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CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 13:07
✤grymm Candide Delacroix, j'ai 20 ans, et je suis d'origine franco-britannique. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis complètement hétéro, mais aussi célibataire et issu d'une famille de sorciers. A Hungcalf, j'ai choisi comme parcours Justice Magique. Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de charme et poil d'hippogriffe de 22cm et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de phénix. avatar © lion-lame || icônes © whire rabbit |
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Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 13:07
ACTE PREMIER
d comme déchéance
CANDIDE ▬ Tu vas la fermer, ta putain de gueule ? Si vous cherchiez une allégorie de la tension, du froid, de l’électricité ou d’un autre sentiment désagréable, vous veniez de la rencontrer. Un blanc pesant s’installa, et tous se retournèrent vers moi. Merde.
Pierre fut le dernier à me toiser de son regard pénétrant, insoutenable. Il déposa soigneusement ses couverts sur la nappe immaculée, s’essuya les lèvres puis posa ses yeux gris sur moi. Je dégluti silencieusement. Père, assis à l’extrémité de table, semblait tout aussi blessé que si je venais de le gifler. Et pourtant, je ne m’adressai pas à lui.
PERE ▬ Candide, pourrai-tu m’expliquer ceci… ?
Expliquer ? Comment pourrai-je expliquer que je haïssais mon propre frère du plus profond de mon être ? Depuis toujours, Pierre, l’ainé, occupait toutes les attentions. Pierre, le fer de lance. Pierre, le capitaine de l’équipe de Quidditch. Pierre, le préfet en chef. Pierre, le manipulateur, le fourbe, le perfide. Personne ne le connaissait comme je le connaissais, il était charmeur, enjôleur, mielleux. Je le haïssais.
Il se tenait coi, le batard. Il savait qu’une seule de ses paroles aurait suffit à me faire sortir de mes gonds, à fondre sur lui et à lui régler définitivement son compte, comme j’en rêvais depuis des années. Je baissais les yeux, et Mère proposa à nouveau du chevreuil. Les discussions reprirent, les tintements de verres et frottements de couvert également. Le repas continuait aussi largement qu’il avait commencé.
Je laissais mon assiette quasi pleine, n'ayant aucune envie de faire honneur au diner. Levant les yeux autour de moi, je commençais à détailler chaque meuble, chaque tableau, chaque dorure. La pièce était très grande, très lumineuse. La froideur du sol de marbre était atténuée par le bois et l’or omniprésents : la décoration datait des deux siècles derniers, et chacun se complaisait dans ce luxe presque oppressant. La cheminée, au fond, était animée d’un sortilège quelconque qui apportait sa lumière et son folklore sans sa chaleur étouffante en un mois de juin. Le temps était doux et agréable, la nuit sans nuages. Je secouais discrètement la tête, retrouvant mes esprits.
La famille était réunie au grand complet, et comme à son habitude Mère avait fait mettre les petits plats dans les grands, briller les cristals et luire les argents. Allons, nous fêtions quand même l’admission au bureau des Aurors de Pierre, et les félicitations de l’unanimité des professeurs d’Edeulys ! Major de sa promotion… Ces quatre mots avaient tellement gonflé sa superbe qu’il semblait avoir grandit de dix centimètres. Major de mes deux, ouais. Je le haïssais.
Nous arrivions au dessert. Les plus croulants de mes aïeux étaient à deux doigts de s’endormir sur leur assiette, Père couvait son ainé du regard et Mère s’affairait à partager l’immense pièce montée à l’effigie de mon frangin. Chacun fut servit et content, et ma tante Eglantine me demanda :
EGLANTINE ▬ Alors, Candide, tu as déjà fait ton choix quant à ta future école ? Ce sera Edeulys, je présume ?
Edeulys. Rien que l’idée de fouler les mêmes couloirs que Pierre et y fréquenter les mêmes professeurs me donnait la nausée. Je ne serai toujours que « le frère de Pierre ».
CANDIDE ▬ Non. J’ai envoyé mon hibou à Hungcalf.
Un silence se fit, Père s’étouffa dans son vin français.
PIERRE ▬ Allons, Candide, c’est une plaisanterie. Hungcalf… La débauche, la vermine, tu ne peux quand même pas infliger ceci à la famille… Tu finiras drogué ou prostitué.
Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Je n’eu même pas besoin de murmurer dans ma rage que Pierre fut projeté contre le mur du fond, à deux doigts de la cheminée victorienne. Le choc fit balancer le lustre qui s’écrasa sur la table, et toute la société s’écria ; mon dieu, le pauvre petit saignait, il s’était sans doute brisé les os, que quelqu’un fasse quelque chose ! Eglantine était à son chevet, sa baguette pointée vers sa poitrine, Mère semblait comme absente, et Père avait balayé toute la tablée pour me saisir au collet.
PERE ▬ Dégage. Il ne parvenait à articuler d’autres mots. Dégage !
Je fus mit à la porte. 17 ans, sans autres attaches que mon aristocrate de famille, sans bagages, sans argent.
Et pourtant, je l’aimais, mon frère. J’étais dingue de lui, il était mon idéal.
ACTE SECOND
la vie, la vraie
La vie était facile, l’été à Paris. Des jolies filles, de l’alcool, de la drogue. Que demandait le peuple ? Je vivais au jour le jour ; un soir je dormais chez une de mes innombrables conquêtes, un soir chez un ami, deux nuits dans un square. Il faisait beau, chaud, et je n’avais de compte à rendre à personne. Depuis plus de deux mois que j’avais été flanqué à la porte, je n’avais plus aucun contact avec ma famille. Seule Mère n’arrivait visiblement pas à se détacher de moi et remplissait régulièrement mes comptes. J’étais comme un roi.
Les jours passèrent, se suivirent et se ressemblèrent. Les vacances, je côtoyais les soirées huppées, fringué comme un bobo. L’année scolaire je fréquentais Hungcalf, ses beuveries, ses drogues et ses alcools. Pierre était loin d’avoir tort : bien que prestigieuse, l’école accueillait beaucoup de gens lambda, qui forcément n’étaient pas toujours comme il faut. Qu’est-ce que j’en avais à faire, franchement.
Rapidement je me fis une réputation de tombeur, que ce soit dans la capitale des choses raffinées que dans le château britannique. A Paris, elles étaient toutes dingues de ma barbe de trois jours, de mes cheveux en bataille. N’importe quel jeune homme lambda se serait fait jeté dans l’allure où j’étais, mais il suffisait que je dise « Delacroix » pour que les portes s’ouvrent. J’aimais mes origines, riche sang-pur, j’en étais fier.
Les filles, les filles, les filles. Je n’avais que ce mot en tête, je n’étais jamais rassasié de longs cheveux lisses, de cous parfumés, de silhouettes filiformes. J’étais devenu comme un prédateur assoiffé de conquêtes. Aucune ne me satisfaisait réellement et je n’éprouvais naturellement jamais de sentiments pour elles. Jusqu’à ce que je la rencontre.
Je ne la connaissais que de son prénom : Marie. Assurément comme il faut, assurément bourgeoise, assurément magnifique. Elle avait de ces fesses… Elle devint vite une obsession, j’arpentais les brunchs, les cocktails dinatoires, je la voyais dans les ruelles, sur un banc, entre les arbres, et même au coin de mon hôtel. Il me la fallait immédiatement dans mes bras, pour ne pas dire dans mon lit. J’en devenais fou.
Un soir d’été, un peu plus d’un an après mon départ, elle était là. Marie, la belle… Sublime dans une robe bustier noire. Feignant l’ignorance, je me penchais vers mon meilleur ami Baptiste.
CANDIDE ▬ Dis-moi… C’est qui, la blonde au centre ? Il la reluqua de ses yeux sombres, sourire en coin.
BAPTISTE ▬ Marie…Oublie-là, elle est mariée. Et quand il vit la fougue dans mon regard il ricana, sifflant son champagne.
ACTE TROISIEME
la chasse
Elle me rendait folle. Quoi que je fasse, elle m’ignorait superbement. Aucune de mes galanteries, aucune de mes hardiesses, aucune de mes familiarités ne provoquait chez elle une esquisse de sourire. J’avais l’impression de me revoir un an plus tôt face à mon père, qui n’avait d’attention que pour Pierre. Je redoublais alors de fougue, presque de rage.
CANDIDE ▬ Allons, Marie, tu accepterais bien un verre…
MARIE ▬ Pousse-toi, Candide, tu m’empêches de passer.
Et je me retrouvais comme un abruti, un sourire béat sur les lèvres, reluquant les courbes sublimes de son dos. Cependant, je savais qu’elle guettait mes arrivées – Baptiste me lâchait parfois, entre deux lattes sur ma cigarette, qu’il lui arrivait de lui demander si je serai présent au prochain gala, à la prochaine soirée de charité. Je savais qu’elle lançait de petits regards dans la foule, avant de me trouver et de feindre l’ignorance. En tout cas, ce que je ne savais pas, c’est quand elle s’avouerait enfin vaincue.
BAPTISTE ▬ Alors, t’en es où ?
Ce batard de Baptiste n’hésitait jamais à me lancer des piques. J’avais envie de le frapper pour lui enlever ce rictus moqueur de ses lèvres ; mais je l’aimais trop pour lui faire du mal.
CANDIDE ▬ Plus près que toi d’une paire de fesses, puceau va !
Il m’envoyait alors une tape un peu trop vigoureuse pour être amicale, et sirotait sa vodka en ronchonnant. Il voyait bien que je n’arrivais pas à m’enlever cette fille de la tête. Je devenais irascible, nerveux, presque parano, et comble de l’étrangeté je passais de plus en plus mes nuits dans la garçonnière qu’il me prêtait seul, pour ne pas dire toujours. J’étais en manque de chair, de peau douce.
BAPTISTE ▬ Putain mecton qu’est-ce t’as foutu ? Ca fait deux putains de semaines qu’on n’a pas vu ta vieille tête, tu nous as fait peur !
Baptiste me sauta dessus, m’étreignant un peu trop longuement. Je flanquais deux bises sur ses joues froides, et sortais nonchalamment une cigarette de mon paquet.
CANDIDE ▬ Oh, des affaires à régler…
Je souris mystérieusement, savourant ma latte.
BAPTISTE ▬ Toi mon chou, t'as touché de la donzelle… Il ricanait comme un abruti.
CANDIDE ▬ Oh ta gueule Baptiste, t’es dégueulasse !
Mais il n’avait pas totalement tort. Deux longs mois s’étaient écoulés depuis que j’avais jeté mon dévolu sur Marie. J’avais mis deux mois pour l’avoir dans mon lit, deux mois. Ca m’étonnait encore. D’habitude, il m’en fallait, allez… Deux verres ? Deux baisers ? Deux mains baladeuses sur leurs hanches ? J’en étais encore tremblant. Qu’elle était sublime…
Les yeux perdus dans le vague, je triturai la chainette à mon cou.
BAPTISTE ▬ Non, non, mec, attend. Je levais les yeux vers mon meilleur pote. Me fais pas dire que… Putain Candide ! Tu l’aimes, j’y crois pas !
Et merde.
ACTE QUATRIEME
ma déesse
CANDIDE ▬ Ma beauté. Je pourrai passer des heures, des jours, des semaines comme ça avec toi.
Je caressais ses épaules nues, déposais de petits baisers dans sa nuque. Paris, mois d’aout, j’avais dix-neuf ans. Cela faisait maintenant plus d’un an que je fréquentais ma dulcinée.
MARIE ▬ Tu sais très bien que ce n’est pas possible, amour.
Mon regard s’assombrit. Nous vivions dans l’ombre, la nuit, souvent sans se voir pendant des jours. Marie disparaissait parfois soudainement, puis revenait vers moi encore plus belle que jamais. Je restais coi, ne voulant commencer un énième débat sur le sujet, au risque de perdre le contact flambant de sa peau douce contre la mienne.
Doucement, je glissais mes mains sur ses bras, puis sur ses seins roses, ses hanches parfaites, ses fesses rondes. Elle se laissait faire, docilement, le regard perdu dans les lumières parisiennes.
Nous nous voyions toujours dans ma garçonnière, un appartement que Mère m’avait offert il y a quelques temps. Luxe et modernité, je ne me lassais jamais de regarder les immeubles de la capitale à travers l’immense baie-vitrée. La vue était parfaite : on y voyait la Tour Eiffel, le Trocadéro, et même l’avenue des champs Elysées. Tout n’était que calme, douceur et volupté, magie et finesse.
CANDIDE ▬ Un verre, ma chère et tendre… ?
Je me débarrassais de ma cravate, la jetant sur le sofa, puis déboutonnait complètement ma chemise pâle. Nous rentrions à peine d’un gala de charité ; elle, au bras de son époux, moi, sombre et sinistre, cavalier de mes idées noires. Si j’avais pu le jeter dans la Seine, l’ignoble homme d’affaire, jaloux et volage… Je ne comprenais pas comment Marie avait pu s’éprendre d’un goujat comme lui. Il la trompait ce batard, c’était sur et certain, et elle ne voulait pas l’admettre. Je ne comprenais pas comment elle pouvait encore le rejoindre ; la simple idée de voir ses grosses mains de slovaque sur son corps me rendait dingue. Enfin.
MARIE ▬ Martini. Blanc, s’il te plait.
Je m’exécutais, veillant à ne faire aucun bruit. Elle était tellement belle, dans sa robe bustier et ses escarpins de douze. Immense, magnifique, à tomber. Trois glaçons, une rondelle de citron.
CANDIDE ▬ Tiens, ma douce…
Je lui tendais son verre, trinquant à sa présence dans ma garçonnière. Elle l’avala d’un trait, toujours perdue dans ses pensées, puis se jeta sauvagement sur moi.
CANDIDE ▬ Oh…
De cygne, discret et sublime, elle se faisait d’un coup tigresse ; ses sautes d’humeurs ne me choquaient plus. Subitement, je me retrouvais quasi nu, fièvre et fébrile. Elle me jeta sur mon lit, me dévorant littéralement. Une sirène, qui attirait ses proies dans ses filets et les tuait sans état d’âme, voila ce qu’elle était… Je déchirai sa robe, envoyait ses sous-vêtements voler. Elle n’était que mienne.
Je la regardais, complètement nue sous mes draps blancs de soie. J’étais apaisé.
MARIE ▬ Candide…
Elle se retira lentement de mon étreinte, serrant ses bras autour d’elle.
MARIE ▬ Il faut que je te parle…
Ah, je détestais cette formulation. « Il faut que je te parle… » Elle était du genre de celles qui vous mettait mal à l’aise en une fraction de seconde, qui vous intriguait, vous donnait la conscience agitée, cherchant bien ce que vous pourriez vous reprocher. Il faut que je te parle. J’avais tellement prononcé cette phrase avant de larguer lâchement mes proies… Je déglutis silencieusement, confiant. Elle allait enfin m’annoncer qu’on pourrait vivre note histoire au grand jour, qu’on pourrait enfin marcher dans Paris main dans la main, s’envoyer des hiboux sans paraitre suspects, s’aimer. Qu’elle allait enfin envoyer au diable ce connard d’Alexis de je ne sais quoi.
MARIE ▬ Candide.
Je serrai mes poings, ivre.
MARIE ▬ On ne me peut pas continuer comme ça. Ne m’arrête pas, j’ai pris une décision. Alexis se doute bien que je ne suis plus sienne, il m’a posé un ultimatum. Je l’ai choisi.
Quoi ? Attends. Je rembobinais lentement ces quelques mots dans ma tête, le sang cognant mes veines à les rompre. Qu’est-ce qu’elle venait de dire, là… ?
Je la rejetais brutalement, bondissant de mon lit.
CANDIDE ▬ Pardon ?
Je n’avais que faire d’être totalement nu en face d’elle, complètement ouvert à ses jugements. De toute manière, qu’aurait-elle à juger ? Mon corps d’athlète, mon faciès d’ange ? Putain mais merde, qu’est-ce qu’elle lui trouvait à son abrutis de mari ?
MARIE ▬ Je suis désolé, mon bébé… Ses yeux s’embuèrent de larme. Je ne peux pas continuer comme ça, c’est trop dur…
Sa voix s’éteint dans un sanglot. Quelle putain de manipulatrice. Je pris ses fringues en boule et lui les jeta à la figure de rage. On venait de faire l’amour, et cette salope me jetait ca comme ça, sans ménagement.
CANDIDE ▬ Dégage.
Elle me regardait de ses yeux ronds, la bouche ouverte. Interloquée, elle ne bougeait pas.
CANDIDE ▬ Tu vas dégager d’ici, putain ?! Je veux plus te voir, tu m’entends, plus te voir !
Et elle se rhabilla rapidement, les cheveux en fouillis, la peau moite. Quelle catin. Elle sortit sans un mot de l’appartement, avant de se retourner vers moi, les yeux sombre.
CANDIDE ▬ Casse-toi, sale catin. Casse-toi !
Je me laissais tomber dans mon lit, prenant ma tête dans mes mains. Et là, je me retrouvais quelques années plus tôt. Je venais de la jeter comme mon père m’avait jeté. Je me levais, rageant, et balaya violement le bar, envoyant les bouteilles, les verres et les glaçons voler. Ils s’écrasèrent dans un tintement aigu, insupportable.
CANDIDE ▬ Putain de catin de merde !
Je grognais, mais refoulais les larmes. Elle venait de me jeter sans aucun état d’âme, comme j’avais jeté des centaines, des milliers de filles avant elle ; mais elle n’avait pas le droit de me faire ça. La catin. Un jour ou l’autre, elles le paieront.
ACTE DERNIER
la vie continuait. la vie, en mieux.
Je sortais plus, je buvais plus, je fumais plus. Je vivais plus. La vie continuait, peut-être plus vivante que jamais. Personne n’avait jamais su de ma liaison avec Marie, pas même Baptiste. Pour les autres, j’étais et resterai une légende, l’homme qui n’avait aucune attache, qui ne se liait jamais avec une femme, qui était trop parfait pour toutes ces conquêtes.
Ce statut me plaisait bien. Plus jamais je ne voulais m’attacher à une de ces catins. Plus jamais.
Septembre 2011. Rentrée à Hungcalf.
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 13:07
✎zut
Dans la vraie vie, j'ai 17 ans. J'ai connu ce magnifique forum grâce à google et je ferais de mon mieux pour être là 6 jours / 7 ! Je n'ai pas de double-compte. Mon personnage est un perso inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que , ben, euh, voila. Merde ! code règlement : Ok By Emy |
icônes © by zut
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 13:09
OMG Lachowskiiiii :baveuh:
On va bien s'entendre toi et moi
Bienvenue (l)
On va bien s'entendre toi et moi
Bienvenue (l)
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 13:09
Re !
Francisco est re-libre mais il me semble qu'il est impossible de te le réserver de nouveau (ce serait comme te donner un délai...). - sauf avis contraire du staff. Il te reste plus qu'à finir ta fiche rapidement pour que personne ne te le prenne ;). Alors good luck !!
Francisco est re-libre mais il me semble qu'il est impossible de te le réserver de nouveau (ce serait comme te donner un délai...). - sauf avis contraire du staff. Il te reste plus qu'à finir ta fiche rapidement pour que personne ne te le prenne ;). Alors good luck !!
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 13:20
amabel :cracrac:
capri, je comprends, c'est normal ! m'enfin, j'ai fini mes exam donc ca devrait le faire :hysteric:
capri, je comprends, c'est normal ! m'enfin, j'ai fini mes exam donc ca devrait le faire :hysteric:
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 13:59
C'est pas très gentil ça, de nous dire "merde" en mot de la fin :poke:
Mais bon, j'aime bien Francisco, alors bienvenue :oh:
Mais bon, j'aime bien Francisco, alors bienvenue :oh:
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 16:35
Tybalt Walterson a écrit:C'est pas très gentil ça, de nous dire "merde" en mot de la fin :poke:
Mais bon, j'aime bien Francisco, alors bienvenue :oh:
hahaha. +1 :hysteric:
Welcome ! Bon courage pour ta fiche ! :hysteric: Si t'as besoin, n'hésite pas (l)
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 22:31
Tybalt Walterson a écrit:C'est pas très gentil ça, de nous dire "merde" en mot de la fin :poke:
Mais bon, j'aime bien Francisco, alors bienvenue :oh:
:D :hug:
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Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Ven 24 Juin 2011 - 22:42
Capri C. Coversmith a écrit:Re !
Francisco est re-libre mais il me semble qu'il est impossible de te le réserver de nouveau (ce serait comme te donner un délai...). - sauf avis contraire du staff. Il te reste plus qu'à finir ta fiche rapidement pour que personne ne te le prenne ;). Alors good luck !!
Capri à tout dit ! :D
Impossible de te le réserver à nouveau ! :)
En tout cas, bon courage pour ta fiche ! (l)
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Lun 27 Juin 2011 - 3:24
Bon courage pour la fin de ta fiche (l) et bienvenue =)
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Lun 27 Juin 2011 - 14:10
J'aime beaucoup ta fiche ! Quelle catin cette Marie Tu vois si tu m'avais choisi, jamais je n'aurais choisi Alexis
Par contre pour te valider, il faudrait que tu changes un détail. Si tu veux être grymm, il faut que Candide soit franco-anglais, ou sinon il faut qu'il devienne un correspondant :hysteric: Voila ! Dis moi quand tu auras changé ça (l)
Par contre pour te valider, il faudrait que tu changes un détail. Si tu veux être grymm, il faut que Candide soit franco-anglais, ou sinon il faut qu'il devienne un correspondant :hysteric: Voila ! Dis moi quand tu auras changé ça (l)
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Lun 27 Juin 2011 - 17:49
Hihihi :lovers:
Ah oui, j'y ai pas pensé ! Je change ca de suite :)
Ah oui, j'y ai pas pensé ! Je change ca de suite :)
- InvitéInvité
Re: CANDIDE jr DELACROIX ▬ la vie, en mieux
Lun 27 Juin 2011 - 17:53
Cher étudiant
Félicitations, tu es admis à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
Enfin, le système de parrainage sorcier est à ta disposition à tout moment du jeu !
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Bon, comme je l'ai dit sous Emy...Emy, Marie...ça se ressemble...t'as choisi la mauvaise fille mon french boy Bienvenue chez les Grymm et bon jeu (l)
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