- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
- » parchemins postés : 1972
» miroir du riséd : ester expósito
» crédits : alcaline (ava) ; crackship (code sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : miguel pajares & calliope muller & andrew hill
» âge : 24 ans (depuis le 02/09/2023)
» situation : fiancé à son cousin nullus blackthorn.
» année d'études : 6eme année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Potion (+), Sortilèges (+) et Médicomagie (++)ㅡ options facultatives :▣ Etude des Runes (++).
» profession : interne aux urgences de sainte marie d'inverness
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 4258
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very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Ven 9 Déc 2022 - 14:27
7 novembre 2022 - Vers 17 heures.
La moufette, c'était un lieu que Juliet avait toujours tant aimé. Elle l'avait fuit, à contre coeur, alors que ses fiancailles avec l'hériter français des Leroy avaient été annulées. Mais depuis que ses relations avec Maximilien, qui n'y travaillait plus depuis, étaient revenues au beau fixe, elle était contente de trouver l'atmosphère conviviale et sucrée de l'endroit. Même si elle ne pouvait s'empêcher de se dire que la gérante avait depuis légèrement abusé sur le rose en matière de décoration. Mais les thés étaient toujours parfait, tout comme les patisseries.
@Sophie Lacroix-Duvall vient de partir. Elle est de garde à Sainte-Marie ce soir alors que Juliet est en repos. Si on pouvait vraiment appeler ça du repos... les examens de milieu d'année arrivaient beaucoup trop vite à son goût et compte tenu des résultats très moyens qu'elle avait obtenu lors de ses derniers examens de fin d'année... Elle savait qu'il faudrait rapidement redresser la barre.
Elle aurait pu rentrer chez elle, mais compte tenu des derniers évènements, elle savait qu'elle risquait de ne pas être bien concentré sur ce manuel de botanique qu'elle devait lire. La bibliothèque n'avait jamais été un lieu de prédilection pour la jeune Blackthorn. Et puis, pourquoi changer d'endroit alors qu'elle avait sur elle le manuel en question et que le thé était à volonté ?
Elle avait donc demandé une nouvelle théière à l'abricot et au romarin à la gérante qui se confondaient en sourire. Elle avait sorti l'épais livre et choisi de commencer par le spécimen qu'ils avaient pu voir en classe. Elle regrettait de ne pas avoir proposé à Joaquin de participer à ses révisions, elle appréciait sa présence même lorsqu'il ne s'agissait pas de Botanique. Parfois son regard abandonnait les pages parcheminées pour se perdre sur les passants qu'elle voyait au travers de la fenêtre près de laquelle elle était installée.
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
- pride:
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Ven 9 Déc 2022 - 16:29
Abattant soudainement son ouvrage de médicomagie sur la table d'une blonde au regard perdu, Cataleya manque de peu la tasse, et fait à dire vrai fit de la réaction de sa jeune cousine, prenant place face à elle, sans un regard pourtant. Si le poids de l'ouvrage sauvagement abattu sur la table arrache un sursaut à la responsable et darde sur Cataleya un regard dès plus surprit, c'est le plus poliement possible qu'elle commande un thé à l'amande et l'érable, ainsi qu'une part de cake citron / vanille, qu'elle pousse machinalement en direction de Juliet, ne sachant ouvertement pas comment l'aborder.
Un bonjour aurait été suffisant, une attaque ouverte au bouquin optionnelle, et peut être qu'un regard, un sourire aurait pu aider la chose. Alors, un long soupire au bout des lèvres, Cataleya s'efforce de reprendre. Revenir un peu sur ses pas, le plus difficilement du monde.
« Bonjour, Juliet. Ca fait longtemps que je ne t'ai pas vu ici, tu as manqué l'attroupement qui suivait chacun des pas de ton ex fiancé, et c'était désolant, crois moi. » Des groupies hurlant presque à la mort dès lors qu'il leur offrait un sourire. Un carnage pour le peu de philanthropie qui palpitait encore dans son cœur. « Mais ce n'est pas plus mal, réviser était devenu de toute manière impossible. »
Elle marque un silence, cherchant pour la première fois depuis trop longtemps le regard de sa cousine, comme pour trouver un appui solide, ou ne serait-ce qu'aborder du mieux qu'elle le pouvait les question venue éclore sur ses lèvres, maintenant qu'elle savait SA table de révision occupée par une autre qu'elle. C'était peut être l'occasion d'aborder ce qu'elle avait vu trois jours précédemment, là bas, au abord de la taverne du troll...
Sa tasse se dépose doucement devant elle et, c'est dans doux sourire que Cataleya remercie finalement la serveuse venu accompagner sa part de gâteau.
« On... Peut discuter toi et moi ? » Après s'être imposée de la sorte, avoir commandé, et offert un vague gâteau pour toute compensation, demander le consentement de ta cousine était effectivement une bonne idée. « Parce que nous n'avons pas eu de véritable discussion depuis.... Mmh. Avril ? » Force était d'admettre que les regards hostiles qu'elle lui jettait pendant qu'elle piquait ses petits poids n'étaient en rien des discussions valables, ni les piques qu'elle lui soufflait au visage pour ponctuer leur trop long silence d'ailleurs.
Un bonjour aurait été suffisant, une attaque ouverte au bouquin optionnelle, et peut être qu'un regard, un sourire aurait pu aider la chose. Alors, un long soupire au bout des lèvres, Cataleya s'efforce de reprendre. Revenir un peu sur ses pas, le plus difficilement du monde.
« Bonjour, Juliet. Ca fait longtemps que je ne t'ai pas vu ici, tu as manqué l'attroupement qui suivait chacun des pas de ton ex fiancé, et c'était désolant, crois moi. » Des groupies hurlant presque à la mort dès lors qu'il leur offrait un sourire. Un carnage pour le peu de philanthropie qui palpitait encore dans son cœur. « Mais ce n'est pas plus mal, réviser était devenu de toute manière impossible. »
Elle marque un silence, cherchant pour la première fois depuis trop longtemps le regard de sa cousine, comme pour trouver un appui solide, ou ne serait-ce qu'aborder du mieux qu'elle le pouvait les question venue éclore sur ses lèvres, maintenant qu'elle savait SA table de révision occupée par une autre qu'elle. C'était peut être l'occasion d'aborder ce qu'elle avait vu trois jours précédemment, là bas, au abord de la taverne du troll...
Sa tasse se dépose doucement devant elle et, c'est dans doux sourire que Cataleya remercie finalement la serveuse venu accompagner sa part de gâteau.
« On... Peut discuter toi et moi ? » Après s'être imposée de la sorte, avoir commandé, et offert un vague gâteau pour toute compensation, demander le consentement de ta cousine était effectivement une bonne idée. « Parce que nous n'avons pas eu de véritable discussion depuis.... Mmh. Avril ? » Force était d'admettre que les regards hostiles qu'elle lui jettait pendant qu'elle piquait ses petits poids n'étaient en rien des discussions valables, ni les piques qu'elle lui soufflait au visage pour ponctuer leur trop long silence d'ailleurs.
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Mar 13 Déc 2022 - 22:35
Même lorsqu'elle abandonnait quelques instants ses révisions pour laisser son regard flâner dans la rue, elle n'était pas bien concentré. Peut être que si ça avait été le cas, elle aurait vu une crinière rousse et alors les voyants de danger se seraient allumés dans son esprit. Elle aurait fait en sorte de disparaitre rapidement, même si elle abohrait toujours les transplanages depuis cette grossesse qui c'était mal terminée.
La surprise ne manque pas de la saisir alors qu'un bruit sourd vient tourmenter ses révisions mal engagées. Le livre de médicomagie avancé, il aurait pu être à n'importe qui mais elle aurait reconnu l'impeccable manucure entre mille. Elle serre les dents sans rien dire alors que Quarta s'installe et commande sans y être franchement invitée. Pourtant, la mention d'un ex-fiancé de la part de la rousse ne manque pas de piquer sa curiositer.
- Maximilien ?
Le ton est froid alors même que Cataleya faisait visiblement de gros efforts pour lui être agréable. Effectivement, elles n'avaient guère discuté depuis avril et pour cause... Juliet n'avait pas supporter les accusations de sa presque-soeur alors qu'Elio était encore alité à Sainte Marie suite à l'agression qu'elle avait mit sur le compte paternel.
- Tu veux discuter ?
Elle darde sur la Lufkin un regard distant mais dissimule mal sa surprise. Leur relation était tellement plus belle alors qu'elles s'ignoraient franchement. C'était encore la meilleure version d'elles même. Mais connaissant Cataleya, il était rarement question de discuter. En général, sa cousine était plutôt portée sur les critiques vicieuses et les accusations litigieuses. La blonde fronce les sourcils et ne prend pas la peine de fermer son livre avant d'affirmer tel un avertissement.
- Je n'ai ni la force ni l'envie d'entendre des horreurs de ta part.
La surprise ne manque pas de la saisir alors qu'un bruit sourd vient tourmenter ses révisions mal engagées. Le livre de médicomagie avancé, il aurait pu être à n'importe qui mais elle aurait reconnu l'impeccable manucure entre mille. Elle serre les dents sans rien dire alors que Quarta s'installe et commande sans y être franchement invitée. Pourtant, la mention d'un ex-fiancé de la part de la rousse ne manque pas de piquer sa curiositer.
- Maximilien ?
Le ton est froid alors même que Cataleya faisait visiblement de gros efforts pour lui être agréable. Effectivement, elles n'avaient guère discuté depuis avril et pour cause... Juliet n'avait pas supporter les accusations de sa presque-soeur alors qu'Elio était encore alité à Sainte Marie suite à l'agression qu'elle avait mit sur le compte paternel.
- Tu veux discuter ?
Elle darde sur la Lufkin un regard distant mais dissimule mal sa surprise. Leur relation était tellement plus belle alors qu'elles s'ignoraient franchement. C'était encore la meilleure version d'elles même. Mais connaissant Cataleya, il était rarement question de discuter. En général, sa cousine était plutôt portée sur les critiques vicieuses et les accusations litigieuses. La blonde fronce les sourcils et ne prend pas la peine de fermer son livre avant d'affirmer tel un avertissement.
- Je n'ai ni la force ni l'envie d'entendre des horreurs de ta part.
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» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Mer 14 Déc 2022 - 0:27
« J'ignore si on peut qualifier le combat d'Elio contre ton ami aux cheveux long d'horreur. Certain on trouvé ça divertissant... »
Ca lui avait presque échappé, mais c'est le plus sereinement du monde que Quarta porte ses lèvres à sa boisson, observant longuement les réactions de sa cousine, comme pour s'assurer qu'elle pouvait progresser sur le chemin épineux qui lui faisait face sans se fracturer une jambe. C'était donc ça, ce que vivait son entourage à longueur de temps et ce, dès lors qu'ils tentaient de l'approcher ? C'était infiniment plus satisfaisait à observer de l'autre côté du miroir, soyons honnête. Et jouer les médiateurs ne sied pas vraiment à l'humeur de Cataleya mais... Pouvait-elle seulement faire comme si elle n'avait rien vu, en sachant le sujet autant proche du coeur de la blonde ? Et puis, plus elle y réfléchissait et plus elle en était désormais certaine, c'était bien l'odeur de Juliet qu'elle avait deviné, là, tapis sous les milles effluves que portait les cheveux de l'amérindien.
« Et concevant en tout point la méfiance que tu peux nourrir envers mes propos, je citerait les noms de Wyatt Mora, Wistéria, le tout nouvel ambumage au nez fracassé par ton ami, un collègue du service d'Elio et... Grosso modo toute les personnes ayant bu un verre à la taverne du troll il y a trois jours comme témoins. »
Elle ramène doucement le gâteau jusqu'à elle, hésite un temps mais s'autorise finalement à prendre une part avant de le pousser de nouveau contre l'ouvrage de la dernière née Blackthorn. « Je n'ai ni la force, ni l'énergie de me lancer dans une joute verbale, alors fait de cette information ce que tu veux. Elle paraitra certainement dans le chineur sous peu, si ce n'est pas les rumeurs de l’hôpital qui te tiendront au courant de ce qui se dit. Elio a fracturé au moins une ou deux côtes de ce.... » Merde. C'était quoi son nom ? Elle claque deux fois des doigts, mais se contente de dégainer son portable pour remonter le fil de discussion avec Wyatt qu'elle tend finalement à Juliet. « Jolan. C'est ça. »
Si c'est presque irrépressiblement qu'elle veut arracher son portable de la table, pour taire des discussions parfois très équivoque avec Wyatt, c'est le plus calmement du monde qu'elle s'obliger à poser ses mains sur la table. Dresser des réflexes un peu trop hostile. « Ton très cher urgentiste a fini amoché, mais à moindre mesure. Étant ivre, Wyatt l'a veillé toute la nuit. »
Elle étrangle tout jugement de valeur Quarta, et toute blague un peu trop glauque qui, elle le sait, ne passerait pas entre les mains trop tendue de Juliet. Et ça lui en coutait, à Quarta, de ne pas ponctuer ses phrases d'inquiétude. Si elle avait sû cette bonne patte d'Elio violent une fois alcoolisée, c'était elle qui lui aurait collé un pain et interdit d'approcher sa cousine. Et sans la moindre hésitation. Cela aurait peut être évité son hospitalisation, qui sait...
Sirotant doucement son thé, Quarta garde un œil sur son portable, petite fenêtre ouverte sur sa vie privée. Prête, à dire vrai, à le reprendre à l'annonce de toute notification nouvelle. Elle n'avait pas spécialement envie que la blonde puisse lire ses conversations avec Miguel ou James. Et si elle remontait plus encore le fil de la conversation de Wyatt, sans doute finirait-elle rouge pivoine devant les rapports un peu trop détaillé que fournissait la rousse à son ami à chaque fois qu'elle se motivait à séduire James. Elle était quasis certaine de lui avoir envoyé une photo d'elle en vieux pull et culotte, et cette simple réminiscence la fit soudainement porter sa main à son portable. Le faisant précautionneusement glisser jusqu'à elle.
« Je te laisse mener ton enquête et croiser tes sources, tu es grande. »
Ca lui avait presque échappé, mais c'est le plus sereinement du monde que Quarta porte ses lèvres à sa boisson, observant longuement les réactions de sa cousine, comme pour s'assurer qu'elle pouvait progresser sur le chemin épineux qui lui faisait face sans se fracturer une jambe. C'était donc ça, ce que vivait son entourage à longueur de temps et ce, dès lors qu'ils tentaient de l'approcher ? C'était infiniment plus satisfaisait à observer de l'autre côté du miroir, soyons honnête. Et jouer les médiateurs ne sied pas vraiment à l'humeur de Cataleya mais... Pouvait-elle seulement faire comme si elle n'avait rien vu, en sachant le sujet autant proche du coeur de la blonde ? Et puis, plus elle y réfléchissait et plus elle en était désormais certaine, c'était bien l'odeur de Juliet qu'elle avait deviné, là, tapis sous les milles effluves que portait les cheveux de l'amérindien.
« Et concevant en tout point la méfiance que tu peux nourrir envers mes propos, je citerait les noms de Wyatt Mora, Wistéria, le tout nouvel ambumage au nez fracassé par ton ami, un collègue du service d'Elio et... Grosso modo toute les personnes ayant bu un verre à la taverne du troll il y a trois jours comme témoins. »
Elle ramène doucement le gâteau jusqu'à elle, hésite un temps mais s'autorise finalement à prendre une part avant de le pousser de nouveau contre l'ouvrage de la dernière née Blackthorn. « Je n'ai ni la force, ni l'énergie de me lancer dans une joute verbale, alors fait de cette information ce que tu veux. Elle paraitra certainement dans le chineur sous peu, si ce n'est pas les rumeurs de l’hôpital qui te tiendront au courant de ce qui se dit. Elio a fracturé au moins une ou deux côtes de ce.... » Merde. C'était quoi son nom ? Elle claque deux fois des doigts, mais se contente de dégainer son portable pour remonter le fil de discussion avec Wyatt qu'elle tend finalement à Juliet. « Jolan. C'est ça. »
Si c'est presque irrépressiblement qu'elle veut arracher son portable de la table, pour taire des discussions parfois très équivoque avec Wyatt, c'est le plus calmement du monde qu'elle s'obliger à poser ses mains sur la table. Dresser des réflexes un peu trop hostile. « Ton très cher urgentiste a fini amoché, mais à moindre mesure. Étant ivre, Wyatt l'a veillé toute la nuit. »
Elle étrangle tout jugement de valeur Quarta, et toute blague un peu trop glauque qui, elle le sait, ne passerait pas entre les mains trop tendue de Juliet. Et ça lui en coutait, à Quarta, de ne pas ponctuer ses phrases d'inquiétude. Si elle avait sû cette bonne patte d'Elio violent une fois alcoolisée, c'était elle qui lui aurait collé un pain et interdit d'approcher sa cousine. Et sans la moindre hésitation. Cela aurait peut être évité son hospitalisation, qui sait...
Sirotant doucement son thé, Quarta garde un œil sur son portable, petite fenêtre ouverte sur sa vie privée. Prête, à dire vrai, à le reprendre à l'annonce de toute notification nouvelle. Elle n'avait pas spécialement envie que la blonde puisse lire ses conversations avec Miguel ou James. Et si elle remontait plus encore le fil de la conversation de Wyatt, sans doute finirait-elle rouge pivoine devant les rapports un peu trop détaillé que fournissait la rousse à son ami à chaque fois qu'elle se motivait à séduire James. Elle était quasis certaine de lui avoir envoyé une photo d'elle en vieux pull et culotte, et cette simple réminiscence la fit soudainement porter sa main à son portable. Le faisant précautionneusement glisser jusqu'à elle.
« Je te laisse mener ton enquête et croiser tes sources, tu es grande. »
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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» âge : 24 ans (depuis le 02/09/2023)
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Ven 30 Déc 2022 - 17:06
Juliet s'efforçait à garder ses yeux azurés sur les symptômes de la dragoncelle et non plus les relever vers la rouquine qui lui servait de cousine. Ne pas trop la regarder, ni l'écouter... Ca serait lui donner trop d'importance voyez-vous. Et quand Cataleya se gonfle d'ego... « J'ignore si on peut qualifier le combat d'Elio contre ton ami aux cheveux long d'horreur. Certain on trouvé ça divertissant... ». Evidemment, la douce Blackthorn abandonne ses principes pour fixer le visage de la plus noire des épines, à l'affut du moindre signe trahissant un mensonge.
Et puis ça lui revient. Les gémissements sourds. Le sang dans ses cheveux. La bosse sous ses doigts. L'odeur si particulière de @Jolan Wauters ce soir là lui remonterait presque aux narines, directement venue de son hippocampe. Ca ne pouvait être une coiencidence mais voyant son hésitation, Cataleya étalait fièrement ses sources.
Elle serre les dents, l'interne, pour ne pas se précipiter en question et montrer trop d'intêrets. Elle serre les dents, sur la façon méprisante qu'elle avait eu de prononcer le prénom de l'Amérindien. Elle serre les dents, attendant qu'elle lâche enfin l'information de savoir si @Elio Cooper allait bien sans qu'elle ait à lui demander. Et finalement, elle apprend qu'il va bien. Ou du moins pas trop mal. Le soulagement l'etreint mais elle ne le manifeste pas.
Elle touche à peine au portable que la rousse lui montre en signe de bonne foi, lisant rapidement les messages qui sont censé être d'irréfutables preuves. Elle ne connait pas personnelement Wyatt mais elle sait qu'il tient assez à Elio pour prendre soin de lui. Et pour la detester elle, à l'image de son cousin Matéo. Et peut-être à raison. Elle ne touche absolument pas au gâteau que Quarta pousse vers elle.
- Et bien, tu t'es donné du mal pour être bien certaine que je te crois sur parole.
Répond-elle sans prétendre qu'elle doutait encore que cette histoire soit arrivée. Elle était persuadée que sa cousine pouvait être une affabulatrice, mais là, elle la croyait.
- Par contre, je ne vois pas très bien en quoi ça me concerne. Je n'ai pas revu Elio depuis des semaines et comme tu le sais très bien, nous avons rompu.
Pieu mensonge, elle avait couché avec elle quelques semaines auparavant. Un moment d'égarement dans le passé...
- Quant à Jolan, il dort dans le salon parce qu'un de mes coloc le lui a proposé.
Deuxième mensonge. C'était elle qui avait insisté. Et le Cheyenne n'avait pas squatté que son canapé. Elle laisse bien volontier sa cousine récupérer son téléphone rose, et dignement attrape sa tasse pour boire une gorgée de son thé avant de demander.
- Qu'est ce que tu voulais que je fasse de cette information, exactement ?
Et puis ça lui revient. Les gémissements sourds. Le sang dans ses cheveux. La bosse sous ses doigts. L'odeur si particulière de @Jolan Wauters ce soir là lui remonterait presque aux narines, directement venue de son hippocampe. Ca ne pouvait être une coiencidence mais voyant son hésitation, Cataleya étalait fièrement ses sources.
Elle serre les dents, l'interne, pour ne pas se précipiter en question et montrer trop d'intêrets. Elle serre les dents, sur la façon méprisante qu'elle avait eu de prononcer le prénom de l'Amérindien. Elle serre les dents, attendant qu'elle lâche enfin l'information de savoir si @Elio Cooper allait bien sans qu'elle ait à lui demander. Et finalement, elle apprend qu'il va bien. Ou du moins pas trop mal. Le soulagement l'etreint mais elle ne le manifeste pas.
Elle touche à peine au portable que la rousse lui montre en signe de bonne foi, lisant rapidement les messages qui sont censé être d'irréfutables preuves. Elle ne connait pas personnelement Wyatt mais elle sait qu'il tient assez à Elio pour prendre soin de lui. Et pour la detester elle, à l'image de son cousin Matéo. Et peut-être à raison. Elle ne touche absolument pas au gâteau que Quarta pousse vers elle.
- Et bien, tu t'es donné du mal pour être bien certaine que je te crois sur parole.
Répond-elle sans prétendre qu'elle doutait encore que cette histoire soit arrivée. Elle était persuadée que sa cousine pouvait être une affabulatrice, mais là, elle la croyait.
- Par contre, je ne vois pas très bien en quoi ça me concerne. Je n'ai pas revu Elio depuis des semaines et comme tu le sais très bien, nous avons rompu.
Pieu mensonge, elle avait couché avec elle quelques semaines auparavant. Un moment d'égarement dans le passé...
- Quant à Jolan, il dort dans le salon parce qu'un de mes coloc le lui a proposé.
Deuxième mensonge. C'était elle qui avait insisté. Et le Cheyenne n'avait pas squatté que son canapé. Elle laisse bien volontier sa cousine récupérer son téléphone rose, et dignement attrape sa tasse pour boire une gorgée de son thé avant de demander.
- Qu'est ce que tu voulais que je fasse de cette information, exactement ?
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» année d'études : 9ième
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Dim 1 Jan 2023 - 10:52
Les yeux roulent un peu sous les premiers mots de la blonde et, instinctivement, Cataleya se cale au fond de son siège, bras et jambes croisée pour accueillir une défense qu'elle juge sans grande retenue. En quoi cela concernait miss Sunshine, rose parmi les rose, parfait soleil de Juillet ? Sixtine, tu n'osais tout de même pas jouer cette carte devant ton ainé, si ? Si le sourcil juge profondément, le sourire s'aiguise un peu, laisse même échapper un bref rire lorsque c'est le plus joliment du monde que Juliet se décide à faire front. Préserve impeccablement sa ligne de défense. Quelque part sans doute, Cataleya s'étonne de ne nourrir aucune frustration devant cet état de fait. Au contraire, même, Juliet a changé et si c'est un thème qu'elle n'apprécie pas souvent, il faut croire que les efforts de sa cadette pour ne pas plier éveille chez la rousse une certaine satisfaction. Alors soit, elle n'irait pas creuser ce pseudo « Je n'ai pas revu Elio » car il ne fait aucun doute que si ce n'est pas encore arrivé, alors ça arrivera, tant l'un semblait éprit de l'autre et vice versa.
« - Tu fais de cette information ce que tu veux, Sun. Je me contente de te la relayer avant que le chineur ou nos collègues ne le fassent. »
Si Cataleya jugeait plus d'un choix de vie de sa jeune cousine, celle-ci demeurait un membre à part entière de sa famille et, à ce titre, méritait un peu de respect. Et du temps pour réfléchir à une parade pour contrer ce qui se dirait d'elle d'ici quelque temps car, si Cataleya n'avait pas tardé à relier ce combat à Juliet, que ce lien soit justifié ou non, tous pourrait le retracer à leur tour. Et élaborer les plus folles hypothèse, surtout.
D'un geste gracile, la rousse finit par se rapprocher, apposant un coude tout près de sa tasse, le menton sagement posé sur le dos de sa main. Le ton se fait naturellement plus intimiste, quoi que l’irrépressible sourire en coin qui se dessine sur ses lèvres balaye tout motif d'inquiétude.
« - Mais un conseil, de menteuse à menteuse, ajuste ta ligne de défense maintenant que tu devines ce qui va se murmurer. Mais je dois reconnaître que c'est mieux qu'à l'accoutumé. »
Juliet se moquait sans doute de son avis sur le sujet mais Quarta n'en avait, elle aussi, que faire. Et puis les compliments étaient trop rare dans sa bouche pour qu'elle ne glisse pas le premier de l'année -et certainement le dernier- sur la table. Le dos se redresse pourtant, et Cataleya se recule un peu, noblement dressée sur sa chaise, sa tasse piégé entre ses griffes vernis de bleu. Son regard se détache un temps de la blonde pour longuement se perdre autour d'elle, avant de véritablement se cristalliser autour de l'ouvrage qui lui faisait face, un fin sourire au bout des lèvres.
« - Alors ? Comment se passe tes révisions ? » Pas franchement bien parce que Cataleya venait de les interrompes à grand coup de pied avec un sujet pas très gaie mais... « En dehors de cette charmante interruption que je t'apporte, évidemment. » Mais pour sa défense, elle avait fait commandé une part de gâteau !
« - Tu fais de cette information ce que tu veux, Sun. Je me contente de te la relayer avant que le chineur ou nos collègues ne le fassent. »
Si Cataleya jugeait plus d'un choix de vie de sa jeune cousine, celle-ci demeurait un membre à part entière de sa famille et, à ce titre, méritait un peu de respect. Et du temps pour réfléchir à une parade pour contrer ce qui se dirait d'elle d'ici quelque temps car, si Cataleya n'avait pas tardé à relier ce combat à Juliet, que ce lien soit justifié ou non, tous pourrait le retracer à leur tour. Et élaborer les plus folles hypothèse, surtout.
D'un geste gracile, la rousse finit par se rapprocher, apposant un coude tout près de sa tasse, le menton sagement posé sur le dos de sa main. Le ton se fait naturellement plus intimiste, quoi que l’irrépressible sourire en coin qui se dessine sur ses lèvres balaye tout motif d'inquiétude.
« - Mais un conseil, de menteuse à menteuse, ajuste ta ligne de défense maintenant que tu devines ce qui va se murmurer. Mais je dois reconnaître que c'est mieux qu'à l'accoutumé. »
Juliet se moquait sans doute de son avis sur le sujet mais Quarta n'en avait, elle aussi, que faire. Et puis les compliments étaient trop rare dans sa bouche pour qu'elle ne glisse pas le premier de l'année -et certainement le dernier- sur la table. Le dos se redresse pourtant, et Cataleya se recule un peu, noblement dressée sur sa chaise, sa tasse piégé entre ses griffes vernis de bleu. Son regard se détache un temps de la blonde pour longuement se perdre autour d'elle, avant de véritablement se cristalliser autour de l'ouvrage qui lui faisait face, un fin sourire au bout des lèvres.
« - Alors ? Comment se passe tes révisions ? » Pas franchement bien parce que Cataleya venait de les interrompes à grand coup de pied avec un sujet pas très gaie mais... « En dehors de cette charmante interruption que je t'apporte, évidemment. » Mais pour sa défense, elle avait fait commandé une part de gâteau !
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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» crédits : alcaline (ava) ; crackship (code sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : miguel pajares & calliope muller & andrew hill
» âge : 24 ans (depuis le 02/09/2023)
» situation : fiancé à son cousin nullus blackthorn.
» année d'études : 6eme année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Potion (+), Sortilèges (+) et Médicomagie (++)ㅡ options facultatives :▣ Etude des Runes (++).
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Mer 11 Jan 2023 - 14:58
Elle aura essayé au moins. Elle était presque convaincue d'y arriver. Mais il n'était pas aisé d'apprendre à un vieux dragon à cracher du feu n'est ce pas ? Sa tentative de défense et de mise hors de propos avait échoué et elle le savait pertinemment. Il suffisait de voir comment la rousse s'était installée dans le fond de son siège, comment son sourcil délicat s'était arqué alors que Juliet arborait ses arguments.
Pourtant, Quarta a l'amabilité de ne pas le souligner tout de suite. Mais cette fois c'est elle qui ment. Ehontément d'ailleurs. Il y a forcément une raison pour laquelle elle a décidé de partager avec Juliet cet évènement. Elle prétend que la blondinette peut en faire ce qu'elle veut mais cette dernière suppose que sa cousine attend une réaction très précise de sa part. Mais laquelle ? Elle l'ignore et ne pose pas la question. Cataleya finira par expliciter ses attentes, elle n'en doute guère.
Le sourire et l'attitude qu'affiche ensuite la rouquine exaspère au plus haut point la Summerbee qui à son tour se recule dans son siège à mesure que sa cousine s'approche sur la table. " Mais un conseil, de menteuse à menteuse, ajuste ta ligne de défense maintenant que tu devines ce qui va se murmurer. Mais je dois reconnaître que c'est mieux qu'à l'accoutumé." Une grimace déforme le visage gracile de la cadette.
- Nous y voila...
Au moins reconnaissait-elle qu'elle avait fait des progrès... Mais ce n'était visiblement pas assez pour tromper la menteuse en titre. C'est au tour de Juliet d'arquer un sourcil alors que sa presque soeur fait semblant de s'enquérir de ses révisions.
- Charmante ? Ce n'est pas l'adjectif que j'aurais choisi mais passons...
Son esprit ne peut s'empêcher de penser à Elio et Jolan. Elle essaye de repousser la culpabilité qui tente de l'étreindre... Elle sait bien que les deux garçons s'appréciaient en principe et que s'ils en étaient venu à se battre c'était sûrement à cause d'elle d'une manière ou d'une autre. Ou alors elle se prenait elle encore pour le centre du monde ? On lui avait déjà reproché après tout... Le doute s'empare d'elle et le besoin de savoir se fait sentir.
- Tu sais ce qui acheverait de me convaincre ? Ton souvenir. Tu dis avoir assisté à la scène. J'aimerais la voir.
La demande est expresse. Ses lèvres se pressent sur sa tasse et elle avale quelques gorgées sans quitter le regard céruléen de Quarta, ne lui laissant pas vraiment le choix.
Pourtant, Quarta a l'amabilité de ne pas le souligner tout de suite. Mais cette fois c'est elle qui ment. Ehontément d'ailleurs. Il y a forcément une raison pour laquelle elle a décidé de partager avec Juliet cet évènement. Elle prétend que la blondinette peut en faire ce qu'elle veut mais cette dernière suppose que sa cousine attend une réaction très précise de sa part. Mais laquelle ? Elle l'ignore et ne pose pas la question. Cataleya finira par expliciter ses attentes, elle n'en doute guère.
Le sourire et l'attitude qu'affiche ensuite la rouquine exaspère au plus haut point la Summerbee qui à son tour se recule dans son siège à mesure que sa cousine s'approche sur la table. " Mais un conseil, de menteuse à menteuse, ajuste ta ligne de défense maintenant que tu devines ce qui va se murmurer. Mais je dois reconnaître que c'est mieux qu'à l'accoutumé." Une grimace déforme le visage gracile de la cadette.
- Nous y voila...
Au moins reconnaissait-elle qu'elle avait fait des progrès... Mais ce n'était visiblement pas assez pour tromper la menteuse en titre. C'est au tour de Juliet d'arquer un sourcil alors que sa presque soeur fait semblant de s'enquérir de ses révisions.
- Charmante ? Ce n'est pas l'adjectif que j'aurais choisi mais passons...
Son esprit ne peut s'empêcher de penser à Elio et Jolan. Elle essaye de repousser la culpabilité qui tente de l'étreindre... Elle sait bien que les deux garçons s'appréciaient en principe et que s'ils en étaient venu à se battre c'était sûrement à cause d'elle d'une manière ou d'une autre. Ou alors elle se prenait elle encore pour le centre du monde ? On lui avait déjà reproché après tout... Le doute s'empare d'elle et le besoin de savoir se fait sentir.
- Tu sais ce qui acheverait de me convaincre ? Ton souvenir. Tu dis avoir assisté à la scène. J'aimerais la voir.
La demande est expresse. Ses lèvres se pressent sur sa tasse et elle avale quelques gorgées sans quitter le regard céruléen de Quarta, ne lui laissant pas vraiment le choix.
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
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» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Ven 13 Jan 2023 - 10:02
« Charmante ? Ce n'est pas l'adjectif que j'aurais choisi » La moue se fait faussement désolé en réponse, comme pour ne pas céder au soupire. Quand est-ce que tout avait commencé à se dégrader entre elles ? Cataleya peinait à désigner coupable un événement unique et contempla avec amertume une succession de choix plus que douteux qui enterrait jours après jours leur complicité d'autrefois. Comme celle qui avait pu la lier avec les autres membres de sa fratrie d'ailleurs. Le regard se baisse une fraction de seconde mais se raccroche au visage de Juliet avec force, préférant se perdre au gré des micro-expression de son visage plutôt qu'affronter le chaos qui hurlait, terrible tempête, dans son propre esprit.
«- Et pourquoi je te donnerai accès à mes souvenir ? » Si Juliet pose un ultimatum qui aurait pu surprendre plus d'un Blackthorn, c'est inflexible que Cataleya fait front. Le menton sagement posé sur ses doigts croisé, les guillotines de son regard dardé sur la dernière née du clan. « Je me moque de la crédibilité que tu accordes à mes mots. » Et plus la discussion avançait, plus elle venait à se convaincre de sottise qui avait guidé ses pas jusqu'ici. Elle aurait mille fois du la laisser trébucher et contempler ses chutes du haut des gradins, un large sourire aux lèvres, ne serait-ce que pour venger des mots qu'elle peinait à digérer depuis leur dernière véritable discussion ; Avril.
Crève. Clairement, écrase toi au sol et rampe jusqu'au pied de ton ainée la prochaine fois que tu auras besoin de renseignement. Les mains se resserrent autour de sa tasse pour taire le grondement léger qui roule sur sa langue et c'est presque pour l'étrangler que la rousse s'oblige à boire son thé. En tout point frustrée, elle se sent agitée, autant devant le manque flagrant de crédit que lui accorde sa petite sœur -cousine- que devant les raisons qui l'on pousser à nourrir une telle défiance à son égard.
Le regard est tranchant, plongé si profondément dans les yeux de Juliet que, sans doute, elle aurait pu en mordre les pensées si Cataleya n'avait pas préféré la métamorphose aux arcanes de l'esprit. Pourtant, une grimace à peine perceptible trahit un soudain dégoût. Une résignation singulière à se plier là, devant Juliet, plus pour montrer patte blanche que véritablement impressionné par un ordre dont elle aurait aimé rire.
« Demande le moi poliment et j’accéderai à ton odieuse requête. Ou si l'égo t'étrangle si fort, donne moi une raison unique de te faire cette fleur. En plus de celle d'avoir déplacé mon auguste fessier jusqu'ici pour te voir ainsi cracher sur mes renseignements ? »
«- Et pourquoi je te donnerai accès à mes souvenir ? » Si Juliet pose un ultimatum qui aurait pu surprendre plus d'un Blackthorn, c'est inflexible que Cataleya fait front. Le menton sagement posé sur ses doigts croisé, les guillotines de son regard dardé sur la dernière née du clan. « Je me moque de la crédibilité que tu accordes à mes mots. » Et plus la discussion avançait, plus elle venait à se convaincre de sottise qui avait guidé ses pas jusqu'ici. Elle aurait mille fois du la laisser trébucher et contempler ses chutes du haut des gradins, un large sourire aux lèvres, ne serait-ce que pour venger des mots qu'elle peinait à digérer depuis leur dernière véritable discussion ; Avril.
« Serais-tu une bonne fée derrière ton comportement d’exécrable peste ? »
Crève. Clairement, écrase toi au sol et rampe jusqu'au pied de ton ainée la prochaine fois que tu auras besoin de renseignement. Les mains se resserrent autour de sa tasse pour taire le grondement léger qui roule sur sa langue et c'est presque pour l'étrangler que la rousse s'oblige à boire son thé. En tout point frustrée, elle se sent agitée, autant devant le manque flagrant de crédit que lui accorde sa petite sœur -cousine- que devant les raisons qui l'on pousser à nourrir une telle défiance à son égard.
Le regard est tranchant, plongé si profondément dans les yeux de Juliet que, sans doute, elle aurait pu en mordre les pensées si Cataleya n'avait pas préféré la métamorphose aux arcanes de l'esprit. Pourtant, une grimace à peine perceptible trahit un soudain dégoût. Une résignation singulière à se plier là, devant Juliet, plus pour montrer patte blanche que véritablement impressionné par un ordre dont elle aurait aimé rire.
« Demande le moi poliment et j’accéderai à ton odieuse requête. Ou si l'égo t'étrangle si fort, donne moi une raison unique de te faire cette fleur. En plus de celle d'avoir déplacé mon auguste fessier jusqu'ici pour te voir ainsi cracher sur mes renseignements ? »
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Dim 15 Jan 2023 - 11:38
Etait elle entrain de devenir exactement ce qu'Elio avait prédit, quelques mois auparavent, lors de leur simulation de séparation ? Etait-elle devenue ce monstre d'égocentrisme, exactement ce qu'elle imaginait que Quarta puisse être ? S'était elle auto-proclamée "centre du monde" ? L'idée même la fait grimacer. La douce, généreuse et empathique Juliet pouvait elle avoir changé à ce point ?
Le doute l'étreint plus encore que la culpabilité mais si toutefois elle avait raison, si toutefois les garçons s'étaient battus ne serait ce qu'en partie à cause d'elle, elle savait que ce sentiment mille fois refoulé ces dernières saisons assaillirait sa gorge et son cœur sans pitié. Elle pourrait se voiler la face mais elle aimait trop Elio et Jolan pour appliquer la politique de l'autruche qu'elle aimait tant pourtant.
Il est vrai que sa demande, bien que polie, n'est pas formulée de la meilleure des manières. Voila bien des années qu'elle n'a rien demandé à sa presque sœur et pour cause... Elle savait que cette faveur lui voudrait des siècles de rappel douteux et peut-être même une vilaine dette qu'elle ne saurait jamais éteindre. Elle sait bien que malgré ce qu'elle prétend, Cataleya accorde de l'importance au fait que Juliet la croit ou non. Sinon pourquoi serait elle venue jusqu'ici pour lui faire ces douces révelations ? Elle reste silencieuse, attendant patiemment que la rousse impose ses conditions à la violation de son esprit.
L'avantage avec la cadette Blackthorn, c'est qu'elle n'avait jamais eu l'égo mal placé. Tout le monde ne pouvait en dire autant.
- Cataleya, je te serais infiniment reconnaissante si tu acceptais de partager ce souvenir avec moi.
Elle ne mentait pas. Elle avait vraiment besoin de voir, d'entendre pour comprendre. Et elle serait vraiment reconnaissante envers Quarta si celle-ci acceptait de le lui accorder. Sa tranquillité d'esprit (ou non) en dépendait largement.
Le doute l'étreint plus encore que la culpabilité mais si toutefois elle avait raison, si toutefois les garçons s'étaient battus ne serait ce qu'en partie à cause d'elle, elle savait que ce sentiment mille fois refoulé ces dernières saisons assaillirait sa gorge et son cœur sans pitié. Elle pourrait se voiler la face mais elle aimait trop Elio et Jolan pour appliquer la politique de l'autruche qu'elle aimait tant pourtant.
Il est vrai que sa demande, bien que polie, n'est pas formulée de la meilleure des manières. Voila bien des années qu'elle n'a rien demandé à sa presque sœur et pour cause... Elle savait que cette faveur lui voudrait des siècles de rappel douteux et peut-être même une vilaine dette qu'elle ne saurait jamais éteindre. Elle sait bien que malgré ce qu'elle prétend, Cataleya accorde de l'importance au fait que Juliet la croit ou non. Sinon pourquoi serait elle venue jusqu'ici pour lui faire ces douces révelations ? Elle reste silencieuse, attendant patiemment que la rousse impose ses conditions à la violation de son esprit.
L'avantage avec la cadette Blackthorn, c'est qu'elle n'avait jamais eu l'égo mal placé. Tout le monde ne pouvait en dire autant.
- Cataleya, je te serais infiniment reconnaissante si tu acceptais de partager ce souvenir avec moi.
Elle ne mentait pas. Elle avait vraiment besoin de voir, d'entendre pour comprendre. Et elle serait vraiment reconnaissante envers Quarta si celle-ci acceptait de le lui accorder. Sa tranquillité d'esprit (ou non) en dépendait largement.
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» année d'études : 9ième
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Dim 15 Jan 2023 - 14:06
Si la moue se pince un peu lorsque les lèvres de Juliet se meuvent, c'est pleinement surprise que Cataleya observe la reformulation de cette requête. Quelque part sans doute s'était-elle déjà préparé à faire volte face tout crocs dehors, faire éclater un dialogue qu'elle ne savait désespérément plus nouer avec la si jolie Sunshine mais, un peu désarçonné par l'humilité de sa cadette, les traits s’adoucissent significativement. Elle se maudit déjà de sa faiblesse, se répète inlassablement qu'il serait aisé de se complaire dans ce semblant de victoire et partir, ne serait-ce que pour venger des mots qu'elle peine encore à digérer, mais c'est le plus sagement du monde qu'elle repose sa tasse et observe longuement la blonde.
« Soit. » Et Morgane seule savait Ô combien cela coûtait à la rousse d'exposer souvenir et pensées à un autre qu'elle. L'éther au bout des doigts, pourtant, Cataleya se saisit de sa baguette de saule et ferme un instant les yeux, comme pour retracer le cours de cette chaotique soirée. Les verres qui s'entrechoquent, les rires irrépressibles et presque niais, les blagues nulles et cette foutu obsession qu'avait l'espagnole à vouloir se hisser sur le dos des gens dès lors qu'elle buvait plus de trois verres. Et puis, il y avait eu cette foule, l'odeur du sang qui l'avait prise à la gorge autant que celle de l'excitation qui palpitait tout autour. La suite, Cataleya la juge plus vivement encore maintenant que c'est pleinement sobre qu'elle revit les événements mais se contente d'ouvrir les yeux, contemplant le filament argenté s'enrouler autour de sa baguette et s'offrir le plus simplement du monde à Juliet.
« Je déteste ça. Vraiment. » Marque t'elle pourtant, fondamentalement hostile à ce genre d'échange. A l'idée même de replonger dans ses souvenirs à dire vrai, aussi insignifiant furent-ils car c'était se rappeler tout ceux qui lui échappaient encore aujourd'hui. Le psychomage qui l'avait observé après la mort de Baby avait évoqué un brouillard traumatique, une faculté qu'avait le cerveau d'occulter des événements trop lourd à porter. Celui qu'elle avait accepté de voir à la demande de sa mère plus récemment avait lui aussi pointé un stress post traumatique, mais s'était laissé allé à demander si des oubliettes avaient pu se greffer au tout. Autant vous dire que cette simple hypothèse avait tant révulsé la rousse qu'elle n'avait plus jamais reprit rendez vous.
La tasse se repose, vide, et c'est machinalement que Cataleya lisse sa robe pour en chasser les disgracieux plis avant de se redresser.
« Ne t'angoisse pas plus que nécessaire ; ils vont bien.» Elle n'en savait rien, au moins pour Jolan dont elle n'avait plus pisté l'odeur depuis cette fameuse nuit. Il n'avait pas non plus fini dans les registre de St Marie et Cataleya peinait encore à se faire à l'idée qu'il ait pu filer sans qu'elle puisse le contraindre aux soins. Elio, lui, avait parfaitement été prit en charge par Wyatt et Cataleya avait une pleine confiance en lui.
La main se tend doucement et c'est un peu étrangement qu'elle finit par s'apposer sur le crâne de Juliet, dans un tapotement mécanique et maladroit visiblement destiné à la rassurer. « Et si coupable il y a, c'est eux. Pas toi. Termine le gâteau, je vais être en retard chez le notaire. »
« Soit. » Et Morgane seule savait Ô combien cela coûtait à la rousse d'exposer souvenir et pensées à un autre qu'elle. L'éther au bout des doigts, pourtant, Cataleya se saisit de sa baguette de saule et ferme un instant les yeux, comme pour retracer le cours de cette chaotique soirée. Les verres qui s'entrechoquent, les rires irrépressibles et presque niais, les blagues nulles et cette foutu obsession qu'avait l'espagnole à vouloir se hisser sur le dos des gens dès lors qu'elle buvait plus de trois verres. Et puis, il y avait eu cette foule, l'odeur du sang qui l'avait prise à la gorge autant que celle de l'excitation qui palpitait tout autour. La suite, Cataleya la juge plus vivement encore maintenant que c'est pleinement sobre qu'elle revit les événements mais se contente d'ouvrir les yeux, contemplant le filament argenté s'enrouler autour de sa baguette et s'offrir le plus simplement du monde à Juliet.
« Je déteste ça. Vraiment. » Marque t'elle pourtant, fondamentalement hostile à ce genre d'échange. A l'idée même de replonger dans ses souvenirs à dire vrai, aussi insignifiant furent-ils car c'était se rappeler tout ceux qui lui échappaient encore aujourd'hui. Le psychomage qui l'avait observé après la mort de Baby avait évoqué un brouillard traumatique, une faculté qu'avait le cerveau d'occulter des événements trop lourd à porter. Celui qu'elle avait accepté de voir à la demande de sa mère plus récemment avait lui aussi pointé un stress post traumatique, mais s'était laissé allé à demander si des oubliettes avaient pu se greffer au tout. Autant vous dire que cette simple hypothèse avait tant révulsé la rousse qu'elle n'avait plus jamais reprit rendez vous.
La tasse se repose, vide, et c'est machinalement que Cataleya lisse sa robe pour en chasser les disgracieux plis avant de se redresser.
« Ne t'angoisse pas plus que nécessaire ; ils vont bien.» Elle n'en savait rien, au moins pour Jolan dont elle n'avait plus pisté l'odeur depuis cette fameuse nuit. Il n'avait pas non plus fini dans les registre de St Marie et Cataleya peinait encore à se faire à l'idée qu'il ait pu filer sans qu'elle puisse le contraindre aux soins. Elio, lui, avait parfaitement été prit en charge par Wyatt et Cataleya avait une pleine confiance en lui.
La main se tend doucement et c'est un peu étrangement qu'elle finit par s'apposer sur le crâne de Juliet, dans un tapotement mécanique et maladroit visiblement destiné à la rassurer. « Et si coupable il y a, c'est eux. Pas toi. Termine le gâteau, je vais être en retard chez le notaire. »
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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» crédits : alcaline (ava) ; crackship (code sign) ; chaton (gif sign)
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» âge : 24 ans (depuis le 02/09/2023)
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» année d'études : 6eme année
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Mer 18 Jan 2023 - 16:11
Elle avait retenu un petit sourire en coin face à la surprise dans laquelle le regard de sa chère cousine baignait. Elle ne s'attendait pas à ce que Juliet lui demande poliment son souvenir, parce que Quarta ne l'aurait jamais fait. Princesse Quarta, exigeait, imposait, ordonnait... Mais Juliet était assez contrariée par ce qu'elle venait d'apprendre pour que ce sourire ne soit guère arboré, pas même une seconde.
Une seconde. C'est ce qu'il faut à la plus rousse des Blackthorn pour sortir sa baguette et extraire lentement le souvenir de cette soirée. La plus douce des Blackthorn sort sa propre baguette pour récupérer le filament bleuté et d'un geste presque trop assuré, le transfère directement en elle en passant par une tempe découverte de toute mèche blonde.
Pas le temps pour se rendre jusqu'à une pensine. Elle voulait voir et voir maintenant. Fermant les yeux, elle vit de nouveau la soirée de Cataleya. Les souvenirs se focalisent sur ses amants alors qu'ils sont déjà entrain de se battre... Voila qui n'arrange pas les affaires de Juliet, qui ne réponds guère à ses interrogations. Elle fronce les sourcils, yeux toujours clos, contrariés de constater que Cataleya n'a assisté qu'à la moitié de la scène.
« Tu te tape Juliet ? » L'envie de frapper cette petite peste de Cataleya ivre est forte. Très forte. " C'est... plus compliqué..." L'envie de frapper @Jolan Wauters l'est encore plus forte. Effectivement, ils avaient couché ensemble. Après. Juste après Qu'est-ce qui lui avait prit de donner raison à Quarta ? Elle se detestait d'avoir cédé. Ou était-ce elle qui été à l'initiative ? Elle ne savait même pas répondre...
D'une pensée qu'elle accompagne d'un leger geste de la main, la blondinette recommence à visionner le souvenir. Elle essaye d'ignorer la voix de @Wyatt Mora et de celle du type qui porte (oui oui...) sa cousine sur son dos (j'vous jure...) pour se concentrer sur les sons qui émanaient de l'attroupement qui se formait devant eux : "Tu crois pas que tu lui as fait assez de mal comme ça ?! Tu vis chez elle, tu profites de sa générosité mais tu vas merder encore une fois et tu vas la blesser !" La voix d' @Elio Cooper . Une grimace lui échappa. S'il parlait d'elle et qu'il s'adressait à Jolan... Elio ne savait pas le quart de ce qu'il y avait à savoir dans leur relation pour savoir a quel point il avait... raison. La foule s'exclame. Des bruits sourds de coups qui arrachent le coeur de la blonde, peu importe qui les porte. Peu importe qui les reçoit. "Mange toi ça, sale petit con !" la voix de Jolan a n'en point douter...
La blondinette rouvre les yeux, visiblement perturbée par ce qu'elle a vu, contrariée de ne pas avoir toutes les réponses qu'elle souhaitait. Mais le doute n'est plus aussi envahissant et c'est la culpabilité qui ronge ses traits désormais. Les mots de Cataleya quant à la sécurité des protagonistes et à sa prétendu absence de culpabilité ne chassent pas ce sentiment. Rapidement, la colère vient s'en mêler. Contre Jolan pour s'être battu, pour avoir couché avec elle dans ces circonstances. Contre Elio, d'avoir trop bu. D'avoir bu tout court enfaite. Et de s'être battu. Pouvait elle vraiment lui en vouloir de s'inquiéter pour elle ? Ca... non...
- Je...
Elle essaye d'ordonner ses pensées. Mais tout d'abord...
- Merci.
La sincérité vibre dans sa voix. Son regard s'accroche presque desespérément à celui de sa cousine, cherchant l'orientation du jugement qu'elle n'arrive pas a émettre. Qu'elle essaye vaguement d'expliciter...
- Je... suis une idiote. Mais qu'elle idiote...
Les ongles de sa main droite vont à la rencontre de son front le temps d'un instant. Et commesi elle avait besoin de déballer son sac, de s'amenuir de cette culpabilité le regard rivé sur la table, elle récapitule.
- J'ai rompu avec Elio parce que c'était dangereux, que les parents pouvaient facilement mettre la main dessus et malgré tout, j'ai recouché avec lui, parce que désespérément je reste amoureuse de lui. Et je sais que notre rupture reste une raison pour lequel il re.. enfin... boit tant. Et comme l'idiote que je suis, je me suis consolée dans les bras de celui avec lequel il s'est battu. Le mettant potentiellement en danger, lui aussi.
La réalité était... assez violente.
- Je suis un cas desespéré.
Une seconde. C'est ce qu'il faut à la plus rousse des Blackthorn pour sortir sa baguette et extraire lentement le souvenir de cette soirée. La plus douce des Blackthorn sort sa propre baguette pour récupérer le filament bleuté et d'un geste presque trop assuré, le transfère directement en elle en passant par une tempe découverte de toute mèche blonde.
Pas le temps pour se rendre jusqu'à une pensine. Elle voulait voir et voir maintenant. Fermant les yeux, elle vit de nouveau la soirée de Cataleya. Les souvenirs se focalisent sur ses amants alors qu'ils sont déjà entrain de se battre... Voila qui n'arrange pas les affaires de Juliet, qui ne réponds guère à ses interrogations. Elle fronce les sourcils, yeux toujours clos, contrariés de constater que Cataleya n'a assisté qu'à la moitié de la scène.
« Tu te tape Juliet ? » L'envie de frapper cette petite peste de Cataleya ivre est forte. Très forte. " C'est... plus compliqué..." L'envie de frapper @Jolan Wauters l'est encore plus forte. Effectivement, ils avaient couché ensemble. Après. Juste après Qu'est-ce qui lui avait prit de donner raison à Quarta ? Elle se detestait d'avoir cédé. Ou était-ce elle qui été à l'initiative ? Elle ne savait même pas répondre...
D'une pensée qu'elle accompagne d'un leger geste de la main, la blondinette recommence à visionner le souvenir. Elle essaye d'ignorer la voix de @Wyatt Mora et de celle du type qui porte (oui oui...) sa cousine sur son dos (j'vous jure...) pour se concentrer sur les sons qui émanaient de l'attroupement qui se formait devant eux : "Tu crois pas que tu lui as fait assez de mal comme ça ?! Tu vis chez elle, tu profites de sa générosité mais tu vas merder encore une fois et tu vas la blesser !" La voix d' @Elio Cooper . Une grimace lui échappa. S'il parlait d'elle et qu'il s'adressait à Jolan... Elio ne savait pas le quart de ce qu'il y avait à savoir dans leur relation pour savoir a quel point il avait... raison. La foule s'exclame. Des bruits sourds de coups qui arrachent le coeur de la blonde, peu importe qui les porte. Peu importe qui les reçoit. "Mange toi ça, sale petit con !" la voix de Jolan a n'en point douter...
La blondinette rouvre les yeux, visiblement perturbée par ce qu'elle a vu, contrariée de ne pas avoir toutes les réponses qu'elle souhaitait. Mais le doute n'est plus aussi envahissant et c'est la culpabilité qui ronge ses traits désormais. Les mots de Cataleya quant à la sécurité des protagonistes et à sa prétendu absence de culpabilité ne chassent pas ce sentiment. Rapidement, la colère vient s'en mêler. Contre Jolan pour s'être battu, pour avoir couché avec elle dans ces circonstances. Contre Elio, d'avoir trop bu. D'avoir bu tout court enfaite. Et de s'être battu. Pouvait elle vraiment lui en vouloir de s'inquiéter pour elle ? Ca... non...
- Je...
Elle essaye d'ordonner ses pensées. Mais tout d'abord...
- Merci.
La sincérité vibre dans sa voix. Son regard s'accroche presque desespérément à celui de sa cousine, cherchant l'orientation du jugement qu'elle n'arrive pas a émettre. Qu'elle essaye vaguement d'expliciter...
- Je... suis une idiote. Mais qu'elle idiote...
Les ongles de sa main droite vont à la rencontre de son front le temps d'un instant. Et commesi elle avait besoin de déballer son sac, de s'amenuir de cette culpabilité le regard rivé sur la table, elle récapitule.
- J'ai rompu avec Elio parce que c'était dangereux, que les parents pouvaient facilement mettre la main dessus et malgré tout, j'ai recouché avec lui, parce que désespérément je reste amoureuse de lui. Et je sais que notre rupture reste une raison pour lequel il re.. enfin... boit tant. Et comme l'idiote que je suis, je me suis consolée dans les bras de celui avec lequel il s'est battu. Le mettant potentiellement en danger, lui aussi.
La réalité était... assez violente.
- Je suis un cas desespéré.
SUNSHINE
I got you, moonlight, i'm your sunshine. I need you all night, come on, moove with me. I'm levitating.
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» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Mer 18 Jan 2023 - 18:10
Dénouant ses rousses ondulations pour les démêler du bout des doigts, Cataleya cristallise pourtant son geste devant un remerciement qu'elle ne comprend pas tout de suite. Le sourire se fait intuitif, délicat, mais s'efface en une fraction de seconde à peine lorsqu'un bien étrange voile obscurcit le regard de sa cadette. « Je... suis une idiote. » La gorge se serre irrépressiblement devant un sentiment qu'elle ne connaît que trop bien mais c'est implacable que Cataleya s'efforce de bloquer les portes de sa forteresse avant que Juliet et sa détresse ne s'y engouffre. Trop tard, cependant. Les explications tombent à mesure que Cataleya s'abaisse doucement, accroupit auprès de cette toute jeune femme qui avait déjà essuyé bien trop de drame. Tu n'étais pas idiote Juliet, tu te débattait tout crocs dehors contre un monde bien trop cruel qui se jouait de toi ; Qu'importe la force que tu injecterais dans cette débâcle, tu ne pouvais tout bonnement pas faire face contre autant d'ennemi, pas comme ça, et encore moins seule. Cataleya l'avait apprit de la pire des manières.
Le regard se baisse à son tour et la moue se forme, songeuse. Il était évident que Juliet renouerait avec Elio, comme il était évident que Cataleya aurait rejoint Cillian si elle l'avait seulement pu. Comme elle avait désespérément négociée le retour de James, incapable de vivre loin de lui. Aussi cruelle pouvait être Quarta, condamner sa jeune cousine pour ça serait se voiler la face de bien des manières alors, silencieuse, Cataleya porta finalement sa main sur la cuisse de Juliet comme pour accentuer le fait qu'elle l'écoutait. Qu'elle était là. Pour une fois du moins.
Ca fait mal, autant parce qu'elle se refuse que la dernière née Blackthorn puisse avoir une si basse estime d'elle même que parce que ces mots, Cataleya se les ressassait inlassablement elle aussi alors, autant mue par la douleur que par le besoin de rassurer cet oiseau dont on s'acharnait à briser les ailes, Cataleya ramena doucement la blonde contre elle. L'enferma longuement entre ses bras, le menton tout juste posé sur son crâne. Le cœur se tord cruellement, la gorge la brûlerait presque, mais le regard de la rousse s’acère en tout point sur un horizon que Cataleya contemplait de plus en plus sombrement.
« Tu n'es pas un cas désespéré, Juliet. Tu es amoureuse, et infiniment plus puissante que ce que tu crois. » Le baisé se porte sur son crâne, comme pour ancrer ses mots là, sous l'ossature et les neurones. Elle concevait en tout point la torture qu’éprouvait Juliet, et serait tenté de lui murmurer que l'amour, c'est ce qui nourrissait les plus belle forme de magie. Les sortilèges de protections les plus puissant qu'ait un jour engendré ce monde. Mais, incapable de verser dans un trop plein de mièvrerie, Cataleya serre un peu plus fort la jeune femme tout contre elle. Elle aurait aimé lui tendre une solution, lui offrir une porte de sortie et, si son mariage avec James avait été maintenu, si l'union des deux branches Blackthorn s'étaient noué entre eux, sans doute aurait-elle pu délier Juliet de ce devoir-ci. Gagner du temps, trouver une porte de sortie comme Kiran l'avait fait. « Tu as la chance d'avoir des airs de blanche biche, naïve et innocente. Sans doute était-ce ce que tu fus par le passé Juliet mais, soyons honnête, tu as évolué. Et je te souhaite d'évoluer plus encore. Sert toi de cet avantage ; personne ne se méfie des princesses au regard tout doux. Encore moins des parents convaincus de te tenir sous le joug de la terreur. »
L'étreinte se détache et la main glisse sur la joue de la blonde pour en relever tendrement le visage. « Que tu traînes ce nom avec dégoût ou désespoir, garde le en tête ; tu es une Blackthorn. Souveraine, puissante, fière. Et si tu dois retenir une leçon de ton père c'est bien qu'on peut contourner n'importe qu'elle règle tant qu'on a les bonne carte en main. Alors affûte tes armes et je t'assure qu'il n'arrivera rien. Ni à toi, ni à Elio, ni à Jolan. »
Le reste, elle en ferait son affaire.
Le regard se baisse à son tour et la moue se forme, songeuse. Il était évident que Juliet renouerait avec Elio, comme il était évident que Cataleya aurait rejoint Cillian si elle l'avait seulement pu. Comme elle avait désespérément négociée le retour de James, incapable de vivre loin de lui. Aussi cruelle pouvait être Quarta, condamner sa jeune cousine pour ça serait se voiler la face de bien des manières alors, silencieuse, Cataleya porta finalement sa main sur la cuisse de Juliet comme pour accentuer le fait qu'elle l'écoutait. Qu'elle était là. Pour une fois du moins.
« Je suis un cas désespéré »
Ca fait mal, autant parce qu'elle se refuse que la dernière née Blackthorn puisse avoir une si basse estime d'elle même que parce que ces mots, Cataleya se les ressassait inlassablement elle aussi alors, autant mue par la douleur que par le besoin de rassurer cet oiseau dont on s'acharnait à briser les ailes, Cataleya ramena doucement la blonde contre elle. L'enferma longuement entre ses bras, le menton tout juste posé sur son crâne. Le cœur se tord cruellement, la gorge la brûlerait presque, mais le regard de la rousse s’acère en tout point sur un horizon que Cataleya contemplait de plus en plus sombrement.
« Tu n'es pas un cas désespéré, Juliet. Tu es amoureuse, et infiniment plus puissante que ce que tu crois. » Le baisé se porte sur son crâne, comme pour ancrer ses mots là, sous l'ossature et les neurones. Elle concevait en tout point la torture qu’éprouvait Juliet, et serait tenté de lui murmurer que l'amour, c'est ce qui nourrissait les plus belle forme de magie. Les sortilèges de protections les plus puissant qu'ait un jour engendré ce monde. Mais, incapable de verser dans un trop plein de mièvrerie, Cataleya serre un peu plus fort la jeune femme tout contre elle. Elle aurait aimé lui tendre une solution, lui offrir une porte de sortie et, si son mariage avec James avait été maintenu, si l'union des deux branches Blackthorn s'étaient noué entre eux, sans doute aurait-elle pu délier Juliet de ce devoir-ci. Gagner du temps, trouver une porte de sortie comme Kiran l'avait fait. « Tu as la chance d'avoir des airs de blanche biche, naïve et innocente. Sans doute était-ce ce que tu fus par le passé Juliet mais, soyons honnête, tu as évolué. Et je te souhaite d'évoluer plus encore. Sert toi de cet avantage ; personne ne se méfie des princesses au regard tout doux. Encore moins des parents convaincus de te tenir sous le joug de la terreur. »
L'étreinte se détache et la main glisse sur la joue de la blonde pour en relever tendrement le visage. « Que tu traînes ce nom avec dégoût ou désespoir, garde le en tête ; tu es une Blackthorn. Souveraine, puissante, fière. Et si tu dois retenir une leçon de ton père c'est bien qu'on peut contourner n'importe qu'elle règle tant qu'on a les bonne carte en main. Alors affûte tes armes et je t'assure qu'il n'arrivera rien. Ni à toi, ni à Elio, ni à Jolan. »
Le reste, elle en ferait son affaire.
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Re: very embarrassed blondie pv. Cataleya (terminé)
Jeu 19 Jan 2023 - 18:25
Elle n'a même pas envie de pleurer, Juliet. Ce qu'elle aurait aimé, c'est ne pas savoir. La douce ignorance, celle qui maintient l'existence à flot. Mais pouvait elle en vouloir à Quarta ? Alors qu'elle même avait exigé qu'elle étaye ses propos d'un souvenir ? Même si c'était le cas, elle n'en avait pas la force. Le constat était trop grand, trop lourd, dépassant de loin celle qui parfois semblait trop frêle pour faire face à sa propre existence.
Un cas désespéré. C'est ce qu'elle a le sentiment d'être, à cet instant. Elle a l'impression de faire n'importe quoi, n'importe comment. Elle est officiellement fiancé à son cousin, qu'elle adore mais qu'elle fuit lâchement depuis l'annonce de leur union à venir. C'est avec lui qu'elle devrait passer du temps. Discuter. Organiser leur mariage et s'interroger sur leur partenariat. Et au lieu de ça...
Bout des doigts contre son front, paupières closes, Juliet ne se rend pas compte que sa presque soeur s'est approché avant que la main de celle-ci ne vienne se poser sur sa cuisse. Elle réprime un sursaut de surprise et écarquille les yeux alors que ceux céruléens de Cataleya les accroche. Voila des années qu'elles ne se sont pas trouvées aussi proches l'une de l'autre et Juliet trouve ça... étrange. Pendant une seconde, elle semble se tendre, se reculer même... Et finalement ses muscles se relachent alors que la rousse la prend dans ses bras.
« Tu n'es pas un cas désespéré, Juliet. Tu es amoureuse, et infiniment plus puissante que ce que tu crois. » Le visage d'Elio apparait dans son esprit, mais aussi celui de Jolan, l'espace d'une seconde, chassé par le baiser de Quarta dans ses cheveux. Ses mains se ressèrent finalement dans le dos de sa cousine, se rendant compte à quel point ce contact aussi simple fut-il lui avait manqué pendant plus de dix années.
« Tu as la chance d'avoir des airs de blanche biche, naïve et innocente. Sans doute était-ce ce que tu fus par le passé Juliet mais, soyons honnête, tu as évolué. Et je te souhaite d'évoluer plus encore. Sert toi de cet avantage ; personne ne se méfie des princesses au regard tout doux. Encore moins des parents convaincus de te tenir sous le joug de la terreur. » Juliet hoche la tête, imprimant un par un chaque mot dans son esprit parce qu'elle se rendait compte que la madrilène avait raison. On la prenait pour une maladroite, une idiote. Pas une rebelle.
Le reste, elle a encore du mal a y croire. Quelles armes ? Quelles cartes ? Elle a l'impression d'avoir été dépouillé de tout, même de ses espoirs. Voila pourquoi elle n'arrivait pas a tourner la page. Pourquoi elle faisait n'importe quoi. Elle avait l'impression que quoi qu'elle fasse, elle ne serait pas heureuse. Et en suivant leurs règles, il est clair qu'elle ne le serait pas. Alors Cataleya avait raison. Il allait falloir trouver un moyen de les contourner.
Un cas désespéré. C'est ce qu'elle a le sentiment d'être, à cet instant. Elle a l'impression de faire n'importe quoi, n'importe comment. Elle est officiellement fiancé à son cousin, qu'elle adore mais qu'elle fuit lâchement depuis l'annonce de leur union à venir. C'est avec lui qu'elle devrait passer du temps. Discuter. Organiser leur mariage et s'interroger sur leur partenariat. Et au lieu de ça...
Bout des doigts contre son front, paupières closes, Juliet ne se rend pas compte que sa presque soeur s'est approché avant que la main de celle-ci ne vienne se poser sur sa cuisse. Elle réprime un sursaut de surprise et écarquille les yeux alors que ceux céruléens de Cataleya les accroche. Voila des années qu'elles ne se sont pas trouvées aussi proches l'une de l'autre et Juliet trouve ça... étrange. Pendant une seconde, elle semble se tendre, se reculer même... Et finalement ses muscles se relachent alors que la rousse la prend dans ses bras.
« Tu n'es pas un cas désespéré, Juliet. Tu es amoureuse, et infiniment plus puissante que ce que tu crois. » Le visage d'Elio apparait dans son esprit, mais aussi celui de Jolan, l'espace d'une seconde, chassé par le baiser de Quarta dans ses cheveux. Ses mains se ressèrent finalement dans le dos de sa cousine, se rendant compte à quel point ce contact aussi simple fut-il lui avait manqué pendant plus de dix années.
« Tu as la chance d'avoir des airs de blanche biche, naïve et innocente. Sans doute était-ce ce que tu fus par le passé Juliet mais, soyons honnête, tu as évolué. Et je te souhaite d'évoluer plus encore. Sert toi de cet avantage ; personne ne se méfie des princesses au regard tout doux. Encore moins des parents convaincus de te tenir sous le joug de la terreur. » Juliet hoche la tête, imprimant un par un chaque mot dans son esprit parce qu'elle se rendait compte que la madrilène avait raison. On la prenait pour une maladroite, une idiote. Pas une rebelle.
Le reste, elle a encore du mal a y croire. Quelles armes ? Quelles cartes ? Elle a l'impression d'avoir été dépouillé de tout, même de ses espoirs. Voila pourquoi elle n'arrivait pas a tourner la page. Pourquoi elle faisait n'importe quoi. Elle avait l'impression que quoi qu'elle fasse, elle ne serait pas heureuse. Et en suivant leurs règles, il est clair qu'elle ne le serait pas. Alors Cataleya avait raison. Il allait falloir trouver un moyen de les contourner.
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