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« De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Dim 3 Jan 2021 - 20:16
Je suis au sein d’Ethelred | personnage inventé
« La fiction nous permet de donner aux êtres meurtris une ultime chance de renouveau. Mais la vie, elle n’offre pas cette chance. »
WIZARD CARD INFORMATIONS Blonde aux yeux marrons, Manuela fait 1 mètre 72 pour 55 kg tout mouillé. Elle détient quelque tatouage et un teint doré. Certains indiquerait qu'elle aurait une taille parfaite pour le mannequina avec son 70B de poitrine et son corps au départ trop mince qu'elle tente encore d'améliorer via le sport. Le seul problème à première vu ? Il lui manque sa jambe gauche. Elle ne cherche pas spécialement à le cacher, composant même parfois ses tenues à partir de la couleur de sa prothèse du moment. Des cicatrices recouvre sa jambe droite, son dos et sa taille, ce qui pourrait déranger bien de gens, la rendant imparfaite sur ces quelques points selon la société, mais elle n'a jamais rien fait pour y entrer, alors quel que soit l'impression qu'elle donne au premier regard, elle s'en fiche outre mesure. | :copyright:️ Ookpik ◈ Paola Antonini |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
J’ai grandis dans un monde gorgée de lumière. Mais cela m’a apprit que la lumière sait montrer les plus grand défauts autant qu’elle sait les camoufler de sa blancheur. Je ne suis plus étrangère à l’obscurité. Personne ne t’aimera tel que tu es, il m’a dit. Soit honteuse de ces cicatrices, me répétait-il alors qu’il en était la cause. Mais j’ai appris que j’étais courageuse, déterminée. Que je noierais sous ma propre douleur ceux qui oseront user de violence. Serais-je cinglantes, pour résister au futur abattage ? Croquerai-je dans la pomme interdite sans aucune hésitation comme si ce jour serait le dernier, ou est-ce que je m’effacerai dans l’obscurité…
‘’Ma mère me récitait des poèmes. Elle me répétait, inspirée par Victor Hugo, que lorsque le jour à fui, que le doux parfum enivrant des fleurs se glissait dans cette chambre, elle se battait pour nos vies. Elle avait tenue son devoir de donner un héritier a l’homme qu’on l’avait marié. Mon père. Elle a la santé fragile. Elle m’a aussi dit que lorsque les astres ont étés le plus purs, elle se refusa de me laisser vivre sans aucun souvenir d’elle. C’est après quelques années que j’ai compris que ses paroles étaient inspiré, que dis-je, plagié, du poème de juin.’’
Naquit une douce soirée de juin un bébé fragile et prématuré. L’héritière des Espirito. C’est la génitrice, dans un souffle court, alors que le sang continuait à tâcher les draps, qui la nomma avant de perdre connaissance. Quelque part là-haut il devait y avoir un écrivain ennuyé qui s’occupait d’écrire le récit de sa vie, car celle-ci était digne d’un écrit romancier. Elle grandit au Brésil, dans la ville la plus riche et peuplé, à l’ancienne. À peine avait-elle l’âge de parler qu’on lui enseignait la vie. À l’âge honorable de 6 ans, on décida qu’on la fiancerait au fils d’une autre famille dites pures de sorciers. Enfin, la pureté restait discutable si on comptait sur des siècles les mélanges sans aucuns doutes nombreux avec des moldus, mais pour le présent, la pureté se résumait à un sang comme celui de la famille da Silva. Une famille qui avait des origines portugais et qui avait fait fortune au Brésil. En réalité, Manuela n’était qu’une monnaie d’échange dans un présent dure pour les affaires familiales. La promesse de mariage avait été signée et les deux familles firent affaires pour sauver la compagnie familiale de la famille de la fiancée dans des temps durs. Mais son père ne souhaitait pas une fille juste bonne à offrir au plus offrant. Ça non. Puisque sa mère ne se remit jamais totalement de sa naissance, elle était la seule héritière à ce jour de la famille. C’est pourquoi il lui apprit à être forte et intelligente. Elle devait savoir mener leur entreprise quand elle aura l’âge et ne pas laisser son futur mari en prendre les rennes. Son héritage lui appartiendrait en majorité, la famille de son futur mari n’en aurait que des ‘’actions’’. Mais il était dur à dire si la famille en question était au courant de cette partie du contrat.
Son seul répit dans son apprentissage était lorsqu’elle allait chez son oncle. Celui-ci avait refusé en tant qu’aîné son héritage et avait créé son propre refuge aux animaux du brésil et de l’univers magique. Fournissant des matériaux aux revendeurs, il s’assurait de toujours préserver la faune et autant que possible d’offrir les matériaux demandant le décès d’un entre eux que lorsqu’il était le temps pour celui-ci de partir. Son oncle lui apprit à apprécier la faune. Selon lui, la majorité des créatures vivantes sur cette terre était fiable. Non car ils ne font jamais de mal, mais parce qu’ils suivent tous la logique de la vie et qu’ils n’ont jamais de sous raison de blesser que la survie pure et dure. Ils suivent une logique plus simple à comprendre que celle des humains. Et si Manuela aurait sut ce que la vie lui réservait dans quelques années, elle aurait compris beaucoup plus facilement son oncle. Ce qu’avait en commun son père et son oncle était sans doute le fait que l’ignorance des gens était la seule chose qui donnait des situations… inacceptable. Si son oncle voyait cela pour l’existence humaine, son père était plus radical. Il fallait apprendre un maximum de connaissance pour éviter un maximum d’erreur. Le contrôle était crucial. Bien que sa mère ne fût pas en état de participer correctement à son éducation, elle lui partagea son amour des plantes, mais aussi celui de la vie. Quand, à l’âge de 13 ans, elle pleura son destin, ne désirant pas marier un homme qu’elle n’allait certainement pas aimer, sa mère lui raconta que l’amour ne naissait pas du jour au lendemain. Que telle une plante, il fallait l’entretenir, la faire grandir et l’aider à rester solide. Elle ajouta même que, tel un animal, il fallait amadouer et apprendre de celui-ci pour mieux vivre en harmonie.
Mais l’harmonie oublia de se présenter. Une nuit, au plein milieu de la tragédie de la famille Espirito, les flammes léchèrent le domaine. Un déluge aux sources magiques ne laissa aucune lueur de vie. Animaux comme être humains s’éteignirent au contraire des lieux, ne laissant rapidement qu’une couverture de cendre grise. Mais cette nuit là, bien qu’elle fut la fin d’une histoire, fut le commencement d’une autre pour l’héritière de la famille. En cette nuit de drames, les astres perdirent leur pureté sous la poussière des restes de l’existence de vie sans plus d’importance.
Naquit la noirceur. Sans astres ou lune pour en éclairer l’obscurité, Manuela se retrouva aux mains d’êtres encore plus noirs qu’une nuit sans lune. Sa mère lui avait raconté, un jour, citant sans doute un millième texte, que ce qui perdait le monde n’était pas le crime et les incendies, mais la haine. Blessée, livrée à elle-même, enfermé de sa douleur et de quatre murs, les temps furent durs. Elle ne comprit pas immédiatement ce qu’on attendait d’elle. Voulait-on demander de l’argent à la famille à laquelle on avait promit ‘’sa main’’ ? Les paroles dures lui apprirent que plus rien n’existait de sa vie d’avant. Son état empirait et incendiaire ne semblaient pas chercher sa survie, malgré tout les efforts qu’ils avaient donnés. Seul un d’entres eux ne vint à elle, apaisant ses souffrances un court moment tout en cherchant à conditionner son esprit de ses termes froids. Vint un jour où une lueur de pitié sembla s’échapper de son âme pour se refléter ses rétines. Il fut négligeant, la croyant trop faible, détruite, inconsciente de ses propres moyens. Une nuit, elle profita de l’humanité de cet homme. ‘’Un être humain, c’est un être de lumière libre, qui se fait braise quand il tombe, qui se fait incendie quand il se relève’’. Et cette nuit là, de cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait, comme le sien avait dévoré les âmes des malheureux. Elle oublia l’humanité, devenant aussi pure qu’était l’animal combattant pour sa survie. Contrairement à l’homme qui n’était qu’un animal aux instincts de survie primitifs dont l’ingéniosité s’était d’abord développé, avant l’âme elle-même, elle puisant au plus profond de la sienne pour trouver la force de ramper hors du nid qu’on lui avait attribué. Cette nuit là, Manuela compris que l’instinct de survie était plus fort que n’importe quoi d’autres. Plus fort que l’amour d’une mère, l’amour de la vie et du mal qu’on pouvait apporter. Si son esprit survécu au mal en se répétant les écrits enregistré au courant de sa jeune existence, il ne fut pourtant pas intacte alors qu’elle provoqua la mort de quelques vies trop négligente. Ce soir là, elle s’écroula au milieu d’une rue de terre. Le lendemain ce fut un chien cherchant l’oiseau abattu par son maître qui la trouva, entre la vie et la mort. Et ce fut un moldu qui la sauva en l’amenant dans un hôpital. Alors que personne ne l’attendait, que personne ne pourrait la connaître, on la soigna dans l’anonymat. L’affaire fut bouclée par le ministère de la magie alors que, dans cet hôpital moldu, son combat n’était pas terminé. Elle fut soignée comme n’importe quel humain dénué de magie en ce monde risible.
Quand elle se réveilla, elle avait perdu une autre part d’elle. Une part d’elle qui était visible à l’œil nu. Elle ne le comprit pas immédiatement, accueillant les astres vus par la fenêtre comme de vieux amis, se refusant de chercher la compréhension de dires humains, mais n’eut au départ aucune réaction. Quand un médecin moldus vint lui expliquer que même si elle la sentait encore, qu’elle était désorientée, ils avaient dû la départir de sa jambe aux tissus morts depuis longtemps pour éviter que l’infection ne se propage, mais que sa vie était encore en danger, elle ne réagit pas plus. Déjà, son esprit retournait dans le monde imaginaire. Loin de la nature qui n’était qu’un tyran assassin, cruel, sans le moins état d’âme. La nature ne favorisait pas les plus faibles s’ils n’avaient rien à apporter en contrepartie, elle le comprenait désormais. Elle pensait alors s’endormir pour l’éternité, quand ses yeux s’ouvrirent sur une nouvelle journée. En de nouveaux lieux. Le brouillard fit place a une apparition qui se révéla rapidement être la réalité. Son oncle se trouvait à son chevet, aussi inquiet que rassuré. Vivant. Épargné par la tuerie d’une nuit.
Son oncle voulu qu’on tente le maximum pour lui rendre ce qu’on lui avait retiré, mais elle refusa. Elle ne souhaitait pas qu’on tente de ramener ce qui n’était plus. Que les miracles prendraient une éternité dont elle n’avait pas la patience d’attendre. Mais le retour à la normalité, si jamais avait-elle connu un jour celle-ci, était un challenge qui serait à surmonter. Les jours devinrent des semaines, ainsi que des mois. Son corps guéri, ne laissant que quelques cicatrices sur son corps meurtris. Au départ, dans le mutisme presque total, elle ne marmonnait que quelques passage de poèmes et écrits qu’elle connaissait par cœur, trouvant sa guérison entourer d’une faune qui aurait parfois fait fuir le plus endurcie. Elle apprit beaucoup, même si son cœur n’était pas de la partie. Son oncle n’était pas l’homme le plus philosophique et le plus psychologique qui soit. Alors ce fut la routine au sein de son monde animal qui vint accompagner la rééducation de sa nièce.
Quand elle fut en mesure de marcher un peu, recommençait à s’exprimer et accepter de faire autre chose que les tâches qu’on lui attribuait, son oncle décida qu’il était temps pour elle de vivre une vie qu’on lui aurait refusé sans la perte de sa famille. Elle s’inscrit alors à Castelobruxo, le seul endroit où elle serait complètement en sécurité pendant que les derniers ‘’criminels’’ de cette nuit enflammée soit retrouvé. Son entrée fut particulière, mais la direction l’accepta avec grand plaisir. Elle y étudia trois années, perfectionnant ses connaissances, même si elle avait une meilleure bases que ceux qui y entrait à l’accoutumé. Ce qui changea sa vision fut sa rencontre avec un artisan de baguette brésilien. Ayant besoin d’une nouvelle baguette, quand une d’entre elles accepta Manuela comme sa propriétaire, l’artisan lui dit de sa voix posée ; ‘’L’arbre le plus solide cède facilement aux intempéries, mais le saule survie en pliant sous le vent. Soit certaine qu’elle pliera sans aucun doute de nombreuses fois dans sa vie, mais qu’elle se relèvera toujours une fois la tempête terminé.’’ Elle le vit retirer ses lunettes, montrant un regard aveugle, mais l’homme lui offrit un clin d’œil et accepta son payement. Ce qu’avait vu cet homme dont le regard allait au-delà du monde physique la fit réfléchir.
Et elle décida de suivre les paroles sages qu’un homme au nom de Charlie Chaplin avait un jour prononcées. Si l’humour renforcerait l’instinct de survie en sauvegardant la santé de l’esprit, aussi détruite était la sienne, elle cacherait d’un sourire et d’une assurance solide ses incertitudes et son être brisé. Elle se convaincrait un jour elle-même qu’elle était un saule ou un bambou qui pliait et se relevait quelle que soit la tempête qui viendrait l’attaquer. Elle étudia plus de 3 années dans l’établissement qui la protégeait, prouvant ses compétences en passant les examens officiels. Elle qui ne ressentait pas de haine, mais un vide interstellaire, grandit au travers de ces trois années d’études. Âgé de 20 années lorsqu’elle quitta l’établissement, dans sa situation particulière, désormais que, selon l’auror qui était venu la tenir au courant de la recherche de ceux qui auraient pu survivre, la situation était sûr, elle comptait quitter l’établissement et en profiter pour voir du pays. Ou, plus précisément, quitter le Brésil subtilement pour éviter de supporter la famille qui avait signé un contrat de mariage avec son père, espérant secrètement que son père mort, le contrat n’était plus valide… Pour ce qui est des fonctions de son père, elle vendit son entreprise au plus offrant et entendit parler d’un établissement intéressant. Ni une ni deux, elle chercha a y déposer son inscription, espérant que se retrouver dans un pays dont l’histoire de sa famille n’avait pas été un sujet principale pendant des semaines et même des mois loin des événements du passé pourrait lui donner un semblant de renouveau. Même si son cœur était resté jusqu’ici dans la réserve faunique de son oncle. Installé peu de temps après son anniversaire, c’est donc avec un âge plus avancé de la moyenne qu’elle entama ses études, avec expérience du travail en magizoologie ‘’version familiale’’ et des études au sein d’un établissement spécialisé en botanique et magizoologie. Mais après tout, il n’y a pas vraiment d’âge pour retourner aux études pour avoir un diplôme et être dans les normes, non ? Surtout quand on a passé près de deux ans disparu et, ensuite, en soins et rééducation physique. Surtout quand on entre dans un établissement dans une situation particulière à l’âge de 17 années. Elle ne cherche pas un traitement de faveur et souhaite simplement rattraper les années, qu’elle aille ou non les compétences dans certains domaines bien avant ces cours. Après tout l’apprentissage à domicile était récurant dans le monde magique, mais connaître un peu de tout en se spécialisant un peu dans une autre domaine peut amener à certains manquement. Cours privés ou non.
‘’Ma mère me récitait des poèmes. Elle me répétait, inspirée par Victor Hugo, que lorsque le jour à fui, que le doux parfum enivrant des fleurs se glissait dans cette chambre, elle se battait pour nos vies. Elle avait tenue son devoir de donner un héritier a l’homme qu’on l’avait marié. Mon père. Elle a la santé fragile. Elle m’a aussi dit que lorsque les astres ont étés le plus purs, elle se refusa de me laisser vivre sans aucun souvenir d’elle. C’est après quelques années que j’ai compris que ses paroles étaient inspiré, que dis-je, plagié, du poème de juin.’’
Naquit une douce soirée de juin un bébé fragile et prématuré. L’héritière des Espirito. C’est la génitrice, dans un souffle court, alors que le sang continuait à tâcher les draps, qui la nomma avant de perdre connaissance. Quelque part là-haut il devait y avoir un écrivain ennuyé qui s’occupait d’écrire le récit de sa vie, car celle-ci était digne d’un écrit romancier. Elle grandit au Brésil, dans la ville la plus riche et peuplé, à l’ancienne. À peine avait-elle l’âge de parler qu’on lui enseignait la vie. À l’âge honorable de 6 ans, on décida qu’on la fiancerait au fils d’une autre famille dites pures de sorciers. Enfin, la pureté restait discutable si on comptait sur des siècles les mélanges sans aucuns doutes nombreux avec des moldus, mais pour le présent, la pureté se résumait à un sang comme celui de la famille da Silva. Une famille qui avait des origines portugais et qui avait fait fortune au Brésil. En réalité, Manuela n’était qu’une monnaie d’échange dans un présent dure pour les affaires familiales. La promesse de mariage avait été signée et les deux familles firent affaires pour sauver la compagnie familiale de la famille de la fiancée dans des temps durs. Mais son père ne souhaitait pas une fille juste bonne à offrir au plus offrant. Ça non. Puisque sa mère ne se remit jamais totalement de sa naissance, elle était la seule héritière à ce jour de la famille. C’est pourquoi il lui apprit à être forte et intelligente. Elle devait savoir mener leur entreprise quand elle aura l’âge et ne pas laisser son futur mari en prendre les rennes. Son héritage lui appartiendrait en majorité, la famille de son futur mari n’en aurait que des ‘’actions’’. Mais il était dur à dire si la famille en question était au courant de cette partie du contrat.
Son seul répit dans son apprentissage était lorsqu’elle allait chez son oncle. Celui-ci avait refusé en tant qu’aîné son héritage et avait créé son propre refuge aux animaux du brésil et de l’univers magique. Fournissant des matériaux aux revendeurs, il s’assurait de toujours préserver la faune et autant que possible d’offrir les matériaux demandant le décès d’un entre eux que lorsqu’il était le temps pour celui-ci de partir. Son oncle lui apprit à apprécier la faune. Selon lui, la majorité des créatures vivantes sur cette terre était fiable. Non car ils ne font jamais de mal, mais parce qu’ils suivent tous la logique de la vie et qu’ils n’ont jamais de sous raison de blesser que la survie pure et dure. Ils suivent une logique plus simple à comprendre que celle des humains. Et si Manuela aurait sut ce que la vie lui réservait dans quelques années, elle aurait compris beaucoup plus facilement son oncle. Ce qu’avait en commun son père et son oncle était sans doute le fait que l’ignorance des gens était la seule chose qui donnait des situations… inacceptable. Si son oncle voyait cela pour l’existence humaine, son père était plus radical. Il fallait apprendre un maximum de connaissance pour éviter un maximum d’erreur. Le contrôle était crucial. Bien que sa mère ne fût pas en état de participer correctement à son éducation, elle lui partagea son amour des plantes, mais aussi celui de la vie. Quand, à l’âge de 13 ans, elle pleura son destin, ne désirant pas marier un homme qu’elle n’allait certainement pas aimer, sa mère lui raconta que l’amour ne naissait pas du jour au lendemain. Que telle une plante, il fallait l’entretenir, la faire grandir et l’aider à rester solide. Elle ajouta même que, tel un animal, il fallait amadouer et apprendre de celui-ci pour mieux vivre en harmonie.
Mais l’harmonie oublia de se présenter. Une nuit, au plein milieu de la tragédie de la famille Espirito, les flammes léchèrent le domaine. Un déluge aux sources magiques ne laissa aucune lueur de vie. Animaux comme être humains s’éteignirent au contraire des lieux, ne laissant rapidement qu’une couverture de cendre grise. Mais cette nuit là, bien qu’elle fut la fin d’une histoire, fut le commencement d’une autre pour l’héritière de la famille. En cette nuit de drames, les astres perdirent leur pureté sous la poussière des restes de l’existence de vie sans plus d’importance.
Naquit la noirceur. Sans astres ou lune pour en éclairer l’obscurité, Manuela se retrouva aux mains d’êtres encore plus noirs qu’une nuit sans lune. Sa mère lui avait raconté, un jour, citant sans doute un millième texte, que ce qui perdait le monde n’était pas le crime et les incendies, mais la haine. Blessée, livrée à elle-même, enfermé de sa douleur et de quatre murs, les temps furent durs. Elle ne comprit pas immédiatement ce qu’on attendait d’elle. Voulait-on demander de l’argent à la famille à laquelle on avait promit ‘’sa main’’ ? Les paroles dures lui apprirent que plus rien n’existait de sa vie d’avant. Son état empirait et incendiaire ne semblaient pas chercher sa survie, malgré tout les efforts qu’ils avaient donnés. Seul un d’entres eux ne vint à elle, apaisant ses souffrances un court moment tout en cherchant à conditionner son esprit de ses termes froids. Vint un jour où une lueur de pitié sembla s’échapper de son âme pour se refléter ses rétines. Il fut négligeant, la croyant trop faible, détruite, inconsciente de ses propres moyens. Une nuit, elle profita de l’humanité de cet homme. ‘’Un être humain, c’est un être de lumière libre, qui se fait braise quand il tombe, qui se fait incendie quand il se relève’’. Et cette nuit là, de cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait, comme le sien avait dévoré les âmes des malheureux. Elle oublia l’humanité, devenant aussi pure qu’était l’animal combattant pour sa survie. Contrairement à l’homme qui n’était qu’un animal aux instincts de survie primitifs dont l’ingéniosité s’était d’abord développé, avant l’âme elle-même, elle puisant au plus profond de la sienne pour trouver la force de ramper hors du nid qu’on lui avait attribué. Cette nuit là, Manuela compris que l’instinct de survie était plus fort que n’importe quoi d’autres. Plus fort que l’amour d’une mère, l’amour de la vie et du mal qu’on pouvait apporter. Si son esprit survécu au mal en se répétant les écrits enregistré au courant de sa jeune existence, il ne fut pourtant pas intacte alors qu’elle provoqua la mort de quelques vies trop négligente. Ce soir là, elle s’écroula au milieu d’une rue de terre. Le lendemain ce fut un chien cherchant l’oiseau abattu par son maître qui la trouva, entre la vie et la mort. Et ce fut un moldu qui la sauva en l’amenant dans un hôpital. Alors que personne ne l’attendait, que personne ne pourrait la connaître, on la soigna dans l’anonymat. L’affaire fut bouclée par le ministère de la magie alors que, dans cet hôpital moldu, son combat n’était pas terminé. Elle fut soignée comme n’importe quel humain dénué de magie en ce monde risible.
Quand elle se réveilla, elle avait perdu une autre part d’elle. Une part d’elle qui était visible à l’œil nu. Elle ne le comprit pas immédiatement, accueillant les astres vus par la fenêtre comme de vieux amis, se refusant de chercher la compréhension de dires humains, mais n’eut au départ aucune réaction. Quand un médecin moldus vint lui expliquer que même si elle la sentait encore, qu’elle était désorientée, ils avaient dû la départir de sa jambe aux tissus morts depuis longtemps pour éviter que l’infection ne se propage, mais que sa vie était encore en danger, elle ne réagit pas plus. Déjà, son esprit retournait dans le monde imaginaire. Loin de la nature qui n’était qu’un tyran assassin, cruel, sans le moins état d’âme. La nature ne favorisait pas les plus faibles s’ils n’avaient rien à apporter en contrepartie, elle le comprenait désormais. Elle pensait alors s’endormir pour l’éternité, quand ses yeux s’ouvrirent sur une nouvelle journée. En de nouveaux lieux. Le brouillard fit place a une apparition qui se révéla rapidement être la réalité. Son oncle se trouvait à son chevet, aussi inquiet que rassuré. Vivant. Épargné par la tuerie d’une nuit.
Son oncle voulu qu’on tente le maximum pour lui rendre ce qu’on lui avait retiré, mais elle refusa. Elle ne souhaitait pas qu’on tente de ramener ce qui n’était plus. Que les miracles prendraient une éternité dont elle n’avait pas la patience d’attendre. Mais le retour à la normalité, si jamais avait-elle connu un jour celle-ci, était un challenge qui serait à surmonter. Les jours devinrent des semaines, ainsi que des mois. Son corps guéri, ne laissant que quelques cicatrices sur son corps meurtris. Au départ, dans le mutisme presque total, elle ne marmonnait que quelques passage de poèmes et écrits qu’elle connaissait par cœur, trouvant sa guérison entourer d’une faune qui aurait parfois fait fuir le plus endurcie. Elle apprit beaucoup, même si son cœur n’était pas de la partie. Son oncle n’était pas l’homme le plus philosophique et le plus psychologique qui soit. Alors ce fut la routine au sein de son monde animal qui vint accompagner la rééducation de sa nièce.
Quand elle fut en mesure de marcher un peu, recommençait à s’exprimer et accepter de faire autre chose que les tâches qu’on lui attribuait, son oncle décida qu’il était temps pour elle de vivre une vie qu’on lui aurait refusé sans la perte de sa famille. Elle s’inscrit alors à Castelobruxo, le seul endroit où elle serait complètement en sécurité pendant que les derniers ‘’criminels’’ de cette nuit enflammée soit retrouvé. Son entrée fut particulière, mais la direction l’accepta avec grand plaisir. Elle y étudia trois années, perfectionnant ses connaissances, même si elle avait une meilleure bases que ceux qui y entrait à l’accoutumé. Ce qui changea sa vision fut sa rencontre avec un artisan de baguette brésilien. Ayant besoin d’une nouvelle baguette, quand une d’entre elles accepta Manuela comme sa propriétaire, l’artisan lui dit de sa voix posée ; ‘’L’arbre le plus solide cède facilement aux intempéries, mais le saule survie en pliant sous le vent. Soit certaine qu’elle pliera sans aucun doute de nombreuses fois dans sa vie, mais qu’elle se relèvera toujours une fois la tempête terminé.’’ Elle le vit retirer ses lunettes, montrant un regard aveugle, mais l’homme lui offrit un clin d’œil et accepta son payement. Ce qu’avait vu cet homme dont le regard allait au-delà du monde physique la fit réfléchir.
Et elle décida de suivre les paroles sages qu’un homme au nom de Charlie Chaplin avait un jour prononcées. Si l’humour renforcerait l’instinct de survie en sauvegardant la santé de l’esprit, aussi détruite était la sienne, elle cacherait d’un sourire et d’une assurance solide ses incertitudes et son être brisé. Elle se convaincrait un jour elle-même qu’elle était un saule ou un bambou qui pliait et se relevait quelle que soit la tempête qui viendrait l’attaquer. Elle étudia plus de 3 années dans l’établissement qui la protégeait, prouvant ses compétences en passant les examens officiels. Elle qui ne ressentait pas de haine, mais un vide interstellaire, grandit au travers de ces trois années d’études. Âgé de 20 années lorsqu’elle quitta l’établissement, dans sa situation particulière, désormais que, selon l’auror qui était venu la tenir au courant de la recherche de ceux qui auraient pu survivre, la situation était sûr, elle comptait quitter l’établissement et en profiter pour voir du pays. Ou, plus précisément, quitter le Brésil subtilement pour éviter de supporter la famille qui avait signé un contrat de mariage avec son père, espérant secrètement que son père mort, le contrat n’était plus valide… Pour ce qui est des fonctions de son père, elle vendit son entreprise au plus offrant et entendit parler d’un établissement intéressant. Ni une ni deux, elle chercha a y déposer son inscription, espérant que se retrouver dans un pays dont l’histoire de sa famille n’avait pas été un sujet principale pendant des semaines et même des mois loin des événements du passé pourrait lui donner un semblant de renouveau. Même si son cœur était resté jusqu’ici dans la réserve faunique de son oncle. Installé peu de temps après son anniversaire, c’est donc avec un âge plus avancé de la moyenne qu’elle entama ses études, avec expérience du travail en magizoologie ‘’version familiale’’ et des études au sein d’un établissement spécialisé en botanique et magizoologie. Mais après tout, il n’y a pas vraiment d’âge pour retourner aux études pour avoir un diplôme et être dans les normes, non ? Surtout quand on a passé près de deux ans disparu et, ensuite, en soins et rééducation physique. Surtout quand on entre dans un établissement dans une situation particulière à l’âge de 17 années. Elle ne cherche pas un traitement de faveur et souhaite simplement rattraper les années, qu’elle aille ou non les compétences dans certains domaines bien avant ces cours. Après tout l’apprentissage à domicile était récurant dans le monde magique, mais connaître un peu de tout en se spécialisant un peu dans une autre domaine peut amener à certains manquement. Cours privés ou non.
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manuela espirito" [/code]- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Dim 3 Jan 2021 - 20:35
wow ook quelle fiche ! le rythme est incroyable, et fichtre, cette histoire fiou.
une survivante si pétillante, je suis sur qu'elle trouvera très vite sa place sur le forum. bienvenue parmi nous, fais comme chez toi
ton parrain sera nul autre que notre chef cuisto des plus gentils, @Sebastian Donovan, aussi trouvable sous le pseudo de @Ekwensu Hangbé. n'hésite pas à l'embêter, vraiment, tu trouveras pas plus gentille sur terre.
ma boîte à mp est aussi ouverte si tu as la moindre question
une survivante si pétillante, je suis sur qu'elle trouvera très vite sa place sur le forum. bienvenue parmi nous, fais comme chez toi
ton parrain sera nul autre que notre chef cuisto des plus gentils, @Sebastian Donovan, aussi trouvable sous le pseudo de @Ekwensu Hangbé. n'hésite pas à l'embêter, vraiment, tu trouveras pas plus gentille sur terre.
ma boîte à mp est aussi ouverte si tu as la moindre question
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Dim 3 Jan 2021 - 20:49
Bienvenue :3 <3
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Dim 3 Jan 2021 - 21:07
Hello Youuuu !
Olalala, ce vécu !
En tout cas, bienvenue ici !
Olalala, ce vécu !
En tout cas, bienvenue ici !
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Dim 3 Jan 2021 - 22:04
Welcome here petite étoile Brésilienne !
Ne t'inquiète surtout pas pour le fuseau horaire québécois, il est habité par quelques âmes ici (dont je fais parti!) et donc, tu n'y seras donc jamais rarement complètement seule !
Si tu as des questions, n'hésite surtout pas à me filer un petit MP, je suis une vieille chose et je connais bien le coin !
On a hâte de voir Manuela en action maintenant !
Ne t'inquiète surtout pas pour le fuseau horaire québécois, il est habité par quelques âmes ici (dont je fais parti!) et donc, tu n'y seras donc jamais rarement complètement seule !
Si tu as des questions, n'hésite surtout pas à me filer un petit MP, je suis une vieille chose et je connais bien le coin !
On a hâte de voir Manuela en action maintenant !
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Dim 3 Jan 2021 - 23:16
Comme elle est intéressante cette petite ! Bienvenue chez toi !
J'ai hâte de te croiser sur le fofo et de voir ce perso nous faire plein d'histoires
J'ai hâte de te croiser sur le fofo et de voir ce perso nous faire plein d'histoires
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Dim 3 Jan 2021 - 23:18
Merci pour l'accueil Je suis heureuse si l'histoire de ma fiche plaît ! Moi et mon style particulier Rejouer un personnage féminin après presque des années va me faire changement :3
@Sebastian Donovan D'autres québécois ? Habituellement je me calais à des heures de rp plus européen mais maintenant que les cours sont mon quotidien ça m'inquiétais un peu! Ça me rassure dans ce cas -^^- ! Et visiblement je n'aurai pas pu demander mieux qu'un cuistot comme parrain (crier chocolat, déjà, et j'arrive) La vielle chose que je suis risque de venir t'agacer entre deux plats j'ai commencé les forums il y a peu alors il m'arrive parfois d'être aussi perdu que dans ... enfin perdu perdu. (censure de l'expression des bas fond) ! Mes cours ne commenceront pas avant le 20 au moins (avec le confinement dure à dire) donc je vais avoir du temps pour m'habituer à ce forum génial :D
@Ruby Adams encore merci chou pour m'avoir présenter ce petit endroit -^^-
@Sebastian Donovan D'autres québécois ? Habituellement je me calais à des heures de rp plus européen mais maintenant que les cours sont mon quotidien ça m'inquiétais un peu! Ça me rassure dans ce cas -^^- ! Et visiblement je n'aurai pas pu demander mieux qu'un cuistot comme parrain (crier chocolat, déjà, et j'arrive) La vielle chose que je suis risque de venir t'agacer entre deux plats j'ai commencé les forums il y a peu alors il m'arrive parfois d'être aussi perdu que dans ... enfin perdu perdu. (censure de l'expression des bas fond) ! Mes cours ne commenceront pas avant le 20 au moins (avec le confinement dure à dire) donc je vais avoir du temps pour m'habituer à ce forum génial :D
@Ruby Adams encore merci chou pour m'avoir présenter ce petit endroit -^^-
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Lun 4 Jan 2021 - 9:47
Quel personnage, une fiche qui change, c'est un plaisir
Bienvenue parmi nous très chère, prends tes aises, installe toi bien, tu verras, on trouve tous notre place ici
Bienvenue parmi nous très chère, prends tes aises, installe toi bien, tu verras, on trouve tous notre place ici
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Lun 4 Jan 2021 - 11:29
ta nouvelle et grande famille
★ Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
★ Lorsque la paperasse sera enfin bouclée, tu pourras enfin commencer tes rps, faire ta fiche de liens, créer tes moyens de communication ou bien développer l'histoire de ton personnage dans ta bibliothèque personnelle.
★ Si le quidditch est ta passion (ou ton passe temps-favori, osef), n'hésite pas à agrandir les rangs de l'équipe de ta maison. Tu souhaites t'investir dans un club ou une association ? Alors viens donc en rejoindre un, c'est de ce côté. Tu peux également faire un tour du côté de notre marché aux liens pour te faire des amis ! *-*
★ Si tu te cherches un copain ou une idée de RP, n'hésite pas à passer ici pour trouver un partenaire ! Et quand tu auras amassé plein de gallions, une boutique avec plein d'objets et d'avantages est à ta disposition ! *--* D'ailleurs, si tu as pris un scénario ou que tu as privilégie un groupe qui manque de membres, viens te recenser ici pour acquérir tes gallions !
★ T'es paumé(e) ? Tu te demandes qui sont les étudiant(e)s qui sont dans la même filière ou la même année que toi ? Tu ne sais pas qui aime les femmes ou les hommes ici ? Tu aimerais savoir si ton voisin est un sang-pur ou un né-moldu ? Bah ne cherche plus ! Pour ça, y'a les : Référentiels de Hungcalf !
Have fun sur Hung !
PS :Bienvenue ici ! En voilà une sorcière forte et battante ! J'espère qu'elle va trouver ce qu'elle cherche à Hungcalf ! Hâte de la voir évoluer sur le forum !
Et t'inquiète pour ton fuseau horaire, on a des québécois et des français qui ne dorment jamais
Amuses-toi bien sur le forum !
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Lun 4 Jan 2021 - 11:33
Message de Mme Référentiels
Pétillante Manuela, je t'informe que tu es bien référencé(e) ici. Le référentiel de Hungcalf peut être utile pour savoir qui est du même sang que toi, qui fait quel métier, ou encore qui suit tes cours ! Le référentiel amoureux, lui, te permet de savoir qui est de la même orientation que toi, et quels sont les ships du moment. N'hésite pas à m'envoyer un mp pour me donner les infos concernant tes amours futurs, etc. Tout cela est rempli manuellement donc n'hésite pas à me contacter en cas d'oubli, d'erreur ou de modification à faire.
Amuse toi bien sur le forum
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Lun 4 Jan 2021 - 23:21
@Erwin Fumeterre Merci pour ce merveilleux accueil claire et précis ! J'ai hâte aussi de la voir évoluer et grandir au file des rp's (comme si elle n'était pas du tout contrôler par moi :') ) Je risque de me laisser tenter par un club, sans aucun doute, enfin, je risque d'attendre une ou deux publies déjà avant de décider ! <3 Encore merci pour cette belle validation, ça aide une paumée dans mon genre ! Je me perdrais même avec une carte du maraudeur !
@Pina Jakobsdóttir Merci pour le référencement ! J'espère m'y amuser autant que vous ! :)
@Pina Jakobsdóttir Merci pour le référencement ! J'espère m'y amuser autant que vous ! :)
- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8274
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : wcstedrose (ava)
» multinick : arty / joe / keir
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» année d'études : 10ème année
» options obligatoires & facultatives : ♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée
» particularité : animagus
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 8305
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Mar 5 Jan 2021 - 13:16
Ouaaaah trop belle bienvenue
je suis en retard mais osef on va être camarades de dragono donc si jamais tu souhaites un lien, n'hésite pas à aller toquer à la porte de Wyatt Nightingal
je suis en retard mais osef on va être camarades de dragono donc si jamais tu souhaites un lien, n'hésite pas à aller toquer à la porte de Wyatt Nightingal
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- InvitéInvité
Re: « De cette lueur de pitié dans l’âme de cet homme, elle fit un incendie qui le dévorerait. »
Mer 6 Jan 2021 - 7:23
@Wyatt Nightingal Quel retard ? Je n'ai vu aucun retard moi ;)
Camarade dragono Ce sera avec plaisir, je ne suis jamais contre des liens et des rencontres, surtout si elle sont intéressante... (osef, non intéressante aussi, j'ouvre mes bras à tout )
Camarade dragono Ce sera avec plaisir, je ne suis jamais contre des liens et des rencontres, surtout si elle sont intéressante... (osef, non intéressante aussi, j'ouvre mes bras à tout )
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