toujours un gout doux-amer au fond de la gorge. Sensation de nostalgie que les bulles de sa boisson ne parvenaient pas à faire disparaitre elle déposa sa coupe vide sur un des plateaux réservé avant de se glisser à l’extérieur de la salle, profitant du soleil dont les derniers rayons venaient se glisser sur sa peau nue et qui laisserait bientôt place à la douceur de ce début de soirée de juin.(tenue d'ada)
- résumé:
adalia est émue de l'union de laelia et mirko même si elle reste très pudique sur ses sentiments. elle félicite les mariés à sa manière et reste un peu à l'écart de la foule pour le moment. une fois sa coupe de champagne terminée elle sort prendre l'air
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mer 1 Juil 2020 - 12:11
Rare couple invité de concert aux festivités, Dhan et Alex avaient assisté à l’union civile, non sans émotion, avant de se mêler au reste du comité restreint des invités, quand les rayons de soleil se firent moins implacables. Ils s’étaient préparés ensemble chez le secrétaire délesté de son rejeton par une tante avide de pouponner, laissant à Dhan le loisir de s’occuper de son soyeux pelage, et de cette compagne qui n’en finissait pas d’empiéter sur son espace vital, pour son plus grand plaisir. A son habitude, la fantasque rouquine s’était beaucoup amusée à le distraire dans ses préparatif, poussant le vice jusqu’à l’embrasser, assise sur ses genoux, et le faire basculer sur le matelas pour mieux lui chaparder la salle de bain, les mettant presque en retard pour une coquetterie capricieuse. C’était que ça mettait un certain temps de coiffer l’incendie de sa chevelure, mais pas moins que de dompter une pilosité faciale aussi abondante que celle du secretaire. Finalement, ils avaient pu transplaner à temps, mains dans la main, pour prendre place dans les allées et admirer l’arrivée du marié, puis de la mariée, somptueuse dans une robe de son cru. La cérémonie était simple et de bon goût, Dhan et Alex n’avaient pu détacher leurs mains liées durant toute la cérémonie, attendris par le dénouement de cette liaison inédite qui résonnait aussi en eux, sans surprise. Alex s’était même penchée à l’oreille de son compagnon, peu après les vœux, pour lui souffler non sans malice.
- Et moi, elle est où, ma bague ?
Dhan avait souri, se penchant un peu vers sa compagne pour murmurer à son tour de sa voix grave et tranquille.
- Je crois qu’elle est restée dans la double de la veste de Whitmore.
Surprise, Alex avait retenu un gloussement qui aurait pu être bruyant et totalement déplacé dans les circonstances du moment, préférant giffler le torse de Dhan d’un revers de main, ce dernier se redressant pour suivre à nouveau la fin de la cérémonie avec un petit sourire satisfait de sa plaisanterie.
Arrivés dans le lieu de la soirée, le couple avait salué toutes les têtes connues, à fortiori celles qui avaient participé à cette étrange soirée d’Halloween, quelques mois plus tôt. Bien sur, ils étaient allés féliciter chaleureusement Mirko, puis Laelia, mais ne s’étaient pas attardés, conscients qu’ils avaient surement des proches bien plus intimes qui voulaient profiter du roi et de la reine de la nuit. Dhan avait repéré quelques têtes plus… Surprenantes, en la personne de Tiki Tamaharu notamment, ou encore de la tribu Hangbé dans son entièreté américaine, ou presque. En revanche, il avait perdu des yeux son meilleur ami, qui avait laissé sa cadette seule avec son verre. Sans une once d’hésitation, Dhan avait proposé à Alex de rejoindre Mercy, attrapant deux flutes d’alcool pétillant au passage, leur frayant un chemin jusqu’à la brunette. Or de question de laisser cette dernière jouer les pots de fleur, aussi joli l’objet décoratif serait elle ! Dhan ne l’avait pas vu dans sa parure du soir, et la complimenta avec sincérité : il était décidément fort bien entouré ce soir (bien plus que son meilleur ami présentement.)
- Et moi, elle est où, ma bague ?
Dhan avait souri, se penchant un peu vers sa compagne pour murmurer à son tour de sa voix grave et tranquille.
- Je crois qu’elle est restée dans la double de la veste de Whitmore.
Surprise, Alex avait retenu un gloussement qui aurait pu être bruyant et totalement déplacé dans les circonstances du moment, préférant giffler le torse de Dhan d’un revers de main, ce dernier se redressant pour suivre à nouveau la fin de la cérémonie avec un petit sourire satisfait de sa plaisanterie.
Arrivés dans le lieu de la soirée, le couple avait salué toutes les têtes connues, à fortiori celles qui avaient participé à cette étrange soirée d’Halloween, quelques mois plus tôt. Bien sur, ils étaient allés féliciter chaleureusement Mirko, puis Laelia, mais ne s’étaient pas attardés, conscients qu’ils avaient surement des proches bien plus intimes qui voulaient profiter du roi et de la reine de la nuit. Dhan avait repéré quelques têtes plus… Surprenantes, en la personne de Tiki Tamaharu notamment, ou encore de la tribu Hangbé dans son entièreté américaine, ou presque. En revanche, il avait perdu des yeux son meilleur ami, qui avait laissé sa cadette seule avec son verre. Sans une once d’hésitation, Dhan avait proposé à Alex de rejoindre Mercy, attrapant deux flutes d’alcool pétillant au passage, leur frayant un chemin jusqu’à la brunette. Or de question de laisser cette dernière jouer les pots de fleur, aussi joli l’objet décoratif serait elle ! Dhan ne l’avait pas vu dans sa parure du soir, et la complimenta avec sincérité : il était décidément fort bien entouré ce soir (bien plus que son meilleur ami présentement.)
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mer 1 Juil 2020 - 14:28
Je m'arrime à coté de toi
Le monde & Alice
Avec une certaine grâce, presque digne, Alice accepta l’hilarité surprise de Sebastian devant sa mésaventure. Elle ne savait pas si il s’agissait effectivement d’une intention malveillante, d’une farce malicieuse de Pestilence (parce qu’entre vous soit dit… It was kinda Jacob material), ou alors une erreur de la couturière qui avait fait les ultimes retouches. En soi, elle ne se chagrinait pas outre mesure, il n’y avait surement rien d’irréversible, si ce n’était cette perte de son temps précieux. Elle attrapa la main tendue pour se redresser, grimaçant sensiblement en sentant la toile de jute crisser sur sa peau à la matière d’un gant de crin. Heureusement qu’elle n’était pas sensible aux rougeurs … Elle haussa un sourcil face au ton presque autoritaire (mouais, à d’autres… ) du Donovan, mais s’exécuta, non sans basculer faussement nonchalamment en arrière pour s’appuyer quelques secondes contre son torse, avant de sentir ses mains s’affairer sur le tissu rêche et les cordes sèches. Elle regardait droit devant elle, se mirant paresseusement dans le miroir à pied qui lui offrait un reflet plaisant, celui de son visage soigneusement maquillé, de sa chevelure généreuse qui rayonnait autour de son front et, enfin, sans qu’il le sache, le spectacle partiel du Donovan qui s’affairait sur son ouvrage fastidieux.
Elle devinait les sourcils froncés, la bouche pincée par la concentration, la chevelure qui manquait de frôler son dos, s’imaginait la sensation à défaut de vraiment la sentir. Plus qu’un émoi physique,il y avait cette chaleur, cette gentillesse authentique et désintéressée du sorcier gourmet qui avait nourri Famine jusqu’au fond de son coeur vide.
Cette gentillesse, sa gratuité l’avait perturbé, longtemps, l’avait rendu méfiante avant qu’elle ne cède éperdument sous le charme désuet de cette qualité inconnue à son propre bataillon : personne n’était serviable sans intérêt chez les sangs purs, ni elle-même, ni son entourage le plus proche. Que le Donovan ait pu se montrer aussi attentionné par une simple inclination naturelle de son caractère avait secoué les certitudes de la toute jeune grymm, à l’époque, ère révolue dont elle gardait bien secrètement une nostalgie avide, un peu possessive, aussi. Les vagabondes pensées éclatèrent en bulles de savon quand la voix du grand brun lui parvint dans un souffle un peu sucré, haleine gourmande de pâtissier mêlée aux relents fuligineux d’une cuisine pratiquant le feu de bois. Seigneur, que de bons souvenirs à éteindre vite, très vite. C’était urgent, alors qu’elle s’exhortait à imaginer le regard sévère de sa mère, de la Mort sur elle pour la remettre dans des dispositions moins … nostalgiques.
- Merci, je te demanderai bien de m’aider à mettre l’autre, mais j’imagine que tu vas t’imaginer que je le fais exprès, alors …
A la manière d’une Dorothée du Kansas, Alice de Nola claqua ses talons nus à l’instant où la robe lui tomba aux chevilles, ne laissant aux prunelles du cuisto le temps d’apercevoir la vanité de ses courbes rondes avant que celles ci soient recouvertes de sa nouvelle robe courte en petales de rose tendre, plus printanière et légère que la précédente. Elle avait acquis quelques centimètres de plus à grand renforts de sandales roses aux talons aussi pointus que sa langue, alors qu’elle attrapait d’une main la jute au sol et sa minaudière valant à elle seule quatre traitements mensuels de son ancien mignon. Elle se retourna dans un mouvement dansant, perchée sur la pointe de ses pieds avec un sourire éclatant, toute trace de trouble ayant été chassée de son minois félin. La lionne agita sa crinière d’un geste de la main avant de lever un doigt quand le pauvre Sebastian annonça vouloir retourner à des rivages moins piégeux.
- Le gateau ? Ça tombe bien, j’ai quelque chose déposé sur la pièce montée, je voulais le faire avant qu’elle ne soit présentée aux mariés… Ne me regarde pas comme ça, il s’agit simplement des petits sujets à y déposer, no big deal, et …
L’Américaine s’interrompit quand son regard se posa sur l’elfe de maison qui la dévisageait avec les yeux humides. Il semblait… contrarié ? Non, à voir les allers retours des deux billes globuleuses qui lui servaient d’yeux, il avait plutôt l’air de celui qui ne valide pas votre tenue. Le sourire d’Alice s’étira un peu plus sur ses canines acérées, pliant genoux pour se pencher à hauteur de la créature servile en lui tendant sa robe de jute, magnanime.
- En remerciement à la lavandière la plus remarquablement efficace que j’ai eu à croiser depuis longtemps. Je suis sure qu’avec autant de matière, il y a de quoi confectionner au moins deux tenues… Ou une cape du plus belle effet, vous serez l’elfe le plus élégant de toutes les cuisines, et de loin.
Quand on savait le prix du tissu d’origine, Polby deviendrait l’elfe le plus apprêté de sa génération, mais Alice n’était pas du genre matérialiste, surtout pour une robe de cocktail, elle en avait une par jour de l’année, au bas mot. Elle réprima un frisson de dégout quand les longs doigts fins de l’elfe frôlèrent les siens à la manière de pattes d’araignée, puis se redressa pour enrouler son bras autour de celui de Sebastian, d’autorité.
- Allez, en cuisine. Je pose mon cadeau, je goute pour être sur que tu ne veux pas empoisonner ma Laelia, et je te laisse tranquille… Sauf si tu préfères que je reste.
Elle gloussa de sa propre outrance, provocation gratuite que de s’imaginer que le Donovan voudrait un jour à nouveau souffrir sa présence de son plein gré, le pauvre. Suivant Polby et ses petits pas rapides, ils allaient regagner les fourneaux rapidement, et ensuite, elle relâcherait sa prise sur le poignet de son cavalier d’estaminet pour rejoindre son frère, ou un membre de la suite de Laelia. Tomber sur Sebastian réveillaient des papillons dont elle était persuadée d’avoir incendié les cocons dans son ventre il y a bien longtemps, et cela ne lui plaisait pas. Ekky allait la tuer si il l’apprenait.
Elle devinait les sourcils froncés, la bouche pincée par la concentration, la chevelure qui manquait de frôler son dos, s’imaginait la sensation à défaut de vraiment la sentir. Plus qu’un émoi physique,il y avait cette chaleur, cette gentillesse authentique et désintéressée du sorcier gourmet qui avait nourri Famine jusqu’au fond de son coeur vide.
Cette gentillesse, sa gratuité l’avait perturbé, longtemps, l’avait rendu méfiante avant qu’elle ne cède éperdument sous le charme désuet de cette qualité inconnue à son propre bataillon : personne n’était serviable sans intérêt chez les sangs purs, ni elle-même, ni son entourage le plus proche. Que le Donovan ait pu se montrer aussi attentionné par une simple inclination naturelle de son caractère avait secoué les certitudes de la toute jeune grymm, à l’époque, ère révolue dont elle gardait bien secrètement une nostalgie avide, un peu possessive, aussi. Les vagabondes pensées éclatèrent en bulles de savon quand la voix du grand brun lui parvint dans un souffle un peu sucré, haleine gourmande de pâtissier mêlée aux relents fuligineux d’une cuisine pratiquant le feu de bois. Seigneur, que de bons souvenirs à éteindre vite, très vite. C’était urgent, alors qu’elle s’exhortait à imaginer le regard sévère de sa mère, de la Mort sur elle pour la remettre dans des dispositions moins … nostalgiques.
- Merci, je te demanderai bien de m’aider à mettre l’autre, mais j’imagine que tu vas t’imaginer que je le fais exprès, alors …
A la manière d’une Dorothée du Kansas, Alice de Nola claqua ses talons nus à l’instant où la robe lui tomba aux chevilles, ne laissant aux prunelles du cuisto le temps d’apercevoir la vanité de ses courbes rondes avant que celles ci soient recouvertes de sa nouvelle robe courte en petales de rose tendre, plus printanière et légère que la précédente. Elle avait acquis quelques centimètres de plus à grand renforts de sandales roses aux talons aussi pointus que sa langue, alors qu’elle attrapait d’une main la jute au sol et sa minaudière valant à elle seule quatre traitements mensuels de son ancien mignon. Elle se retourna dans un mouvement dansant, perchée sur la pointe de ses pieds avec un sourire éclatant, toute trace de trouble ayant été chassée de son minois félin. La lionne agita sa crinière d’un geste de la main avant de lever un doigt quand le pauvre Sebastian annonça vouloir retourner à des rivages moins piégeux.
- Le gateau ? Ça tombe bien, j’ai quelque chose déposé sur la pièce montée, je voulais le faire avant qu’elle ne soit présentée aux mariés… Ne me regarde pas comme ça, il s’agit simplement des petits sujets à y déposer, no big deal, et …
L’Américaine s’interrompit quand son regard se posa sur l’elfe de maison qui la dévisageait avec les yeux humides. Il semblait… contrarié ? Non, à voir les allers retours des deux billes globuleuses qui lui servaient d’yeux, il avait plutôt l’air de celui qui ne valide pas votre tenue. Le sourire d’Alice s’étira un peu plus sur ses canines acérées, pliant genoux pour se pencher à hauteur de la créature servile en lui tendant sa robe de jute, magnanime.
- En remerciement à la lavandière la plus remarquablement efficace que j’ai eu à croiser depuis longtemps. Je suis sure qu’avec autant de matière, il y a de quoi confectionner au moins deux tenues… Ou une cape du plus belle effet, vous serez l’elfe le plus élégant de toutes les cuisines, et de loin.
Quand on savait le prix du tissu d’origine, Polby deviendrait l’elfe le plus apprêté de sa génération, mais Alice n’était pas du genre matérialiste, surtout pour une robe de cocktail, elle en avait une par jour de l’année, au bas mot. Elle réprima un frisson de dégout quand les longs doigts fins de l’elfe frôlèrent les siens à la manière de pattes d’araignée, puis se redressa pour enrouler son bras autour de celui de Sebastian, d’autorité.
- Allez, en cuisine. Je pose mon cadeau, je goute pour être sur que tu ne veux pas empoisonner ma Laelia, et je te laisse tranquille… Sauf si tu préfères que je reste.
Elle gloussa de sa propre outrance, provocation gratuite que de s’imaginer que le Donovan voudrait un jour à nouveau souffrir sa présence de son plein gré, le pauvre. Suivant Polby et ses petits pas rapides, ils allaient regagner les fourneaux rapidement, et ensuite, elle relâcherait sa prise sur le poignet de son cavalier d’estaminet pour rejoindre son frère, ou un membre de la suite de Laelia. Tomber sur Sebastian réveillaient des papillons dont elle était persuadée d’avoir incendié les cocons dans son ventre il y a bien longtemps, et cela ne lui plaisait pas. Ekky allait la tuer si il l’apprenait.
Made by Neon Demon
- résumé:
- Alice laisse Seb l'aider à se défaire de sa tenue, troublée malgré elle (mouais) . Grand prince, elle offre la robe en toile de tente à Polby, puis force gentiment le Donovan à lui montrer les cuisines. Promis, après, on vous rejoint
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mer 1 Juil 2020 - 15:00
Absorbé par la préparation de breuvages divins, il te faut un instant pour réaliser le parfum d’orchidée qui t’envahit. Ses doigts fins se posent sur ton bras, et tu relèves la tête pour laisser un fin sourire fleurir sur tes lèvres. Ton cœur se serre, oui, tu ne peux te mentir. Mais, même au mariage de Perséphone, avoir une gueule d’outre-tombe n’était le plus approprié (c’est d’ailleurs une des rares fois que tu te préoccupes de ce qui est approprié). « Voici la Reine. » Plaisantes-tu, la voix rouée d’affection et, un peu, d’émotions. « Que me vaut cet honneur ? » est ta question, mais déjà, elle vient poser un murmure au creux de ton oreille. Sans alcool, ta tête se penche sur le côté -s’il y a bien une occasion pour inonder son foi de champagne, c’est bien pendant un mariage. Ton esprit un peu trop opaque à la logique doit entendre la suite de ses paroles pour réaliser ce qu’elle sous-entend. Peut-être boire une gorgée de ta propre préparation n’était pas la meilleure idée, quand la surprise te fait tousser d’une manière quelque peu… comique. Tentant de t’étouffer le plus silencieusement possible, tes yeux se plantent dans ceux de Laelia pour chercher une quelconque trace de plaisanterie.
« Je suis enceinte ?! » T’exclames-tu dans un murmure, attrapant l’épaule de Laelia. Une nouvelle seconde de blanc avant que tu te rectifies, les joues un peu rosées. « Je veux dire, toi. Toi tu es enceinte. » Tu hoches la tête en accusant le coup, jetant un regard autour de toi, un peu perdu. « Wouah, désolé, félicitations, je suis juste un peu secoué. J’imagine que je te le fais aux fraises, le cocktail. » Le ton un peu fébrile, tu attrapes quelques ingrédients pour faire la boisson de Laelia et ajoutes. « Bien sûr pour la danse, tant que c’est pas avec ton cher et tendre. »
(pas sûre que ce soit méga utile mais :)
Tiki apprend la nouvelle de la grossesse de Laelia et panique un peu.
-- tenue.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mer 1 Juil 2020 - 15:32
La facade de Tiki, tu la connais, tu la vois presque tous les jours, bien qu'aujourd'hui il n'y ait aucune raison à ce qu'il te fasse ce regard noir qu'il te sert, oh well, souvent. Faut dire que pour une fois t'es seule, t'as pas ta cours avec toi, même pas ta meilleure moitié, ton complice de toujours. Non. Aujourd'hui tu joues à l'adulte, tu joues le jeu du carton d'invitation malgré la difficulté que cela représente pour toi. Après tout, tu ne connais pas grand monde de l'univers de miss Trejo... Volkine, il te faudra un petit temps d'adaptation, comme c'est le cas à chaque fois qu'une habitude change. “J’suis pas voyant moi, je sais pas ce qui vous f’rez plaisir à vous deux donc boudez pas si jamais c’est pas à votre goût.” Le moins que l'on puisse dire, c'est que Tiki sait comment jouer les drama king, toujours à râler, même quand il n'y a aucune raison de le faire, « je n'en vois qu'un qui peut râler ici » dis-tu en souriant, le regard légèrement glissé vers ton voisin (Azazel) comme pour chercher un soutient, une confirmation. T'ignores tout de la vie de la fleur, enfin, tu connais les grandes lignes, mais vous n'êtes pas suffisament intimes que pour connaitre ses amis ou les liens qui la lie avec le Tamaharu et, après tout, ça ne t'intéresse pas; t'es plus intriguée par cet hommage fait au marié à travers ce cocktail, « j'suis sûre que ça sera très bien, y'a que des bons trucs dedans ». Tant que c'est de l'alcool, t'es pas compliquée faut dire.
L'héroine du jour fait son apparition, se glissant dans le dos de Wrath sous ton regard curieux, murmure au creux de l'oreille que nul autre que lui ne peut entendre, l'expression de son visage ne laisse aucune place au doute, il est sous le choc. Bien sûr, ta curiosité te pousse à tendre l'oreille, mais ton regard est happé par la silhouette de quelqu'un que tu connais, enfin, de loin, très loin même, puisque tu n'as croisé Adalia que lors du mariage et de l'enterrement de vie de jeune fille de Lys, mais ... c'est l'une des personnes qui se rapproche le plus de ton âge et mine de rien, tu suis le sillage laissé par son parfum. Ton verre à la main, tu te glisses à côté de la Blackthorn avec un sourire de circonstance sur le visage, « on prend les paris sur le prochain mariage auquel on assistera ? » Le regard posé sur la silhouette de la brune, tu as toujours cet air avenant, ce regard sympathique qu'importe la personne à qui tu t'adresses, « Ymkje, on était ensemble à l'enterrement de vie de jeune fille de Lys et à son mariage », histoire de te rappeler à son bon souvenir, ou pas, faudrait être amnésique pour t'oublier
résumé :
Ym plaisante au sujet de @tiki tamaharu et de sa faculté à râler ( ) , lorsque @Laelia Volkine s'invite, elle est curieuse, mais fini par suivre @Adalia Blackthorn histoire d'avoir quelqu'un qui s'approche de son âge, elle se sent un peu trop bébé dans cette histoire
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mer 1 Juil 2020 - 19:50
La réaction de Tiki la faisait rire de bon cœur, tandis que ses doigts glissaient le long de son bras dans de délicates caresses, comme pour faire passer la pilule. Elle voyait bien que ça lui coûtait d’être ici et pour l’avoir si souvent regardé, la fleur se doutait des efforts qu’il faisait. Mais, elle faisait comme si de rien était, Laelia, ne soulignant pas l’émotion perçue dans les mires ébènes de son ancien amant et se contentait de plaisanter avec lui, lui adressant une de ses risettes enjôleuses. « Merci… » Sa voix portait peu, affichant désormais un air plus serein, malgré le tumulte qui grondait. « Je viendrai te chercher plus tard, tu as des bouches à satisfaire. » Elle prenait son cocktail fruité, non sans avoir claqué les fesses de Tiki en riant et buvait rapidement son verre, faisant quelques pas en solo, profitant un instant de la brise qui passait à travers l’une des fenêtres. Ensuite, Laelia s’éclipsait pour s’approcher de son époux et venait l’enlacer, quand bien même était-il en pleine conversation avec d’autres hommes. « Je vous l’emprunte. » Elle leur adressait un sourire, avant d’étreindre pleinement Mirko, de ses bras frêles. La fleur ne disait rien, se contentait de quelques caresses et affections glissées, en silence, bien que les gestes et les regards s’exprimaient à sa place. Le menton redressé, appuyé contre le torse de son mari, ses mirettes étaient plongées dans les siennes, une risette tendre aux lèvres. À cet instant, il n’y avait plus rien qui existait autour d’eux, rivés dans le regard de l’autre, la mer embrassant le ciel noir, tandis que l’horizon devenait flou.
Laelia passe du temps avec @Tiki Tamaharu, puis retrouve @Mirko Volkine en pleine discussion. Elle l’enlace un long moment et décide de passer un moment ensemble.
- InvitéInvité
Re: (mariage mirlia) je m’arrime à côté de toi.
Mer 1 Juil 2020 - 22:31
Londres & le monde
Son cocktail à la main, Azazel navigua au milieu des invités, saluant ceux qu’il connaissait d’un signe de tête et d’un de ses habituels sourires charmeurs. La fête battait son plein et elle était réussie. L’Ethelred chercha le couple de la soirée du regard, il les vit l’un contre l’autre. Il leva alors son verre en direction de Mirko en souriant. Il n’allait pas les déranger pour le moment. C’était leur soirée, les jeunes mariés avaient le droit d’en profiter pleinement.
Son regard s’arrêta alors de nouveau sur Tiki et après avoir posé son verre dans un pot de fleurs, il rejoint son ancien amant. Il posa sa main sur la hanche du jeune homme et l’entraîna pour une danse sans lui laisser le temps de refuser.
_ Almeno concedimi questo ballo.
Il se pencha pour venir murmurer quelques mots à l’oreille de Tiki.
_ A moins que tu veux qu’on soit les personnes venues chacune pour l’un des mariés qui finissent par coucher ensemble parce qu’ils ont trop bu.
Un léger rire s’échappa ensuite des lèvres du semi-vampire qui continuait de mener la danse, une main fermement ancrée sur les hanches de son cavalier et l’autre sur une épaule.
- Résumé:
- Azazel prend son cocktail et se promène dans la foule, saluant les personnes qu'il connait. En voyant, Laelia et @Mirko Volkine dans les bras l'un de l'autre, il lève son verre dans leur direction en souriant à son cousin. Il voit ensuite @Tiki Tamaharu seul et décide de lui offrir une danse, sans vraiment lui laisser le choix.
- Tenue
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