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Love me two times
Jeu 9 Déc 2010 - 1:07
La vie était ainsi faite qu’elle nous réservait sans cesse des surprises. J’avais eu beau vivre un été d’enfer cette année, je n’avais pas encore tout vu. Malgré ce que j’avais cru, d’autres évènements arrivaient sans cesse me surprenant, me déroutant, m’obligeant à combattre. Mais une chose était différente de cette été, j’avais Leah à mes côtés. Bien que parfois je devais être fort pour nous deux la savoir là m’aidais à garder la tête hors de l’eau. Savoir que chaque soir elle venait dans mon appartement, notre appartement, et se blottissait contre moi pour s’endormir, me rendait heureux. L’ancien Owen, celui que j’avais été sous la drogue et la boisson, vous aurait rie au nez si vous auriez dit que je vivrais telle sérénité dans les bras de ma fiancé présentement. Mais j’avais changé, je le prouvais à chaque jours. Malgré quelques faux pas, j’avais réussis à me faire une nouvelle réputation et ce auprès des médias comme auprès de mes amis dubitatifs. Et l’homme que j’étais devenu ne souhaitait que vivre en paix, avoir une vie ranger et devenir le père de famille que j’allais être d’ici quelques mois. Leah et moi avoir un enfant semblait très illogique et même surprenant vu de l’extérieur, mais pour moi c’était la bonne chose à faire. C’était naturel. Cet enfant, ce mélange de nous deux, prouverait à tous ces racontars que nous n’étions pas ensembles pour encore plus se déchiré et que cette fois c’était la bonne. Même si je savais ma fiancée craintive de toute cette situation, je savais que si je me montrais calme, posé et décider dans ce choix que nous avions fait de garder l’enfant, elle allait finir par être rassuré et allait commencer à gouter les joies de la grossesse. Bien sur, il aurait été fou de ma part de croire que Leah serait aussi épanouie dans sa nouvelle maternité que j’avais vu Mya l’être durant ces neufs mois, mais tout ce que je souhaitais c’était de la voir accueillir cet enfant non pas avec crainte mais avec plaisir. Car pour moi, avoir un enfant avec elle était le rêve ultime que j’avais tant espéré cet été quand elle venait se consoler dans mes bras. J’avais enduré des crises, des coups bas et des nuits blanches en espérant, surement, à une situation similaire à ce que nous vivions présentement. «Mon chou, le souper est prêt.» Je souris et regardai la porte de la salle de bain qui cachait ma tendre. Cette routine me fascinait tant elle s’était fait de façon naturelle : alors que je revenais de Quidditch, elle me coulait un bain et lorsqu’elle ne venait pas avec moi, elle allait préparer le souper. Après le souper c’était souvent les moments en amoureux ou la visite chez des amis. Quoi qu’il en soit, la soirée finissait toujours de la même façon, lové l’un contre l’autre dans la chaleur de notre lit et de ses bras. «J’arrive.» Je sorti de la baignoire, pris le temps de m’habillé et j’allai rejoindre ma copine qui avait préparé une fois de plus un souper de roi. Je la remerciai d’un baiser avant d’attaquer les victuailles.
Après une longue discussion autours de mon dernier match, nous avions tombé dans un de ses silences plaisant. Ceux qui ne doivent pas être comblé. Ceux simplement content de la présence de l’autre. Je terminais mon repas quand j’entendis un sanglot. Son que je connaissais trop et qui sortait trop souvent de ma Leah. Je relevai les yeux étonné et inquiet vers elle. Elle se cachait le visage avec ses mains et pleurait durement. « Mon cœur, qu’est-ce qui se passe?» Je me relevai et j’allai m’asseoir à ses cotés pour la prendre dans mes bras. Si les premières semaines après son retour à Norwich tout avait été pour le mieux, j’avais remarqué que l’optimisme et le renouveau de Leah se détériorait. La vie était très cruelle envers elle et elle n’était pas assez forte pour supporter tout ce qui lui arrivait. Il m’arrivait trop souvent d’en vouloir à ses amis de ne pas comprendre. De ne pas la comprendre comme je la voyais : une Leah qui retournait dangereusement dans la même dépression qu’elle avait fait cet été. Je m’étais juré de ne plus là voir ainsi, le risque était trop grand de la revoir dans un lit d’hôpital à souhaiter la mort. Je n’arrivais pas à comprendre les autres, ils l’avaient presque perdu, s’étaient inquiétés mais maintenant revenue, ils la coulaient et la rendaient encore pire qu’avant. Avait-elle été toujours ainsi pour ces amis, un souffre douleur qui leur permettait d’oublier combien leur vie était pathétique. Leah méritait mieux et c’est ce que j’essayais de lui faire comprendre, de lui donner. «Je ne sais pas pourquoi je pleure» Mon cœur se serra, je la serrai contre moi. «J’en ai marre Owie! Marre d’être toujours déprimée. De pleurer tout le temps. De ne pas être capable d’affronté le moindre faux pas. Je…» Elle se calla contre moi et s’agrippa a mes vêtements comme elle le faisait si souvent en tant de grande crise. Je savais que tout cela était des appels à l’aide, une demande de la sortir de son désespoir. Mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Depuis un long moment, j’avais l’impression que quoi que je dise, quoi que je fasse, rien n’arriverait à retrouver là Leah d’avant. Celle avec qui j’allais prendre un verre en tant qu’ami et qui riait toujours. «J’en peux plus, quand ce n’est pas Elia qui me brise le cœur, c’est Jack qui me blâme pour mon dérapage ou Eurydice qui décide que mon amitié est moins importante que son mec et et… » Elle éclata en sanglot et moi je soupirai. Elle n’avait pas tord, mais je ne pouvais pas lui dire. Mon rôle auprès d’elle était de la réconforté, son psy allait l’aider à relativisé. Je détestais admettre qu’elle devait aller voir un spécialiste, mais quand je la voyais ainsi j’en comprenais l’utilité. Je détestais la voir fragile, elle devait s’endurcir par merlin! «Calme toi, respire» Je la câlinai doucement, ne sachant quoi faire. Je commençais à être perdu dans ce désespoir qui prenait son cœur. Nous vivons des évènements heureux, pourquoi continuait-elle à pleurer a chaque jour et même plusieurs fois? «Je t’aime Owen» Combien de fois l’avais-je entendu dire cela avec une pareille voix brisée. Trop. J’aurais préféré l’entendre comme cette fameuse fois où elle s’était faite mienne, ce fameux soir où nous étions devenus un couple. Ce je t’aime qui m’interdisait tout découragement, car je savais qu’au plus profond de son malheur, elle était avec moi pour les bonnes raisons. Je n’étais plus cette bouée que j’avais été tout au long de l’été. « Moi aussi». « Ca me tue de pas pouvoir t’aimer comme je le voudrais. Je ne veux pas être triste avec toi. J’en ai marre de ruiné nos soirées en amoureux car je me mets a pleurer ou a faire des crises de panique. Je veux…je veux… Je veux que ca soit comme à Whistler. On était bien là. On était heureux. » Elle releva vers moi un regard chagriné, je la serrai contre moi. Elle avait raison.
J’allai doucement cueillir ses lèvres, m’excusant d’un baiser de mon impuissance face à son malheur. Malgré tout ce que je devais faire, c’est elle qui devait réaliser par comprendre que certaines personnes devaient partir de sa vie, aussi importantes furent-elles avant. Les temps avaient changé. Nous deux avions grandis et ses amis ne désirait pas le faire. Le détachement était douloureux, mais je ne pouvais rien faire d’autre que de la câliner et l’embrasser, ce que je m’appliquais à faire. « Tu as raison» Finis-je par dire, alors que dans mon cerveau une idée germait. Et si c’était ça la solution? Le lien qui ferait de Leah une femme heureuse pour de bon? «On était bien au Canada.» Plus cette illumination prenait forme, plus je la trouvais logique et implacable. J’ignore pourquoi, mais je savais maintenant que c’était la chose à faire. «Et on va retourner faire un voyage. Juste toi et moi. Oublier un peut Norwich le temps d’un weekend» Je souris attendris devant l’air interloqué de ma tendre. Elle était adorable quand ses yeux s’illuminaient de la sorte. Je rigolai. « Mais… t’a Quidditch! Et.. et c’est compliqué voyager maintenant! Je ne peux pas transplanner avec le bébé et… » Je l’embrassai pour qu’elle se taise et caressai avec amour son corps fragile. « J’ai pas de pratique avant mercredi. Et tu peux transplaner Leah, t’en est qu’a neuf semaine et c’est dangereux qu’a la douzième. Tu le sais. » Je la couvris d’un regard tendre. «Je sais que tu fais ça par sécurité, c’est bien même. Mais c’est important qu’on parte d’ici. Qu’on se fasse un weekend toi et moi. Le bébé il tiendra, je n’ai pas peur. Mais pour ca il ne faut pas que sa maman craque. » Ses yeux brillants se remplirent de larmes. Je savais que je n’aurais pas du lui dire que j’avais remarqué ca tendance dépressive, mais elle devait voir que je m’inquiétais. Elle devenait venir avec moi faire ce voyage. C’était essentiel qu’elle dise oui. A tout.
«Okay…» Je lui souris, heureux qu’elle accepte. Elle se blottit contre moi et je la serrai plus qu’il ne fallait. Elle trembla, je l’embrassai. La rassuré. Encore et toujours. Jusqu’à ce soir. Tout ira mieux ce soir. «Va te préparer, on part bientôt.» Elle essuya ses larmes du revers de la main, comme une gamine, signe très mignon qu’elle se calmait réellement. «Je m’habille comment» Elle se releva et se mis à défaire le reste de ce qu’était notre souper refroidis. «Met toi belle, comme toujours. » Je regardai son corps se retourner vers moi et je souris. Mes yeux rencontrèrent les siens, juste avant de répondre avec douceur au baiser qu’elle me donnait. Elle accouru vers la douche et je lutai pour ne pas la rejoindre et ne pas lui montrer combien je l’aimais, et d’ainsi la rassurée. Mais je ne devais pas. Je devais garder ça pour ce soir. Ça sera encore meilleur, ca serait encore plus tendre et ça ne sera pas pour calmer le désespoir de ma belle. Car ce soir j’allais lui rendre ce sourire qui me manquait franchement beaucoup. Je passai quelques appels, du élever la voix quelques fois, mais au final toutes les réservations furent prise. Faire les valises fut plus complexe. Tout trouver pour que ce weekend soit mémorable fut complexe, mais remercions la magie et son sortilège Accio. Assis dans le salon de notre appartement, j’attendis Leah le cœur battant comme jamais. Il fallait que ça marche. Cette idée était trop parfaite.
Après une longue discussion autours de mon dernier match, nous avions tombé dans un de ses silences plaisant. Ceux qui ne doivent pas être comblé. Ceux simplement content de la présence de l’autre. Je terminais mon repas quand j’entendis un sanglot. Son que je connaissais trop et qui sortait trop souvent de ma Leah. Je relevai les yeux étonné et inquiet vers elle. Elle se cachait le visage avec ses mains et pleurait durement. « Mon cœur, qu’est-ce qui se passe?» Je me relevai et j’allai m’asseoir à ses cotés pour la prendre dans mes bras. Si les premières semaines après son retour à Norwich tout avait été pour le mieux, j’avais remarqué que l’optimisme et le renouveau de Leah se détériorait. La vie était très cruelle envers elle et elle n’était pas assez forte pour supporter tout ce qui lui arrivait. Il m’arrivait trop souvent d’en vouloir à ses amis de ne pas comprendre. De ne pas la comprendre comme je la voyais : une Leah qui retournait dangereusement dans la même dépression qu’elle avait fait cet été. Je m’étais juré de ne plus là voir ainsi, le risque était trop grand de la revoir dans un lit d’hôpital à souhaiter la mort. Je n’arrivais pas à comprendre les autres, ils l’avaient presque perdu, s’étaient inquiétés mais maintenant revenue, ils la coulaient et la rendaient encore pire qu’avant. Avait-elle été toujours ainsi pour ces amis, un souffre douleur qui leur permettait d’oublier combien leur vie était pathétique. Leah méritait mieux et c’est ce que j’essayais de lui faire comprendre, de lui donner. «Je ne sais pas pourquoi je pleure» Mon cœur se serra, je la serrai contre moi. «J’en ai marre Owie! Marre d’être toujours déprimée. De pleurer tout le temps. De ne pas être capable d’affronté le moindre faux pas. Je…» Elle se calla contre moi et s’agrippa a mes vêtements comme elle le faisait si souvent en tant de grande crise. Je savais que tout cela était des appels à l’aide, une demande de la sortir de son désespoir. Mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Depuis un long moment, j’avais l’impression que quoi que je dise, quoi que je fasse, rien n’arriverait à retrouver là Leah d’avant. Celle avec qui j’allais prendre un verre en tant qu’ami et qui riait toujours. «J’en peux plus, quand ce n’est pas Elia qui me brise le cœur, c’est Jack qui me blâme pour mon dérapage ou Eurydice qui décide que mon amitié est moins importante que son mec et et… » Elle éclata en sanglot et moi je soupirai. Elle n’avait pas tord, mais je ne pouvais pas lui dire. Mon rôle auprès d’elle était de la réconforté, son psy allait l’aider à relativisé. Je détestais admettre qu’elle devait aller voir un spécialiste, mais quand je la voyais ainsi j’en comprenais l’utilité. Je détestais la voir fragile, elle devait s’endurcir par merlin! «Calme toi, respire» Je la câlinai doucement, ne sachant quoi faire. Je commençais à être perdu dans ce désespoir qui prenait son cœur. Nous vivons des évènements heureux, pourquoi continuait-elle à pleurer a chaque jour et même plusieurs fois? «Je t’aime Owen» Combien de fois l’avais-je entendu dire cela avec une pareille voix brisée. Trop. J’aurais préféré l’entendre comme cette fameuse fois où elle s’était faite mienne, ce fameux soir où nous étions devenus un couple. Ce je t’aime qui m’interdisait tout découragement, car je savais qu’au plus profond de son malheur, elle était avec moi pour les bonnes raisons. Je n’étais plus cette bouée que j’avais été tout au long de l’été. « Moi aussi». « Ca me tue de pas pouvoir t’aimer comme je le voudrais. Je ne veux pas être triste avec toi. J’en ai marre de ruiné nos soirées en amoureux car je me mets a pleurer ou a faire des crises de panique. Je veux…je veux… Je veux que ca soit comme à Whistler. On était bien là. On était heureux. » Elle releva vers moi un regard chagriné, je la serrai contre moi. Elle avait raison.
J’allai doucement cueillir ses lèvres, m’excusant d’un baiser de mon impuissance face à son malheur. Malgré tout ce que je devais faire, c’est elle qui devait réaliser par comprendre que certaines personnes devaient partir de sa vie, aussi importantes furent-elles avant. Les temps avaient changé. Nous deux avions grandis et ses amis ne désirait pas le faire. Le détachement était douloureux, mais je ne pouvais rien faire d’autre que de la câliner et l’embrasser, ce que je m’appliquais à faire. « Tu as raison» Finis-je par dire, alors que dans mon cerveau une idée germait. Et si c’était ça la solution? Le lien qui ferait de Leah une femme heureuse pour de bon? «On était bien au Canada.» Plus cette illumination prenait forme, plus je la trouvais logique et implacable. J’ignore pourquoi, mais je savais maintenant que c’était la chose à faire. «Et on va retourner faire un voyage. Juste toi et moi. Oublier un peut Norwich le temps d’un weekend» Je souris attendris devant l’air interloqué de ma tendre. Elle était adorable quand ses yeux s’illuminaient de la sorte. Je rigolai. « Mais… t’a Quidditch! Et.. et c’est compliqué voyager maintenant! Je ne peux pas transplanner avec le bébé et… » Je l’embrassai pour qu’elle se taise et caressai avec amour son corps fragile. « J’ai pas de pratique avant mercredi. Et tu peux transplaner Leah, t’en est qu’a neuf semaine et c’est dangereux qu’a la douzième. Tu le sais. » Je la couvris d’un regard tendre. «Je sais que tu fais ça par sécurité, c’est bien même. Mais c’est important qu’on parte d’ici. Qu’on se fasse un weekend toi et moi. Le bébé il tiendra, je n’ai pas peur. Mais pour ca il ne faut pas que sa maman craque. » Ses yeux brillants se remplirent de larmes. Je savais que je n’aurais pas du lui dire que j’avais remarqué ca tendance dépressive, mais elle devait voir que je m’inquiétais. Elle devenait venir avec moi faire ce voyage. C’était essentiel qu’elle dise oui. A tout.
«Okay…» Je lui souris, heureux qu’elle accepte. Elle se blottit contre moi et je la serrai plus qu’il ne fallait. Elle trembla, je l’embrassai. La rassuré. Encore et toujours. Jusqu’à ce soir. Tout ira mieux ce soir. «Va te préparer, on part bientôt.» Elle essuya ses larmes du revers de la main, comme une gamine, signe très mignon qu’elle se calmait réellement. «Je m’habille comment» Elle se releva et se mis à défaire le reste de ce qu’était notre souper refroidis. «Met toi belle, comme toujours. » Je regardai son corps se retourner vers moi et je souris. Mes yeux rencontrèrent les siens, juste avant de répondre avec douceur au baiser qu’elle me donnait. Elle accouru vers la douche et je lutai pour ne pas la rejoindre et ne pas lui montrer combien je l’aimais, et d’ainsi la rassurée. Mais je ne devais pas. Je devais garder ça pour ce soir. Ça sera encore meilleur, ca serait encore plus tendre et ça ne sera pas pour calmer le désespoir de ma belle. Car ce soir j’allais lui rendre ce sourire qui me manquait franchement beaucoup. Je passai quelques appels, du élever la voix quelques fois, mais au final toutes les réservations furent prise. Faire les valises fut plus complexe. Tout trouver pour que ce weekend soit mémorable fut complexe, mais remercions la magie et son sortilège Accio. Assis dans le salon de notre appartement, j’attendis Leah le cœur battant comme jamais. Il fallait que ça marche. Cette idée était trop parfaite.
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Re: Love me two times
Ven 10 Déc 2010 - 15:20
- Je cherchais ma came. Elle était quelque part dans le sac de Leah et je ne savais plus où cette fille l’avait planqué. Tout ce que j’espérais c’est qu’elle ne se l’était pas envoyé sans moi. Si c’était le cas, elle allait entendre parler de moi cette petite brune sans cervelle. Je fini par trouve le sachet tant désiré, planqué dans son porte monnaie. Je planquai les galions qui s’y trouvaient dans mes poches et balançai le sac à main de Leah au sol. «Non mais babe qu’est-ce que tu fou, c’est long!» Je soupirai et regardai l’heure, cette fille prenait une éternité à se préparer. «J’arrive mon cœur» Je frissonnais. Je détestais lorsqu’elle me donnait des noms d’amour. C’était pour les imbécile qui croyaient à l’amour avec un grands A et qui rêvait surement d’une maison avec des enfants et un labrador. Du grand n’importe quoi qui menait à une vie emmerdante et qui ne menait qu’à rien sinon à être lessiver du cerveau. Faire ce que la société voulait de nous et ne pas agir dans son propre intérêt. Exaspérant. Et Leah étaient ainsi. C’était sa faute si elle était tombé sous mon charmes, entre nous quelle fille ne le ferait pas. Elle me voulait comme petit ami, grand bien lui fasse, ainsi je l’aurais plus souvent dans mon lit. Mais si elle s’attendant à ce que je l’appelle «mon poussin» et autres mot dégoulinant à tous les jours, elle se mettait le doigt dans l’œil. Je l’appelais ainsi que lorsque je voulais lui soutirer quelque chose, sexuel ou pas. Elle tombait dans le panneau à chaque fois cette sotte, et cela faisait totalement mon affaire. «Calme-toi» Ses lèvres se posèrent dans mon cou et mon cœur manqua un bon. Je regardai Delyana, assise à mes côtés en sous-vêtement, je me contrôlais comme un fou pour ne pas la prendre sauvagement et tout de suite. Son corps appelait douloureusement le miens et alors que je la caressai avec désir, elle planta ses yeux dans les miens. «A trois, tu vas prendre ton pied. Alors laisse cette cruche se faire désirer et embrasse moi.» Je m’exécutai sans me faire prier et laissai ses doigts me bruler de ses caresses. Elle se coucha sur mon lit et je me sentais prêt à lui faire passer une de ces soirées de luxures que je n’offrais qu’à cette déesse. Mes autres amantes n’auraient jamais droit à l’union parfaites de ces deux corps qui se désiraient ardemment. Mais, me surprenant encore et toujours, elle étala cette poudre de bonheur sur son ventre et me regarda avec un sourire remplis de sous-entendu. Je lui fis un grand sourire et je l’embrassai avant d’aller m’emplir le système de cette drogue absolue. Sur le corps de Delyana, l’effet était instantané, mes deux drogues combinées en une expérience sensorielle qui me dépassait. J’en deviendrai bien vite accro je le sentais. Je ne me contrôlais plus et commençai à baiser ma nymphe. Leah vint nous rejoindre entre temps, je ne m’en suis aperçu que bien longtemps après, lorsque je posai les yeux sur Delyana et que ses lèvres pulpeuse étaient occupée à en embrassé d’autres que les miennes. Bien qu’à trois le sexe était meilleur, présentement celle que je devrai appeler ma petite amie m’incommodait. Je voulais baiser une autre fille qu’elle, ne le voyait-elle pas. Et au final, après avoir tous pris notre pied, nous laissâmes Leah dormir dans mon lit avions continué à baiser comme des bêtes, totalement défoncé dans la salle de bain. Si le dieu avaient laissé échapper une beauté de leur palais, elle s’appelait Delyana et je l’ai fait mienne une nuit entière.
La porte de la salle de bain s’ouvrit au moment ou cet étrange souvenir sortait de mon esprit. Je n’arrivais pas encore à comprendre comment j’avais pu traiter Leah de cette façon. D’avoir penser d’elle d’aussi horrible chose. Comment avais-je pu ne pas aimer cette fille quand je l’avais eu dans mes bras? Il va sans dire que de sortir de Delyana avait fait beaucoup dans l’équation. Si cette fille serait encore à mes côtés, je ne serais certainement pas le même homme qui attendait patiemment sa fiancée dans le salon. Sa brève apparition dans ma vie en septembre m’avait montré combien j’étais encore dépendant de cette fille et donc, combien elle était dangereuse pour moi. Elle avait trop de fois ruiné mon couple, risqué de me faire perdre Leah pour qu’elle puisse redevenir cette confidente qu’elle avait été. Et pourtant, je savais que dès qu’elle serait devant moi j’en oublierais toute mes belles résolutions. Cette fille me tenait et elle le savait. Et pour moi, pour Leah, pour le bébé, je devais l’éviter. Ce que je faisais depuis le retour de Leah dans ma vie. Et en cette soirée décisive, je ne devais absolument pas penser à mes soirées dans un lit avec cette empoisonneuse. Je me concentrai donc sur Leah qui venait vers moi, un grand sourire vint se dessiner sur mes lèvres. J’adorais cette robe mauve. Elle l’avait mis lors de ce fameux rendez-vous au Poney où nous avions fini par faire de nouveau l’amour pour la première fois depuis notre première rupture. Cette fameuse soirée où j’étais tombé de nouveau amoureux d’elle et qui m’avait fait combattre pendant tout un été pour l’avoir dans mes bras. Au final j’en devais beaucoup à cette petite robe qui épousait à la perfection ses courbes; j’avais compris en voyant Leah la porter ce fameux soir combien cette fille était belle. «Je suis prête. » Sa voix était faible et mon sourire se transforma en quelque chose de bien plus petit. Elle semblait encore abattu, triste, profondément déprimé, une pâle réplique de ce qu’elle avait été durant les vacances, une réplique que je ne voulais plus revoir. Je me relevai et j’allai l’embrasser avec douceur avant de l’asseoir sur le divan. «Tu me fais confiance?» C’était tout ce que je voulais. Qu’elle se laisse faire et me laisse lui rendre un sourire perdu. Je lui tendis un lecteur de musique mp3 qu’elle plaça a ses oreilles en me posant mille et une questions auxquelles je ne répondais que «fais-moi confiance». Elle continua encore plus a se plaindre lorsque je lui bandai les yeux pour qu’elle ne voit rien de la destination qui lui serait parfaite. J’activai le lecteur de chanson et je vis ma tendre passé de la panique à une sérénité graduelle. Un sourire vint s’accrocher a mes lèvres lors que je vis le sourire amoureux qui vint ce dessiné sur ceux de ma douce. J’avais eu beau ramer pour écrire la chanson qu’elle écoutait, je savais que lorsque je lui avais joué elle avait craqué pour moi. Ces heures d’effort en avaient valu la chandelle et a la voir ainsi calme a écouter cet enregistrement maison me rendait encore plus fier, plus heureux, plus amoureux.
Je pris donc sa main dans laquelle elle noua ses doigts aux miens dans un automatisme étonnant. Je souriais et la pris dans mes bras, ayant nos valises dans l’autre main. Après une forte sensation dans la poitrine, nous fume dans un hôtel somptueux, comme celui que j’espérais. Ma douce était raide contre moi et je fus soudain inquiet. A trop insisté avais-je vraiment mis en danger le bébé? Je voulais savoir si quelque chose clochait, mais elle ne me voyait ni ne m’entendais pas. J’allai donc doucement l’embrasser, histoire de capter son attention et je mis ma main sur son ventre avec douceur. Avec Mya, caresser son ventre bien rond avait été pour moi quelque chose qui m’avait donné envie d’être père, et de savoir que d’ici quelques mois j’allais pouvoir caresser le ventre rond de la femme de ma vie, ça me rendait dingue. Qui aurait dis au début de l’année qu’elle et moi allions être des parents? Moi-même je vous aurais ris au nez. Bref, Leah sourit et me fit un signe de tête, confirmant que tout allait bien. Elle avait du figer par la peur plus que par la douleur. J’allai chercher les clé de notre chambre sous le regard étonnée de l’employé face a l’accoutrement de Leah. Quelques minutes plus tard, nous entrâmes dans la chambre et j’assoyais ma fiancée sur cette chaise confortable. La suite pourrait bien être la plus luxueuse et magnifique que j’ai jamais vu, je m’en contrebalançais. Je ne pris pas la peine de la regarder et je me concentrai à déposer le sac sur l’immense lit et rejoindre ma Leah dont je caressais ces douces mains moites de stress et d’excitation.
Je souris. Puis je me mis à genoux et je défis son bandeau et ses écouteurs. Elle me souris puis se mis à regarder partout comme une gamine devant un magasin de bonbon. Je la trouvais mignonne ainsi, a se tortiller sur la chaise et tenter de comprendre où nous étions. Mais cette chambre n’était rien à côté de ce que j’avais prévu. Un sourire satisfait vint se dessiner sur mon visage. «On est où? C’est magnifique?» Je rigolai et j’allais l’embrasser. «Leah, veux tu m’épouser? » Je la vis éclater de son rire cristallin alors que ses yeux se posèrent sur moi. Je commençais à réaliser, mon cœur se mis à battre avec force. Je nous savais impulsif, mais le serions-nous jusqu’au bout? Je lui montrai cette fameuse bague de fiançailles qui la suivait depuis très longtemps, la bague de ma défunte mère. . «Ce soir. Ici maintenant. À Vegas. Veux-tu m’épouser?»
- InvitéInvité
Re: Love me two times
Ven 10 Déc 2010 - 22:43
«Owen...» Son nom s’échappa de mes lèvres alors que mon souffle se coupa instantanément. J’étais sidéré. Mon étonnement m’empêchait d’agir d’une quelconque manière. Assise sur un fauteuil soyeux et confortable dans un hôtel qui semblait couter les yeux de la tête, j’en étais à me dire que décidément, depuis qu’Owen gagnait un salaire de joueur de Quiddich professionnel, il avait commencé à me gâter de fâcheux gargantuesque. Après le Canada, les garde-robes refaites, le voila à nous emmener dans cet endroit qui m’était inconnu mais qui ne devait pas couter trois mornilles. Je m’attendais à ce qu’il me surprenne, à quelque chose d’inusité, à quelque chose de grandiose. Mais pas à ça. Une seconde demande en mariage, à Las Vegas. Il n’y a pas deux heures je pleurais en pyjama à Norwich…. «Et les autres?» Il restait à me regarder, la bague tendu devant mes yeux et moi incapable de faire quoi que ce soit sinon me rappeler que je devais respirer. «On a pas besoin de réception, de grands bal et de tout ca. Je sais que tu rêve d’un mariage de princesse…» Je souris. Il n’avait pas tord sur ce point. Les préparatif du mariage que je faisais depuis quelques temps s’enlignait vers quelque chose de grandiose et de féérique, comme celui de mes rêves, celui que je m’étais imaginée depuis mes quatre ans avec Eurydice. «…mais tu sais autant que moi que ce n’est pas ce qu’il nous faut.» Je le regardai sans comprendre, il le vit puisqu’il sourit attendris. Oh. Comme j’aimais ce sourire. «La plupart de nos amis et invités ne sont pas d’accord avec ce qu’on fait… Avec tout ca le bébé et nos fiançailles» Je le regardai à travers la bague tendue devant moi pour la troisième fois dans ma vie. Mes doigts se crispèrent dans le banc et je sentis mon cœur accélérer plus rapidement que la vitesse permise. «Mais dis oui. »
«Tu vas pas me dire que…» Eurydice me regardait les yeux grands ouverts en écrasant sa clope dans le cendrier. Je soupirai en haussant les épaules. «Je sais pas Eurydice… c’est…. Oh tu aurais du entendre ce qu’il m’a écrit comme chanson. Il me l’a jouer près du feu avant d’aller dormir. C’était…si magnifique!» Mon amie me pris la tête entre les mains et me regarda dans les yeux. «Leah, on parle d’Owen. Owen Miles. Le type qui t’a brisé le cœur et qui t’a fait pleurer pendant des semaines! Le type qui t’a envoyé un texto le lendemain de votre rupture pour savoir si tu passais dormir chez lui. Le type qui t’a surement trompé plus qu’une fois….» Je me mordis la lèvre. Si seulement elle voulait comprendre. J’avais beau lui dire, elle ne voulait rien voir du nouvel homme qu’il était. «Il le regrette… Il a changé Eury» «Impossible qu’il l’est à ce point» Je soupirai. «Il était romantique comme ça quand il était pas high tu sais…» Mon amie éclata d’un rire si méchant que je m’en suis sentit outrée. Je fis une moue boudeuse et serrai les dents pour avaler une méchanceté. Elle me lâcha le visage en secouant la tête. «Et tu le crois sobre tout le temps?» «Oui…enfin…oui je le crois» Je commençai à jouer nerveusement avec mes mains. «Tu vois tu hésites.» «Mais il me fait du bien… j’oublie un peu Elia quand il est là. » «Tu l’aimes hein?» Mon absence de réponse fit soupirer mon amie qui me secoua un peu histoire que je réalise que mes sentiments envers Owen n’étaient pas bien fondés, que ce n’était qu’encore une fois poudre aux yeux. Alors pourquoi lorsqu’il me disait «Je t’aime» je n’arrivais pas à respirer normalement… «Fait ce que tu veux Leah, mais tu fonces droit dans un mur avec ce type, je te dis, deux semaine et tu vas voir à quel point il n’a pas changé.»
Un sentiment de peu s’installa dans ma cage thoracique. IComme à chaque fois que je pensais à quel point Owen était parfais comme homme. Il n'avait pas changé malgré tout...Il savait tout de moi, tout ce qui se passait dans ma tête, dans mon cœur, il avait accepter que je me console dans les bras de d’autres hommes, m’avait attendu des semaines durant, m’avait chercher au tours du monde, m’avait lu les Misérables, m’avais tant de fois mise dans un bain suite à une crise de larme où je n’arrivais pas à me calmer, il acceptait la grande faiblesse qu’était ma vie et ne se concentrait que sur les rares moments où j’allais bien, ces moments où nous étions seuls et amoureux. Il m’avait déjà dis qu’il savait que la Leah fêtarde, rieuse et en vie était encore en moi, mais qu’elle avait besoin de dormir, qu’il comprendrait et qu’en attendant, il me bercerait pour me calmer. Je comprenais maintenant d’où venait ma peur qu’il me quitte lorsqu’il allait réaliser que j’étais dépressive : il était parfait et je n’arrivais pas à être l’amoureuse et la petite amie que je devrais être pour lui. Il avait beau me dire que c’était faux et démentir mes inquiétudes, je me savais capable de plus. Je devais aimer Owen encore plus, lui montrer combien simplement l’entendre respirer près de mois lorsque nous dormions m’emplissais d’une accalmie passionnelle en mon être.
Mais je ne répondais toujours pas à sa question. Aucune réponse ne sortait de mes lèvres car mon cerveau avait cessé de fonctionné au moment où il m’avait fait miroitée la possibilité de se marier ici, maintenant et tout de suite. Sidéré, je n’arrivais à rien faire de logique. Les yeux d’Owen semblèrent inquiets, mon cœur se serra. J’en avais envie plus que jamais, mais j’étais tant sous le choc. Oh mon amour… toi qui m’a toujours comprise, comprend cette étrange réaction de ma part… «Leah je ne te promet pas de te rendre heureuse demain, je sais que tu as besoin de temps pour te relever complètement.» J’avais envie qu’on me foudroie à l’instant. Disparaitre a tout jamais. Il me savait malheureuse. Même si j’étais à ces côtés. Pourquoi restait-il alors? Encore et toujours il était là malgré ce chagrin qui m’empoignait le cœur. «Mais tu m’as aimé dans le moment le plus sombre de ma vie. Et moi je t’aime alors que tu es dans une passe plus creuse. » Une phrase résumant ce que nous étions, une phrase résumant ce que nous étions présentement. Une phrase parfaite. Personne ne pouvait mieux résumer ce qu’avait été les deux ans entre moi et Owen que cela. Je succombai, une fois de plus. Il venait de me faire tomber encore plus en amour avec lui, chose que je ne croyais pas possible. Oh… comme il était loin le temps où il m’avait initié aux drogues fortes dans une baignoire un soir chez lui. Comme il était loin l’époque où il ne me faisait pas l’amour mais me baisait en vitesse… Oh mon amour, si tu savais comme je t’aime. Je t’en pris, ne pars pas. Ne me quitte pas. Jamais. «Et on va élever le bébé, ensemble.» Il posa une main sur mon ventre qui avait à peine grossit. «Et il aura un papa amoureux et une maman heureuse. Je t’en fais la promesse.» Je craquai. Je me jettai a son cou et nous tombâmes sur le dos. C’était tout ce que je voulais entendre. Une maman (oh mon dieu!) heureuse…et un papa amoureux…. Lui et moi.
«J’espère que tu as ton smooking» Lui soufflais-je doucement avant d’aller l’embrasser avec passion. C’était un oui, un immense oui. Ici, tout de suite et maintenant.
«Tu vas pas me dire que…» Eurydice me regardait les yeux grands ouverts en écrasant sa clope dans le cendrier. Je soupirai en haussant les épaules. «Je sais pas Eurydice… c’est…. Oh tu aurais du entendre ce qu’il m’a écrit comme chanson. Il me l’a jouer près du feu avant d’aller dormir. C’était…si magnifique!» Mon amie me pris la tête entre les mains et me regarda dans les yeux. «Leah, on parle d’Owen. Owen Miles. Le type qui t’a brisé le cœur et qui t’a fait pleurer pendant des semaines! Le type qui t’a envoyé un texto le lendemain de votre rupture pour savoir si tu passais dormir chez lui. Le type qui t’a surement trompé plus qu’une fois….» Je me mordis la lèvre. Si seulement elle voulait comprendre. J’avais beau lui dire, elle ne voulait rien voir du nouvel homme qu’il était. «Il le regrette… Il a changé Eury» «Impossible qu’il l’est à ce point» Je soupirai. «Il était romantique comme ça quand il était pas high tu sais…» Mon amie éclata d’un rire si méchant que je m’en suis sentit outrée. Je fis une moue boudeuse et serrai les dents pour avaler une méchanceté. Elle me lâcha le visage en secouant la tête. «Et tu le crois sobre tout le temps?» «Oui…enfin…oui je le crois» Je commençai à jouer nerveusement avec mes mains. «Tu vois tu hésites.» «Mais il me fait du bien… j’oublie un peu Elia quand il est là. » «Tu l’aimes hein?» Mon absence de réponse fit soupirer mon amie qui me secoua un peu histoire que je réalise que mes sentiments envers Owen n’étaient pas bien fondés, que ce n’était qu’encore une fois poudre aux yeux. Alors pourquoi lorsqu’il me disait «Je t’aime» je n’arrivais pas à respirer normalement… «Fait ce que tu veux Leah, mais tu fonces droit dans un mur avec ce type, je te dis, deux semaine et tu vas voir à quel point il n’a pas changé.»
Un sentiment de peu s’installa dans ma cage thoracique. IComme à chaque fois que je pensais à quel point Owen était parfais comme homme. Il n'avait pas changé malgré tout...Il savait tout de moi, tout ce qui se passait dans ma tête, dans mon cœur, il avait accepter que je me console dans les bras de d’autres hommes, m’avait attendu des semaines durant, m’avait chercher au tours du monde, m’avait lu les Misérables, m’avais tant de fois mise dans un bain suite à une crise de larme où je n’arrivais pas à me calmer, il acceptait la grande faiblesse qu’était ma vie et ne se concentrait que sur les rares moments où j’allais bien, ces moments où nous étions seuls et amoureux. Il m’avait déjà dis qu’il savait que la Leah fêtarde, rieuse et en vie était encore en moi, mais qu’elle avait besoin de dormir, qu’il comprendrait et qu’en attendant, il me bercerait pour me calmer. Je comprenais maintenant d’où venait ma peur qu’il me quitte lorsqu’il allait réaliser que j’étais dépressive : il était parfait et je n’arrivais pas à être l’amoureuse et la petite amie que je devrais être pour lui. Il avait beau me dire que c’était faux et démentir mes inquiétudes, je me savais capable de plus. Je devais aimer Owen encore plus, lui montrer combien simplement l’entendre respirer près de mois lorsque nous dormions m’emplissais d’une accalmie passionnelle en mon être.
Mais je ne répondais toujours pas à sa question. Aucune réponse ne sortait de mes lèvres car mon cerveau avait cessé de fonctionné au moment où il m’avait fait miroitée la possibilité de se marier ici, maintenant et tout de suite. Sidéré, je n’arrivais à rien faire de logique. Les yeux d’Owen semblèrent inquiets, mon cœur se serra. J’en avais envie plus que jamais, mais j’étais tant sous le choc. Oh mon amour… toi qui m’a toujours comprise, comprend cette étrange réaction de ma part… «Leah je ne te promet pas de te rendre heureuse demain, je sais que tu as besoin de temps pour te relever complètement.» J’avais envie qu’on me foudroie à l’instant. Disparaitre a tout jamais. Il me savait malheureuse. Même si j’étais à ces côtés. Pourquoi restait-il alors? Encore et toujours il était là malgré ce chagrin qui m’empoignait le cœur. «Mais tu m’as aimé dans le moment le plus sombre de ma vie. Et moi je t’aime alors que tu es dans une passe plus creuse. » Une phrase résumant ce que nous étions, une phrase résumant ce que nous étions présentement. Une phrase parfaite. Personne ne pouvait mieux résumer ce qu’avait été les deux ans entre moi et Owen que cela. Je succombai, une fois de plus. Il venait de me faire tomber encore plus en amour avec lui, chose que je ne croyais pas possible. Oh… comme il était loin le temps où il m’avait initié aux drogues fortes dans une baignoire un soir chez lui. Comme il était loin l’époque où il ne me faisait pas l’amour mais me baisait en vitesse… Oh mon amour, si tu savais comme je t’aime. Je t’en pris, ne pars pas. Ne me quitte pas. Jamais. «Et on va élever le bébé, ensemble.» Il posa une main sur mon ventre qui avait à peine grossit. «Et il aura un papa amoureux et une maman heureuse. Je t’en fais la promesse.» Je craquai. Je me jettai a son cou et nous tombâmes sur le dos. C’était tout ce que je voulais entendre. Une maman (oh mon dieu!) heureuse…et un papa amoureux…. Lui et moi.
«J’espère que tu as ton smooking» Lui soufflais-je doucement avant d’aller l’embrasser avec passion. C’était un oui, un immense oui. Ici, tout de suite et maintenant.
- InvitéInvité
Re: Love me two times
Sam 11 Déc 2010 - 1:30
Devant le miroir de la salle de bain de l’hôtel, j’étais en état d’euphorie. Mes mains tremblaient tant l’excitation et la nervosité me prenait au ventre. La mèche qui tombait de ma coiffure refusait de tenir et m’agaçait royalement. C’était le jour de mon mariage, je devais être impeccable. Pour Owen je devais être parfaite. Soupirant, j’empoignai ma baguette et d’un mouvement je fixai mes cheveux en parfait état. J’aurais voulu faire cela manuellement, tout faire moi-même et ne pas devoir mon apparence à la magie. Je le faisais souvent dans le quotidien, en ce jour spécial j’aurais voulu être magnifique de par ma faute et non par ma baguette. Souriant de mes lèvres rougis par un rouge à lèvre, je me reculai histoire d’avoir une vue d’ensemble. La vision me frappa. J’étais maintenant en robe de mariée, maquillée et coiffée. Pour la première fois de toute ma vie, je me sentais belle. Vraiment belle. Merci a mon tendre qui avait apporté la robe que j’avais trouvée quelques semaine après sa demande en fiançailles, je pouvais maintenant être dans cette robe qui épousait parfaitement mon corps et qui me rendait plus femmes. Je n’avais pas l’impression de voir cette fille fragile et triste qui me regardait chaque matin lorsque je me préparais. J’étais devenue une autre femme, quelqu’un qui pourrait briser des barrières, quelqu’un qui partagerait sa vie avec l’homme le plus extraordinaire de cette planète. Oh maman, tu serais si fière de me voir ainsi. Me vois-tu au ciel? Entend ma prière et protège mon couple pour qu’il soit aussi amoureux qu’en cet instant. Mon cœur manqua un bond, l’image d’Owen vint me traversé l’esprit. «Poussin, tout vas bien?» Je souris, attendrie. Amoureuse. «Oui oui! Donne-moi deux secondes» J’étais prête. Mais je voulais me regarder une dernière fois. Imprégné dans ma tête cette image inusité de moi. Cette image que je n’aurais jamais crue. J’étais belle… oh….!
La main sur la poignée de porte, prête a sortir, a me dévoilé à mon fiancé, je stoppai. Mon cœur battait si vite que j’en tremblai. Je devais me calmer. Je pris un moment et je fermais les yeux. Je me mis a imaginée. Moi, marchant dans l’allée d’une petite chapelle. Tous mes amis me regardant et commentant à voix basse ma robe. Et moi, nerveuse, amoureuse ne les regardant pas, mes yeux fixé sur un homme. Un unique. Celui qui m’attend à l’autel, qui me regarde et qui sera le père de mes enfants. Ensuite la soirée, le repas copieux, le gâteau et la danse. Puis on s’éclipse au milieu de la soirée et on part en voyage de noce, consommant notre amour à jamais. Ça ne se passera pas ainsi, je le sais. C’est mes caprices de gamine qui ressortait, celle ayant vécu dans un monde imaginaire. Un monde ou l’amour ne blessait pas et où les amitiés étaient éternelles. La désillusionnée que j’étais comprenais que ce mariage de princesse ne m’était pas destiné, mais je devais faire taire cette petite déception qui se cachait dans un coin de ma tête. Owen avait raison. Nous n’avions pas besoin de tout cela. Pas besoin d’être entourés d’amis hypocrites qui avaient fait des paris à savoir quand nous allions rompre. Tout ce qu’il nous fallait c’était lui, moi et le petit être dans mon ventre. A nous trois, nous allions construire la famille que nous n’avions plus. Lui et moi a jamais. Je souris. Je tournai la poignée de porte.
Oh merlin… Comme il était beau. Owen. Mon Owen. En habit. Je l’avais rarement vu ainsi vêtu et je le trouvais magnifique. Resplendissant. Ce costume épousant son corps fort et sculpté, cette chemise qui faisait ressortir ses yeux qui semblaient brillés de milles feux. Et ce sourire. Ce grand sourire qui vint illuminer son visage et qui me fit fondre d’amour pour lui. Plus ce moment passait, plus cette soirée impossible avançait, plus je réalisais l’empileur du sentiment que j’avais pour cet homme. Et lui, qui me regarde avant tant d’admiration, de surprise et totalement muet. Je rougis. Il m’avait souvent regardé amoureusement, chaque fois qu’il posait le regard sur moi j’y avais lu tendresse et passion. Mais cette fois c’était différent. J’avais l’impression qu’il me regardait pour la première fois, il devait voir cette nouvelle femme que j’avais croisée dans le miroir plus tôt. «Mon cœur» Je souriais, me sentant tellement heureuse en ce moment, pareil bonheur était possible en mon âme? Je l’avais oubliée. Oh mon Owen, comme tu avais raison. Je retrouvais le bonheur que je perdais de vu depuis trop longtemps. Il me prit dans ses bras, je le sentis trembler, mon cœur éclata. Nous étions tout deux émus. «T’es plus belle que dans tous mes rêves» Je laissais passer entre mes lèvres un souffle de bonheur, mon cœur vibrait au son de ces paroles. Il vint m’embrasser mais je plaçai un doigt sur ses douces lèvres. «Non mon amour, le prochain baiser que je te donnerai sera celui qui me fera devenir ta femme.» Il me sourit et me serra dans ses bras en tremblant encore plus, je l’imitai. J’étais si bien.
Donc nous voici. Main dans la main à l’autel d’une chapelle de Las Vegas. Et regardant Owen dans les yeux, mon cœur battant comme dix, je m’entendis dire quelque chose que je n’aurais pas cru pouvoir prononcer dans ma vie de façon si sérieuse, de façon si officielle.. «Oui je le veux.»
La main sur la poignée de porte, prête a sortir, a me dévoilé à mon fiancé, je stoppai. Mon cœur battait si vite que j’en tremblai. Je devais me calmer. Je pris un moment et je fermais les yeux. Je me mis a imaginée. Moi, marchant dans l’allée d’une petite chapelle. Tous mes amis me regardant et commentant à voix basse ma robe. Et moi, nerveuse, amoureuse ne les regardant pas, mes yeux fixé sur un homme. Un unique. Celui qui m’attend à l’autel, qui me regarde et qui sera le père de mes enfants. Ensuite la soirée, le repas copieux, le gâteau et la danse. Puis on s’éclipse au milieu de la soirée et on part en voyage de noce, consommant notre amour à jamais. Ça ne se passera pas ainsi, je le sais. C’est mes caprices de gamine qui ressortait, celle ayant vécu dans un monde imaginaire. Un monde ou l’amour ne blessait pas et où les amitiés étaient éternelles. La désillusionnée que j’étais comprenais que ce mariage de princesse ne m’était pas destiné, mais je devais faire taire cette petite déception qui se cachait dans un coin de ma tête. Owen avait raison. Nous n’avions pas besoin de tout cela. Pas besoin d’être entourés d’amis hypocrites qui avaient fait des paris à savoir quand nous allions rompre. Tout ce qu’il nous fallait c’était lui, moi et le petit être dans mon ventre. A nous trois, nous allions construire la famille que nous n’avions plus. Lui et moi a jamais. Je souris. Je tournai la poignée de porte.
Oh merlin… Comme il était beau. Owen. Mon Owen. En habit. Je l’avais rarement vu ainsi vêtu et je le trouvais magnifique. Resplendissant. Ce costume épousant son corps fort et sculpté, cette chemise qui faisait ressortir ses yeux qui semblaient brillés de milles feux. Et ce sourire. Ce grand sourire qui vint illuminer son visage et qui me fit fondre d’amour pour lui. Plus ce moment passait, plus cette soirée impossible avançait, plus je réalisais l’empileur du sentiment que j’avais pour cet homme. Et lui, qui me regarde avant tant d’admiration, de surprise et totalement muet. Je rougis. Il m’avait souvent regardé amoureusement, chaque fois qu’il posait le regard sur moi j’y avais lu tendresse et passion. Mais cette fois c’était différent. J’avais l’impression qu’il me regardait pour la première fois, il devait voir cette nouvelle femme que j’avais croisée dans le miroir plus tôt. «Mon cœur» Je souriais, me sentant tellement heureuse en ce moment, pareil bonheur était possible en mon âme? Je l’avais oubliée. Oh mon Owen, comme tu avais raison. Je retrouvais le bonheur que je perdais de vu depuis trop longtemps. Il me prit dans ses bras, je le sentis trembler, mon cœur éclata. Nous étions tout deux émus. «T’es plus belle que dans tous mes rêves» Je laissais passer entre mes lèvres un souffle de bonheur, mon cœur vibrait au son de ces paroles. Il vint m’embrasser mais je plaçai un doigt sur ses douces lèvres. «Non mon amour, le prochain baiser que je te donnerai sera celui qui me fera devenir ta femme.» Il me sourit et me serra dans ses bras en tremblant encore plus, je l’imitai. J’étais si bien.
Donc nous voici. Main dans la main à l’autel d’une chapelle de Las Vegas. Et regardant Owen dans les yeux, mon cœur battant comme dix, je m’entendis dire quelque chose que je n’aurais pas cru pouvoir prononcer dans ma vie de façon si sérieuse, de façon si officielle.. «Oui je le veux.»
-Fin du rp-
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