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I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 8:20
Je suis un Lufkin | pré-lien
« If I had a diamond heart. I'd walk straight through the bullet, bending like a tulip, blue-eyed and foolish, never mind the bruises. Into the fire, breaking through the wires »
WIZARD CARD INFORMATIONS Rédigez quelques lignes sur les particularités (physiques, intellectuelles ou magiques) de votre personnage ainsi que sa baguette, son épouvantard, son animal de compagnie, sa matière préférée ... bref, tout ce qui vous passe par la tête ! Des livres ouverts, recouvrant le sol, des pages arrachées virevoltent encore dans la pièce fermée. Des parchemins déroulés, déchirés recouvrent le lit, le sol, la tête rousse. Des plumes inutilisables, des taches d’encre recouvrent le sol, livres et vêtements. Commode ouverte, montagne d’habit sorti, plus rien n’est à sa place. Au sol, se retrouve également une tête rousse, genoux contre la poitrine, visage caché dans ceux-ci, les joues mouillées de larmes silencieuses, tenant dans sa main tremblante une baguette, prête à tout nettoyer au moindre bruit venant de l’extérieur. Le désordre, seul témoin de la crise qui vient d’arriver. Après tout, Victoria n’est pas digne d’être Blackthorn. Elle n’est pas digne d’être l’enfant de la prestigieuse famille. Elle est trop grande, sa peau trop blanche ou trop foncée, les épaules trop faibles. Pas assez puissante, pas assez forte, le dos marqué par son incapacité, par son idiotie, les blessures de l'esprit toujours à vif. Pas assez intelligente. La chambre regorge pourtant de savoir. Elle ne sera jamais assez, elle ne sera jamais la grande héritière ni même la grande rebelle. Le monde hors de ce cocon n’est pas pour elle. La vie sans les siens, invivable. Elle a besoin de leur soutien et de leur amour, même si parfois, il est drôlement montré. Douleurs et attention ou effacée sans attention, Victoria considère que c’est l’amour que la vieille génération lui porte. Elle souhaite le garder, sans celui-ci, elle est perdue, un monde qu’elle ne connaît pas, pas tout à fait prête à le découvrir non plus. Ses frères, sœurs et cousins lui sont indispensables, ils sont sa bouée et son ancre. Son phare et son échappatoire. Constamment, au bord de la noyade, son amour et sa loyauté pour sa famille la gardent hors de l’eau. Si sa famille devait se séparer, elle ne saurait que faire. Elle les adore tous, les chérit tous du fond de son cœur, personne dans cette famille ne peut faire de mal. Les problèmes ne sont que passager, ils n’en reviendront que plus forts ou plus séparer que jamais et la jeune femme redoute le moment où elle devra choisir sa bouée, la cruelle vérité qui lui déchire son seul moyen de survie. | :copyright:️ MiniPoney + google ◈ Sophie Turner |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
C'est dans cette partie que vous pourrez nous raconter la vie trépidante (ou pas) de votre personnage (rédigez votre histoire comme vous le sentez : roman, anecdotes ...). Il n'y a pas de nombre de lignes minimum imposé !
Don’t try to make yourself remember, Darling
Naître et vivre au manoir, c’était une expérience en soi. Peut-être qu'au départ, ça ne semble pas trop dramatique. Deux familles sous le même toit, ça peut paraître peuplé, mais avec une si grande maison, ce n’était pas le plus dérangeant. Non… Le plus dérangeant, c’étaient ses yeux, tapis dans l’ombre. Jamais ils ne dormaient, jamais ils ne se reposaient. Cachés dans tous les recoins possibles, au détour de chaque couloir, derrière la serrure de chaque porte, dans le placard à la porte entrouverte. Chaque pas, chaque mouvement de tête, tout était épié dans les moindres détails. Un cheveu déplacé par un coup de vent, de l’eau échappée sur une robe, une tache d’encre sur les doigts, le dos un peu trop vers l’avant, tout était un bon prétexte pour inviter ces ombres du manoir à sortir et réprimander. Ce n’était pas un petit coup sur les doigts, si seulement cela avait été le cas. Non. Les bouts de bois sortaient et c’était dans des cris de douleur ou dans un silence résigné, les larmes roulant librement sur les joues que l’enfant était puni. Il n’y avait nulle part où se cacher. Même les feux dans la cheminée radiant d’un froid glacial, loin d’inviter qui que ce soit à se réconforter dans leur chaleur éteinte. Non, cette chaleur n’était ni présente dans les lumières de la maison, ni dans les figures parentales. Ils étaient plus semblables à des statues de marbre qui lançaient leur laser dès qu’une mauvaise ligne était franchie. La chaleur, au manoir, ça n'existait pas. Ce n'était qu’une denrée rare, privilégiée entre frères et sœurs entre cousins et cousines. Chacun des enfants vit une expérience similaire, teintée de différences et de favoritisme pour éteindre ces dernières bulles de chaleur qui rendaient la vie supportable. Et pourtant, et pourtant, quitter cet endroit est toujours un pas infranchissable.
Victoria, elle était l’enfant du milieu. Un numéro de plus parmi tous les autres. Elle ne s’est pas démarquée par un esprit rebelle à supprimer à tout prix et elle n’était pas non plus le projet de l’héritière parfaite. Trop jeune pour être proche de ses aînées, trop vieille pour être proche de ses cadets. Un enfant au milieu, pas tout à fait à sa place ni dans l’un, ni dans l’autre groupe. Elle a eu ses moments, surtout dans la cuisine avec son grand frère, qui lui a montré tout ce qu'elle sait sur les pâtisseries, tous ces jolis moments avant qu’il ne quitte. Les petits fous rires et le désordre des choses, pour une fois où le soleil parvenait à franchir les immenses fenêtres de la maison. Les petites délicatesses sucrées ensuite partagées entre tous, gardées en secret, pour un moment moins joyeux. C’était l’un de ces petits moments qui parvenaient à réchauffer un cœur refroidi par les années sans amour. Puis, il partit. Victoria a continué les petites pâtisseries, mais elles n’avaient plus le même goût, ce n’était pas pareil. Sans oublier qu’elle jouissait d’un certain favoritisme de sa cousine, elle était gâtée par moment. Peut-être était-ce injuste, mais pour la rousse, chaque moment d’attention positif était à prendre, il y en avait si peu. Même si cela la séparait encore plus de ses cadets. Et pourtant, comment elle les aime tous. Elle se rappelle s’être occupée d’eux, lorsqu’ils avaient mal, lorsqu’il y avait des larmes à sécher. Sa chambre était un petit refuge, un petit sanctuaire où chacun était invité. Ils le seront toujours. Elle s’est toujours sentie en partie responsable, pour le malheur qui leur arrivait. Elle aurait dû mieux les protéger, mais tout ce qu’elle pouvait leur offrir, c’étaient les petites pâtisseries qui ne pouvaient réchauffer un cœur meurtri par la douleur.
But if I was gone Tomorrow…
Lors de ses onze ans, comme tout jeune sorcier, Victoria pût quitter pour Poudlard. Comme ses aînés avant elle et comme ses cadets le feront lorsque leur tour viendra. Si on lui demandait à quoi s’attendre lors de son départ vers l’école de sorcellerie, elle ne saurait pas exactement quoi y répondre. Probablement quelque chose de semblable à sa vie au manoir. Certes, elle connaissait les histoires de ceux qui y sont allés avant elle, mais s’imaginer ce monde différent, cela semblait trop joyeux, trop différent de ce qu’elle connaissait. Pourtant, dès qu'elle fût libre de s’asseoir où elle le voulait dans le train, rencontrer des gens avec qui elle n’avait pas passé sa vie, quelle expérience. Par contre, elle ne souhaitait jamais être trop loin de sa fratrie. Elle pouvait compter sur eux pour tout et elle avait besoin d’eux, dans ce monde si différent de ce qu’elle avait connu. La rousse part vers les Serdaigle, pas la maison la plus désirée, mais toutefois honorable. C’est là-bas, qu’elle rencontra une amie qui lui restera très proche tout le long de sa vie. Jamais elle n’aurait cru pouvoir apprécier quelqu’un qui ne faisait pas partie de sa famille tout aussi longtemps.
C’est loin de ces regards tapis dans l’ombre que Victoria goûta à ses premières libertés. Le commencement d’un désir qui restera longuement refoulé. Sentir la chaleur d’une maison pour la première fois, ne pas avoir peur de se faire punir dès que le coin est tourné. Ne pas entendre les cris ou le silence horrible des siens. Un poids enlevé des petites épaules qui ne tenaient presque plus. Cette légèreté, elle était magnifique, ce nouveau monde, bien plus coloré que le sien, il était si invitant. Pourtant, dès les portes du manoir nouvellement franchies, que cela soit à Noël ou bien pour les vacances d’été, les statues de marbre furent rapides à lui rappeler d’où elle venait. Elles avaient attendu non loin de la porte, et rapidement, le cerveau de la rousse fût marqué de ses échecs qui étaient inacceptables. Des notes portant la honte familiale, bien qu’elles soient en vérité parfaitement acceptables. La curiosité nouvellement libre de la jeune enfant fût rapidement emprisonnée dans une cage de silence. Cette créativité qui s’était épanouie, rapidement camouflée et oubliée entre des pages de vieux bouquins. Cela prit quelque temps, plusieurs punitions et voir quelques années, mais tout de même assez rapidement l’enfant apprit à séparer ses deux mondes. L’un dont elle ne voulait plus faire partie et puis l’autre, là où elle se sentait légère, capable de voler et de chanter comme elle était censée le faire.
Soudainement, l’oisillon arrêta de chanter. Abattue par une balle inattendue. Sa jeune cousine, son petit ange n’est plus. Elle n’avait pas de pouvoir magique, non, mais elle partageait son sang et son histoire et pour Victoria, elle devait la protéger à tout prix. Elle était si jeune, une enfant qui avait encore tant à vivre. Ce fut annoncé sans sentiments, après tout, ils étaient superflus aux yeux de ces statues qui régnaient sur la maison. Pourtant, la douleur ressentie. Cette douleur qui transperce dans la poitrine, qui brûle d’une intensité jamais vue auparavant. Incapable de respirer, incapable de sentir autre chose que ce trou béant, enfouie au plus profond de la cage thoracique, la gorge bloquée, le cerveau en ébullition, incompréhension, peur, colère et tristesse. Des larmes qui sortent aux pires moments, ou bien des larmes qui restent bloquées. Les yeux toujours humides ou bien connaissant une sécheresse jamais vue auparavant, les joues rouges, gonflées, les sillages bien visibles. L’envie de hurler, de courir, de sortir, mais aussi l’envie de se terrer, de se cacher, d’oublier. Une incompréhension, un refus d’y croire, les pensées noires. Jamais le manoir n’aura été si sombre, inhospitalier. Le temps ne passait plus ou passait trop rapidement. Même les couleurs avaient quitté l’école de magie, même les réconforts amicaux ne parvenaient pas à retirer la noirceur qui s’était installée chez la jeune rousse. Cette quinzième année de vie, elle n’était plus qu’un sombre tableau, où les souvenirs s'effacent avec le temps, où la réalité et la fiction n’avaient plus de limites claires et définies. Une année où la douleur fut plus forte que tout.
La fin de Poudlard n'annonce pas, par contre, la fin de la vie familiale. Elle n’était pas fiancée comme certains de sa fratrie, et elle avait été bien effacée du regard des statues. Ils avaient de nouveaux projets, de nouveaux problèmes de la part de ses cadets. Victoria était une ombre cachée, qui parvenait à se glisser ou du moins, à retarder ses obligations envers la famille. C’était également le départ vers l’université. Bien entendu, avec ses jolies notes aux ASPICS, et venant de la famille Blackthorn, il n’y avait pas d’autres choix. On aurait voulu qu'elle fasse Justice magique, mais Botanique et Magizoologie, c’était aussi respectable, après tout, il y avait possibilité de continuer pour la famille dans ce domaine. Surtout avec l’option potions. Pourtant, c’était la dragonologie qui l’intéressait le plus. Ces magnifiques créatures, si mystérieuses, il y avait là beaucoup à apprendre. Cependant, Victoria ne quitta pas le manoir familial. Non, elle y revenait dès que les cours se terminaient. Elle y reste avant de devoir retourner à Hungcalf. Elle y veille sur ses cadets. Ils sont si jeunes, ils ne devraient pas avoir à tout vivre seuls, ils ont probablement besoin de son soutien. Après tout, une famille, ça se soutient jusqu’au bout. Avec les années, ses cadets grandissaient aussi. Et bien que les relations changeaient, les statues faisaient un travail tout de même remarquable, même que, certains aînés s’y joignaient, Victoria les aimait malgré tout et ce n’est pas les tensions qui allaient l’empêcher de veiller sur eux. Cependant, il devait être temps pour elle de partir. Après quelques années à l’université, avec beaucoup d’échanges avec son frère Kaiden, elle était prête à quitter le nid. Du haut de ses 24 ans, il était temps. Il ne restait plus rien pour elle au manoir. Ses cadets pourraient s’en sortir sans elle, ils étaient bien plus forts qu’elle ne le serait jamais. Du moins, il avait fini par la convaincre. Elle avait fait ses valises, mais elle avait décidé de rester, le temps de suivre cette séance de nécromancie de la part de Kiran. Le trou dans sa poitrine ne s’était jamais vraiment refermé. Cependant, c’est cette même séance qui poussa Victoria à rester plus longtemps au manoir. Personne au courant de son proche départ, elle n’avait qu’à ranger ses valises et faire comme si rien n’était. Les soupçons et la possible séparation du clan, cela était suffisant pour que la jeune femme reste. Elle ne voudrait pas voir sa fratrie se séparer, ils étaient après tout, une famille, certes dysfonctionnelle, mais qui se devait de rester ensemble, ils avaient besoin les uns des autres après tout.
Is it selfish that I’m happy, as we pass the setting sun
Bien que les mois passent et que ceux-ci deviennent une année, puis deux, Victoria reste toujours au manoir lorsqu’elle n’est pas à Hungcalf. Témoin des problèmes que vivent ses cadets, elle essaye d’être là pour eux, mais ils ne sont pas toujours réceptifs. Cependant, elle peut toujours les amadouer avec des pâtisseries bien sucrées. Comme quoi, avec l’âge, pas tout ne change. Ses cadets sont également fiancés, et elle, on l’a un peu oublié. Plongée dans ses études, elle ne pose pas de problème, alors on l’oublie, parmi les murs sombres de la maison. Un meuble qui déambule à ses heures perdues. Cependant, bien que par moments, le fait qu’on passe le regard au-dessus de sa tête pour aller voir les plus jeunes, elle y vit dans une certaine tranquillité. Elle n’est pas obligée de répondre aux obligations familiales, mais en même temps, cela ne fait que renforcer son sentiment de ne pas être assez bien pour cette famille. S'ils avaient pu le faire plus tôt, on aurait laissé la jeune rousse sur le palier d'un orphelinat, histoire que l’on n'ait pas à s’en occuper. Bien que ces pensées la blessent, certains jours, Victoria reste heureuse dans cette place qui est la sienne. Elle peut veiller sur ses cadets qui restent encore au manoir et peut-être qu’elle peut faire voir à sa famille qu’ils doivent se soutenir, malgré les divisions récentes causées par cette nécromancie. Avec un peu d’espoir, les réponses qui ressortiront laisseront la famille se rapprocher.
Everything goes on
Don’t try to make yourself remember, Darling
Naître et vivre au manoir, c’était une expérience en soi. Peut-être qu'au départ, ça ne semble pas trop dramatique. Deux familles sous le même toit, ça peut paraître peuplé, mais avec une si grande maison, ce n’était pas le plus dérangeant. Non… Le plus dérangeant, c’étaient ses yeux, tapis dans l’ombre. Jamais ils ne dormaient, jamais ils ne se reposaient. Cachés dans tous les recoins possibles, au détour de chaque couloir, derrière la serrure de chaque porte, dans le placard à la porte entrouverte. Chaque pas, chaque mouvement de tête, tout était épié dans les moindres détails. Un cheveu déplacé par un coup de vent, de l’eau échappée sur une robe, une tache d’encre sur les doigts, le dos un peu trop vers l’avant, tout était un bon prétexte pour inviter ces ombres du manoir à sortir et réprimander. Ce n’était pas un petit coup sur les doigts, si seulement cela avait été le cas. Non. Les bouts de bois sortaient et c’était dans des cris de douleur ou dans un silence résigné, les larmes roulant librement sur les joues que l’enfant était puni. Il n’y avait nulle part où se cacher. Même les feux dans la cheminée radiant d’un froid glacial, loin d’inviter qui que ce soit à se réconforter dans leur chaleur éteinte. Non, cette chaleur n’était ni présente dans les lumières de la maison, ni dans les figures parentales. Ils étaient plus semblables à des statues de marbre qui lançaient leur laser dès qu’une mauvaise ligne était franchie. La chaleur, au manoir, ça n'existait pas. Ce n'était qu’une denrée rare, privilégiée entre frères et sœurs entre cousins et cousines. Chacun des enfants vit une expérience similaire, teintée de différences et de favoritisme pour éteindre ces dernières bulles de chaleur qui rendaient la vie supportable. Et pourtant, et pourtant, quitter cet endroit est toujours un pas infranchissable.
Victoria, elle était l’enfant du milieu. Un numéro de plus parmi tous les autres. Elle ne s’est pas démarquée par un esprit rebelle à supprimer à tout prix et elle n’était pas non plus le projet de l’héritière parfaite. Trop jeune pour être proche de ses aînées, trop vieille pour être proche de ses cadets. Un enfant au milieu, pas tout à fait à sa place ni dans l’un, ni dans l’autre groupe. Elle a eu ses moments, surtout dans la cuisine avec son grand frère, qui lui a montré tout ce qu'elle sait sur les pâtisseries, tous ces jolis moments avant qu’il ne quitte. Les petits fous rires et le désordre des choses, pour une fois où le soleil parvenait à franchir les immenses fenêtres de la maison. Les petites délicatesses sucrées ensuite partagées entre tous, gardées en secret, pour un moment moins joyeux. C’était l’un de ces petits moments qui parvenaient à réchauffer un cœur refroidi par les années sans amour. Puis, il partit. Victoria a continué les petites pâtisseries, mais elles n’avaient plus le même goût, ce n’était pas pareil. Sans oublier qu’elle jouissait d’un certain favoritisme de sa cousine, elle était gâtée par moment. Peut-être était-ce injuste, mais pour la rousse, chaque moment d’attention positif était à prendre, il y en avait si peu. Même si cela la séparait encore plus de ses cadets. Et pourtant, comment elle les aime tous. Elle se rappelle s’être occupée d’eux, lorsqu’ils avaient mal, lorsqu’il y avait des larmes à sécher. Sa chambre était un petit refuge, un petit sanctuaire où chacun était invité. Ils le seront toujours. Elle s’est toujours sentie en partie responsable, pour le malheur qui leur arrivait. Elle aurait dû mieux les protéger, mais tout ce qu’elle pouvait leur offrir, c’étaient les petites pâtisseries qui ne pouvaient réchauffer un cœur meurtri par la douleur.
But if I was gone Tomorrow…
Lors de ses onze ans, comme tout jeune sorcier, Victoria pût quitter pour Poudlard. Comme ses aînés avant elle et comme ses cadets le feront lorsque leur tour viendra. Si on lui demandait à quoi s’attendre lors de son départ vers l’école de sorcellerie, elle ne saurait pas exactement quoi y répondre. Probablement quelque chose de semblable à sa vie au manoir. Certes, elle connaissait les histoires de ceux qui y sont allés avant elle, mais s’imaginer ce monde différent, cela semblait trop joyeux, trop différent de ce qu’elle connaissait. Pourtant, dès qu'elle fût libre de s’asseoir où elle le voulait dans le train, rencontrer des gens avec qui elle n’avait pas passé sa vie, quelle expérience. Par contre, elle ne souhaitait jamais être trop loin de sa fratrie. Elle pouvait compter sur eux pour tout et elle avait besoin d’eux, dans ce monde si différent de ce qu’elle avait connu. La rousse part vers les Serdaigle, pas la maison la plus désirée, mais toutefois honorable. C’est là-bas, qu’elle rencontra une amie qui lui restera très proche tout le long de sa vie. Jamais elle n’aurait cru pouvoir apprécier quelqu’un qui ne faisait pas partie de sa famille tout aussi longtemps.
C’est loin de ces regards tapis dans l’ombre que Victoria goûta à ses premières libertés. Le commencement d’un désir qui restera longuement refoulé. Sentir la chaleur d’une maison pour la première fois, ne pas avoir peur de se faire punir dès que le coin est tourné. Ne pas entendre les cris ou le silence horrible des siens. Un poids enlevé des petites épaules qui ne tenaient presque plus. Cette légèreté, elle était magnifique, ce nouveau monde, bien plus coloré que le sien, il était si invitant. Pourtant, dès les portes du manoir nouvellement franchies, que cela soit à Noël ou bien pour les vacances d’été, les statues de marbre furent rapides à lui rappeler d’où elle venait. Elles avaient attendu non loin de la porte, et rapidement, le cerveau de la rousse fût marqué de ses échecs qui étaient inacceptables. Des notes portant la honte familiale, bien qu’elles soient en vérité parfaitement acceptables. La curiosité nouvellement libre de la jeune enfant fût rapidement emprisonnée dans une cage de silence. Cette créativité qui s’était épanouie, rapidement camouflée et oubliée entre des pages de vieux bouquins. Cela prit quelque temps, plusieurs punitions et voir quelques années, mais tout de même assez rapidement l’enfant apprit à séparer ses deux mondes. L’un dont elle ne voulait plus faire partie et puis l’autre, là où elle se sentait légère, capable de voler et de chanter comme elle était censée le faire.
Soudainement, l’oisillon arrêta de chanter. Abattue par une balle inattendue. Sa jeune cousine, son petit ange n’est plus. Elle n’avait pas de pouvoir magique, non, mais elle partageait son sang et son histoire et pour Victoria, elle devait la protéger à tout prix. Elle était si jeune, une enfant qui avait encore tant à vivre. Ce fut annoncé sans sentiments, après tout, ils étaient superflus aux yeux de ces statues qui régnaient sur la maison. Pourtant, la douleur ressentie. Cette douleur qui transperce dans la poitrine, qui brûle d’une intensité jamais vue auparavant. Incapable de respirer, incapable de sentir autre chose que ce trou béant, enfouie au plus profond de la cage thoracique, la gorge bloquée, le cerveau en ébullition, incompréhension, peur, colère et tristesse. Des larmes qui sortent aux pires moments, ou bien des larmes qui restent bloquées. Les yeux toujours humides ou bien connaissant une sécheresse jamais vue auparavant, les joues rouges, gonflées, les sillages bien visibles. L’envie de hurler, de courir, de sortir, mais aussi l’envie de se terrer, de se cacher, d’oublier. Une incompréhension, un refus d’y croire, les pensées noires. Jamais le manoir n’aura été si sombre, inhospitalier. Le temps ne passait plus ou passait trop rapidement. Même les couleurs avaient quitté l’école de magie, même les réconforts amicaux ne parvenaient pas à retirer la noirceur qui s’était installée chez la jeune rousse. Cette quinzième année de vie, elle n’était plus qu’un sombre tableau, où les souvenirs s'effacent avec le temps, où la réalité et la fiction n’avaient plus de limites claires et définies. Une année où la douleur fut plus forte que tout.
La fin de Poudlard n'annonce pas, par contre, la fin de la vie familiale. Elle n’était pas fiancée comme certains de sa fratrie, et elle avait été bien effacée du regard des statues. Ils avaient de nouveaux projets, de nouveaux problèmes de la part de ses cadets. Victoria était une ombre cachée, qui parvenait à se glisser ou du moins, à retarder ses obligations envers la famille. C’était également le départ vers l’université. Bien entendu, avec ses jolies notes aux ASPICS, et venant de la famille Blackthorn, il n’y avait pas d’autres choix. On aurait voulu qu'elle fasse Justice magique, mais Botanique et Magizoologie, c’était aussi respectable, après tout, il y avait possibilité de continuer pour la famille dans ce domaine. Surtout avec l’option potions. Pourtant, c’était la dragonologie qui l’intéressait le plus. Ces magnifiques créatures, si mystérieuses, il y avait là beaucoup à apprendre. Cependant, Victoria ne quitta pas le manoir familial. Non, elle y revenait dès que les cours se terminaient. Elle y reste avant de devoir retourner à Hungcalf. Elle y veille sur ses cadets. Ils sont si jeunes, ils ne devraient pas avoir à tout vivre seuls, ils ont probablement besoin de son soutien. Après tout, une famille, ça se soutient jusqu’au bout. Avec les années, ses cadets grandissaient aussi. Et bien que les relations changeaient, les statues faisaient un travail tout de même remarquable, même que, certains aînés s’y joignaient, Victoria les aimait malgré tout et ce n’est pas les tensions qui allaient l’empêcher de veiller sur eux. Cependant, il devait être temps pour elle de partir. Après quelques années à l’université, avec beaucoup d’échanges avec son frère Kaiden, elle était prête à quitter le nid. Du haut de ses 24 ans, il était temps. Il ne restait plus rien pour elle au manoir. Ses cadets pourraient s’en sortir sans elle, ils étaient bien plus forts qu’elle ne le serait jamais. Du moins, il avait fini par la convaincre. Elle avait fait ses valises, mais elle avait décidé de rester, le temps de suivre cette séance de nécromancie de la part de Kiran. Le trou dans sa poitrine ne s’était jamais vraiment refermé. Cependant, c’est cette même séance qui poussa Victoria à rester plus longtemps au manoir. Personne au courant de son proche départ, elle n’avait qu’à ranger ses valises et faire comme si rien n’était. Les soupçons et la possible séparation du clan, cela était suffisant pour que la jeune femme reste. Elle ne voudrait pas voir sa fratrie se séparer, ils étaient après tout, une famille, certes dysfonctionnelle, mais qui se devait de rester ensemble, ils avaient besoin les uns des autres après tout.
Is it selfish that I’m happy, as we pass the setting sun
Bien que les mois passent et que ceux-ci deviennent une année, puis deux, Victoria reste toujours au manoir lorsqu’elle n’est pas à Hungcalf. Témoin des problèmes que vivent ses cadets, elle essaye d’être là pour eux, mais ils ne sont pas toujours réceptifs. Cependant, elle peut toujours les amadouer avec des pâtisseries bien sucrées. Comme quoi, avec l’âge, pas tout ne change. Ses cadets sont également fiancés, et elle, on l’a un peu oublié. Plongée dans ses études, elle ne pose pas de problème, alors on l’oublie, parmi les murs sombres de la maison. Un meuble qui déambule à ses heures perdues. Cependant, bien que par moments, le fait qu’on passe le regard au-dessus de sa tête pour aller voir les plus jeunes, elle y vit dans une certaine tranquillité. Elle n’est pas obligée de répondre aux obligations familiales, mais en même temps, cela ne fait que renforcer son sentiment de ne pas être assez bien pour cette famille. S'ils avaient pu le faire plus tôt, on aurait laissé la jeune rousse sur le palier d'un orphelinat, histoire que l’on n'ait pas à s’en occuper. Bien que ces pensées la blessent, certains jours, Victoria reste heureuse dans cette place qui est la sienne. Elle peut veiller sur ses cadets qui restent encore au manoir et peut-être qu’elle peut faire voir à sa famille qu’ils doivent se soutenir, malgré les divisions récentes causées par cette nécromancie. Avec un peu d’espoir, les réponses qui ressortiront laisseront la famille se rapprocher.
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<bottin><pris>●</pris> <b>sophie turner</b> ━ @"victoria blackthorn "</bottin>
- InvitéInvité
Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 9:01
Bienvenue parmi nous
Tu vas faire des heureux.ses avec ce pré-lien et ce ne sont pas @Juliet Blackthorn, @James Blackthorn et @Cataleya Blackthorn qui diront le contraire
Bon courage pour la suite de ta fiche et n'hésite pas si tu as la moindre question
Tu vas faire des heureux.ses avec ce pré-lien et ce ne sont pas @Juliet Blackthorn, @James Blackthorn et @Cataleya Blackthorn qui diront le contraire
Bon courage pour la suite de ta fiche et n'hésite pas si tu as la moindre question
- InvitéInvité
Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 9:03
Bienvenue MiniPoney!
Je suis sûre que tu vas t'épanouir sur le forum. Tu as rejoint une famille très soudée (hrp et irp) qui adore accueillir les nouveaux venus. Je n'ai aucun doute que ça va très bien se passer pour ton intégration.
Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas, nous sommes disponibles
Je suis sûre que tu vas t'épanouir sur le forum. Tu as rejoint une famille très soudée (hrp et irp) qui adore accueillir les nouveaux venus. Je n'ai aucun doute que ça va très bien se passer pour ton intégration.
Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas, nous sommes disponibles
- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 9:21
Officiellement BIENVENUE sur Hungcalf
Ton choix de prénom est absolument RO-YAL (et magnifique huhu), je suis archi-fan
et ne serait-ce pas notre 2e rousse BT que je vois ?
J'ai hâte de lire le reste de ta fiche, en espérant que tu t'amuses parmi nous
Ton choix de prénom est absolument RO-YAL (et magnifique huhu), je suis archi-fan
et ne serait-ce pas notre 2e rousse BT que je vois ?
J'ai hâte de lire le reste de ta fiche, en espérant que tu t'amuses parmi nous
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
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- merci :
- James BlackthornADMIN ☽ ○ ☾ Ice child of Gaïa
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Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 9:23
Bienvenue !!! Trop contente que tu aies craqué, tu vas voir, ça va être trop bien
Hâte de lire la suite aussi
Hâte de lire la suite aussi
– the best –
- InvitéInvité
Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 10:11
Merci à vous
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 13:14
Je me répète mais ce choix de FC est par-fait tout comme le début de ta fiche que je viens de lire ! J'ai énormement hâte de lire la suite et de découvrir Tertia sous ta plume !
Tu le sais déjà, mais n'hesite pas si tu as besoin de quoi que ce soit
Ah et ... j'oubliais l'essentiel... BIENVENUE
Tu le sais déjà, mais n'hesite pas si tu as besoin de quoi que ce soit
Ah et ... j'oubliais l'essentiel... BIENVENUE
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
- pride:
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
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Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 13:45
Elle a l'air tellement pipoute !J'ai tellement hâte de lire la suite !!
Bon courage pour ta fiche !
Bon courage pour ta fiche !
- InvitéInvité
Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 15:28
Merci
J'espère que votre nouvelle sœur vous plaira, parce que vous lui plaisez
J'espère que votre nouvelle sœur vous plaira, parce que vous lui plaisez
- InvitéInvité
Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 19 Sep 2022 - 17:00
Je te souhaite officiellement la bienvenue parmi nous !!!
Et bon courage pour la fin de ta fiche !
Et bon courage pour la fin de ta fiche !
- InvitéInvité
Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Jeu 22 Sep 2022 - 15:18
Merci, merci
Je termine bientôt, juste un peu prise par le taf et les cours, ce week-end c'est bouclé normalement
Je termine bientôt, juste un peu prise par le taf et les cours, ce week-end c'est bouclé normalement
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
- » parchemins postés : 1972
» miroir du riséd : ester expósito
» crédits : alcaline (ava) ; crackship (code sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : miguel pajares & calliope muller & andrew hill
» âge : 24 ans (depuis le 02/09/2023)
» situation : fiancé à son cousin nullus blackthorn.
» année d'études : 6eme année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Potion (+), Sortilèges (+) et Médicomagie (++)ㅡ options facultatives :▣ Etude des Runes (++).
» profession : interne aux urgences de sainte marie d'inverness
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 4258
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Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 26 Sep 2022 - 14:37
ta nouvelle et grande famille
★ Hey, tu l'as fait ! Ta fiche est terminée et les portes vers les délices du rp s'ouvrent à toi, bravo ! Toute l'équipe du staff te souhaite officiellement la bienvenue et espère que tu t'amuseras bien parmi nous ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un mp ou bien crier à l'aide sur la CB, les
★ Afin de te guider au mieux dans cette nouvelle aventure, voici le guide du nouveau joueur ou tu trouveras toutes les informations nécessaires à ton intégration ! Métier, chambre à l'université, quidditch, ou bien refaire un tour dans les annexes... Ne t'inquiètes de rien, tout y est expliqué !
★ Que tu sois professeur.e ou étudiant.e, nous t'invitons également à faire un tour dans le guide du professeur, qui te donnera toutes les informations nécessaires sur le fonctionnement des cours de l'université ! Bon jeu parmi nous et à bientôt, en rp!
Quel plaisir de voir ta version de Tertia prendre vie sous ta plume ! J'ai adoré les métaphores pour parler des parents, enfaites toutes les métaphores qui ponctuent ton histoire ! Ce fut vraiment plaisant à lire et j'ai très très hâte de voir Victoria évoluer ! Encore bienvenue sur Hungcalf ! N'oublie surtout pas de venir me voir pour qu'on se lance un RP !
SUNSHINE
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- pride:
- Peter DrummondOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 1701
» miroir du riséd : Ezra Miller
» crédits : © avatar: the-curious-corvidae - strange-hell - unknown ; id-gifs: brasillovers - BryceH - rdhoods - ; signature-code: magma ; signature-gifs: keiynan-lonsdale - soletear; signature-text: calum scott 'you are the reason'
» multinick : isabelle d'essenault (la bg)
» âge : 27 yo (12.09.1996)
» situation : en couple
» année d'études : 9ème année
» options obligatoires & facultatives :
ㅡ options obligatoires :
▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.
ㅡ options facultatives :
▣ Métamorphose, Sortilèges et Littérature Magique.
ㅡ objet de thèse :
▣ Fruit de l'hybridation : sa reproduction magique en laboratoire et la réattribution de ses particularités dans le domaine cosmétique.
Mes blases :
▣ Rends-nousvisite!
» profession : employé chez Becs et museaux (animalerie)
» particularité : semi-vélane
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1475
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Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 26 Sep 2022 - 21:38
Mega welcomeuh dans la meilleure des mi-fa!
Je suis sûr que tu vas trouver ton bonheur parmi nous. Tu vas voir, les gens sont presque normaux.
Je suis sûr que tu vas trouver ton bonheur parmi nous. Tu vas voir, les gens sont presque normaux.
┗ February Showers ┛
ஃ There goes my heart beating, cause you are the reason I'm losing my sleep. If I could turn back the clock, I'd spend every hour of every day keeping you safe. I'd climb every moutain just to be with you. (c) C. Scott ஃ
- InvitéInvité
Re: I wish that my heart was made of stone - Victoria Tertia Blackthorn
Lun 26 Sep 2022 - 22:32
Merciiiii pour la validation
@Peter Drummond Merciii! Et oui...j'ai cru apercevoir un peu de cette normalité
@Peter Drummond Merciii! Et oui...j'ai cru apercevoir un peu de cette normalité
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