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DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 14:27
✤ Wright Salut !!! Moi c'est Diego Alvès , j'ai 21 yo , et je suis d'origine espagnole . Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis hétéro, aux dernières nouvelles , mais aussi célibataire et issu d'une famille de moldus . A Hungcalf, j'ai choisi Arts journalistiques , et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de châtaigné avec crin de licorne - 25 centimètres et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de de taureau de combat (le toro de lidia - espagnol ;) ). avatar rush || icônes rush |
rien n'est éternel.
Rien n'est éternel. Ni l'amour, ni la gloire et encore moins la vie. Rien n'est écrit non plus. On nait un jour, on meurt le suivant, entre les deux, pas de destinée, pas de belle histoire tracée. J'aurais pourtant voulu le croire. Mais trop souvent mes rêves furent brisés. Au départ, tout n'est qu'espoir et rêve, puis les choses se concrétise, les projets se construisent et un bonheur sans borne nous tient, car on se sent invincible. On est capable d'aimer, de croire et de tout affronter. Cette force qui nous fait avancer, pas par pas est tellement puissant qu'on est persuadé d'être dans la bonne voix, de suivre ce chemin qui fut un jour tracé pour nous, on se dit qu'en suivant cette route qui nous guide chaque jour vers un matin un peu plus beau, rien de peu nous arriver. On est grand, on est puissant, on est tout simplement. Puis on vient frapper un mur, de la manière des plus violente qui soit, on se heurte, tête première contre nos idéaux, on se retrouve face à cet échec que l'on a jamais vu venir et alors que quelques secondes plus part on se croyait si près du somment, c'est la chute libre. On tombe, on tombe et rien ne nous retiens, tout sombre, toujours un peu plus vite. On ne trouve plus le frein et on voit tout s'écrouler autour de nous sans comprendre. Et on se retrouve en bas, bien plus bas encore que le début de se sentier que l'on avait commencé à gravir vers le bonheur absolu. La souffrance est indescriptible, le désespoir palpable. On croyait aller toujours plus. Rien n'est éternel. Ni la gloire, ni l'amour. Pas même la vie.
this is my story
21 ans plus tôt
24 Août. Espagne – Valencia
[i]« Félicitation Mr. Alvès, c'est un garçon. » Fernando Alvès prenait alors dans ses bras son deuxième enfant sous le regard bien veillant de sa femme, Carmen. Un garçon, comme il en avait rêvé, jour et nuit. Un bonheur unique se lisait sur le visage du père comblé. Se serait son fils, il le forgerait à son image. Il le chérirait comme personne. Il en prendrait soin et l'aimerait démesurément. Il ferait de ce garçon un digne descendant de la famille Alvès. Dès les premiers instants ou il vit ce petit bout d'homme, il s'en fit la promesse.
On aurait pu croire dès lors qu'effectivement, le destin du bambin était tout tracé... mais malgré toutes les apparences. C'était loin d'être le cas. Durant sa jeunesse, Diego eu droit à de nombreux frères et sœurs, quatre de plus, ce qui faisait un total de six enfants dans la famille Alvès, un amour sans limite, une vie parfaite dont tout gamin pouvait rêvé. Il commençait donc cette ascension douce et tranquille vers un bonheur sans limites. On lui inculqua dès son plus jeune âge les savoirs et la traditions familiale. Les deux parents étant moldus, la sorcellerie n'était pourtant pas un sujet de conversation évité dans la famille. La plus vielle des enfants ayant reçu sa lettre pour entrer à Poudlard et continué dans le domaine, tous savaient donc à quoi s'attendre et préféraient en informer chaque enfant, jugeant primordial que cette annonce ne soit pas pour eux une mauvaise surprise. Carmen, la mère du jeune garçon remarqua rapidement que ce dernier avait le don de magie. Installés en campagne, loin de toutes villes importantes, il passa une enfance des plus particulières avec un père bien veillant, qui lui apprit durant toutes ces années, un art bien particulier.
15 ans plus tôt
« Devenir Torero mon fils, ça se passe avant tout ici et ici » De son doigts rugueux et abimée par l'âge et une vie difficile, son paternel pointa son crâne ou quelques uns de ces cheveux noirs commençait à blanchir pour ensuite montrer sa poitrine. « Dans l'arène, tu es seul face à ton toro. Si ton cœur et ta tête ne sont pas avec toi, nul autre ne peut te venir en aide. Ta force et ta souplesse ne te seront plus d'aucun recours. »
L'art de la tauromachie se trouvait dans la famille depuis de nombreuses générations. Le père de Diego avait été torero, tout comme son grand-père, son arrière grand-père et le grand-père de son grand-père. C'était un honneur familial que de fouler le sable des arènes et ils étaient dans le domaine une famille de renom. Les aficionados ( amateurs de corrida ) attendaient toujours de cette famille, des résultats brillants.
10 ans plus tôt
Un beau matin, alors que le jeune Diego venait de fêter son onzième anniversaire, une lettre bien surprenante, livré par un drôle d'oiseau lui parvint, elle provenait de ce que l'on appelait, une école de sorcellerie. Sa mère était aux anges, elle semblait particulièrement fière que son enfant soit accepté à Poudlard. Le jeune garçon lui, était plus récitant. Quitter sa famille, sa maison, son Espagne qui lui était si chère...tout cela semblait bien impressionnant pour un gamin de son âge. Il aurait préféré rester chez lui, continuer à aller à l'école des moldus, comme tout ses amis, mais ces parents insistèrent, lui expliquant que se serait pour lui une expérience unique, et que si ça ne lui plaisait pas, il avait toujours la possibilité de suivre les traces de son père par la suite, s'il continuait à s'entrainer l'été et pendant les vacances. Devenir torero n'était pas une mince affaire et demandait un temps particulièrement long, mais tous le croyait capable de combiner les deux, puis il était bien jeune pour déjà penser à son avenir. Lui était pourtant persuadé que l'arène était son royaume, et l'habit de lumière son destin. Ce fut donc pour lui un nouveau départ. Il fit son entré à Pouldard pour sa première année et découvrit un univers tout à fait particulier, différent, mais pas désagréable. Il fit envoyé à Gryffondor. Ce n'était pas surprenant. Il était un gamin doté d'un courage hors norme, une volonté de fer et une force particulière. Ses années à Poudlard semblèrent passer à toute vitesse. Il se fit entre ses murs, quelques très bons amis et qui le restèrent jusqu'à la fin. Il mettait beaucoup d'énergie dans ses études, mais encore plus dans ses entrainement en vue de devenir le torero qu'il avait toujours voulut être. Il lisait énormément à ce sujet, étudiait beaucoup, et chaque vacances retournaient dans sa terre natale pour apprendre sur le terrain, avec son père, combattre ses premières vachettes, et quelques années plus tard, ses premiers jeunes toros. Cette vie lui laissait très peu de temps libre donc pas non plus énormément de temps pour créer des liens avec les autres élèves, ni se faire des tas d'amis, pourtant il y parvint avec brio. C'était un garçon gentil et sincère qui sociabilisait très bien avec les autres. Certains s'en méfiait vu sa passion étrange alors que s'en attira d'autres. Lors de sa sixième année, il fréquenta une jeune femme, Leah, qui vint à représenter beaucoup pour lui, son premier amour, sa première relation... malheureusement cette dernière ne fut pas des plus roses. Leah en aimait un autre, elle aurait aimé être avec lui, mais plus avec le second. C'était quelque chose qu'il ne put supporter bien longtemps. Il termina donc ses études avec succès et un diplôme en poche et s'empressa de regagner son pays, expliquant la situation à ceux qui comptaient beaucoup pour lui. La sorcellerie lui avait plut, certes, mais plus que jamais il gardait cette idée en tête de devenir un grand matador. Cette nouvelle fit le bonheur de son père et il aidait donc son jeune fils à devenir un novillero (jeune torero) en vu de passer sa ''confirmation'' pour devenir un professionnel dans le domaine. Il y mit du cœur, de l'énergie et un courage sans limite. Il fallait combattre pour succéder des toros bravos (courageux) évidement, mais si lui n'était pas capable d'en faire preuve, sa carrière s'arrêtait là.
1 ans plus tôt
12 Juillet. Espagne - Pampelune. ALTERNATIVE.
«Le cercle des arènes va se réduire autour du couple jusqu'à ne plus être qu'un anneau nuptial.»
Sous un soleil de plomb, les pieds bien ancré dans le sable bouillant de l'arène, le silence n'avait jamais été aussi lourd. Dans sa main droite, une épée et dans la gauche, une cape rouge sur la quelle le sang qui y avait coulé semblait se transformer en tâches noires. Face à lui se tenait un monticule de muscle, sombre, tremblant, haletant, la tête basse. Le toro avait le regard rivé sur son torero, en cet instant décisif, il n'y avait qu'eux deux et les milliers de personnes qui les entouraient, le souffle coupé n'existaient plus. Diego ne pensait plus à rien, pas même à se baiser qu'il venait d'échanger avec Isis avant d'entrer en piste. Le geste qui allait suivre serait pour Diego le plus important de sa carrière, de sa vie. Un coup parfait le hisserait vers le début d'une glorieuse réussite. Il était confiant. En ce moment, il ne ressentait ni la chaleur étouffante, ni la pression des regards conquis de toute la foule par son toreo unique et son courage et sa dextérité. Tout ce qui comptait était lui, son épée et la masse noire, prête à bondir pour lui porter un coup fatal. Coup, qu'il devait devancer pour sortir glorieux de ce combat. Les conseils précieux de son père qui l'avait accompagné jusque là fusaient dans sa tête. « Reçoit le toro dans ta muleta, laisse le venir à toi s'il le veut. » « Tue avec ton cœur. Rend lui hommage, agit proprement.» C'est ce qu'il fit, avec toute la volonté du monde. Il était prêt. Au moment ou il vit le toro renâcler et se jeter sur lui, une femme dans la foule poussa un cri, jugeant l'échappatoire impossible, la situation sans issus, ne pouvant retenir la tension d'avantage. Se fut fatal, il leva les yeux, à peine, un instant pour voir d'où provenait ce bruit pour en connaître la raison, mais la raison, elle se trouvait devant lui et il avait osé détourner son attention une seconde de trop, son épée mal orienté glissa sur la cuirasse du toro et vint se planter beaucoup trop loin, le cornu l'avait déjà atteint, enfonçant sa corne droite dans la cuisse de son adversaire. Ce dernier fut projeté au sol, il eu quelques secondes à peine pour se relever, courir, fuir. Il était à la merci d'un être beaucoup plus fort que lui, et sans armes maintenant il n'avait d'autres choix. Les membres de sa cuadrilla ( équipe ) sautèrent sur la piste pour détourner l'attention du toro, lui laissant la chance de se relever. Il y parvint, un flot de sang coulait abondamment de sa cuisse, mais comme son adversaire, la douleur n'existait pas en ce moment fatidique. Il ramassa son arme et sa cape à nouveau et revint vers le toro, prêt à recommencer. Il ne pouvait abandonner. Les spectateurs qui avaient cédé à la panique en voyant l'accident c'était tuent à nouveau, fascinés par le courage et surtout l'innocence du jeune homme qui en train de se vider de son sang pensait être capable de poursuivre sa tâche. Mais il avait perdu trop d'énergie, trop de sang et la chaleur l'avait abattu. Il tomba mollement au sol, inconscient. Comme une poupée de chiffon il s'étala sur le sable et le toro revint à l'assaut. On le sauva de justesse et il fut amené à l'hôpital in extremis.
4 mois plus tôt
Université de Sorcellerie – Hungcalf – Norwich.
Diego était sortit de l'hôpital quelques mois plutôt et avait abandonné ses béquilles il y a quelques semaines à peine. Il était sortit de cet accident avec de nombreuses lacérations à l'abdomen qui avait laissé de nombreuses cicatrices dut à la deuxième attaque. Sa jambe gauche avait été sauvée avec chance. De nombreux muscles et chairs déchirés par la corne du toro, son genou gravement touché avaient mit un temps particulièrement long à guérir. Il remarchait difficilement. Évidement, la carrière dans les arènes pour lui se termina après ce grave accident. Son père le prit très mal, et se fut pour Diego un grand drame. Sa jambe lui faisait souffrir le martyr, toujours là pour lui rappeler qu'il avait échoué dans ce qui lui tenait le plus à cœur. Il avait déshonoré sa famille et perdu toute chance se succéder. Il avait également perdu une fille qui comptait beaucoup dans sa vie et qui avait fait temps d'effort pour l'aider. Malheureusement il avait pas supporter son aide, la trouvant étouffante, lui rappelant sans cesse l'état dans le quel il se trouvait, il avait quelques temps plutôt envoyé promené Isis, qui avait été si gentille pour lui. Il prit donc la décision de partir le plus loin possible des tous ces souvenirs, de couper les ponts, oublier cette vie et repartir à zéro. Il était maintenant étudiant à Hungcalf trouvant comme seul échappatoire le monde magique et espérant pouvoir fuir la réalité dans cet univers tout autre. Ancien Gryffondor, il fut envoyé chez les Wright ou il commença tranquillement à prendre ses marques, malgré une arrivée un peu tardive dans cette école. Rapidement il retrouva quelques vielles connaissances de Poudlard. Ce fut encore et toujours le même scénario. Que c'était-il passé? Pourquoi était-il de retour? Il avait été honnête, sans plus. Il ne voulait plus revenir sur cet accident, sur cette vie qu'il voulait oublier. C'était si dur pour lui de se remettre de tout cela que chaque souvenir le ramenant à cette tragédie lui était insoutenable. Puis quelques mois après son retour à Hungcalf, alors qu'il semblait reprendre un peu sur lui, une nouvelle bouleversante vint à nouveau le frapper. Sa sœur, malade, atteinte d'une leucémie incurable était à l'hôpital et l'on comptait ses jours. Diego n'avait jamais pensé pouvoir tomber aussi bas, trainant les pieds, toujours un peu plus, il perdait espoir et motivation. Jusqu'à présent, se fut la chute libre... maintenant peut-être aura-t-il la chance de voir les choses sur un jour meilleur? …
24 Août. Espagne – Valencia
[i]« Félicitation Mr. Alvès, c'est un garçon. » Fernando Alvès prenait alors dans ses bras son deuxième enfant sous le regard bien veillant de sa femme, Carmen. Un garçon, comme il en avait rêvé, jour et nuit. Un bonheur unique se lisait sur le visage du père comblé. Se serait son fils, il le forgerait à son image. Il le chérirait comme personne. Il en prendrait soin et l'aimerait démesurément. Il ferait de ce garçon un digne descendant de la famille Alvès. Dès les premiers instants ou il vit ce petit bout d'homme, il s'en fit la promesse.
On aurait pu croire dès lors qu'effectivement, le destin du bambin était tout tracé... mais malgré toutes les apparences. C'était loin d'être le cas. Durant sa jeunesse, Diego eu droit à de nombreux frères et sœurs, quatre de plus, ce qui faisait un total de six enfants dans la famille Alvès, un amour sans limite, une vie parfaite dont tout gamin pouvait rêvé. Il commençait donc cette ascension douce et tranquille vers un bonheur sans limites. On lui inculqua dès son plus jeune âge les savoirs et la traditions familiale. Les deux parents étant moldus, la sorcellerie n'était pourtant pas un sujet de conversation évité dans la famille. La plus vielle des enfants ayant reçu sa lettre pour entrer à Poudlard et continué dans le domaine, tous savaient donc à quoi s'attendre et préféraient en informer chaque enfant, jugeant primordial que cette annonce ne soit pas pour eux une mauvaise surprise. Carmen, la mère du jeune garçon remarqua rapidement que ce dernier avait le don de magie. Installés en campagne, loin de toutes villes importantes, il passa une enfance des plus particulières avec un père bien veillant, qui lui apprit durant toutes ces années, un art bien particulier.
15 ans plus tôt
« Devenir Torero mon fils, ça se passe avant tout ici et ici » De son doigts rugueux et abimée par l'âge et une vie difficile, son paternel pointa son crâne ou quelques uns de ces cheveux noirs commençait à blanchir pour ensuite montrer sa poitrine. « Dans l'arène, tu es seul face à ton toro. Si ton cœur et ta tête ne sont pas avec toi, nul autre ne peut te venir en aide. Ta force et ta souplesse ne te seront plus d'aucun recours. »
L'art de la tauromachie se trouvait dans la famille depuis de nombreuses générations. Le père de Diego avait été torero, tout comme son grand-père, son arrière grand-père et le grand-père de son grand-père. C'était un honneur familial que de fouler le sable des arènes et ils étaient dans le domaine une famille de renom. Les aficionados ( amateurs de corrida ) attendaient toujours de cette famille, des résultats brillants.
10 ans plus tôt
Un beau matin, alors que le jeune Diego venait de fêter son onzième anniversaire, une lettre bien surprenante, livré par un drôle d'oiseau lui parvint, elle provenait de ce que l'on appelait, une école de sorcellerie. Sa mère était aux anges, elle semblait particulièrement fière que son enfant soit accepté à Poudlard. Le jeune garçon lui, était plus récitant. Quitter sa famille, sa maison, son Espagne qui lui était si chère...tout cela semblait bien impressionnant pour un gamin de son âge. Il aurait préféré rester chez lui, continuer à aller à l'école des moldus, comme tout ses amis, mais ces parents insistèrent, lui expliquant que se serait pour lui une expérience unique, et que si ça ne lui plaisait pas, il avait toujours la possibilité de suivre les traces de son père par la suite, s'il continuait à s'entrainer l'été et pendant les vacances. Devenir torero n'était pas une mince affaire et demandait un temps particulièrement long, mais tous le croyait capable de combiner les deux, puis il était bien jeune pour déjà penser à son avenir. Lui était pourtant persuadé que l'arène était son royaume, et l'habit de lumière son destin. Ce fut donc pour lui un nouveau départ. Il fit son entré à Pouldard pour sa première année et découvrit un univers tout à fait particulier, différent, mais pas désagréable. Il fit envoyé à Gryffondor. Ce n'était pas surprenant. Il était un gamin doté d'un courage hors norme, une volonté de fer et une force particulière. Ses années à Poudlard semblèrent passer à toute vitesse. Il se fit entre ses murs, quelques très bons amis et qui le restèrent jusqu'à la fin. Il mettait beaucoup d'énergie dans ses études, mais encore plus dans ses entrainement en vue de devenir le torero qu'il avait toujours voulut être. Il lisait énormément à ce sujet, étudiait beaucoup, et chaque vacances retournaient dans sa terre natale pour apprendre sur le terrain, avec son père, combattre ses premières vachettes, et quelques années plus tard, ses premiers jeunes toros. Cette vie lui laissait très peu de temps libre donc pas non plus énormément de temps pour créer des liens avec les autres élèves, ni se faire des tas d'amis, pourtant il y parvint avec brio. C'était un garçon gentil et sincère qui sociabilisait très bien avec les autres. Certains s'en méfiait vu sa passion étrange alors que s'en attira d'autres. Lors de sa sixième année, il fréquenta une jeune femme, Leah, qui vint à représenter beaucoup pour lui, son premier amour, sa première relation... malheureusement cette dernière ne fut pas des plus roses. Leah en aimait un autre, elle aurait aimé être avec lui, mais plus avec le second. C'était quelque chose qu'il ne put supporter bien longtemps. Il termina donc ses études avec succès et un diplôme en poche et s'empressa de regagner son pays, expliquant la situation à ceux qui comptaient beaucoup pour lui. La sorcellerie lui avait plut, certes, mais plus que jamais il gardait cette idée en tête de devenir un grand matador. Cette nouvelle fit le bonheur de son père et il aidait donc son jeune fils à devenir un novillero (jeune torero) en vu de passer sa ''confirmation'' pour devenir un professionnel dans le domaine. Il y mit du cœur, de l'énergie et un courage sans limite. Il fallait combattre pour succéder des toros bravos (courageux) évidement, mais si lui n'était pas capable d'en faire preuve, sa carrière s'arrêtait là.
1 ans plus tôt
12 Juillet. Espagne - Pampelune. ALTERNATIVE.
«Le cercle des arènes va se réduire autour du couple jusqu'à ne plus être qu'un anneau nuptial.»
Sous un soleil de plomb, les pieds bien ancré dans le sable bouillant de l'arène, le silence n'avait jamais été aussi lourd. Dans sa main droite, une épée et dans la gauche, une cape rouge sur la quelle le sang qui y avait coulé semblait se transformer en tâches noires. Face à lui se tenait un monticule de muscle, sombre, tremblant, haletant, la tête basse. Le toro avait le regard rivé sur son torero, en cet instant décisif, il n'y avait qu'eux deux et les milliers de personnes qui les entouraient, le souffle coupé n'existaient plus. Diego ne pensait plus à rien, pas même à se baiser qu'il venait d'échanger avec Isis avant d'entrer en piste. Le geste qui allait suivre serait pour Diego le plus important de sa carrière, de sa vie. Un coup parfait le hisserait vers le début d'une glorieuse réussite. Il était confiant. En ce moment, il ne ressentait ni la chaleur étouffante, ni la pression des regards conquis de toute la foule par son toreo unique et son courage et sa dextérité. Tout ce qui comptait était lui, son épée et la masse noire, prête à bondir pour lui porter un coup fatal. Coup, qu'il devait devancer pour sortir glorieux de ce combat. Les conseils précieux de son père qui l'avait accompagné jusque là fusaient dans sa tête. « Reçoit le toro dans ta muleta, laisse le venir à toi s'il le veut. » « Tue avec ton cœur. Rend lui hommage, agit proprement.» C'est ce qu'il fit, avec toute la volonté du monde. Il était prêt. Au moment ou il vit le toro renâcler et se jeter sur lui, une femme dans la foule poussa un cri, jugeant l'échappatoire impossible, la situation sans issus, ne pouvant retenir la tension d'avantage. Se fut fatal, il leva les yeux, à peine, un instant pour voir d'où provenait ce bruit pour en connaître la raison, mais la raison, elle se trouvait devant lui et il avait osé détourner son attention une seconde de trop, son épée mal orienté glissa sur la cuirasse du toro et vint se planter beaucoup trop loin, le cornu l'avait déjà atteint, enfonçant sa corne droite dans la cuisse de son adversaire. Ce dernier fut projeté au sol, il eu quelques secondes à peine pour se relever, courir, fuir. Il était à la merci d'un être beaucoup plus fort que lui, et sans armes maintenant il n'avait d'autres choix. Les membres de sa cuadrilla ( équipe ) sautèrent sur la piste pour détourner l'attention du toro, lui laissant la chance de se relever. Il y parvint, un flot de sang coulait abondamment de sa cuisse, mais comme son adversaire, la douleur n'existait pas en ce moment fatidique. Il ramassa son arme et sa cape à nouveau et revint vers le toro, prêt à recommencer. Il ne pouvait abandonner. Les spectateurs qui avaient cédé à la panique en voyant l'accident c'était tuent à nouveau, fascinés par le courage et surtout l'innocence du jeune homme qui en train de se vider de son sang pensait être capable de poursuivre sa tâche. Mais il avait perdu trop d'énergie, trop de sang et la chaleur l'avait abattu. Il tomba mollement au sol, inconscient. Comme une poupée de chiffon il s'étala sur le sable et le toro revint à l'assaut. On le sauva de justesse et il fut amené à l'hôpital in extremis.
4 mois plus tôt
Université de Sorcellerie – Hungcalf – Norwich.
Diego était sortit de l'hôpital quelques mois plutôt et avait abandonné ses béquilles il y a quelques semaines à peine. Il était sortit de cet accident avec de nombreuses lacérations à l'abdomen qui avait laissé de nombreuses cicatrices dut à la deuxième attaque. Sa jambe gauche avait été sauvée avec chance. De nombreux muscles et chairs déchirés par la corne du toro, son genou gravement touché avaient mit un temps particulièrement long à guérir. Il remarchait difficilement. Évidement, la carrière dans les arènes pour lui se termina après ce grave accident. Son père le prit très mal, et se fut pour Diego un grand drame. Sa jambe lui faisait souffrir le martyr, toujours là pour lui rappeler qu'il avait échoué dans ce qui lui tenait le plus à cœur. Il avait déshonoré sa famille et perdu toute chance se succéder. Il avait également perdu une fille qui comptait beaucoup dans sa vie et qui avait fait temps d'effort pour l'aider. Malheureusement il avait pas supporter son aide, la trouvant étouffante, lui rappelant sans cesse l'état dans le quel il se trouvait, il avait quelques temps plutôt envoyé promené Isis, qui avait été si gentille pour lui. Il prit donc la décision de partir le plus loin possible des tous ces souvenirs, de couper les ponts, oublier cette vie et repartir à zéro. Il était maintenant étudiant à Hungcalf trouvant comme seul échappatoire le monde magique et espérant pouvoir fuir la réalité dans cet univers tout autre. Ancien Gryffondor, il fut envoyé chez les Wright ou il commença tranquillement à prendre ses marques, malgré une arrivée un peu tardive dans cette école. Rapidement il retrouva quelques vielles connaissances de Poudlard. Ce fut encore et toujours le même scénario. Que c'était-il passé? Pourquoi était-il de retour? Il avait été honnête, sans plus. Il ne voulait plus revenir sur cet accident, sur cette vie qu'il voulait oublier. C'était si dur pour lui de se remettre de tout cela que chaque souvenir le ramenant à cette tragédie lui était insoutenable. Puis quelques mois après son retour à Hungcalf, alors qu'il semblait reprendre un peu sur lui, une nouvelle bouleversante vint à nouveau le frapper. Sa sœur, malade, atteinte d'une leucémie incurable était à l'hôpital et l'on comptait ses jours. Diego n'avait jamais pensé pouvoir tomber aussi bas, trainant les pieds, toujours un peu plus, il perdait espoir et motivation. Jusqu'à présent, se fut la chute libre... maintenant peut-être aura-t-il la chance de voir les choses sur un jour meilleur? …
✎...RUSH.
Dans la vraie vie, j'ai 20 ans . J'ai connu ce magnifique forum grâce à moi même, il y a un moment et je ferais de mon mieux pour être là 5 jours / 7 ! Si j'ai un double compte? non . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à nom de l'admin qui t'as accordé le double compte Mon personnage est un perso inventé . Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que Je suis terriblement heureuse d'être de retour parmis vous <3 et je tenez aussi à vous raconter l'histoire du pingouin qui respirait pas le cul. Un jour il s'est assis et il est mort :D . code règlement : okbyemy |
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- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 14:30
re-bienvenue ma belle :hysteric: heureuse de te revoir avec Diego :brille: (l)
- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 14:31
Re bienvenuuuue princesse (l)(l)
Tu me réserves un lien hein :brille: ?
Tu me réserves un lien hein :brille: ?
- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 14:48
BIENVENUE MY LOVE (l)(l)(l)
Bon courage pour ta fiche :baveuh:
Enrique t'es réservé pour une semaine :D
Bon courage pour ta fiche :baveuh:
Enrique t'es réservé pour une semaine :D
- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 15:31
Re toi :brille: (l)
- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 15:35
Rebienvenue (l) :brille:
Dire que j'aime pas trop Enrique, mais depuis que je l'ai vu à Tout le monde en parle, je le trouve sexy
Dire que j'aime pas trop Enrique, mais depuis que je l'ai vu à Tout le monde en parle, je le trouve sexy
- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 16:17
re bienvenue Diego :hysteric:
- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 17:41
DIEGOOOOOOOOOOOOOOOOO (l) (l) (l) rebienvenue :cracrac: bonne chance pour ta fiche :brille:
- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 18:01
Barbara E. Marshall a écrit:Rebienvenue (l) :brille:
Dire que j'aime pas trop Enrique, mais depuis que je l'ai vu à Tout le monde en parle, je le trouve sexy
Il est passé à tout le monde en parle ?! j'ai manqué ça!
Merci mille fois tout le monde! (l) heureuse d'être de retour ici :D Je devrais terminer ma fiche ce soir ou demain
Eury, of course je te réserve un lien :hysteric:
:cracrac:
- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 19:20
Cher(e) étudiant(e)
Félicitations, tu es admis(e) à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Ah cette histoire toujours aussi touchante, j'ai aimé la relire (l) (l) bref have fun mon coco (l) et re-bienvenue chez les Wright'
- InvitéInvité
Re: DIEGO → La mort n'est pas une chose si sérieuse; la douleur, oui
Mer 23 Mar 2011 - 19:52
Merciii, merci, merci! :brille:
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