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Be my personal teacher... please ft Eugene Von Kruger (abandonné)
Mar 22 Mai 2018 - 22:26
Cela faisait quelques jours déjà que Søren ruminait cette idée en boucle dans sa tête. Au départ, ce n'était qu'une simple petite pensée. Une toute petite, pas bien méchante. Puis cette dernière revenait constamment. Encore et encore. Comme l'incitant de manière détournée à se focaliser uniquement dessus et l'accomplir.
Cette idée n'était pas bien compliquée, elle pouvait tenir sur un bout de papier. Il devait se rendre à l'évidence : il avait besoin d'aide.
Depuis l'intervention de ce Cioban dans la bibliothèque, Erikson devait bien admettre que les conseils de ce dernier n'étaient pas aussi stupides qu'ils pouvaient paraître. Déjà, il avait noté des améliorations dans sa façon de voir les gens, ou de s'adresser à eux. En effet, il comprenait certains sourires, certains gestes, ce qui lui avait permit de comprendre les intentions des personnes qu'il observait. Ou tout du moins dans les grandes lignes. La combinaison des signes ou encore la double signification de quelques-uns ne lui rendait pas la tâche facile.
Il avait encore beaucoup de chemin à faire avant d'avoir l'audace de se considérer comme l'un des leurs, mais il était en bonne voie.
Tout ça pour en revenir à cette idée qui avait germé dans son esprit. Søren s'était bien rendu compte que tout seul, il n'arriverait à rien et ne ferait que s'embourber dans ses hypothèses hasardeuses. Il avait donc besoin de s'entourer de "professeur(e)s" qui l'aideraient dans sa quête à agir comme un être humain normal.
Néanmoins, Erikson ne se sentait pas réellement prêt à dévoiler cette partie cassée de lui aux premier venues. Il allait devoir trier ses possibles aides sur le volet.
Premièrement, il comptait demander à nouveau des conseils à ce concierge, au moins pour ce qui était des conventions sociales et une partie des déterminations faciales, ce qui représentait une grande part de ses "leçons".
Deuxièmement, il allait devoir travailler sur quelque chose qu'il n'avait jamais fait auparavant, et qui représentait sûrement la partie la plus dure à ses yeux : lui-même. Son manque d'expression faciale et verbale avait été un sacré poids dans sa vie, et il devait remédier à ce problème.
Ayant rapidement fait le tour du personnel d'Hungcalf, car il ne comptait certainement pas léguer cette mission à un élève qu'il considérait comme peu digne de confiance (même si sa confiance pour les adultes n'était pas bien plus haute), Søren réussit à dégoter LA personne qui serait en mesure de l'aider sur ce terrain-là. Il s'agissait bien évidemment du professeur de théâtre.
Quoi de mieux pour s'entrainer que d'avoir à ses côtés celui qui réussissait à vêtir moult rôles, à s'approprier d'innombrables personnalités, et surtout dont les expressions faciales n'avaient plus aucun secret pour lui.
Prenant sur son temps libre, le bibliothécaire se rendit au troisième étage qui devait normalement abriter la salle de cours du professeur.
Arrivant devant la grande porte, Erikson ne prit même pas la peine de toquer, ayant oublié qu'il s'agissait d'une forme de respect, et entra sans plus de cérémonie.
Face à la grandeur de la pièce, l'homme lança un rapide coup d'oeil dans l'enceinte, pour entrapercevoir une forme proche de la scène. Ce devait probablement être l'enseignant en question.
Approchant sans hâte, Erikson s'arrêta à quelques mètres de ce dernier. Il aimait bien se garder un petit périmètre de sécurité, surtout que le contact physique, ce n'était pas vraiment son truc. Puis, calmement et de manière monotone, il lança pour attirer l'attention de l'homme en face de lui :
"Eugene Von Kruger"
Se rappelant ce que lui avait dit Cioban à propos des politesses d'usages, il lui fallut quelques secondes pour laisser échapper un petit "… … Bonjour." qui semblait très inhabituel pour lui d'énoncer.
Enfin, n'étant pas du genre à tergiverser et préférant oublier ce moment bizarre, et tout en étant aussi subtil qu'un hippogriffe dans un magasin de baguette magique, il énonça de but en blanc :
"J'ai besoin de votre expertise."
Cette idée n'était pas bien compliquée, elle pouvait tenir sur un bout de papier. Il devait se rendre à l'évidence : il avait besoin d'aide.
Depuis l'intervention de ce Cioban dans la bibliothèque, Erikson devait bien admettre que les conseils de ce dernier n'étaient pas aussi stupides qu'ils pouvaient paraître. Déjà, il avait noté des améliorations dans sa façon de voir les gens, ou de s'adresser à eux. En effet, il comprenait certains sourires, certains gestes, ce qui lui avait permit de comprendre les intentions des personnes qu'il observait. Ou tout du moins dans les grandes lignes. La combinaison des signes ou encore la double signification de quelques-uns ne lui rendait pas la tâche facile.
Il avait encore beaucoup de chemin à faire avant d'avoir l'audace de se considérer comme l'un des leurs, mais il était en bonne voie.
Tout ça pour en revenir à cette idée qui avait germé dans son esprit. Søren s'était bien rendu compte que tout seul, il n'arriverait à rien et ne ferait que s'embourber dans ses hypothèses hasardeuses. Il avait donc besoin de s'entourer de "professeur(e)s" qui l'aideraient dans sa quête à agir comme un être humain normal.
Néanmoins, Erikson ne se sentait pas réellement prêt à dévoiler cette partie cassée de lui aux premier venues. Il allait devoir trier ses possibles aides sur le volet.
Premièrement, il comptait demander à nouveau des conseils à ce concierge, au moins pour ce qui était des conventions sociales et une partie des déterminations faciales, ce qui représentait une grande part de ses "leçons".
Deuxièmement, il allait devoir travailler sur quelque chose qu'il n'avait jamais fait auparavant, et qui représentait sûrement la partie la plus dure à ses yeux : lui-même. Son manque d'expression faciale et verbale avait été un sacré poids dans sa vie, et il devait remédier à ce problème.
Ayant rapidement fait le tour du personnel d'Hungcalf, car il ne comptait certainement pas léguer cette mission à un élève qu'il considérait comme peu digne de confiance (même si sa confiance pour les adultes n'était pas bien plus haute), Søren réussit à dégoter LA personne qui serait en mesure de l'aider sur ce terrain-là. Il s'agissait bien évidemment du professeur de théâtre.
Quoi de mieux pour s'entrainer que d'avoir à ses côtés celui qui réussissait à vêtir moult rôles, à s'approprier d'innombrables personnalités, et surtout dont les expressions faciales n'avaient plus aucun secret pour lui.
Prenant sur son temps libre, le bibliothécaire se rendit au troisième étage qui devait normalement abriter la salle de cours du professeur.
Arrivant devant la grande porte, Erikson ne prit même pas la peine de toquer, ayant oublié qu'il s'agissait d'une forme de respect, et entra sans plus de cérémonie.
Face à la grandeur de la pièce, l'homme lança un rapide coup d'oeil dans l'enceinte, pour entrapercevoir une forme proche de la scène. Ce devait probablement être l'enseignant en question.
Approchant sans hâte, Erikson s'arrêta à quelques mètres de ce dernier. Il aimait bien se garder un petit périmètre de sécurité, surtout que le contact physique, ce n'était pas vraiment son truc. Puis, calmement et de manière monotone, il lança pour attirer l'attention de l'homme en face de lui :
"Eugene Von Kruger"
Se rappelant ce que lui avait dit Cioban à propos des politesses d'usages, il lui fallut quelques secondes pour laisser échapper un petit "… … Bonjour." qui semblait très inhabituel pour lui d'énoncer.
Enfin, n'étant pas du genre à tergiverser et préférant oublier ce moment bizarre, et tout en étant aussi subtil qu'un hippogriffe dans un magasin de baguette magique, il énonça de but en blanc :
"J'ai besoin de votre expertise."
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Re: Be my personal teacher... please ft Eugene Von Kruger (abandonné)
Lun 28 Mai 2018 - 17:42
Le professeur de théâtre d'Hungcalf, Eugène Van Kruger, était heureux: il avait une boîte de cookies dans les mains. Une joie simple, certes, mais les cookies paraissaient encore meilleur étant donné que c'était un cadeau, posé par un(e) élève anonyme sur son bureau avec un petit mot de remerciement pour ses cours.
La boite dans la main droite, sa baguette magique dans l'autre, il errait dans sa salle de cours, rangeant le matériel d'un coup de baguette magique, faisant de brèves petites pauses pour apprécier la nourriture. Il se demandait si les gâteaux avaient été cuisiné à la main, ou par magie. Peu importe, c'était gratuit et c'était bon, alors il les mangeraient jusqu'au bout.
La lumière de la salle de cours était tamisé, une odeur de menthe poivrée mélangée à de la camomille flottait dans l'air. Il sourit car elle lui rappelait l'exercice du jour, où ses élèves travaillait leur sens de l'improvisation: Il leur donnait un parfum, et ils devait convaincre leurs collègues et leur professeur "d'acheter le produit". Un autre de leur camarade devant le concurrencer avec un autre produit, et bien qu'au début les élèves donnaient des arguments plutôt sérieux, débattant de la qualité de leurs produits, , ils finissaient tous par se prendre le chou, allant jusqu'à utiliser des argument ad personam complètement loufoques. Ils avaient beaucoup rit, même si Eugène avait du intervenir une ou deux fois pour éviter que ça
ne dégénère.
Une fois le rangement de la pièce terminé, il regarda le fond de la boîte, ne voyant plus que deux petits cookies. Il soupira tout en rangeant sa baguette, se mit face à la scène tristement vide, prit un cookie entre son pouce et son index, et observa le cookie presque avec mélancolie, songeant avec tristesse que les cookies allaient bientôt disparaître. Parce qu'une fois qu'ils les auraient tous mangés, et bien, il n'y en aurait plus.
Le Lac des Cygnes de Tchaikovsky jouait doucement en arrière plan, rendant la scène presque dramatique.
Alors qu'il approchait avec une lenteur démesurée le cookie de sa bouche, il entendit une voix derrière lui:
-Eugène Van Kruger... bonjour.
Le professeur de théâtre sursauta, lâchant son cookie qui s’écrasa par terre. Terriblement croquant, il était aussi terriblement fragile, et explosa en plusieurs morceaux au contacte du sol.
- J'ai besoin de votre expertise.
La voix était froide, monotone, tel un démon sociopathe venu lui détruire un de ses précieux cookies. Se tournant lentement, au même tempo que la musique qui coïncidait avec le moment le plus dramatique de l'opéra, il observa son interlocuteur et ne vit... et bien pas grand chose.
Il s'attendait à voir une démon avec une corne rouge, des yeux globuleux et une langue fourchue, mais à la place, il n'y avait qu'un homme. Un vrai joueur de poker, aucune ride ne trahissait son expression sur son visage. Moins grand que lui, un blond aux yeux bleus qui paraissait mort à l'intérieur.
Des milliers de pensées fourmillaient dans la tête du professeur Van Kruger, et elles s'affichaient clairement sur son visage: colère, peine, déception, tristesse, étonnement, questionnement. Les deux hommes se tenaient face à face aussi différent l'un de l'autre que le feu et la glace. La lune et le soleil. Tellement différents qu'il semblait presque impossible que ces deux hommes puissent vivre dans le même monde.
Finalement, Eugene suivit son instinct et imita son interlocuteur. Même manque d'expression sur son visage, même posture, et il dit de la même voix monotone:
- Il semblerait, en effet. Mais je vous préviens, vous me devez un cookie.
Il ne savait pas pourquoi cet homme venait, mais le pédagogue en lui était déterminé à lui arracher une expression. Sourire, grogner, pleurer, peu importe. Quelque-chose. N'importe quoi. C'était trop perturbant.
Le Lac des Cygnes se tut, plongeant les deux hommes dans le silence.
- InvitéInvité
Re: Be my personal teacher... please ft Eugene Von Kruger (abandonné)
Mar 12 Juin 2018 - 22:21
Il ne trouvait pas avoir agi étrangement.
Il avait signalé sa présence, et même fait preuve de politesse !
Et pourtant, l'homme en face de lui sembla surpris de le voir. Il émettait cette hypothèse-là de part ce qu'il avait appris, et surtout à la vue de ce cookie échappé. Ou alors ce dernier avait-il des problèmes de tremblements. Rien n'était moins sûr…
Après avoir suivi la chute dramatique du biscuit sur un fond sonore qui l'était tout autant, le blond recalibra son regard sur son vis-à-vis, le scrutant de ses yeux perçants en attendant une réponse, qu'il espérait positive.
Toutefois, il fut accueilli par des propos et une gestuelle déconcertante.
En effet, le professeur en face de lui sembla être animé par une multitude d'émotions que le bibliothécaire ne put identifier tellement l'enchainement des sentiments étaient rapides. Avec Thomas, ils prenaient le temps de bien observer les élèves, et le concierge pouvait lui expliquer étape par étape comment déchiffrer ce qu'il voyait. Mais dans l'instant présent, cette rapidité d'expression qui donnait une impression de mélange des signes à détecter de façon contradictoire, le laissait pantois.
Puis tout d'un coup, plus rien. Son visage sembla se fermer en une fraction de seconde, lui laissant l'amère impression de retrouver l'expression qu'il voyait tous les matins dans son miroir en se levant. Et il fallait dire qu'il n'aimait pas ça. Et encore moins quand ce dernier parla avec ce même timbre qui lui était si caractéristique.
Søren qui essayait pourtant de changer, et de venir trouver se l'aide pour ça, avait la vague impression qu'on se moquait de lui en l'imitant bêtement ainsi.
Il n'était plus très sûr d'avoir fait le bon choix en venant ici. Certes, il venait d'avoir la confirmation que ce dernier savait afficher toute un panel de masque aussi divers et varié, chose qu'il recherchait, mais le côté décalé et impoli le faisait douter du choix qu'il avait prit en l'ayant désigné comme son futur professeur facial. Le bibliothécaire hésitait sérieusement à tourner les talons et repartir se terrer entre les rayonnages de sa bibliothèque. Au moins, les livres avaient la décence de ne pas se moquer de sa condition.
Finalement, pesant le pour et le contre, et se rendant bien compte qu'il ne pouvait plus continuer ainsi, tout comme le fait qu'il n'avait pas le temps de s'amuser à chercher un autre potentiel enseignant, Erikson prit son courage à deux mains, fit abstraction du comportement étrange de Van Kruger et se lança en hochant la tête en signe d'acceptation pour cette histoire de biscuit :
"Je veux que vous me montriez comment être…" Il hésita une seconde, encore indécis sur ce qu'il s'apprêtait à demander "plus expressif."
La politesse par contre, ce n'était pas encore ça. Il en était resté aux bases le Søren : les ordres.
Entre les "je veux" et les "faites-ci et faites ça", ces interjections pouvaient en repousser plus d'un. Surtout qu'avec son ton et son allure de robot coincé, il était loin de s'accorder les faveurs des gens en un claquement de doigts. Mais c'était un peu pour cela qu'il voulait changer. Son mode de vie ne lui convenait plus. Il voulait "évoluer". Et cet Eugene était une des clés pour le permettre d'atteindre ses fins.
C'est pour cela qu'il allait faire son possible pour que ce dernier lui fasse l'honneur de lui apprendre les ficelles des expressions, à commencer par lui ramener une boîte de cookie dès qu'il en aurait l'occasion. Enfin ça, ça dépendrait encore de comment allait se comporter cet énergumène avec lui.
Il avait signalé sa présence, et même fait preuve de politesse !
Et pourtant, l'homme en face de lui sembla surpris de le voir. Il émettait cette hypothèse-là de part ce qu'il avait appris, et surtout à la vue de ce cookie échappé. Ou alors ce dernier avait-il des problèmes de tremblements. Rien n'était moins sûr…
Après avoir suivi la chute dramatique du biscuit sur un fond sonore qui l'était tout autant, le blond recalibra son regard sur son vis-à-vis, le scrutant de ses yeux perçants en attendant une réponse, qu'il espérait positive.
Toutefois, il fut accueilli par des propos et une gestuelle déconcertante.
En effet, le professeur en face de lui sembla être animé par une multitude d'émotions que le bibliothécaire ne put identifier tellement l'enchainement des sentiments étaient rapides. Avec Thomas, ils prenaient le temps de bien observer les élèves, et le concierge pouvait lui expliquer étape par étape comment déchiffrer ce qu'il voyait. Mais dans l'instant présent, cette rapidité d'expression qui donnait une impression de mélange des signes à détecter de façon contradictoire, le laissait pantois.
Puis tout d'un coup, plus rien. Son visage sembla se fermer en une fraction de seconde, lui laissant l'amère impression de retrouver l'expression qu'il voyait tous les matins dans son miroir en se levant. Et il fallait dire qu'il n'aimait pas ça. Et encore moins quand ce dernier parla avec ce même timbre qui lui était si caractéristique.
Søren qui essayait pourtant de changer, et de venir trouver se l'aide pour ça, avait la vague impression qu'on se moquait de lui en l'imitant bêtement ainsi.
Il n'était plus très sûr d'avoir fait le bon choix en venant ici. Certes, il venait d'avoir la confirmation que ce dernier savait afficher toute un panel de masque aussi divers et varié, chose qu'il recherchait, mais le côté décalé et impoli le faisait douter du choix qu'il avait prit en l'ayant désigné comme son futur professeur facial. Le bibliothécaire hésitait sérieusement à tourner les talons et repartir se terrer entre les rayonnages de sa bibliothèque. Au moins, les livres avaient la décence de ne pas se moquer de sa condition.
Finalement, pesant le pour et le contre, et se rendant bien compte qu'il ne pouvait plus continuer ainsi, tout comme le fait qu'il n'avait pas le temps de s'amuser à chercher un autre potentiel enseignant, Erikson prit son courage à deux mains, fit abstraction du comportement étrange de Van Kruger et se lança en hochant la tête en signe d'acceptation pour cette histoire de biscuit :
"Je veux que vous me montriez comment être…" Il hésita une seconde, encore indécis sur ce qu'il s'apprêtait à demander "plus expressif."
La politesse par contre, ce n'était pas encore ça. Il en était resté aux bases le Søren : les ordres.
Entre les "je veux" et les "faites-ci et faites ça", ces interjections pouvaient en repousser plus d'un. Surtout qu'avec son ton et son allure de robot coincé, il était loin de s'accorder les faveurs des gens en un claquement de doigts. Mais c'était un peu pour cela qu'il voulait changer. Son mode de vie ne lui convenait plus. Il voulait "évoluer". Et cet Eugene était une des clés pour le permettre d'atteindre ses fins.
C'est pour cela qu'il allait faire son possible pour que ce dernier lui fasse l'honneur de lui apprendre les ficelles des expressions, à commencer par lui ramener une boîte de cookie dès qu'il en aurait l'occasion. Enfin ça, ça dépendrait encore de comment allait se comporter cet énergumène avec lui.
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